LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...  ( ...   )

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Les Nouvelles 11/03/2011
PARAPHE DE LA FEUILLE DE ROUTE : La balle renvoyée à Ravalomanana - Manohisoa 
Au lendemain de l'apposition du paraphe, la mouvance Marc Ravalomanana a confirmé hier au Colbert qu'elle n'a pas paraphé la feuille de route de Leonardo Simao. Au cours de sa rencontre avec cet émissaire de la Sadc , Mamy Rakotoarivelo et son équipe ont signifié leur réserve par rapport au paraphe et/ou à la signature de la feuille de route lesquelles devraient être prises en compte dans la version finale du document. Cependant, l'équipe de la médiation de la Sadc n'a pas voulu enregistrer ladite réserve de la mouvance Marc Ravalomanana.
« Encore une fois, nous n'avons pas paraphé la feuille de route. Cependant, nous enverrons une délégation en Afrique du Sud, pour discuter et expliquer à Marc Ravalomanana le déroulement du processus qui a eu lieu dans la Grande île. A l'issue de cette rencontre, le paraphe sera effectué, selon le cas, à Maputo ou en Afrique du Sud par notre chef de file même », a fait savoir Mamy Rakotoarivelo.
La délégation de la mouvance Ravalomanana semble avoir tout fait pour qu'elle puisse participer à la mise en application de la feuille de route. Les démarches qui ont été effectuées n'ont pas permis de persuader le médiateur de la Sadc à accepter les conditions de cette mouvance. Il appartiendra à Marc Ravalomanana de persuader l'équipe de la médiation de la Sadc , notamment Joaquim Chissano, à prendre en compte son cas particulier, notamment les conditions de son retour à Madagascar.
Au cas où cette dernière tentative échouait, la mouvance Ravalomanana retournerait donc à sa position habituelle, en s'alliant avec les mouvances Ratsiraka et Zafy qui ont décidé de ne pas adhérer à la feuille de route. Une position qui met les partisans du prédécesseur de Rajoelina en marge de la classe politique.

Midi Mada 11/03/2011
« Vary mora » : Coups de balance et faible couverture du marché - Hanitra R.
Le riz importé par l'Etat et vendu dans les fokontany à Ar 900, ne peuvent s'acheter qu'au prix de longs moments passés à faire la queue. Le produit en question reste, en effet, assez rare et n'est visible qu'auprès de quelques revendeurs qui, visiblement, ne couvrent pas l'ensemble du marché. Les consommateurs qui n'ont pas la possibilité de consacrer des heures dans les files d'attente en raison de leurs activités professionnelles, n'ont ainsi pas d'autres choix que de se contenter du « vary lafo » à Ar 1700 le kilo. 

Tandis que ceux qui en ont la possibilité se plaignent des mauvaises conditions de distribution de ce riz. En effet, nombreux sont les consommateurs qui se plaignent de la quantité du produit qui leur est remis : sur trois kilos de riz achetés, le consommateur, une fois arrivé chez lui, s'aperçoit que le riz en question ne pèse de 2,5kg, voire 2kg. De sérieux coups de balance qui ne sont pas sans rappeler les pratiques connues durant la période des « Famatsiana » du temps de la seconde République ! Elles ne sont certes pas à généraliser, mais fait tout de même l'objet de nombreuses plaintes de la part des consommateurs.
Mélangés. 

D'autres localités, notamment celles hors de la capitale, se plaignent également de ne pouvoir trouver du « vary mora ». Ce riz, bien que visible auprès de plusieurs revendeurs, est vendu à un prix beaucoup plus cher que les Ar 900. Il est proposé à Ar 1350 le kilo pour certains, comme c'est le cas dans plusieurs localités de la RN1. Les revendeurs avancent l'argument du coût du transport pour justifier ce prix. Sensiblement le même que celui du « vary gasy », à Ar 1400. Il n'est pas rare non plus de voir le riz importé et destiné à la vente à Ar 900, mélangé à d'autres types de riz locaux et revendus à Ar 1600. Une pratique dénoncée par les consommateurs, comme c'était le cas dernièrement à Andohatapenaka II. Ailleurs, les auteurs de telles pratiques ne sont pas encore véritablement inquiétés dans la plupart des cas.

