La colline royale d’Ambohimanga est le symbole le plus significatif de l’identité culturelle du peuple malgache

L'Edito : «POUR NOTRE GENERATION FUTURE...» 807192  28/07/2008     

                            " Madagasikara voajanahary " 

                                                             Madagascar naturellement - Madagascar naturally

     Films documentaires - Chants et Danses, avec la voix de Baovola Fidison et la musique en live de Olombelo Ricky

     Dans le cadre de la Fête nationale, la 5e édition des Journées de Madagascar à l'UNESCO - JMU 2008 
     De sa séparation d'avec l'Afrique et de l'Inde, il y a des millions d'années, la Grande Île a conservé des empreintes géologiques profondes qui offrent aujourd'hui des paysages parmi les plus beaux et spectaculaires du monde. Son isolement insulaire a crée un univers biologique unique au monde où la plupart des espèces végétales et animales ne se trouvent nulle part ailleurs. C'est cette riche biodiversité qui sera présentée cette année.

        Les Journées de Madagascar à l’UNESCO, 5ème édition, 26-27 juin 2008, dans le cadre du 48è anniversaire de l’indépendance - la Fête nationale
     Sous la conduite de Madame Le Pr. Irène RABENORO, Ambassadeur, Délégation permanente de Madagascar auprès de l’UNESCO.
     Cette manifestation a pour objectif principal non seulement de faire connaître mais aussi de promouvoir Madagascar.

      Cette année, en se conformant au Plan d’Action pour Madagascar (MAP), dans l’engagement n°7 consacré à la protection de l’Environnement, le thème choisi a été « Madagascar naturellement » lequel thème se réfère d’ailleurs à la célébration de l’année internationale de la Planète Terre à l’UNESCO. 

En partenariat avec :

     - MEEFT : Le Ministère de l’Environnement des Eaux et Forêts et du Tourisme de Madagascar  : minenv@wanadoo.mg  

     - PNM - ANGAP : Les Parcs nationaux de Madagascar – l’Association Nationale pour la Gestion des Aires Protégées : www.parcs-madagascar.com  

    -  L’association Meja : « MEJA, svelte et bien portante en vieux malgache est une association pour la promotion des produits de Madagascar à forte valeur culturelle et     

L'Edito : «Remèdes indispensables,...  »     *807191 - 804169  22/07/2008 

       Les ventes d’armes au Soudan ont augmenté en même temps que la violence au Darfour, selon un rapport - AP - JOHANNESBOURG, Afrique du Sud.

       Les conflits armés sont, à l'heure actuelle, la principale cause de la misère dans le monde, notamment en Afrique ; ils sont suivis de près par le VIH/SIDA du fait notamment des déplacements de population, de la prostitution, des viols, etc.

       Et avec l'augmentation des dépenses militaires et  les conséquences désastreuses sur les économies régionales ces conflits détruisent non seulement la vie mais aussi les possibilités de progrès ainsi que l'environnement.

       Les matchs de foot de la Coupe d'Afrique des Nations ont, pendant de trop courts moments, chassé hors écrans 

les scènes de violences qui ont secoué le Tchad, le Soudan, le Kenya, l'Est de la RD Congo. Avec partout, l'explosion de forces de destruction incontrôlables. Et toujours des foules de sans moyens privés de tout essayant de fuir souffrance et mort. 

        "Violences à caractère ethnique" entend-t-on le plus souvent. À y regarder de plus près, apparaissent en coulisses de sombres prédateurs prêts à tout pour s'approprier ou garder pétrole, bois, diamants et autres métaux d'avenir.

          Les violences s'enchaînent d'autant plus facilement que les armes sont présentes partout. Proposées par des vendeurs sans scrupule, elles s'achètent par l'argent ou d'autres richesses qui, au lieu d'améliorer les conditions d'existence des peuples qui en sont propriétaires, vont intensifier leurs souffrances. 
           "Mêmes des nations en voie de développement consacrent une part importante de leur maigre produit intérieur à l'achat d'armes, déplore Benoît XVI (1). Ce funeste commerce se développe grâce à de multiples responsabilités : il y a les pays du monde industrialisé, qui tirent de gros profits de cette vente d'armes, et il y a les oligarchies dominantes en de nombreux pays pauvres, qui veulent renforcer leur position par l'achat d'armes toujours plus sophistiquées."

