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Emeute à
Mada: Les Echos de nos correspondants (
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Les
missiles sont-ils tombés sur Tana ?
Au moins 68 personnes sont mortes à Madagascar depuis lundi lors d'émeutes
et de pillages liées aux manifestations appelées par le maire de
la capitale contre le régime, a indiqué mercredi à l'AFP un haut
responsable de la gendarmerie malgache, plus de 80 selon Paris.
MADAGASCAR
:TOUTES LES IMAGES DE DESOLATION à TANA (
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ou sur les images
)
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«
Ry
Taniko ! »
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Le pire est à craindre: On le redoutait et il a fini par arriver : la grande île, Madagascar, est en train de basculer dans une période d’incertitude avec en toile de fond, cette espèce de combat de gladiateurs politiques que se livrent le Maire d’Antananarivo, Andry Rajoelina, et le président malgache, Marc Ravalomanana. (Par
Lefaso.net)
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tena ory ny foko nahita ny radiom-pirenena nodorana androany, nefa fananam-bahoaka ireny, ho fitaizana ny taranaka malagasy amin'ny alalan'ny fandaharana samihafa manodidina ny fanabeazana olom-banona
Ry taniko !
Dia ho sanatria ve
hihemotra indray
ilay kely vitanao?
Ry taniko !
Dia ho sanatria ve
hirotsaka indray
ny tomanin'ireo reny lasa zanaka tsy nahy?
Ry taniko !
Dia ho sanatria ve
hifandrafy indray
raha tsy mitovy ny hevitray?
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Ry
taniko !
Indro vavaka ho anao
mba hilamanina hirindra
hanjakan'ny fandeferana
ao am-ponay manontolo
ilay Madagasikara maintso volo
ho rehareham-pahendrena
sy ho tojo famonjena ! ... Lire la suite
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Bebisoa de
Tana (26 janoary 2009 )
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Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina",
Bebisoa a
répondu à notre appel
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qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
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lesechos.fr 03/02/2009
Les Echos de nos correspondants (
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)
Madagascar : Rajoelina lance la procédure de destitution du président
- El H. A. THIAM
Le maire rebelle d'Antananarivo, Andry Rajoelina, a engagé hier une procédure de destitution du président de Madagascar, Marc Ravalomanana, peu après un nouveau rassemblement au coeur de la capitale malgache. Engagé dans un bras de fer avec le chef de l'Etat malgache, le maire de trente-quatre ans s'est autoproclamé samedi à la tête des affaires du pays. « Nous venons de déposer à la Haute Cour constitutionnelle (HCC) une lettre adressée à son président concernant la déchéance du président de la République », a déclaré l'un de ses proches. Devant ses partisans, Rajoelina avait annoncé plus tôt son intention d'engager des procédures similaires devant le Sénat et l'Assemblée nationale, dominés par la majorité présidentielle. La France a jugé lundi « impératif de respecter la légalité et l'ordre constitutionnel » à Madagascar et prôné le dialogue politique entre les parties.
Sobika.com 03/02/2009
TGV pret à prendre Iavoloha !
Hier nous titrions, un TGV sans frein, aujourd'hui on pourrait dire que Andry TGV fait encore de la surenchère. C'est ainsi qu'il a annoncé hier sur RFI qu'il serait prêt à prendre le pouvoir directement à Iavoloha si sa requête déposée à la HCC pour destitution n'aboutissait pas ! Un chantage au résultat donc ? On aurait pu le croire depuis ses deux premières manifestations où une foule monstre s'était réunie. Mais entre temps, il y a eu le Black Monday ( expression que nous avons lancé ! ) et cela a entaché la crédibilité du discours du jeune maire. Depuis, ce jour, les manifestants n'ont cessé de baisser place du 13 mai. Et plus cela baissait, plus Andry Rajoelina faisait des déclarations tonitruantes qui n'ont pas convaincu la fameuse "majorité silencieuse" de venir gonfler le mouvement
TGV. Hier encore, ils étaient peu nombreux.. La surenchère d'annonces n'a pas les effets escomptés. Ce n'est pas ce qu'attendent la majorité des gens. Ce qu'ils veulent c'est un règlement à l'amiable de ce conflit et qu'on reparte travailler, vendre, produire fabriquer pour rattraper ce temps perdu qui coute cher à chaque famille quotidiennement ! La dernière annonce de prendre le pouvoir à Iavoloha ne devrait pas permettre ce raffermir les rangs du maire, bien au contraire. |
Dernière
news- File info
14H00
: Tamatave : le calme est revenu. Les écoles sont
ouvertes ainsi que les commerces. beaucoup de monde au
Jumbo score
12H04 : Andry TGV annonce
qu'il dévoilera son gouvernement de transition Samedi et
que Rossy sera présent pour l'occasion.
