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Les Titres de MadaVôvô du 10 septembre 2010  

BigNews:  Le Sport est Roi...

L'Edito: « Roch Hachana ! Une pomme et du miel pour une année douce... »   ( ...  )

1. Antsirabe : La Radio « Mahafaly » fermée (midi) ( ...  )

2. Radio Fahazavana - Les employés remis en liberté provisoire (nouvelles) ( ...  )

3. Envoyé spécial permanent (jeuneafrique) ( ...  )

4. Nouvel An Malgache : L'Alahamady célébré à Anosimanjaka (nouvelles) ( ...  )

5. Madagascar piqué au vif sur le bois de rose (liberation) ( ...  )

6. Foot-CAN 2012 : Des Barea friables face aux Nigérians (nouvelles) ( ...  )

*. No Comment.... No Comment...   

7. Ra8 sur la tuerie du 07 février : « Les tirs venaient de l'extérieur du Palais » (midi) ( ...  )

8. Ivato Aeroport : Un Indien arrêté avec 1,5 kg d'or (nouvelles) ( ...  )

9. Trois mouvances : « Ampamoaka » sur l’entourage immédiat de Rajoelina (midi)( ...  )

10. Conférence Nationale: Suspense autour de la Constitution (nouvelles) ( ...  )

11. Mahaleo : Une semaine de veillée publique en hommage à Raoul  (nouvelles) ( ...  )

... Le précédent MadaVôvô  05 sept 10  >>  ( ...  )

*. Un nouvel agent chimique très prometteur contre le paludisme (moov) ( ...  )

*. Cancer : Les betteraves préviennent et peuvent guérir du cancer (midi) ( ...  )

*.Navim Ramgoolam : "Situation effroyable à Madagascar" (courriermada) ( ...  )

*. Polémique autour du "Pactole" de la présidence (Nouvelles) ( ...  )

10/09/2010

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ar

Euro 2 572,73 Ar 
JPY 24,00 Ar 
USD 2 010,28 Ar 
ZAR 276,83 Ar 
GBY 3 108,09 Ar 
HKD 258,66 Ar 
CHF 1 990,77 Ar 
MUR 71,12 Ar r 

Date Eur/Ar Date Eur/Ar
31/08 2565 31/07 2841
13/09/08 min:2290 26/10/09 max:3032

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...  ( ...   )


 

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MADAGASCAR EN IMAGE            extraits de Madamaki.com / Voyage-bons-plans.com / ahaona-madagascar.com


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >> 


« Roch Hachana ! Une pomme et du miel pour une année douce...»

      Instant de réflexion et de méditation. Du 8 septembre ( au soir ) au 10 septembre 2010 ( à la tombée de la nuit ), se fête la Roche Hachana.
     
La Roche Hachana est le Nouvel An juif, et signifie textuellement « la tête de l’année » , « le 1er jour de l'an», « le 1er Tichri ».  

Elle commémore :

             1- le jour où les créatures du monde reconnaissent D.ieu comme roi ainsi que le fit Adam lorsqu’il proclama D.ieu Roi de l’univers, quand celui-ci acheva la création du monde.    

            2- le jour du jugement pour l’ensemble de l’humanité (Yom Hadîn) , chaque individu doit rendre compte à son Créateur.
    
Le « Chofar » (corne de bélier qui sert de trompette) est sonné à la prière du matin des deux jours de Roch Hachana, il appelle au repentir, à faire l’inventaire de ses actes de l’année écoulée comme il est inscrit dans les lois sur le repentir :
   
« Réveillez-vous de votre sommeil, et vous les endormis levez-vous de votre somnolence faites un bilan de vos actes, revenez en repentir et souvenez-vous de votre Créateur. Et vous qui oubliez la vérité par la perte de temps, et qui perdez vos années en vanité et en leurre sans aucune valeur, observez votre âme, considérez vos conduites et vos fautes et que chacun abandonne son mauvais chemin et ses mauvaises pensées. »

 

    Le son du chofar rappelle aussi le sacrifice d’Isaac et la miséricorde que D.ieu lui a accordée.
Roche Hachana est donc comme une convocation divine, où se mêlent prières et réjouissances, prières pour la miséricorde et réjouissances car on a confiance au jugement du Créateur.

 Il est de coutume de tremper une pomme dans du miel 

et de faire la prière 

" Une pomme et du miel pour une année douce et sucrée"

       Roch Hachana est fêtée les deux premiers jours du mois de tishrei (qui correspond, selon les années, aux mois de septembre ou octobre dans le calendrier grégorien), et dure deux jours. Il est de coutume pendant Roch Hachana de consommer des pommes   ... Lire la suite  Cliquez-ici
    
       Malala ANDRIAMBELO d'Antananarivo

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Malala  a répondu à notre appel  pour publier des Editos maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos    


  Midi Mada 10/09/2010
Antsirabe : La Radio « Mahafaly » fermée  - RAJAOFERA Eugène
La HAT a donné la liberté provisoire aux journalistes de radio Fahazavana (voir article par ailleurs), en même temps, elle a fermé la radio privée « Mahafaly » à Antsirabe. 

