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Francafrique: L'Argent Roi , l'Argent facile ...
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moov.mg 21/12/2010
Volailles. Jusqu'à Ar
60.000 pour une dinde
Les dindes, traditionnellement au menu lors des fêtes, arrivent en grande partie sur le marché de la capitale depuis les régions du sud du
pays.
L'ensemble des volailles abondent actuellement dans les grands marchés et les prix flambent. Jusqu'à Ar 60.000 pour une dinde et Ar 40.000 pour une oie.
Des prix devant lesquels nombre de clients font machine arrière et se rabattent sur d'autres volailles telles les canards ou mieux, optent pour d'autres plats tout aussi succulents.
Certaines familles, indépendamment des moyens financiers, ont choisi de délaisser les plats traditionnels pour essayer d'autres types de plats de fête.
Foie gras et fruits de mer sont alors les plus prisés. Pour ce type de plats, les achats se font la veille du jour J pour disposer de produits de première fraîcheur.
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Hanitra R.
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Recette malgache de Neny
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« Stille Nacht... Douce nuit...
»
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L’histoire du célèbre cantique Stille Nacht commence la veille de Noël 1818 dans un petit village des montagnes de l’Autriche,
Obendorf.
L’abbé Josef Mohr, curé de la paroisse
Saint-Nicholas, a écrit un petit poème intitulé « Stille Nacht », qu’il voudrait bien mettre en musique pour la messe de minuit.
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Mais l’abbé Mohr n’est pas musicien. Aussi, demande-t-il à son ami Franz
Grüber, instituteur et musicien à ses heures, de mettre son petit poème en musique.
Franz Grüber est l’organiste de la paroisse. Cependant, c’est un arrangement pour guitare qu’il
écrit pour le petit poème Stille Nacht de son ami le curé de la
paroisse Saint Nicholas
d’Oberndorf. Et c’est ainsi que fut chanté
pour la première fois, le 24 décembre 1818, le célèbre Stille
Nacht.
Désormais le Stille Nacht allait s’imposer par toute la terre comme le chant le plus symbolique de la nuit sainte de la naissance du Christ-enfant.
Que l’on soit croyant ou non, on ne peut pas rester insensible à la beauté et surtout à la profondeur de ce chant qui a fait le tour de la terre.
Le Stille Nacht a été traduit dans toutes les langues de la terre. On le chante même en esquimau et en bantou africain. Aucun autre air de musique, profane ou religieux, n’a connu autant de renommée internationale que ce modeste cantique de Noël autrichien.
A travers toute la chrétienté, le chant du Stille Nacht est devenu un
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véritable symbole du profond mystère de cette nuit de la naissance du Dieu des Chrétiens.
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Douce
nuit, sainte nuit !
Dans les cieux ! L'astre luit.
Le mystère annoncé s'accomplit
Cet enfant sur la paille endormi,
C'est l'amour infini !
C'est l'amour infini ! ..
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Envoyé par Père Lucien
Heitz- Communication Spiritains
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Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina",
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 lexpress.mu 27/12/2010
Madagascar : La banque BNP Paribas veut se retirer de la BMOI à Madagascar
La Banque française BNP Paribas met en vente sa participation de 75 % dans la Banque Malgache de l''Océan Indien (BMOI), la première banque privée créée après la libéralisation dans les années 80.
La
BMOI, est la quatrième banque de Madagascar derrière notamment la BFV-Société Générale et la BNI (Crédit Agricole).
C’est le quotidien français Les Echos qui en fait état dans son édition du vendredi 24 décembre. Selon le journal spécialiste de l’économie, trois sociétés sont sur les rangs pour reprendre les parts de BNP Paribas dans les capitaux de la
BMOI. Les intéressées sont la Banque Gabonaise et Francaise Internationale
(BGFI), la BRED une banque française d’épargne implantée à la Réunion et une banque chinoise.
La BGFI (Banque gabonaise et française internationale) qui se trouve parmi les repreneurs éventuels vient de s’installer à Madagascar. Elle est présente dans plusieurs pays africains dont le Gabon, le Congo, la Guinée et le Bénin.
