NewsLetter du 26 juin 2002
26 juin 2002 L'ARF souffle ses 2 bougies... - le compteur du site www.rainizafimanga.com a passé la barre des 7000 - l'arbre généalogique sur le site a recensé plus de 4500 Rainizafimanga dans le monde. - En cadeau d'anniversaire LaComm' a sorti sur le site www.rainizafimanga.com un reportage sur un regroupement pilote Rainizafimanga .
"ARF REU EN MOUVEMENT"
merci à tous |
SONNETTE ... Notre "FIHAVANANA" nous lie a jamais
Heureusement!
Bien que notre souhait est de faire de notre association, la meilleur de toutes, nous devons sauvegarder avant tout ,
notre unité, notre convivialité, la confiance entre les membres, le regroupement familial etc.. et le SOURIRE!..
Nous sommes partis de zéro il y a deux ans , et nous avons progressé petit à petit
grâce aux idées et aux initiatives de nos membres, mais également de nos erreurs. Étant en ligne de front, il est inévitable que mes initiatives et animations puissent secouer certains, Cela est normal. Mais soyez en certain , que cela a été fait et sera fait toujours avec de bonne intention. Notre objectif est de faire promouvoir notre Association pour le mieux et dans l'unité .
Je profite de cette lettre pour remercier globalement toux ceux qui m'ont conseillé et encouragé dans notre grande oeuvre de Regroupement, notamment Fetra, Marcellin, Ertz, Alain, Jeanot, Lapé, Fafah, Bodo et Rasolofo Robin (Mada), Tovo Rasamoely (Texas USA), Michèle Harisoa(Dakar Afrique), Roberte (Rome Europe)... et j'en passe ...mais surtout nos Tetezamita de l'ARF REU (Chantal, Nina...)
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LES NEWS DE LA FAMILLE:
Les mariages dans la Grande Famille
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Rado Andriniaina RABOANARIJAONA (famille Rasamoely Rainizafimanga) et Stéphanie
Andriantsoavina sont heureux de vous annoncer que leur mariage a été célébré à la mairie de Villepinte le 15 juin 2002 1.
Alice Rasamivololona
CJ: Charles Raboanarijaona 2. Edmond Raboanarijaona
CJ: Josette Fara Rakotomalala
3. Nelly Raboanarijaona
CJ: Rajaonarison
3. Mamy Raboanarijaona
CJ: Lanto Ramanantsalama
3. Solofo Rakotomalala Raboanarijaona
CJ: Fanja Ramahangalison
3. Manuella Raboanarijaona
CJ: Bruno Ratsimbazafy
3. Rado Andriniaina Raboanarijaona |
Arahabaina e!
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Onja RAZAFIMIARANTSOA (famille Razafimahazo) sy Serge André
Joseph Aja Mboasalama Dia
faly mampilaza fa ny fanamasinana ny fanambadiany dia natao tao 1.
Julie Razafimahazo CJ: Harris
Ratsimba-Rajohn / Edmond Rakotoarisoa
2. Harrisson Ratsimba Rajohn
CJ: Elisah Andrianarivelo
2. Roberte Ratsimba-Rajohn
CJ: Raymond Rakotomamonjy / Bachir Souhlal
2. Serge Ratsimba Rajohn
CJ: Raymonde Ranaivoarinosy
2. Jaona Rakotoarisoa
CJ: Jeanine
2. Frank Razafimahazo
CJ: Josiane Reine Raharimanantsoa
3. Lola Razafimiharantsoa
CJ: Jean Randrianantenaina
3. Onja Razafimiarantsoa 3. Tojo Razafimahazo 3. Hasina Razafimahazo 2. Vololonimanana Rakotoarisoa CJ: Nirina 2. Voahangy Rakotoarisoa CJ: Herizo Ratrimo
2. Agnès Bakonalisoa Rakotoarisoa
CJ: Herizo Ratrimo
2. Eddie Laimoria Rakotoarisoa
CJ: Nivonirina Ramiarison 2. Régine Mandresiavona Rakotoarisoa CJ: Davy Rakotoarivony |
Les naissances dans la grande famille
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Lanto
et Irène
Razafindratsima sont heureux de vous
annoncer la naissance de
leur fils il est né le 28 mars 2002 à Tana
1. Paul Razafimahazo CJ: Clémence Razanamahery
3. Saholy Razafindratsima CJ: Mamy Andrianaivoravelona |
Les News du "Tanindrazana":
AFP 26/6/2002 M. Ravalomanana espère être pleinement "reconnu" ANTANANARIVO (AFP) - Tous les regards seront braqués jeudi sur les sièges des diplomates, lors du défilé militaire du 42ème anniversaire de l'indépendance de Madagascar, où le président élu, Marc Ravalomanana, espère être définitivement reconnu par la communauté internationale. Mardi, en fin de journée, aucune ambassade des principaux bailleurs de fonds n'avait encore déterminé sa position.Sur le terrain, l'armée de M. Ravalomanana continue de progresser dans le nord du pays et ne se trouve plus qu'à une soixantaine de kilomètres d'Antsiranana (ex-Diego Suarez), le grand port de l'extrême-nord et l'un des deux derniers bastions du président sortant, Didier Ratsiraka.A Antsiranana, lundi, les militaires et miliciens encore fidèles à M. Ratsiraka ont enchaîné 71 jeunes gens, sept heures durant, aux grilles du gouvernorat, laissant prévoir qu'ils utiliseraient comme otages et boucliers humains ces jeunes civils qu'ils accusent d'être des "mercenaires de Ravalomanana"."Notre position est claire: si demain les ambassadeurs, les numéros un des ambassades, assistent aux festivités, il s'agira d'une reconnaissance politique explicite", a expliqué mercredi à l'AFP un ministre de M. Ravalomanana, sous le couvert de l'anonymat.M. Ravalomanana a été proclamé officiellement président le 29 avril mais, le 6 