L'Edito : "Les gladiateurs des temps modernes...   "   10114  27/10/2007

     Le Combat de Coqs dans le Monde... Originaire d'Orient, ce 'sport' (?) fût introduit en Grèce au Vème siècle av JC, puis répandu par les Romains dans tout leur empire. Sport national en Angleterre au XVI ème siècle, il fit ensuite son apparition en Espagne qui l'introduisit dans le nouveau monde. Véritable institution en République Dominicaine, les combats de coq sont ici ce que la corrida est à l'Espagne : une institution. 
    Quelles sont les règles de combats dans les autres pays qui aiment les Coqs de Combats ? Comment les malgaches élèvent-ils leurs champions ? Où allez vous passer vos prochaines vacances pour admirer d'autres traditions dans le Combat de Coqs ? En Asie ? A la Réunion ? à Madagascar?    

    A la Réunion, les coqs sont les gladiateurs des temps modernes. Ils vont au combat sans reculer et luttent jusqu’à l’épuisement. Dans ces arènes de bois et de tôle, les combattants sont l’enjeu de paris parfois faramineux.

   Ainsi qu’il a été décrit plus haut, le combat de coq à Madagascar comme à l’île de la Réunion, l’île voisine constitue un sport très populaire et une pratique courante. Et pour ne citer que quelques exemples de 

gallodromes malgaches, il y en a 4 très bien connus: à Antsofinondry , à Ambatoroka , à Ambilanibe ou à imeritsiatosika .  

    Voici par exemple pour un futur touriste à Madagascar, une information de source sûre décrivant un exemple d’arène ou gallodrome très réputée pour « Combat de coqs » à Ambilanibe (au cœur d’Antananarivo ) 
Il s’agit de la réputation très racontée dans les médias de cet énorme coq de combat que son fier propriétaire a baptisé Goliath. Là, le géant biblique s’est littéralement réincarné en volaille.

   Rappelons, au passage pour les curieux que, les combats de coqs très populaires à Madagascar animent souvent les week end. La discipline a développé ses règles. En plus des arènes ou gallodromes bien aménagés et leurs tribunes, des arbitres veillent à ce que les combats se déroulent selon des règles précises. Les arbitres soupèsent les volailles et jugent les combattants compatibles. Pour certains, ce n’est qu’un passe-temps. Pour d’autres, c’est presque un gagne-pain. Où délimiter donc passion et appât du gain quand les enjeux varient de quelques milliers de Ariary (1USD vaut près de 2.000 Ariary) à des automobiles ou des maisons?... il y en a qui disent même que c'est leur casino.

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DOX

De son vrai nom RAZAKANDRAINA JEAN VERDI SALOMON (1913 - 1978) , DOX est l’un des plus grands écrivains - poètes malgaches contemporains. Artiste complet , il fut aussi auteur compositeur et peintre.

L'Edito : « D’où vient l’inspiration d’un poète ?... »   10113  23/10/2007

      Les grands hommes, les génies, les saints, n'ont fait de grandes choses que parce qu'ils étaient inspirés par un grand idéal. On a besoin d'accrocher sa charrue aux étoiles.   [Ralph Waldo Emerson] 

   Chaque homme créé par Dieu a un don ! Un don caché ou apparent ! Un don que les autres n’utilisent pas et n’utiliseront jamais pour les diverses excuses et tournants de la vie !

 Et le poète est ce fou lucide, heureux et malheureux avec nous tous les jours.
Un poète ne peut rester de marbre devant un évènement: un poète se lèvera et citera ce qui lui passe par sa voix, et l’autre poète prend un feuille et laisse ses mains se glisser sans détour.
       Un fait divers peut devenir beau quand un poète prend la peine de le regarder ! Un regard profond rencontré dans la rue peut provoquer ce sentiment de manque et de vouloir le partager. Ce cri ou rire qui siffle doucement crée un sentiment immense et de plénitude à offrir à ceux qui en souffrent.
       Les mots commandent les poètes et l’obligent à réagir, à agir, à conseiller, à gronder, à dorloter, et à prier.
      Le poète s’inspire de la vie quotidienne, des sentiments : amour ou haine, de la nature, de nos rêves, et de tout ce que nous n’osons pas dire à haute voix !

