voir.......

 

 Nos Reserves  ...    

      ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>

 ... pour Plus de Réflexions !...

Bientôt... prochainement... ato ato...      ...et le calendrier des évènements 2008 ( ... )    

.... ex de fichier doc-html  Cliquez-ici             .... ex de fichier doc-doc  Cliquez-ici  


plein de photos sur Madagascar  http://madasept09.over-blog.com


Prochain Kalanoro   11/06/2010


nov 2011 

Présentation Video de la tradition orale... Angano... Angano...   Klikeo-eto >>

Edito : « Angano, un conte malgache de Noël...  »    

     Un conte ou « Angano », c'est un monde merveilleux où tout est possible !
     " A l’époque où les enfants malgaches n’allaient pas encore à l’école, leur réciter un conte étaient pour les parents un des moyens de les éduquer et de leurs transmettre des leçons. Ainsi toute la famille se réunissait habituellement après le repas du soir.
     « Indray andro hono » équivalent de « il était une fois » est la phrase introductive d’un récit que les parents malgaches d’autrefois contaient aux enfants ; qui à leur tour avaient beaucoup de plaisir à entendre. Il y a toujours des messages importants dans les contes. Qu'ils relèvent de la réalité ou du subconscient....cela ne fait rien. Le but est de faire passer un message. "  www.fonds-grandidier.mg 

     Par ce conte Alain René ARBEZ  nous transmet  qu'avec la foi, tout est possible et que Dieu bénit le dur labeur des paysans .

     Le soleil couchant embrasait l’horizon de ses rougeoiements, lorsque Andrianjaka apprit que le roi, Ralambo, son père, venait de rejoindre le royaume des ancêtres auprès de Zanahary, le Dieu à la présence parfumée appelé aussi Andriamanitra…  

     Andrianjaka  comprit que le pouvoir royal dont il était maintenant investi devant le peuple le conduirait à rechercher de quelle façon honorer la tanindrazana, la terre des ancêtres, en faisant régner la justice et la bonne entente entre tous. En effet, si Ralambo son père, avait toujours su échapper aux sortilèges maléfiques de ses adversaires, les mpamosavy, cette fois, le vieux roi était mort de fatigue, usé par les guerres continuelles entre ethnies rivales. Le fils avait bien essayé de redonner des forces au père par des décoctions de plantes de Madagascar, si riches de facultés régénérantes, mais cela n’avait pas été suffisant, il était déjà trop tard.

     Après les longues cérémonies de deuil qui réunit tous les notables de la cour, Andrianjaka partit seul, méditer dans la forêt. Les oiseaux accompagnaient son passage de chants mélodieux, comme pour annoncer une bonne nouvelle imminente, malgré les apparences contraires. Car Andrianjaka longea la grande rizière royale, celle qui nourrissait tous les villages des collines sacrées environnantes, et il constata avec tristesse combien cette année, en raison des ouragans, la récolte de riz s’annonçait mauvaise. Le nouveau roi était inquiet pour son peuple. Il leva les yeux vers le ciel pour prier et demander à Zanahary de bénir le dur labeur des paysans qui avaient longuement repiqué le riz.

     C’est alors qu’un étrange phénomène se produisit dans l’atmosphère. Voici qu’apparut une comète brillante qui se déplaçait dans le ciel à l’Orient et son mystérieux reflet dans les eaux de la rizière eut immédiatement un effet magique. Les pousses de riz se mirent à grandir,

Mpanetsa : La répartition des travaux de la riziculture se fait traditionnellement de la manière suivante à Madagascar: les hommes exécutent les travaux de labourage; les femmes s'occupent du repiquage.  ( Décophilie Par Randriamiharisoa Jean Emile  Klikeo-eto >>)

grandir, et c’est une moisson encore jamais vue qui s’annonçait. Andrianjaka avait-il été exaucé ?  

      Bouleversé, le cœur du jeune roi battait de joie en pensant à ce que les paysans, les tambanivohitra allaient découvrir le lendemain. Ce serait la fête dans toutes les maisons. Il prit quelques brassées de tiges lourdes de grains de paddy dans ses mains et il vit avec étonnement que le riz était déjà bon à recueillir. C’était un vary gasy excellent comme jamais, un riz rose qui serait certainement le meilleur au monde !

     Il en prit de quoi remplir son sac à dos et ne quitta plus du regard la comète qui semblait danser dans le ciel pour lui faire signe et partager son bonheur. Il décida de suivre le signe céleste à l’origine de ce miracle et il poursuivit sa marche comme s’il était hors du temps. Il ne ressentait aucune fatigue et ses pas se succédaient sans problème sur de longues distances, il était capté par cette lueur céleste qui l’entraînait vers de nouveaux horizons. De temps à autre, il s’arrêtait pour se désaltérer à une plante généreuse appelée  ravinala, arbre du voyageur. Mais en vérité la soif était surtout dans son âme.  

     Il repensa à ce rouleau sacré extrait du Baiboly, la Bible, qu’un sage lui avait remis l’an passé et où il était écrit qu’un astre issu de Jacob illuminerait bientôt le ciel de toute l’humanité. Cela l’encouragea à continuer sa route et lui fit chaud au coeur. Sur le chemin, des maki sautillaient comme pour le saluer et les mères lémuriens transportant habilement leur petit accroché sur le dos fixaient Andrianjaka de leurs grands yeux rieurs. Arrivé au bord de la mer, le roi embaucha aussitôt quelques navigateurs avec leur pirogue à balancier, et il mit le cap vers le nord en suivant l’étoile mystérieuse qui l’encourageait à ne pas renoncer à cette aventure sur la route de l’espérance.

