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Les perspectives d'énergies renouvelables à Madagascar

exclusif : le DD a 20 ans … exclusif : le DD a 20 ans …
20 ans d’évolution du développement durable

 

     Le «développement durable», tout le monde en parle, depuis plus de 20 ans.
      Dans un esprit citoyen, education.france5.fr s'engage et propose une centaine de vidéos sur des thèmes liés à l'environnement : climat, énergie, ressources naturelles, déchets, biodiversité.
      En 2007, le moment est venu de résoudre les problèmes et chacun, dans son domaine, peut agir.
 

     TRANSFORMER DE L'EAU SALÉE EN EAU DOUCE 
     L'eau douce devenant une denrée rare, certains pays commencent à dessaler l'eau de mer. Reproduire ce phénomène, c'est ...  
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Les Nouvelles 24/07/2007

Les perspectives d'énergies renouvelables à Madagascar

A cause de la flambée des prix du pétrole sur les marchés internationaux et l'épuisement de l'énergie fossile à terme, tous les pays se tournent vers les énergies renouvelables.

Madagascar n'est pas en reste dans cette nouvelle optique quoique, pour le moment, le bois de chauffe et le charbon de bois (qui figurent parmi les énergies renouvelables) fournissent encore 80 % de l'énergie consommée au pays. Mais avec leur mode d'utilisation actuelle, ils ne seront pas durables et en fin de compte non renouvelables. Quid des autres énergies renouvelables qui intéressent le pays ?

 

Par la disponibilité et la répartition de surfaces pour la plantation de bois, jatropha et canne à sucre, le potentiel éolien au Nord et au Sud, Madagascar est à mesure d'assurer une autonomie énergétique durable.

Le biodiesel et le bioéthanol sont les carburants de substitution les plus répandus sur le marché mondial. Non seulement, ce sont les biocarburants les plus prometteurs à court terme, mais de plus, de par leur nature renouvelable, ils constituent également la solution de choix pour réduire les émissions de CO2 et un moyen de réduire la dépendance vis-à-vis des importations de pétrole et de diversifier l'agriculture en offrant de nouveaux débouchés.

Malgré des avantages désormais reconnus et une technologie toujours plus éprouvée,les biocarburants liquides doivent, aujourd'hui encore, faire face à de nombreuses barrières qui sont autant de freins à leur développement et ne représentent pas plus de 1 % de la consommation de carburants conventionnels à l'échelle mondiale.

Le biodiésel

Le biodiésel peut être produit à partir de toute huile végétale : huile de colza, tournesol, arachide, soja, palme, jatropha… Mais c'est cette dernière qui est la plus prisée car c'est une plante bien connue à Madagascar, capable de se développer sur les terrains marginaux et dans les régions arides.

De plus, c'est une culture facile car c'est une plante non exigeante. Son plus grand avantage est que c'est une plante qui n'entre pas en concurrence avec les cultures vivrières et elle peut être utilisée comme essence de reboisement (en re-végétation des tanety). Le biodiésel peut être aussi utilisé pur ou en mélange.

Comme le biocarburant, le biodiésel présente aussi des avantages et des contraintes.

Avantages du biodiésel :

- réduction des émissions de gaz et de particules (monoxyde de carbone : inférieur ou égal à 50 %).

- meilleure lubrification

- stockage plus sécurisant

- combustion plus complète des chaînes hydrocarbonées

- diminution des importations de pétrole (donc économie de devises)

- possible valorisation des sous-produits (tourteaux)

Contraintes du biodiésel :

- législation non définie (en cours) quant à l'utilisation du biodiésel

- besoins d'investissements importants

- compétitivité incertaine sur le marché.

Opérateurs principaux :

- D1 Oils Madagascar (2005)

- Green Energy Madagascar (2006)

- Madagascar Minerals Fields (2006)

L'arrivée d'autres opérateurs intéressés par la production de biodiésel est déjà prévue cette année.