Cette radio appartient à la commune urbaine d'Antsirabe dont la patronne n'est autre que Olga Ramalason, maire élu sous les couleurs du TIM. « Que veut faire exactement le régime de Rajoelina qui prend une mesure de clémence envers les journalistes emprisonnés et qui ferme le même jour une radio privée pro-Ravalomanana ? », se demande Jean Louis Rakotoamboa du Teza. A noter qu'une délégation du ministère de la Communication a effectué une descente hier à Antsirabe. La délégation a réquisitionné les forces de l'ordre locales qui ont exécuté hier même à 17h 30mn la décision de fermeture. Les matériels de la radio « Mahafaly » n'ont pas fait cependant l'objet de saisie.


Les Nouvelles 09/09/2010
RADIO FAHAZAVANA - Les employés remis en liberté provisoire - Nasolo R.
Après environ quatre mois de détention à la maison centrale d'Antanimora, les six journalistes, techniciens et responsables de la sécurité de la radio Fahazavana ont été remis en liberté provisoire.
D'après nos sources, la décision émanant du ministère de la Justice a été communiquée aux responsables de la maison centrale mais, en raison des démarches administratives qui ont pris un peu de temps, ils ne sont finalement sortis que vers 20 heures 30, au grand soulagement de leurs familles.
Pour rappel, Lôlô Ratsimba, Josiane Ranaivo, Jaona Raôly, Tiana Maharavo, Philémon Raveloarison et Tiburce Soavinarivo et leurs collègues ont été arrêtés à la suite de l'affaire de « mutinerie » au sein de la FIGN de Fort-Duchesne. Ils ont été, notamment, inculpés de complicité d'atteinte à la sûreté de l'Etat.
Aucune raison officielle n'a encore été avancée pour expliquer cette libération mais des observateurs estiment que cela a trait aux multiples demandes d'instauration de «mesures d'apaisement» sur lesquelles les trois mouvances ont insisté ces derniers temps, en l'occurrence «La libération de tous les détenus politiques, y compris les journalistes et les pasteurs».
En tout cas, Reporters sans frontières (RSF) s'est déjà déclarée inquiète du placement sous mandat de dépôt de ces membres du personnel de Radio Fahazavana. L'organisme avait aussi demandé à tenir dans les meilleurs délais, un procès juste, équitable, à l'abri d'éventuelles pressions politiques.
Cependant, si ces employés de la station ont déjà fait l'objet de multiples enquêtes, la date de leur procès n'est pas encore connue.


JeuneAfrique.com 09/09/2010

Envoyé spécial permanent

La communauté internationale songe à désigner un envoyé spécial permanent à Antananarivo pour suivre la crise malgache. Mais les États d'Afrique australe et la France ont des candidats différents.
Si Joaquim Chissano reste le médiateur en chef de la crise malgache, la communauté internationale envisage sérieusement de nommer un envoyé spécial permanent à Antananarivo. L’ancien président mozambicain ne peut en effet pas suivre au jour le jour l’avancée des négociations entre les différentes mouvances.

La Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) songe à Leonardo Simão, ancien ministre des Affaires étrangères de Chissano, qui est à Tana depuis quelques jours pour le représenter. Mais la France serait plutôt favorable à la nomination d’un ressortissant de Maurice. Navin Ramgoolam, le Premier ministre mauricien, et Nicolas Sarkozy ont évoqué le sujet, le 31 août, à l’Élysée. À Paris comme à Port-Louis, on est persuadé qu’une telle nomination passerait mieux auprès des Malgaches. Elle aurait en outre le mérite de sortir la Commission de l’océan Indien de sa léthargie.

Joachim Chissano, le médiateur en chef de la crise, aurait un adjoint permanent à Madagascar. © AFP 


