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Editos  de novembre 2008 ... (6) 

- « Pas à pas, Pazzapa  ??? ...  »     809204    30/09/2008    (Shoan  )

- « Festival au Mont St Michel.. »   809203   23/09/2008  ( Fafah de VSG - LaComm')

- « La Musique et La Danse malgache !  »   89202   19/09/2008  ( LaComm')

- «Washington, a tourist city  »  809201   12/09/2008  (Hary Rakotondrazaka de Washington DC)

- «La Valiha, symbole de l'unité malgache pour le Fihavanana  »  809200   08/09/2008  (Mamy Rakoto de GasyMusic)

- « Zafimaniry intime, ... un véritable trésor ! »   809199   05/09/2008  ( Johary Raveloson alias Arius Batiskaf  )

Edito : « Au revoir mon Père... »     811215     28/11/2008    

      Le Père Remy RALIBERA, vient de quitter le monde ici-bas, pour rejoindre certainement un autre monde qu'il a toujours défendu, celui où la Justice et la Paix auront leur place et l'espoir n'est pas vain. 
      Tous les malgaches et les descendants de Rainizafimanga connaissent très bien ce compagnon de Jésus, à travers ses chroniques à la Radio ou ses brillants écrits dans son journal "Lakroa an'i Madagasikara".

      Le Père Remy Ralibera est la voix d'une détermination et celle d'une lutte pour la Justice, de la Démocratie et de la Paix sociale. 

      Cette voix s'est éteinte en laissant une trace indélébile dans l'histoire et surtout un souvenir impérissable de celui que je nomme le formidable compagnon de Jésus.
      En sa  mémoire , je vous présente un reportage et un article écrit par un de mes confrères le journaliste malgache, Jeannot Ramambazafy.

Père Rémy Ralibera : L’ultime combat d’un compagnon de Jésus

     On m’avait déjà avisé hier dans l’après-midi mais je n’y avais pas cru. Hélas, le père Rémy Ralibera n’a pas gagné son ultime combat contre une péritonite…

      Rémy Ralibera ? Je me souviens qu’il avait fait partie de la liste des « étudiants » envoyés au bagne de Nosy Lava, dans la nuit du 12 mai 1972. J’avais 18 ans, mais le père Rémy Ralibera était déjà journaliste pour l’hebdomadaire « Lakroan’i Madagasikara » depuis 1966, -ainsi qu’au journal « Lumière » qui s’est éteint il y a longtemps- au moment où j’allais entrer en classe de 6è au Lycée Galliéni. Il écrira dans ce journal jusqu’en 2001. Année où il prendra officiellement sa retraite. Mais c’est une façon de parler car on est journaliste jusqu’à la mort. 
      Ce jésuite qui a été ordonné prêtre le 5 juillet 1958, après des études de théologie en Italie et en France, sortait vraiment de l’ordinaire.   

     Il avait un charisme et une voix incomparable, reconnaissable les yeux fermés. Combattant des premières heures contre toutes les formes d’injustices, surtout sociales, Rémy Ralibera, dans le microcosme politique malgache, était un électron libre. Très engagé, il avait fréquenté les plus hauts dirigeants du pays sans pour autant porter allégeance à aucun d’eux. 

      Personnage plus que personnalité, Rémy Ralibera était tout simplement authentique. Sans être diplomatique ni trivial, son langage atteignait les cœurs, tout en frappant les esprits. Il ne combattait pas les hommes mais les idées. 

    Le père Rémy Ralibera nous quitte un an exactement après avoir fait paraître son ouvrage 

  Obsèques du dernier conciliateur  ( ... 