La Bred fait partie du Groupe BPCE (Banques Populaires et des Caisses
d’Epargne), issu du rapprochement de ces, deux réseaux coopératifs autonomes et complémentaires. Partenaire financier majeur pour les particuliers et les entreprises, le groupe BPCE est la deuxième société bancaire française.
La BMOI avait été fondée en 1989. Elle emploie, à ce jour,un peu plus de 300 personnes. Elle a son siège social à Antananarivo, la capitale malgache. |
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Si la BMOI a été la première banque privée de Madagascar après la nationalisation de 1975. Elle a été fondé dans le sillage du programme d’ajustement structurel de la politique économique et de la libéralisation qu’a connue Madagascar dans les années 80. Une souscription publique avait même été ouverte. Quelques riches familles malgaches y ont investi. Parmi la famille
Andriantsitohaina, présente dans plusieurs secteurs d’activités économiques dont la presse. Elle a fondé le quotidien Les Nouvelles quand elle s’est retirée des capitaux de
l’Express de Madagascar.
Avec près de 10 millions d’euros de bénéfice net, la BMOI figure même parmi les banques les plus performantes de Madagascar.
Deux banques maurciennes sont implantées à Madagascar. La Mauritius Cormmercial Bank à travers l’enseigne Union Commercial Bank et la State Commercial Bank. Les deux ont des agences à Antananarivo et à
Toamasina.
Xinhuanet.com 23/12/2010
Madagascar : des forêts dans état catastrophique
- Xinhua
Les représentants du groupement des exploitants forestiers de
Fanalamanga, à l'est d' Antananarivo, la capitale malgache, ont rapporté mercredi que l'état des forets dans cette partie de la Grande Ile est catastrophique.
Ce regroupement s'est dit préoccupé par le manque d'un plan d'aménagement bien structuré dans ce lieu, rapporte le quotidien l' Express de Madagascar de mercredi.
Une surexploitation des forêts, marquée par des coupes sauvages et des feux de brousses, a été constatée depuis un an et les zones de régénération et de restructuration sont délaissées.
Ces forêts de pin de Fanalamanga ont été exploitées pour son extraction de résine, un élément important pour la fabrication de la peinture, de parfum, du chewing-gum et beaucoup d'autres produits courants.
Express Mada 23/12/2010
Quid de Bemolanga pour 2011
- Judicaëlle Saraléa
Total a terminé les travaux de forage à
Bemolanga. La décision d'exploitation sera connue vers la moitié de l'année 2011.
Plus que quelques mois et l'avenir du pétrole de Bemolanga sera connu. La compagnie pétrolière Total E&P a terminé la première campagne de forage engagé sur le gisement de grès bitumineux de la région du
Melaky.
En tout, 130 puits ont été creusés pour soutirer des échantillons destinés aux analyses. Total entame actuellement les interprétations des données qui pourraient durer jusqu'au mois de juin. C'est à partir de là qu'on sera fixé si le pétrole de Bemolanga sera exploitable ou pas. D'ailleurs le directeur général par intérim de Total E&P a déclaré à l'occasion des séances d'information sur le projet Bemolanga à Maintirano et Morafenobe les 22 et 23 avril 2009 qu'une « décision sera prise après les deux années prévues pour le premier forage sur la poursuite ou non des travaux à Bemolanga ».
Optimisme
Quant au directeur général de l'Office des mines nationales et des industries strategiques
(Omnis) Joeli Lalarisaina Valérien, il est optimiste. Il prépare déjà les employés aux grands travaux qui les attendent l'année prochaine. « Nous devons être prêts à affronter les gros travaux qui nous attendent en 2011 et laisser de côté les animosités internes », mentionne le DG à l'occasion des fêtes de fin d'année de la grande famille de
l'Omnis, à l'école Sacré cœur Antanimena, hier. |
Joeli Lalarisaina Valérien, directeur général de
l’OMNIS, optimiste pour l’avenir de Bemolanga. |
Si les résultats des études effectuées par Total s'avèrent concluantes, une deuxième campagne de 400 forages démarrera. Ce qui devrait durer entre deux et quatre ans, pendant lesquels, un premier essai de production à petite échelle appelé « essai pilote » sera effectué. En tout, la compagnie pétrolière française prévoit de dépenser environ 100 millions de dollars. Une fois que Total décide de procéder à l'exploitation, un fonds de 6 à 10 milliards de dollars devrait être déployé pour la construction des infrastructures de production. Le gisement pourrait produire dans les 200 000 barils par jour pendant 30ans. Le tout serait exporté en brut et raffiné dans un pays autre que Madagascar.