Les Nouvelles 09/09/2010
NOUVEL AN MALGACHE : L'Alahamady célébré à Anosimanjaka - Vavah Rakotoarivonjy
Beaucoup de questions restent encore sans réponses sur la célébration de la fête du nouvel an malgache. Faute de consensus entre les protagonistes, chaque association célèbre l'événement à sa manière et suivant son propre calendrier.
Anosimanjaka se trouve sous les feux de la rampe. Ce jour, on y célèbre l'«Alahamady», plus précisément le «tsinan'Alahamady» pour les initiés. «C'est la fête du nouvel an malgache», explique Ernould Georges Andrianarinosy de l'association Zanadranavalona, organisateur de cette cérémonie qui a déjà existé plus de 400 ans maintenant. Aujourd'hui c'est le grand jour, selon ceux qui héritent des savoir-faire des premiers arabes venus à Madagascar basés sur la lunaison.
A Anosimanjaka, la journée sera ainsi bien remplie. Au programme, des animations musicales et de danse traditionnelle ou hira gasy, «fafirano» ou bain rituel, «zara hena»… L'Alahamady reste une occasion pour tous de se purifier le corps et l'esprit. Cette purification engendrera inévitablement l'amour des uns pour les autres, sans discrimination. «C'est donc le moment du grand pardon», explique ce responsable de l'association.
«Souvent l'Alahamady est confondu avec l' «Asaramanitra» qui est une fête de prémices», explique Georges Andrianarinosy. Selon la tradition orale, c'est à l'époque de Ralambo, (1757-1610), qu'on a célébré pour la première fois le nouvel an malgache mais la colonisation a mis fin à ce rite. L'entrée du christianisme dans le pays est également annoncée comme principale cause de l'omission de cette fête «bien malgache».
L'association Zanadranavalona souhaite institutionnaliser et nationaliser la fête d'Alahamady comme étant la fête de tous les Malgaches. Une proposition qui ne va pas tarder à susciter des commentaires venant des autres associations qui l'ont déjà célébré, lors de la fête de l' «Asaramanitra», il y a quelques mois, une autre «fête de nouvel an». En fait, la détermination de la date du nouvel an malgache reste sujet à discussions.
Au pays, plusieurs associations œuvrant pour la promotion de la culture et de l'identité nationale fêtent chaque année à des jours différents le nouvel an appelé «Alahamady» ou «Asaramanitra». Chacune d'entre elles se dit «avoir la bonne raison» pour tenir la cérémonie à telle ou telle date. Raison pour laquelle, les citoyens sont souvent partagés sur la commémoration de l'événement comme il l'est aujourd'hui.


Lagazette-dgi.com 07/09/2010
Trafic de bois de rose: Encore une mascarade ? - Saraléa Bernard et Sa
Comme nous l'avons rapporté dans ces lignes hier, quatre conteneurs de bois de rose en instance d'embarquement, dans le port de Toamasina, ont été 

constatés recéler du bois de rose. Très à l'aise dans sa tenue de combat camouflée, exactement comme à son retour des Comores en juin dernier, le Premier ministre a hier encore promis une enquête poussée. Mais le scepticisme est général : ne serait-ce pas là une mascarade de plus ? 

Le scénario est le même depuis l'année dernière : alerte générale après une saisie par les forces de l'ordre, déclaration tonitruante devant les médias, promesse de transparence pour la suite des investigations et enfin black out sur les identités des auteurs et complices. Et cela même si le chef de la Transition a ordonné publiquement de faire publier les noms des délinquants. 
Ainsi, hier, lorsque le général, chef du gouvernement, Camille Vital, en tenue de guerre, s'est montré implacable dans la lutte contre le trafic des bois de rose (et d'ébène) avec l'énigmatique Hery Rajaonarimampianina, ministre des Finances à ses côtés, dont la présence conforterait les analyses des environnementalistes selon lesquels l'Etat fermerait les yeux du moment que l'exportateur paie les 72 millions ariary de taxes par conteneur, tous ceux qui suivent chaque épisode de cet interminable feuilleton à la télévision depuis presque deux ans, ont la même impression du déjà vu. Comme si c'était du cinéma.
Sur place, les responsables ont indiqué que toute la lumière sera faite sur ce nouveau cas de trafic. Le même engagement que celui annoncé au mois de juin, après la découverte aux Comores d'un bateau rempli de bois de rose. Le bateau était arraisonné, le nom du propriétaire connu et le consignataire du navire, voire le propriétaire de la cargaison, parfaitement identifiables mais l'enquête n'a rien donné. Comment espérer remonter à la source quand on n'a que les chauffeurs de camions comme source potentielle ?
La vérité est qu'aucun commanditaire ou propriétaire des madriers ou planches de bois de rose pillés dans nos aires protégées n'a été jeté en prison depuis. Aucun gros poisson, de ceux qui nagent avec la plus parfaite quiétude dans l'impunité absolue, qui affrètent des jets et qui discutent dans les palaces avec les milliardaires chinois et autres, et qui comptent leurs magots par millions de dollars, n'a été inquiété outre mesure depuis presque deux ans. Au point de saper le moral de ceux qui, au péril de leur vie souvent, sont chargés de traquer les pilleurs de nos ressources naturelles. 

Effectivement, il existe de nombreux responsables civils et militaires honnêtes et travaillant avec leur âme et conscience. Sinon, le trafic ne serait pas en train de régresser et les quantités découvertes se réduire de plus en plus. Mine de rien, l'opinion sait détecter les intègres, mais également les faux et les sournois, ceux qui trahissent allègrement les promesses de changement balancées journellement sur la place du 13-Mai en début de l'an dernier.