           Face à ce non-respect des aspirations à la paix et au bonheur de millions de gens, ce n° de Pentecôte donne la parole à des évêques qui s'impliquent dans la marche de leur pays, en Afrique de l'Ouest, à Madagascar, en RD Congo et surtout au Congo. Par cohérence avec leur foi. Par respect surtout de la dignité des habitants de leur pays.

           Le reportage nous présente une Église qui, dans le nord du Congo, lutte pour la dignité des peuples autochtones hier encore appelés Pygmées. Les spiritains y prennent une part active et inédite.

          Vous le constaterez, leurs actions s'organisent presque sans moyens comparés aux budgets criminels engloutis par la fabrication, l'achat et l'utilisation des armes.

    Le film de fiction Lord of War, d'Andrew Niccol, démontre l'ascension vertigineuse d'un trafiquant d'armes interprété par Nicolas Cage. Le théâtre majeur des opérations pour Yuri l'homme d'affaire demeure l'Afrique montrée dans sa réalité la plus brutale : extrême pauvreté, prostitution, sida, guerre permanente, exécutions arbitraires et génocide.

L'Edito : « Malgachisation ??? ... »        806190  11/07/2008      

        «Durant les cinq premières années du primaire, toutes les matières seront enseignées en malgache. Le français et l'anglais continueront aussi à figurer au programme (...) L'enseignement en français ne sera pratiqué que vers la sixième année», a annoncé cette semaine la ministre malgache de l'Education, Stangéline Rambolamanana. Pour l'heure, les réactions sont partagées. Il y a des partisans de la réforme et ceux qui s'y opposent. 

        S'il est vrai que le malgache demeure la langue la plus accessible à la population, la peur d'une fracture linguistique taraude certains parents de la Grande île. Les inquiétudes prévalent surtout parmi la génération qui a vu - et qui voit toujours - les ravages de la politique de la «malgachisation» des années 70, quand l'apprentissage des langues «coloniales» avait été sciemment négligé.   

le français et l'anglais. 

      Tant qu'il n'existera pas une demande intèrieure à pouvoir d'achat raisonnable, la plupart des médias payant seront en langues  étrangères ( journaux magazines etc , quand un média est gratuit, le malgache s'impose naturellement comme avec les radios par exemple ) Tant que les patrons des grandes entreprises locales seront des "étrangers", le malgache ne pourra pas être la langue du monde professionel. Si votre patron ne parle pas malgache, vous devez forcément concevoir les réunions, les documents d'entreprises, toute votre communication interne dans la langue du patron et c'est ainsi que le francais/l'anglais s'installe dans les grandes des boites à Madagascar ! Si vous consultez les offres d'emplois, toutes sont écrites en langue étrangères ce qui implique la rédaction de CV dans une autre langue pour le candidat malgache. 

       Bref, la limite à la pratique du malgache n'est pas d'ordre dogmatique mais purement économique. Le jour ou Madagascar sera un pays économiquement fort, comme le Brésil ou la Corée du Sud par exemple, sa langue nationale s'imposera naturellement et la malgachisation, ne sera plus qu'un terme désuet... et même Sobika sera alors en malgache ! Mais quand arrivera ce jour that 's the real question          

                                       Niry de Sobika.com

L'Edito : « L'Obésité, mal du siècle ?... »        806189  07/07/2008

     Connaissez-vous l’OMS? Il s’agit de l’acronyme de l’Organisation mondiale de la santé, une institution de l’ONU ayant pour mandat d’amener les peuples de la Terre à un état de bien-être physique, mental et social.
      Vous diriez, probablement, c’est bien, mais alors?

     Oups…vite, vite, vite ! Si vous lisez alors ce billet, il est fort probable que vous soyez un amateur d’art. Peut-être que vous visitez notre site pour la première fois ?

     Alors, pas de temps à perdre, Voilà, allons-y ... droit au but !

     L’obésité et le surpoids ne cessent de progresser dans l’hexagone. Ainsi, un Français sur 10 est trop gros ! Certes, nous ne sommes pas encore au niveau des Américains, qui vivent une véritable épidémie de kilos en trop. Mais nous en prenons le chemin ...

        " Parmi les causes globales de l’augmentation de la prévalence de l’obésité chez les jeunes, les auteurs mettent l’accent sur l’inactivité, les boissons sucrées et l’habitude de sauter le repas du petit-déjeuner."          