Production basée sur les plantations actuelles avec 2 raffineries :

- 10.000 ha de jatropha atteignant le rendement de croisière

- 50.000 T de graines

- 15.000 T d'huile brute

- 35.000 T de tourteau pour l'engrais et le biocombustible

- 15.000 T de biodiésel

Perspectives 2010 :

Surface plantée : 100.000 ha

Production : 150.000 T de biodiésel en rendement de croisière

Besoins en gasoil (2005) : 362.000 tonnes

L'éthanol

Madagascar possède des usines de production d'éthanol. Elles ont produit jusqu'ici de l'alcool de bouche et de l'alcool à usage industriel (pharmacie, laboratoire…). Ces sociétés connaissent des difficultés et travaillent au plus bas de leur rythme.

Par contre, la production artisanale d'éthanol a connu une forte augmentation, mais celle-ci est réprimée par la loi.

Investisseurs dans la filière éthanol :

- Jason World Energy : 90.000l/j en phase d'implantation, travaillant à partir de mélasse importée en attendant la production locale.

- GEAR : en phase d'étude

- Complant : reprise des activités de la Sirama.

Comme pour tout produit, l'utilisation de l'éthanol présente des avantages et des contraintes. Dans le cas de la production à partir de la canne à sucre, parmi les contraintes, on peut citer : une législation non définie (en cours) quant à l'utilisation de l'alcool comme biocarburant, les besoins d'investissements sont importants tant sur la culture que sur la transformation, la consommation en carburant est 4 fois plus importante que celle de l'essence conventionnelle, la compétitivité est plus ou moins incertaine sur le marché (voir comparaison des coûts ci-après).

Le coût :

1.737 ariary/litre (Sirama 2006) soit 0,75 € / litre

Prix HTT essence et coût de production des biocarburants € / litre

- Essence Europe brut à 25 $/baril 0,2

- Essence Europe brut à 60 $ /baril 0,4 / 0,45

- Ethanol Europe 0,5

- Ethanol Brésil 0,2

- Ethanol Etats-Unis 0,3

Source : CIVEPE. Janvier 2006-Prix et coûts des différents carburants en août 2005

Par contre, parmi ses avantages, on peut dire que c'est une activité créatrice d'emplois. De plus, elle peut entraîner un développement régional rapide par l'installation des complexes industriels. La production d'éthanol sur place diminuera les importations de produits pétroliers (ce qui entraînera une économie de devises). Autre avantage non négligeable : les sous-produits sont très intéressants (bagasse).

L'éthanol peut être utilisé pur (100 %) ou en mélange selon les spécificités des moteurs.

Biogaz

Le biogaz est le résultat de la dégradation, par des bactéries de matières organiques (fumier animal, matière végétale, déchets d'entreprises, ordures ménagères) enfermées dans une cuve.

Le type de gaz obtenu est le "gaz méthane" composé à 75 % de méthane et à 15 % de CO2, Azote…

Compte tenu de la matière première utilisée, la production de biogaz est surtout propice en milieu rural.

Au niveau de la production, 1 tonne de matières premières (déchets, fumier…) produira 30 à 40 m3 de biogaz (soit 200 kW)) et peut aller jusqu'à 60 m3 .

Ce gaz peut être utilisé en tant que combustible de maison (cuisson, chauffage). Et le compost (produit restant après la formation de gaz) est un très bon fertilisant.

Les principes de production de biogaz sont assez simples : il faut placer les déchets dans une cuve à l'abri de l'oxygène à une température idéale se situant entre 32 et 37 °C (favorable au développement des bactéries). Le gaz se dégage lorsque les déchets pourrissent. Il faudra alors recueillir le gaz obtenu dans un récipient étanche (simple baril).

Avantages du biogaz :

C'est un combustible propre ne produisant pas de fumée. Il préserve également l'environnement (pas de dégagement de méthane dans l'atmosphère, diminution des coupes de bois). Le coût de revient d'installation d'une unité de production est relativement faible.

