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Journée Mondiale pour la Paix  29 mai 2008

L'Edito : « L'organisation internationale qui a bravé le temps... »

      D’anniversaire en commémoration, pas une journée ne semble point avoir son thème et ne demande qu’à être dignement fêtée. Pour ce qui a trait à la journée du 29 mai, depuis 2002 (Résolution 57/129 du 11 décembre 2002), les 192 Etats membres de l’Organisation des Nations Unies, les organismes des Nations Unies, les Organisations Non Gouvernementales et les particuliers sont invités à célébrer dignement le travail des Casques bleus tous les 29 mai.

       L’Assemblée générale (De l’ONU) en a décrété ainsi, et ce pour rendre hommage à tous les hommes et à toutes les femmes qui se sont investis, sous l’égide du Conseil de sécurité - donc des Nations Unies -, dans des opérations de maintien de la paix en raison de leur niveau exceptionnel de professionnalisme, de dévouement et de courage, et, également pour honorer la mémoire de ceux qui ont perdu la vie au service de la paix. Dès lors, il s’ensuit que désormais cette date est la Journée internationale des Casques bleus des Nations Unies.

       L’occasion se présente dans le cadre de  la célébration de cette journée pour orienter la réflexion sur ce que l’on appelle « le destin collectif ». En effet, en dehors d’opération de maintien de la paix comme sus-indiqué, il peut être davantage question maintenant de rétablissement de la paix, ce qui suppose donc des situations beaucoup plus conflictuelles et hostiles. A ce sujet, au cours des dernières années, il s’est avéré que les Casques bleus ont même utilisé la force pour imposer leur mandat. Et, à ce titre, soit dit en passant, on différencie généralement les types de missions de paix par l’expression « générations d’opérations de paix ».     

       Par exemple, en substance, concernant « les opérations de la deuxième génération », c’est l’Agenda pour la paix de Boutros Boutros-Ghali, rendu publique en 1992, qui a donné le coup d’envoie à ce nouveau genre   

Discours du Pape Benoît XVI sur la Paix 01 janvier 2007  >>

d’opérations. Il y est question  de la possibilité pour l’ONU de mettre sur pied des missions de paix dites plus musclées. Cette proposition était innovatrice à plusieurs égards, et se distinguait des opérations de premières générations.  

       Les missions sont créées en vertu du chapitre VII de la Charte de L’ONU. Ceci signifie que cette fois-ci, les Casques bleus interviennent dans des environnements souvent hostiles où ils peuvent être appelés à ouvrir le feu pour imposer leur mandat. Il en est tout autrement des « opérations de la première génération » où, brièvement, les Casques bleus sont majoritairement des militaires qui sont légèrement armés. En outre, ils n’ont recours à la force qu’en situation de légitime défense. Et, puisqu’ils sont neutres et impartiaux, ils ne peuvent pas ouvrir le feu sur l’une ou l’autre des parties belligérantes.

       Quoi qu’il en soit, qu’il s’agisse du 1er du 2ème ou du 3ème type de missions, cela ne suppose-t-il pas toujours des mesures préparatoires au bellicisme ? 

 

Or, nul n’ignore que la société, ou n’importe quelle forme de collectivité, est la somme de tous les êtres humains qui la composent. Aussi, convient-il, par voie de conséquence, d’admettre que tout mouvement collectif est en tout état de cause la résultante de mouvements individuels. Force est aussi de reconnaître que sur tous les plans, à tous les niveaux, actuellement, nous constatons une montée permanente de la tentation de violence. Et ce, au plus profond de l’individu lui-même. Car, l’homme, dans la majorité des cas où il se trouve confronté, c’est-à-dire face à divers problèmes qu’il doit résoudre, aux multiples épreuves jalonnant son existence, a souvent recours à la violence. Une gifle est déjà un acte de guerre. Mais la violence peut aussi se traduire par la seule pensée, peut-être est-ce même là, sa forme la plus grave. Or, chacun aussi sait que la violence ne peut qu’entraîner, qu’engendrer la violence. Et, bien entendu, une telle attitude affecte l’ensemble du comportement humain, soit dans le déroulement de la vie quotidienne, soit dans les contextes exceptionnels.

Par conséquent, de ce qui précède, il pourrait apparaître que nos sociétés ne peuvent donc point être des sociétés  exempte d’agressivité.

Face à un tel constat, il s’avère plus qu’indispensable pour chacun de nous, au plan individuel, d’avoir une prise de conscience, d’une prise de responsabilité. Il en va ainsi car, le destin collectif en dépend.

« Car le destin collectif qui n’est que le reflet de ce qui se passe à l’intérieur de tous les hommes, ce qui nous habite ayant comme conséquences des évènements extérieurs.

Autrement dit, le phénomène « guerre » n’est que la traduction et l’application extérieure des sentiments de violence et d’agressivité intérieurs aux humains ».

« Plus il y aura d’hommes ayant pris conscience de ce processus d’une simplicité extrême, capables d’extirper de leur cœur la haine, la violence et l’agressivité, plus la probabilité de guerre extérieure baissera d’intensité, plus la guerre s ’éloignera.

« Il s’agit là d’une prise de responsabilité et d’un  problème de choix. Les hommes sont les propres artisans de leur destin collectif. Et, si l’acceptation par le plus grand nombre d’un futur conflit engendrera automatiquement la concrétisation de celui-ci. En revanche, le refus de al guerre par la majorité des individus fera se désintégrer ce spectre : la « guerre » en tant que phénomène extérieur ne pourra se matérialiser. »

« Prier pour la paix, n’est -ce - pas refuser la guerre ? Encore faut-il que cette prière ne soit pas motivée par la peur » (Daniel REJU), mais par une prise 

de conscience, par un souci d’effacer le bellicisme intérieur. C’est la clé pour l’avoir cette paix !

Cependant, paradoxalement, les contradicteurs, vous diriez peut-être : pourquoi prier ?  Pour la Paix ? Prier pour la paix ? Pourquoi ? Parce qu’il y a maintenant plus de XX siècles, nous sommes au XXIè siècles, que ce don de la paix, le plus important, parmi tant d’autres qu’ IL ( IL étant Le CHRIST, le DIEU de JESUS-CHRIST, le FILS de DIEU fait homme) nous a  légués, est encore  à chercher, à trouver, à maintenir, à rétablir ? A ce propos, ouvrons la Bible ; le livre le plus traduit, le plus édité, le plus lu et aussi le plus étudié comme faisant l’objet de beaucoup recherche historique, géographique, archéologique, et donc le plus publié et diffusé en des milliers et des milliers  d’exemplaires dans le monde.  Car la Bible en parlant de la Résurrection du CHRIST [Christ, du grec Christos est la traduction du mot hébreu Mashiah (en français « Messie ») signifie « celui qui a été oint ». Le mot « Christ » a été progressivement joint à celui de « Jésus » pour traduire sa nature de Messie et de Fils de DIEU], et ce, notamment dans l’Evangile (La Bonne Nouvelle) de Jean,  dit que :

 

  « Au soir de ce premier jour de la semaine, les portes étaient fermées par peur ….JESUS vint et se tint au milieu d’eux (Les disciples). IL  leur dit : «La paix soit avec vous ! » Après cette parole, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent remplis de joie en voyant le Seigneur. -  JESUS  leur dit de nouveau :  « La paix soit avec vous ! De même que le Père m’a envoyé, moi aussi, je vous envoie. Soyez en paix ! »….. Et, voilà que de nouveau, huit jours plus tard, les disciples étaient à l’intérieur et Thomas avec eux. Alors que les portes étaient fermées, JESUS vint et se tint au milieu. IL  dit : « Soyez en paix ». Ensuite,  IL dit à Thomas : « Mets tes mains, avance ta main et mets-la dans mon côté. Cesse de nier, et  crois ! » (Evangile de Jean, chapitre 20, versets19 à 27).