Article et Reportage de Jeannot Ramambazafy - Journaliste

intitulé « Souvenirs et témoignages malgaches, de la colonisation à la Troisième république » édition «Foi et Justice, décembre 2007). Cela résume toute sa vie faite de luttes et de faux espoirs. Il ne vivra donc pas le vrai développement de Madagascar. Mais çà me fait un peu peur. Qui me dit que je ne vais pas partir à mon tour, l’an prochain, un an après avoir fait paraître mon livre sur l’histoire des diasporas malgaches ? Encore un sujet de « réflexion » à mon… sujet, pour les forumistes « mavitrika » qui diront « bon débarras » ! 

Comment le père Rémy Ralibera, 82 ans, a-t-il quitté cet ici-bas, cette vallée des larmes ? En n’ayant pas pu résister aux efforts dus à une intervention chirurgicale pour prévenir une péritonite. Il a rendu son ultime soupir, hier matin 21 novembre 2008, à la clinique des sœurs d’Ankadifotsy. 
       Le père Rémy Ralibera sera inhumé le lundi 24 novembre 2008 au cimetière des Jésuites à Ambohipanja Ilafy, après une messe à la paroisse d’Analamahitsy. J’irai mais je ne vous promets
pas trop de photos. Car les deuils, çà commence à bien y faire, après Rado et Charlotte Rafenomanjato.. En tout cas, cet hommage était un devoir envers un « ray aman-dreny » avec qui, comme Rado, toute discussion enrichissait l’âme et l’esprit. Il est certain que l’UPEM (Union des Poètes et Ecrivains de Madagascar) décernera un prix « Rémy Ralibera » comme il existe déjà des Prix « Fredy Rajaofera », « Célestin Andriamanantena », « Ralaiarijaona ». 

       Toute l’équipe de madagate.com présente à la famille de ce monument de l’Histoire même de Madagascar, ainsi qu’aux membres de l’EKAR (Eglise catholique à Madagascar) toutes ses sincères condoléances.

     Pour votre culture générale personnelle, voici les différents présidents de l’Ordre des Journalistes de Madagascar :
Ralaiarijaona, journal « Maresaka », (1975-1977) ; père Rémy Ralibera, journaux « Lumière » et « Lakroan’i Madagasikara » (1977-1991) ; Anicet Andriantsalama, Rnm (1991-1993) ; James Ramarosaona, journal Madagascar Tribune, (1993-2004), actuellement à « La Gazette de la Grand Île » ; Ruffin Rakotomaharo, Tvm-Rnm (2004-….). Aucune élection en vue, alors que les membres d’un nouveau bureau auraient dû être élus en 2007.

                                                 Augustin Andriamananoro de Madagate.com

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Edito :  « Mais que s’est-il donc passé sur la Grande Île?... »     811214     23/11/2008 

     "Après la disparition de Bob Marley en 1981, des millions de rasta du monde entier sont devenus orphelins. Mais très vite ses héritiers arts pris la relève. Apparemment Lucky DUBE le sud Africain est devenu par la suite la grande Star de ce courrant musical, mais sa mort accidentelle il y a quelque temps laisse à penser qu’il n’y avait plus de personnalité charismatique dans ce domaine. Alpha Blondy est aujourd’hui le véritable roi du Reggae."    Tribune 25/09/08

      Révolution musicale sur l'île de l'océan Indien: salegy mafana, kilalaky, tsapiky... avec Jaojoby, Clo Mahajanga, Mima et Ejema
     A l’image du Malgache Tizy Bone, membre du duo Tragédie actuellement en France, Madagascar a accouché d’une nouvelle génération d’artistes – rap, reggae, chanson - qui bouscule les habitudes musicales.

    Mais que s’est-il donc passé sur la Grande Île? En moins de cinq ans, le paysage musical malgache a été complètement bouleversé. 

       L’évolution n’est pas seulement artistique: l’apparition de nouvelles tendances s’est faite dans un environnement structurel modifié en profondeur. De l’enregistrement à la commercialisation en passant par la communication, les pratiques ont changé et les rôles ont été redistribués. «On est en train d’assister à un tournant», confirme Haja Ravelojaona, directeur des radios RTA et Radio Tana, les deux stations les plus écoutées à Antananarivo qui appartiennent au groupe Radio Télévision Analamanga.