12H00 : Andry Rajoelina
annonce qu'il ira à Diégo avec un avion spécial demain
11H50 : Arrivée de Andry
Rajoelina Place du 13 mai. Foule présente constante mais
visiblement moindre que la semaine dernière |
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lesoleil.sn 03/02/2009
MADAGASCAR : L’Oif appelle au respect de l’ordre constitutionnel
Dans un communiqué, Abdou Diouf, Secrétaire général de la Francophonie, a exprimé sa grande inquiétude face à l’aggravation de la situation politique à Madagascar et a appelé au respect de l’ordre constitutionnel.
Le Sg de l’Oif a dénoncé les actes de violence perpétrés depuis le 26 janvier et déploré les pertes en vies humaines provoquées par ces violences, ainsi que les destructions matérielles consécutives aux manifestations organisées ces derniers jours. Dans ce contexte de tension, Abdou Diouf a appelé à un retour rapide au calme et à la sérénité et encouragé vivement toutes les parties au dialogue et à la modération. Tout en condamnant fermement toute action visant à déstabiliser le pays et susceptible de porter atteinte à l’État de droit et à remettre en cause l’ordre constitutionnel et ce, conformément aux dispositions de la Déclaration de Bamako, l’ancien chef d’Etat sénégalais a estimé que : « tous les Malgaches sont dans l’obligation impérative de respecter pleinement les droits et libertés fondamentaux, et notamment la liberté d’expression dans un environnement apaisé, ainsi que la protection des personnes et des biens ».
Midi Mada 03/02/2009
Roland Ratsiraka
: “Je n’ai rien dit sur la transition” - RAJAOFERA Eugène
« Déclaration solennelle ». Depuis que Roland Ratsiraka a disparu de la circulation suite à l’annonce présidentielle appelant à sa traque, l’on véhiculait qu’il est contre la transition que Andry Rajoelina a déclaré avant-hier sur la Place du 13 mai. « Je n’ai rien dit sur cette transition », a précisé en substance hier par téléphone le neveu de l’amiral Didier Ratsiraka.
Une manière pour l’ancien maire de Toamasina, non moins président fondateur du MTS (Magasasikara Tonga Saina), de ne pas démentir les rumeurs, mais de faire savoir tout simplement qu’il n’a pas encore pris sa position par rapport à la mise en place de cette transition dont le maire de la Capitale est le président. A noter que Roland Ratsiraka n’est pas parmi les signataires de la « déclaration solennelle » du Carlton. Une déclaration où des dirigeants politiques de l’opposition ont uni leurs voix pour soutenir Andry Rajoelina dans le processus de la mise en place d’un régime de transition.
Monopole. Désormais, les descentes en province ne seront pas le monopole de Roland Ratsiraka qui a pu y effectuer des déplacements grâce à son Jet privé. Comme il a annoncé hier sur la Place du 13 mai, Andry Rajoelina ne se contentera plus de la Capitale pour faire aboutir son combat contre le président en place. Des descentes seront incessamment effectuées à
Toamasina, Mahajanga, Toliara, Antsiranana et Fianarantsoa. En attendant, Andry Rajoelina essaie de rectifier son tir pour obtenir la reconnaissance de la communauté internationale. Accusé d’emprunter une voie anticonstitutionnelle en se proclamant président d’une transition, Andry Rajoelina a saisi hier la HCC en vue d’empêchement du président de la République. Mais, déchéance ou empêchement, le résultat sera le même : Echec. Car à Tsimbazaza comme à
Anosikely, le parti au pouvoir représente la majorité absolue. D’ailleurs, on est en intersession. Or seul le président de la République peut convoquer une session extraordinaire.
moov.mg 03/02/2009
Conjoncture: La vie économique reprend
- R.Edmond
L'heure était au travail et à la reconstruction hier dans la Capitale.
Une journée de travail. Celle d'hier l'était pour les Tananariviens qui ont pour la plupart vaqué à leurs occupations quotidiennes. La vie socio-économique suit son cours normal puisque malgré l'appel du Maire Andry
Rajoelina, les fonctionnaires ont travaillé, de même que les écoles nationales et même étrangères (française, américaine). Alors que dans les magasins et centres commerciaux, on commence déjà la réhabilitation, les services publics et privés sont de nouveau assurés.