     Sans aucune crainte des courants contraires, ils longèrent les côtes du continent africain, firent escale en Abyssinie au pays de la reine de Saba, la souveraine à qui le roi Salomon avait manifesté sa grande sagesse lorsqu’elle était venue en visite à Jérusalem et qu’elle avait contemplé le Temple de la cité sainte.

     Mais l’un des aubergistes qui l’accueillit se moqua du projet aventureux de Andrianjaka et lui demanda : « que penses-tu de l’histoire de Jonas, cet homme audacieux qui partit au loin mais qui se fit avaler par un monstre marin ? Crois-tu vraiment qu’il est maintenant auprès de Dieu ? » Andrianjaka répondit : « je le saurai lorsque je serai au paradis ! » L’autre répliqua : « et s’il est en enfer ? » Alors le jeune roi répondit sans hésiter : « dans ce cas, c’est toi qui le rencontreras ! » La sagesse malgache, le ohabolana, ne se laissait pas intimider si facilement.  

      Le voyage continuait sans encombre, toujours guidé par l’étoile. Ils abordèrent plusieurs fois à de nouveaux rivages mais la comète brillante était toujours en avant dans le ciel pour indiquer la direction à prendre. Après une longue traversée désertique, ils parvinrent enfin en terre de Judée, car l’étoile les guidait vers un humble village nommé Bethléem,  

     Presque arrivé à une caverne rayonnante de clarté dans la nuit, l’escorte de Andrianjaka rejoignit deux autres cortèges royaux, deux jeunes rois venus d’Asie et de l’Europe, qui suivaient eux aussi la comète à la rencontre de leur destinée.

     Ainsi, Andrianjaka compris très vite qu’eux aussi recherchaient passionnément une lumière de paix et de justice pour leur peuple. Et par reconnaissance, ils apportaient avec eux de magnifiques trésors à offrir à un petit enfant. Ce nouveau-né était lui aussi royal, comme une promesse d’avenir radieux, mais il était couché dans une crèche au milieu d’animaux, comme dans une nouvelle création qui repart de zéro.

     Andrianjaka se dit : et moi, qui n’ai que des poignées de riz de ma rizière royale de Madagascar à offrir, de quoi aurai-je l’air ?

Prosterné avec les deux autres rois devant le zazakely divin, il retira son sac à dos et prit le riz à pleine mains pour le présenter à l’enfant nommé Yeshua, qui souriait avec malice ; et ô  

surprise, sous son regard les grains de riz étaient devenus des pépites d’or, aussi brillants que la comète qui s’était reflétée dans la rizière malgache. Preuve que la foi et l’amour magnifient toujours ce qu’ils touchent !  

      Andrianjaka déposa délicatement ses richesses devant le berceau de paille et c’est alors que des troupes d’anges dans les hauteurs se mirent à chanter des louanges et des remerciements, en hébreu (Barukh HaShem !) mais aussi dans toutes les langues des régions du monde présentes à la crèche.

     C’était Noël, la paix était annoncée à tous, sur la terre comme dans les cieux.  Les étoiles et les comètes traçaient des guirlandes de lumière au firmament.

      Et après avoir rendu hommage à cet enfant Jésus, (Jesus mamonjy !) Andrianjaka pouvait repartir serein vers Madagascar, enrichi d’une lumière et d’une joie venues du cœur de Dieu, fitiavana masina, alliance sacrée, cadeau inestimable qu’il offrirait à tous les vivants sur la terre des ancêtres.

 

       Ecrit par Alain René ARBEZ, Noël 2011, St Hippolyte.

       Voici quelques infos concernant l’auteur :

       Prêtre catholique suisse, curé de paroisses au centre de Genève, délégué aux relations avec le judaïsme, engagé dans l'œcuménisme, ami de pasteurs malgaches, connaisseur de l'histoire de Madagascar et de ses traditions, ayant fait plusieurs courts séjours, Alain René ARBEZ garde des liens avec le Père Pedro dont il soutient l'œuvre au service des plus démunis, apporte son appui à un réseau de solidarité de familles à Antananarivo, a de l'admiration pour le courage du peuple malgache dans ses difficultés et espère un avenir meilleur pour tous.

Envoyé par Michèle et Henri Rasata Ranaivoson de Genève  

... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Michèle et Henri  ont répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance ! 

l

Emma St Velentin 2011

Manao ahopana Serge a!
asa na efa manana edito saint valentin ianao na tsia!
raha mbola tsy tara dia indro misy rediredy kely e!
dia mirary faharetana ho an'ny mpifankatia rehetra mpankafy ny site e!
emma

Mifankatia isika

Raha tadidiko ny toetranao  nambabo ahy,

Raha tsaroko ny fombanao nanaitra ahy,

Raha voatanisako ny vazo  vitanao hatrizay

Ny asa soa nataonao tetsy sy teroa,

Dia mpinamana ihany isika izay!

 

Satria mbola maro ny manintona ahy tsy hay avy aminao

Satria mbola betsaka ny ankamantatra atolotrao ahy,

Satria mbola ho lava ny toerana hifampitondrantsika rahatrizay,

Satria mbola miafina ny kanto hatolotrao rahampitso,

Dia fantatro fa tiako ianao!