       Ce processus de mutation en cours, il l’attribue à la conjonction de plusieurs phénomènes. «Il y a eu une floraison de groupes à la toute fin des années 90 et au début des années 2000, explique-t-il. 

       Des petits jeunes avec beaucoup de musiques dans leurs têtes sans bien savoir ce qu’ils voulaient faire. Il y avait une tendance qui était la dance, ou le hip hop, et ils se sont plongés dedans.» 

    Clo: Lasa I Dada, Lasa I Voahangy, Tsiahy, Clo fahatsiarovana, Ameko anao, Ray aman-dreny zanahary
    Ejema: Come and sing with us, Zaza efatra, Sambatra izy, Tatamo, Bakoly lalao, Ranon'ampango, Mamafara, Belafia, Kodiaran-tsarety, Fa inona loatra, Tsikafara

   Jaojaoby: Tsy zanaka mpanarivo, Tany tsaratsara, K aza miahiahy, Sitraka zanahary, Manahoana, Come on, Atera zaho ndeha hoandry, Tianao zaho, Malemilemy, Manangy, Alima, Un faible pour les filles

    Mima: Motera hely, motera be, Doucement, 100% avec toi, Soma, Malaky, Eo anaty setry, Non! Non! Non!, Andesa any, Samy mafoaka              ...suite Klikeo eto >> 

Stéphanie de AuZoma.com 

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Edito : « Sommes-nous tolérants ?... »         811213     13/11/2008

      L'intolérance a toujours été présente dans l'histoire humaine. Elle a déclenché la plupart des guerres, alimenté les persécutions religieuses et les confrontations idéologiques violentes.
     
 Le 12 décembre 1996, l’Assemblée générale des Nations Unies, proclame le 16 novembre « journée internationale de la tolérance » et définit la tolérance en ces termes : « La tolérance est le respect, l'acceptation et l'appréciation de la richesse et de la diversité des cultures de notre monde, de nos modes d'expression et de nos manières d'exprimer notre qualité d'êtres humains. Elle est encouragée par la connaissance, l'ouverture d'esprit, la communication et la liberté de pensée, de conscience et de croyance. La tolérance est l'harmonie dans la différence »

     Au vu de cette définition, et à l’aube de cette journée, posons-nous la question « sommes-nous tolérants ? »

    Certainement, dirons-nous. Il suffit de constater ce qui nous arrive tous les jours soit : 
          - dans les transports en communs avec les retards, les bousculades, les odeurs, les injures quelque fois, 
          - au travail face à l’absentéisme de nos collègues, à l’irritabilité de nos chefs, 
          -dans la rue face à l’incivilité.

      Tous ces désagréments nous « les tolérons » quotidiennement sans mot dire, mais est-ce vraiment de la tolérance ? 

        Ceci n’est-il pas seulement une abstention volontaire, une résignation devant des situations contre lesquelles nous n’y pouvons rien . On pourra même considérer cette attitude comme de l’abnégation.

     Qu’est-ce donc que la tolérance ?

        Appliquée au quotidien, la tolérance dépend des circonstances. Elle peut être assimilée à l’indifférence car face à certaines situations ou devant certaines attitudes, que nous ne maitrisons pas, on se dit « je m’en fous » , ou tout simplement de guerre lasse, on laisse « couler ».

        Nous pouvons aussi être tolérant par malice ou par politesse de peur d’être dans une position embarrassante ou pour éviter un conflit. Souvent, nous avons tendance à confondre « supporter » et « tolérer ».

        « Supporter » suppose que nous nous donnons une limite à notre tolérance, mais que penser de celui qui tolère tout ? Ce sont des faibles dirons-nous. 
         En vérité, dans notre société actuelle, où l’individualisme est de mise, face à la montée de la haine, de la pauvreté, la tolérance érigée en principe universel est sensée comblée le manque d’amour, le manque de respect et la disparition de la solidarité.

