...Liste de tous les Editos >> ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>
Les Archives des Editos de Avril 2007 ... (8 éditos )
|
- « L’ALOE VERA , une plante miraculeuse ! ... » 0774 27/04/2007 (Brigitte Rabarijaona de Paris ) - « Serge, est-il bon d'investir au pays ? Dans quels secteurs investir à Madagascar ? .... » 0773 25/04/2007 (Madagascar-actuel.info) - « La France d'après??? ... » 0772 20/04/2007 ( Sebastien le Parisien ) - « Savoir décoder les messages transmis et saisir l'opportunité ... » 0771 17/04/2007 ( Manantsoa Andriamiarina de Kremlin Bicètre ) - "Un bel esprit de Famille... pour notre Fraternité... ... " 0770 12/04/2007 (Monique Rabeson d'Evry) - "Zanahary no mamelona ... " 0769 09/04/2007 (Armand Andriamahady de Créteil) - « Quand les cloches sonnent! sonnent ! ... » ! 0768 06/04/2007 (Shoan de Normandie - Abdeslem de Casa - Maroc) - « Menaky ny aina » …. « Menaky ny aiko » ! 0767 01/04/2007 (Fafah Ratovonony de Villeneuve Saint Georges) |
... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Brigitte a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance ! |
Le tourisme
Encore une opportunité pour ceux qui sauront l’exploiter. ...suite Klikeo eto >> Madagascar-actuel.info ... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Madagascar-actuel.info a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance ! |
Sébastien le Parisien suite sur MadaVôvô... Klikeo eto >>
(http://www.cebenscene.com/
) (texte 11/04/07
- extrait ELECTIONS 2007 NOS MAUX A DIRE...) ... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Sébastien a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance ! |
- Ecoute, j'en ai besoin pour remuer la terre de mon jardin. Veux-tu que nous fassions un échange ? Mon coq a sûrement beaucoup plus de valeur qu'une vulgaire bêche. ... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Manantsoa a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance ! |
|
... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Armand a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance ! |
Pour les Juifs l'oeuf est le symbole de la vie mais aussi de la mort. La libération du peuple hébreu a coûté la vie à de nombreuses personnes, et le bonheur n'est jamais absolu pour les eux. A Pessa'h les Juifs trempent un oeuf dans de l'eau salée en souvenir de toutes les larmes versées suite à la perte de leur indépendance. ... suite Cliquez-ici >>
L'Aid Al MOULOUD en 2006 c'était le 11 avril et cette année le 31 mars 2007. Elle est appelée MAWLID ENNABAOUI ou Mawlid NABAWI. Le
prophète Mohammed est né à La Mecque, an 570 ap.J.C. La célébration
de la naissance du Prophète n’était pas connue dans les premières
années de l’Histoire Islamique. Cette fête a été instituée au
XI ème siècle en Égypte. Certains la considèrent comme une
innovation. Maintenant c'est une fête nationale dans la plupart des
pays arabes et musulmanes. Célébration de la fête de MAWLID L'anniversaire de la naissance du prophète se fête par des processions, des conférences et des récits sur la vie du Prophète. C'est aussi, en Maghreb et en Afrique, une grande fête populaire qui anime de gaieté, de lumières et de chants. l'AID AL MOULOUD est une occasion pour acheter des nouveaux habits pour les enfants qui les porteront le jour de la fête. Il y a aussi des hommes et surtout des femmes qui s’achètent ‘’ les djellabas’’ pour aller la mosquée le matin de la fête (homme) soit pour rendre des visite à la famille.. .. suite Cliquez-ici >>
Les Dossiers :
L'Aid Al Mouloud chez les musulmans, c’est la fête de la naissance du prophète Mohammed ... suite Cliquez-ici >> 3)- "Croustillants d’agneau au jus de basilic " Qu’il s’agisse des Pâques orthodoxe, juive, chrétienne ou musulman l’agneau est le plat traditionnel de cette fête.
... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Shoan et Abdeslem ont répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance ! |
Peut-on prôner, aujourd’hui, l’expression populaire malgache « L’enfant est roi», et, donc, de ne point mettre en doute la représentation traditionnelle admise dans toutes les régions de l’Île, de celui que l’on appelle familièrement « menaky ny aina » (Graisse de l’existence), de celui qui occupe de ce fait une place privilégiée dans la société malgache ? D’emblée, cela signifie-t-il que, « la civilisation des ancêtres » n’est ni tombée en ruine, ni tombée dans l’oubli ? Ce malgré les profondes mutations qui ont affecté la société malgache, voire « les tourmentes vécues » ces dernières décennies par la population de Madagascar ? Il faut rappeler, en effet, que la famille traditionnelle malgache assurait par sa discipline, son sens de la hiérarchie sociale et ses fortes structures (Le « Fokonolona » et la famille), une protection efficace quoique inorganisée de l’enfant. Le Droit de l’enfant ne semble pas avoir constitué pour les coutumes et pour les anciens législateurs malgaches une matière particulière différente du Droit de la famille. L’enfant est tout naturellement protégé par les structures familiales et par la cohésion de la cellule sociale au sein de laquelle il se développe. Cependant, nul n’ignore l’intérêt profond que les Malgaches manifestent pour les enfants « menaky ny aina ». Les lois écrites et l’étude des coutumes font apparaître que le Droit traditionnel comporte de nombreux éléments dont le caractère commun est de sauvegarder l’intérêt de l’enfant. Ces éléments nous pouvons les trouver : - tant dans les « kabary » d’Andrianampoinimerina (Recueillis selon la tradition orale par le R. P. Callet et qui constituent encore la principale source du Droit traditionnel malgache), - que les Codes malgaches : (Le Code des 42 articles de 1828, promulgué par Ranavalona Ier, le Code des 50 articles de 1828 de Radama II ; les deux Codes des 16 et 18 articles de 1868 ; les Instructions aux Sakaizambohitra de 1878 ; le Code des 305 articles de 1881 (M. E. P. Thebault) ; les Règlements des Gouverneurs de l’Imerina de 1889, -
ainsi que les Dinampokonolona
(Conventions de Fokonolona et qui contenaient parfois des dispositions
relatives à l’organisation de la famille (H.
Raharijaona).
En particulier, lorsque le Droit écrit interdit formellement l’établissement d’un lien de filiation naturelle a patre. C’est ainsi que les Coutumes orales constituent la seconde source du Droit traditionnel (Historiquement, elles constituent en réalité la 1ère source puisque les Kabary et les Codes n’ont fait que fixer les Coutumes). Le Code des 305 articles a d’ailleurs expressément prévu leur existence dans le très célèbre article 263 qui explique que : « Les
Lois et les Coutumes, qui sont jusqu’à ce jour observées, alors même
qu’elles ne figuraient pas parmi les présentes, restent en vigueur et
doivent être appliquées à l’égal des Lois écrites réunies dans le
présent Code ». La Jurisprudence constitue aussi l’une des sources les plus importantes du Droit de l’enfant surtout la Jurisprudence des Tribunaux créés après 1896. S’il n’a été question jusqu’ici que des institutions traditionnelles de Droit civil, il ne faut pas oublier cependant que les institutions de Droit pénal ont aussi contribué à protéger l’enfant et à constituer, d’une manière rudimentaire une protection pénale de l’enfant. Mais, si aucun développement n’y a été consacré c’est que le Droit pénal traditionnel ne fait plus partie du « Corpus juris » malgache.
