Edito : "un vœu, ou plutôt un rêve ? ... "   0750   22/01/2007

En début d’année 2006, comme tous les ans je fais ma rétrospective sur les événements malagasy de l'année qui vient de s’écouler et je présente mes vœux pour la nouvelle année 2007. 

Parmi eux, un vœu pieu qui revient systématiquement depuis 1999 : un vœu, ou plutôt un rêve ?

Un rêve réalisable pourtant, ce n'est pas compliqué, je ne fais pas comme la fille de Rapeto, le géant malgache qui demanda la lune, et je ne sais plus ce qui est arrivé à Rapeto et sa fille, mais heureusement que je peux demander à

  Claudia en direct à l'antenne des Echos du Capricorne, Claudia ma référence en culture malagasy, dans la bonne vielle transmission orale. 

Cette parenthèse Rapeto étant refermée, je reprends le fil de mon rêve annuel…

En plus, c'est un rêve qui peut se réaliser avec votre aide, oui vous auditeurs, fidèles ou occasionnels... donc, j’y (re)viens : 

Dès 1999 on a dit : ‘We are simply the best’ (...) , puis en 2001 on a commencé à dire que l’on va détrôner l'euphorie Cuba, en matière musicale (...), et pourquoi pas, en destination touristique, et enfin 2003  , on a relancé les vœux (pieux) : (...)   

   Bon j'ai évolué, en fait non, j'ai ouvert les yeux, puisque depuis j'ai pris 3 claques ! ...

       Première claque : la machine du show-biz  est gigantesque. Difficile de lutter contre toutes les attractions de l'occident : l'offre est abondante et alléchante : nous croulons sous les strass, les marchands de rêve et star systems en tout genres... Ce ne sont pas quelques 3h30 hebdomadaires de Madagascar sur les ondes parisiennes, dont la présente heure en direct le mercredi soir, qui peuvent lutter contre ça... en plus, le tout vous étant livré sans suremballage alléchant et surtout sans publicité aucune. (Pas vendable quoi !).  

Olombelo Ricky a dit sur cette antenne de Fréquence Paris Plurielle pas plus tard que le 13 décembre 2006, quel que chose que je traduis librement par « la culture malagasy est notre rempart contre la mondialisation, c’est ce

        Deuxième claque : en 2006, nous étions super contents, la grande île était l’invitée d'honneur d'une petite île française ; 1 semaine pendant laquelle les pieds dans l'eau, on bavassait, buvait, écoutait, dégustait Madagascar... C'était au mois d’août sur l'île de Groix, au large de Lorient. Jusque là tout va bien, on était tellement bien reçus que l'on croyait, Bekoto en tête – Bekoto le sociologue-chanteur du groupe d'amateurs Mahaleo aux bientôt 35 bougies – Bekoto, donc, était tellement bien accueilli là-bas : à la une de Ouest-France, interviewé à la radio, la vedette quoi, qu'il croyait qu'on remettrait ça encore cette année, et que les organisateurs allaient partir à Mada... pour y réaliser une édition malgache du FIFIG.

Et puis à la fin de la semaine du festival, le verdict est tombé : été 2007, la destination du FIFIG sera CUBA !

      Dernière claque : en fait plutôt une caresse celle-là, je suis tombée sous le charme de la musique de Raul Paz, et c’est un musicien cubain! Voilà s'il y a des cubains qui nous écoutent, la relation Madagascar-Cuba est au beau fixe, musicalement parlant j'entends. Julio, le musicien malgache qui monte, nous a en effet réconcilié grâce à son invitation et sa participation à cette conviviale soirée musicale mondialo-cubaine orchestrée par Raul Paz...

Tout d’abord, il faut remarquer que cette année 2006 fut un bon cru. Un très bon cru même, avec une jolie robe, féminine, jeune... tout pour nous plaire ! (le nous incluant les garçons de notre équipe, bien sûr). 