          La tolérance ne se conçoit pas sans respect, sans amour, sans dialogue. Mais surtout, elle s’apprend, ne dit-on pas que « que le meilleur aboutissement de l’éducation est la tolérance »(H. KELLER)

        L’apprentissage commence par une écoute attentive, l’ouverture vers l’autre avec toutes ses différences, être tolérant est une question de volonté, de patience et même d’humilité car nous devons sans cesse faire face à nous même et de reconnaître que ce qui nous plait ne peut plaire forcément à autrui. Nos raisons aussi légitimes qu’elles soient ne nous dispensent pas d’écouter et de les comparer à celles des autres.

      C’est pourquoi La tolérance appelle au dialogue, à la mise en évidence des divergences et d’en débattre. « Je ne partage pas votre opinion, mais je me battrais pour que vous puissiez l’exprimer » disait Voltaire dans son traité sur la tolérance. Et Lao Tseu d’ajouter « le sage équarrit sans blesser, incline sans porter atteinte, rectifie sans faire violence et resplendit sans aveugler »

      Une pluralité de pensées et d’opinions , admettre la liberté de tout un chacun dans ses pensées et ses croyances sont le gage d’une société paisible.Néanmoins, il faut tout de même souligner que trop de tolérance conduit à l’intolérance et notre liberté s’achève là où commence celle des autres.

      Alors ne faisons pas comme « l’idiot qui ne voit que le doigt quand le sage lui montre la lune » Proverbe chinois   
  
                                                                      Mondy de VSG

Notes : Lao Tseu est un philosophe chinois  qui aurait vécu au VIe siècle av. J.-C..

             Le Livre de la Voie et de la Vertu ou Dao De Jing qu'on lui attribue a initié (a posteriori) le taoïsme (Wikipédia)

             Le Traité sur la tolérance est une œuvre de Voltaire publiée en 1763..

             Ce texte a été écrit après l’injustice subie par Jean Calas, protestant faussement accusé et exécuté pour le meurtre de son fils, qui s'est converti au catholicisme, afin de le réhabiliter. (wikipédia)

 

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Edito : "Les Besopy de la diaspora ??? ... "    811212     07/11/2008

       "Besopy" , ça vous dit quelque chose ? A Madagascar, c'est comme ça qu'on surnomme parfois nos amis Anglicans, du nom anglais de leurs évêques, les Bishop. 

      On utilise pour designer les "Anglicans" , les termes "Anglicans", "episcopalien"  ou "episcopal". Le terme "episcopalien" est surtout utilisé en Ecosse ou aux Etats Unis. Au Canada on parle ordinairement de "l'Eglise Anglicane".      

       A l'occasion du 20e anniversaire de la communauté anglicane malgache en France, Les " Besopy " en France nous préparent une belle fête.
       Pour clôturer cet événement, elle invite tous ses amis et tous les Malgaches à venir assister à une soirée dansante le samedi 15 novembre 2008 prochain, à Vert-Saint-Denis (Seine et Marne).

     C’est depuis 1986 que des messes en langue malgache ont eu lieu à une fréquence régulière à l’église anglicane Saint George’s (7, rue Auguste Vacquerie, Paris 16e), marquant le début de la communauté. 

       Composée seulement d’une poignée de personnes au départ, celle-ci s’est agrandie au fil des années, et compte aujourd’hui plus d’une centaine de membres, essentiellement en région parisienne mais aussi dans des villes de province comme Strasbourg.

      Ces Anglicans sont fédérés au sein de l’ACAMA (association de la communauté anglicane malgache), une association loi 1901 dont les responsables actuels sont Gino Ranaivoarisoa et Haja Rajaona. 

     A Paris, la communauté se retrouve lors des offices en malgache, qui ont lieu le premier dimanche de chaque du mois à 16h à l’église Saint George’s, et lors des grandes fêtes (Pâques, Pentecôte, Noël). 
       
