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Editos  d'octobre 2008 ... (6) 

- « L'Île Rouge ... Je suis le riz , tu es l'eau... »   810210   31/10/2008  ( Bertrand Blog Baobab)

- « Madagascar le pays du Moramora ? ... »    *811209  0783    27/10/2008 (James Randriamifidy ( Pépé Riri ) d'Ambatonakanga ) 

- « Comment j'ai échappé à la rue... »   810208  22/10/2008  ( Père Lucien Heitz- Communication des Spiritains)

- « Lutter contre la Pauvreté à Mada ???... »   810207  17/10/2008  ( Raymond Rakotomamonjy d'Ambohimanarina)

 - « L'ARF au rythme de l'Afindrafindrao ... »   810206  13/10/2008  ( Nono de Madamaki )

- « Molsheim, la Poésie dans la Culture malgache ...  »   810205   06/10/2008  ( Eric Jaofera de Paris  )

L'Edito : « L'Île Rouge ... Je suis le riz , tu es l'eau... »        810210   31/10/2008

     «ISIKA TOY NY RANO SY VARY : AN-TSAHA TSY MIFANARY, AN-TANANA TSY MIFANDAO »

     «  Nous sommes comme l’eau et le riz : dans la rizière inséparables, au village toujours ensemble. »

     Ce proverbe malgache évoque la solidarité et le lien unissant tout les êtres. On a toujours besoin d’autrui.

        On l'appelle l'île rouge a cause de la couleur de sa terre, mais a vrai dire Madagascar n'est pas vraiment une île mais c'est un véritable petit continent
        Mélange subtil d'Afrique et d'Asie, cette île est grande comme la France la Belgique et le Luxembourg réunis.
        Mais Madagascar est avant tout une Terre indissociable des gens qui du haut plateau a la mer courbent en permanence l'échine, au sein de région pleinement nourricière
        La grande ile est synonyme de diversité, les cote de sa pente orientale pressentent une luxuriante tropical, le sud est semi aride, l'ouest a peu près vide d'hommes, possède d'immense savane, et au centre planté de montagne d'eucalyptus, des hommes industrieux on planté une multitude de rizières, un tel kaléidoscope, offre une qualité de production tropicale, mais aussi toutes les possibilités des régions tempérées
« je suis le riz, et tu es l'eau on ne se quitte pas dans les champs, on ne se sépare pas dans les villages, et chaque fois que nous nous retrouvons, c'est entre nous un amour nouveau » dit un proverbe malgache. Allez je te dis véloma mendra piohana
       Misaotra tompoko
       Salama, tsara tsy manahy aho ary maniry anao ho toy izany koa   
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Bertrand de la Région Poitou-Charentes ( blog Baobab )

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        *

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Bertrand  a  répondu à notre appel  pour publier des Edito maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!   

Edito : "Madagascar le pays du Moramora ? ...  "   *811209  0783  27/10/2008

    « MORAMORA » : art de vivre, philosophie ou notion du temps, « La dolce vita » à la malgache serait-elle sagesse et pragmatisme ou un comportement anti-économique et social ? 
   Il faut remarquer qu'il n'est pas dit : "Moramoraina ny malagasy" ; néanmoins il est possible que l'observateur ait constaté que d'une façon générale les malagasy ne dramatisent pas et 

abordent de manière simple l'existence ; moramora peut exprimer effectivement la simplicité, bien que tsotra conviendrait mieux pour traduire "simple".

      Si l'observateur retenait le qualificatif "facile" comme traduction de moramora, cela signifierait qu'il a constaté que la facilité y prédomine : on peut se contenter de peu, on n'a pas de difficultés à 

trouver ce qui est nécessaire, on n'a pas besoin de faire de gros efforts, tout est à portée de main... 

   Mais il n'est pas rare lors d'un déplacement en voiture d'entendre un passager dire "moramora ihany saofera ! ento mora lala ô ! " pour convier le conducteur à ralentir, à rouler prudemment.
     Moramora signifie effectivement aussi "lentement". L'observateur aurait sans doute aussi remarquer que mue par la prudence et ne voulant pas être pris de court par l'imprévisible (Ny tampoka tsy maha lehilahy : l'homme ne vaut rien devant ce qui se produit subitement), on évite à Madagascar de se précipiter, on ne s'emballe pas, on reste sur ses gardes...
     Peut-être aussi que l'observateur aurait noté qu'à Madagascar "moramora ihany, tsy dia lafo loatra ny fiainana", le coût de la vie n'est pas trop élevé,  il est abordable, il est modéré. Mais sur ce point la relativisation est de règle, surtout que l'inflation persiste et que l'accroissement des revenus est encore très difficilement programmable. 