Ce qui doit être dans toutes les
circonstances de la vie sociale, et partant de la vie juridique de chaque
individu… » Par conséquent, « L’ordre social est donc régi dans ses moindres détails par les « Fomba » et les « Lovan-tsofina » (Tradition orale) qui excluent l’idée-même de prescription générale et inconditionnelle s’imposant à tous et née de la volonté du législateur. Et, s’il y a Loi, cette Loi n’est acceptée et suivie que si elle est conforme à la Coutume…C’est dire qu’on étudiera jamais assez le rôle, la place et le contenu des « Fomba » en analysant le Droit traditionnel malgache. » De tout ce qui précède, force est de constater que le désir d’avoir des enfants est grand chez les Malgaches. Mais, le souci d’assurer la survie du groupe familial, la nécessité de maintenir le patrimoine ancestral dans la famille, la hantise de n’avoir aucun descendant qui puisse assurer des funérailles décentes, telles sont plutôt les raisons de l’intérêt que le Malgache attache à la venue d’enfants dans sa famille. En somme, la grande sollicitude traditionnelle qui entoure l’enfant est tout entière tendue en faveur de la famille. Toutefois, l’enfant est protégé dans la mesure où il appartenait à la famille et était essentiellement destiné à la renforcer. C’est donc dans ce sens que l’on doit comprendre la place privilégiée qu‘occupe l’enfant au sein de la société traditionnelle. Face à cet état de choses, la question se pose de savoir comment est-elle donc assurée la protection de l’enfant dans une société qui ne paraît point reconnaître en lui un sujet de Droit ? Une protection qui, de surcroît ne nécessite pas l’intervention du Souverain ?
Somme toute, l’éducation traditionnelle du jeune malgache tend à lui inculquer la sagesse traditionnelle contenue dans les « Ohabolana » (Proverbes) et dans les paroles des Ancêtres. Cet enseignement contribue à insérer fortement l’enfant dans le groupe et à le soumettre à une hiérarchie au sommet de laquelle se trouvent les Anciens qui reçoivent eux-mêmes les recommandations des morts. C’est là un aspect particulier de l’Education traditionnelle malgache.(O. Mannoni). « Le père, dans la famille est l’interprète naturel de la volonté des morts. » Ce Droit traditionnel se distingue du Droit moderne (« lalàna nampidirina » : littéralement, le Droit introduit) qui est formé par toutes les dispositions législatives ou réglementaires promulguées par le législateur français et assimilés, par la législation nouvelle de la République malgache.
Eu égard à cet état des choses, à l’heure actuelle, la question se pose de savoir si, primordial qu’il soit, l’intérêt supérieur de l’enfant, peut-il se heurter à d’autres intérêts [L’intérêt de la famille qui considère l’enfant à la fois comme une richesse et un bienfait mais également comme un apport complémentaire…l’enfant est source de main-d’œuvre, un domestique gratuit, tout en étant entouré d’affection. ; l’ intérêt des parents de sang (le couple). Face à la pauvreté, la scolarité de l’enfant coûte cher, etc… ; l’intérêt des autres enfants en présence, c’est-à-dire au sein même d’un groupe social ou familial, ou nucléaire, etc… ; l’intérêt de l’ordre public, si l’intérêt de la société étatique est en jeu, l’Etat doit assurer de façon égale la protection de la société et celle de l’individu, …]. Somme toute, comment le conflit d’intérêts peut-il être réglé au profit de l’enfant ? L’on est bien tenté de se demander si la société des adultes, confrontée aux multiples obligations créées par la lutte contre le sous-développement, a négligé sinon perdu de vue la protection qu’elle doit aux enfants ; sans cesse menacés dans leur sécurité matérielle et morale.
En définitive, il s’avère important d’admettre que les problèmes d’application réelle et effective de la Convention existent. Néanmoins, les efforts devraient être axés, d’une part, sur l’efficacité des structures sociales, ce aux fins de faire cesser ou tout au moins atténuer les obstacles, les problèmes ; d’autre part, sur l’information accrue des parents et la prise de conscience (Sous réserve d’une distinction en groupe d’âge : des enfants de moins de 18 ans) de leurs droits par les enfants eux-mêmes. " Izay adala no toa an-drainy " i.e insensé est celui qui ne fait pas mieux que son père .... suite Cliquez-ici
illustrations extraits de Voyage-bons-plans.com, Routard.com et le site de l'Université d'Antananarivo ... Et encore et encore "nody ventin'ny ny rano natsakaina", Fafah a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance! |
***