En outre, pour ce qui concerne  son commandement : « Allez dans le monde entier, portez la Bonne Nouvelle à toute la création. » (Evangile de Marc 16, verset 15), les disciples n’ont point eu comme mission d’aller seulement dans « certaines régions du monde  » !  Mais bien : « dans le monde entier ».

L’envoi a été si bien suivi qu’il a donné  naissance à l’Eglise dite aussi l’Assemblée des Chrétiens, en un mot, le christianisme : ensemble des confessions fondées sur la personne et l’enseignement évangélique de JESUS–CHRIST ; c’est-à-dire les confessions de tradition catholiques, protestantes et orthodoxes. Nous pourrons même dire  qu’il s’agit là de la plus grande organisation internationale  du monde qui a su bravé le temps, les siècles ! Nous sommes au XXI siècle ! Qui plus est ladite « organisation » a touché non seulement le cœur des pauvres, « les petites gens » (Les  premiers disciples  étaient des pêcheurs) mais aussi des grands de ce monde, des savants, ce sont  ceux que l’on appelle notamment des grands maîtres du christianisme. Il s’agit par exemple de Saint Augustin d’Hippone (354- 430), Saint Thomas d’Aquin (1225-1274), Martin Luther ( 1483-1546), Jean Calvin ( 1509- 1564), Saint Jean de la Croix, Blaise Pascal ( 1623 - 1662), pour ne citer que ceux-là…

Et, à l’époque du CHRIST comme à l’époque contemporaine,  force est de constater que le message évangélique continue à toujours déranger ; qu’il provoque encore non seulement des contestations mais aussi et ce qui est pire, des persécutions,  jusqu’ à en faire des  « martyres » sur tous les Cinq continents  ! A ce sujet, déjà de son vivant, le CHRIST, LE VERBE fait chair, pendant ses trois petites années de vie publique a dérangé. Le message de JESUS- CHRIST a dérangé, bousculé les idées reçues , notamment chez le Sanhédrin. Ce qui a entraîné sa condamnation à mort. IL le savait. Aussi, dès le commencement, a-t-IL déjà préparé,  prévenu ses disciples en leur disant : « Le disciple n’est pas plus que le maître, ni le serviteur plus que son Seigneur » (Evangile de Matthieu 10, versets 24 à 33).

Mais, IL les a aussi rassurés ses disciples, après Sa Résurrection : « Ne craignez pas….Voici que JE SUIS avec vous tous les jours jusqu’à la fin des temps. » (Evangile de Matthieu 28, versets 10 à 20). Certes, le combat pour la paix n’est alors pas chose aisée. Mais, c’est donc pour cette raison  qu’IL EST avec ses disciples jusqu’à la fin des temps. 

Aussi, est-ce avec la force de leur foi dérangeante, par exemple:

-  que le pasteur Martin Luther King (39 ans) fut assassiné  le 4 avril 1968. Cette année 2008 commémore, les 40 ans de cet événement. Ce Pasteur noir américain reçoit le prix Nobel de la paix pour son combat contre le racisme et la non-violence aux Etats-Unis, le 10 décembre 1964 à Oslo.

- Il en est de même du cas du Pape Jean-Paul II. Celui-ci a échappé à plus d’une tentative d’assassinat. La dernière datant du 13 mai 1981 perpétrée par un jeune « étudiant » turc de 23 ans, Mehmet Ali Agca. D’innombrables télégrammes furent adressés au Vatican, et, le mouvement « Pax Christi » lance un appel à tous « les hommes de bonne volonté à se recueillir quelle que soit la foi, car l’attentat perpétré et dirigé contre le Pape Jean-Paul II est dirigé contre la paix, la justice, les droits de l’homme et la liberté… ».

Particulièrement, à propos de Jean Paul II, il lui est attribué une caractéristique qui est en adéquation avec ce qu’il en a tiré de ses expériences personnelles, spirituelles tant en Pologne durant ses études que sa vie pastorale : «  un pape de combats ». A son sujet, il est décrit ainsi :  

« Le 16 octobre 1978, c’est un quasi-inconnu qui accède au Pontificat. Qui aurait su, à l’époque, que le choix de l’homme en blanc venu de l’Est allait être aussi capital pour l’Eglise et pour le monde ? Forcément, ce pape de combats a alimenté la controverse. Si ce champion des droits de l’homme est salué pour avoir fait tomber le colosse soviétique, sa ligne très conservatrice sur les questions de famille et de morale a rencontré beaucoup d’hostilité ».

« …avoir fait tomber le colosse soviétique ». Ce n’est pas le fait du hasard. En effet, il a fait sien l’une des dernières Paroles du CHRIST sur la Croix : « Femme, voici ton fils. Ensuite, IL dit au disciple : « Voici ta mère. Et à partir de ce moment le disciple la reçut chez lui. » (Evangile de Jean 19, versets 26 -27). Orphelin de mère dans sa petite enfance, son éducation chrétienne catholique lui a fait diriger naturellement le cœur sous la protection de la Sainte Mère de DIEU. Et cela,  encore davantage, en tant que vicaire du CHRIST, successeur de Pierre : «  Et moi, je te dis (Jésus s'adresse à l'apôtre Pierre) que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église, et que les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle. Je te donnerai les clefs du royaume des cieux : ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux, et ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux. » ( Evangile de Matthieu 16, 18-19).

En effet, c’est en  décryptant  le « Troisième secret de Fatima », ce « fameux message » qui a fait couler beaucoup d’encre,  que le tournant de l’histoire de l’humanité peut être appréhendé.

En 1917, en pleine guerre mondiale, et non en temps de paix donc, trois enfants font paître comme à l’accoutumée  leur troupeau de brebis. Ce jour –là ce fut  au lieu dit Cova da Iria, la Combe d’Irène, sorte de vallon dans les collines entourant Fàtima, une petite ville portugaise. Les trois jeunes bergers,  Jacint Marto et son frère Francisco, respectivement âgés de neuf et huit ans, et leur cousine Lucia dos Santos, dix ans, qui dirige le groupe, n’ont jamais fréquenté l’école. En revanche, ils possèdent une formation chrétienne. Dans la journée, tout en gardant leurs brebis au pacage, il n’est pas rare qu’ils égrènent  leur chapelet. C’est ainsi que  ce 13 mai 1917, après s’être rendus à la messe de bon matin où le prêtre Marquès Ferreira s’est gardé d’oublier les instructions du pape Benoît XV, à savoir une intercession particulière auprès de MARIE, ajoutée aux litanies de la Vierge : « Reine de la Paix, priez pour nous ! ».