   A Madagascar nous ne courons peut-être pas et ne rouspétons pas à tout bout

  champ, mais nous ne prenons pas pour autant la vie à la légère et ne sommes pas indifférents aux vicissitudes et désagréments. Le moramora est ce que l'observateur non avisé perçoit mais le adi-tsaina, la lutte est intense dans la profondeur du for intérieur.... 

     Bien qu'on y aspire comme partout ailleurs à un mieux être, plutôt philosophe et spirituel, on demeure à Madagascar réaliste et pragmatique, donc moramora leitsy â !
      
James Randriamifidy d'Ambatonakanga    Pépé Riri...  Klikeo eto >>

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L'Edito : « Comment j'ai échappé à la rue... »     810208   22/10/2008

       Les Spiritains sont passés à Madagascar, dans leur reportage , Joe, un jeune rescapé de de la rue, raconte comment il s'en est sorti grâce au centre NRJ. Plusieurs années d'efforts guidés par les accompagnateurs lui ont permis de trouver un job qui, aujourd'hui, le fait vivre. Et qui lui permet de collaborer avec le centre NRJ et d'aider d'autres jeunes à sortir dans la rue.

        Il déplore qu'à Antananarivo comme ailleurs des jeunes de plus en plus nombreux survivent dans la peur, la précarité, la violence de la rue. Laissés à eux mêmes, ils sombrent dans la délinquance et remplissent les prisons déjà trop pleines.

      C'est pour cela que les Spiritains font tout pour que continue le centre NRJ en plein quartier d'Andavamamba à Antananarivo.

        Madagascar : Il faut sauver les enfants dans la rue.

        « Sans le centre NRJ que j’ai quitté en 2005, je serais certainement passé 5 fois en tôle. Depuis, je suis guide touristique. Des Français qui passaient au centre m’ont mis en relation avec un tour-opérateur. Avec le permis de conduire passé au centre, le Français m’a accepté. Aujourd’hui, avec un CDI, je gagne 48 €. Plus les indemnités venant des clients. Je pars en sport aventure à travers tout le pays. Chef d’expédition, je m’occupe de 5 ou 6 personnes, de la recherche d’un logement ou d’un resto au guidage. Un travail qui me plaît beaucoup. Les touristes ont, la plupart, de l’argent à dépenser, même si certains disent avoir économisé longtemps pour découvrir notre pays en louant, cher, un véhicule pendant 1 mois. Ils sont frappés par l’accueil, la gentillesse des gens, la beauté et la tranquillité du pays.
       
J’ai passé 15 années de ma vie dans la rue. Des animateurs m’ont invité à venir au centre. J’ai réfléchi et décidé d’apprendre le français et la menuiserie. À 20 ans, j’ai rencontré ce patron. Aujourd’hui, personne ne peut dire que j’ai été un enfant de la rue.
        Quand je vois que le nombre d’enfants des rues a augmenté, je me rends compte que l’État ne s’occupe pas des plus pauvres. Il fait des routes qui ne servent à rien pour les jeunes paumés. Il faudrait plus d’écoles, d’aide pour les familles en difficulté. Pour limiter le nombre d’enfants laissés à la rue.
De mon côté, 2 fois la semaine, je rencontre des enfants et les invite à aller au centre pour qu’ils s’en sortent, comme moi. Malheureusement, la plupart penser trouver du fric le plus vite possible par d’autres moyens.   

      Je me dis que j’ai eu de la chance d’être passé au centre. Je me suis drogué, je l’avoue. De la trentaine de copains d’autrefois, plus de 20 sont en prison aujourd’hui pour vols et autres délits. J’insiste beaucoup auprès des jeunes pour 

« Aller chercher des gosses perdus et tout faire pour les remettre debout demande beaucoup d’humilité, de compréhension, de pardon quelquefois. Sans cela, pas d’avenir pour la plupart des jeunes. » Ces propos du P. Éloi Rasolofoson, Joe les signe des 2 mains. Abandonné à 2 ans, il a échappé à la rue à l’âge de 15 ans. Grâce au centre NRJ, ouvert en 1987 par le P. Vincent Chopart, en plein quartier d’Andavamamba à Antananarivo.       centrenrj@moov.mg

Spiritains à Madagascar. Impliqués dans la vie 

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qu’ils m’écoutent et évitent ces malheurs eux aussi. Le seul souci qui me reste, je n’ai pas connu ma mère. Mes parents m’ont abandonné dans la rue quand j’avais 2 ans.    
    
