Lutte contre le Tourisme sexuel à Madagascar
Pour que la destination Madagascar ne soit plus associée au tourisme sexuel, le ministre du Tourisme a décidé de lancer un programme de lutte ciblé. Un mini-atelier sur la lutte contre les fléaux touristiques (drogue, VIH/sida, maladies sexuellement transmissibles, pédophilie et tourisme sexuel) s’est tenu à Toamasina du 17 au 21 juin derniers afin de sensibiliser les opérateurs et les responsables locaux. Il a été l’occasion pour Roger Mahazoasy le ministre du Tourisme de réaffirmer sa volonté de lutter contre les déviances du tourisme. Afrik : Votre ministère vient de lancer un programme de lutte contre le tourisme sexuel, en quoi consiste-t-il ? Roger Mahazoasy : Le programme concerne surtout la sensibilisation de tous les acteurs touristiques (hôteliers, restaurateurs, transporteurs, autorités locales …) et par extension les communautés villageoises pour la prévention de ce fléau.
Afrik : Quels sont vos moyens de lutte contre le problème ?
Afrik : Pouvez-vous vous permettre d’appliquer une
politique répressive (notamment envers les touristes qui
descendent dans les grands hôtels) alors même que vous tentez
de relancer le tourisme sur l’île ?
Afrik : Quelle est la législation en vigueur concernant le
tourisme sexuel ?
Afrik : Peut-on parler de tourisme sexuel « organisé »
à Madagascar ? Des réseaux ont-ils été mis à jour ?
Afrik : Y-a-t-il des chiffres concernant le tourisme sexuel
sur l’île ? Si votre ministère décide d’affronter le
problème c’est qu’il doit être assez important.
Afrik : Où se concentre le tourisme sexuel sur l’île ?
Afrik : Le tourisme sexuel à Madagascar concernerait les
Occidentaux mais aussi des ressortissants de pays plus proches
comme La Réunion et même des nationaux. Est-ce excat ?
Afrik : Certains évoquent des voyages sexuels organisés
depuis l’Europe vers Madagascar, êtes-vous au courant ?
Afrik : Jusqu’à présent, Madagascar a-t-il lutté
efficacement contre le tourisme sexuel ? |
dans l’île, c’est la pauvreté. Les filles feraient n’importe quoi pour sortir de la misère", explique Jean Tsaboto, auteur pour le ministère du Tourisme, d’une étude sur le tourisme sexuel à Madagascar. "Dans les années 80, la misère était tellement criante ici que les filles ont pris l’habitude de se prostituer pour une savonnette. Aujourd’hui, la prostitution reste essentiellement alimentaire. Les filles se prostituent pour faire vivre la famille", ajoute le commissaire Marc
Girardot, du service français de Coopération policière internationale. Que nenni dit HAZOMANGA !!! Le progrès d'une société a pour auteur son propre peuple car ce sont des hommes et des femmes qui oeuvrent derrière toutes ces organisations. Il appartient donc à chacun de se mobiliser à son échelle, dans son propre entourage, de nouer une chaîne de solidarité car un fardeau lourd devient plus léger à soulever à plusieurs. "NY ENTANA ZARAINA MORA ZAKA" (en malgache) C'est d'ailleurs ce en quoi l'association KINTANA croit profondément, je vous invite à visiter leur site : http://www.kintana-assos.com/catalogue/index.html
Aujourd’hui l’association Kintana aide à la réinsertion des prostituées malgaches. Rejoignez nous!!! .... suite Cliquez-ici
... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Stéphanie a répondu à notre appel pour publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance !
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Reportage & Dossier Cour de Cassation de France & Cour Surprême de Mada Jumelage Klikeo eto >> |