Une fois l’office terminé, les trois jeunes cousins avec leur troupeau rassemblé se sont dirigés vers le hameau de Gouveia. Cependant, en cours de route, Lucia prise d’une impulsion subite s’est engagé à faire demi-tour pour gagner la Cova da Iria, où son propre père possédait un petit champ. C’est à cet endroit, où une fois le repas achevé, ils s’agenouillent pour réciter leur chapelet, comme dans leurs habitudes. Quand, à  midi, une lumière à la fois puissante, éclatante et silencieuse survint, puis vint une atmosphère accompagnée d’un « éclair » à laquelle ils songèrent à la possibilité d’un orage. Aussi, se hâtèrent-ils de rassembler leurs bêtes pour se mettre à l’abri à Ajustrel. 

Un deuxième « éclair » mit leur cœur affolé avant de reprendre leur fuite en avant…. 

Quand soudain, sur un arbuste, « une jeune fille qui semblait elle-même, modelée de lumière, façonnée dans la lumière, les retient,  tous les trois, apeurés,  dans un geste au moment où ces derniers ébauchent un mouvement de recul. « N’ayez aucune crainte »…

« Je ne vous ferai aucun mal »…. Lucia, la jeune bergère s’enhardit et la questionne : « D’où venez-vous Madame ? ». « Je suis du Ciel » lui est-il répondu tout en désignant l’azur infini. « Que veut de nous Votre Grâce ? ». «  Je viens pour vous demander de vous trouver ici, six fois de suite, à cette même heure, le 13 de chaque mois. En octobre, je vous dirai qui je suis et ce que je veux. »….« Voulez-vous offrir à DIEU pour faire des sacrifices et accepter volontiers toutes les souffrances qu’IL voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés qui offense Sa Divine Majesté ? Voulez-vous souffrir pour obtenir la conversion des pécheurs, pour réparer les blasphèmes, ainsi que toutes les souffrances faites au Cœur Immaculé de MARIE ? ».

« Oui, nous le voulons », répond Lucia.

« Vous allez donc avoir beaucoup à souffrir, mais la grâce de DIEU vous assistera et vous soutiendra toujours. » - La «  Dame » tend alors ses mains vers les enfants qui tombent à genoux en invoquant DIEU. La jeune Lucia rassemble son courage et pose la question qui lui brûle le cœur : « Pourriez-vous me dire si la guerre finira bientôt ? » « Je ne puis te le dire encore, tant que je ne t’ai pas dit aussi ce que je veux » ». Et la « Dame de Lumière » disparut vers l’Orient.

« A cette même date du 13 mai 1917, en des endroits forts éloignés du globe, deux évènements qui, par la suite, revêtiraient une signification d’une ampleur toute particulière, se déroulaient simultanément. En effet :

« En Russie, pour la première fois, depuis le début de la révolution, les Bolcheviks attaquaient et pillaient une église. » Plus tard, nous verrons la place occupée par la Russie dans les révélations faites par la « Dame » à Fàtima.

« Au Vatican, dans la chapelle Sixtine, à l’heure même de l’apparition à la Cova da Iria, se déroulait une cérémonie solennelle accompagnée du faste et des pompes habituels à l’église de ce temps. – Celle-ci était présidée par le pape Benoît XV en personne, qui le 5 mai, avait ajouté, in fine des litanies de la Vierge l’expression « Reine de la Paix ». Cette célébration avait pour objet la consécration à la dignité d’archevêque de Monseigneur Eugenio Pacelli, qui, en 1939, deviendra Pie XII, 106è pape de la prophétie de Malachie avec pour devise « Pastor Angelicus », le « Pasteur angélique – Cette « coïncidence ». n’échappera pas au futur Souverain Pontife. Et, il ne l’oubliera pas non plus, déclarant le 4 juin 1951, soit trente-quatre ans plus tard, lors de l’inauguration de l’église Sauint-Eugène à Rome : « …Cette date, grande, formidable dans notre vie, et peut-être dans les secrets desseins de la Providence sans que nous puissions les pressentir, en préparait une autre plus formidable encore, celle où le Seigneur ferait peser sur Nos épaules la sollicitude de l’Eglise universelle. Cependant, à la même heure, sur la montagne de Fàtima, se produisait la première apparition de la Blanche Reine du Très Saint Rosaire, comme si la Mère de Miséricorde avait voulu nous signifier que, dans les temps orageux qui accompagneraient Notre Pontificat, au milieu d’une des grandes crises de l’Histoire mondiale, nous aurions toujours pour Nous envelopper, Nous protéger, nous guider, l’ assistance maternelle et vigilante de la grande Victorieuse de toutes les batailles de DIEU »…..

 « ….En quelques années, voire en quelques mois  même, le nom d’une obscure petite bourgade allait bientôt  être connu dans tout le Portugal, puis dans l’Europe entière, avant d’être universellement vénéré. Ce que rien n’aurait pu laisser présager.… ».(Daniel Réju)

Jean-Paul II a une vénération particulière pour la Vierge Marie. Il avait CONSACRÉ LA TERRE À MARIE en 1981... afin d'éviter que ne se réalise la troisième guerre mondiale...C'est en mai de cette même année qu'il fut tiré en plein coeur, sur la Place Saint-Pierre-de-Rome,  par Mehmet Ali Agca. Il fut protégé et "sauvé" par " sa " Vierge Marie en ce mois de Mai, mois de Marie.

            La seule enfant survivante des apparitions mariales de Fàtima, devenue  carmélite,  Soeur LUCIA,.elle avait 10 ans en 1917 s’est  s'éteinte à l'âge vénérable de 97 ans, le dimanche le 13 février 2005. C’est sur ses recommandations que  le « Troisième secret » fut gardé « secret  avant 1960», et ce parce que personne ne comprendrait.

Et, c’est le 13 mai 2000,  sous son Pontificat que Jean-Paul II lui-même a fait savoir que le « Troisième secret de Fàtima »  était l'avertissement de la Vierge concernant l'attentat à la vie du prélat.  En 1981 Jean-Paul II a été effectivement victime d'un tireur sur la Place St-Pierre de Rome. Et, miraculeusement il en a survécu.

Jean-Paul II n'a pas fait connaître l'intégralité du Message puisque l'humanité aurait répondu positivement aux conditions exigées par la Vierge Marie en 1917. Tout le monde sait que ce « Troisième secret de Fàtima » a été dévoilé aux deux chefs politiques lors de la guerre de Cuba :  Kennedy et Kroutchov vers 1961.  Ils avaient reçu le contenu pour éviter l'affrontement fatal dont nous aurions été victimes . Par conséquent, ce n'était certainement pas, alors, une question aussi limitée à un attentat contre le Pape !

            Nous sommes convaincus que le Pape Jean-Paul II n'a pas fait connaître au public la version intégrale puisque selon les informations qui ont "filtrées" du Vatican, celles-ci  parlaient toutes d'événements "apocalyptique" qui devaient se dérouler dans la « seconde moitié du XXè siècle ». Etant donné que  nous avons déjà, et de toutes évidences traversé cette période de temps, le Pape Jean-Paul II, avec la complicité de Lucia, a décidé de ne faire connaître au monde entier, que l’événement le concernant ; c’est ce qui s’est seulement produit.

