"Il pleut sous les jacarandas" édition Amalthée - 152 pages

L'Edito : « Il pleut sous les jacarandas...  »     808197    21/08/2008

      Il s'agit d'un récit de mes aventures à Madagascar. L'auteur, oui, c'est moi, pardon ! 
     Qui suis-je? Je m'appelle Chantal GAUTHIER, née à Paris en 1938, suis devenue selloise en 1960 par mon mariage avec Bernard, 5ème enfant d'une grande famille du Bourgeau.
     Notre seconde fille, Valérie, après un doctorat de médecine en 1991, prononce en 1998 ses vœux perpétuels chez les Franciscaines Missionnaires de Marie (FMM). Elle est envoyée à Madagascar où elle dirige un dispensaire de brousse.
     L'association "NIRINA" a été créée pour venir en aide à elle et à ses sœurs sur le terrain… et ce livre a été écrit dans le double but d'apporter des fonds à l'association et de faire connaître Madagascar sous un jour différent de celui du tourisme.
    C'est pourquoi nous vous encourageons à acheter mon livre et à le lire! MERCI!

   C'est à travers sa fille Valérie, religieuse franciscaine, que l’auteur va faire la connaissance, en 2005, de cette île au nom enchanteur mais aux tristes réalités. Médecin dans un hôpital de brousse, Valérie va initier sa mère aux nombreux problèmes qui se posent au quotidien. Des problèmes auxquels sont confrontés ces êtres, religieux ou civils, qui ont fait de l’abnégation et du dévouement leur credo. Quelques semaines passées à 

misère d’une population et le peu de moyens dont les sœurs disposaient pour y remédier. Soutenus par la famille et les amis, nous avons décidé de créer une association pour les aider et début 2002 NIRINA voyait le jour.     

       Il s’agissait au départ de fournir les médicaments nécessaires au fonctionnement du dispensaire, puis, au fil des mois, nous sommes passés à la vente des produits d’un atelier (broderie-vannerie)tenu également par les Franciscaines et enfin, nous essayons de faire vivre la petite école du village, détruite par deux fois par les cyclones : outre sa reconstruction, nous instaurons un système de parrainage pour la scolarité des élèves les plus pauvres et pensons à la création d’une cantine gratuite pour ceux qui ne rentrent pas chez eux à midi et ne prennent aucun repas
      Comme je me demandais comment nous pourrions subvenir à tous ces besoins, je me suis dit qu’en racontant ma visite je pourrais atteindre deux buts : gagner (peut-être ?) un peu d’argent, et faire connaître la Grande Ile et la vie de ses habitants, dont on parle vraiment peu chez nous : c’est un des pays les plus pauvres du monde, ravagé tous les ans par les cyclones dans l’indifférence générale. La vie au dispensaire m’a permis de voir l’état sanitaire déplorable et la misère de ses habitants, pourtant si attachants, généreux et accueillants. 
      J’aimerais convaincre ceux qui liront ce livre d’aller faire un tour à Madagascar pour y rencontrer des gens qui méritent beaucoup mieux que ce qu’ils vivent. Concernant l'Associaiton NIRINA, voir son site : http://nirina.madagascar.free.fr  ou  Cliquez-ici

                                                          Chantal Gauthier de Selles sur Cher (41)

L'Edito :«EGYPTE: Voyage au pays des pharaons...» 808196    12/08/2008

        Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages mais d'avoir de nouveaux yeux" - M. Proust.

     Comment parler de l’Egypte sans songer à son passé historique, ses pyramides, ses célèbres pharaons parmi lesquels: Ramsès II, grand bâtisseur, pharaon de l’exode si l’on se réfère à la bible et dont une des œuvres majeures est le temple d’Abou Simbel qui sans le concours de nombreux pays bienfaiteurs serait engloutis par les eaux lors de la construction du barrage d’Assouan.

         Toutankhamon révélé par la découverte de sa tombe et du trésor qu’elle contenait par Howard Carter, Hatshepsout, la première reine pharaon dont le temple funéraire domine une falaise thébaine à Der el Bahari, les montagnes de calcaire de la Vallée des rois dont les tombes creusées dans la roche 

renferment des chefs-d’œuvre de peinture décrivant la vie des rois dans l’au-delà et conservés depuis des millénaires avant notre ère.