-- - Meilleurs concerts : Bismak au cabaret sauvage à Paris ; Seheno au Satellit Café,  

-- - Catégorie Incursion Nord-Sud : Dominique Dimey, dans le registre enfants, avec ses chansons sur le thème des droits de l'enfant, et l’éducation des enfants,  

-- - Catégorie Masculin : Concert de Charles Kely sur la péniche El Alamein ; et celui de Lolo sy ny namany pour l'émission Akostika en public, présentée par Fano et une jeune fille, 

-- -Concert bonne découverte : Raul Paz au Bus Paladium avec Julio Rakotonanahary parmi les invités 

-- -Catégorie Emotion poétique : La soirée d’ouverture à Cachan du Festival « Printemps des poètes des Afriques et d’ailleurs » le dimanche 5 mars 2006, avec un hommage à Jacques Rabemananjara -Catégorie Spectacle Enfants : L’après-midi de ce même dimanche 5 mars, avec des poésies et des contes, dont une création de conte avec Claudia, Carine et les musiciens Jean et Francis, le tout avec le conseil artistique de Faffa ; avec aussi un éveil musical et corporel réalisé par Nathalie, et une danse du Ravinala avec Faffa… D’accord çà fait un peu « auto-promotion » mais on attend toujours une programmation adaptée pour nos enfants malagasy (et assimilés d’ailleurs). Du coup, nous en profitons pour vous annoncer qu’on remet çà cette année. Si vous voulez nous rejoindre… on en parlera bientôt. Restez à l’écoute !

Edito : "De bonnes résolutions ?... "    0749   22/01/2007

Ca y est, déjà 2007 ! Le temps passe trooooop viiite ! Avez vous pris vos résolutions pour 2007 ?

    Avez vous pris vos résolutions pour 2007 ? Il n'est pas trop tard pour en prendre. Pour vous aider, voici une petite liste ! 

                  Niry de Sobika.com 

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Edito : "Une petite pierre à l'édifice !... "   0748   18/01/2007

    Bonjour ! Manao ahoana! buenos días ! buongiorno ! Добрый день ! guten Tag !... 
    Un grand Merci pour tout ce que vous faites.
La vie fait que nous sommes éparpillés un peu partout mais heureusement que ce site nous permet non seulement 
de suivre les actualités , de voir l'évolution de toute une génération et bien sûr de rester en contact indirectement avec tout le monde.

    Encore BRAVO et félicitations à tous.
Comme vous le dites si bien " Un site qui ne bouge pas c'est un site qui meurt "
alors si je peux apporter une petite pierre à l'édifice ce sera avec grand plaisir. 
Sincèrement,

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                   Rija Rabemanantsoa de Combs la Ville

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Edito : "Un seul est juste ! ... Ny teny nifanekena ! "   0747   15/01/2007

    La parole donnée est une promesse qu'il faut tenir !
    Donner est un élan de générosité. Par les temps qui courent, ce n'est pas une chose courante. Parce que l'égoïsme a fini par prendre le dessus dans la plupart de nos actes, qu'il a tôt fait de dicter toutes nos conduites, la plupart de nos actes.

   Une promesse, c'est aussi prendre un peu sur soi, sinon beaucoup car il s'agit de parier sur l'avenir. Non pas pour aujourd'hui, mais pour demain. Mais qui connaît l'avenir pour compter sur lui, sur cette vie qui n'est pas encore mais qui sera.

     Il faut tenir. C'est croire qu'on maîtrise quelque chose qui est entre ses mains. Ne pas lâcher mais persister dans l'acte de la préhension.
     Alors qu'en est-il de la parole donnée ? 
La parole ne vole-t-elle pas contrairement à ce qui est écrit. Une façon de dire que par nature elle s'en va, disparaît sans la certitude de pouvoir revenir. 
Mais il y a la mémoire. A cause d'elle on se souvient. Il y a aussi l'honneur, ce sentiment qui nous tient et qui nous différencie aussi des animaux; qui fait que l'on est engagé quoi qu'il arrive. 
     Le mot est sorti. Quoi qu'il arrive. C'est trop.

   Un seul est juste. L'homme n'est pas bâti pour faire des promesse et pour donner sa parole. Car il n'est pas juste. Cela est au-dessus de ses moyens. Ce n'est pas de sa faute.
     Dieu seul est juste. Il ne change pas. Hier, aujourd'hui et demain.

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                   Armand Andriamahady de Créteil

Vaingandahatsoratra : "Arahaba !... Solombodiakoho "  0746  09/01/2007

    Pour honorer nos parents et nos ainés ...
    Hoy ny fitenenana : « Raha tonga ny andro fandroana, ny vodihena ho an’ny andriana ; raha avy ny andro hampakarana, ny vodiondry ho an’ny rafozana ; raha tonga kosa ny asaramanitra, dia vodiakoho no omena ny raiamandreny ». Hitantsika amin’izany fa samy nanana ny hanitra ho azy avy ny fanajana teo amin’ny Ntaolo razantsika ary izany kolontsaina sy fahendrena izany no mbola toavintsika taranaka ankehitriny.