Quand les jeunes viennent au centre, ce qu’ils veulent d’abord, c’est manger à leur faim et être protégé. Dans la rue, t’as faim, t’as peur, y a des gangs, des bagarres. La police, je la déteste. Ils m’ont ramassé dans leur véhicule, passé à l’insecticide, jeté loin de la ville. Le centre NRJ est le seul qui s’occupe des enfants de cette façon. J’amène des touristes ici pour qu’ils voient et sachent d’où je viens. C’est aujourd’hui mon devoir d’aider les jeunes comme j’ai été aidé moi-même par d’autres avant. »   centrenrj@moov.mg

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                                                      Père Lucien Heitz - Communication des Spiritains (www.spiritains.org)

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L'Edito : « Lutter contre la Pauvreté à Mada ???... »     810207   17/10/2008

       La Journée internationale pour l'élimination de la pauvreté est célébrée chaque année depuis 1993. Cette année  le 17 octobre, la Journée a pour thème « Travailler ensemble pour sortir de la pauvreté »    

      "La pauvreté est un phénomène multidimensionnel qui se caractérise par des revenus peu élevés et une faible consommation, la faim et la malnutrition, une mauvaise santé, un manque d’éducation et de compétences, un accès insuffisant à l’eau et aux services d’assainissement et une grande vulnérabilité face aux problèmes économiques et sociaux"

         Cet Edito va  analyser les cas  de Madagascar. 72,1% de la population malgache vit au-dessous du seuil de pauvreté en 2004.  

         Madagascar est longtemps apparue comme une île riche de promesses au large de l'Afrique. Malheureusement, elle est encore aujourd'hui dans un état de grande pauvreté (146e pays sur 177 en terme d’IDH, indice indicateur du développement humain). Les raisons de cette pauvreté sont multiples. 

         Une des raisons de la pauvreté de Madagascar est la crise politique qui s’est déroulée entre 2001 à 2002.

 Contexte :

D’après la littérature internationale, Madagascar est encore classé parmi le pays  pauvre car le  Produit Intérieur Brut (PIB) est seulement de 284 $ par habitant.

La majorité des couches  sociales sont encore au stade de pauvreté aiguë. Par contre  il  y a des familles qui sont très  riches et  peuvent  être classées milliardaires. 

 Problématique  de la lutte contre la pauvreté :

            Le cas de Madagascar est un cas délicat et difficile, car  toutes  les  infrastructures essentielles pour servir de base pour un développement sont insuffisantes et de très mauvaises qualités.

Les politiques de lutte contre la pauvreté doivent être axées essentiellement au programme de développement social et économique.

            Un modèle de développement doit  se reposer sur des références internationales, c’est la notion de mondialisation (exportation). La qualité des 

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services et des produits est de rigueur.

            Un modèle de développement peut  avoir des effets négatifs anti-social à court terme, mais dont les avantages économiques sont  immédiats. Le changement de structure social et économique  est  incontournable.

Etat des  richesses :

Madagascar possède des richesses potentielles qui ne sont pas exploitées à sa juste valeur  internationale.

-          Richesses sur la Biodiversité terrestre par l’intermédiaire de ses principes actifs pour les plantes médicinales. Les bois d’œuvre de grandes valeurs,…

-          Richesses  sur la biodiversité Marine

-          Potentialité sur le plan du tourisme écologique

-          Potentialité  sur le plan du tourisme balnéaire

-          Potentialité sur les réserves minières et pétrolières

-          Potentialité sur les possibilités agricoles grâce à ses micro-climats : du climat tempéré, en passant au climat tropical, et semi-désertique. A Madagascar les plantations des produits tempérées sont faisables.

           Le pays possède des richesses considérables et aura  une grande chance d’être riche. Mais à ce stade, le problème d’inégalités de richesses pourrait apparaître.

Conditions de réussite :

Toute la nation doit être est impliquée. Chacun doit y mettre la même intensité d’enthousiasme et de volonté.     .... suite Cliquez-ici 

                                                      Raymond Rakotomamonjy d'Ambohimanarina

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L'Edito : « L'ARF au rythme de l'Afindrafindrao... »    810206   13/10/2008

       ... Dans l'air de l'«Afindrafindrao» qui unit toujours les coeurs des Malgaches, des Zanatany , de ceux qui ont un lien avec Madagascar et les Rainizafimanga.

  Comme à l'accoutumée l'«Afindrafindrao» , la danse traditionnelle des rois et reines de mada , a inauguré la MégaSoirée de l’ A. R. F et cette année,  le 04 octobre 2008 à Tournan–en– Brie , avec le groupe GasyMusic , Njila et le DJ Nary Railovy. 