Midi Mada 22/12/2010
54 Villas Présidentielles : Une villa louée Ar 600 000 la nuitée
- Didier Rambelo
Les 54 villas présidentielles d'Ivato ne sont plus à vendre. Le promoteur chinois qui les a construites en vue de l'accueil du Sommet des Chefs d'Etats Africains en 2009 a annoncé que celles-ci sont reconverties en un complexe hôtelier de luxe et dont le prix de la nuitée pour une villa s'élève à Ar 600 000.
Les 54 villas deviennent donc «un» Hôtel 5 Etoiles. L'on fait savoir du côté du promoteur, en l'occurrence la société
Sogecoa, qu'aucune de ces 54 villas n'a pu être vendue. L'Hôtel Restaurant «Le Paon d'Or», puisque c'est le nom de ce nouvel établissement de haut standing, a été inauguré samedi dernier.
Selon les explications des responsables des lieux, le domaine s'étend sur un terrain de 10 hectares et chaque villa comprend 5 chambres de luxe tout équipées. A noter que les chambres ne sont pas louées à l'unité.
Le ministre du Tourisme et de l'Artisanat, Irène Andréas ayant procédé à l'inauguration de cet établissement devait noter que cet hôtel convient bien à l'accueil de hautes personnalités participant à des séminaires internationaux.
zegreenweb.com 21/12/2010
Madagascar : découverte d’une nouvelle espèce de lémurien
- par Frédérique Josse
Une équipe de scientifiques a découvert une nouvelle espèce de lémurien sur l’île. Une nouvelle appréciée comme il se doit par le président de l’ONG Conservation International, le docteur Russell Mittermeier, pour qui « il est remarquable que nous continuions à découvrir de nouvelles espèces de lémuriens dans ce pays qui a déjà perdu 90% voire plus de sa végétation originale ».
Les experts ont capturé un spécimen et récupéré de
l’ADN et implanté une puce électronique à l’animal. L’objectif ? Favoriser la survie de cette espèce à peine découverte et déjà menacée dans un pays où la déforestation fait rage, où très peu de zones sont protégées et où la survie des primates herbivores est directement menacée.
« La protection des forêts naturelles restantes de Madagascar devrait être considérée comme l’une des priorités mondiales les plus importantes en termes de conservation des espèces animales et végétales », estime M.
Mittermeier, qui milite notamment pour la sauvegarde de la forêt de
Daraina. Et le scientifique de rappeler l’importance de cet espace naturel pour les hommes : « Ces forêts sont le refuge naturel d’un grand nombre d’espèces mais elles fournissent aussi un nombre incalculable de bienfaits aux communautés locales par le biais d’eau propre, de nourriture, de fibres etc. ». La chasse illégale, elle, est une menace très sérieuse pour la pérennité des lémuriens : « Les braconniers tuent la poule aux œufs d’or car ils anéantissent précisément les animaux que les populations souhaitent le plus observer ; ils minent le territoire et, en particulier, les collectivités locales, en les dépouillant des futures recettes de l’écotourisme ».
La « mégabiodiversité » malgache, qu’elle soit animale ou végétale, représente pourtant un enjeu environnemental, sociétal et politique de tout premier plan. Dans l’un des pays les plus pauvres du monde la question environnementale |
Des scientifiques viennent de découvrir une nouvelle espèce de lémuriens à Madagascar. De quoi redonner (un peu) le sourire aux experts qui s’inquiètent de la préservation de la « mégabiodiversité » malgache |
est source de conflits et le lémurien est devenu le symbole de la biodiversité menacée.