Parmi les événements marquant le 20e anniversaire, la chorale, dirigée par Stephen Razafindratsima, a réalisé un album intitulé « Vavaky ny foko ». La soirée du 15 novembre marquera la clôture du jubilé. 

      Toute la communauté aura le plaisir de vous accueillir à partir de 21h au Pacha (25, route D306 (RN6) – 77240 Vert Saint Denis, près de Melun).

15 nov à Melun  ... Klikeo eto >>

      Des artistes de renom, aux registres variés (Serge et Nivo Rahoerson Quartet, Macadancecar, Rakotofiringa Band) et le DJ Micka viendront animer la soirée qui, comme celles organisées précédemment par cette communauté, s’annonce féerique.    .... suite Cliquez-ici  

                                                                Nicolas Razafindratsima de Kremlin-Bicêtre

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L'Edito:« 14 ans de folie chocolat !! ...»  *811211 0628- 04/11/2008

 

      Le Salon Passion Chocolat et de la Gourmandise nous revient encore une fois cette année , du 29 Octobre au 2 Novembre 2008, le 14è Salon du chocolat était à Paris Porte de Versailles . Pour nous faire découvrir leurs créations , 140 chocolatiers venus du monde entier étaient présents . Ils ont présenté leurs nouveautés ou leurs très grands crus de chocolats millésimés et de domaines à l'instar de la Suisse, Belgique, Brésil, Gabon, Mexique, Madagascar et j'en passe... 

      Le 14è salon du vénéré maître de cérémonie le chocolat, a présenté un somptueux défilé de mode de robes de créateurs... en chocolat bien sûr !!!      ... Voir le défilé cliquez ici  >> 

   Mais connaissez-vous les origines du chocolat ?
On attribue au chocolat, des origines amérindiennes (depuis 4000 ans avant J.C)

    Les mayas l’ont introduit au Mexique et sont les premiers à le cultiver, sinon, le cacaoyer poussait à l’état sauvage. Les Aztèques disent que c’est Quetzalcoatl qui fût à l’origine du cacaoyer.

  Le chocolat fut considéré comme une boisson divine par les peuples amérindiens qui en connaissaient les vertus thérapeutiques, et le privilège d’en boire était réservé aux dignitaires. Depuis ce temps, le chocolat continue à « nous faire lécher les babines » tant et si bien qu’on lui consacre un salon qui se tient actuellement du 29 octobre au 2 novembre à la porte de Versailles.

    On dit que ce sont surtout les femmes raffolent du chocolat et en consomme au moins une fois par semaine, sinon même quotidiennement. Mais ceci ne peut être qu’un cliché, car l’amour du chocolat rassemble autant la gente féminine que masculine. 

Et cela se comprend car comment résister quand vous vous trouvez devant les vitrines des chocolatiers qui rivalisent 

Lire l'Origine du chocolat ….   suite cliquez ici  >> 

d’invention et donnent au chocolat des goûts et des formes si alléchants et même loufoques ( chocolat à l’huile d’olive, au thé vert…) que toute une vie ne suffirait pas pour les croquer tous. On découvre plein de vertus au chocolat et la plus courante lui attribue un pouvoir anti-stress, il se décline aussi sous forme de produits de beauté : crème pour la peau, masque facial et tutti quanti. Et quand les couturiers, les fleuristes, les sculpteurs s’en mêlent, ils vous façonnent des robes, des bouquets et des sculptures à « dévorer ». 

   Bref, pour 12 euros l’entrée, visitez ce salon gourmand, vous en aurez plein les yeux et vos papilles ne trouveront que du bonheur. Vous trouverez même du chocolat malgache, qui pour information est un des meilleurs au monde. Après la visite vous vous direz que « demain je me réveillerai plus instruit »

       Bonne dégustation et ne vous rendez pas malade ! Hi hi hi !  ….   suite cliquez ici  >> 

                                            Aina de VSG

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