MadaVôvô 2011

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Les Titres de MadaVôvô du 27 dec 2011  

BigNews:  Le Tour de Madagascar 2011: Émile Randrianantenaina réédite l’exploit de 2010 

L'Edito:  « Angano, le conte malgache de Noël... »       ( ...

1. La Tremblade : Une conférence sur Madagascar (sudouest ) ( ...  )

2. Les produits textiles de bonne qualité "Made in Madagascar" vendus en Chine (xinhua) ( ...  )

3. SMM-POLICE :Limogeage??? Razanamahasoa indignée (express) ( ...  )

4. Conjoncture : La France très présente (tribune) ( ...  )

5. Transition : La mouvance Ravalomanana suspend sa participation (nouvelles) ( ...  )

6. Conflit Magistrat / police : Les fruits de la corruption (courrierdemada) ( ...  )

*. No Comment... No Comment...     

7. TNT : Madagascar et l’Egypte plébiscités, les people en berne (toutelatele)     ( ...
8. Chez les forces d’intervention de la police: Inquiétant début de mutinerie (lagazette)
     ( ...

9. Musique classique : Andrianiaina Sandy Rajaofetra, jeune et virtuose (madanews)     ( ...

10. A partir de demain…: La pagaille et l’anarchie (lagazette )     ( ...

11. Eric wong : « Les Etats-Unis auraient aimé plus de changement » (express)     ( ...

12. «Madagascar 2: la grande évasion» en tête des audiences télé dimanche soir (20minutes)     ( ...

13. SMM – Forces de l’ordre : la situation se corse     ( ...

... Le précédent MadaVôvô  17 dec 11  >>  ( ...  )

*8. Madagascar - Comment les lémuriens finissent dans les assiettes (slateafrique)  ( ...  )

9. Que peut-on faire avec 500€ à Madagascar ? (tananews)  ( ...  )

27/12/2011

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

1 Ar = 5 FMG

cours moyens en Ar

Euro (EUR) 2 856,00
Dollar Americain (USD) 2 187,98
Livre Sterling (GBP) 3 419,16
Franc Suisse (CHF) 2 340,59
Rand South Africa (ZAR) 268,10
Japan Yen (JPY) 28,07
Dollar Canadien (CAD) 2 147,92

Date Eur/Ar Date Eur/Ar
31/10 2971 30/11 2817
13/09/08 min:2290 26/10/09 max:3032

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...  ( ...   )


 

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 Big News... Le Tour de Madagascar 2011: Émile Randrianantenaina réédite l’exploit de 2010 

    En plein dans le mille.

 Émile Randrianantenaina redonne l’espoir au cyclisme malgache en digne relève des Ravoatabia et autre Relaha. Il a signé une seconde victoire d’affilée, hier.
    
Deuxième victoire de suite pour Émile Randrianantenaina en s’imposant devant les coureurs français. Il reçoit une paire de roues à 2 000 euros, un million d’ariary en banque et un chèque de 350 000 ariary, à part ses primes sur le Tour.
La messe est dite sur ce qui est du huitième Tour cycliste international de Madagascar (TCIM). Emile Randrianantenaina, de l’équipe nationale malgache B, vient de rééditer son exploit de 2010. Il gagne l’évènement phare du cyclisme malgache de l’année.

      Après avoir effectué une remarquable étape n°8 reliant Miandrivazo à Mandoto, jeudi, ce jeune coureur de 22 ans est parvenu à prendre le dessus sur ses principaux adversaires, à l’instar des Français Alexis Tourtelot (2e) et Médéric Clain (3e). En enregistrant une avance de plus de deux minutes, il a tout simplement géré son effort durant la 10e et dernière étape d’hier qui s’est achevée autour du lac Anosy. 

( Express mada 19/12/2011 )

    « Au début du Tour, je ne pensais pas vraiment que j’allais gagner encore une fois le TCIM. Mais tout s’est joué à l’arrivée à Mandoto et il a suffi de se surpasser sur cette étape pour s’imposer...» Emile double vainqueur du TCIM 


 « Angano, le conte malgache de Noël... » 

    Un conte ou « Angano », c'est un monde merveilleux où tout est possible !
     " A l’époque où les enfants malgaches n’allaient pas encore à l’école, leur réciter un conte étaient pour les parents un des moyens de les éduquer et de leurs transmettre des leçons. Ainsi toute la famille se réunissait habituellement après le repas du soir.     

     Par ce conte, Alain René ARBEZ  nous transmet, qu'avec la foi tout est possible et que Dieu bénit le dur labeur des paysans .

     Le soleil couchant embrasait l’horizon de ses rougeoiements, lorsque Andrianjaka apprit que le roi, Ralambo, son père, venait de rejoindre le royaume des ancêtres auprès de Zanahary, le Dieu à la présence parfumée appelé aussi Andriamanitra…  

     Andrianjaka  comprit que le pouvoir royal dont il était maintenant investi devant le peuple le conduirait à rechercher de quelle façon honorer la tanindrazana, la terre des ancêtres, en faisant régner la justice et la bonne entente entre tous. En effet, si Ralambo son père, avait toujours su échapper aux sortilèges maléfiques de ses adversaires, les mpamosavy, cette fois, le vieux roi était mort de fatigue, usé par les guerres continuelles entre ethnies rivales. Le fils avait bien essayé de redonner des forces au père par des décoctions de plantes de Madagascar, si riches de facultés régénérantes, mais cela n’avait pas été suffisant, il était déjà trop tard.