Emblème d’un écosystème menacé, laboratoire à ciel ouvert, paradis des amoureux de la faune et la flore, l’île rouge, malgré la déforestation et le braconnage, n’a pas encore dit son dernier mot. Les lémuriens non plus.
Lagazette-dgi.com 21/12/2010
Pétrole de Tsimiroro : une grosse arnaque !
- D.R
Les actions introduites aux bourses par Madagascar Oil ont été suspendues, à moins de trois semaines après que la société a été inscrite, parce que le gouvernement de Madagascar a pris des mesures pour acheter des permis.
Basée au Texas, Madagascar Oil a offert 50 millions de livres sur le marché de Londres Alternative Investment à la fin de Novembre, dans le dessein de produire 1 milliard de barils dans son périmètre de Tsimiroro caractérisé pour son potentiel d'huile lourde.
Toutefois, le gouvernement malgache, après moult investigations note que concernant Tsimiroro : " Aucune garantie n'est visible, car les prix sont loin d'être représentatifs de la juste valeur "
Et davantage, les informations actuellement, disponibles font état que : " Le prix auquel le groupe a été mis sur le marché mentionne une valeur de seulement 32 cents le baril de pétrole dans le sol, ce qui est bien inférieur à la moyenne pour du groupe, en la matière, de l'ordre de 45-50 cents. ".
Il s'ensuit, et de l'avis des observateurs, qu'il s'agit purement, et simplement d'une arnaque, c'est-à-dire d'un acte d'escroquerie ou de tromperie.
Pis encore, et de l'avis des spécialistes, il est annoncé que : " Une estimation basse met les ressources éventuelles et prospectives à un peu moins d'un milliard de barils avec une estimation haute de 5,5 milliards… "
L'astuce n'est-t-elle pas tant de trouver du pétrole de nouveau à ajouter à l'assiette des réserves, mais vise plutôt la réduction des risques du projet en prouvant au monde entier que l'huile avec 13 pour cent API peuvent être exploités de façon rentable en utilisant la technologie d'inondation de la vapeur.
Dans ce contexte, il importe de rappeler que TOTAL va obtenir 99% du chiffre d'affaires de son projet de sables bitumineux Tsimiroro pour les 10 prochaines années - il reste seulement 1% pour Madagascar.
Pis encore, et selon Voahary gasy, il est fait état, notamment, que : " L''arrivée de Madagascar Oil aujourd'hui sur le marché AIM permet aux investisseurs d'acheter dans ce qui est susceptible d'être parmi les plus sales sables bitumineux - bénéficiant des taux les plus bas d'impôt - partout dans le monde…
Mais Madagascar n'a jamais produit du pétrole en quantité commerciale. Jusqu'à présent, les sables bitumineux ont été considérés comme non rentables, d'ailleurs les entreprises ont été rebutées par les risques inhérents à faire des affaires là-bas… "
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La
Recette du jour
Comment
la préparer ?
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... )
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quotidiendutourisme.com 27/12/2010
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En 2011, Air Madagascar augmente son offre au départ de Paris
Air
Madagascar va augmenter son programme de vols en 2011 avec deux
vols hebdomadaires supplémentaires au départ de Roissy.
Dès le 27 Mars 2011, la compagnie nationale malgache passera de 4
à 5 vols hebdomadaires avec l’ajout d’un nouveau vol Paris
– Moroni – Antananarivo. De plus, à compter du 4 juillet, la
compagnie passera de 5 à 6 vols hebdomadaires avec la mise en
service d’une fréquence supplémentaire entre Paris et sa base
opérationnelle d’Antananarivo. Tous ces vols seront opérés
sur Boeing 767 bi-classe. Le nouveau vol hebdomadaire Paris Moroni
Antanarivo opéré le dimanche partira à 16h20 de l’aéroport
de Roissy, arrivera à l’aéroport de Moroni à 3h00 le
lendemain matin, puis redécollera de Moroni à 4h30 pour une
arrivée à Antananarivo à 5h55. La nouvelle fréquence
hebdomadaire Paris/Antanarivo opérée le lundi partira à 20h30
de Roissy, et arrivera à l’aéroport d’Antananarivo à
8h15 |
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Les Nouvelles 27/12/2010
MESSAGE DE NoëL
: Le pape pour la stabilité à Madagascar - Nasolo R.