« C'est bien de reprendre les activités, mais ce ne sera pas facile » déclare cet opérateur qui se trouve confronté à différents problèmes, comme l'approvisionnement de son magasin d'électronique et de meubles. « Nous sommes obligés de batailler dur avec les assurances qui refusent de couvrir les dommages causés par les émeutes » déclare-t-il en souhaitant que le gouvernement traduise réellement en actes concrets, les promesses d'appui financier. Mais en attendant ces appuis, certaines boutiques commencent à rouvrir. « Avec les moyens du bord, j'ai décidé d'ouvrir demain (aujourd'hui), puisque malgré tout, mes clients ont besoin de nos produits et services ».
Aucune crainte. Les usagers se sont, par ailleurs réjoui du fait que les banques primaires assurent de nouveau à 100% les services, surtout les versements et retraits d'espèces. Les distributeurs automatiques de billets sont toujours assaillis par les clients des banques. Toutes les stations-service sont également ouvertes et il n'y a plus de système de limitation de la quantité de carburants à livrer par voiture. Sur ce point, un distributeur nous a déclaré |
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qu'il n'y a aucune crainte en ce qui concerne l'approvisionnement. « La prochaine livraison aura lieu vers mi-février et normalement, il n'y aura pas de changement de prix ».
Quoiqu'il en soit, dans le milieu économique, on se réjouit de ce début de reprise des activités économiques, surtout dans la capitale. L'on annonce par ailleurs que normalement, le dédouanement des marchandises reprend, ce jour au port de Toamasina. Une nouvelle qui démontre que la reprise des activités économiques est réelle et que malgré la crise, les Malgaches croient encore en un lendemain meilleur pour le pays.
french.cri.cn 02/02/2009
Madagascar : le travail du gouvernement continue, dit Ravalomanana
Le président malgache Marc Ravalomanana a déclaré à Antananarivo samedi soir que le travail de son gouvernement continue et qu'il reste le président du pays.
Dans une déclaration lue et publiée par une télévision privée, TV Plus Madagascar, Marc Ravalomanana a exhorté tous les fonctionnaires du gouvernement et les travailleurs à poursuivre leur travail plutôt que d'accepter la perturbation de l'opposition.
Il a promis de respecter la Constitution et la loi du pays.
Samedi soir, Ravalomanana a présidé une réunion du gouvernement, pendant laquelle il a demandé au ministère de la Justice et la haute cour constitutionnelle de prendre des mesures après que le maire d'Antananarivo et le leader de l'opposition, Andry Rajoelina, eut annoncé le même jour prendre en chage les affaires nationales, avant la mise en place d'un gouvernement de transition et des élections nationales.?
Selon la radio privée Antsiva, Ravalomanana a rencontré des fonctionnaires de la Haute Cour constitutionnelle avant la réunion.
Le président Ravalomanana a regagné la capitale samedi après- midi après avoir visité quatre villes du pays.
Par ailleurs, il a déclaré que le Premier ministre Charles Rabemananjara irait à Addis Abeba pour le représenter au sommet de l'Union africaine.
meretmarine.com 02/02/2009
Madagascar : La France suit la situation de près
La frégate Nivôse fait partie des unités réunionnaises
crédits : Mer et Marine - V. Groizeleau
Les forces françaises en océan Indien auraient été mises en état d'alerte, suite aux troubles qui secouent Madagascar. Les unités de la Marine nationale, présentes à La Réunion, pourraient en effet, si la situation dégénérait, être amenées à se déployer pour assurer des évacuations de ressortissants. Après une semaine sous haute tension, au cours de laquelle des manifestations et débordements ont fait une centaine de morts, la capitale malgache, Antananarivo, était calme ce week-end. Au coeur de la crise, la lutte de pouvoir entre le président Marc Ravalomanana et le maire de la capitale, Andry
Rajoelina, qui réclame la destitution du chef de l'Etat. |
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Madainfofr 02/02/2009
Madagascar : Rajoelina peine à entretenir la contestation
- par RFI
Malgré l'appel du maire d'Antananarivo, Andry Rajoelina, demandant aux
fonctionnaires de ne pas se rendre au travail, les ministères ainsi que plusieurs écoles publiques ont ouvert leurs portes lundi matin
dans la capitale malgache. Andry Rajoelina a annoncé dans la matinée devant plusieurs milliers de partisans qu'il allait déposer dans les
prochaines heures une demande de destitution du président de Madagascar Marc Ravalomanana. Toutefois, Andry Rajoelina a visiblement
du mal à rééditer le succès des précédents mouvements de protestation
malgaches.
Les cycles de crise se réduisent à Madagascar : 1972,1991, 2002. En trois occasions et contextes différents, la rue a réussi à déboulonner
le pouvoir en place. On n'en est pas encore là en 2009, mais les événements de la semaine passée poussent à l'analogie.