Raha mahavariana anao ny asako isan’andro,

Raha maika ianao ny hitafa sy hiaraka amiko,

Raha efa fantatrao ny tsiro mety amiko,

Raha voavakinao ny endriko malomaloka,

Dia mpisakaiza mifampatoky ihany isika izay!

Satria mbola tsy notantaraiko anao ny nofiko mangidy indrindra!

Satria mbola tsy noresahantsika ny vinavin-tsentoko eto an-tany,

Satria   mbola vitsy ny olon-kafa nanontany,

Satria mbola tsy voazarantsika ilay vesatra omaly,

Dia fantatro fa ianao ilay tia ahy!

Satria ny ampitso no antsika roa!

 

 

 

On s’aime

Si je me rappelle  tes humeurs fascinantes,

Si j’ai le souvenir de tes petites manies,

Si je peux fredonner tes chansons préférées,

Les bons œuvres que tu réalisais,

Alors, nous sommes des vrais amis !

 

Parce que des questions sur  ce que tu es  m’attirent encore,

Parce que les mystères qui t’entourent encouragent mes pas vers toi,

Parce que les chemins que nous prendrons sont encore lointains,

Parce que demain tu m’offriras le plus beau de tes créations,

Et là, je sais que je tiens à toi !

 

Si tu es fasciné par ce que je fais,

Si tu es pressé de me voir, me parler,

Si tu savais ce que j’allais commander,

Si tu lisais mes pensées,

Alors, nous sommes  amis, confidents !

 

Parce que nous n’avons pas partagé nos soucis,

Parce que nous n’avons pas encore parlé de projets,

Parce que nous sommes banales aux yeux d’autrui,

Parce que nous n’avons pas encore confié  nos passés,

Et je sais, que tu es celui qui va m’aimer,

Car nous  partagerons notre « demain ».

3 février 2011 Emma RAZAFITSEHENO Antananarivo



 Plusieurs doc de Pentecote sur le monde  ( mail de Lucien   15/12/2010 à 9h42  repertoire edito ) 

Edito : « Madagascar. Centre NRJ, centre Énergie...  »

             xxx.

 

En plein quartier d’Andavamamba à Antananarivo, des spiritains accueillent et réinsèrent des jeunes et des enfants défavorisés. Pour le Père Éloi Rasolofoson, le centre NRJ (Nouveau Relais des Jeunes) met des jeunes en route par une vraie formation.
Les traumatismes nés de la crise qui secoue le pays affectent différentes couches de la société, surtout les plus vulnérables. Beaucoup d’entreprises ont fermé leurs portes et laissé nombre de familles dans un état de survie. La rentrée scolaire a été d’autant dure pour la majorité des parents.
Au centre NRJ, nous avons cependant continué notre accueil quotidien pour l’alphabétisation. Les enfants défavorisés sont particulièrement concernés par ce programme parascolaire. Les demandes d’entrée ont presque triplé. Une lueur d’espérance est apparue quand nous avons inauguré le nouveau bâtiment tant attendu à la place de notre réfectoire ravagé par une tornade, début 2006.
En mai 2009, j’ai eu la joie de voir un jeune devenir marin en Amérique latine. Et en octobre 2009, celle de célébrer le mariage de Joe, un de nos jeunes très difficile qui a su évoluer. Pentecôte sur le monde en a parlé dans son reportage sur Madagascar. La faiblesse de notre société, c’est que certains semblent ne regarder que le soleil pour y trouver du travail et de quoi vivre.
Au centre NRJ, voir des jeunes se mettre debout malgré leur imperfection est source de joie et de motivation. Une trentaine d’adolescents y suivent en internes des formations professionnelles : poterie, menuiserie et maçonnerie. Ils avancent petit à petit. Nous venons d’ouvrir un atelier d’ouvrage métallique. D’autres jeunes intellectuellement doués se forment soit chez les salésiens de Don Bosco soit dans des écoles privées en ville. Devenus indépendants, 7 jeunes sont partis. Malgré nos efforts, nous regrettons toujours le renvoi de certains pour fautes graves : non-respect des règlements, copine mise enceinte… Le programme journalier n’a pas changé : cours de remise à niveau le matin. Ateliers ou cours de spécialisation à l’extérieur, l’après-midi.

 

Par sa proximité et sa disponibilité, par son témoignage de vie surtout, la communauté de 2 spiritains qui vit au centre NRJ joue un rôle de tremplin pour les jeunes en recherche de repères. Il ne s’agit pas pour nous de remplacer les parents. Mais de permettre aux jeunes de retrouver de nouveaux repères construits sur le roc de la Bonne Nouvelle. Nous sommes des prêtres comme les autres mais chargés d’un ministère qui demande beaucoup d’adaptation et de souplesse. Et qui exige de vivre dans des conditions de vie simples. Ici, on vit au jour le jour. Quand tu commences une journée, tu ne sais jamais où elle va t’emmener. Des événements imprévus (vol, bagarre, menace, faute grave, etc.) arrivent souvent comme un coup de poing au visage. Les amis nous demandent souvent si nous ne sommes pas découragés. C’est vrai que les occasions de fatigue et de découragement sont nombreuses. Mais nous regardons toujours d’où vient le jeune et le chemin qu’il vient de parcourir. Même s’il a fait 1 pas en arrière, il en avait fait 3 en avant. Et il n’est pas revenu à la case départ. Il est toujours en chemin. Il est fréquent, quand on a fait de l’escalade, qu’à cause de la fatigue ou d’une distraction, un pied glisse sur un obstacle plus difficile. Au centre NRJ, nous accordons à chacun le droit à l’erreur.
Le sommet, le but final, voilà l’important. Le chemin qui y mène l’est autant. Si beaucoup ont une route bien droite et goudronnée, accordons tout notre respect et notre amitié à ceux qui n’ont pour chemin de vie que des embûches, un relief abrupt, accidenté, voire dangereux ! Les plus belles routes ne sont pas celles qui se déroulent, rectilignes à perte de vue, mais les sentiers sinueux en pleine brousse. Cheminer avec les jeunes les plus fragilisés, aux routes risquées, est une aventure de tous les jours et une source d’émerveillement pour tout ce qui se passe en eux. Cela permet de regarder à la fois le sommet et le chemin, l’arbre à venir et la graine qui grandit, avec un regard chargé de confiance et de tendresse. Et de vivre jamais découragé mais toujours émerveillé. 