«Puisse la naissance du Sauveur (…) promouvoir la stabilité politique et sociale de Madagascar ». Cette déclaration a été faite, samedi au Vatican, par le pape Benoît XVI au cours de son traditionnel message de Noël et sa bénédiction urbi et orbi.
Ainsi, au même titre que d'autres pays en guerre, en crise politique ou humanitaire, tels que ceux du Proche-Orient, du Moyen-Orient, Haïti, l'Afghanistan, ou encore la Somalie , le Darfour et la Côte d'Ivoire, le souverain pontife a spécialement fait mention de la Grande île dans son intervention.
A noter que le message du Saint-Père pour ce Noël 2010 a été axé sur le thème « Le Verbe s'est fait chair »
(Epitre de Jean : 1, 14)
Xinhuanet.com 23/12/2010
Madagascar : lancement d'un centre de ressources au commerce international
- Xinhua
Le Centre de ressources au commerce international (CRCI) a été officiellement lancé à la Chambre de commerce et d'industrie Antananarivo.
Ce centre est conçu pour aider les entreprises malgaches à se développer ou à se lancer dans l'exportation et à avoir les informations sur le marché international.
Il a été formalisé sous forme d'une association à but lucratif et est hébergé au sein de la chambre de commerce et d'industrie d' Antananarivo.
En somme, le CRCI est une plate-forme politique d'appui à l' exportation et une stratégie de négociation internationale.
Outre la formation et le business meeting, le CRCI est un centre de promotion de clusters, une prospection de marché, un accès à l'information grâce à son site web www.madagascarexport.mg
A la cérémonie de lancement du CRCI a assistée les membres du Groupement des opérateurs économiques malgaches, nommé en malgache Fivondronan'ny Mpandraharaha Malagasy (FIVMPAMA), présidé par Herintsalama Rajaonarivelo, et le représentant résident de la Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) à Madagascar.
Le CRCI est bâti pour une élaboration nouvelle de la loi sur l' exportation. Madagascar dispose de meilleures perspectives en matière de l'exportation.
Les Nouvelles 22/12/2010
ETUDES SUPERIEURES AUX USA…
7000 à 50 ooo Usd par étudiant par an - Faly R.
Poursuivre ses études supérieures aux USA n'est pas donné au commun des malgaches. En effet, la responsable régionale du département de l'enseignement supérieur pour l'Afrique subsaharienne et l'Afrique de l'Ouest a tenu une conférence sur les critères de la faisabilité de poursuivre ses études supérieures aux USA. Cette conférence, au cours de laquelle on a su qu'une année universitaire coûterait entre 7 et 50 mille dollars, s'est tenue à
l'English training program (ETP).
Actuellement, on enregistre 32 000 Africains dont 142 Malgaches, poursuivant leurs études aux USA. La plupart des cursus universitaires choisis par les étudiants africains ne dépassent pas ce qu'ils appellent « undergraduate » (équivalent de la licence). Mais cela n'empêche pas les autres de poursuivre leurs études jusqu'au Phd (équivalent du doctorat), une fois sur place.
Dira-t-on qu'il n'y aurait donc pas de gens qui postulent pour des études plus approfondies ? « Certes, il y en a » a toujours affirmé cette responsable mais la plupart des cas étudiés concernent généralement les futurs « undergraduates ».
Les USA numéro 1
Notons que malgré le fait qu'il y ait beaucoup de pays pouvant accueillir des étudiants voulant poursuivre leurs études à l'étranger, force est d'affirmer que les Etats-Unis tiennent jusqu'ici la première place avec pas moins de 700 000 étudiants étrangers par an. 21% d'entre eux choisissent la filière « business and management », 18% en « engineering », 8.9% en « physical and life sciences » et 8% en « Mathematics ». Sinon, la plupart des
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Malgaches qui choisissent de s'aventurer dans le monde des études supérieures aux USA préfèrent depuis quelques temps l'environnement et la démocratie.