Madagascar piqué au vif sur le bois de rose
Biodiversité . Contre l’explosion du trafic et face à l’ambiguïté du pouvoir, l’Unesco a placé la forêt de l’Atsinanana sur la liste du patrimoine en péril.
La crise politique qui sévit à Madagascar depuis janvier 2009 a des répercussions dans tous les domaines, y compris dans l’environnement. Les forêts ont ainsi connu cette saison une campagne d’abattage illégal et de braconnage sans précédent.

 ( liberation.fr - Nelly Fualdes )

Monsieur le Premier ministre, comme le disait jadis le président Philibert Tsiranana : "Asa fa tsy kabary". Autrement dit, acta non verba. Le peuple attend de vous et de votre gouvernement autre chose que les mystifications à la sauce ravalomananienne. Menottez les vrais coupables d'abord, rameutez la presse ensuite !


Les Nouvelles 06/09/2010
FOOT-CAN 2012 : Des Barea friables face aux Nigérians - Rivo Steph
L'équipe nigériane s'est imposée face aux Barea de Madagascar sur un score sans appel de 2 buts à 0. La formation malgache n'a pas fait montre de cohésion malgré de bons jeux individuels.

Certains croyaient que le viatique consistant offert par le président de la HAT aux Barea avant leur départ, pourrait constituer un gage de la victoire. Mais la réalité en était autrement. L'équipe nationale a capitulé malgré la bonne volonté tant des nationaux que des expatriés.
Les Barea se sont inclinés sur le score de 2 à 0 face aux Super Eagles nigérians au stade d'UJ Esuene de Calabar Nigeria hier. C'était un fait, sinon une défaite prévisible, vu les différents aléas qui se sont produits dans la dernière ligne droite de la préparation de l'équipe nationale de football.
Des expatriés comme Ima Faneva Andriatsima, Paulin Voavy et Johan Paul indisponibles, sinon des défenseurs jugés indisciplinés et inciviques - Mamy Gervais Randrianarisoa et Sedera Randriamparany - répudiés par l'entraîneur Jean-Paul Rabier alors qu'ils étaient censés défendre intrépidement le camp des Malgaches, ce sont autant de faits qui ont perturbé cette équipe nationale qui aurait pourtant pu être efficace. On se doit de reconnaître que malgré la valeur dont ils ont fait preuve sur le gazon, les Barea, surtout les expatriés, ont eu du mal à établir l'entente. Une lacune visiblement due à l'insuffisance de vrais regroupements et de matches de préparation de ces derniers avec les Barea locaux.

Des buts nigérians révélateurs
Les deux buts des Nigériens, marqués respectivement à la 19è minute par l'attaquant Obafemi Martins - jouant dans le club de Rubin kazan en Russie - et par Erenamo dans les temps additionnels de la première mi-temps (46è minute), ont été surtout consécutifs à la maladresse des défenseurs des Barea qui se sont mal positionnés. Ce dernier a été 

Classement provisoire du groupe B
1° Guinée, 3points, +3
2° Nigeria, 3 pts , +2
3° Madagascar, 0 pt , -2
4° Ethiopie, 0 pt , -3 

minutieusement servi par Obafemi qui s'est échappé par le flanc gauche, damant le pion à Julien Leleu, avant de centrer le ballon vers l'axe au grand bonheur d'Erenamo qui ne s'est pas fait prier pour donner la chiquenaude fatale. L'absence de défenseur adverse lui a facilité la tâche. Quoi qu'il en soit, les trois-quarts du temps de jeu auront été dominé par les Aigles. Ce n'est que dans les 20 dernières minutes que les Barea ont démarré un sursaut final mais il était trop tard. Vers la 70è minute, Carlos Zozimar a tenté de défoncer le filet du portier Enyeama, mais en vain. Quelques minutes plus tard, Ibrahim Samuel Hamada a fait de même, mais son tir était trop gentil pour effrayer le gardien nigérian.
Les prochains adversaires des Barea dans la Can 2012 seront les Ethiopiens les 8,9, ou 10 octobre 2010, les Guinéens, les 25, 26 ou 27 mars 2011 et de nouveau les Nigérians, les 2,3 ou 4 septembre 2011. Le dernier match de groupe des Barea dans ce tournoi sera celui de retour contre les Ethiopiens les 7,8 ou 9 octobre 2011. Les Barea se trouvent dans le groupe B de la Can 2012 avec le Nigeria, l'Ethiopie et la Guinée.
En mettant à part le match contre les Ethiopiens en octobre qui s'avère trop proche, d'ici le mois de mars de l'année prochaine, Jean-Paul aura le temps de remédier aux lacunes qui ont fait les déboires des Barea.