Les Nouvelles 09/03/2011
PRODUITS DE PREMIERE NECESSITE : Le sucre et le riz interdits d'exportation - Lisann
Par décision du conseil des ministres, le riz et le sucre sont frappés d'interdiction d'exportation. Cette mesure a déjà été adoptée ailleurs, mais, dans le cas actuel, elle pourrait se révéler à double tranchant.
Le conseil des ministres a décidé lundi d'interdire l'exportation de riz et de sucre. Cette mesure a un effet immédiat et une durée encore indéterminée, le gouvernement se contentant d'un vague « quelques mois » pour toute précision.

la Banque mondiale s'est inquiétée début 2011 de l'envolée des cours mondiaux , son directeur, Robert Zoellick, indiquait que « Le seul répit qu'on ait en ce moment, c'est que les cours mondiaux du riz n'affichent pas l'augmentation spectaculaire qu'on observe dans le cas du maïs et d'autres denrées ». Or, dans le cas de la Russie , c'est justement l'envolée des cours mondiaux qui avait motivé la décision du premier ministre Vladimir Poutine. Pour le cas du riz à Madagascar, si cette denrée reste à peu près stable sur le marché mondial, les producteurs n'ont aucun intérêt particulier à se tourner vers les marchés étrangers plutôt que vers le marché national.
La flambée des prix sur le marché malgache tient plus, cela a été dit et redit, aux phénomènes de spéculation, qui ne sont nullement empêchés par cette interdiction, mais qu'il convient de combattre en priorité.
De plus, cette mesure risque de fragiliser les entreprises malgaches spécialisées dans l'exportation, et de menacer l'emploi de leurs salariés. Enfin, cette décision réduit aussi les devises que le commerce agricole permet à Madagascar d'engranger chaque année.

moov.mg 07/03/2011

Express mada 07/03/2011
Enseignement supérieur : Les études à l'étranger font rêver - Lantoniaina Razafindramiadana
Le choix des étudiants malgaches de poursuivre les études dans les pays anglophones connaît une grande évolution. Toutefois, la France détient toujours la première place des destinations d’accueil.

« Mais le financement des études est assez élevé qu’il m’est difficile de croire que je partirai un jour là-bas. Toutefois je ne perds pas espoir quant à la possibilité d’une bourse offerte par l’Etat australien », continue-t-elle.
Pour le moment, très peu de demandes déposées par d’étudiants malgaches parviennent à la commission à l'île Maurice. « Etudier en Australie est encore une nouveauté pour les jeunes malgaches », confirme France Arnaud, animatrice du stand de l’Australie et directrice de Boomerang Australia Studies & Consulting, cabinet de conseil francophone basé à Sydney.
Actuellement, Singapour attire aussi de nombreux jeunes malgaches. Le développement économique et technologique du pays a réussi à les séduire pour y poursuivre les études. 
Mais comme pour le Canada, l’inexistence d’une bourse gouvernementale semble pour certains un facteur de blocage. 
« L’idée d’étudier au Singapour n’est pas mal du tout, notamment si nous voulons nous spécialiser dans les nouvelles technologies. Ce pays a connu très rapidement un développement dans ce secteur », soutient Aina, un étudiant en informatique venu au salon.
Spécialisation
Malgré cet engouement, les obstacles interviennent. Comme l’Australie, il n’existe pas de bourse octroyée par le gouvernement singapourien. Les étudiants doivent se prendre en charge financièrement et socialement. Le Kits4 Kids University, sise à Antsakaviro, les prépare seulement pour aller étudier dans ce pays. Il opère en partenariat avec le représentant du consulat honoraire de Madagascar à Singapour pour les visas et l’inscription. 
Dans la même foulée, les Etats-Unis restent le grand rêve des jeunes malgaches de par leur position de première puissance mondiale. Une grande affluence a été observée au stand de l’ambassade lors du salon. 
Cette fois, l’existence de bourse dans le cadre du programme Fullbright a bien ravi l’assistance. « C’est génial.Je pense que l’année prochaine je vais déposer ma candidature pour être parmi les boursiers car maintenant c’est déjà trop tard. Selon les explications fournies, les dossiers doivent déjà être bouclés à la fin décembre », affirme Zo, très motivée.
« En attendant, je vais perfectionner mon anglais au Centre de formation en anglais de l’Ambassade à Antsakaviro », poursuit-elle.
Outre l’existence d’une bourse et le développement économique, industriel et technologique du pays, la spécialisation en langue peut guider le choix d’un étudiant. C’est le cas pour l’Angleterre mais aussi pour l’Allemagne. 
En tous cas, quelles que soient les raisons du choix, la maîtrise de la langue de Shakespeare est incontournable dans les universités ou les écoles de ces différents pays. Un critère qui explique encore la première position de la France comme pays d’accueil. 
« La jeunesse d’aujourd’hui connaît de grandes difficultés dans la maîtrise de langues autre que le français, ce pour diverses raisons dont l’absence d’un milieu dans lequel elle peut pratiquer la langue », explique Rado Randrianarivony, responsable auprès de l’Ecole supérieure Sacré-Cœur d’Antanimena. « Un bon niveau d’anglais est exigé à ceux qui veulent étudier dans les universités anglophones », précise-t-il.
Plusieurs partenariats avec la France
Bien que la plupart des jeunes malgaches maîtrisent mieux la langue de Molière qu’une autre, le choix de la France comme première destination pour les études réside dans le fait qu’il existe plusieurs offres et que beaucoup de nos universités privées travaillent en partenariat avec des universités implantées dans l’Hexagone. 
A titre d’exemple, l’ISCAM vient de créer de nouvelles opportunités pour les jeunes de passer des concours d’entrée dans les grandes écoles françaises en devenant le centre d’informations et de concours dans le cadre de la passerelle ESC. Un concours qui permet l’intégration directe dans 17 écoles de management en France.