Coût d'installation (pour une unité) :

- Matières premières (1 tonne) Ar 30.000

- Barils Ar 60.000

- Tuyau, conduite de gaz Ar 80.000

- Valves, matériaux d'obturation Ar 25.000

TOTAL Ar 195.000

Inconvénients du biogaz :

L'utilisation du biogaz présente quand même quelques inconvénients. Tout d'abord, les techniques de méthanisation sont souvent méconnues. De plus, bien souvent, le biogaz est produit loin des lieux de consommation, donc difficile à valoriser. Enfin, l'installation est assez onéreuse pour une famille paysanne.

Énergie éolienne

C'est un principe vieux comme les moulins à vent. Le vent fait tourner les pales qui sont elles-mêmes couplées à un rotor et à une génératrice..

Lorsque le vent est suffisamment fort, les pales tournent et entraînent la génératrice qui produit de l'électricité; à vrai dire, l'éolienne est un dispositif permettant de transformer l'énergie du vent en électricité . C'est le même principe que celui du dynamo de vélo.

Différentes catégories d'éoliennes :

Il existe deux grandes catégories d'éoliennes :

- les éoliennes à petites échelles à usage domestique de faible puissance qui fournissent de l'électricité aux sites isolés pour des besoins individuels.

- Et les éoliennes de grande puissance raccordées aux réseaux nationaux.

Différents types d'éoliennes :

Il existe différents types d'éoliennes :

- les éoliennes à axe vertical et à axe horizontal. Ce dernier semble mieux convenir à la production d'électricité.

- L'éolienne de fabrication artisanale ou le générateur est directement couplé aux pales pour fabriquer un courant continu et alternatif. Ces énergies captées pourraient être stockées dans un parc de batteries ou un autre dispositif de stockage d'énergie.

Le coût de l'éolienne dépend de la consommation et de son utilisation (le nombre d'éclairage utilisé…), du nombre d'heures d'utilisation et du lieu de son implantation.

Avantages de l'énergie éolienne :

L'énergie éolienne est une solution au problème du réchauffement climatique car elle peut participer à la diminution, en partie, de l'utilisation de l'énergie fossile.

C'est une source d'énergie inépuisable à l'échelle de l'homme.

Elle est bénéfique sur le plan environnemental, social et économique : c'est une énergie non polluante, qui protège la biodiversité, réduit les déchets, prévient les catastrophes naturelles. Enfin et surtout, les ressources de la planète ne sont pas surexploitées.

                      Dossier réalisé par : Ranaivo Lala Honoré

grâce aux informations fournies par l'Association Inwent Madagascar (association des anciens stagiaires et boursiers d'Allemagne).