En outre, l'ambassade des USA à Madagascar possède un bureau de conseil pour orienter les candidats dans leurs démarches. L'an dernier par exemple, ce bureau a reçu environ 4 800 dossiers à raison de 300 à 350 dossiers par mois. Toujours l'an dernier, 42 étudiants malgaches ont pu se former aux USA dont 5 subventionnés par l'Etat américain. Ces étudiants boursiers, une fois leurs études terminées, ont l'obligation de retourner au pays d'où ils viennent durant une période de deux ans. En effet, durant cette période, ils ne pourront pas revenir aux USA. Toutefois, certains boursiers qui voudront poursuive leurs études peuvent rester aux USA. De même pour ceux qui se sont mariés ou encore ceux qui ont pu décrocher un travail.
Par ailleurs, un protocole d'accord est actuellement en train d'être étudié par l'ambassade des USA et quelques facultés ainsi qu'universités privées de la capitale, pour plus de partenariat entre les universités américaines et malgaches.
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moov.mg 21/12/2010
Volailles. Jusqu'à Ar
40.000 pour une oie - Hanitra R.
Les dindes, traditionnellement au menu lors des fêtes, arrivent en grande partie sur le marché de la capitale depuis les régions du sud du
pays.
L'ensemble des volailles abondent actuellement dans les grands marchés et les prix flambent. Jusqu'à Ar 60.000 pour une dinde et Ar 40.000 pour une oie. Des prix devant lesquels nombre de clients font machine arrière et se rabattent sur d'autres volailles telles les canards ou mieux, optent pour d'autres plats tout aussi succulents.
Certaines familles, indépendamment des moyens financiers, ont choisi de délaisser les plats traditionnels pour essayer d'autres types de plats de fête. Foie gras et fruits de mer sont alors les plus prisés. Pour ce type de plats, les achats se font la veille du jour J pour disposer de produits de première fraîcheur.
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Jusqu'à Ar 60.000 pour une dinde
© DTS |
courrierdemada.com 21/12/2010
Les dessous des cartes de la Françafrique : Madagascar dans la tourmente
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L'émission réalisée ce week-end par Patrick Benquet sur la chaîne publique France 2 a suscité beaucoup de
commentaires dans la classe politique malgache et laisse perplexe plus d'un.
D'une part, elle révèle les faces cachées des relations privilégiées entre la France et ses ex- colonies depuis l'indépendance où la toute puissante cellule africaine de
l'Elysée contrôlait, surveillait les faits et gestes des dirigeants des pays du continent, les liant par des accords de coopération ; et d'autre part, elle est diffusée justement quand des voix s'élèvent dans toute l'Afrique pour dénoncer l'ingérence de la communauté internationale, notamment celle de la France sur les crises à répétition en Côte d'ivoire, au Niger, en Guinée, en Mauritanie ou à Madagascar.
Les contestations viennent surtout de la nouvelle génération de jeunes qui n'ont ni connu l'indépendance ni les périodes révolutionnaires et qui refuse qu'un État indépendant dont la souveraineté n'est pas discutable se fasse ainsi maltraiter. Il est donc inadmissible et intolérable pour ces jeunes que par exemple un fonctionnaire des Nations Unies veuille se mettre au-dessus de ces institutions républicaines, comme ce qui se passe en Côte d'Ivoire.
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Un vent nouveau se lève.
Les populations en ont de plus en plus "assez des présidents fondateurs, des pères de la nation, des éclaireurs de pointe, des guides éclairés omniscients et omnipotents", dixit Edem Kodjo, un des médiateurs de la crise Malgache.
S'agit-il d'une simple coïncidence, d'un hasard de calendrier ou une volonté délibérée des pouvoirs publics français de crever une bonne fois pour toute cet abcès qui mine les relations franco-africaines, balayant à jamais toutes les suspicions, où auparavant, hypocrisie et realpolitik se succèdent pour justifier les coups d'Etat ?