Midi Mada 04/03/2011
Salon des études internationales : Plusieurs opportunités de bourses à l'étranger, mais pas accessibles à tous! 
Etudier à l'étranger, c'est le rêve de beaucoup de malgaches, tout niveau confondu. Hier, le coup d'envoi du salon des études internationales organisé par Madajeune a drainé du beau monde.
Plusieurs dizaines de millions Ar, ou même plus. Les chiffres défilent devant les yeux de Lalaina et de ses copines, de jeunes étudiants venus visiter le deuxième salon des études internationales au Carlton. La manifestation continue ce jour, durant laquelle plusieurs conférences à thème, animées par de grands noms de quelques grandes écoles en partenariat avec les établissements malgaches, expliqueront en détail les avantages des études à l'étranger, ainsi que des étapes à suivre pour s'inscrire dans les universités étrangères. Plusieurs institutions ont répondu présents: Iscam, en partenariat avec Le Concours Passerelle ESC, Boomerang Study Australia, Kits4Kids en vue d'étudier à Singapour, UIAC, pour étudier en Angleterre, Australie, Singapour, TBS en partenariat avec ABE et LCC Londres, AUF, pour obtenir des bourses d'étude dans les pays francophones, Education USA, Campus France, un service rattaché à l'ambassade de France, DAAD, un service rattaché à l'ambassade d'Allemagne, ESSCA en partenariat avec IESEG Business School Lille France, Alliance française de Madagascar, Groupe HEC Paris, premier établissement en Business School en France.
DAAD. 

Plusieurs départements rattachés à des ambassades étrangères ont participé au salon. Ces départements ont présenté les bourses potentielles que les étudiants peuvent obtenir afin de continuer leurs études à l'étranger. Les responsables ont ainsi expliqué les étapes à suivre afin de pouvoir présenter une demande en bonne et due forme, mais aussi les universités et établissements qui offrent des bourses partielles ou intégrales. Des bourses d'étude dans un pays occidental, en Europe, sont ainsi à portée de main. A l'ambassade d'Allemagne, l'office allemand des échanges universitaires, DAAD, permet de manière efficace de faire un échange entre experts, de même que pour l'échange d'innovations en matière d'enseignement et de recherches. Le DAAD dispose ainsi d'un réseau important pour offrir son appui au système d'éducation à Madagascar. Deux étudiants ont ainsi bénéficié de bourses intégrales offertes par le DAAD les deux années universitaires passées. Ces étudiants ont pu perfectionner l'allemand. Mais ces opportunités sont offertes à tous les niveaux, que ce soit pour un master, un doctorat ou un chercheur. En outre, le DAAD cherche également des partenaires du secteur privé et public pour le développement du système d'enseignement supérieur à Madagascar.
Anjara Rasoanaivo 

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Express Mada 12/03/2011

Secteur aurifère : Chasse aux acteurs illicites - Lantoniaina Razafindramiadana
Le ministère des Mines et des hydrocarbures lance, pendant ce mois de mars, une opération d'assainissement de la filière or. Tous les acteurs sont invités à intégrer le circuit légal.