                                    source www.doctissimo.fr & www.un.org                              

L'Edito : « Satisfaction... La Culture est un luxe, Partageons-la ! »    806188  04/07/2008

      Ensemble, faisons reculer l'exclusion culturelle : L'association Cultures du Coeur a pour vocation de lutter contre l'exclusion par l'accés à la culture...

     Bonjour Monsieur Serge,
     Cette sortie est la première pour ma part .  J’ai voulu en effet, faire un test quant au déroulement, ainsi qu’aux spectacles proposés dans le cadre de l’initiative « Cultures du Coeur », en choisissant un Théâtre au hasard et en décidant d’y aller toute seule.

      Je conseille « Hors Piste » aux groupes d’amis qui veulent passer un moment de détente ensemble, après une semaine de stress...

          Le théâtre de la Fontaine ?
      Pas mal !
      A trois minutes du métro Saint Georges, le cadre y est plutôt agréable, je vous laisse quelques clichés.(je m'excuse pour les flous, amatrice que je suis)
      Bonne réception   .                                                                    ... suite Cliquez-ici
                               Mirahy ANDRIANARISAONA de Paris         

L'Edito : « Note de voyages : poli, vieux et seul !... »    806187  01/07/2008

      Dans le beau jardin de Nîmes, des personnes de troisième âge jouent à la pétanque, les hommes surtout, tandis que des femmes s’assiérent et bavardent à l’ombre tout en tricotant ou en jouant avec des chiens.

   Quand on est à Madagascar, à Tanà (sauf les jours où nos vieillards viennent toucher leurs pensions de retraités), on compte trois personnes âgées sur les dix qu’on croise. Mais souvent, elles ne sont pas aussi âgées que cela, mais comme on le dit avec un petit pincement « Antitry ny fiainana » (traduction libre : vieilli par la vie). Et nos vieux restent sagement au village s’il en reste !

    Et quand je me promène à Montpellier, à Nîmes et à Paris, quelle fût ma surprise de rencontrer cinq ou six sur les dix personnes que je croise, âgées. Certaines peuvent se déplacer toutes seules, certaines déjà en fauteuils roulants et accompagnées par des professionnels (surtout pas des membres de la famille vue les couleurs de la peau plus foncée – sans une note de racisme). 

     J’ai aussi constaté que dire « bonjour ! » est plus fluide (pas seulement dans les magasins où les vendeurs veulent que vous achetiez ses produits) mais dans divers endroits. Mais après le bonjour, on sent tout de suite une froideur, comme si vous pouvez lire entre cet air glacial « je suis poli, sociable, mais il y a un mur entre nous ».   

     Et comme si cela ne suffisait pas, la majorité de ces gens (tout âge confondu) se renferme dans son Ipod ou livre ou autre console dès qu’ils se trouvent dans les trains et bus. En bus (car en sous sol on ne voit que les gares), n’a-t-on pas une envie de voir les jolies maisons, le ciel, les couleurs des voitures, les jolies femmes, les enfants qui courent pour passer le temps et reconnaître qu’on vit dans une ville magnifique ?
    Pour terminer, je repense à ce petit vieux tout charmant que nous avons rencontré dans le métro. Nous sommes entrés et j’ai aperçu que la place à son côté était inoccupée, je me dirigeais donc vers lui et en m’excusant, je m’assois à son côté. Il a répondu à mon salut et comme il a vu que j’étais avec mon mari, il se levait et voulu offrir son siège à ce dernier, et ensemble nous avons refusé en lui demandant de reprendre sa place. Et il a dit « mais vous êtes ensemble et moi je vais bientôt descendre ! ». Mais on tenait tête car il est inconcevable pour un Malgache (asa aloha raha mbola marina io fa efa mipetraka daholo aty ny taxi-be) de s’asseoir alors qu’il y a une personne âgée debout ! Et j’étais émue car il n’était descendu qu’après trois gares ! En plus de son savoir-vivre à l’ancienne très touchant, il mentait pour ne pas nous gêner ! Qu’il était charmant ce petit vieux ! 
     Travailler toute une vie pour une retraite méritée, je le veux bien mais à une condition : être entourée et vivre avec ma famille ! Mais pas seule et avec un animal domestique ! Heureusement qu’il y en a beaucoup qui peuvent encore s’occuper dans des associations et partager leur passion avec des amis et venir en aide à ceux qui ont a besoin. 

                                           Emma Razafintseheno d'Antananarivo