Père Éloi Rasolofoson  /  centrenrj@moov.mg  /

 

Pentecôte sur le monde, 30 rue Lhomond 75005 PARIS.
En disant que nous sommes une revue à laquelle on peut s’abonner: 6 n°/an pour 20 €.   
 ... suite Cliquez-ici      

                                          Envoyé par Père Lucien Heitz- Communication des Spiritains pour rainizafimanga.com

... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Père Lucien  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance ! 

l

 

Lemonja, Un malgache en mission à Manille (Philipine)

Ho an'i Serge Ratsimba, namana any ho any...


Dia misaotra betsaka fa dia mivoaka foana ao @ "edito" ny taratasy alefako ho anao...HItako mihitsy hoe somary sahirana kely ianao mitady sary, ary efa nanafatra sary tamiko ianao indray andro, fa izao vao mba misy izany ka aleo mihitsy handefasana vistivitsy vao omaly dia omaly ianao!

Ireo no mpianatro! Mahafatifaty kely ô?! Efatra ambin'ny folo, ry zareo, raha ny tokony ho izy saingy tsy teo ny anankiroa...Tsy te-ho lava resaka aho fa manasa anao handinika tsara ny endrik'ireto ankizy ireto...Jereo, ohatra, i Alexa Dano, eo @ sary mitambatra, eo ankavanako izy: dia hahatsiarovako an'i Hantatiana, mpihira, foana! [Sady nampianariko azy ireo rahateo moa ilay hiran'i Hantatiana hoe "La Pluie" iny...<http://www.youtube.com/watch?v=uVbCdeekmhw> Satria ireto ankizy ireto dia "French Club" ato @ "Assumption Antipolo", sekolin-dry masera ipetrahanay....] Jereo akaiky ihany koa i Kikav! Izy irery no misolomaso @ ireto mpianatro ireto...Diniho ny volony: mitovy volo @ anabaviko mihitsy io ankizy io! Matevina dia matevina izany volo izany ary tsy "tsotra" fa henjankenjana, hany ka mila tazomina mandrakariva any aoriana !(2181. JPG) Mbola resaka volo ngitangita ihany: jereo ny 2185.JPG...Anisan'ny sary nahafinaritra ahy indrindra ny sary laharana 2191.JPG satria dia hita mifanatrika tsara ny volo olioly sy ny volo matsoraka tsotra dia tsotra (Alexa Dano sy ny namany io!) Classe de 6e any amintsika ireto ankizy ireto ka tsy manamboamboatra volo...Voajanahary tsara daholo ny volo sady sekoly Katolika natokana ho an'ny ankizivavy ny ato ka mety hanahirana ihany ny hanao "make up" ato! Izaho ilay miondrikondrika sahirana manamboatra video ery aorian'izy roavavy ery, miaraka @ mpianatra iray izay teknisianina kely ato am-pianarana!

(Hitohy ny fanadihadiahana!)

 

 

 

Edito : « La valiha, cythare de Madagascar...  »

     le mot valiha viendrait du sanskrit vadhya signifiant instrument de musique sacré.

     La cithare tubulaire en bambou est un instrument très ancien que l'on trouve parmi les minorités ethniques en Indonésie et au Vietnam.              

     la valiha a donc des origines asiatiques, elle s'est imposée à Madagascar qui a connu des vagues successives de peuplement depuis le début de l'ère chrétienne. Des migrations indonésiennes ont été prouvées.   

     Les musiciens fraîchement débarqués n'ont pas eu de mal à trouver des bambous et à fabriquer les instruments qu'ils connaissaient déjà. De différentes formes selon les régions de la Grande Ile, la valiha est constituée de 16 à 24 cordes.

     La valiha toritenany est le premier qui a existé à Madagascar. Fabriquée avec une tige de bambou aux noeuds très distants, sa longueur est d’environ 1,20 m, et le diamètre est de 10 cm. Tout autour de ce tube cylindrique sont régulièrement réparties les fibres dont le nombre varie selon le fabricant. Celui-ci entoure les deux extrémités de ces cordes d’une sorte de liane serrée fortement et dépose sous chacune d’elles un ou deux chevalets mobiles en bois de citrouille avec lesquels il accordera l’instrument.         
      
Madagascar, entre la finesse de ses jeux de cordes et la puissance de ses musiques nouvelles, n'a jamais renié ses instruments traditionnels les plus originaux. La valiha est sans doute ce qu'on peut considérer comme l'instrument national. 