        L '«Afindrafindrao» signifie "pas à pas". Cette danse est inspirée des menuets dansés à la cour du Roi Soleil (Louis XIV), encore une influence européenne évidente dans la culture malgache. 

      L'«Afindrafindrao» ou quadrille malagasy est la danse d'ouverture de tout évènement festif en salle.

       L'«Afindrafindrao» se danse sur 4 temps comptés mentalement et cadencés par la musique. Une danse durant laquelle les gens se mettent par couple et à la queue leu leu, formant ainsi une chaîne symbolique tout en tournant autour de la piste de danse…   La femme précède son cavalier , et seuls les avants bras de la femme sont levés et ses mains sont maintenues par dessus ses épaules par les mains du cavalier.

      Une fois l'«Afindrafindrao» fini, C'est là que toute sorte de musique peut être jouée.     

         Un nouveau style de Réunion de Famille se popularise aujourd'hui. Il s'agit de  vastes rassemblements qui réunissent sur plusieurs générations les descendants d'un ancêtre commun. 

       La particularité de ces réunions est de réunir ses descendances ou de fêter le 

couple à l'origine de cette vaste famille:

        Le 04 octobre dernier s'est déroulée la traditionnelle MegaSoirée, de la dynamique association de famille Rainizafimanga en France, animée par le tarika Njila new look avec la nouvelle chanteuse Maholy et le groupe "GASY MUSIC" dirigé par Mamy et composé de Paolo aux

... reportage LaComm' ... Cliquez-Ici >>

percus, Lalaina à la batterie puis la chanteuse Stéphanie Hasina.

     Organisée de main de maître par une équipe très motivée, cette soirée dansante a rassemblé plus de 300 personnes à la salle des fêtes de Tournan en Brie. 
      
La Fête annuelle de l'Association Rainizafimanga France, édition 2008, a été une occasion de passer une soirée festive dans la joie et la bonne humeur, liant le Fihavanana et le Fifankatiavana.

      Les "namana sy tapaka", venus de toute la France pour l'occasion ont pu profiter à une soirée bien remplie et riche en émotions.

       Pour résumer l'ambiance de cette soirée était inoubliable... Une joie immense, chaleureuse et communicative... un enthousiasme délirant !         .... suite Cliquez-ici

Nono de Madamaki.com

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L'Edito: « Molsheim, la Poésie dans la Culture malgache ...  »            

      C'était la première fois que des poètes malgaches ont eu l'occasion d'assister au 5è festival International d'Art et de Poésie de Molsheim. Cette fois-ci, ce n'était pas le festival de la littérature ni de la culture mais très précisèment de la poésie. 
      La première édition a eu lieu en 2000 dans cette ville elle-même ; c'est-à-dire à Molsheim, une petite commune, située dans le département du Bas-Rhin et la région Alsace. 
     Des Malgaches de Strasbourg et des environs sont venus exprès pour voir le festival. Ils l'ont apprécié et ont émis le souhait que cet évènement se produise de temps en temps. Plusieurs Alsaciens ont pu apprécier la poésie malgache en entendant simplement le rythme poétique sans comprendre le malgache.

           L'Union des Poètes et Ecrivains Malgaches (UPEM) était l'invitée d'honneur et a eu le privilège de côtoyer d'autres poètes ( français et alsaciens), de découvrir et de connaître un peu mieux la ville. Parmi la délégation de l'UPEM, une femme écrivain malgache est venue à Molsheim, qui n'est autre que Michèle RAKOTOSON.
           A part la poésie, d'autres artistes malgaches se sont déplacés là-bas également tels que Jean A. RAVELONA, grand peintre renommé et Jonny R'AFA, un sculpteur montant puisque c'est aussi un festival d'Art . Jean A.RAVELONA a exposé ses tableaux et Jonny R'AFA a montré l'une de ses réalisations, la sculpture d'une femme.

        "La vocation de cette manifestation a été d’emblée clairement affirmée : promouvoir la culture poétique et artistique à travers une grande fête ouverte à un large public, et au cours de laquelle seront encouragés et récompensés les jeunes créateurs, artistes et poètes."
           Le Festival était très réussi. Les poètes et les artistes malgaches invités étaient bien accueillis et satisfaits du festival...

           Festival qui est devenu inoubliable pour l'UPEM et moi-même...Suite  Cliquez-Ici >>

                      Eric Jaofera de Paris              (  810205   06/10/2008  )

ANDAMIOLY poète (sse ) malagasy

reportage photo ... Cliquez-Ici >>

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