La plus frappante est bien sûr la foule qui se presse place du 13-Mai qui a, à chaque fois, été le départ de la contestation. En plein
centre de la capitale, elle symbolise même la victoire populaire de Marc Ravalomanana. Il y a sept ans, il y convoquait chaque jour ses
partisans selon un procédé que l'on retrouve aujourd'hui.
Pillages massifs
Cependant à l'époque, il avait fallu plusieurs semaines pour réunir les quelques dizaines de milliers de personnes qu'Andry Rajoelina a
rassemblé depuis le début. En revanche, on n'avait alors pas assisté aux pillages massifs qui ont cette année terni l'image du mouvement.
Surtout en 2002, la crise était post-électorale alors qu'aujourd'hui, c'est l'état de la démocratie et les difficultés économiques qui
poussent les gens dans la rue. Le président est légalement en place et
la situation s'apparente donc davantage à 1991. A l'époque, une haute autorité de l'Etat avait été mise en place et un tel schéma de sortie
est avancé par des observateurs.
Sobika.com
31/01/2009
Déclaration du Président de la République de Madagascar à 19h00 au Palais d’Etat de Iavoloha, avant le Conseil des Ministres
Le Président de la République a déclaré que lundi, tout le monde doit se remettre au travail. Le Ministère de la Justice ainsi que la Haute Cour Constitutionnelle se chargeront prendront les mesures nécessaires en ce qui concerne le maire de la capitale qui s’est autoproclamé Président. Il a rappelé qu’à Madagascar, c’est le Président de la République qui est le chef de la nation. Il a fait remarqué qu’il y a 1546 maires qui ne peuvent pas tous se proclamer ainsi Président. Il reste Président de la République et fera son nécessaire pour développer le pays.
Il a déclaré que le pays est calme du nord au sud, à l’est et à l’ouest, mais que le grand problème est le manque d’accès de la population aux Produits de Première Nécessité. Il a affirmé que le Gouvernement et les Organisations Internationales travaillent pour essayer de ravitailler la population. Il a affirmé qu’ils y a eu de nombreuses rumeurs, dues surtout au fait de la non transmission de la TVM dans les régions, ce qui a eu de grands impacts sur la population. Mais la situation est en général calme dans tout le pays.
Il a également affirmé que le Premier Ministre, accompagné d’une délégation malagasy, va le représenter à la réunion de l’Union Africaine à Addis Abeba la semaine prochaine. Madagascar accueillera toujours le Sommet de l’Union Africaine en juillet.
Un Conseil des Ministres se tient actuellement à Iavoloha
Gazety Nosintsika 01/02/2009
Madagascar: Tout changement anticonstitutionnel du pouvoir condamné
par l'UA - (©AFP
)
ADDIS ABEBA - Le président de la Commission de l'Union Africaine (UA) Jean Ping a déclaré samedi soir que "tout changement anticonstitutionnel à Madagascar sera condamné", à la veille du sommet de l'organisation continentale à Addis
Abeba.
"Nous avons des principes très clairs. Ce sont toujours les mêmes. C'est-à-dire qu'il est interdit d'accéder au pouvoir par des voies qui ne sont pas constitutionnelles", a-t-il déclaré à l'AFP et RFI.
"Si l'accession se fait pas des voies constitutionnelles, rien à dire, mais si elle se fait de manière inconstitutionnelle, la réaction sera la même que d'habitude, la condamnation", a-t-il déclaré à l'AFP et à RFI.
Il se référait à la déclaration le jour même à Antananarivo du maire de la capitale Andry Rajoelina et principal opposant du président Marc Ravalomanana, qui s'était proclamé devant des dizaines de milliers de partisans être désormais en charge des affaires du pays.
Le président Ravalomanana s'est cependant réaffirmé dans la soirée être "le président de ce pays".
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La
Recette du jour
Langouste
au coco (
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Les
Voeux Rainizafimanga
2009
2009
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ledevoir.com
03/02/2009
Madagascar: La
contestation s'étiole
Antatanarivo -- Condamnée fermement par l'Union africaine, la tentative de renversement du président Marc Ravalomanana semble avoir fait long feu à Madagascar, où une manifestation antigouvernementale hier a été un échec.
«Les efforts visant à renverser des gouvernements démocratiquement élus sont inacceptables», a déclaré au sommet panafricain d'Addis-Abeba le chef de l'Etat tanzanien, Jakaya Kikwete, président en exercice de
l'UA.