       Cithare tubulaire en bambou, elle présente des factures multiples parmi lesquelles on peut citer également le marovany, puissant instrument à caisse parallélépipédique. À l'origine, l'instrument est fait d'un bambou, une portion coupée entre deux nœuds; soit un tuyau dont les cordes sont soulevées de l'écorce même du bambou. 

      Elles ne sont donc pas des cordes, fils ou autres câbles ajoutés à l'instrument. Elles font partie du corps même de la valiha dont on écarte de fines bandelettes soulevées par de petits chevalets en calebasse. C'est ce qu'on appelle un instrument idiocorde.  

      Certes, cette facture est la plus ancienne et a beaucoup évolué depuis. Mais elle existe encore en certains endroits de l'île et son histoire est essentielle dans la mesure où elle atteste des origines lointaines. 

 ... suite Cliquez-ici 

                               Stéphanie de AuZoma.com 

... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Stéphanie  a répondu à notre appel pour publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance !   

l


Edito


 

AuZoma 15012010
Les vrais épices de Madagascar

Sur le marché traditionnel de la vanille, Madagascar occupe 63% de la production mondiale en 2008 et risque souffrir de la concurrence de nouveaux pays producteurs (Inde, Indonésie, Papouasie…), attirés par la hausse des cours du produit ces dernières années.
Mais, le pays développe la culture de certaines épices demandées sur le marché mondial, ainsi le curcuma, le gingembre, la cannelle, le poivre rose, les piments….qui existent déjà dans l’île. Les conditions climatiques notamment tropicales régnant à Madagascar sont propices à la culture de nombreuses épices. Madagascar, à l’instar de l’Inde, pourrait adopter une politique volontariste de valorisation de ses produits à l’exportation et ainsi développer de façon conséquente, sa production d’épices. Ainsi, Auzoma, votre boutique en ligne a référencé de nombreux épices en direct de Madagascar, aux goûts uniques alliant fraîcheur, saveur et qualité dégustatrice. Essayez ces produits dans votre cuisine et vous allez découvrir que ces produits n’ont rien à voir avec ceux qu’on trouve dans les linéaires des grandes surfaces.

 

 

 

 


 

Vola Rasoamanana  16/10/2009   mail de l'asso: www.apfmada.fr 

Madaplus
Directrice Générale
Directrice de la Publication
Tel: 01 45 90 52 88
Port: 06 11 10 28 98

Dis je viens vers toi car j'ai créée une association qui se nomme APFMada. Nous en avons parlé il y a longtemps de ce projet, je ne sais pas si tu te rappelles (c'était lors du déjeuner de l'asso de Jojo et Jeanne), c'est une asso qui s'occupe ou plutôt qui va s'occuper des femmes qui accouchent à Madagascar. C'est un projet qui me tient particulièrement à coeur, si tu as un moment j'ai fait une interview dans Madaplus pour expliquer pourquoi cette asso (télécharges le journal ça va vite), sinon envoies moi ton adresse je t'envoie un exemplaire.
J'ai fait un dossier très intéressant sur les conditions d'accouchement à Mada, l'objectif premier de cette asso est donc de donner des matériels nécessaires basiques aux maternités: coton, seringues, gants, forceps, poupinels...bref ce qui peut servir à accoucher et que les maternités manquent cruellement. Un exemple très simple, à Befelatanana il y a un forceps pour 40 accouchements par jour et 2 sages femmes pour 24h.
 
Bref le but de mon mail c'est que je pars à Mada bientôt (je dois faire entre autre un budget pour le besoin de l'asso) ainsi je souhaite pouvoir apporter un minimum aux trois hôpitaux que nous souhaitons aider pour ce début. Toi qui travaille dans un hôpital penses-tu pouvoir nous aider un peu?
 
Je te remercie par avance de l'attention que tu vas apporter à ma requête et en attente de ton retour.
 
Vola

 

La prochaine édition sera Les Aires protégées marines et côtières à Madagascar

 

 

en attendant Edito sur la lutte contre les mefaits sur l'environnement par Raymond

Les Nouvelles 16/06/2009
LUTTE CONTRE LE CHANGEMENT CLIMATIQUE

Protection des aires marines, support incontournable 

La mise en place du système des aires protégées marines contribue davantage à la lutte contre les effets du changement climatique. La conservation durable de ces sites est ainsi de mise car les ressources marines endémiques du pays sont à l'abri de toutes pressions des activités humaines. Reportage. 

Le changement climatique constitue une grande menace pour les écosystèmes marins et côtiers. Pour le moment, les dégâts occasionnés par ce phénomène sont devenus considérables dans le pays si on ne parle que de l'érosion marine à Morondava et Analalava. Et ce, à cause du réchauffement de la mer sur la partie littorale Ouest de l'île et le blanchissement des coraux d'une partie du Nord-Ouest. Pour le cas de la côte de Morondava qui se dégrade de jour en jour, l'érosion est due aux activités de l'homme engendrant la perturbation du courant de la mer ou simplement par des effets naturels. 

Effets sur les écosystèmes marins 

Et ces changements ont eu des incidences sur les périodes de reproduction des ressources aquatiques et marines ainsi que sur la migration des poissons. Bref, «le changement climatique perturbe les écosystèmes marins, en général, le cycle de vie des animaux. Il favorise également la prolifération d'autres espèces nuisant à l'environnement des poissons», a bien précisé un responsable du Conservation international des régions Diana et Sofia, Lucie Monica Tombolahy. 