            En outre, il convient de savoir que toute prophétie est toujours un avertissement. Seulement SI nous obéissons aux règles qui nous sont rappelées par la prophétie, nous n'aurons jamais a subir le châtiments annoncé. Ici, ce serait ce qui s'est produit. Et, c’est tant mieux.

            En tout cas, le « Deuxième secret » enseigne comment sauver les âmes de l’enfer et comment obtenir la paix. Cette dernière partie concerne la Russie.  La «Dame » a dit :  « Vous avez vu l’enfer où vont les âmes des pauvres pécheurs. Pour les sauver, DIEU veut établir dans le monde la dévotion à mon cœur Immaculé. Si l’on fait ce que je vais vous dire, beaucoup d’âmes seront sauvées et on aura la paix. La guerre va finir. Mais, si l’on ne cesse d’offenser DIEU, sous le Pontificat de Pie XI, on commencera une autre pire encore. Lorsque vous verrez une nuit illuminée par une lumière inconnue, sachez que c’est le grand signe que DIEU vous donne, qu’IL va punir le monde de ses crimes par le moyen de la guerre, de la faim et des persécutions de l’Eglise et le Saint -Père. Pour empêcher cette guerre, je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et à la communion réparatrice des premiers samedis. Si on accepte mes demandes, la Russie se convertira et on aura la paix. Sinon, elle répandra ses erreurs à travers le monde, provoquant des guerres et des persécutions contre l’Eglise. Les bons seront martyrisés, le Saint-Père aura beaucoup à souffrir, diverses nations seront détruites. A la fin, mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint - Père me consacrera la Russie, qui se convertira, et il sera concédé au monde un certain temps de paix ».

Parmi ses combats, partout dans le monde Jean-Paul II a tenté de réunir les Églises Chrétiennes d'Orient et d'Occident puis toutes les autres confessions, en un seul peuple pour que celui-ci soit spirituellement UN, le Corps mystique du Christ. Cependant,  ni ses prédécesseurs, ni lui-même n’ont jamais rendu public  intégralement le « troisième secret ». Ils ont juste livré l’essentiel dans leurs appels incessants à la prière, leur mise en garde contre les méfaits de la guerre. Et, pour Jean Paul II, dans son infatigable volonté de rassembler les hommes, il fait prendre conscience tous les hommes autour du mot d’ordre : « PAIX » .

 

Le pape Jean Paul II est  décédé en 2005, c’est-à-dire  la même année que celle du décès de la dernière survivante des apparitions mariales de Fàtima. C’est  le  samedi 2 avril  2005 au soir, dans la cité du Vatican à l'âge de 84 ans que Jean –Paul II s’est éteint au terme d'une longue agonie, a annoncé son porte-parole, Joaquin Navarro Valls, dans une déclaration.  « Un million de personnes et une foule de dirigeants venus du monde entier assistaient vendredi 8 avril place Saint-Pierre et dans les rues de Rome à des obsèques grandioses célébrées pour le pape Jean Paul II, avant son inhumation dans la crypte de la basilique.  Elles ont été brièvement interrompues par une partie de la foule massée place Saint-Pierre, qui a réclamé la canonisation immédiate du pape » . (Journal Le Monde du 8 avril 2005).

Face à tout ce qui précède, la question se re-pose encore de savoir pourquoi ce don divin de la paix et les combats que l’on  mène pour la trouver ne produisent pas encore des résultats  définitifs ?

La question est d’ailleurs encore plus compliquée à résoudre face à la déclaration de JESUS Lui-même qui affirme être venu apporter la division sur la terre (Evangile de Luc 12, versets 49 à 57). Dans son homélie du dimanche  19 août 2007, proposée par le père Raniero CANTALAMESSA, prédicateur de la Maison pontificale à Rome, celui-ci commente bien que ce passage  de l’Evangile contient quelques unes des paroles les plus provocatrices jamais prononcées par JESUS :

« Pensez-vous que je sois venu mettre la paix dans le monde ? Non, je vous le dis, mais plutôt la division. Car désormais cinq personnes de la même famille seront divisées : trois contre deux et deux contre trois ils se diviseront : le père contre le fils et le fils contre le père, la mère contre la fille et la fille contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère. »

 

« Et penser que Celui qui prononce ces paroles est la personne même dont la naissance fut saluée par les paroles : « Paix sur la terre aux hommes », et qu’au cours de sa vie IL a proclamé : « Heureux  les artisans de paix » ; CELUI -là même qui au moment de son arrestation somma Pierre de remettre son épée dans son fourreau (Cf. Matthieu 26, 52) ! Comment expliquer cette contradiction ?

 

         « C’est très simple. Il s’agit de voir quelles sont la paix et l’unité que Jésus est venu  apporter et quelles sont la paix et l’unité qu’ IL est venu enlever. IL est venu apporter la paix et l’unité  dans le  bien, celles qui conduisent à la vie éternelle, et IL  est venu enlever la fausse paix et la fausse unité, celles qui ne servent qu’à endormir les consciences et conduire à la perte.

 

          « Jésus n’est pas venu précisément pour apporter la division et la guerre mais sa venue entraîne inévitablement la division et l’opposition, car IL place les personnes face à leur décision. Et  face à la nécessité de prendre une décision, on sait que la liberté humaine réagit de manières diverses et variées. Sa parole et sa personne feront surgir ce qui est  caché  au  plus profond du cœur humain. Le vieux Siméon l’avait prédit en prenant l’enfant Jésus dans ses bras : « Vois, ton fils qui est là provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. IL sera un signe de division… Ainsi seront dévoilées les pensées secrètes d’un grand nombre » (Lc 2,34-35).

 

« Ce sera précisément LUI la première victime de cette contradiction, le premier à souffrir de l’ « épée » qu’ IL  est venu apporter sur la terre et à perdre la vie dans ce conflit. Après LUI, la personne la plus directement impliquée dans ce drame est Marie sa mère, à laquelle Siméon dira d’ailleurs à cette occasion : « Et toi-même, ton coeur sera transpercé par une épée ».

 

« Jésus lui-même distingue les deux types de paix. Il dit aux apôtres : « C’est  la paix que je vous laisse, c’est ma paix que je vous donne ; ce n’est pas à la manière du monde que je vous la donne. Ne soyez donc pas bouleversés et effrayés » (Jn 14,27). Après avoir détruit,  par sa mort, la fausse paix et la solidarité du genre humain dans le mal et dans le péché, IL  inaugure une paix et une unité nouvelles, fruits de l’Esprit. Voilà la paix qu’il offre  aux  apôtres le soir de Pâques en disant : « La paix soit avec vous ! ».

