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Editos de aout 2009 ... (4)
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- « Pour que l'Afrique vive mieux... » 908265 21/08/2008 (Père Lucien Heitz- Communication des Spiritains ) - « Tsara an, matsiro, ...mampite-hinana !... » 908264-0779 15/08/2009 ( Stéphanie de AuZoma.com ) - « Vacances en Gironde... Dégustations, Visites, Promenades !... » 908263-0796 09/08/2009 ( Baby de Bordeaux ) - « Protéger l'écosysteme malgache !!!... » 908262 03/08/2009 (Raymond Rakotomamonjy d'Ambohimanarina ) |
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constituent une grave entrave au développement des pays pauvres.
Que l’éducation est la condition de fonctionnement de la démocratie, de la prévention de la corruption, de l’exercice de tous les droits et de la maîtrise de l’économie.
Impossible, pour nous spiritains, de ne pas joindre nos voix à celles du CCFD (pp. 8-9) et d’autres associations et ONG soucieuses des droits de tout homme. Pour dénoncer corruption et corrupteurs et tout ce qui empêche le développement humain de l’Afrique. Et soutenir les aspirations légitimes à un mieux-vivre de millions de personnes. « Nous ne pouvons pas construire l’avenir sans entendre la voix des plus pauvres qui souffrent le plus de la crise dont ils ne sont pas responsables », a demandé Benoît XVI aux pays du G 20. suite Klikeo eto >> Père Lucien Heitz- Communication des Spiritains Commande des calendriers Vivre… 2010
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De même , dans les restaurants malgaches populaires , le plat servi sera probablement assez clair et la viande qui rentre dans sa composition certainement de qualité inférieure et en très petite quantité, la viande étant pour le malgache moyen un grand luxe. suite Klikeo eto >>
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Espagne. Baby Rabefaniraka de Bordeaux 908263-0796 09/08/2009
... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Baby a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance ! |
les activités socio- économiques du pays a beaucoup augmenté.
Les
moyens mis en œuvre depuis plusieurs années : Certes, le pays a pris conscience de ces dangers et a mis
A partir de l’année 1990, un Programme National d'Action
Environnementale, tenant compte de la diversité biologique (terrestre
et marine), a été mis en application. Ce
plan d’actions va prendre fin au
mois de décembre 2009. Les éléments essentiels de ce Programme sont exécutés par l’Office National pour l’Environnement. Les Aires Protégées sont sous la responsabilité de l’Association Nationale pour la Gestion des Aires Protégées et des autres institutions d’appui comme la Direction Générale des Eaux et Forêts. Ces différentes institutions sont sous la supervision du Ministère de l’Environnement.
Elles font l'objet d'une protection stricte comme les RNI avec toutefois
un certain assouplissement sur les règles de circulation des visiteurs.
NICOLL et LANGRANDI ont signalé qu'en 1989, les Aires Protégées
couvraient une superficie de 1.045.865 ha équivalant à 1,8% du
territoire national. Actuellement,
Les résultats
Madagascar compte 40 Aires Protégées (AP) réparties selon la
classification suivante (juin 1997) :
Ces Aires Protégées couvrent une superficie totale de 1.390.284 ha. La
création de quatre nouveaux Parcs Nationaux (Midongy, Zombitse-Vohibasia,
Kirindy et Baie de Baly) a reçu l'approbation du Conseil Supérieur de la
Protection de la Nature (CSPN). Leurs textes de création respectifs sont
en instance de promulgation, ce qui portera à quarante quatre (44) le
nombre des Aires Protégées de Madagascar couvrant une superficie estimée
à près de 1.754.000 ha.
Il est à souligner qu'il existe également à Madagascar, selon la
classification de l'UNESCO une Réserve de la Biosphère, celle de
Mananara Nord et un Patrimoine Mondial, le Tsingy
de Bemaraha ; toutefois, ces deux sites ont leur statut national, le
premier étant un Parc National et le second une Réserve Naturelle Intégrale.