L'Edito : « Justice Solidaire  ... Jumelage !...  »    10112  19/10/2007

     DEUX HAUTES JURIDICTIONS JUMELEES : Cérémonie de jumelage de la Cour Suprême de Madagascar avec la Cour de Cassation de la République française,  le vendredi 19 octobre 2007 à 16 heures, à la Cour de Cassation, 5 Quai de l’Horloge, Paris 75001.

    Retracer la marche dans le temps vers l’établissement de cet évènement qui donne naissance à une convention de  jumelage de la Cour Suprême de Madagascar (qui comprend la Cour de Cassation, le Conseil d’Etat et la Cour des Comptes) avec la Cour de Cassation de la République française s’avère inutile.  

       Force est seulement de reconnaître que l’aboutissement de cet accord de jumelage a été initié par Madame Nelly RAKOTOBE RALAMBONDRAINY, Premier Président de la Cour Suprême de Madagascar. Cette initiative a eu le soutien  de ses homologues,  Messieurs Guy CANIVET et  Vincent LAMANDA, l’un ayant été suivi par l’autre depuis le 30 mai 2007 dans la haute fonction de Premier Président de la  Cour de cassation,  juridiction la plus élevée de l'ordre judiciaire français qui comprend 6 chambres (3 chambres civiles, une chambre sociale, une chambre commerciale et une chambre criminelle).        

     Ce procédé s’est opéré dans le cadre de la coopération internationale juridique et judiciaire. A ce propos,  il y a lieu de retenir que les rapports entre la Justice Française et la Justice Malgache  solidement enracinés dans l’histoire, sont très importants jusqu’à l’époque contemporaine quant à leurs effets. Qui plus est, les deux systèmes judiciaires français et malgache ont une action commune, celle de la promotion du Droit écrit de tradition française qui diffère de la Common law de tradition anglaise.

     Il va donc sans dire qu’en définitive, la Convention de jumelage actuelle est le fruit de la volonté commune 

des deux plus hautes institutions juridictionnelles du système judiciaire dans les deux pays, ce aux fins d’œuvrer dans l’intérêt de la Justice, élément essentiel de l’Etat de droit et de sa consolidation. Il en est ainsi car, tant à Madagascar qu’en France, la Justice est le troisième pilier de l’Etat et est indépendante par rapport aux deux autres pouvoirs que sont le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif. 

    Dès lors, c’est à ce titre que la justice est dite garante des libertés individuelles et de l’Etat de droit, et, elle veille aussi  à l’application des lois et au respect des droits de chacun.

       Aussi, est-ce par souci d’harmonie, de sécurité, de maintien des traditions juridiques et droits nationaux s’appuyant sur un Droit écrit issu d’un ensemble de textes (Lois votées par le Parlement, Constitution, Conventions et Traités internationaux, Jurisprudence  et Coutume), que la Convention de jumelage contribuera à l’acquisition,  à Madagascar, d’important savoir - faire en matière de formation de

"Salle des pas perdus"  au Palais de Justice d'Anosy - Madagascar.

L'Edito : « le Web dans toute sa splendeur !...   »      10111   16/10/2007

      On a pris l'habitude de voir et lire sur l'Espace Sommaire « Un site qui ne bouge pas est un site qui meurt » ...

       J'aimerais vous présenter un charmant jeune homme, Thomas ... Il a tout pour lui ... la jeunesse ... le charme d'un mélange de deux cultures ... la France et notre belle Île Rouge, ce paradis du bout du monde, et ... 

c'est un professionnel de la création de sites Internet et de la communication visuelle. Son statut d'indépendant lui permet aujourd'hui d'être plus souple, plus réactif, d'instaurer une véritable relation de confiance avec les clients, et d'apporter un véritable sens aux mots conseil, qualité, et service.

Bonjour Thomas... en quelques mots ... dis-nous qui es- tu ?  Quel sont tes liens avec notre belle Île Rouge ?

 Je m’appelle Thomas Carteron, j’ai 31 ans et je suis disons… franco-malgache. Franco-malgache car né en France, une vie depuis toujours en France, mais une mère malgache, et donc tout un côté de ma famille qui vient de la grande île.  

Depuis quand t'intéresses-tu  à la création de sites ?

Je suis créateur de sites internet indépendant, dans le métier depuis 2000, j’ai auparavant effectué toute une scolarité orientée vers l’art, l’image, les nouvelles technologies, et le travail sur informatique. 

A ton avis, en général pourquoi créer un site? Quel en serait l’objectif ?

Il y a plusieurs objectifs qui poussent à la création d’un site internet.