 

« Jésus affirme que cette « division » peut se produire également au sein de la famille : entre père et fils, mère et fille, frère et sœur, belle-fille et belle-mère. Et nous savons malheureusement que ceci est parfois vrai et douloureux. La personne qui a découvert le Seigneur et souhaite se mettre sérieusement à sa suite, se retrouve souvent dans la situation de devoir choisir : contenter sa famille et négliger Dieu et la pratique religieuse ou choisir la pratique religieuse et s’opposer à sa famille qui lui reprochera chaque minute consacrée à DIEU et aux actes de dévotion.

 

« Mais le conflit peut être encore plus profond, au sein de la personne elle-même, et se présente comme un combat entre la chair et l’esprit, entre l’appel de l’égoïsme et des sens et celui de la conscience. La division et le conflit naissent en nous. Paul l’illustre avec éloquence : « Car les tendances de la chair s’opposent à l’esprit, et les tendances de l’esprit s’opposent à la chair. En effet, il y a là un affrontement qui vous empêche de faire ce que vous voudriez » (Ga 5,17).

 

« L’homme est attaché à sa petite paix et sa tranquillité, même si elles sont précaires et illusoires, et cette image de Jésus qui vient semer le trouble risque de le contrarier et de lui faire considérer le Christ comme un ennemi de sa tranquillité. Il faut essayer de surmonter cette impression et comprendre que cela aussi est une preuve d’amour de la part de Jésus, peut-être l’amour le plus pur et le plus authentique. »

Le Père Dominique PIRE, quant à lui, c'est son travail en faveur des réfugiés après la seconde guerre mondiale qui lui a valu le Prix Nobel de la paix le 10 novembre 1958.

« Lors de la remise officielle du célèbre Prix, à Oslo, M. Gunnar Jahn, président du Comité Nobel, précise, dans son discours, que le prix ne couronne pas tant le nombre de réfugiés que Dominique Pire a sauvés que l'esprit qui a animé son travail en faveur des laissés-pour-compte.

" Le travail du P. Pire en faveur des réfugiés est une action entreprise pour guérir les blessures de la guerre. Mais il voit plus loin. Comme il l'a dit lui-même, le but c'est d'édifier un pont de lumière et d'amour bien au-dessus des vagues de colonialisme et d'opposition de races. Même plus : vouloir, par l'action, favoriser le développement de " l'esprit de fraternité " entre les hommes et les peuples." (Extrait du discours de M. Gunnar Jahn) .

Les règles de la Fondation Nobel stipulent que chaque titulaire du Prix Nobel de la Paix doit, dans l'année qui suit le jour où il a reçu cette distinction, faire une conférence à Oslo. Dominique Pire n'attend pas un an, ni un mois, ni une semaine ! Il fait sa conférence le lendemain de la remise du Prix, dans la grande salle de l'Institut Nobel. Ce soir-là, sa voix se fait plus forte, plus convaincante que jamais. Ce n'est pas une conférence mais le cri d'une conscience, un appel à la fraternité militante :

"Je n'écoute pas les pessimistes qui disent que tous les Prix Nobel de la Paix n'ont jamais empêché les violences. Je crois que le monde progresse spirituellement. Lentement, sans doute, mais il progresse. A peu près à la cadence de trois pas en avant et deux en arrière. L'important c'est de faire le pas supplémentaire, le troisième pas. (...) Ils se trompent ceux qui pensent que je ramène tous les problèmes de la souffrance au drame des Displaced Persons. En aidant quelques réfugiés européens, je vois derrière eux tous les réfugiés d'Europe que je n'aiderai pas, et tous les réfugiés des quatre coins du monde. Derrière ce flot de réfugiés je vois d'innombrables souffrances : les affamés, les sans-abris, les emprisonnés et tant d'autres misères. (...) Si profondes que soient nos différences, elles restent superficielles. Et ce qui nous différencie est infime, comparé à ce que nous avons de semblable. La meilleure façon pour nous de vivre en paix, de nous estimer et de nous aimer est donc de garder l'esprit fixé sur notre dénominateur commun. Celui-ci porte un nom magnifique :  l'Homme."

Alfred Bernhard Nobel, (21 octobre 1833 à Stockholm, Suède - 10 décembre 1896 à San Remo, Italie) est un chimiste, industriel et fabricant d'armes suédois. Inventeur de la dynamite, il possédait l'entreprise d'armement Bofors. Dans son testament, il légua son immense fortune en vue de la création du Prix Nobel. dont le plus imortant est le Prix Nobel de la Paix : est-ce pour se faire pardonner d'avoir inventé la dynamite ? L'élément chimique nobélium fut nommé ainsi en son honneur.

Très ému, il clôture son discours à voix basse :

"La joie que j'éprouve en ce moment n'est pas celle que donne une récompense. Je ne suis pas un vieil amiral qui reçoit la dernière et la plus belle décoration de sa vie. C'est une joie sérieuse, une joie de l'âme, celle de l'alpiniste, qui en pleine escalade, entrevoit subitement le sentier qui va le mener plus haut. Le Prix Nobel de la Paix n'est pas une fin de carrière, mais un commencement. Il me donne une responsabilité immense. Chers amis, aidez-moi, prolongez-moi ! Elargissez le chemin de la compréhension fraternelle ! Ensemble, nous adoucirons la peine des hommes... "

Et de fait, depuis le Prix Nobel de la Paix, Dominique Pire n'a de cesse d'amplifier son action. Il s'attelle à la construction de ce qu'il appelle le "Monde du coeur", un monde humain et fraternel. »

Le père Dominique Pire meurt, en janvier 1969, des complications d'une opération chirurgicale à l’âge de 59 ans Les quatre associations qu’il a fondées poursuivent actuellement, chacune dans leur domaine respectif, son oeuvre pour la paix et la solidarité.

Pour illustrer cette soif de vivre la paix et la solidarité entre les peuples, il convient pour terminer de parler du « Jubilé du Pèlerinage Militaire International 1958 – 2008 – le 50ème PMI qui s’est déroulé à Lourdes du 22 au 25 mai 2008. Ce pèlerinage a réuni 40 nations dont 25 000 militaires venant donc du monde entier. Le thème sur la paix fut l’objet de cette 50ème édition, une  année jubilaire qui  s’inscrit aussi dans la démarche également jubilaire du sanctuaire de Lourdes ; c’est-à-dire dans le cadre des 150ème anniversaire des apparitions de la Vierge MARIE à Bernadette Soubirous à la grotte de Masabielle.

Et, il a été souligné notamment à cette occasion par l’Archevêque de Vienne, le Cardinal Christoph SCHOENBORN, lors de son interview par Radio Notre-Dame, que la religion est un vecteur de réconciliation. La religion du Livre n’est pas une religion de la haine. Le dialogue inter-religieux est possible, pour preuve, la célébration qui s’est déroulée en faisant prier ensemble tous les Leaders religieux à Assises. Parmi les réponses possibles pour la paix, dont la religion est signe d’espérance, l’Archevêque a fait remarquer en substance que la démocratie  selon la conception occidentale peut être apportée dans des pays de  cultures différentes. Cependant, il ne faut  pas y aller trop rapidement. Une longue préparation s’avère indispensable. Il en va ainsi d’autant que l’objectif humain des chrétiens est d’abattre les idoles. Or, la démocratie peut aussi être un idole. Et, pourtant la démocratie n’est qu’un moyen. En outre, il y a lieu de s’ouvrir à un travail sur le lien entre la foi et la raison pour entrer dans un dialogue. Saint Paul, et plus tard Saint Augustin ainsi que Jean-Paul II n’ont point du tout trouver une opposition entre la foi et la raison. Il faut croire aux forces de l’ESPRIT. DIEU travaille dans ce sens, petit à petit dans le cœur de l’Homme. Lourdes est déjà un lieu de fraternité où il y a un goût de la Pentecôte ! Toutes les langues y sont parlées.

