LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

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Big News... Le pétrole à 25 $ le baril... Les Voeux  Rainizafimanga 2009 2009 Le pétrole à 25 $ le baril Le pétrole se négociera à un prix plus bas en 2009 étant donné le ralentissement de la demande en   raison de la pire contraction globale économique depuis la Grande dépression. Nous assisterons ainsi à une réduction de la production de pétrole par l’OPEP. Cependant, en raison de désaccords au sein de l’OPEP, les diminutions ne seront pas aussi importantes que voulues afin de ralentir la chute des cours du pétrole.      Ainsi, nous prévoyons un plus bas à 25 $ le baril pour 2009. Néanmoins, les principaux pays producteurs de pétrole, dont les revenus dépendent quasi exclusivement de l’exportation de pétrole, s’efforceront de pousser les prix à la hausse. MADAGASCAR EN IMAGE            extraits de Madamaki.com / Voyage-bons-plans.com / ahaona-madagascar.com *** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>

« L'insécurité à Madagascar : un problème éternel...  »        L’insécurité est au centre de toutes les conversations à Madagascar. Le tableau est sombre, alors que le pays va accueillir des sommets d’envergure internationale.       Des Agression, des maisons cambriolées, des braquages , du banditisme et aussi la peur. Tout cela fait partie de la vie quotidienne des  Tananariviens ainsi que dans les grandes villes . Désormais, chaque recoin de rue peut représenter un danger potentiel.        Est-ce la pauvreté qui pousse les malfaiteurs à faire leur sales boulots, ou bien c'est vraiment de plein gré. Comment gérer cette insécurite grandissante ?     Il y a des sujets récurrents dont on se passerait bien de parler, mais l'actualité malgache nous rattrape à chaque fois. C'est le cas pour l'essence, l'électricité, et depuis peu de l'insécurité ! Puisque l'Etat n'arrive pas à juguler l'insécurité, avec dernièrement encore la double évasion coup sur coup d'une vingtaine de criminels parmis les plus dangereux de Madagascar ( rien que des condamnès à mort ou à perpétuité ), il faut se demander quelles solutions apporter à ce problème qui est en passe d'être le problème n°1 des malgaches.        Avoir un nommé un ministre de l'intérieur, c'est une bonne chose. Enfin, un ministre dédié à la sécurité intérieure ! Il était temps car la

criminalité explose en ville comme en campagne. Développer un éclairage public puissant de qualité, c'est aussi une solution à l'insécurité urbaine. Installer l'armée en soutient de la gendarmerie dans les campagnes contre les dahalo, cela peut aussi être une aide précieuse.        Créer des comités de vigilance dans les fonkontany c'est un message de prévention lancé comme les criminels et rassurant pour la population.       Mais cette lutte contre l'insécurité ne se gagnera pas sans une lutte contre les inégalités. Madagascar n'a jamais été un pays riche et pour autant l'insécurité n'était pas aussi développée il y a 10 ou 20 ans.        C'est le fossé qui se creuse entre ceux qui "ont " et ceux qui n'"ont rien" qui attise la convoitise et le passage à l'acte  criminel. Une situation économique assainie, profitant au plus grand nombre est le meilleur moyen à long terme de faire baisser l'insécurité.     Nous parions que les prochaines élections se gagneront sur deux thèmes : l'insécurité et l'emploi. Celui ou celle qui saura proposer des solutions sur ces thèmes concrets qui concernent chaque malgache, de la ville comme des campagnes, à de fortes chances de passer !  Lire la suite Cliquez-ici Niry de Sobika.com

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Niry  a  répondu à notre appel  pour publier des Edito maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos    

allafrica.com 16/01/2009
Madagascar: Un Réunionnais meurt de peur - Seth Andriamarohasina (experess mada)
Un homme qui était en vacances est mort d'une syncope lors d'une attaque à main armée. Huit bandits cambriolaient sa villa.Terreur dans le quartier de Sakanambazo-Itaosy, mardi vers 23 heures.