    Après les longues cérémonies de deuil qui réunit tous les notables de la cour, Andrianjaka partit seul, méditer dans la forêt. Les oiseaux accompagnaient son passage de chants mélodieux, comme pour annoncer une bonne nouvelle imminente, malgré les apparences contraires. Car Andrianjaka longea la grande rizière royale, celle qui nourrissait tous les villages des collines sacrées environnantes, et il constata avec tristesse 

combien cette année, en raison des ouragans, la récolte de riz s’annonçait mauvaise. Le nouveau roi était inquiet pour son peuple. Il leva les yeux vers le ciel pour prier et demander à Zanahary de bénir le dur labeur des paysans qui avaient longuement repiqué le riz.  ...  Cliquez-ici

Michèle et Henri Rasata Ranaivoson de Genève

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Michèle et Henri  ont  répondu à notre appel  pour publier des Editos maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos  


sudouest.fr 27/12/2011

La Tremblade : Une conférence sur Madagascar

Véritable sanctuaire aux multiples richesses, l'île de Madagascar, quatrième plus grande île du monde, offre au regard une multitude de trésors naturels : splendeurs de la végétation tropicale, lumières et couleurs des Hautes-Terres aux paysages façonnés par d'innombrables rizières, variété d'une faune unique au monde. 

Ce pays, on pourra le découvrir jeudi après-midi, au cinéma Le Cristal de Ronce-les-Bains, avec un film conférence intitulé « Madagascar, terre des ancêtres ». 
Madagascar est surtout riche de ses trésors humains que constitue sa culture, représentée par quelque 18 ethnies qui la composent. Ainsi, pour ce deuxième opus de la saison 2011-2012, des films-reportages proposés par Images et cultures du monde (1), René Figari a choisi d'illustrer comment, malgré la débâcle économique qui s'est abattue sur l'île, les Malgaches d'aujourd'hui puisent leur plus grande force dans les richesses de leurs cultures, perpétuant avec ferveur leurs traditions ancestrales, comme celle du Famadihana, cette étonnante cérémonie du « retournement des morts ». 
(1) « Madagascar, terre des ancêtres », film conférence, au cinéma Le Cristal de Ronce-les-Bains, jeudi 29 décembre, à 17 heures. Tarif : 7 euros, moins de 10 ans, 5 euros. Renseignements au 06 21 68 13 88.

Madagascar l'insolite, riche de ses trésors humains. (Photo DR)


Xinhuanet.com 22/12/2011
Les produits textiles de bonne qualité "Made in Madagascar" vendus en Chine - Xinhua

Les produits textiles de bonne qualité étiquetés "Made in Madagascar" sont actuellement vendus en Chine, a affirmé le président directeur général (PDG) de la société Cottonline, Salim Ismaïl, le week-end dernier dans la localité de cette société à Antsirabe, à 170 Km au sud d'Antananarivo, la capitale malgache.
Ces produits malgaches, notamment des chemises et des pantalons, sont fabriqués par des tissus en coton que la société produit elle-même et qui sont distribués par de grandes marques internationales comme Zara, Decathlon, Marks & Spencer et Woolworth et ils respectent toutes les normes et qualités requises pour percer le marché chinois.
"Ce n'est que cette année que la société a exporté en Chine et la quantité est encore minimale mais nous sommes très optimiste pour l'évolution des volumes des commandes car les produits sont très appréciés par les consommateurs chinois", a précisé le PDG.
Notons que Cottonline est une entreprise franche du groupe Socota dans la même branche que Cotona, la société productrice de tissus en coton destinés au marché local. Une partie de la production de Cotona est utilisée par Cottonline pour ses matières premières.
Depuis l'année 2000, Cottonline exporte déjà ses vêtements de bonne qualité "Made in Madagascar" sur le marché européen, en Afrique du Sud et dans la région de l'océan Indien.


Express Mada 22/12/2011

SMM-POLICE :Razanamahasoa indignée  - Misaina Rakotondratsima

 Christine Razanamahasoa a évoqué hier son étonnement de la proposition du Premier ministre de limoger deux de ses ministres.

 Jean  Omer  Beriziky,  Premier  ministre  de  consensus  de  la  Transition,  a  confirmé  hier  à    Mahazoarivo  lors  d’un  entretien  avec  la  presse,  «  sa  »  proposition  à  destination  de  Andry  Rajoelina,  président  de  la  Haute  autorité  de  la  transition,  de  limoger  deux  de  ses  ministres  en  même  temps.  Arsène  Rakoton­drazaka,  ministre  de  la  Sécurité  intérieure  et  Christine  Razanamahasoa,  son  homologue  de  la  Justice,  sont  désormais sur 

la  liste  des  « éjectables ». 

Si  cette  figure  évoquée  par  le  chef  du  gouvernement  reste  actuellement  au  stade  de  « proposition »,  elle  n’a  pas  manqué  de  secouer  la  haute  sphère  de  la  politique,  à  commencer  par  la  garde  des  Sceaux  qui  n’a  pas  caché  son  indignation  et  son  incompréhension  de  la  situation.

Christine  Razanamahasoa,  d’habitude  maîtresse  d’elle-même  vis-à-vis  des  brûlots  de  la  Transition,  est  apparue  dépassée  par  les  événements  hier.  « Je  ne  réalise  même  pas  encore  très  bien.  Comment  se  fait-  il  qu’une  telle  proposition  soit  prise  contre  nous,  les  Magistrats,  qui  sommes  les  victimes  dans  cette  affaire  ?  »,  a  posé  la  garde  des  Sceaux  hier,  en  référence  au  meurtre  de  Michel  Reha­vana,  magistrat  en  exercice  à  Toliara  en  tant  que  substitut  du  procureur  de  la  République.  Christine  Razanamahasoa  met  en  avant  l'irrationalisme  de  cette  proposition  du  Premier  ministre  de  la  Transition  qui,  d’après  elle,  « met  la  Police  auteur  du  méfait  dans  le  même  sac  que  les  magistrats  »  en  général,  et  elle  en  particulier.  Elle  s’en  remet  ainsi  « au  jugement  de  Andry  Rajoelina,  président  de  la  Haute  autorité  de  la  transition  (HAT),  qui  peut  faire  preuve  de  sagesse  et  de  recul  afin  d’analyser  la  situation ».