         Si l’archéologie nous a fait découvrir les merveilles de l’Egypte devant lesquelles on reste sans voix, il faut rappeler que l’histoire de ce pays était conditionnée par le Nil et ces célèbres crues. Hérodote dans ses récits de voyage disait que « l’Egypte est un don du Nil »
       Long de 6700 km, le Nil est le plus long fleuve du Monde, né de la confluence du Nil bleu prenant sa source en Ethiopie, et du Nil blanc originaire du Burundi, le Nil s’étend sur 3% du territoire égyptien, créant une vallée fertile nourrit par le limon déposé par ses crues.
      La vallée du Nil est un oasis verdoyant contrastant avec le désert aride constituant la majeure partir de la superficie de l’Egypte et c’est ce contraste qui a façonné le mode de vie et les croyances de l’Egypte ancienne. C’est ainsi que les Egyptiens attribuaient au Nil un caractère sacré, car il leur apportait la nourriture et la prospérité et Hâpy était le Dieu qui leur octroyait ce présent. Mais si les Egyptiens rendaient hommage à Hâpy, ils vénéraient surtout Amon, le Dieu Soleil, Dieu créateur, divinité suprême qui assurait l’ordre de l’univers, dont le principal temple est à Karnak où il est représenté sous la forme d'un homme portant une couronne à hautes plumes avec un corps bleu.
      Les Egyptiens croyaient qu’Amon disparaissait le soir pour naviguer dans le monde souterrain sur sa barque en or et réapparaissait le matin apportant la lumière et la vie. Et quand vous vous trouvez sur les bords du Nil, que les derniers rayons de soleil caressent les dunes, comme les anciens égyptiens vous chanterez cet hymne d’Akhenaton à son Dieu Suprême .

Quand tu reposes à l’Occident, sous l’horizon,
La terre est dans une ombre, semblable à celle de la mort !
A l’aube, tu resplendis dans l’horizon, tu illumines, toi le soleil ;
Dans le jour, tu chasses le noir lorsque tu donnes tes rayons.
Les deux pays s’éveillent en fête, les hommes se lèvent sur leurs pieds,

L'Edito : « L'Arthrose du genou... »   808195    08/08/2008  

    Diverses études ont montré que l'arthrose touche environ 1 adulte sur 3, sous une forme plus ou moins grave. Le risque d'arthrose augmente avec l'âge et le genou figure parmi les articulations les plus fréquemment concernées par cette affection

    Qu’est-ce que l’arthrose? 
    L’arthrose désigne l’usure des articulations, plus précisément l’altération progressive des cartilages articulaires. 

     Cette affection invalidante provoque douleurs et raideurs. Tôt ou tard, nous sommes appelés à y être confrontés car les articulations s’usent avec le temps. Plus de 80% des personnes de plus de 65 ans souffriraient d’arthrose. Elle apparaîtra de façon plus précoce chez les personnes qui pratiquent un sport (foot, tennis…) intensivement ou exercent une activité professionnelle sollicitant très fort leurs articulations (ouvriers utilisant régulièrement un marteau-piqueur...). 

     C’est l’usure du cartilage qui recouvre les extrémités osseuses au niveau d’une articulation. 
Au genou, l’extrémité inférieure du fémur, l’extrémité supérieure du tibia et la face postérieure de la rotule sont recouverts d’une couche de cartilage. Les mouvements articulaires se font donc par glissement entre elles des surfaces cartilagineuses.

        Les causes de l'arthrose sont variables , le symptôme habituel de l’arthrose est représenté par la douleur. C’est la douleur qui alerte le patient, c’est la douleur qui le conduit chez le médecin, c’est la douleurs qui fait pratiquer des examens et en particulier des radiographies, c’est enfin la douleur qui va guider le traitement.                             ... Le Dossier "Garder La Forme" Cliquez-ici  

                               Richard de Saverne en Alsace

Kanji  Kata

L'Edito : « Heian Sandan, mon Kata préféré... »          808194   05/08/2008

       Dans Heian Sandan les techniques vont du plus simple aux rotations compliquées. L 'adversaire est beaucoup plus proche de vous, c'est donc un bon kata pour vous entraîner au combat rapproché. 

        titre azoko : champion des moins de 75kg - Club BAK (Bondoufle académie karaté). Dia grâce an'io victoire-ko io dia nahazo invitation hi-participer @ championnat du monde de WCKA na Karaté traditionnel any Rome - ITALIE @ mois d'octobre 2008 ary efa manomboka manomana (en préparation) izaho izao. Ary na any Madagascar aza aho dia hanao entrainements ao amin'ny AKKA - Ankorondrano, club niantombohako ny karaté mandra-pialako tany Madagascar.   (Yves Razakandrainy)   

       kanji kata signifie « forme », « modèle », « moule ».