Ces dernières sont jugées nécessaires, dans la mesure où la mise en place des comptoirs et des agences de l'or n'ont pas contribué à l'amélioration des déclarations et la formalisation de la filière. « Le problème se situe déjà au niveau des sites d'exploitation dans les localités éloignées. Des collecteurs prêtent de l'argent aux orpailleurs qui les remboursent en leur donnant l'or qu'ils viennent de trouver. Ces derniers se contentent de recevoir une somme suffisante pour leurs besoins quotidiens », indique toujours le DG. « Du côté des comptoirs de l'or, des acheteurs proposent non loin de ces lieux un montant plus important. Si le comptoir achète le gramme à 60 000 ariary, ils le proposent à 70 000 ariary en se rattrapant sur le poids », prend-t-il comme exemple.
Entre-temps, le ministère sensibilise tous les acteurs intervenant dans le secteur, à savoir les exploitants, les collecteurs, les transformateurs, les vendeurs et les exportateurs, à procéder aux déclarations légales et justes auprès des directions régionales des mines.

Les Nouvelles 10/03/2011
MOUVANCE RAVALOMANANA : Signature d'une feuille de …soutien - Manohisoa 
Au cours de l'apposition de paraphe, hier au centre de conférences internationales d'Ivato, la mouvance Marc Ravalomanana a marqué sa présence.
Si les différents groupements et partis politiques ont affiché leur volonté d'adhérer au processus lancé par la feuille de route de Leonardo Simao en paraphant le document, l'équipe de Mamy Rakotoarivelo, quant à elle, s'en est abstenu mais a marqué uniquement sa présence sur les lieux.
«Nous ne comptons pas, pour aujourd'hui (lire: hier), parapher la feuille de route en son état actuel. Nous avons seulement signé la fiche de présence sans aller plus loin», a-t-il lancé. Selon cette délégation, la mouvance Marc Ravalomanana aura encore des propositions d'amendement à avancer avant de pouvoir signer définitivement cette feuille de route. Dans son état actuel, la feuille de route de Leonardo Simao en est à sa seconde révision. «Pour notre part, si notre proposition est prise en compte, nous signerons la version révisée n°3 de la feuille de route laquelle serait la version définitive. Nous tenons à préciser que si cette feuille de route est paraphée mais n'est pas encore signée, c'est parce que des amendements peuvent être encore y être apportés», a encore expliqué Mamy Rakotoarivelo.
En effet, le pouvoir accordé au président de la Transition gêne beaucoup les partisans de Marc Ravalomanana. Selon eux, «Andry Rajoelina détient plus de pouvoir qu'un roi ou un président de la République élu démocratiquement. Nous trouvons cela aberrant, c'est pourquoi nous avons demandé auprès de l'équipe de la médiation de nous accorder quelques jours avant de parapher la feuille de route».
Unité et diversité
Pourtant, force a été de constater qu'une autre aile des partisans de Marc Ravalomanana a effectué une signature double, toujours au nom de cette mouvance. L'ancien député, Yves Aimé Rakotoarison a, en fait, signé non seulement le registre de soutien mais aussi la feuille de route révisée. «Nous estimons que si nous procédons au paraphe, cela marque la volonté d'adhérer à la feuille de route. Nous avons paraphé le document au nom de la mouvance Ravalomanana».
Malgré cette différence de position, les deux personnalités confirment que la mouvance Marc Ravalomanana reste unie. «Notre mouvance reste encore solidaire. Seuls, Fetison Andrianirina et moi en tant secrétaire général du Tiako i Madagasikara et membre de la délégation de la mouvance pouvons signer au nom de la mouvance Ravalomanana. Yves Aimé Rakotoarison n'est pas habilité à le faire au nom de cette mouvance. Donc, il n'a pas signé», a justifié Mamy Rakotoarivelo. Yves Aimé Rakotoarison, quant à lui, a confirmé que la mouvance Ravalomanana n'est pas divisé. «Nous exigeons entre autres le retour de Marc Ravalomanana dans un climat apaisé. Cette condition est déjà écrite dans cette feuille de route donc nous l'avons signée. La preuve, vous avez remarqué que des membres de la délégation ont marqué leur présence au cours de cette cérémonie».
Seulement, la confusion va régner au niveau des partisans des trois mouvances. Comment vont-ils réagir lorsque certaines têtes de leurs leaders apparaîtront sur leur petit écran en ayant paraphé un registre de soutien et le document de Leonardo Simao ? Rappelons que, depuis quelque temps, un double langage régnait au sein des trois mouvances. Si au Magro de Behoririka, les leaders de la manifestation annoncent que les trois mouvances ne participeront ni aux négociations unilatérales, ni à la signature de la feuille de route si ce ne sont pas les chefs de file qui la signent, d'un autre côté, les autres leaders comme Mamy Rakotoarivelo poursuivent toujours une démarche visant à trouver les moyens d'intégrer le processus.
Encadré: Feuille de route- Les trois mouvances disent non
Les trois mouvances campent sur leur position concernant la feuille de route proposée par Leonardo Simaõ et continuent d'exprimer leurs craintes par rapport à ce document.
«Nous demeurons fermement convaincus que cette feuille de route n'apportera pas la solution à la crise», a déclaré hier Régis Manoro à sa sortie de l'ambassade d'Algérie à Behoririka où les ténors des trois mouvances ont déposé une lettre.
En effet, ayant répondu aux abonnés absents lors de la cérémonie de paraphe de la feuille de route, les mouvances Albert Zafy, Didier Ratsiraka et Marc Ravalomanana ont entrepris de remettre leurs propositions auprès des différentes chancelleries étrangères existant au pays, en l'occurrence, pour hier, les ambassades de Chine et d'Algérie. Ce jour, elles feront part de leurs propositions aux représentants de l'Onu présents à Madagascar. 