Pour marquer ce prestigieux anniversaire, Mgr Jacques Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes, quant à lui, souligne  les douze missions de l'Eglise auxquelles Lourdes peut apporter sa contribution. Il décide que tour à tour, chacune de ces missions sera mise en valeur par les pèlerinages qui portent déjà traditionnellement cette priorité. Ainsi en est-il de la Paix : "Qui mieux qu'un soldat sait le malheur de la guerre et le prix de la paix ?" justifie Mgr Perrier en confiant le thème de la Paix au 50ème Pèlerinage Militaire International.

Un petit rappel historique s’avère incontournable. Il y a cinquante ans, exactement, à Lourdes, encouragés par des autorités religieuses et militaires, des soldats allemands foulaient le sol français pour la première fois depuis la seconde guerre mondiale. Les ennemis de jadis venaient prier ensemble aux pieds de la Vierge Marie. Ainsi est née la belle histoire du PMI, interrompue seulement en 1968 en raison de l'agitation sociale.

A ce 50ème Pèlerinage Militaire International, de Hautes Personnalités françaises et étrangères  étaient présentes. Il a été  présidé par Son Excellence Monseigneur Patrick LE GAL, évêque aux armées, aidé du Directeur du pèlerinage,  Père Jean-Louis THÉRON, aumônier de l’Ecole militaire. Madagascar y était aussi représenté en la personne du Général de Brigade Hermond RANDRIANANDRASANA, chef délégation et du  Révérend Père RANDRIAMANAMPISOA, Aumônier National.

Seule l’Irlande a été représentée par sa Présidente, Madame Mary Mc ALEESE, Présidente d’Irlande suivie du Général EARLEY, chef d’Etat-major des armées, de S.E. Monseigneur Diormud MARTIN, archevêque de DUBLIN, du Brigadier General Padraic O'CALLAGHAN, Commandant la 4° Brigade Ouest Irlande, de Monseigneur THYNNE, Aumônier en chef des armées et du Rev Alec REID C.Ss.R.

Lors de son interview sur Radio Notre -Dame, la Présidente de l’Irlande du  Nord a tenu a spécifié qu’il a fallu attendre 900 ans pour que l’Irlande soit en paix. Cela nous  a donc pris des siècles a-t-elle dit. Et, ce n’est pas par hasard que nous avons réussi à faire régner la paix. Les véritables héros sont des héros silencieux. Il a fallu beaucoup de bonne volonté, beaucoup de générosité, et, une éducation à la paix. Sur le plan de la responsabilité internationale, il faut que nous travaillions ensemble pour surmonter les préjugés, nos différences, et ce avoir un désir profond de dire la même chose : travailler pour la civilisation de l’amour, faire la promotion de ce qu’il faut faire. La véritable qualité d’un Chef c’est de trouver le vrai chemin, le seul chemin qui est celui d’être frères et sœurs. C’est là les fondements de base à établir. C’est le défi d’aujourd’hui de dire cette même chose. Pour y arriver, il y a lieu d’apprendre à nous respecter et à mieux nous connaître. Car, en définitive, nous partageons des valeurs et cultures  communes ! L’ Irlande du Nord, est un « Atelier de réconciliation ». Nous sommes devenu un pays très riche. Mais, nous devons faire un engagement renouvelé par rapport à la paix. En fait, il faut construire le sentiment d’appartenance.

Ainsi, il a été décerné pour les efforts de Mairead Corrigan et Betty Williams le Prix Nobel de la Paix 1976, et ce  en faveur de la réconciliation en Irlande du Nord.

  Après plus de trente années de guerre civile, la formation d'un gouvernement de coalition est venue parachever le processus de paix, engagée le 10 avril 1998 par "l'accord du Vendredi saint", et censée mettre un terme au conflit opposant depuis 1968 catholiques nationalistes et protestants unionistes. M. John Hume, architecte incontestable du processus de paix en Irlande du Nord ancien dirigeant catholique du parti nationaliste SDLP a reçu le prix Nobel de la paix 1998 avec David Trimble, ancien dirigeant protestant du parti unioniste UUP.

L’Allemagne a été représentée par Monsieur Franz Josef JUNG, Ministre Fédéral de la Défense - et Madame Beate JUNG Général Wolfgang SCHNEIDERHAN, Inspecteur général de l’armée allemande et Madame Elke SCHNEIDERHAN, Son Excellence Monseigneur Dr. Walter MIXA, évêque aux armées. L’Autriche Monsieur Norbert DARABOS, Ministre de la Défense et Madame DARABOS, Monsieur HOLENIA, chef de la Direction Générale I du ministère de la défense, Général d’armée Edmund ENTACHER, chef de l’Etat-major général de défense, Lieutenant General Günther HOEFLER, commandant des Forces Interarmées, Cardinal Christoph SCHOENBORN, Archevêque de Vienne, Son Excellence Monseigneur Dr WERNER, évêque aux armées. La Belgique Monsieur Pieter DE CREM, Ministre de la Défense de Belgique,  Colonel HUYBRECHTS, commandant l’ Ecole Royale de sous-officiers, Son Excellence Monseigneur Arthur LUYSTERMAN, évêque émérite de Gand, Aumônier Johan VAN DEN EECKHOUT, aumônier en chef de l’armée belge. La Bosnie-Herzégovine par Mme Marina PENDES, ministre de la Défense par intérim, Mme B. KRSTO, présidente de la fédération de Bosnie-Herzégovine, M. Dragan VRANKIC, ministre des Finances de la Bosnie-Herzégovine, M. B. COLAK, ministre de la Justice, M. L’abbé Tomo KNEZEVIC, Directeur de l’aumônerie militaire catholique de Bi-H. Le  Burundi par Madame Suzanne BANGURAMBONA, épouse ministre de la Défense, Colonel Jean 