Hier, une manifestation contre le gouvernement n'a rassemblé qu'un millier de personnes à Antananarivo. Les rassemblements de la semaine dernière avaient regroupé des dizaines de milliers d'opposants.
Le chef de l'opposition et maire de la capitale, Andry Rajoelina, accuse le régime de dérive autoritaire et cherche à exploiter politiquement la grande frustation d'une population confrontée à des atteintes aux libertés et à une paupérisation croissante.
«M. Ravalomanana, je vous supplie de démissionner», a lancé le maire lors du rassemblement de lundi. «Il n'est pas encore trop tard.» Il avait affirmé en fin de semaine être aux commandes du pays.
Andry Rajoelina devait remettre hier à la Haute cour constitutionnelle, à l'Assemblée nationale et au Sénat une lettre les invitant à demander la démission du président.
Ce dernier, lui même arrivé au pouvoir au terme d'une longue crise politique, a rejeté ces critiques et exhorté la population à reprendre le travail. Pour des analystes, le maire d'Antananarivo a pris le risque d'entamer son crédit politique par sa proclamation de la fin de semaine.
«Rajoelina risque de perdre le respect de la population étant donné qu'il n'a pas mis ses paroles à exécution», explique Jean-Éric Rakotoarisoa, un expert en droit constitutionnel. «Je pense que sa déclaration [du week-end] a été une grave erreur politique», a-t-il ajouté.
Le goût prononcé de la population de la capitale pour les grandes grèves semble s'être émoussé, les habitants s'efforçant de reprendre le travail et de se réapprovisionner en vivres. «C'est légitime de protester lorsque cela va mal. Mais on a aussi besoin de manger», déclare Russel Ludovic, vendeur de cirage à un carrefour, qui déplore que les troubles de ces derniers jours aient tué le commerce.
Pour des observateurs, le chef de l'État, surnommé par ses adversaires «P.D.G. de la République» pour la manière patrimoniale dont il gère le pays comme sa propre entreprise, est en train de reprendre tout doucement le dessus.
«Je pense qu'il est en train de reprendre les choses en main. La population est terrifiée à l'idée d'une nouvelle flambée de violence et Ravalomanana cultive l'image du sage appelant au dialogue», explique Lydie Boka, analyste chez StratégieCo, cabinet d'évaluation de risques installé à Lille.
quotidiendutourisme.com 02/02/2008
Madagascar : les TO autorisent les reports gratuits
Le Ceto, après consultation des principaux tour-opérateurs programmant la destination, décide de maintenir les départs pour les prochains jours vers Madagascar.
Toutefois, pour les clients ne souhaitant pas maintenir leur voyage, le Ceto recommande d’appliquer commercialement pour les départs jusqu’au dimanche 8 février 2009 inclus, le report possible sans frais sur la même destination ou une autre destination du tour opérateur à une date ultérieure (report valable pour une période maximum de 12 mois). Ces mesures peuvent être modifiées à tout moment en fonction de l'évolution de la situation et dans un souci de l'intérêt de la clientèle, des tour opérateurs et des agents de voyages.
Midi Mada 02/02/2009
Emmonat : Assurer la sécurité dans la légalité
- r.s.
Hier en fin d'après-midi, les responsables de l'Etat-major mixte opérationnel national, au cours d'un point de presse tenu au Toby Ratsimandrava, communiquent que les forces de l'ordre vont prendre leurs responsabilités face à la situation qui prévaut dans le pays.
Et cela dans la légalité pour assurer la sécurité et l'ordre public. Le communiqué lu par le général Pily Gilbain commandant de la gendarmerie nationale invite ainsi tous les fonctionnaires à aller rejoindre sans crainte leurs lieux de travail. Il encourage même tous les autres travailleurs de vaquer à leurs tâches quotidiennes. Toutes les dispositions ont donc été prises pour empêcher tout débordement ou autres actes propres à engendrer des troubles.
Répondant aux questions des journalistes de savoir de quel camp vient l'ordre, le numéro un de la gendarmerie a répondu que depuis son institution et en pareille situation, le maintien de l'ordre est la mission première de
l'Emmonat.
afrik.com 02/02/2009
Crise politique à Madagascar : l’économie ébranlée
- par Stéphanie Plasse
Depuis le début des émeutes, 10 000 Malgaches auraient perdu leur emploi à Antananarivo
Le bras de fer entre Marc Ravolamanana et Andry Rajoelina a conduit Madagascar à l’instabilité politique. Depuis lundi, les émeutes survenues en marge du grand rassemblement organisé par le maire d’Antananarivo contre le président malgache a fait, selon un dernier bilan, au moins 100 morts. Les pillages des commerces ont affaibli une économie déjà très instable. Le pays, touché par la dévaluation, reste dépendante des investisseurs étrangers et n’arrive pas se débarrasser de la mainmise économique de Marc
Ravalomanana. A Madagascar, 70% de la population vit en-dessous du seuil de pauvreté.