En fait, concernant la partie Nord de l'île en particulier, «le changement climatique se manifeste par l'augmentation du passage du «Varatraza» de huit mois au lieu de six mois auparavant. Vient ensuite la diminution de la saison des pluies qui ne se produit actuellement que vers la fin de mois de janvier contre fin novembre l'année dernière. Et pire, l'érosion marine qui détruit les mangroves à cause des feux de brousse et la coupe illicite des bois nuisant à l'habitat des ressources marines», toujours selon ce responsable. L'élévation de la température en surface de la mer et l'augmentation du taux d'acidité ont provoqué le blanchissement de près de 80% du corail de la côte Nord-Est. Par ailleurs, les courants marins subissent des changements avec des impacts certains sur les poissons et sur les itinéraires de migration de plusieurs grandes espèces telles que les baleines et les tortues de la région. 

Mesures d'atténuation et d'adaptation 

Parmi les mesures d'atténuation et d'adaptation adoptées figure la mise en place du Système des aires protégées de Madagascar (SAPM) dont les aires marines et côtières en sont dans les priorités. «Madagascar dispose actuellement d'un plan d'action nationale d'adaptation au changement climatique dont la mise en œuvre est en cours», a souligné le ministre de l'Environnement et des forêts, Mariot Jean Florent Rakotovao lors de la célébration officielle de la JME à Antsiranana. Et de poursuivre : «L'augmentation de la superficie des aires marines protégées, la réduction de la dégradation des ressources naturelles, la reforestation contribuent à la limitation du réchauffement climatique». Quant à la mesure d'adaptation, elle sera traduite par l'identification des sites vulnérables au changement climatique en vue de la protection durable de la biodiversité. 

Toutes ces mesures doivent intégrer entièrement la prise en considération de la biodiversité et de la bonne gouvernance environnementale. L'utilisation durable des ressources naturelles par une gestion rationnelle permet à l'humanité de faire face au changement climatique. 

Le complexe Ramena, nouvelle aire marine protégée 
Le complexe Ramena, constitué de trois sites, vient de grossir le rang des nouvelles aires marines protégées de Madagascar. Il s'agit, entre autres, de la Montagne des Français, Orangea et Ambodivahibe, des sites situés dans la région de Diana. 

Montagne des Français : S'étalant sur une superficie de 6.02 hectares , la Montagne des Français se trouve à 7km au sud de la ville d'Antsiranana et à l'Est de la route menant vers Ambilobe. Elle est constituée d'une forêt dense sèche semi caducifoliée, de forêt galerie et de Tsingy. Elle est déjà sous protection temporaire et le document pour l'obtention de sa protection définitive est en cours. C'est un site très important en paléontologie mais aussi connue de sa légende sur la république de La Libertalia et son histoire. 

Ambodivahibe : C'est une baie d'une superficie de 11.141 hectares et se trouve à 29km de la ville d'Antsiranana. Ambodivahibe est constituée de forêt dense sèche et de mangroves, de récifs frangeant la côte et de fosse marine. Ce site est reconnu mondialement pas ses richesses marines et figure parmi les nouvelles aires marines protégées sous protection temporaire depuis le mois de janvier 2009.

Orangea : Zone s'étalant sur une superficie de 1.642 hectares , Orangea est un domaine privé des militaires, située à l'extrême Nord Est de Madagascar, dans la commune rurale de Ramena. Les miliaires ont proposé de la mettre sous protection grâce à ses richesses floristique et faunistique, ses valeurs historiques et culturelles. Sa réputation est due surtout à la présence de l'ancienne base militaire française mais aussi elle abrite les baies de Pigeon, des Dunes et des Sakalava. 

MANGROVES
Indispensables pour fixer le carbone 
Les mangroves tiennent un rôle important contribuant à la lutte contre le changement climatique. «Les mangroves relient non seulement les zones humides côtières et marines aux plantes des forêts, pour régulariser la direction du courant marin afin d'éviter l'érosion mais contribuent également à la fixation du carbone», a expliqué le directeur général de l'Environnement et des forêts, Gérard Rambeloarison. La conservation et la gestion durable des mangroves s'avèrent ainsi indispensables car cela permet d'atténuer les effets du changement climatique comme la hausse du niveau de la mer ou encore l'érosion marine. «Les mangroves constituent également l'habitat et la survie des ressources marines comme les crevettes, les crabes et les poissons. Les bois de mangroves sont aussi utiles pour fabriquer les charbons de ménage constituant une des sources de revenus des communautés environnantes», toujours selon ce responsable. 

Lors de la célébration officielle de la journée mondiale de l'Environnement, le site d'Ankorikakely, situé dans la commune rurale de Ramena, a fait l'objet d'un reboisement d'environ 3.000 pieds de mangroves s'étalant sur une superficie de deux hectares. Ce site a été choisi étant parmi les zones marines menacées par l'érosion qui risque de détruire ses ressources à l'instar de la côte d'Analalava ou de Morondava qui ne cesse de se dégrader face à la pression des catastrophes naturelles. 

En ce qui concerne la côte d'Analalava, le directeur régional de l'Environnement et des forêts de la Sofia , Rufin Zamany, a annoncé son projet de restauration de la forêt des mangroves pour pallier ce problème. «Le projet a pour objectif d'éviter le changement de direction du courant marin en prévoyant la fixation des dunes par le biais du reboisement des mangroves». Parmi les stratégies inscrites dans le plan d'action figure également la sensibilisation de la communauté sur l'importance de cette plante, un moyen efficace pour fixer le carbone. 