Berkmans NIYONZIMA, directeur Administration et Finances à la Régie de Construction  militaire, Colonel Augustin NSHIMIRIMANA,  attaché de Défense près l’Ambassade du Burundi à Paris et Madame  Gisèle NTIBANGANYIMANA, Père Adelin GACUKUZI, Aumônier Général de la Force de Défense Nationale. Le Canada par Son Excellence Monseigneur Donald THERIAULT, Evêque aux Armées. Le Congo-Brazzaville par le Commissaire colonel Jérémie NGOULOU, le Colonel J. François OKINGA, secrétaire général des Services de Police et Madame OKINGA, l’Aumônier national Anselme BADIABO. La Corée du Sud par le Général de Brigade Hyun Soo LEE, Directeur de l'enseignement COREE, le Général de Brigade Yang Hwa PARK, commandement conjoint américano-coréenne,  S.E. Mgr Ki Heon Pierre LEE, évêque aux armées. La  Côte d'Ivoire par M. AMANY N’GUESSAN, ministre de la défense et Madame Général KASSARATE, commandant supérieur de la Gendarmerie, le Général LOUHESSE, attaché de défense - et Madame le Général Georges GUIAI BI, le  Révérend Père Pierre-Noël NIAVA, aumônier national. La Croatie par M. Ivo SANADER, Premier Ministre, Mme Jadranka KOSOR, vice Premier Ministre , M. Branko VUKELIC, Ministre de la Défense, M. Berislav RONCEVIC, Ministre de l’Intérieur et Madame, le Général de brigade Slaven ZDILAR et Madame Melita ZDILAR, le Général de brigade Drago MATANOVIC et Madame Irma MATANOVIC et S.E. Monseigneur Juraj JEZERINAC, Evêque aux Armées. L’Espagne par le Général F. José de la VEGA, chef d'Etat-major de l'armée de l'air et Madame de la VEGA, le Général Juan Antonio CASTILLO MASETE, commandant du soutien logistique de l’armée de l’air et  Madame CASTILL, et S.E. Monseigneur Angel CORDERO CORDERO, ordinaire du diocèse aux armées. Les  Etats-Unis par le Général de Brigade Russell FRUTIGER, chef d'Etat-major de l'US Army en Europe – et Madame  FRUTIGER et S.E. Mgr Timothy BROGLIO, archevêque aux armées. La France qui a été fortement représentée par Madame Michèle ALLIOT-MARIE, Ministre de l’Intérieur, Monsieur Jean-Marie BOCKEL, Secrétaire d’Etat à la Défense, Monsieur J.François DELAGE, Préfet des Hautes-Pyrénées, Monsieur Jean-Pierre ARTIGANAVE, Maire de Lourdes, le  Général d'armée Jean-Louis GEORGELIN, chef d'Etat-major des armées, le Général d'armée Bruno CUCHE, chef d'Etat-major de l'armée de terre, le Général d'armée aérienne Stéphane ABRIAL, chef d'Etat-major de l'armée de l'air, l’ Amiral Pierre-François FORISSIER, chef d'Etat-major de la Marine, le Général d'armée aérienne LERICHE, Inspecteur général des armées – air, Le Général d’armée GOBILLARD,  Gouverneur des Invalides, Le Général de corps d’armée Gérard FRERE, OGZD Sud-ouest et commandant la RTSO, Le Général de corps d’armée DARY, Gouverneur militaire de Paris, Le Général de corps d’armée FAUGERE, OGZD Nord-est et commandant la RTNE, L’ Ingénieur général de l’armement Pierre BASCARY, Directeur des Essais -  DGA, le Général de division ROUQUIER, commandant la région de gendarmerie Midi- Pyrénées, Le Général de brigade DUQUESNES, commandant la 11ème brigade de Parachutistes. 

La Paix - droit fondamental de tous les hommes et des autres espèces avec lesquelles nous partageons cette planète fragile.

La  Hongrie  par le Dr Agnes VADAI, Secrétaire d’Etat à la Défense, le Général de division Istvan JUHASZ, chef du département des Opérations et de l’entraînement du  Ministère de la défense, le Lieutenant-Colonel Tibor BERTA, Vicaire Général des armées. L’Italie par le Général Rocco PANUNZI, directeur Général du personnel militaire, le Vice-Amiral TALLARICO, le directeur adjoint du personnel militaire et Madame TALLARICO, le Général Valtero POMPONI, le directeur de la gestion de l’Espace aérien, et Madame POMPONI, le Général Nicola RUCCIA, le directeur du Bilan de la Défense et  Madame RUCCIA, le Général de corps d’armée Luigi COLANERI, l’inspecteur du district militaire de l’armée de terre et    Madame COLANERI, le Général Tiziano TOSI, commandant de la logistique de l’armée de l’air et Madame TOSI, le Général Pietro FINOCCHIO, le directeur des télécommunications militaires et Mme FINOCCHIO, le Général Ugo MARCHETTI, l’ inspecteur des Ecoles militaires de la Guarda di Finanza et Madame MARCHETTI, S.E Monseigneur Vincenzo PELVI, évêque aux armées italiennesL La Lituanie par M. Antanas VALYS, vice-ministre de la défense, Le Lieutenant General Valdas TUTKUS, chef d’Etat-major des Armées, S.E. MGR Eugenius BARTULIS, évêque aux armées.  Le Luxembourg par le Colonel Gaston REINIG Chef d’Etat-major de l’Armée et  Madame REINIG, l’Aumônier général Nicolas WENNER, Aumônier Général de la Force Publique. Les Pays-Bas par le Colonel J. DEL CAMPO, attaché de défense – et Madame DEL CAMPO, le Contre-Amiral BORSBOOM et Madame BORSBOOM, S.E MGR J.M PUNT, évêque aux armées. La Pologne par M. Jacek OLBRYCHT, Directeur général du Ministère de la défense nationale, le  Lt General Ryszard SOROKOSZ, Commandant des Forces Terrestres, S.E MGR Tadeusz PLOSKI, évêque aux armées. Le Portugal  (inscription en attente). La République Tchèque par Le Général Vlastimil PICEK, chef d’Etat-Major des armées et Madame PICEK, l’Aumônier en chef Jan KOZLER, chef de la délégation.

 La Roumanie  (inscription en attente). Le Royaume Uni par  Le General (retired) Charles GUTHRIE, représentant de l’autorité politique de Grande-Bretagne, le Médecin Général XXX, Autorité militaire Grande-Bretagne, Son Excellence Monseigneur BURNS, évêque aux armées. La Slovaquie, par M. Daniel DUCHON, Secrétaire d’Etat à la Défense,  M. Vladimir CECOT, Secrétaire d’Etat à l’Intérieur, le 

Général de brigade Martin BABIAK, chef d’Etat-major Plans de l’Etat major Général,  Son Excellence Monseigneur Františeck RÁBEK, évêque aux armées. La Slovénie par M. Karel ERJAVEC, ministre de la Défense, le Général de Brigade Alan GEDER, chef de la délégation militaire, Monseigneur Joze PLUT, aumônier en chef . La Suisse par le Brigadier Hans Peter WALSER, chef du Personnel de l’armée suisse, M. Peter HANGGI, S.E. Monseigneur Norbert BRUNNER, évêque du Diocèse de Sion, lePère Gilles GACHOUD, chef de la délégation suisse. L’Ukraine par le Colonel Yurii GUSAR, Commandant adjoint Institut militaire, S.E. Monseigneur Mykhaylo KOLTUN, évêque de l’église ukrainienne Gréco-catholique. Le VATICAN par S.E. Monseigneur Francesco MONTERISI, Secrétaire de la Congrégation pour les Evêques, Monseigneur Alain de RAEMY, Aumônier de la Garde Suisse Pontificale, Monseigneur Giulio CERCHIETTI, Directeur du Bureau Central de Coordination des Ordinariats  militaires de la Congrégation des évêques, le Colonel Jean Daniel PITTELOUD, vice-commandant de la Garde Suisse. L’EUFOR par le Lieutenant Général Patrick NASH, Commandant de l'EUFOR (Tchad ). Le KFOR (détachement), par le Général Xavier Bout de MARNHAC, le Commandant de la KFOR (Kosovo), le Colonel URREGG, chef de la délégation de la KFOR, Le Colonel ROMERO, adjoint au chef de la délégation de la KFOR, Le Lieutenant-colonel BEAUSSIER, assistant militaire du COMKFOR, L’Aumônier D. THEPAUT, aumônier en chef de la KFOR.