L’instabilité politique qui règne à Madagascar risque d’affaiblir l’économie. Le gouvernement et les entreprises craignent que les investisseurs nationaux et internationaux désertent la grande île. « En deux jours, les sociétés malgaches ont enregistré une baisse de leurs chiffres d’affaires plus importante que durant la crise de 2002, qui avait duré plusieurs mois », a affirmé à
Afrik.com, Joséphine Andriamamonjiarison, la vice-présidente du groupement des entreprises de Madagascar (GEM). En 2002, la victoire contestée de Marc
Ravalomanana, l’actuel président malgache, sur Didier Ratsiraka avait plongé le pays dans un marasme économique. Le premier port du pays situé à
Toamasina, le lieu d’acheminement de la majorité des marchandises et surtout, l’unique point d’ancrage sur la grande île, avait même été bloqué.
Madagascar en crise
Pour sa part, le ministre malgache de l’Economie, du Commerce et de l’industrie se veut rassurant. Ivohasina Razafimahefa a réaffirmé, dans un communiqué diffusé jeudi, sa volonté de reconstruire le pays et de poursuivre les actions de promotion à Madagascar. Il devrait d’ailleurs organiser, vendredi, une rencontre avec les opérateurs, victimes des saccages, afin d’établir les mesures nécessaires pour les soutenir dans les reprises de leurs activités. « La reconstruction des infrastructures endommagées débutera dans un futur proche », a-t-il lancé. Un optimisme qui ne semble pas convaincre Joséphine
Andriamamonjiarison. Depuis lundi, de nombreux commerces ont été pillés et vandalisés par les émeutiers en marge d’un rassemblement organisé par le maire d’Antanarivo, Andry Rajoelina contre le régime de Marc
Ravalomanana. Selon un dernier bilan annoncé vendredi par Niels
Marquardt, l’ambassadeur des Etats-Unis à Madagascar, ces soulèvements auraient fait au moins 100 morts.
La dépendance aux investisseurs étrangers
Selon la vice-présidente du GEM, 10 000 Malgaches auraient perdu leur emploi rien que dans la capitale. « J’aimerais être optimiste et dire que la situation va s’arranger, mais je crains le pire. Il faut que le pays se reprenne. On a réussi après 2002 à faire revenir les investisseurs étrangers à Madagascar mais je ne sais pas si, cette fois, on va y arriver », confie Joséphine
Andriamamonjiarison. « La crise économique mondiale a affaibli le pays. Les exportations ont considérablement diminué, les cours des matières premières également. Les chantiers miniers sont fermés car les investissements n’arrivent pas », ajoute-t-elle. Madagascar est très dépendant des investisseurs étrangers. La grande île suscitait, depuis quelques années, la convoitise des grands groupes internationaux, intéressés par son sous-sol très riche en nickel et en uranium et par sa main d’œuvre bon marché
Depuis 2007, le Canada est le premier investisseur devant la France. Cette même année, les investissements directs étrangers venant du secteur privé canadien se sont accrus de 800%. Cette tendance est due à une ouverture progressive de Madagascar à tous les investisseurs depuis l’arrivée au pouvoir de Marc Ravalomanana en 2002. En outre, cette tendance devrait continuer car la Corée du Sud et la Chine sont de plus en plus présentes dans l’île notamment dans la recherche pétrolière, l’agriculture et les travaux publics. Selon le quotidien britannique FinancialTimes paru le 19 novembre dernier, le gouvernement aurait donné, en juillet 2008, à la multinationale sud-coréenne Daewoo Logistics 1,3 million d’hectares (soit l’équivalent de la moitié des terres arables de la Grande île) pour une durée de 99 ans afin d’y cultiver du maïs et des palmiers à huile à destination de Séoul. Une décision vivement critiquée par les malgaches dont 70% vivent sous le seuil de pauvreté.
Le protectionnisme made in Marc Ravalomanana
La mainmise économique de Marc Ravalomanana sur le pays ne participe pas plus à l’amélioration des conditions de vie de la population. Selon une source jointe par
Afrik.com, l’homme d’affaires possèderait sur le marché alimentaire, les grandes enseignes “Tiko” et “Magro” et un complexe hôtelier. Il viendrait également de se lancer, récemment, dans le secteur du pétrole et de la télécommunication. Le président compte lui aussi bénéficier des ressources de son pays. Et, Marc Ravalomanana pratique sans vergogne le protectionnisme pour empêcher qu’on lui fasse concurrence. Résultat, les prix des produits de premières nécessités ne baissent pas.