De  son  côté,  Arsène  Rako­ton­drazaka,  ministre  de  la  Sécurité  intérieure  et  objet  de  la  croissante  animosité  entre  le  SMM  et  la  Police,  actuellement  à  Toliara  à  la  tête  d’une  mission  officielle  «  pour  encadrer  les  enquêtes  préliminaires  d’usage  »,  est  injoignable.  Dans  les  faits,  sa  mission  a  permis  le  transfert  de  douze  policiers  impliqués  dans  cette  affaire  à  Antana­narivo.  Ces  derniers,  prévus  débarquer  dans  la  capitale  hier  dans  la  nuit,  feront  l’  objet  d’« un  arrêt  de  rigueur  en  attendant  l’arrivée  du  dossier  pénal  les  concernant »,  d’après  Harry  Laurent  Rahajason,  porte-parole  du  gouvernement.

Contre-offensive  

La ministre de la Justice Christine Razanamahasoa, perplexe 

(Photo Claude Rakotobe)

Les  jours  précédents,  au  plus  fort  des  revendications  du  Syndicat  des  magistrats  de  Madagascar  (SMM)  mené  par son  président  Auguste  Marius  Arnaud,  réclamant  principalement  le  limogeage  à  défaut  d’une  démission  de  Arsène  Rakotondrazaka  à  la  tête  de  son  ministère,  des  hauts  gradés  de  la  police  ont  brandi  une  contre-offensive de deman­de de démission de Chris­tine Razanamahasoa « si jamais le ministre de la Sécurité intérieure venait à quitter son poste ». Auguste Marius Arnaud du SMM n’a pas touché mot de cette éventualité. D’après lui, « on ne devrait pas faire de chantage sur cette requête ». Il a de même spécifié que « cette demande de limogeage ne concerne plus le SMM, mais revient aux dirigeants de la Transition », sous entendant une décision politique. Auguste Marius Arnaud a rappelé également que leur requête n’avait pas pour objet de protéger telle ou telle personnalité, rejetant les responsabilités au pouvoir. 


Tribune Mada 21/12/2011
Conjoncture : La France très présente - par Valis
Au moment où le pays est en train de traverser la plus grande crise politique et sécuritaire (grève des magistrats, menace de paralysie de l’appareil administratif dans toute l’île, menace d’insécurité généralisée et le souffle coupé dans une partie de l’armée et de la population en raison de l’état de santé de l’officier supérieur Charles Randrianasoavina), dans la crise, des militaires français sont dans nos murs depuis lundi 19 décembre.

 Ils sont là pour la relance de la coopération militaire opérationnelle dans l’océan indien et définir les axes à développer, tels que la lutte contre la piraterie maritime ou l’appui à la gestion des risques et catastrophes et la protection civile.
Parallèlement, Hugo Sada conduit depuis ce même lundi 19 décembre, une mission de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). L’objet de cette mission de l’OIF dans nos murs s’inscrit dans le cadre du suivi de l’application de la feuille de route. Ainsi, Hugo Sada reconnaît les efforts entrepris dans la mise en œuvre du processus. « Plusieurs étapes primordiales ont été franchies, mais il en existe encore d’autres plus sensibles et complexes. Il faut avancer d’une manière constructive et dynamique afin que la suite du processus soit crédible et fiable », affirme-t-il.
L’OIF proposera des recommandations afin que la mise en œuvre du processus de sortie de crise malgache se déroule dans de conditions claires, consensuelles et conformes aux articles de la feuille de route. La question des élections n’a pas été spécifiquement abordée lors des rencontres que cette délégation a eu avec les institutions, telles le ministère des Affaires étrangères.


Les Nouvelles 20/12/2011
Transition : La mouvance Ravalomanana suspend sa participation - Manohisoa
La menace de démission de la mouvance Ravalomanana des institutions de la transition commence à se concrétiser. A l’issue de sa rencontre avec la délégation de la Troïka, le chef de la délégation de la mouvance, Mamy Rakotoarivelo a annoncé hier au Colbert que « les parlementaires et les ministres issus de la mouvance Ravalomanana suspendent leurs activités au sein des institutions de la transition ».

La raison en est que le régime actuel en place ne respecte pas les dispositions de la feuille de route, notamment les articles disposant la mise en place d’un climat d’apaisement. La publication du Notam datée du 15 décembre en est la preuve, selon toujours les membres de la mouvance Ravalomanana. Une lettre a été par ailleurs envoyée à la communauté internationale pour dénoncer le partage inéquitable des postes ministériels au sein du gouvernement de la transition. Un constat que la mouvance Ravalomanana a exposé à la délégation de la Troïka au cours de la rencontre des deux parties.
Rappelons que ce n’est pas la première fois que la mouvance du précédent chef de l’Etat a annoncé une suspension de ses activités au sein du régime transitoire. Dès la nomination du premier ministre de consensus, la mouvance Ravalomanana a été la première à la contester et a décider de se retirer même du processus de mise en œuvre de la feuille de route.