mai, les chancelleries n'avaient dépêché que leurs "numéros deux" à sa cérémonie d'investiture. Ils marquaient ainsi que leur reconnaissance était conditionnée à un processus de réconciliation alors en cours sous l'égide de chefs d'Etat africains et l'Organisation de l'Unité Africaine (OUA). Cette médiation a échoué le week-end dernier à Addis Abeba."La reconnaissance internationale est importante car nous avons besoin de l'aide extérieure, et notamment du déblocage de nos avoirs extérieurs", analyse un conseiller de M. Ravalomanana.La quasi-totalité des avoirs en devises du Trésor malgache sont à la banque centrale américaine (Federal reserve, Fed), qui a gelé ces fonds depuis le début de la crise, ne reconnaissant pas plus la signature du gouverneur de la Banque centrale malgache nommé par M. Ratsiraka, que celle de son homologue installé par M. Ravalomanana.Les capitales occidentales attendaient mardi soir la décision de la France, l'ancienne puissance coloniale et le principal bailleur de fonds, même si certaines envisagent d'envoyer, quoi qu'il arrive, leur ambassadeur au défilé, selon des sources diplomatiques concordantes.Une autre solution était à l'étude mardi soir entre chancelleries, très significative de l'embarras des puissances occidentales: les "numéros un" assisteraient au défilé, mais pas au cocktail à la présidence, selon les mêmes sources.M. Ravalomanana et M. Ratsiraka auront chacun leur défilé et leur cocktail. Le président sortant fêtera l'indépendance dans son fief historique de Toamasina (ex-Tamatave), le grand port de l'est et le second de ses derniers bastions."N'aller au cocktail ni de l'un ni de l'autre montrera que la communauté internationale, une fois de plus, ne veut pas opter pour l'un ou pour l'autre, et cela reviendra à adopter la position de l'OUA qui a refusé de choisir à Addis Abeba", déplore un expert étranger proche du dossier.Lundi, alors que l'armée de M. Ravalomanana continuait son approche sur Antsiranana, les troupes de M. Ratsiraka y ont exposé aux médias locaux, sept heures durant, 71 jeunes gens, dont deux femmes, l'une avec un enfant, enchaînés aux grilles du gouvernorat."Ce sont des otages, des boucliers humains", estime un officier supérieur de l'état-major de M. Ravalomanana, qui confie "hésiter à avancer désormais".Les militaires ratsirakistes les accusent d'être des "mercenaires, des commandos de Ravalomanana". Or les témoignages recueillis sur place sont unanimes, de la part des habitants ou de résidents étrangers: ce sont pour la plupart des marchands ambulants.Les témoignages concordent sur un autre point: ils font tous partie d'ethnies originaires des hauts plateaux de Madagascar, tout comme M. Ravalomanana. LA CROIX : Article paru le:25/06/2002 - Auteur: ERSU Laurent d' Le " conseil " d'Omar Bongo à Didier Ratsiraka Arrivé aux affaires, le nouveau ministre des affaires étrangères français, Dominique de Villepin, maintient officiellement sa confiance à l'OUA mais s'implique personnellement dans la négociation, sous l'oeil de plus en plus actif de la cellule africaine de l'Elysée. Le nouveau ministre des affaires étrangères se déplace à Dakar et Libreville pour évoquer le problème malgache. Jouant la carte maçonnique tout en valorisant deux dictateurs " amis ", il implique les présidents congolais et gabonais, Denis Sassou Nguesso et Omar Bongo. Lors d'un nouveau sommet tenu à Dakar les 8 et 9 mai, ce dernier interpelle vivement Didier Ratsiraka, lui disant en substance : Tu es vieux et malade, pars. Quelques jours après être retourné dans son fief de Tamatave, sur la côte est de l'île, Didier Ratsiraka gagne Paris à la surprise générale, le 13 juin, promettant de " revenir ". Il est " en visite privée ", précise le Quai d'Orsay. L'interception, mercredi à Dar es-Salaam, de mercenaires français recrutés par Didier Ratsiraka, était sans doute censée signer le " lâchage " du vieux dictateur, Paris se prévalant d'avoir favorisé leur arrestation. Mais les couacs entourant cette affaire _ notamment le traitement bienveillant accordé aux 12 barbouzes par les autorités françaises _ ont été très mal ressentis à Antananarivo. Une autre déception est venue d'Addis-Abeba ce vendredi, puisque l'OUA a décidé de ne reconnaître officiellement aucun des deux protagonistes. Paris a suivi, appelant à un " gouvernement d'union nationale ", ce qu'exclut Marc Ravalomanana. Nouveau prétexte pour maintenir debout Didier Ratsiraka, ou simple cohérence diplomatique ? " C'est comme si l'on avait demandé à de Gaulle de gouverner avec des ministres pétainistes ", commente un diplomate européen. A Madagascar, chacun _ y compris l'homme de la rue _ a saisi que la reconnaissance par la France n'était toujours pas pour demain, et la colère gronde. Times of India - 25/06/2002 DMD – 23/06/2002 Politique générale : UN MINISTRE ET LE GOUVERNEUR ARRETES A MAHAJANGA |
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