Libération.fr  04/08/2007

Le développement durable a 20 ans
Le 4 août 1987 était présenté à l’ONU un rapport fondateur : «Notre avenir à tous».
Le 4 août 1987, une révolution douce s’amorçait. Il y aura vingt ans jour pour jour demain, le terme de «développement durable» s’officialisait devant l’Assemblée générale des Nations unies par la présentation du rapport du Premier ministre norvégien, madame Gro Harlem Brundtland. Il est certes toujours possible de repérer l’expression dans d’autres documents antérieurs, mais chacun s’accorde à reconnaître le rapport «Notre avenir à tous», dit rapport Brundtland comme le document fondateur du développement durable. L’expression fut vraiment popularisée à partir de juin 1992 à l’occasion du sommet de la Terre à Rio de Janeiro, lui-même conséquence dudit rapport qui en définissait les contours.
C’est donc un anniversaire majeur que nous pouvons célébrer car, si la dénomination «développement durable» reste un peu absconse pour l’opinion publique, elle fait aujourd’hui l’objet d’un large consensus auprès des parties prenantes. Car le développement durable portait en lui les germes d’une transformation profonde : il reconnaissait l’égalité et l’interdépendance des sphères sociale, environnementale et économique, ouvrait nos perspectives sur le long terme et l’intégration des générations futures, et apportait un véritable mode de gouvernance au travers de ses trois piliers, les principes du «pollueur payeur» et ceux de prévention et de précaution.
Même si le terme fait toujours l’objet de critiques et d’une sur­­utilisation par les communicants d’entreprise, force est de reconnaître que ses impératifs furent largement intégrés dans l’entreprise, par éthique peut-être, par conviction sans doute, mais certainement aussi par intérêt bien compris d’un nouveau rapport de forces entre actionnaires, financiers, ONG, société civile et médias, chacun ayant un motif de veiller à la bonne application des principes du développement durable. Nous assistons donc à un curieux paradoxe : au moment où, enfin, le développement durable trouve sa pleine légitimité, l’équilibre dont il est intrinsèquement porteur n’a jamais été autant remis en question. En effet, un de ses apports majeurs était l’acceptation de l’égalité des trois sphères. Or on constate que non seulement la sphère sociale s’effiloche de plus en plus et se réduit au saupoudrage de quelques paramètres d’égalité homme-femme dans les échelons de direction d’entreprise, agrémentés d’un peu de diversité culturelle ; mais qu’en outre la sphère environnementale se réduit elle aussi pour se confondre de plus en plus avec la seule préoccupation de changement climatique.
Loin de nous évidemment l’idée de minimiser celle-ci, mais force est de constater que ce brise-glace médiatique de notre atermoiement, éclaireur de conscience à coup de plaies météorologiques, se retrouve malgré lui le résumé simplifié d’une idée qui posait à l’origine beaucoup plus de questions sur notre système de développement. Et voir quelques entreprises nommer des interlocuteurs «climat» dans des structures de gestion du risque ou dans des directions commerciales sans connexion avec les directions du développement durable, en vertu de reventes potentielles de quotas de carbone, loin d’une bonne nouvelle, apparaît par trop comme une aberration structurelle. Il faut donc sauver l’esprit du développement durable qui, en dépit de son caractère sans doute trop englobant, souvent porteur de confusion, représente aussi la chance de réduire les cloisonnements dans des frontières normatives trop étanches.
Le développement durable n’est pas juste un mode de production économique comme a voulu le faire croire le sommet de Paris en février 2007 baptisé «sommet de la croissance écologique» afin d’éviter le mot de développement durable. Il est une occasion unique de retrouver du sens. Et puisque nous en sommes aux célébrations, nous pourrions relier le 50e anniversaire du traité de Rome au 20e anniversaire du rapport Brundtland et au 10e anniversaire du protocole de Kyoto, tant le développement durable peut représenter pour l’Europe l’incarnation moderne de sa vision mondiale, une troisième voie multipartite, tempérante et raisonnée qui se propose comme modèle entre la foi inébranlable et aveugle dans le progrès de ses alliés américains et l’envie irréfrénable de croissance de ses clients chinois et indiens. Déjà inscrit en substance dans le traité de Maastricht (1992), explicitement affirmé dans les traités d’Amsterdam (1997) et de Nice (2000), la Constitution européenne faisait du développement durable le troisième objectif affiché de l’Union après la paix et la liberté, et c’est sans doute un signe fort de voir travailler de concert les diplomaties britanniques et françaises à faire du protocole de Kyoto une nouvelle donne mondiale. En cette période de relance et de commémoration, il est peut-être temps de prendre prétexte de ce consensus et d’appeler à un acte symbolique fort pour l’Europe : la nomination d’un ministre européen du Développement durable. Que le premier des ministres que pourrait désigner l’Union européenne soit celui du Développement durable, il y aurait là un sujet de cohésion pour l’Europe et une affirmation de sa détermination à affronter ensemble les grands enjeux de demain. Que les 27 puissent parler d’une seule voix lorsque la planète est en question, et notamment pour les négociations qui prépareront le prochain traité sur les gaz à effet de serre, voilà qui serait aussi un beau moyen de nous réconcilier avec l’Europe. 
Thierry Libaert a notamment publié : « Environnement et Entreprises - En finir avec les discours», avec Dominique Bourg et Alain Grandjean, préface de Nicolas Hulot, aux éditions Village Mondial, 2006.
Par Mathieu Baudin, enseignant, chercheur en prospective, et Thierry Libaert, maître de conférences à Sciences-Po.
QUOTIDIEN : vendredi 3 août 2007


http://education.france5.fr/developpement%2Ddurable/

Le «développement durable», tout le monde en parle, depuis plus de 20 ans.
Dans un esprit citoyen, education.france5.fr s'engage et propose une centaine de vidéos sur des thèmes liés à l'environnement : climat, énergie, ressources naturelles, déchets, biodiversité.
En 2007, le moment est venu de résoudre les problèmes et chacun, dans son domaine, peut agir.