La même réaction s’est reproduite lors de la formation du gouvernement par l’annonce que les représentants de la mouvance participeront au gouvernement sous quelques conditions. Par la suite, les parlementaires pro-Ravalomanana ont décidé de ne pas participer aux activités des deux chambres sous prétexte que les dispositions de la feuille de route ne sont pas respectées. Et voilà, ils arrivent au bout de leur objectif, suspendre toutes les activités dans les institutions de la transition.


courrierdemada.com 19/12/2011

Conflit Magistrat / police : Les fruits de la corruption
Le conflit entre les Magistrats et le Corps de la Police n’est que le fruit d’une corruption latente où ces entités ont fait la pluie et le beau temps pour traiter les usagers.

 Les magistrats d’après les policiers et gendarmes relâchent toujours les bandits recherchés et ne fonctionnent qu’à travers des subsides conséquents, tandis que les policiers sont réputés faire des arrestations arbitraires moyennant espèces sonnantes et trébuchantes. Mais au fond pour les observateurs, ce phénomène n’est-il pas vicié dès le départ car au niveau des recrutements au sein de ces corps ? Les places sont achetées au prix fort !et les conséquences ne se font plus attendre ; des fusillades comme à Tuléar, des incarcérations illicites… des jugements iniques, bref une incompétence et une méconnaissance de la lecture du droit.
Résultat des courses, on assiste à un bras de fer entre le ministre de la Sécurité intérieure et la ministre de la justice qui n‘a, semble t-il, pas suivi les accords avec son nouveau collègue sur les évènements de Tuléar. On comprend mieux pourquoi beaucoup conteste le verdict du 7 février 2009 car chacun a sa façon d’interpréter le culte d’impunité.

Les deux ministres de tutelle de la Justice et de la Sécurité intérieure auront fort à faire pour calmer les esprits !


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toutelatele.com 27/12/2011
TNT : Madagascar et l’Egypte plébiscités, les people en berne 
Ce vendredi 23 décembre, certaines chaînes de la TNT ont modifié leur programmation en l’adaptant aux fêtes de fin d’année. C’était le cas pour TMC, W9, NRJ12 et France 4.

La chaîne du groupe TF1 a misé sur les enfants avec le film d’animation Joyeux Noël, Madagascar. En se mettant au service du Père Noël, la bande d’animaux a diverti 1.02 million de personnes, soit 3.9% du public présent devant son petit écran de 20h50 à 21h15. Juste après, Beethoven, nouvelle star a enchanté environ 650 000 amateurs, soit 2.8% de part d’audience jusqu’à 23 heures.
Du côté de W9, 850 000 personnes ont choisi en moyenne de suivre la soirée spéciale « Simpson de Noël » (dont 1.08 million pour le premier). Les sept épisodes thématisés ont ainsi attiré 3.8% du public jusqu’à 23h20.
NRJ12, quant à elle, proposait de feuilleter l’album de La saga People puis celui de La saga des mariages. Le premier a été ouvert par seulement 282 000 Français (1.1% de part d’audience) tandis que le second en réunissait près de 400 000 (2.7%), selon des chiffres Médiamétrie.
Après le succès de Ces animaux qui nous font rire, France 4 a mis à l’honneur les enfants sous la forme d’un bêtisier. 688 000 Français en redemandait, soit 2.7% du public présent devant son poste de télévision entre 20h40 et 22h15. Juste après, la rediffusion de Ces animaux qui nous font rire se hissait en tête des audiences de la TNT en rassemblant près de 5% des téléspectateurs.

@Dreamworks 

Avec une programmation traditionnelle, France 5 devançait toutefois l’ensemble de ses concurrents. Le documentaire inédit Les derniers secrets d’Égypte a intrigué 1.15 million de curieux, soit 4.5% de part d’audience de 20h40 à 22h05.