EROSION MARINE À ANALALAVA

Deux villages de pêcheurs risquent de disparaître 

La région de la Sofia n'est pas épargnée par les effets du changement climatique comme l'érosion marine sur la côte d'Analalava, la perturbation de la pression atmosphérique, l'insuffisance de la pluviométrie, la hausse de la température maximale. Tout cela est due à la pression des activités humaines dont les feux de brousse. Le district d'Antsohihy a été classé zone rouge en la matière. 

Concernant la zone côtière d'Analalava, en particulier, elle subit actuellement des effets du réchauffement climatique et deux villages risquent de disparaître. «L'érosion marine menace cette côte Ouest de l'île à cause du changement de la direction du courant marin vers Akomazara qui s'est manifesté il y a cinq ans. Ce nouveau phénomène a perturbé en premier lieu les activités de pêche traditionnelle sur le site affectant environ une dizaine de ménages répartis dans 50 toits», a souligné le directeur régional de l'Environnement et des forêts, Rufin Zamany. Plus précisément, l'érosion marine a détruit le village des pêcheurs à Masiloka, fokontany Ampitily, commune rurale d'Antonombe, district d'Analalava, région de la Sofia et a favorisé la création des dunes. «L'érosion a favorisé le changement de la direction du courant marin et le Cap Mon pêcheur sera la prochaine cible de la destruction si aucune disposition n'est prise par les autorités compétentes dans les plus brefs délais», a déclaré ce premier responsable de l'Environnement de la région. 

Il a profité de la journée de l'Environnement pour lancer un appel de financement aux autorités compétentes et bailleurs de fonds quant à la mise en œuvre d'un plan d'action de lutte contre cette érosion marine. Ce plan comporte un projet de restauration de la forêt de mangroves à travers une photosynthèse afin de sauver les pêcheurs victimes de l'érosion marine. 

Textes : Noro Niaina



 

Edito NONO  23/02/2007

Edito : "Angano, ... Les Lémuriens ! "

Les Angano ou contes font partie du trésor culturel malagasy, c'est un patrimoine culturel de notre nation. Ils ont un pouvoir merveilleux et une vertu magique attirant tous les enfants. Leur réciter un conte étaient pour les parents un des moyens de les éduquer et de leurs transmettre des leçons. Ainsi toute la famille se réunissait habituellement après le repas du soir.

    Les lémuriens sont apparus à Madagascar il y a très très longtemps...., 
Cela se passait dans un ménage où le mari était très malheureux : sa femme le battait tout le temps pour un oui ou pour un non. Il était tellement malheureux qu'il n'avait plus le goût de vivre et sa femme ne l'autorisait même pas à boire du rhum. Toute la journée il devait travailler, enfermé dans sa case. Un jour, il s'adressa au Dieu de la forêt en lui disant : 
" Dieu de la Forêt, vois comme je suis malheureux, et depuis tellement longtemps. Tu es mon seul voisin, il faut que tu fasses quelque chose pour m'aider…"
Le Dieu de la Forêt fut ému par cet homme si gentil et désespéré. Il eut une idée : il le transforma en un merveilleux petit animal léger et agile : un lémurien. Ainsi l'homme pu se sauver au cœur de la forêt et échapper à sa mauvaise femme. Et c'est comme ça que les lémuriens sont apparus à Madagascar.
On raconte même, mais c'est vrai, que les lémuriens sont un peu misogynes : chaque fois qu'ils passent à côté d'une femme, ils lui pincent les fesses 

Angano angano, arira arira , Tsy izaho no mpandainga fa ny tany aloha 

Conte! conte ! qui ment? ce n'est pas moi qui ment! ceux sont les gens d'autrefois !

    D'abord, l'Angano est caractérisé par l'imagination, la fiction et le romantisme. Ces trois éléments sont présents chez n'importe quel enfant. Il vit l'histoire racontée dans l'Angano comme s'il vit la sienne. L'imagination permet de sortir de la réalité qui est souvent moins belle que le rêve. La fiction reflète l'aspiration de se surpasser pour atteindre le beau, le sublime. Le romantisme répond au souhait que tout se termine en rose. L'enfance est synonyme du beau.

Ensuite, dans l'angano, les personnages se répartissent en deux camps représentant le bien et le mal, l'honnêteté et malhonnêteté. Pour les âmes innocentes que sont les enfants les méchants doivent être punis, les braves gens doivent trouver le bonheur. Dans les angano, il y a toujours la victoire inéluctable du Bien sur le Mal. Cela correspond aux attentes des enfants.                    

    Puis, l'histoire, l'événement raconté dans l'angano est attirante. Les enfants voyagent 

dans l'Angano comme s'ils voyagaient dans un monde merveilleux, qu'ils prennent comme authentique. Les adultes racontent les Angano avec vigilance. Les enfants, par contre, se laissent facilement emportés par l'histoire.
Enfin, l'Angano est la capacité de charmer, d'instruire, d'émouvoir les hommes, ils portent en soi la raison d'être nécessaire et viennent
nécessairement de l'identité culturelle de la nation. 
Angano, Angano, Arira, Arira, tsy izaho no mavandy fa ny olo-be taloha.          
.... suite Cliquez-ici  

                                                                Nono de Madamaki 

 

... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Nono de Madamaki  a répondu à notre appel pour publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance !   