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Midi Mada 10/09/2010
Ravalomanana sur la tuerie du 07 février : « Les tirs venaient de l'extérieur du Palais » 
Pour la énième fois, l'ancien président Marc Ravalomanana réagit par rapport au verdict de la CCO sur la tuerie du 07 février, le condamnant à des peines de travaux forcés à perpétuité. En effet, dans une lettre en date du 07 septembre, dans laquelle il s'adresse aux « personnes concernées de Madagascar » depuis l'Afrique du Sud, l'ancien locataire d'Ambohitsorohitra dénonce « les abus sur notre système judiciaire ».

 « Malheureusement, notre système judiciaire autrefois indépendant a été corrompu », déplore Marc Ravalomanana, avant de souligner : « J'ai soutenu la proposition d'une enquête indépendante pour établir les faits. J'ai demandé à l'Union européenne et à la SADC de mener conjointement cette enquête, mais le régime de Rajoelina a empêché cette enquête. »
Pourquoi ? A cette question, l'ancien président répond par des questions: « Etait-ce parce que la majorité de ceux qui ont péri le 07 février à Ambohitsorohitra semblent avoir été victimes des tirs par derrière? Etait-ce parce que la façade du Palais présidentiel présente des traces de balles suggérant que les tirs venaient de l'extérieur de l'enceinte du Palais- et non de l'intérieur? Etait-ce parce que je n'étais pas présent dans le Palais présidentiel au moment des tirs? ». « Tant que ce régime illégal continue de s'accrocher au pouvoir, la vérité restera cachée », indique dans sa lettre Marc Ravalomanana dont la condamnation sur le procès relatif à la tuerie du 07 février a été dénoncé par le gouvernement du pays où il a trouvé asile après le coup de force du 17 mars 2009.

Perpétuité.

 Jusqu'ici, bon nombre d'observateurs se posent des questions non seulement sur la précipitation avec laquelle la Cour Criminelle Ordinaire a jugé l'affaire du 07 février, mais aussi et surtout sur cette condamnation à perpétuité. Le verdict a été prononcé alors que la CNOSC, en partenariat avec la SADC, organisait une table ronde politique à l'Espace « Les Hérons » de Vontovorona. La mouvance Ravalomanana a demandé la suspension du procès pour instaurer un climat d'apaisement durant les négociations, hélas. Or, la HAT sait pertinemment qu'un tel jugement compromet le processus en cours, en vue de trouver une issue consensuelle à la crise. L'opinion nationale est partagée sur le verdict. Une partie trouve ridicule la condamnation à perpétuité, une autre se dit satisfaite, car la Justice vient de sévir contre une personne accusée d'avoir donné l'ordre de tirer sur les preneurs du Palais.
Recueillis par RAJAOFERA Eugène


Les Nouvelles 09/09/2010
IVATO AEROPORT : Un Indien arrêté avec 1,5 kg d'or - Ra-Elia
Juste avant son embarquement à bord d'un vol d'Air Mauritius hier après-midi, un Indien a été interpellé à l'aéroport d'Ivato par la compagnie de gendarmerie. Et pour cause, il était à deux doigts de faire passer 1,5kg d'or, grâce à une astuce digne d'un professionnel.
Hier après-midi à Ivato, un Indien a été interpellé au moment d'embarquer pour le vol Air Mauritius à destination de Maurice. Et pour cause. La compagnie de gendarmerie de l'aéroport a détecté dans ses bagages 1,5kg d'or.

En fait, la compagnie de gendarmerie de l'aéroport a déjà eu une information attestant que le suspect avait dans ses bagages une certaine quantité d'or. Ce que l'entité n'a pas minimisé mais ses responsables ont cru que la douane et la police ne tarderaient sûrement pas à découvrir le trafic avec leurs scanners. Ce qui n'a pas été le cas.
Par deux fois, les bagages du suspect ont été scannés mais aucune réaction, tant de la douane que des policiers. Ce qui a soulevé la suspicion des gendarmes, lesquels ont décidé d'agir juste au moment où l'homme allait embarquer dans l'avion. Toutes ses valises ont été ainsi fouillées mais les forces de l'ordre n'ont rien trouvé d'anormal, sauf un collier en métal chromé suspendu au cou du suspect et un bracelet à la jambe que les scanners auraient dû déceler.
Complicité avec des employés
L'analogie entre le bracelet et le cordon métallique du sac à main a sauté aux yeux des gendarmes. Les objets ressemblent à s'y méprendre à de l'aluminium, mais leur lourdeur a fait comprendre aux limiers qu'en réalité, c'était de l'or que le petit malin a essayé de faire passer pour du chrome. Comme le support métallique d'une valise du suspect est fait du même métal, il a fallu également le démonter. Au total, les forces de l'ordre auront décelé 1,5kg de métal précieux méticuleusement camouflé de chrome, si bien que de prime abord, un non averti se laisserait duper par simple regard. Une astuce digne d'un professionnel en somme, au point de passer inaperçue par la douane et la police. 