lagazette-dgi-com 27/12/2011
Chez les forces d’intervention de la police: Inquiétant début de mutinerie - Adelson RAZAFY
A-t-on affaire à une grosse mutinerie en gestation au sein de la Police nationale ? Tout le laisse penser, même s’il faut attendre la suite des événements pour être mieux fixé. Depuis samedi, en effet, les onze policiers de Toliara, inculpés dans le meurtre du magistrat Rehavana Michel, sont « hébergés » à la caserne des Forces d’Intervention de la Police (FIP), à Antanimora. Depuis leur arrivée jeudi dans la capitale, ils étaient logés dans les locaux de la Brigade Criminelle d’Anosy. Ils furent transférés le lendemain au camp de la Gendarmerie dit Toby Ratsimandrava, à Andrefan’Ambohijanahary. Ils devaient y attendre la reprise des audiences au tribunal d’Anosy, afin d’être déférés au parquet.
Mais, samedi, à la faveur d’un va-et-vient pour nécessité de service entre la Brigade Criminelle et le Toby Ratsimandrava, les onze inculpés ont été interceptés par des éléments des FIP et d’autres unités de la Police. Ils ont été conduits à la caserne des FIP à Antanimora au lieu d’être ramenés au Toby Ratsimandrava (Voir article à la page 4). Samedi soir et hier matin, cinq ou six policiers en uniforme (dont certains armés) assuraient la garde au portail de la caserne. Hier après-midi, les rumeurs d’une intervention extérieur ayant baissé d’intensité, et la fête de Noël aidant, la garde a été allégée et seul un policier demeurait en faction à l’entrée.
Les bruits qui circulent autour de cette caserne (qui se trouve à 300 mètres au dessus de notre rédaction, sur la côte qui monte vers le mausolée) : des éléments des FIP et d’autres unités de la Police refusent que les onze prévenus soient traduits devant le parquet, et les ont placés sous leur protection. Motif : selon eux, l’enquête menée à Toliara était superficielle, et les onze inculpés ont été ramassés au hasard alors qu’ils n’avaient rien à voir avec l’assassinat. Les « mutins » ajoutent que les prévenus ont été arrêtés arbitrairement pour servir de fusible aux « gros bonnets » et pour sauver les positions de ces derniers. Il reste un fait : les onze policiers de Toliara ont été mis à l’abri à la caserne des FIP et n’en sortiront qu’avec l’approbation de leurs ravisseurs.
En tout cas, la tournure des événements suscitent l’inquiétude car le camp des FIP, naguère celui du Groupe Mobile de la Police (GMP), fut en 1975 le théâtre d’une mutinerie de grande ampleur contre le régime du général Gabriel Ramanantsoa. Sous la conduite d’un colonel de l’Armée, le mouvement fut grossi par des hommes en uniforme venant de divers corps et a abouti à l’assassinat du colonel Richard Ratsimandrava, chef d’Etat et chef du gouvernement. La mutinerie ne fut mâtée que par un assaut de l’Armée appuyé par des blindés.
Ensuite car le mouvement n’a pas de tête, se considérant comme victimes d’une injustice, des subalternes ont spontanément fait bloc autour des prévenus et s’élèvent contre la hiérarchie de la Police. D’ailleurs, le regroupement de mutins a une forte connotation ethnique car les onze inculpés étant en général des gens du Sud, les premiers à prendre leur défense furent samedi des éléments issus des régions du Sud et du Sud-Est. Enfin puisque ceux qui ont pris les prévenus sous leurs ailes sont surtout des éléments des FIP, unité « d’élite » de la Police nationale qui a reçu une formation de proche de celle des commandos. C’est dire que si on veut réduire les mutins par la force, les assaillants trouveront en face d’eux une résistance acharnée. Peut-être que comme en février 1975, l’avant-garde des sections d’assaut devra être protégée par des blindés…
Chez les gouvernants, l’incompétence, les tergiversations et les erreurs d’appréciation pourraient encore une fois aboutir à une dangereuse mutinerie dans une caserne. De toute façon, après l’affaire des FIGN de Fort-Duchesne et celle de la Bani d’Ivato, ils devraient être… blindés.


Newsmada.com 24/12/2011
Musique classique : Andrianiaina Sandy Rajaofetra, jeune et virtuose - Ando Rakotovoahangy
Il est jeune et bourré de talent. Son nom ? Andrianaina Sandy Rajaofetra. Agé de 19 ans et membre des 88 touches, un groupe de pianistes amoureux de la musique classique, il nous raconte son parcours et ses ambitions. « La musique a toujours été présente dans ma famille. Du côté de mon père c’est plutôt le piano, pour ma mère c’est la guitare ». Ayant commencé par le piano à l’âge de 6 ans aux côtés de son père, notre jeune concertiste n’a cessé de parcourir les écoles de musique de la capitale.

En 2000, il participe au concours organisé par l’API (amis du piano) pour passer les examens du diplôme international en piano. En 2003, c’est au CGM qu’il se perfectionne auprès de Benja Madison ou encore Casimir Rakotoniaina en matière de musique. Cette fois-ci, il passe au violon. Oui au violon, car notre jeune pianiste ne se limite à un seul instrument. En 2009, il entre à l’AEM ou Académie d’enseignement musical pour une formation professionnalisante. En 2010, c’est au Cnem qu’il s’inscrit au cours de guitare classique et c’est vers la moitié de l’année qu’il a rencontré Mirana Randria, au cours de stages entre pianistes. De là est né Les 88 touches et depuis les concerts se sont succédé.
Son objectif, devenir pro. Jouer dans la cour des grands ! Pour l’instant il assouvit sa soif de connaissances des points et contrepoints de la science de la musique. Petit à petit l’oiseau fait son nid, 

comme on le dit souvent. Pour Les 88 touches, la suite sera pour janvier 2012, pour le remake du concert en hommage à Liszt et Chopin pour célébrer la nouvelle année et bien plus encore ensuite.
« Je le fais pour mon épanouissement, c’est aussi une passion » nous confie-t-il. Guitare, violon, piano, lequel est le plus proche de toi ? « Le piano sûrement ! A la maison, j’y suis scotché », car notre petit virtuose est perfectionniste et discipliné. « Mais les études sont aussi importantes que la musique, je suis aussi universitaire, dans la filière gestion ».
Assistons alors à l’épopée de ce jeune héros contemporain qui se donne pour objectif de porter haut les couleurs de cette nation. En attendant, en cette ère du numérique, une page facebook s’ouvre et s’intitule « Talenta : école de musique », une entreprise familiale au service des adeptes de la musique.


lagazette-dgi.com 21/12/2011
A partir de demain…: La pagaille et l’anarchie - Adelson RAZAFY
Le conflit qui oppose les magistrats aux policiers prend une autre dimension à partir de demain. L’affaire se complique, en effet, avec l’entrée en grève des « grands corps de l’Etat ». Sous couvert de revaloriser leurs catégories, les grands corps, en fait, se solidarisent avec les magistrats et appuient les revendications de ceux-ci. En tout cas, on ne peut reprocher aux grands corps de se joindre au mouvement des magistrats. D’abord car ces derniers sont partie prenante dans la confédération des grands corps de l’Etat, ensuite car les grands corps ont déjà agité le spectre de la grève de solidarité comme pour inciter le régime à trancher dans les meilleurs délais.
Aucune décision n’ayant été prise, le blocage de la machine administrative va donc s’ajouter à la paralysie de l’appareil judiciaire. Les grands corps rassemblent, en effet, 17 catégories de fonctionnaires dont les enseignants-chercheurs, les magistrats, les administrateurs-civils, les inspecteurs d’Etat, les médecins diplômés d’Etat, les inspecteurs des Impôts, les agents diplomatiques et consulaires, etc. Presque tous les départements de la Fonction publique

 seront affectés par le mouvement et seront immobilisés. Quand les chefs font défection ou sont absents, les subordonnés cessent le travail et filent à l’anglaise…