Midi Mada 09/03/2011
Ravintsara : 200 000Ar le litre de l’huile essentielle - Navalona R.
Le PSDR met en place une unité de transformation des plantes en vue de la production des huiles essentielles au profit d’une association des producteurs dénommée « Fiavotana » à Ambodisaina dans le district de Toamasina II. 

Financé à hauteur de plus de Ar 65 millions, l’apport bénéficiaire s’élève à plus de Ar 3 millions. « Notre association se lance plutôt dans la production de l’huile essentielle de Ravintsara car le débouché est assuré et intéressant », explique Raharimanga Annick, la présidente de l’association. « En effet, le litre de l’huile essentielle s’acquiert à 200 000 Ar si c’est de bonne qualité. Les impuretés ne peuvent pourtant être constatées qu’après analyse d’un échantillon », a-t-elle poursuivi. L’association travaille actuellement en partenariat avec une société se spécialisant dans la production des plantes médicinales et des huiles essentielles dans la Capitale pour ce faire. Elle veille également à la traçabilité de son produit car elle ne collecte que des feuilles plus matures, qui se trouvent à plus de 30km de son site, tout en respectant la propreté et le temps de cuisson lors de l’extraction à vapeur de l’essence de Ravintsara. Il faut 100 kg de feuilles pour obtenir 1 litre d’huile essentielle de Ravintsara. L’association est maintenant en train de constituer son stock d’huiles essentielles. Entre-temps, elle met son alambic à la disposition des autres producteurs moyennant une location de 15 000 Ariary/jour au minimum.

air-journal.fr 08/03/2011
Air France se renforce vers Madagascar cet été
La compagnie aérienne Air France a annoncé une augmentation de ses capacités vers Madagascar pour l’été 2011, avec le passage à des aéronefs plus grands sur les quatre vols hebdomadaires depuis l’hexagone.

Madamaki.com 07/03/2011
Maigrir sans avoir faim.
L’ananambo peut s'adresser aux personnes effectuant des régimes en apportant des éléments essentiels et en procurant un sentiment de satiété (Sa consommation peut augmenter la sensation de satiété, ce qui procure un véritable effet coupe-faim tout en maintenant le taux de glycémie de manière constante. Ainsi, l'Ananambo est un complément idéal lors des régimes amaigrissants).

 Le succès de l'ananambo dans le domaine du sport est hors de discussion parce qu'elle donne de la puissance en réduisant la fatigue et l'effort.

Tribune Mada 05/03/2011
Corsairfly se transforme en compagnie régulière: 4 vols par semaine à partir de juin -  Valis 
À compter de la dernière semaine du mois de juin prochain, Corsairfly va desservir 4 fois par semaine la destination Madagascar, dont 3 fois en passant par Mayotte et un vol direct depuis Paris-Orly. Au retour, il y aura également 4 vols, là tous directs sur Paris, au départ d’Ivato. 

cette conférence de presse, déjà sa place dans le transport aérien depuis la capitale car elle occupe 46 % du marché pour le vol long-courrier reliant Antananarivo et le reste du monde. Appartenant au groupe TUI leader dans le tourisme, Corsairfly entend promouvoir le tourisme à Madagascar et dans cette perspective, elle a convenu d’un partenariat avec TGVAir permettant aux clients de la compagnie de bénéficier d’acheminement vers 15 villes de province française.

"Les 'Grands' parlent d'idée   les 'médiocres' parlent d'évènements   les 'misérables' parlent contre les personnes..."	Clikeo ny 2CV mena	"Hier c'est une  histoire Demain est un mystère Aujourd'hui un cadeau..."

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Sommaire en haut de page)