Aujourd'hui, Barack Obama vient de confirmer lors de ses prises de position contre Laurent Gagbo, les affirmations les Wikileaks. Il s'est enfin démasqué en dévoilant les réelles visées américaines en Afrique : occuper le pré carré français, contrer les avancées chinoises, russes ou indiennes et balka-niser à outrance pour pouvoir toujours mieux privatiser et dénationaliser sols et sous-sols.
En tout cas la seule préoccupation et intérêt de l'Occident ne serait donc que purement économique et financière, "maitriser l'approvisionnement des ressources énergétiques et naturelles pour développer leur industrie et surtout juguler l'influence et la pénétration des investissements des pays du BRIC (brésil, Russie, Inde, Chine) dont le dynamisme et la volonté d'aider le Continent Africain sans états d'âme, inquiètent avec tous ces milliards de dollars distribués ici et là.
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L'Afrique (Madagascar compris) devient petit à petit un champ d'affrontement de la guerre économique qui s'annonce entre les puissances ayant dominé le monde hier et celles qui aspirent à le dominer aujourd'hui ; comme elle le fut dans la guerre idéologique entre l'Est et l'Ouest dont elle ne retira qu'une pauvreté accrue
Interférences à répétition
Les reproches faits aux réseaux "françafrique" sont ces interférences à répétition dans les choix de nos dirigeants, quitte à nous reprocher ensuite de ne pas savoir les choisir ou de nous désigner comme seuls responsables de l'instabilité politique dont nous souffrons. Ce que nous condamnons et que nous ne cesserons jamais de dénoncer, c'est le cynisme dont les grandes puissances font continuellement preuve vis-à-vis des Africains ; l'exemple de la Côte d'Ivoire est manifeste. Voilà donc un pays en coupe réglée qui confie les richesses naturelles du pays aux multinationales occidentales. Les mêmes instances qui condamnent Gbagbo aujourd'hui, salueront demain la réélection en Egypte de Moubarak.
On parle aussi de nouvelles puissances, la Russie mais surtout la Chine qui se contentent "d'observer" pour le moment. Reste l'Union africaine ; où est-elle quand les Sahraouis se sont fait tabasser ? Quand Moubarak concocte des élections législatives à sa pointure ? Quand le Soudan sombre dans la partition et la Somalie qui n'est plus un Etat ? C'est cela la vision démocratique de
l'ultralibéralisme. A l'évidence, il n'y aura pas, du fait des interférences continuelles de
l'Occi-dent, d'alternance endogène.
La boutade de Jacques Chirac , "Il faut soutenir les dictateurs africains sinon ils ne feraient pas d'élections." (confidence faite à Pierre Péan) est une fois de plus d'une brûlante actualité. Les heurts sanglants entre les deux rivaux risquant de déboucher sur une guerre civile, les Occidentaux qui ont armé les deux camps attendent de quel côté vont souffler les vents.
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L'integral
1h30 FRANÇAFRIQUE 2ème partie : l'argent roi,
l'argent facile |
Et l'on ne sait lequel est le plus intolérable en Afrique francophone : le cynisme des Chinois qui affichent sans complexe leur volonté de faire affaire avec n'importe quel dirigeant, fut-il illégal et illégitime, les droits de l'homme et la démocratie n'étant "pas encore entrées dans leur histoire" (pour paraphraser le désormais célèbre discours de Dakar), ou le cynisme des gouvernants français qui font de même depuis cinquante ans en Afrique, mais en se dissimulant derrière la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, héritage parfois
encom-brant, mais qu'ils ne peuvent bafouer ouvertement parce qu'il est "entré dans l'histoire" de la France depuis 1789 ?
De toutes les façons, la Françafrique d'avant le mur de Berlin se justifiait pour la raison d'Etat, et incarné par Jacques Foccart ; celle d'aujourd'hui fait primer la notion de l'argent roi personnifiée par l'avocat d'affaires Robert Bourgi qui avait comme client les Gagbo, Bongo, Sassou etc... et qui est connu de la classe politique Malgache depuis le 17 mars 2009 pour avoir effectué des missions confidentielles à Madagascar ; des missions perçues trop souvent comme confuses. En tout cas, une autre équipe sarkozienne a fini par l'écarter des dossiers Madagascar
Écrit par Bonaventure
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