Pour un tourisme facteur de diversité culturelle

 et de développement durable...

Edito :"Qu'est-ce le Développement Durable ? une vision de l'avenir ... "

"Nous n'héritons pas la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants" Saint Exupéry

       Le développement durable a 20 ans. Le 4 août 1987 était présenté à l’ONU un rapport fondateur : «Notre avenir à tous». 

       Aujourd’hui, alors qu’on parle beaucoup de développement durable , 58,5% des Francais en ont entendu parler . Seuls 16% d'entre eux savent réellement ce que cela  signifie.  (Sondage Louis Harris, juin 2005)

       Les problèmes environnementaux planétaires comme l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique, les changements climatiques, la diminution de la biodiversité et certaines pratiques d'exploitation forestière nous poussent à apporter des changements dans nos comportements et nos stratégies économiques. Il y a des gestes simples que tout le monde peut faire pour aider la planète.

        L' Historique : Le Développement Durable est une idée ancienne pour un concept nouveau.
         La présentation du rapport de la Commission Mondiale sur l'Environnement et le    

Développement, connu sous le sigle CMED a marqué le début d'une nouvelle étape, nécessaire pour la croissance et le développement du monde entier, ainsi que pour les politiques de l'environnement.

     La Commission BRUNTLAND a été la première commission internationale officielle à adopter la notion du Développement durable, en tant que condition préalable dans la pérennisation des ressources naturelles et du développement.

=> Depuis plusieurs années, autrement avant les années soixante, le monde avait pensé que les ressources naturelles, ainsi que les matières premières nécessaires au développement social et économiques sont intarissables. L'idée d'une forte croissance économique allait envahir les politiques de développement du monde. Ce fut l'ère du gaspillage, de la forte consommation et aussi de la pollution.

  Les ressources naturelles ont été considérées comme des biens gratuits, car elles n'ont pas de valeur économiques. 

=> Parallèlement à ces fortes croissances économiques, un grave problème se pose, certaines ressources naturelles commencent à disparaître ou bien à être rares sur la planète. La pollution commence à s'amplifier et à perturber l'équilibre écologique et même du système climatique, et autres. Beaucoup des activités économiques ont généré de la pollution ou bien à laisser des POPs ( des Polluants Organiques Persistants dans la nature). Ces POPs ont laissé des traces indélébiles dans beaucoup de générations humaines exemple le DDT, laisse des traces dans les seins des mères et des poissons d'eaux douces,. Les appareils modernes dégagent des gaz qui détruisent la couche d'ozone.
=> Les activités économiques ont faits des uns des riches sur la planète, mais ces activités ont perturbé les ressources naturelles et ont laissé des victimes, ce sont les générations futures. Ces activités ont laissé des pollutions graves. Le Développement de ces générations sont mises en causes.
=> Grâce à la prise de conscience de plusieurs organismes, nationaux et internationaux, plusieurs actions ont été mises en place pour faire prendre conscience les entreprises et ainsi que toute la population dans la préservation de nos ressources naturelles et aussi d'éliminer progressivement les pollutions qui sont générées par leurs activités.
=> Madagascar est parmi les nations qui partent pour la préservation des ressources naturelles et de lutter contre la pollution. Grâce au programme environnemental qui est en vigueur depuis 10 ans.  

      Quatrième plus grande île du monde et faisant partie des 17 pays dits "à mégadiversité", qui abritent 80% de la diversité biologique de la planète. ( Fonds pour l'Environnement Mondial, 2003 ), Madagascar est un sanctuaire de la nature...  qu'a-t-on déjà fait et que doit-on encore faire pour préserver son environnement et préserver une nature qui constitue un patrimoine pour l'humanité.      ...lire suite  ... Cliquez-ici  >>

                           Raymond Rakotomamonjy d'Ambohimanarina

... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Raymond  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance !

 

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