Une sorte d’atmosphère de fin du monde donc à partir de demain. Visiblement, le régime de transition est balloté par les événements et n’a plus de prise sur le déroulement de fait. Il aurait dû réagir avec fermeté dès le premier jour et adopter une décision énergique, par exemple en écartant le ministre de la Sécurité intérieure dont la défaillance fut manifeste dans les événements de Toliara. Au lieu de cela, il a beaucoup hésité et tergiversé, tâtonnant par-ci et par-là au lieu d’aller dans le vif du sujet (lire page 5).
C’était laisser la gangrène s’étendre et contaminer d’autres organes de la Fonction publique. Le régime aujourd’hui est débordé et devient le jouet des événements. A partir de demain, le public aura une forte impression de chaos : la Police agresse et tue un magistrat, la Gendarmerie frappe à mort un simple citoyen aux portes de la capitale, les bandits et criminels en garde à vue sont lâchés dans la nature, les mouvances d’opposition quittent le gouvernement et le Parlement et y suspendent leurs activités, les ressources naturelles sont toujours pillées, la couronne de Ranavalona n’a pas encore été retrouvée, le prix du riz 

grimpe à l’approche des fêtes, etc.
En tout cas, c’est déjà le désarroi chez une population qui a l’impression de ne pas être gouvernée. Elle jugera avec sévérité ce régime mou et sans consistance qui, au lieu de faire montre de poigne, a laissé la situation pourrir. Les désagréments causés par le mouvement vont, en effet, s’ajouter aux mille difficultés d’une vie en temps de crise. Quid effectivement de ce régime incapable d’assumer ses fonctions régaliennes et qui laisse le désordre s’installer ?
Quid aussi d’Andry Rajoelina qui n’est pas à la hauteur de ses fonctions de chef d’Etat et qui ne remplit pas sa mission essentielle qui est la suivante : assurer le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ? On assiste, en tout cas, à un net effritement de l’autorité de l’Etat et donc à la montée du chaos et de la confusion. La population peut à juste titre s’interroger sur ce régime incapable de protéger les personnes et les biens, de maintenir l’ordre public, de rendre la justice, de faire fonctionner les services publics, etc.
En 2009, beaucoup ont rejoint la « révolution orange » et la Place du 13-Mai dans l’espoir d’une gouvernance plus cohérente et de lendemains qui chantent. La plupart déchantent aujourd’hui face à un régime fantomatique et donc souvent inexistant. Dans certains pays d’Afrique, une gouvernance aussi décousue a incité des officiers de l’armée, soucieux d’ordre et de discipline, à passer à l’action…
Mais journée test, aussi demain, pour les grands corps qui lancent pour la première fois un mot d’ordre de grève. La grande question : chaque corps sera-t-il suivi par ses… membres ?

Encadré: Les médecins en service minimum 
Pour sa part Frédéric Ndatason, président du Syndicat des médecins, n'a pas voulu limiter les problèmes soulevés au seul cas des magistrats. Il a rappelé que l'auteur de l'assassinat du Dr Michel Ralaivao à Toamasina non plus n'est pas encore connu. 
Contrairement à la mesure prise par les magistrats, le président du Syndicat des médecins, Frédéric Ndatason a annoncé qu'un dispositif particulier de service minimum sera maintenu durant les journées de solidarité des grands corps de l'État. Il a déclaré, durant la rencontre avec la presse à Andrefan'Ambohijanahary, que les médecins de garde, les urgences, les blocs opératoires ainsi que les salles d'accouchement resteront fonctionnels. ( Fano Rakotondrazaka - Express)


Express Mada 21/12/2011
Eric wong : « Les Etats-Unis auraient aimé plus de changement » - Iloniaina Alain
Le chargé d’affaires de l’ambassade des états-Unis a passé en revue les points chauds de l’actualité. Eric Wong apporte des éclairages sur la position de son pays par rapport à la Feuille de route, tout en insistant sur les manquements aux droits de l’Homme.
Le chargé d’affaires américain estime insuffisant les progrès réalisés dans la mise en œuvre de la Feuille de route et pointe du doigt les manquements au respect des droits de l’Homme.

• Quand allez-vous présenter vos lettres de créance aux autorités malgaches ?
- Je remplace le premier conseiller d’ambassade, Eric Stromayer. Après le départ de l’ambassadeur Niels Marquardt, Washington a décidé de ne pas nommer son successeur jusqu’à ce qu’il y ait des élections débouchant sur un nouveau gouvernement.
• Le 8 décembre, le CPS et le GIC-M ont salué les progrès de la HAT dans la mise en œuvre de la Feuille de route. Le CPS indique qu’il est favorable à la levée des sanctions. Quelle est la position des États-Unis ?
- Les États-Unis ne font pas partie du CPS de l’Union africaine, mais ils ont un ambassadeur auprès de l’Union africaine et nous avons assisté à la réunion du GIC-M à Addis-Abeba. Je pense qu’il est important pour l’UA que la SADC fasse un rapport sur la mise en œuvre de la Feuille de route, surtout l’article 20. Le communiqué du GIC-M a aussi insisté sur l’importance de la Feuille de route de la SADC et de la mise en œuvre de celle-ci.
• Un vide existe autour du calendrier de mise en œuvre des dispositions de la Feuille de route. N’est-il pas temps d'en fixer un afin d’éviter que le flou ne s’installe ?