   Ho an’ny tonon-taona toy ny taombaovao (na ny fandroana taloha izay fetim-pirenena lehibe), dia tena fomba tsara indrindra ny manome voninahitra ny raiamandreny. Tsy ny nahitana masoandro ihany fa  ireo rehetra azo lazaina fa zokiny amin’ny taona (zokibe toa ray) eo amin’ny fianakaviana sy ny firahamonina. Rariny sy mety tokoa raha ny zandry, zanaka no mamamgy ny raiamandreny sy manao izany amin’ny alalan’ny fanolorana ny solombodiakoho izay matetika vola  ankehitriny , arahana fiarahabana nahatratra ny taona  sy ombana ny firariantsoa saha izany. Eo amin’ny fifanajana  rehefa miara misakafo ny mpianakavy dia ny vodiakoho no fanomezam-boninahitra ny zokiny satria ny rafi-piarahamonina malagasy dia manome lanja manokana ny lehibe. 

"L'art d'aimer l'Afrique et Madagascar... "  0745  05/01/2007

La double culture : Négritude et Francophonie ...  

"Femme nue, femme noire

Vêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté

J’ai grandi dans ton ombre ;

La douceur de tes mains bandait mes yeux

Et voilà qu’au cœur de l’été et de Midi,

Je te découvre, Terre promise, du haut du haut col calciné

Et ta beauté me foudroie en plein cœur…."

                  L. S. SENGHOR ( extrait de : œuvres poétiques)     

    Ainsi parlait-il de la femme africaine et de cette Afrique qu’il rêvait unie et ouverte à toutes les cultures.

Qui mieux qu’une femme peut alors  rendre hommage à L.S. SENGHOR , promoteur de la diversité culturelle, et un des pères fondateurs de la francophonie, Brigitte RABARIJAONA, Artiste peintre malgache salue ce grand homme à travers sa peinture.

                   Gaëlle 

    Dans le cadre de l'Année Senghor 2006, la Diaspora Africaine  a organisé à Paris, la Grande fête Panafricaine, dont la clôture a eu lieu le 22 décembre 2006 à la Maison de la Fraternité Paris (5ème). l'Artiste Peintre Brigitte Rabarijaona a exposé  son Oeuvre "La double culture : Négritude et Francophonie "  et qui rend hommage au Président Senghor,

     elle s'est inspirée:

1°)- de l'hymne national du Sénégal dont Léopold Sédar Senghor en est l'auteur

2°)- et de deux éléments écologiques: 

        * l'un africain : un baobab du Sénégal, qui symbolise le rassemblement dans l'honneur de nos ancêtres ainsi que la Négritude ; sa fleur, comme une lampe, nous éclaire les paroles laissées en héritage;

Mr Etienne Rajoel (Le Représentant du REPERMAD auprès de l'UNESCO) 

et Brigitte Rabarijaona (l'Artiste Peintre ) présentant l'Oeuvre. 

"La double culture: Négritude et francophonie".

Edito : " Y a Fêtards et Tronches de Fêtards !  ... "   0744- 02/01/2007

"les comportements des fêtards dans les soirées gasy , si on n'est pas en mesure d'assurer son comportement , alors on ne se saoûle pas , car c'est gâcher l'image de l'organisateur, et mal vu pour les malgaches " BBVL

   Ils sont toujours prêts à faire la fête... Du lundi matin au dimanche soir, du disco à la salsa, de la valse à la rumba, du hip-hop au ragga, du zouk au maloya ... rien ne les arrête. 

 Mais attention à l’abus de l'alcool ... attention aux cocktails trompe-couillons... Les effets de l’alcool varient d’une personne à l’autre et selon les circonstances.
Lorsque nous sommes sous l’emprise des effets agréables du début, nous ne prenons pas toujours conscience du fait que ses effets nuisibles commencent également à se manifester... Mais l’alcool entraînera forcément un comportement agressif ou hostile, pouvant aller jusqu’à des bagarres.
     Quelques verres avec des amis à une méga soirée ... une soirée sans ... Comment faire le choix ?
Si on ne connaît pas ses limites, ne vaudrait-il pas mieux éviter de boire ? Assumer les effets ... les mauvais effets ... c’est ce que chacun de nous devrait être capable de faire face à la consommation d’alcool.

Les Voeux Rainizafimanga  Klikeo eto