Source:
Tableau de Bord environnemental (TBE / 1994 / ANGAP,
2)-
Pour les autres actions telles que la gestion des produits chimiques (La
Convention de Bâle), la protection des zones humides (la Convention de
Ramsar), la Convention de Kyoto, etc,...chaque Etat du Monde est invité
à s’y conformer. Pour le cas de Madagascar ces conventions sont gérées
par le Ministère de l’environnement avec la collaboration des
ministères techniques. En signant la Convention sur la Diversité
Biologique à Rio de Janeiro en juin 1992 et en procédant à sa
ratification en 1995, Madagascar s'est engagé à assurer la conservation
et l'utilisation durable de sa biodiversité avec la collaboration et la
coopération de la communauté scientifique internationale. 3)
Depuis quelques années, Madagascar s’est engagé officiellement
à fixer comme objectif, à moyen terme, une superficie de 6 millions
d’ha d’Aires Protégées. 4)
La majorité de ces programmes ont été financés au
début par des bailleurs de Fonds internationaux. En ce qui
concerne la mise en application des différentes Conventions, elle est
financée par des fonds internationaux et nationaux.
Insuffisances
du fond
national pour la
protection des ressources naturelles :
Les politiques de préservation des ressources naturelles
impliquent inéluctablement
des dépenses supplémentaires par l’Etat, les sociétés privées
et les ménages.
Depuis plusieurs décennies,
les priorités de l’Etat sont concentrées dans les
objectifs de croissance économique, et en particulier, la réduction
du taux de chômage et des autres
actions qui renforcent les activités économiques.
Certains Etats n’ont
pas pensé à instituer des « fonds spécifiques pour le
renouvellement des stocks des ressources naturelles et les actions
de dépollution de ces ressources
naturelles, en particulier l’air pollué, les eaux usées, les
sols dégradés ».
Les pays en développement, par contre se sont contentés de la présence
des
fonds Internationaux pour
financer les actions de préservations de ces ressources et
ainsi que le développement des outils de suivi de ces ressources.
Proposition des mesures :
Pour les mesures à appliquer, on va
se contenter d’énumérer par ordre de
priorité les mesures que le pays en
développement comme Madagascar doit appliquer.
Les
mesures immédiates :
Compte tenu du niveau de développement du pays, les mesures à
appliquer dans l’immédiat seront :
1)
Le renforcement des actions déjà existantes, et notamment le développement
des Aires Protégées. 2)
Le développement de la politique de sensibilisation pour réduire
les feux de brousse, les tavy. 3)
La mise en place des mesures contre le gaspillage ; 4)
La mise en place des actions de reforestation ; 5)
Le développement des politiques de gestion des déchets qui
viennent des ménages et des autres institutions publiques et notamment
les hôpitaux. 6)
Le développement des systèmes publics d’épuration des eaux usées,
des latrines, etc,... 7)
Le développement d’un système de suivi et d’application de
sanctions.
Les
mesures à moyen terme : 1)
Accentuer le développement des mesures incitatives et notamment
les écotaxes (taxes et redevances environnementales) pour encourager
progressivement les secteurs économiques à ne plus utiliser des produits
toxiques et autres qui nuisent à
la santé humaine et aux
ressources naturelles. Les
avantages financiers qui sont issues de ces écotaxes : 2)
Les avantages de ces mesures économiques dites « écotaxes »
sont essentiellement la possibilité d’autofinancement pour les actions
de renouvellement des ressources naturelles, des actions de dépollutions
et enfin la mise en application des actions qui sont issues des
Conventions Internationales Les
avantages des énergies
nouvelles et renouvelables : 3)
Développer les énergies propres ;
L’exemple actuel du système français dans la préservation de
l’environnement qui est très développé est un modèle à copier.
Cependant on ne doit pas penser que la préservation de
l’environnement peut se faire à partir d’un coup de baguette magique,
puisque les politiques de préservation de l’environnement ne peuvent
pas être efficaces que si elles seront suivies par des changements
radicaux des pratiques industrielles et du transport et en plus de l’amélioration
du pouvoir d’achat des ménages. Un ménage pauvre ne peut pas se
permettre d’utiliser des fours solaires (énergie propre)
La
lutte contre la pollution et la préservation des ressources naturelles
doit commencer dès maintenant. Théoriquement, cette lutte est possible,
mais la mise en pratique de cette lutte nécessite :
- le changement de
comportement de tous les acteurs
économiques et sociaux vers des
politiques « propre » ;
- le changement de
comportement de tous les acteurs
économiques et sociaux vers des politiques « propre » ; Qui dit mise en place des politiques environnementales devra aussi penser à mettre en place des mesures drastiques pro-environnementales dans différents systèmes de production agricoles (cultures raisonnées et bio,..), industrielles et d’utilisation des énergies électriques pour le transport. ... suite Klikeo eto >> Raymond Rakotomamonjy d'Ambohimanarina
... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Raymond a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance ! |
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