 

 

pseudo shoan... Nom : Sylviane V. de Toulouse; Joshoa; Nathanael,; Vololona; Josepha; David

 

Edito : "le Fotoan-gasy… "

L'heure, c'est l'heure; avant l'heure, c'est pas l'heure; après l'heure, c'est plus l'heure

              Jules JOUY  

 

 

envoyé par Baby 25/06/2007   leçon de Vie...à méditer

L'Edito : «Cours du soir pour les Hommes...  »

      peu d'humour pour vous souhaiter un bon we à tous .
      Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé ne serait que pure coïncidence bien entendu.

      Il ne reste que quelques jours pour s'inscrire... VOUS ETES TOUS BIENVENUS !
Note : En raison de la complexité et de la difficulté des cours,  seulement 8 participants seront acceptés pour chaque cours.
Le stage s'étend sur deux jours, et comprend les cours suivants :

PREMIER JOUR

FCOMMENT REMPLIR LES BACS A GLAÇONS 
Présentation tâche par tâche sur diapositives 
FPAPIER TOILETTE : POUSSE-T'IL TOUT SEUL SUR LES DISTRIBUTEURS ?
Table ronde

FDIFFERENCES ENTRE LE PANIER A LINGE ET LE SOL
Exercices pratiques avec paniers en osier

F ASSIETTES ET VERRES : PASSENT-ILS DE L'EVIER AU LAVE-VAISSELLE GRACE A LA  LEVITATION ?
Débats - Intervention d'experts

FCOMMENT TROUVER LES CHOSES
D'abord regarder au bon endroit avant de retourner la maison dans tous  les sens en poussant des cris de hyène - Forum      
DEUXIEME JOUR
FBOUTEILLES DE LAIT VIDES - DOIVENT-ELLES ALLER DANS LE FRIGO OU DANS LA  POUBELLE ?
Groupes de discussion et jeux de rôle
FSANTE - LUI APPORTER DES FLEURS EST SANS RISQUE POUR VOTRE SANTE
Présentation Power Point
FDES HOMMES PERDUS DEMANDANT LEUR CHEMIN
Témoignages du seul homme l'ayant jamais fait
F EST-IL GENETIQUEMENT IMPOSSIBLE DE RESTER TRANQUILLE PENDANT QU'ELLE GARE  LA VOITURE?
Simulation de conduite
FCOMMENT ETRE LE COMPAGNON DE SHOPPING IDEAL
Exercices de relaxation , méditation et techniques de respiration

F SE RAPPELER DES DATES IMPORTANTES & PREVENIR QUAND VOUS AVEZ DU RETARD
Apporter son agenda au cours 

 

Et je rajouterais les modules facultatifs  suivants:
F LE FOOT N'EST PAS UNE RELIGION
Avec l'intervention de Monseigneur Papin

F LIRE LE PROGRAMME AU LIEU DE S'EXCITER SUR LA ZAPETTE
Exercices pratiques de lecture accélérée du programme TV
F FAIRE TOURNER UNE MACHINE
Exercices de traduction sur les boutons ON/ OFF, dosage du détergent sans  utiliser une balance, apprendre à différencier la couleur blanche d'une  quelconque autre couleur

FBOIRE SANS SE DETRUIRE
fixer ses limites, boire avec modération, démontrer que boire un verre  supplémentaire n'apporte rien de plus que les 10 autres précédents!
Et un module sur le sexe : LE CORPS DE MA FEMME N'EST PAS FAIT QUE DE SEINS
Avec illustrations couleur

     Les inscriptions doivent être mûrement réfléchies vu la complexité du programme et le nombre de femmes à vouloir inscrire leur membre... zut... leur conjoint, aux cours. 
         Un minimum de 3 mois de relation continue et sous le même toit ou de 3 ans de mariage pour les plus coriaces (dans ce dernier cas prévoir une majoration de 150%) 
        Pour les fiancés en vue de mariage proche des tarifs préférentiels peuvent être étudiés (mieux vaut prévenir que guérir) 
        Les paiements peuvent se faire sous toutes les formes pourvu qu'elles soient honnêtes 
                Trop drôle et tellement vrai . Si c'est pas trop cher je te réserve 3 places...1 pour mon homme (en curatif...) et 2 pour mes loustics (en préventif)!!!!   hi hi hi !!!!!!

                                     Baby                                          

 ... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Baby  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance !  

 

 

Le p'tit Edito de LaComm' : « Marina... 7 isa masina  »

      Hello all body, un peu d'humour pour vous aider à terminer la semaine .
      juste pour rire...

  

F Encore aujourd'hui, de nombreuses personnes, 
en écrivant le chiffre 7 utilisent une barre supplémentaire horizontale au milieu du chiffre. 
La plupart des typographies l'ont fait disparaître aujourd'hui

F  Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu'à nos jours ? 
Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques : 
Lorsque Moïse eut gravi le mont Sinaï, 
et que les 10 commandements lui furent dictés, 
il redescendit vers son peuple et leur lut, 
à haute et forte voix, chaque commandement. 

F Arrivé au septième commandement, il annonça :
« Tu ne commettras point d'adultère. 
Tu ne désireras pas la femme de ton prochain » 

F Et là... de nombreuses voix s'élevèrent parmi le peuple lui criant :
"Barre le sept, barre le sept, barre le sept !!!" 

Et voilà… l'origine de la barre du sept !

 

Ah Ah Ah Ah Ah !!!    Le rire et le sommeil sont les meilleurs remèdes du monde :) 

 

 

 

 

RETOUR AU SOMMAIRE  des MadaVôvô

 Accueil du site ARR

Accueil du site Rainizafimanga

  Accueil du site d'Animation ARR