- Les États-Unis ne souhaitent pas imposer une quelconque décision à Madagascar. Il faut que la solution vienne des Malgaches 

eux-mêmes. Nous sommes au courant des progrès faits depuis le mois de septembre, mais ils ne sont pas encore suffisants pour avancer vers d’autres étapes.
• Que manque-t-il ?
- Il faudrait d’abord qu’il y ait des changements dans le domaine des droits de l’Homme. C’est important, non seulement pour ce qui est de la reprise des relations diplomatiques, mais pour d’autres secteurs comme c’est le cas de l’Agoa. Je crois que les gens s’intéressent à l’éligibilité de Madagascar, suspendu après le coup d'État de 2009, dans l’Agoa. Il y a huit principaux critères à l’adhésion au programme. Ce sont des critères techniques et économiques, mais l’un des plus importants concerne les droits de l’Homme. Pour Madagascar, le gouvernement américain établit un rapport annuel sur la situation des droits de l’Homme et nous avons identifié des problèmes dans ce domaine comme la traite de personnes, la libération des détenus politiques, la nécessaire restauration de la liberté de la presse…
• Que répondez-vous à l’affirmation du gouvernement malgache selon laquelle il n’y a pas de détenus politiques à Madagascar ?
- Je pense que des ONG internationales comme Amnesty International, Humain Right Watch établissent des rapports selon lesquels il y a des individus incarcérés, sans procès, depuis 2009. Et ça, c’est une régression.
• Qui détermine, et selon quels critères, les progrès annoncés par le communiqué du GIC-M comme étant le facteur de la reprise graduelle de l’appui économique du gouvernement de transition ?
- Le communiqué du GIC-M parle de ce dont les parties prenantes ont convenu. Je parle au nom du gouvernement américain et non du GIC. Depuis 2009, les États-Unis octroient des aides humanitaires. Mais même si nous nous sommes limités à l’humanitaire, nous restons le plus grand bailleur bilatéral de Madagascar et ce, grâce aux efforts dans le cadre des programmes de l’Usaid d’un montant de près de 80 millions de dollars. Nous avons utilisé cet argent pour financer des programmes de lutte contre le paludisme, la malaria et la pneumonie, d’assainissement et d’aide alimentaire. 150 volontaires du Corps de la paix sont présents à Madagascar. Malgré la crise, le gouvernement américain essaie de s’impliquer au mieux auprès des communautés locales afin d’aider la population. Et le volume de cette aide humanitaire a encore augmenté ces dernières années.
• Pour en revenir au communiqué du GIC, qui déterminera ces « progrès » dans la mise en œuvre de la Feuille de route ?
- Il revient à chaque pays de déterminer et de juger ce progrès. Je crois que ce qui préoccupe surtout Washington, ce sont les questions relatives aux droits de l’Homme et celles liées à l’absence de l’espace politique ainsi qu’à la gouvernance économique du pays.
• On a l’impression que la communauté internationale part en ordre dispersé sur la question, non ?
- Je pense que le communiqué du GIC fait référence au fait que les participants ont convenu de reprendre graduellement l’assistance économique. Mais il appartiendra à chaque pays de déterminer par rapport à sa propre politique le moment de reprendre l’assistance. Ce qui est important, c’est qu’à travers le GIC-M, il existe une identité qui peut parler au nom de la communauté internationale et les États-Unis ne peuvent parler que de leur politique. Je pense que notre message est clair. Nous tenons notre engagement envers le peuple malgache et nous continuerons d’assurer l’assistance humanitaire. Pour ce qui est de l’assistance économique additionnelle, cela dépendra de la tenue des élections libres transparentes et démocratiques à Madagascar.
• L’opposition se plaint de l’existence d'équité dans la mise en œuvre de la Feuille de route. Comprenez-vous cette plainte ?
- Vous parlez de changements qui étaient nécessaires mais insuffisants. Prenons l’exemple de la composition du gouvernement. Beaucoup de ministres de l’ancien gouvernement ont été reconduits. A mon sens, le quart des 35 membres du gouvernement ont fait partie de l’ancien gouvernement. Les États-Unis auraient préféré voir des changements plus profonds. Nous sommes aussi préoccupés par la reconduction des ministres soupçonnés d’implication dans des affaires de corruption.
• Andry Rajoelina avait été reçu par le président français Nicolas Sarkozy le 7 décembre. Que pensez-vous de cette rencontre ?
- (Hésitation) Franchement j’ai été surpris que cette réunion ait eu lieu.
• Andry Rajoelina a pu s’exprimer à la tribune des Nations unies en septembre. N’est-ce pas un début de reconnaissance ?
- La réponse la plus facile est non. Mais je vais expliquer. Selon un traité signé entre les États-Unis et les Nations unies en 1947, les États-Unis accordent un visa aux intervenants à la tribune de l’ONU. Dans le passé, nous avons octroyé un visa à des personnalités comme Fidel Castro, aux représentants de Corée du Nord, de la Birmanie, de l’ Iran. Le fait d’accorder un visa à de telles personnalités ne signifie pas du tout une reconnaissance.
• Mais le fait d’accorder la tribune aux Nations unies, n'est-il pas un début de reconnaissance ?
- Il faut poser la question aux Nations unies.
• Pour certains, comme lors de la crise post-électorale de 2002, la crise politique actuelle a également ses racines dans la lutte d’influence entre Anglo-saxons et Français. Qu’en pensez-vous ?
- Il est difficile pour moi d’en parler car je n’étais pas encore ici en 2002. Mais je dirais qu’il y a des instances où la France et les États-Unis coopèrent comme, par exemple, le Centre de presse à Antananarivo. Pour parler de droits de l’Homme, ce sont des valeurs universelles et non pas francophones ou anglophones. Je pense qu’il est important que les Malgaches pensent à ce que serait leur rôle au sein de la communauté internationale. C’est pour cette raison que les États-Unis soutiennent les efforts de la SADC et de l’Union africaine puisque Madagascar fait partie de ces deux organisations. La SADC regroupe un certain nombre de pays qui représentent un assez important bloc économique et on aimerait voir Madagascar dans le futur faire partie de ces pays-là et à ce niveau-là.
• Quelle est la contribution des États-Unis pour enrayer le trafic de bois de rose dans lequel une compagnie américaine serait impliquée ?
- La presse américaine s’est beaucoup intéressée à l’utilisation du bois de rose aux États-Unis. C’est un domaine que le gouvernement américain prend très au sérieux. Nous nous conformons aux dispositions de la Convention internationale pour le commerce des espèces en danger (Cites) et les autres lois sur l’environnement. Pour le cas de Gibson, le Département de la justice a intenté un procès là-dessus. Nous insistons sur la manière dont le gouvernement malgache gère le dossier du bois de rose.