      Les katas sont au cœur même de l'histoire du karaté. Ils sont l'héritage que nous lègue les grands maîtres. Chaque kata a un nom. Des noms comme Bassai, Empi, Jion,ou Sochin leurs ont été donnés à travers les siècles.

considérés comme de grands adeptes ne connaissaient que trois ou au plus cinq kata. La connaissance superficielle de nombreux kata ne sert à rien, il vaut mieux avoir une profondeur, même si la connaissance est étroite.

       J'ai mis dix ans pour apprendre les trois kata de Tekki. Toutefois, il est très important d'avoir une connaissance large des kata car chaque kata a sa particularité. Il n'est pas toujours bon de s'attacher à un seul kata... Pour apprendre des choses, il faut commencer par les faciles et avancer vers les difficiles. 

        Pour le karaté également, il faut apprendre suivant les étapes. Autrefois, les maîtres avaient tendance à apprendre à partir de leur kata préféré. C'est parce qu'ils ne savaient eux-mêmes que trois ou quatre kata et que les matières d'enseignement manquaient. J'ai composé ce livre en attachant la plus grande importance à l'établissement des matières d'enseignement avec mon expérience de plusieurs dizaines d'années... ». Il précise ensuite : « Les kata ne sont pas fondamentalement un objet de savoir mais ce qu'on doit pratiquer après l'avoir connu. Il est donc inutile d'en apprendre trop. Il sera largement suffisant d'apprendre les quinze kata suivants pour l'entraînement. 

         Ce sont les neuf de l'école Shorin : les cinq Heian, Bassai, Kanku, Empi, Gankaku, et les six de l'école Shorei : les trois Tekki, Jitte, Hangetsu, et Jion... ». Par ces textes, nous pouvons comprendre que G. Funakoshi concevait les kata comme matières d'enseignement. C'est pourquoi il a dû élargir le registre de la pratique à quinze kata, bien qu'il ne connaisse lui-même que quatre ou cinq kata. Guima Shinokin (1) témoigne ainsi : 

        « J'étais étudiant à l'université, je n'étais capable de faire publiquement que Naifanchi. Je connaissais les Pinan mais je ne les avais pas suffisamment élaborés. Maître Funakoshi n'avait confiance que dans son Kushanku. Alors, nous avons préalablement décidé que je ferai Naifanchi, et maître Funakoshi Kushanku. Il a plus tard nommé ce kata Kanku et, sans aucun doute, c'était son kata préféré et il le faisait en expert. Maître Funakoshi n'était pas issu de l'école normale, ni des lycées d'Okinawa qui étaient liés directement à l'enseignement de maître Itosu, c'est pourquoi il ne s'était pas suffisamment entraîné aux kata de Pinan... » (« Karaté-do » éd. Sono, 1977). ... suite Cliquez-ici

(1) : Guima Shinkin, âgé aujourd'hui de 88 ans, est originaire d'Okinawa. Il a servi de partenaire à G. Funakoshi, en 1921 au Kodokan, à la demande de J. Kano, qui avait été fortement intéressé par le karaté qui venait d'être présenté en public pour la première fois au Japon cette année-là. S.Guima a reçu le premier diplôme de 1er dan de karaté établi par G. Funakoshi. L'auteur de cet article a, au cours de ces dernières années, reçu de S. Guima des enseignements et des des informations importantes.
                       Extraits de okinawa-te.org , de shotokancrsa.com et de tokitsu.com

Yves Razakandrainy de Boulogne Billancourt (Rz6)

.. Mbola misy ilay maraina

L'Edito : " TSY MISY MAFY TSY LAITRAN’NY ZOTO ..."  *808193  0795    01/08/2008  

"Après un échec, tout n'est pas fini. C'est un cycle qui commence en beauté"                        Baudelaire Charles 

    Voici venu le temps des vacances, nous sommes harassés et fourbus après une dure année scolaire ou universitaire, et nous avons tous besoin de nous évader. Certains partiront l’esprit plein d’allégresse après une année couronnée de succès, tandis que d’autres s’en iront sans doute avec joie mais toutefois entachée d’une certaine mélancolie suite à de mauvais résultats.

    A ceux qui ont réussi leur année, j’adresse mes plus sincères félicitations, à ceux qui ont essuyé un échec, mes encouragements et mon soutien les accompagnent.
      TSY MISY MAFY TSY LAITRAN’NY ZOTO comme disaient nos ancêtres, l’essentiel est de ne pas baisser les bras.
     «  bonnes vacances » à tous ... et visitez ici " THE NEW 7 WONDERS' OF THE WORLD "

       et à bientôt 

   ...Et nous sommes à Edito-7 du 200ème Edito 

                                     ... Le 100 ème Edito Cliquez-ici  

                               Mondy de VSG

... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Mondy  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance !