LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...  ( ...   )

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Emma a  répondu à notre appel  pour publier des Editos maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos  

xinhuanet.com 14/01/2012
Madagascar: des bus équipés de système billettique électronique pour la capitale- Xinhua

Des bus équipés de carte magnétique et de système de paiement électronique seront utilisés à Antananarivo, la capitale, dans le cadre du programme d'amélioration de la mobilité urbaine (PAMU) de la Commune Urbaine d'Antananarivo (CUA), apprend-on de cette entité vendredi.
Cinq bus de 30 places en guise de démonstration sur l'utilisation du système de paiement informatique, des cartes magnétiques et du système de billettique électronique qui sont initiés par un opérateur privé pour les utilisateurs de la capitale, sont déjà arrivés au port de Toamasina, dans l'est de la grande île, a-t-on appris.
Ils vont être utilisés par la suite dans le cadre du projet du PAMU en tant que ligne pilote reliant le centre-ville à la haute ville d'Antananarivo.
Selon notre source, la mise en place de ce nouveau système billettique par carte magnétique pour les bus de transport public révolutionnera les transports urbains à Antananarivo et pourrait permettre une baisse des prix, des abonnements et une tarification adaptée au bénéfice des habitants tananariviens.
De plus, les transporteurs y seront également gagnants car il présente une sécurisation de leurs revenus, a-t-on expliqué.
La CUA étudie actuellement la mise en place de trois autres lignes pilotes dont le bouclage des travaux devrait être effectué avant la fin de cette année

Midi Mada 13/01/2012
Doyen du Corps diplomatique : « L’application de la Feuille de route est insuffisante » - Davis R

stricto-sensu de toutes les dispositions de la Feuille de route. « Nous avons été témoins des échecs et des déceptions qui ont marqué toutes les tentatives de sortie de crise, ce qui nous permet d’affirmer aujourd’hui que l’application de l’ensemble des dispositions de la Feuille de route est vitale tant il est vrai que ce qui a été réalisé jusqu’ici est nécessaire mais il reste insuffisant pour que Madagascar puisse réintégrer le concert des Nations et bénéficier d’une reconnaissance internationale nette et franche de la part de ses partenaires internationaux », a-t-il soutenu.
Article 20.

 Au cours d’une interview, le Doyen du Corps diplomatique est même allé plus loin en déclarant qu’ « il y a des engagements importants pris par la Transition (la HAT) mais qui n’ont pas encore été honorés, entre autres, l’article 20 qui prévoit le retour sans condition des exilés politiques ». A entendre la déclaration de l‘Ambassadeur d’Algérie, la communauté internationale pourrait à tout moment, changer sa position vis-à-vis de la Transition si les dirigeants ne respectent pas leurs engagements. « L’expérience nous a montré que la communauté internationale est là non seulement pour accompagner et soutenir le pays dans le processus de mise en œuvre mais également pour veiller sur son application », a-t-il déclaré. Et d’exhorter au passage les acteurs politiques malgaches à faire preuve de concessions nécessaires pour concrétiser la résolution de la crise. « Les atermoiements, les faux-fuyants et les revirements doivent être bannis si l’on veut que le processus actuel soit mené à bon port… Il en est de même de la politique du fait accompli et de la précipitation », a-t-il mentionné. Et d’expliquer dans la foulée que la sortie de crise est en bonne voie mais l’appui actuel de la communauté internationale ne signifie pas encore une reconnaissance. Abdelaziz Benali Cherif de réitérer le soutien des pays amis de Madagascar pour permettre le retour à l’ordre constitutionnel. A voir la cohabitation conflictuelle au niveau de l’Exécutif et du Parlement actuellement, l’acquisition de la reconnaissance internationale dans les mois à venir ne semble pas une évidence. 

Encadré: La communauté internationale prévient que l’application actuelle de la Feuille de route est nécessaire mais reste insuffisante. Les acteurs politiques doivent faire mieux. 
Pas de chèque en blanc pour la Transition. La communau­té internationale réitère auprès du régime que tout n’est pas encore acquis de manière définitive et qu’il faut rester vigilant pour le reste de la route vers la sortie de crise.
«L’application de l’ensemble des dispositions de la Feuille de route est vitale, tant il est vrai que ce qui a été réalisé jusqu’ici est nécessaire mais insuffisant»,a prévenu Benali Cherif Abdelaziz, ambassadeur de l’Algérie et doyen du corps diplomatique, au cours de la cérémonie de présentation des vœux, hier à Iavoloha

On notera que tous n’ont pas répondu à l’invitation de ce jeudi 12 janvier au palais d’État d’Iavoloha. 

Parmi les absents notables et qui ne se seraient pas fait représenter figurent la Suisse. Du rang des chefs de mission diplomatiques absents mais qui ont tout de même été représentés, on a recensé la représentante du PNUD et chef du système des Nations unies, la France, le Japon, l’Inde, les États-Unis. Par contre l’ambassadeur de l’Union européenne a tenu à honorer la cérémonie bien qu’il n’ait pas encore remis ses lettres de créance au président de la transition, Andry Rajoelina. Chaque chose en son temps vraisemblablement.

AFP Moscou 13/01/2012
Une sonde russe tombera dimanche entre Madagascar et le continent africain

examens, soutenances, voyages d’études, etc. 
Deux autres ministres sont déjà sur la sellette, leurs cas étant assez connus du public. En premier lieu, le ministre de la Sécurité intérieure, l’inspecteur général de Police Arsène Rakotondrazaka dont le départ est revendiqué par le Syndicat des Magistrats (SMM). Présent à Toliara lors des événements qui ont coûté la vie au magistrat Rehavana Michel, battu à mort par des policiers, le ministre n’a pas su tenir en main ses troupes et fut désobéi par ses subordonnés. Pour apaiser les magistrats et donner l’impression d’avoir repris le contrôle de ses hommes, Arsène Rakotondrazaka multiplie les arrestations dans les rangs de la Police sur l’affaire du meurtre du magistrat. Mais sa démarche est mal accueillie au sein de la Police, laquelle a déjà manifesté son humeur en retenant les policiers gardés à vue dans sa caserne des FIP, à Antanimora. 
En second lieu Christine Razanamahasoa, magistrate et ministre de la Justice, dont la démission est réclamée par la Police en rétorsion contre la revendication des magistrats à l’encontre du chef suprême de la Police. On sait que pour renvoyer dos à dos les deux parties et ramener le calme dans les secteurs de la Justice et la Sécurité intérieure, le Premier ministre Omer Beriziky a proposé le limogeage d’Arsène Rakotondrazaka et de Christine Razanamahasoa au chef de la transition Andry Rajoelina. Mais mou et sans ressort d’abord, puis craignant des conséquences qui pourraient déstabiliser le régime, ce dernier n’a pas donné suite à la demande du chef du gouvernement. 
Une demande de démission peu médiatisée et qui pourrait devenir plus bruyante dans les prochaines heures : celle du ministre des Forces armées, le général Rakotoarimasy Lucien. La requête émane du Cosofam (Corps des Sous-officiers des Forces armées Malgaches), mécontent d’être peu entendu dans ses revendications. Ce corps souhaite notamment une baisse des prélèvements fiscaux appliqués aux salaires de ses membres, une activation des promotions en grade et un remboursement plus étendu des traitements médicaux. Andry Rajoelina a promis de se pencher sur ces doléances dès… 2009, mais ne voyant rien venir, les sous-officiers s’agitent et élèvent la voix. Ils reprochent au ministre de ne pas relayer avec plus de nerf ces desideratas, puis de s’être dérobé récemment à un face à face qui aurait dû se dérouler dans son bureau. Si ce jour lors de la cérémonie de vœux, Andry Rajoelina n’annonce pas des mesures plus concrètes en faveur des sous-officiers, le mouvement du Cosofam pourrait passer à la vitesse supérieure…
Mentionnons une autre demande de démission formulée ces derniers jours. Celle du ministre du Transport, Ramanantsoa Benjamina dont les défaillances et l’imprévoyance ont causé le naufrage du bateau Elisabeth II au large du cap Masoala, et la mort des 36 passagers. Effectivement, s’il avait pris des mesures après l’accident en mer qui a provoqué le décès de la ministre Nadine Ramaroson et de ses compagnons, en août dernier, l’Elisabeth II n’aurait pas chaviré. 
Point commun chez les ministres cités : ils s’agrippent avec la dernière énergie à leurs fauteuils et repoussent avec force l’idée de démissionner. Il est vrai que ce régime a poussé à l’extrême le culte du siège doré. Quand un baron du régime reçoit une demande de démission, il… s’assoit dessus.

europe1.fr 11/01/2012
Air France et Madagascar signent un accord - Par Europe1.fr avec AFP
Air Madagascar et Air France ont signé un accord de principe qui leur permettra de proposer un vol aller-retour quotidien sur la ligne Antananarivo/Paris, ont annoncé mardi les deux compagnies.
"A travers cet accord, elles ont convenu du principe d'un échange équilibré de blocs sièges en partage de code sur la ligne Antananarivo/Paris-CDG permettant aux deux compagnies d'offrir à leurs clients un service quotidien dans les deux sens", est-il ajouté dans le texte.
Air France propose actuellement quatre vols hebdomadaires sur cette liaison, opérés en Airbus A340, a indiqué une porte-parole de la compagnie française

orange.mg 11/01/2012
Université de Madagascar : suspension des cours 
Alors que le syndicat des enseignants chercheurs s'est réuni cet après-midi dans le cadre d'un conseil national à l'Université d' Ankatso en vue de définir la suite de leur mouvement de revendication, les étudiants de l'Université d'Antananarivo, eux, annoncent tenir un sit-in sur l'esplanade d'Ankatso demain. Un sit-in qui sera précédé d'une assemblée générale de chaque département et association pédagogique.
Les étudiants de l'université d'Antananarivo avaient déjà accordé un délai aux enseignants chercheurs d'un côté et à l'État de l'autre côté pour que les deux parties trouvent une solution au problème du Seces. Le sit-in de demain est ainsi, pour les étudiants, « un moyen d'interpeller les autorités compétentes sur la gravité de la situation en vue du bon déroulement de l'année universitaire ». 
Les étudiants de l'Université, déplorant l'absence de réactions des autorités compétentes concernant les revendications des étudiants et enseignants chercheurs, précisent que cette manifestation ne revête aucunement un caractère politique. 
Les enseignants chercheurs qui se sont réunis cet après-midi ont par ailleurs décidé la suspension, à partir de demain, de tous les cours et les activités pédagogiques dans toutes les universités de Madagascar, y compris l'école polytechnique de Vontovorona. Une décision qui ne plait guère aux étudiants qui risquent de durcir leur mouvement. 
A noter que l'accord signé en janvier 2011 par l'État et le Seces concernant le paiement des indemnités de recherche et les heures supplémentaires à été à l'ordre du jour de ce conseil national du Seces. Cet accord prévoyait le règlement de ces différentes indemnités au mois de décembre dernier, or rien n'a été fait. 
Chaque section du Seces en Province a été représentée durant ce conseil national. Le président du Seces, section Antananarivo, précise que l'organisation de ce conseil national fait suite à une demande formulée par les branches de ce syndicat dans les Provinces dans l'optique de mieux définir ensemble les décision à prendre. 

Express mada 10/01/2012
Tempête tropicale Chanda - Des sans-abri à Mahajanga - Vero Andrianarisoa
La montée des eaux a été la première conséquence du passage de Chanda. La population n'a pas pris les dispositions qui s'imposaient.
Le passage de la tempête tropicale modérée, baptisée « Chanda », dans le canal de Mozambique, dans la nuit du dimanche 8 janvier a apporté beaucoup de pluies à Mahajanga. Des centaines de sinistrés et sans-abri sont enregistrés.

catastrophes (BNGRC). On attend son intervention. Vous devez rejoindre les écoles publiques ou les endroits appropriés pour vous abriter », a-t-il déclaré.
Les rues sont inondées et submergées de boue et de cailloux ainsi que des galets, surtout à Mangarivotra près du lycée Philibert Tsiranana, et devant la caserne des gendarmes. Même les quartiers commerciaux de Mahajanga Be sont sous les eaux. 
Dans les fokontany, les canaux d’évacuation sont bouchés, aggravant l’inondation. Les eaux montent et ne trouvent plus d'évacuation. De même, le niveau de la mer a aussi augmenté, dimanche après-midi.
Les ordures non ramassées depuis plus de quelques jours ont été transportées par les eaux usées. Les conséquences ne vont pas tarder.

Tribune Mada 09/01/2012
Défense de la liberté de presse : Un syndicat des journalistes est né - Recueilli par Valis 
Ils étaient assez nombreux ce samedi 7 janvier 2012 à l’Institution Sainte Famille Mahamasina pour répondre à l’appel lancé par le Comité provisoire de la presse (COPP) pour une grande réunion des journalistes à propos de la situation actuelle de la presse. Lettres de mise en demeure, convocations de journalistes et autres intimidations de la part du ministère de la Communication ont été au centre de la rencontre entre journalistes qui ont déploré l’absence d’organe de défense du métier mais qui ont apprécié le communiqué de Reporter sans frontières en date du 4 janvier dernier.
Entre une validation du Comité de la presse et la remise sur pied de l’Ordre des journalistes, il a été décidé par l’assemblée des journalistes présents – plus de 70 individus issus de divers horizons tant du privé que du public –, de créer un syndicat pour la défense de la profession et des intérêts des journalistes. Aussitôt le bureau de ce syndicat a été constitué et ses tâches définies. Il demeure ouvert à toutes adhésions.
Le syndicat des journalistes malgaches (SJM) devrait être une structure pérenne dont les membres du bureau ont été élus durant cette assemblée constituante. Ce bureau est chargé des questions administratives et légales sur la création du Syndicat.
Communiqué - DECLARATION
Les journalistes réunis ce samedi 07 janvier 2012, à l’initiative du Comité d’organisation provisoire de la presse (COPP) au collège Sainte-Famille Mahamasina, ont adopté les résolutions suivantes :
Devant la situation difficile que traversent les journalistes actuellement dans l’exercice de leur métier, notamment avec les cas récent de restrictions flagrantes de la liberté de la presse, entre autres :
- La convocation du directeur de publication du quotidien « Le Courrier » à la gendarmerie pour lui intimer de divulguer ses sources sur le « manda d’arrêt lancé contre l’ancien Président Marc Ravalomanana »,
- La lettre de mise en demeure à l’endroit de la chaîne TV Plus, signée par le ministre de la communication, Monsieur Harry Laurent Rahajason, enjointe de la demande de présenter des excuses publiques à l’endroit du Président de la Haute Autorité de la Transition pour « atteinte à la vie privée de la famille présidentielle », alors que TV Plus a évoqué les vacances du couple présidentielle et de sa famille à l’Ile Maurice,
- Les mises en garde répétées et les menaces à peine voilées proférées par les autorités étatiques à l’encontre des journalistes et des organes de presse,
- La mise en place de la « Commission d’éthique du journalisme » dont la légitimité est fortement contestée et contestable, mais qui s’apparente à un organe de répression qu’on brandit constamment à l’égard des journalistes,
Et pour une meilleure organisation des actions visant à la sauvegarde de la liberté de la presse et à la protection des journalistes dans l’exercice de leur métier, et constatant l’absence d’une autorité morale pour garantir un environnement sécurisé et serein pour la profession,
1è résolution : Il est créé le Syndicat des Journalistes Malgaches (SJM), une structure pérenne dont les membres du bureau ont été élus durant cette assemblée constituante :
Famille Mahamasina pour répondre à l’appel lancé par le Comité provisoire de la presse (COPP) pour une grande réunion des journalistes à propos de la situation actuelle de la presse. Lettres de mise en demeure, convocations de journalistes et autres intimidations de la part du ministère de la Communication ont été au centre de la rencontre entre journalistes qui ont déploré l’absence d’organe de défense du métier mais qui ont apprécié le communiqué de Reporter sans frontières en date du 4 janvier dernier.
Entre une validation du Comité de la presse et la remise sur pied de l’Ordre des journalistes, il a été décidé par l’assemblée des journalistes présents – plus de 70 individus issus de divers horizons tant du privé que du public –, de créer un syndicat pour la défense de la profession et des intérêts des journalistes. Aussitôt le bureau de ce syndicat a été constitué et ses tâches définies. Il demeure ouvert à toutes adhésions.
Le syndicat des journalistes malgaches (SJM) devrait être une structure pérenne dont les membres du bureau ont été élus durant cette assemblée constituante. Ce bureau est chargé des questions administratives et légales sur la création du Syndicat.
Les membres du bureau
- Président : Rocco Rasoanaivo (La Gazette de la Grande Ile)
- 1er vice-président : Gérard Rakotonirina (Madagascar Tribune et Basy Vava)
- 2è vice-président : Tahiry Ralambomahay (La Gazette de la Grande Ile)
- Secrétaire générale : Lalatiana Rakotondrazafy (Free FM)
- Trésorier : Mbinintsoa Ranaivoson (Fréquence Plus)
- Commissaire aux comptes, Alphe Léon Martiasy (TV Record)
- Conseillers : Joël Ralaivaohita (Agence MATERA OI), Raphanoel Harinivo Andriambolanoro (Radio Fanambarana), Georges Randriamahasoa dit Jesy Rabelaolao (Journaliste free lance).
Le bureau est chargé des questions administratives et légales sur la création du Syndicat.
2è résolution : Les journalistes, désormais représentés par le Syndicat nouvellement créé :
Condamnent avec véhémence les actes suscités entrepris par les autorités étatiques tendant à museler la presse,
Revendiquent auprès du ministère de tutelle la cessation immédiate et sans condition de toute formes d’intimidation morale, physique et/ou psychologique, à l’endroit des gens de la presse,
Décident de rester vigilants et de prendre les mesures appropriées en cas de persistance de ces manœuvres d’intimidations et de censure déguisée,
Réclament la dissolution immédiate de la Commission d’Ethique du Journalisme sans légitimité et sans assises réelles.
Réitèrent la nécessité absolue d’une solidarité des journalistes pour défendre cette cause commune qu’est la liberté de la presse.
Faite à Antananarivo, ce 07 janvier 2012
Le président du Syndicat
Rocco RASOANAIVO
(Adresse provisoire : Lot IV5 4 Ter Rue de Révérend Père MUTHON 101 Antananarivo)

Les Sites Partenaires                                   ... News des Provinces

	Derniers Messages de nos Petites Annonces   + Savoir plus >>   Les Contacts  >>  Offre de Service de Sécurité:  Gardiennage Intervention Contrôle Surveillance et Sécurité BP 3603 Antananarivo 101 MADAGASCAR Tél: (+261) 0 32 88 312 67 / 33 78 310 32 / 34 07 310 32 gicssecurite@gmail.com       Contact: Lanto Niaina Rajaonarivo    rajaonarivolanto@yahoo.fr Maison à vendre à Savigny Le Temple (77176) /  A saisir 222 000 € 5 pièces - 110 m² / Description du bien immobilier / PLESSIS LA FORET :  . ...Contact: Tél. : 01 60 63 51 57 - 06 09 57 18 98 - (n° international) 33 160635157	La Recette du jour  Comment  la préparer ?  ( ... )

Tribune Mada 13/01/2012
Union européenne : Les élections, garanties et préalables au déblocage des fonds - Recueilli par Valis

Leonidas Tezapsidis, ambassadeur de l’Union européenne à Madagascar, a été clair ce jeudi 12 janvier à Iavoloha. En marge de la cérémonie de présentation de vœux, il a répondu aux différentes questions des journalistes. Ainsi, on apprit que le déblocage des fonds, dont celui du 10e FED, ne peut s’effectuer qu’après des élections libres, justes, transparentes et crédibles. En attendant, les financements européens se limiteront aux aides et appuis aux programmes à caractère humanitaire ou d’urgence ; ainsi par exemple les programmes touchant les populations vulnérables. Pour l’année 2011, l’UE a consacré une enveloppe de 25 millions d’euros environ pour ce volet humanitaire. Pour l’année 2012, une enveloppe financière, destinée principalement aux aides humanitaires est déjà considérée. L’Union Européenne a réitéré son aide pour la tenue des futures élections. Mais ces différentes interventions se feront plutôt via les ONGs et la société civile qu’en partenariat direct avec l’État. L’Union européenne est prête à accompagner le pays dans la mise en œuvre de la feuille de route menant vers le retour à l’ordre constitutionnel, d’après le Représentant de l’U.E à Madagascar. Interrogé à propos de la remise officielle de ses lettres de créance, Leonidas Tezapsidis est resté prudent et il s’est contenté de

rappeler qu’il a déjà remis leurs copies au ministère des Affaires étrangères. La remise des lettres de créances officielles ne dépendra pas seulement de lui, mais aussi de la disponibilité du président de la transition, a-t-il précisé.

afrique7.com 13/01/2012
Madagascar : Démarrage du forage des puits de pétrole de Tsimororo - Sumai Issa
Les travaux d’exploration du gisement pétrolier du bloc de Tsimororo devraient passer à la vitesse supérieure cette année. La compagnie Madagascar Oil prévoit dans ce cadre plusieurs activités importantes. Il s’agit, entre autres, du lancement du projet pour les injections à vapeur.

 Ainsi, si tout va bien, le pays pourrait atteindre sa première production pétrolière et s’inscrire par la même occasion sur la liste des pays fournisseurs mondiaux de pétrole.

Midi Mada 13/01/2012
Retour de Marc Ravalomanana : La date communiquée ce jour à Rajoelina et Beriziky  - RAJAOFERA Eugène
Mamy Rakotoarivelo adressera aujourd’hui au président Andry Rajoelina et au PM Omer Beriziky une lettre où il indique la date du retour de l’ancien président.
Un discours réaliste qui reflète les réalités. 

C’est la réaction de la majorité des observateurs après le discours prononcé hier à Iavoloha par le président du Congrès Mamy Rakotoarivelo lors de la cérémonie de présentation de vœux au couple présidentiel. En fait, ce dernier a surpris ceux qui s’attendaient à un discours d’allégeance au président de la transition Andry Rajoelina. Utilisant sa casquette de parlementaire dont la mission est de contrôler l’action de l’Exécutif, Mamy Rakotoarivelo a eu recours aux proverbes malgaches pour décrire les réalités et faire transmettre ses messages, tels que « Ny hanongotsongoana ny maty hono tompoko, tahotra ny handevim-belona » ; « Ny mahafisaka ny lela, dia mirary ny tsara » ; « Rehefa nifidy ny lohany tompokolahy sy tompokovavy, dia tsy tokony hatahotra ny masony » ; « Toy ny akoholahy fahavaratra hono, ka rebareba fotsiny no betsaka » ; « Antso an-dohariana fotsiny aza ny mpanao politika sasany amin’izy io, ka manao izay tsy ifandrenesana » ; « Adihevitry ny moana, ka hifamely no hiafarany ».
Leçon à tirer.

 En fait, le président du Congrès Mamy Rakotoarivelo n’a pas mâché ses mots pour dénoncer les preuves du non-respect de certaines dispositions de la Feuille de route. Et il l’a fait en interpellant publiquement le président Andry Rajoelina qui vient de séjourner en Afrique du Sud dans le cadre de la célébration du 100e anniversaire de l’ANC. « Vous venez de séjourner en Afrique du Sud où vous avez assisté à l’anniversaire de l’ANC. Je crois que vous avez tiré leçon de la lutte qu’avait menée l’ANC. A ma connaissance, on a libéré les prisonniers politiques et on a fait retourner au pays les exilés politiques et ce n’est qu’après qu’on avait procédé en Afrique du Sud à la mise en place de la transition », a rappelé Mamy Rakotoarivelo. Avant de faire constater : « Nous sommes certes, en famille ici, mais c’est une famille incomplète car certains de ses membres ne peuvent pas circuler librement, pour ne citer que les détenus politiques et les exilés politiques. » Le président du Congrès d’enchaîner : « La mise en œuvre de la Feuille de route laisse à désirer. Certaines de ses dispositions ne sont pas appliquées. Il n’est pas bon pour nous de tergiverser et de ne pas respecter l’engagement que nous avons pris. Nous envisageons d’organiser des élections sans fraudes cette année. Mais il sera difficile d’y procéder tant qu’il n’y a pas d’apaisement. Appliquons donc les articles 16, 17 et 20 de la Feuille de route. »
Lettre.

 Dans la partie improvisée de son discours, le président du Congrès de la transition a saisi l’occasion pour annoncer urbi et orbi le retour imminent de l’ancien président Marc Ravalomanana. « Je suis content d’annoncer à tout le monde et à tout le Peuple malgache que le président Marc Ravalomanana sera bientôt de retour au pays. Je vous mettrai au courant tout à l’heure, Monsieur le Président, la date fixée pour ce retour. Cette date a été déjà soumise à l’accord de Marius Fransman », a-t-il conclu dans son intervention. Donnant suite à ses déclarations qui ont attiré la huée de certains parlementaires s’opposant apparemment à la mise en œuvre de la Feuille de route alors qu’ils sont issus des entités ayant signé ledit document, Mamy Rakotoarivelo a fait savoir hier même qu’une lettre sera aujourd’hui adressée au président Andry Rajoelina et au Premier ministre Omer Beriziky. « Nous indiquons dans cette lettre la date du retour du président Marc Ravalomanana », a souligné le chef de délégation de la mouvance de l’ancien président. D’après des indiscrétions, cette date pourrait être le 20 janvier.

tribune Mada 12/01/2012
Mamy Rakotoarivelo - Un rôle bien endossé - par Rakotoarilala Ninaivo
Le Président du Congrès de la Transition (CT), Mamy Rakotoarivelo a endossé son rôle le mercredi 11 janvier 2012, au palais d’État d’Iavoloha, à l’occasion de la présentation de vœux au couple présidentiel. En tant que représentant d’une institution de la transition, le CT, il a fait marque de respect envers le 

dit-il. Et à lui de souligner que « la feuille de route doit être appliquée en entier ». « Il se peut que son application aura un goût amer, mais on l’a signé, il faut l’appliquer. Et ce n’est pas bien de trahir sa parole ». Mamy Rakotoarivelo insiste sur l’importance des articles 16, 17 et 20 de la feuille de route.
Après avoir insisté sur l’importance de la tenue d’une élection cette année 2012, le président du CT a rappelé le dernier voyage du couple présidentiel en Afrique du Sud, pour assister à la célébration du centenaire de l’African National Congress (ANC). « J’espère que vous avez retenu des leçons de l’expérience de l’Afrique du Sud » dit Mamy Rakotoarivelo en s’adressant à Andry Rajoelina, à propos de la nécessité du retour des exilés. Et de là, il a annoncé le retour imminent de l’ancien président Marc Ravalomanana. « Je profite de cette occasion pour annoncer que le président Marc Ravalomanana va revenir au pays d’ici peu » dit-il.
L’annonce du retour de Marc Ravalomanana a été accueilli avec des huées et des sifflements dans l’auditorium du palais, contrairement à l’entrée dans la salle de Mamy Rakotoarivelo qui avait été accueillie avec ovation et applaudissement.
Mamy Rakotoarivelo a pu donner une large diffusion à l’annonce du retour au pays de Marc Ravalomanana, cette cérémonie de présentation de vœux étant diffusée en direct dans tout Madagascar sur la télévision et la radio nationale.

lagazette-dgi.com 11/01/2012
Boursiers malgaches en France: En difficulté ! 
Des boursiers malgaches en France alertent les autorités de notre pays sur leur situation cruciale actuelle. D’après certains d’entre eux, avec la sortie de la « circulaire Guéant » et surtout son application éventuelle, les étudiants boursiers de l'état malgache risquent l'expulsion du territoire français, si aucune mesure n'est prise par l'Etat.
« Dans le projet de loi de Finances de France pour 2012, de nouvelles taxes leurs sont imposées. L’idée générale est de responsabiliser le demandeur de titre de séjour, de supprimer le régime fiscal favorable dont bénéficiait l’immigration professionnelle et de faire entrer l’étudiant dans le régime commun des étrangers. Les étudiants étrangers souhaitant poursuivre leur carrière professionnelle en France doivent ainsi s'acquitter d'une taxe de 200 à 385 euros pour obtenir leur titre de séjour, à laquelle s'ajoute des frais de 110 euros non remboursables en cas de refus » explique notre interlocuteur. Et lui d’expliquer que désormais, pour étudier en France, il faut justifier de 615 euros par mois pour obtenir un titre de séjour étudiant étranger. En précisant ensuite que la bourse d’un étudiant malgache en France varie entre 485 et 500 euros par mois. « Et à ce rythme, le risque d’expulsion est grand ! »
Dans la même foulée, un cri émane d’une partie des boursiers de l’Etat malgache en France, pour une autre raison. Celle-ci touche l’incapacité du gouvernement actuel à honorer ses engagements, à payer les bourses de ces étudiants, et cela paraît-il depuis la rentrée.
A qui la faute ? Au ministère des Finances ? Ou au ministère de l’Enseignement supérieur ? En tout cas, ces étudiants tirent la sonnette d’alarme et espèrent que leur cas soit réglé, non seulement pour l’honneur et l’image de Madagascar à l’extérieur mais aussi pour leur assurance dans leurs études supérieures.

rfi.fr 10/01/2012
Madagascar : session extraordinaire du Parlement sur la Céni - L. Mouaoued/RFI 
A Madagascar, une session extraordinaire du Parlement a démarré ce lundi 9 janvier 2012. Son programme : la ratification de l’accord de Cotonou révisé avec l’Union européenne, la validation d’un prêt et d’un don de la Banque mondiale pour des programmes environnementaux mais surtout la Commission électorale indépendante, qui doit organiser les élections crédibles que le pays attend désespérément depuis l’éviction de Marc Ravalomanana, en mars 2009. L’institution existe depuis bientôt deux ans, mais l’opposition la juge trop proche du pouvoir d’Andry Rajoelina et voudrait remettre en cause les travaux qu’elle a déjà réalisés.
Avec notre correspondant à Antananarivo
Le Congrès comme le Conseil supérieur de transition n’étaient remplis qu’aux trois quarts pour l’ouverture de cette session parlementaire extraordinaire, le 9 janvier 2012. Certes, les débats ne débuteront que ce mardi, et la proposition de loi sur la Commission électorale indépendante, la Céni, n’était même pas disponible.
Vice-présidente du Conseil supérieur et représentante du président évincé Marc Ravalomanana, l’avocate Hanitra Razafimanantsoa souhaite en tout cas que l’institution soit totalement recomposée et non simplement élargie, que l’on reparte en quelque sorte de zéro : « La Céni n’a pas fait dans le bon sens les travaux escomptés donc pour nous, le point de départ sera la nouvelle proposition. C’est sur cette base là que nous allons discuter, apporter nos propositions ».
Mais pour le général Désiré Ramakavelo, qui participe, lui, à la transition depuis le début, il n’est pas question de remettre en cause ce qui a été acquis, alors que la Céni a, par exemple, déjà organisé un référendum constitutionnel en 2010 : « Si vraiment on maintient cette proposition, il va y avoir des difficultés énormes, ce sera vraiment le blocage sûr et certain. Le général ajoute : Sans parti pris aucun, je crois que les travaux qui ont été menés jusqu’ici sont vraiment valables. » 
Les discussions pourraient s’avérer plus politiques que techniques car en parallèle du débat sur la Céni, la mouvance Ravalomanana ne compte pas non plus relâcher la pression sur le retour d’exil de son champion, et l’opposition en général réclame toujours la libération des prisonniers politiques. Si personne ne veut parler de rupture du processus, les jours à venir vont montrer, ou non, la capacité des uns et des autres à avancer pour le bien du pays.

LaGazette-dgi.com 09/01/2012
Microcebus Gerpi: Nouvelle espèce de lémuriens - R.V
La Grande Ile est riche en écosystème, notamment en faune et en flore. C'est la raison pour laquelle, des chercheurs étrangers et surtout des nationaux 

Express Mada 05/01/2012
Justice - Les magistrats continuent la grève - Fano Rakotondrazaka

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Sommaire en haut de page)