20minutes.fr 20/12/2011

«Madagascar 2: la grande évasion» en tête des audiences télé dimanche soir - B.D.

TF1 a trusté la tête des audiences de première partie de soirée, dimanche soir, avec la diffusion du film d'animation Madagascar 2: la grande évasion. Le programme a réuni 7,246 millions de téléspectateurs, soit 24.5% de parts de marché (PdM). Sur la deuxième marche du podium, la rediffusion sur France 2 de l'incontournable, Le Père Noël est une ordure. Le film a rassemblé 4,731 millions de fans (15.7% de PdM).
M6 et France 3 étaient quant à eux au coude-à-coude avec repsectivmeent 11,5% et 11,4% de parts de marché. France 3, qui proposait la finale France/Norvège du mondial dames de handball, a réuni une audience plus forte (3,409 millions de téléspectateurs), alors que l'enquête de Capital sur le business des cadeaux de Noël a intéressé 3,164 millions de téléspectateurs.
Côté TNT, c'est W9 qui arrive en tête, grâce au film Rasta Rockett (2,014 millions de téléspectateurs, soit 6.8% de PdM).

Les héros de "Madagascar 2" se retrouvent en Afrique... SIPA/INTERFOTO USA


NewsMada.com 20/12/2011
SMM – Forces de l’ordre : la situation se corse

Le SMM a rendu son verdict, hier à l’issue d’une AG extraordinaire tenue à Anosy, quant à la suite de ses actions : le syndicat continue de revendiquer la destitution du ministre de la Sécurité intérieure. Par conséquent, les tribunaux restent fermés dans tout Madagascar jusqu’à ce qu’il obtienne satisfaction.

Ce qui n’est pas tellement du goût des forces de l’ordre que sont les éléments de la police et de la gendarmerie nationales qui ont souligné qu’ils ne peuvent outrepasser le délai de garde-à-vue de 48 heures. « Et, puisque, face à cette grève des magistrats, nous ne pouvons effectuer aucune demande de prolongation de garde-à-vue, nous n’avons d’autre choix que de relâcher les suspects, sauf ceux qui ont commis des actes criminels », ont-ils fait savoir.
Ainsi, hier, sur les quelque 163 suspects emmenés pour instruction au tribunal d’Anosy, près de 70% auraient été remis en liberté. Une rencontre a bel et bien eu lieu entre les magistrats et les représentants des forces de l’ordre mais semble avoir fait chou blanc.
Ce jour, ce sera encore le même cas de figure pour la présentation des personnes à déférer au parquet, étant donné, par ailleurs, que la commission d’enquête mixte chargée de faire la lumière sur les événements de Toliara n’a encore livré aucun résultat.


tananews.com 16/12/2011
Que peut-on faire avec 500€ à Madagascar ?

Avec 500€ à Madagascar, vous pouvez louer une belle villa pour un mois. Éventuellement avec une piscine.
Avec 500€ à Madagascar, vous pourrez faire 5 fois le plein de votre 4×4

Avec 500€ à Madagascar, vous pourrez convenablement remplir votre caddy chez Score pour les fêtes de fin d’année. En étant raisonnable, car on y a vu des jouets dépasser allègrement les 1 000 000 d’Ar, un baby-foot par exemple.
Avec 500€ à Madagascar, vous pourrez acheter une machine à laver. Ou un frigidaire. Mais pas les deux.

Avec 500€ à Madagascar, vous pourrez changer les 4 amortisseurs de votre voiture. Ou les 4 pneus. Mais pas les 8 ensembles.
Avec 500€ à Madagascar, vous pourrez passer une semaine de vacances en famille quelque part, Tamatave, Majunga peut-être en vous serrant la ceinture.
Avec 500€ à Madagascar, vous pourrez acheter un panneau solaire. Mais il ne vous servira pas à grand-chose, car il faut aussi acheter le reste : prévoir 2000€ pour une installation solaire intéressante.
Avec 500€ à Madagascar, vous pourrez vous acheter un téléphone soit disant de haut de gamme ou une tablette Androïd, au choix.
Avec 500€ à Madagascar, vous pourrez enfin entretenir une belle Malgache pendant 1 semaine. Après elle vous laissera tomber, quand vous lui 
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