« Tous les entrepreneurs qui ont tenté de percer ses marchés se sont retrouvés dans les cas suivants : pour accéder au marché ils ont dû céder une part ou un pourcentage de l’entreprise, en cas de refus les entrepreneurs ont été interdits de séjour sur le territoire malgache ou mis en prison pour le non paiement de la taxe exorbitante imposée par
l’Etat », indique cette même source.
Outre l’instabilité politique qui règne dans le pays depuis ces derniers jours. Les émeutes provoquées par l’affrontement entre Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina ont aggravé une situation économique déjà bancale.
Tribune Mada 02/02/2009
Andry : ça suffit !
- Solofo Rafenombolatiana
Vous avez soulevé beaucoup d’espoir auprès de certains Malagasy qui souhaitaient une opposition constructive au pouvoir actuel.
Tout le monde sait que le Président Ravalomanana n’est pas un exemple d’honnêteté mais soyons objectifs : il a fait plus que tous les Présidents Malagasy réunis depuis l’indépendance pour développer ce pays, mieux pour changer l’état d’esprit peu entreprenant des
Malagasy.
Oui, Ravalomana n’écoute personne,
Oui, Ravalomanana s’est certainement encore enrichi,
Oui, Ravalomanana est péremptoire et ne se fie pas des protocoles,
mais il a su convaincre le monde entier d’investir à Madagascar (des centaines de milliers de jobs ont été créés en moins de 10 ans) ; il a pu remettre en place une administration qui est certes loin d’être parfaite, pour lancer et gérer les grands travaux d’infrastructures qui nous manquent tant (routes, ports, fibres optiques, ..).
Bien sûr Ravalomanana a ses travers : le Boeing à $60M, probablement la loi sur le bail emphytéotique que les Malagasy n’ont certainement jamais accepté, un style de gouvernance plutôt d’un "Patron de PME" que d’un Président de la République, l’opacité sur le
"deal" ou "non-deal" avec Daewoo et bien d’autres certainement.
Mais n’oubliez pas, il a été réélu en 2007 pour 5 ans et je suis prêt à parier que vous avez voté pour lui !
Si vous voulez vraiment la démocratie à Madagascar, il faudrait commencer par respecter les échéances et surtout ce choix populaire qui est valable jusqu’à la prochaine élection présidentielle de 2012.
Andry, vous avez eu l’occasion de structurer une vraie opposition efficace en acceptant de dialoguer avec Ravalomanana et de conduire le gouvernement de transition que vous réclamiez tant : une sorte de cohabitation qui n’aurait été que bénéfique pour le pays.
En lieu et en place, vous avez complètement déliré, aujourd’hui en vous proclamant "Président de Madagascar", ce qui vous a mis tout de suite hors la loi.
Quelle sottise, ça aurait été drôle si des vies humaines n’ont pas été perdues.
Maintenant Ravalomanana va avoir encore les mains libres et pourtant il a besoin d’être encadré et contrôlé ; pire pour le pays, les investisseurs vont fuir (voir ce que l’Ambassadeur des Etats-Unis dit dans New-York Times) et les Malagasy vont revenir comme au temps de Ratsiraka.
J’ose espérer que ce n’est pas ce que vous souhaitiez.
Sobika.com 01/02/2009
Un Message de la France
L'ambassade de France à Madagascar indique à tous ses ressortissants que ses administrations ( ambassade, consulat ), ses écoles et lycées seront ouverts lundi 2 février aux horaires habituels. Un message qui vient en contradiction de l'appel du Maire de fermer les administrations malgaches demain.
Comment interpreter ce message. 3 solutions. Soit la France, par ce message, entend montrer qu'elle est indépendante du conflit politique actuel et considère la situation comme normale au point d'ouvrir ses bureaux sans crainte pour la sécurité de ses ressortissants.
Soit c'est un message de désolidarité vis à vis des instructions lancés par le Maire hier et pas conséquent un message de soutient implicite à la présidence
Ravalomanana. |

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leJDD.fr 31/01/2009
Madagascar sur la voie du putsch
: : TGV s'autoproclame Président - Par Rémi DUCHEMIN
La crise à Madagascar a connu un tournant sans doute décisif samedi. Andry Rajoelina, le maire de la capitale Antananarivo, s'est autoproclamé en charge de la gestion du pays. Devant un public acquis à sa cause, l'homme de 34 ans s'en est encore férocement pris au président Marc Ravalomanana. Celui-ci n'a pas encore réagi. Des violences entre camps ennemis ne sont pas à exclure.