 

Cette 50ème édition du PMI s'inscrit dans la démarche jubilaire des sanctuaires de Lourdes. Il y a en effet 150 ans, en cette année 2008,  la Vierge Marie apparaissait à Bernadette Soubirous à la grotte de Massabielle. Pour marquer ce prestigieux anniversaire, Mgr Jacques Perrier, évêque de Tarbes et Lourdes, relève les douze missions de l'Eglise auxquelles Lourdes peut apporter sa contribution. Il décide que tour à tour, chacune de ces missions sera mise en valeur par les pèlerinages qui portent déjà traditionnellement cette priorité. Ainsi en est-il de la Paix : "Qui mieux qu'un soldat sait le malheur de la guerre et le prix de la paix ?" justifie Mgr Perrier en confiant le thème de la Paix au 50ème Pèlerinage Militaire International.

 

Mais que dire de Lourdes ?

C’est un lieu marial qui accueille de plus de 500 pèlerinages annuels.  Lourdes voit son destin lié à celui de Bernadette Soubirous. Tout débute le 11 février 1858, à la grotte de Masabielle. Alors que la jeune femme ramasse du bois, elle est irrésistiblement attirée vers cette grotte, mais rien ne se passe. Quelques jours plus tard, toujours habitée par un sentiment intense, elle se rend de nouveau à la grotte et a une apparition. 

Devant elle, l’Immaculée Conception lui délivre un message « Venez boire à la fontaine et vous y laver ». Très vite, les villageois se pressent dans la grotte pour apercevoir la Vierge, mais seule Bernadette entre en communication à 18 reprises. Un soir de mars, alors que 5000 personnes étaient présentes, une amie de Bernadette, blessée, trempe son bras dans l’eau de la grotte. Elle est guérie. L’eau de la source est déclarée miraculeuse…    

En 1862, l’Eglise catholique a authentifié les faits, après enquête. Depuis, les pèlerins du monde se pressent par milliers pour prier et se recueillir. En un siècle, 2500 personnes ont déclaré être soignées après un passage à Lourdes et 67 cas ont été validés par l’Eglise. La ville a, elle, multiplié les lieux de cultes et les infrastructures, afin d’accueillir les nombreux fidèles. Le 15 août, jour de l’Assomption, est traditionnellement, le pic de fréquentation de la saison. 

Une fois de plus, il apparaît que la Mère de DIEU est ici à Lourdes vénérée comme la Reine de la Paix. Elle est le grand exemple de ce que c’est vivre la paix,  et, servir la paix. L’affrontement premier de la religion est le combat du mal qui est en nous – même. JESUS a dit (Cf. plus haut), « Je ne suis  pas venu apporter la paix… ». C’est en parlant de ce combat qui est en nous, combat contre le mal, l’égoïsme, contre la mauvaise passion dont il est question. Il ne s’agit pas de combattre l’autre mais le mal qui est en nous-même. 

Bien souvent, les religions sont instrumentalisées. Or, la fraternité chrétienne doit tendre à la construction identitaire, la communauté d’appartenance. Il faut que les autorités religieuses quelle que soit leur religion proclament urbi et orbi que se battre au nom de DIEU c’est un blasphème. …Et, le Pèlerinage Militaire International est une des opportunités offertes pour assurer que les militaires sont aussi au service de la paix déclare le Cardinal Christoph SCHOENBORN, Archevêque de Vienne. En outre, a-t-il rajouté,  la vertu du pardon à faire passer est source de réconciliation. Pour  preuve,  la réconciliation de la France et de l’Allemagne a été possible après la deuxième guerre mondiale, grâce à la conviction religieuse du Chancelier Konrad Adenauer et du Général Charles de Gaulle.  

Certes, le pardon est un long processus surtout quand la haine est exacerbée comme dans le conflit Israël / Palestine. C’est-à-dire quand les deux parties belligérantes se font beaucoup de mal, le pardon prend du temps. Quoi qu’il en soit, comme le dit Jean-Paul II, seule la Miséricorde divine peut mettre une limite au mal, et, il ne peut  pas y avoir de paix sans justice. 

Le 49ème Pèlerinage militaire international placé sous le thème de la réconciliation, se déroule les 11, 12 et 13 mai 2007 à Lourdes. 
En 2006, 15 000 pèlerins en provenance de 32 pays avaient participé aux messes, veillées de prières, et processions qui ponctuent traditionnellement ces trois journées

Cependant,  la source du mal demeure dans l’esprit d’orgueil qui est l’opposé de l’esprit d’humilité. Le CHRIST JESUS Lui-même a dit à ce sujet : « Le Fils de l'homme n'est pas venu pour se faire servir, mais il est venu pour servir, et donner sa vie comme rançon pour libérer une multitude de gens. » (Evangile de Matthieu 20, .28).

         Le bel enseignement d’humilité qu’IL a laissé est celui qu’IL a donné en exemple avant l’institution de la Sainte Cène. « C’était avant la fête de la Pâque. JESUS savait que son heure était venue et qu’IL devait passer de ce monde au PERE : LUI qui avait aimé les siens qui sont dans le monde, IL voulut les aimer jusqu’au bout… - Ils prenaient ensemble le repas du soir et déjà le diable avait mis dans le cœur de Judas, fils de Simon Iscariote, la décision de le trahir. JESUS, LUI, savait bien que le PERE avait tout mis .entre SES Mains et qu’IL retournait à DIEU comme IL était venu de  DIEU. – Alors, IL se lève de table, retire ses vêtements et passe une serviette dans sa ceinture ; IL verse de l’eau dans une cuvette et commence à laver les pieds des disciples. Ensuite, IL les essuie avec la serviette qu’IL a dans la ceinture….Après leur avoir lavé les pieds,  JESUS remet ses vêtements et reprend sa place à table. Alors IL leur dit : « Comprenez-vous ce que JE viens de faire avec vous ? Vous m’appelez Maître et le SEIGNEUR, et vous dites bien car JE LE SUIS. Donc si MOI, le SEIGNEUR  et le Maître, JE vous ai lavé les pieds, vous aussi vous devez vous laver les pieds les uns aux autres. C’est un exemple que JE vous ai donné, et vous ferez comme JE l’ai fait . – En vérité, en vérité, JE vous le dis : le serviteur n’est pas au-dessus de celui qui l’envoie. Si maintenant vous savez ces choses, heureux êtes-vous si vous les mettez en pratique ! »   (Evangile de Jan 13, versets 1 à 17).

 

                                           Fafah Ratovonony de VSG - LaComm'

 

Discours du Pape Benoît XVI sur la Paix 01 janvier 2007  >>

 

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