Les gendarmes doutent cependant que les scanners n'aient rien décelé et n'écartent par ailleurs pas l'hypothèse d'une complicité avec des employés corrompus. Enfin, il faut savoir que l'Indien avait pour destination finale son pays natal où l'or se vend… à prix d'or. Selon les informations reçues, un gramme d'or coûterait, en Inde, 10 fois plus que le cours à Madagascar. Et la qualité de la marchandise qu'il allait trafiquer serait l'une des meilleures au monde…


Midi Mada 09/09/2010
Trois mouvances : « Ampamoaka » sur l’entourage immédiat de Rajoelina - RAJAOFERA Eugène 
Une semaine avant la conférence nationale du 13 au 18 septembre, les trois mouvances posent 6 « conditions minima » au succès des négociations pour la sortie de crise. En effet, qu'un climat d’apaisement soit préalablement rétabli par la libération des détenus politiques, l’arrêt des procès à caractère politique, la cessation de toutes formes de harcèlement et d’intimidation, le rétablissement de la liberté d’expression et, en particulier, le libre et égal accès de tous dans les médias publics et la réouverture des médias privés « abusivement fermés par les autorités de fait ». 

Que le cadre, la méthodologie, l’approche et la procédure des pourparlers soient au préalable clairement définis et arrêtés d’un commun accord. Troisième condition, l’approche malgacho-malgache, en terre malgache, exige comme corollaire la présence physique des anciens présidents de la République exilés Didier Ratsiraka et Marc Ravalomanana, chefs de file des mouvances et protagonistes centraux de la crise, « afin qu’ils puissent participer à la recherche de solution. »
IGE et BIANCO.

  Les trois mouvances réclament la dissolution du gouvernement et de la HAT et ce, « non seulement afin de mettre tous les protagonistes sur le même pieds d’égalité, mais également parce que nous rejetons fermement ce pouvoir connu et rapporté par la presse nationale et internationale comme étant dans son ensemble le plus corrompu de toute d’histoire de Madagascar ». Elles exigent par ailleurs que le 

gouvernement à mettre en place réponde aux critères de bonne gouvernance et de transparence réclamés par le peuple malgache et la communauté internationale, que les résultats des investigations et audits menés par l’Inspection Générale de l’Etat (IGE) et le BIANCO soient publiés et que les tenants et aboutissants ainsi que les noms des hautes personnalités étatiques impliquées dans l’affaire de cargaison de bois de rose saisie aux Comores soient portés à la connaissance du public. Et pour les trois mouvances, la CNOSC doit disposer de l’autorité indispensable au bon déroulement et au succès des débats, et les parties en négociation soient assurées de l’existence d’une force exécutoire des Accords issus des pourparlers.
Nul et non avenu. Les trois mouvances déclarent, à travers un « Fanambarana » signé en date d’hier par Fetison Rakoto Andrianirina (mouvance Ravalomanana), Ange Andrianarisoa (mouvance Ratsiraka) et Emmanuel Rakotovahiny (mouvance Zafy), nul et non avenu l’accord politique d’Ivato. « Acte unilatéral et non consensuel, non reconnu par les grands courants et sensibilités politiques malgaches et, à fortiori, par la communauté internationale. », souligne la déclaration. « Nous rejetons d’office toute tentative et manœuvre visant à légitimer ledit Accord. », concluent les trois signataires. Dans leur déclaration, les trois mouvances réitèrent leur détermination à trouver une issue pacifique et négociée à la crise et rappellent leur reconnaissance à la CNOSC pour son rôle de facilitateur dans le processus malgacho-malgache, et ce sous l’autorité du Médiateur Joaquim Chissano en vue d’obtenir la reconnaissance intrenationale. Les trois mouvances encouragent les initiatives actuellement entreprises par la CNOSC en vue de remettre autour d’une table l’ensemble des forces politiques du pays pour la mise en place d’une transition neutre, inclusive et consensuelle et du retour de Madagascar à l’ordre constitutionnel et dans le Concert des nations.