De la simple présence sur la toile des sites « carte de visite », aux projets de vente en ligne e-commerce, en passant par les sites vitrines ou institutionnels, tous reflètent le désir de l’entreprise d’être accessible via ce puissant média, incontournable aujourd’hui.

Quelle est la clé du succès d'un site internet ?

 Le succès d’un site est lié à différents paramètres. La première chose qui nous vient à l’esprit mais qui n’est pas forcément la plus importante, est le design.

Professionnel, véhiculant fidèlement l’image d’une société, d’une association, il doit être séduisant sans être ostentatoire, la subtilité est de mise.

Mais évidemment, il y a toujours des exceptions. 

L'Edito : « Pour un développement rapide et durable de l'éducation à Mada ... » 10110   12/10/2007

     L'éducation est essentiel au développement économique, social et culturel. ACCESMAD donne la possibilité aux élèves des lycées et collèges malgaches de faire des travaux pratiques axés sur l'utilisation des sciences pour le développement du pays... La médiathèque électronique scientifique disponible sur Internet constitue le premier élément concret de notre projet global.  

     "Dans un proverbe Chinois il est dit que si l'on donne un poisson a un homme affamé il se nourrira pendant un jour alors que si on lui apprend à pêcher il pourra se nourrir tous les jours. C'est vrai, à condition qu'il s'agisse bien d'un apprentissage pratique et non pas théorique !" Jacques-Marie Perrier - Président d'ACCESMAD    

Effort pour favoriser l'éducation scientifique à Mada ??? ...      

   Pour quoi ?

     1/4 de la population de Madagascar a moins de 25 ans. Il est donc évident qu’un effort important sur l’éducation est nécessaire si l’on veut redresser l’économie du pays. Le « MAP » (Madagascar Action Plan) du président  Marc RAVALOMANANA met l’accent sur cette nécessité.

   Pour qui ?

     La médiathèque est destinée dans un premier temps aux élèves et professeurs de l'enseignement secondaire de Madagascar, ainsi qu'aux futurs enseignants en cours de formation. Il est prévu qu’elle couvre également le primaire dans un deuxième temps. Celle-ci permet aux professeurs d'enseigner de façon beaucoup plus attractive leurs matières et aux élèves d'accroître leur intérêt pour les matières scientifiques ainsi que de maîtriser la recherche d’information sur Internet puisque la technologie utilisée est entièrement compatible avec « le net »

Quand ?

Rejoignez-nous suivant vos disponibilités et vos compétences, vous pourrez  

Fy dans le Maharastra

L'Edito : « NAMASTE... Fy nous fait découvrir l'Inde ... » 

      "NAMASTE" ou "Namaskar" est un mot indien pour dire bonjour mais plus que ça c'est aussi un marque de respect . Salutation largement utilisée dans beaucoup de pays d'Asie du sud comme l'Inde ou le Népal. Il est employé quand bonjour et au revoir sont employés en français, bien qu'il ait une signification très différente. 
      Selon la tradition, avec les mains en position d'anjali au-dessus de la tête, on salue Dieu; avec les mains devant le visage, on salue le guide spirituel ou Guru, et avec les mains devant la poitrine, on salue nos semblables.
On pourrait le traduire ainsi : "Je salue le soleil qui est en toi".       10109   08/10/2007 

   Après la peinture, qui est ma passion depuis toujours, j'aime beaucoup voyager et découvrir le monde. Je peux, et c'est un grand bonheur pour moi, allier les deux. 

     Quand je voyage, j'écris mon journal, je dessine, je fais des gribouillages et d'autres seront utilisées dans des compositions à l'huile ou aquarelles,... je suis allé pour la première fois en Inde il  y a un an. En Inde du sud surtout a Bombay. J'ai été choqué mais en même temps  ébloui, et il s'est passé quelque chose d'indéfinissable; même si c'est une grande ville, j'avais l'impression que j'étais en pèlerinage. Si je continue de découvrir d'autres pays je suis toujours retourné en Inde. 

     Comme peintre, j'ai été émerveillé par les couleurs, la lumière, la beauté vraie des indiens, leurs costumes, la belle démarche des femmes, la variété culturelle de ce pays, sa spiritualité .

Pour ma part, le fait d'être pris pour un indien (même si je ne suis pas habillé en indien) me permet de connaître un peu plus la culture indienne et surtout fier de ma culture "Gasy ka manja".

pendant le "Ganesh Festival" ...  Le dossier Klikeo eto >>