"Puisque le président et le gouvernement n'ont pas pris leurs responsabilités, je proclame que je vais gérer toutes les affaires nationales à partir d'aujourd'hui." C'est par cette phrase, lancée samedi depuis la place du 13 mai, lieu historique de la contestation malgache,
qu'Andry Rajoelina a peut-être amorcé un tournant décisif dans la crise que traverse actuellement Madagascar. Le maire d'Antananarivo, qui mène la révolte contre le président en place Marc
Ravalomanana, tente ainsi le coup de force, pour l'heure pacifique.
"Jusqu'à la mise en place d'un gouvernement de transition, c'est moi qui donne les ordres pour la gestion des affaires nationales à tous les ministères", a proclamé Rajoelina devant une foule de partisans en liesse. "J'informe les forces de sécurité que, dorénavant, c'est de moi que vous recevrez les ordres". L'actuel chef de
l'Etat n'a pour l'heure pas réagi. De sa réponse, autant sur la forme que sur le fond, dépend le déclenchement d'éventuelles violences dans les prochaines heures. La manifestation de samedi s'est dispersée dans le calme.
Respect de la Constitution, mais...
Cela n'a pas toujours été le cas. Depuis lundi, plusieurs rassemblements ont dégénéré en pillages et en incendies volontaires visant les magasins du groupe
Tiko, dont le fondateur et propriétaire est Marc Ravalomanana. Les violences auraient entrainées la mort d'au moins 68 personnes, certaines sources avançant le chiffre d'une centaine de victimes. |

De nombreux Malgaches ont convergé vers la place du 13 Mai pour entendre Andry
Rajoelina, maire d'Antanarivo. (Reuters) |
Malgré son auto-proclamation, Andry Rajoelina jure vouloir respecter la Constitution. "Les bailleurs de fonds, les évêques, tout le monde nous dit: 'respectez la Constitution'. Nous sommes d'accord. Nous allons donc proclamer ici les délits du président et du gouvernement au regard de la constitution", a-t-il lancé, protégé par un impressionnant service d'ordre. "La demande du départ immédiat du président Ravalomanana sera déposée au Parlement pour suivre la procédure légale."
La carrière politique du nouvel homme fort de Madagascar a été aussi fulgurante que sa carrière professionnelle. Ancien disc-jockey, l'homme a fait fortune en créant deux sociétés d'affichage publicitaire. En décembre 2007, il est élu à la surprise générale maire d'Antananarivo contre le candidat du pouvoir. Depuis, il n'a eu de cesse de critiquer le président en place. "Andry TGV", comme le surnomme ses partisans en hommage à la rapidité de son ascension sociale, durcit le ton en décembre 2008 quand le pouvoir décide la fermeture de sa chaîne de télévision Viva. Avec succès, puisqu'il paraît désormais en mesure de prendre purement et simplement le pouvoir. Sauf que, s'il décide de respecter la constitution jusqu'au bout, le maire de "Tana" ne pourra pas accéder à la présidence. La constitution fixe en effet l'âge minimal à 40 ans. Or Andry Rajoelina n'est âgé que de 34 ans.
Gazety Nosintsika 01/02/2009
Les projets du groupe Tiko
- LA LETTRE DE L'OCEAN INDIEN
La compagnie du président Marc Ravalomanana planche sur deux projets d'expansion par une prise de participation dans de grosses sociétés locales.
Maintenant qu'un nouveau Boeing 737-700 a été acheté pour servir au président Marc
Ravalomanana, l'ancien Air Force One devrait intégrer la flotte de la compagnie nationale Air Madagascar. Or Tiko Air, la compagnie aérienne privée appartenant au chef de
l'Etat, serait toujours propriétaire de cet ancien avion présidentiel. Si tel était bien le cas, une fois que l'appareil aura rejoint Air Madagascar, Tiko Air pourrait devenir, par transfert de patrimoine, actionnaire de la compagnie nationale. Un tour de passe-passe qui ne pourrait être officialisé, de toute manière, qu'après la nomination d'un nouveau conseil d'administration d'Air Madagascar, lequel est dissous depuis quelque temps déjà.
Tiko s'intéresserait aussi aux Brasseries Star. En novembre 2008, le représentant du gouvernement au conseil d'administration de cette société a fait savoir que
l'Etat avait l'intention de vendre les 15% d'actions détenues dans cette brasserie.
Evidemment, il n'a pas dit quelle firme privée s'intéressait au rachat de ses 15%. En fait, c'est Tiko qui serait sur le coup !
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