Les Nouvelles 07/09/2010
CONFERENCE NATIONALE : Suspense autour de la Constitution - Nasolo R. 
Finalement, malgré la procédure de travail instituée par le décret de mise en place du comité consultatif constitutionnel (CCC), celui-ci s'en remettra à la décision finale de la conférence nationale au cours de laquelle des propositions de Constitution seront encore soumises, au-delà de la date-limite du 4 juin…

La conférence nationale aura le dernier mot en ce qui concerne la future Constitution de la IVè République. C'est ce qu'a souligné le président du comité consultatif constitutionnel (CCC), Florent Rakotoarisoa, hier au cours d'une conférence de presse tenue à Tsimbazaza, dans les bureaux de l'assemblée nationale.
Ainsi, il a déclaré que cette conférence nationale tranchera en dernier ressort sur la question de savoir combien de textes constitutionnels seront avancés lors de la consultation populaire qui aura lieu le 17 novembre prochain. Il en est de même pour les divers « aléas » qui chamboulent quelque peu la procédure de travail fixée par le décret de mise en place du CCC.
Des exceptions, finalement admises
En effet, alors que la démarche établie prévoit le dépôt d'avant-projets de Constitutions auprès du comité jusqu'au 4 juin (le CCC en a reçu environ 300, lesquels ont d'ores et déjà tous été examinés et synthétisés), d'autres propositions pourraient donc encore survenir, dépassant cette limite. En l'occurrence celle qui émanera du président de la HAT , 

Andry Rajoelina, qui sera présentée seulement durant la conférence nationale et qui n'a donc pas encore fait l'objet d'une lecture préalable au sein du CCC.
Pour le président du comité, cela ne constitue aucunement un problème. « Tous ceux qui n'ont pas pu nous remettre leurs avant-projets dans le cadre du timing établi ont le droit d'apporter leurs contributions pendant la conférence nationale, pas seulement le président de la HAT », a indiqué Florent Rakotoarisoa.
Lui d'avancer même que « Le CCC n'est pas la HAT. Il est neutre et ne reçoit pas d'ordres du gouvernement ni de la HAT », avant de poursuivre que « Les suggestions recueillies dans les avant-projets ne seront nullement délaissées, sauf dans le cas où celles-ci entrent en totale contradiction avec les résolutions adoptées à l'issue de la conférence nationale qui est l'instance de décision finale, ce qui est peu probable », a fait savoir le président du comité.
« Eviter les dérives dictatoriales »
Quoi qu'il en soit, tout en évitant de révéler quoi que ce soit sur les principales tendances relevées dans les quelque 300 avant-projets recueillis, Florent Rakotoarisoa note qu'ils reflètent tous l'histoire politique et constitutionnelle du pays. Toujours selon lui, ils véhiculent également le souhait du peuple d'avoir une Constitution durable et non malléable mais aussi d'éviter les dérives dictatoriales du président de la République et les crises cycliques.
A souligner que le CCC mène actuellement une campagne de sensibilisation et d'information autour du thème de la conférence nationale. « Il ne s'agit pas d'un appel à voter car ce n'est pas notre rôle », a-t-on fait remarquer.
Parallèlement, dans le même cadre, le comité a préparé quelques outils de travail techniques destinés à aider les participants dans les discussions, entre autres, un glossaire des termes utilisés en matière de droit constitutionnel, ou encore un tableau de bord comparatif sur les avantages et les inconvénients des divers régimes politiques existant (présidentiel, parlementaire,…).


Les Nouvelles 06/09/2010
MAHALEO : Une semaine de veillée publique en hommage à Raoul - Vavah Rakotoarivonjy
Deux fois en moins de dix jours, le cercle culturel national est en deuil. Après la disparition de Gabhy de «Kintana Telo», c'est Raoul, un pilier du groupe Mahaleo qui vient de s'en aller. Pour lui rendre un dernier hommage digne de ce nom, une semaine de veillée publique lui est consacrée de Toamasina à Antsirabe en passant par Antananarivo.

Raoul, Raosolosolofo Razafindranoa de son état civil, «l'aïeul du groupe Mahaleo», a tiré sa révérence dans la nuit du vendredi à samedi à Toamasina où il a exercé en tant que médecin pendant plusieurs dizaines d'années. «Il était atteint d'une maladie cardio-vasculaire», confirme Dama, son frère et membre fondateur de ce groupe légendaire du folksong malgache.
Né le 1er avril 1951 à Marolambo, Raoul est le quatrième d'une famille de dix enfants. Comme ses frères et sœurs, il a effectué ses études primaire et secondaire à Antsirabe avant de poursuivre à l'université d'Antananarivo où il a obtenu une bourse d'études en médecine en Europe de l'Est. Après avoir décroché le diplôme de médecin généraliste en Roumanie, il est rentré au pays et a travaillé au Port de Toamasina.
C'est à 18 ans qu'il a commencé à jouer de la guitare. Il a d'abord fabriqué sa propre guitare, puis a composé et enregistré avec Dama quelques morceaux avant de fonder le groupe Mahaleo avec ses amis d'enfance. De son vivant, témoigne son frère, Da-Roul n'a jamais cessé de promouvoir les jeunes talents. C'est grâce à lui qu'Erick Manana a pu monter sur scène au CCAC avec Mahaleo en 1977. A Toamasina, il a aussi continué à aider et former les artistes locaux. Ainsi, à chaque concert du groupe, il ne manque jamais de faire venir des jeunes talents sur scène.
Dama, Bekoto, Dadah et Raoul forment les quatre mousquetaires du groupe Mahaleo. «Il est simple, souvent discret, coopératif et efficace», témoigne Randy Donny, chroniqueur culturel et auteur d'un livre sur le groupe Mahaleo, sorti à l'occasion de la célébration du 35è anniversaire du groupe, en 2007. Il est l'auteur de nombreux titres qui restent toujours sur les lèvres, comme «Somambisamby», un tube composé en Roumanie ou encore «Rivotra».
Une semaine de veillée publique
Comme tous les grands artistes, «Raoul appartient à tous les Malgaches». L'affliction causée par sa disparition frappe plus d'un. Elle ne touche pas uniquement les membres du groupe Mahaleo, ni ses confrères et consœurs artistes, mais tous les citoyens et les inconditionnels du folksong malgache en particulier. Ainsi, ce n'est pas uniquement le cercle culturel malgache qui est en deuil mais tous les mordus de ce style et les amateurs de la bonne musique du pays. Pour lui rendre un hommage digne de ce nom, la population de Toamasina lui a donc réservé trois jours de veillée publique. Samedi et dimanche, le corps l'a été dans sa case familiale, à Tanambao V. 

Lundi, une autre veillée publique lui sera accordée au Port de Toamasina. Le corps ne sera acheminé dans la capitale que mardi matin.

Raoul du groupe Mahaleo nous a quittés
samedi 4 septembre 2010, par Rédaction internet 
Raoul, de son vrai nom Raosolosolofo Razafindranoa, auteur-compositeur-interprète du groupe Mahaleo est décédé.
Il avait écrit « Somambisamby » pour Mahaleo alors qu’il était étudiant boursier en Roumanie.
« Mba jerijereo ny tananantsika, aza avela hangina, aza avela hangatsiaka, fa mbola ho tonga indray andro any ... »

«Une nuit de veillée publique lui sera également accordée dans la capitale, plus précisément au palais des Sports et de la culture à Mahamasina», confirme  un responsable auprès du ministère de la Culture et du patrimoine. Mercredi, le corps sera amené à Antsirabe, dans sa ville d'enfance, où une nuit de veillée publique, à la demande de ses fans, lui sera encore accordée. Deux autres veillées publiques, les jeudi et vendredi, sont également prévues à Ambatofinandrahana. «Les obsèques auront lieu samedi», selon Dama.
Encadré: Hommage de Bekoto à Raoul
Il était un de nos grands frères et maître à penser en étant à la fois médecin et musicien poète. Il m'avait appris à jouer de la guitare qu'il fabriquait lui-même quand nous étions encore au Lycée. Il m'avait appris à aimer Madagascar et les paysans. Merci à toi, cher ami, cher Frère " d'armes " ...Continuer le chemin du Village, c'est aussi honorer à jamais, ton nom et ton génie si modeste : Raolona. Juste un morceau de musique... Un air de guitare en ta mémoire. Tu n'es pas si loin, mais juste à côté et avec nous. Pour toujours. Non, pas de larme. Tu vas détester cela car trop " mou" à ton goût ( aza malemilemy eo ialahy ). 


courriermada.com 05/09/2010

Majunga : Flambée des prix des PPN -  Herizo A. 
Les produits abondent au marché mais le portefeuille ne suit pas à Mahajanga.

La province de Majunga connaît désormais un essor considérable qui est principalement dû à l'effervescence du secteur touristique. En effet, cette région de Madagascar fait partie des destinations favorites des touristes nationaux, particulièrement en cette période de vacances.

De ce fait, les produits ont également connu une hausse. Selon les chiffres recueillis, une augmentation de près de 100 % sur les Produits de Première Nécessité (PPN) a été enregistrée ces dix dernières années. A l'exemple du riz, le kilo est actuellement à partir de 1 400 Ar à Majunga contre 1 200 Ar en Mars 2008 et 500 Ar en Mars 1998 soit près de 140% de hausse. Il en est de même pour l'huile, dont le litre se vend aujourd'hui à partir de 5 200 Ar contre 5 000 Ar en Mars 2008 et 1 380 Ar en Mars 1998 soit près de 363% de hausse. Selon les commerçants, les crises politiques de 2002 et de 2009 ont particulièrement accentué la cherté de la vie à Majunga. Toutefois, ces derniers de mentionner que l'arrivée croissante des touristes, nationaux ou internationaux a également favorisé la hausse des prix. Toujours selon les propos recueillis, les ..Suite MadaVôvô du  05 sept 10  >>  ( ...  )

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