a ouvert le feu sur lui », continue-t-elle. Il n'a pas été touché mais il a été terrifié à tel point que son coeur a lâché. Entre-temps, cinq bandits ont entouré la maison.
Un vent de panique a soufflé dans les environs dès le premier coup de feu. Maminirina Angeline, une mère de famille domiciliée dans le voisinage de la villa attaquée, raconte que les gangsters se sont attaqués à ceux qui allaient venir en aide aux victimes. « Des jets de pierres ont fusé dès que nous avons ouvert la fenêtre » affirme-t-elle. Entre-temps, des jeunes gens seraient sortis de quelques maisons du coin pour voir ce qui se passait, ce qui a finalement fait fuir les brigands.
Trainé de force
L'un des malfaiteurs a voulu dépouiller le Réunionnais de son argent coûte que coûte. Ses compères l'auraient traîné de force pour qu'il quitte les lieux.
La gendarmerie d'Itaosy a dépêché quelques éléments sur place environ 30 minutes après l'agression. Au petit matin, ils ont dû intervenir à Ambohidasy, un petit village localisé trois kilomètres plus loin. Un foyer y a été attaqué par des individus armés. Un homme a été atteint de trois balles à la jambe et ses assaillants l'ont blessé au front avec un poignard. Les habitants de ce quartier estiment que c'est la même bande qui a frappé, après avoir été obligée à se replier vers à Sakanambazo.

lematin.ch 15/01/2009
Riaka, mère de Franziska, alias Vasana: «je ne veux plus la revoir»

A la gare de Bâle, où elle a débarqué en provenance d'Allemagne, elle monte dans le premier train qui se présente, dépose son enfant dans un couloir près des WC et redescend du wagon. «J'ai agi par pur désespoir. Aujourd'hui, je me sens bien physiquement, mais psychiquement ça ne va pas du tout.» 

allAfrica.com 13/01/2009
Madagascar: Les villas présidentielles à vendre - L'Express de Madagascar -Lantoniaina Razafindramiadana
Après la tenue du sommet de l'Union africaine en juin, les 54 villas réservées aux chefs d'État seront mises en vente.
Juste un mois, du 10 janvier au 10 février. C'est durant cette période que les personnes intéressées pourront se manifester auprès de la Société de génie civil et de commerce de l'Anhui (SOGECOA), en vue d'acquérir une maison à Antanetibe-Antehiroka.
Destinées à accueillir les chefs d'État dans le cadre du sommet de l'Union africaine, les 54 villas sont d'abord mises à la disposition du gouvernement. Elles devront être remises à l'entreprise un mois après l'évènement.
«C'est pourquoi nous avons décidé de lancer les procédures de vente dès maintenant», précise Bai Xiangqian, adjoint du directeur général de la société d'État chinoise. Après acquisition, chaque nouveau propriétaire sera libre d'apporter des modifications à la construction.
Financer de nouveaux ouvrages
Le prix moyen d'une villa meublée et prête à recevoir ses occupants est estimé à 800 000 USD, soit l'équivalent de 1 500 000 000 d'ariary. Une réduction de 5% sur le prix de base est accordée aux contractants jusqu'à la date du 10 février.
Les sommes collectées seront investies dans la construction de nouveaux logements pour accueillir les invités du sommet de la Francophonie en 2010.
«Nous avons été contactés par l'État malgache pour en réaliser les travaux», poursuit Bai Xiangqian qui explique : «Si nous ne mettons pas en vente les 54 villas, la société enregistrera des pertes étant donné que l'investissement a été entièrement à la charge de la SOGECOA».
Une superficie de 20 hectares est réservée pour la soixantaine de villas à bâtir avant l'évènement de 2010. Elles seront érigées toujours à Ivato en face de l'hôtel 5 étoiles de Sheraton.
Ces initiatives figurent dans le cadre de la coopération sino-malgache. À préciser que le gouvernement chinois ne réalise ce genre de partenariat qu'à Madagascar.

Xinhuanet.com 10/01/2009
Madagascar: le président déclare 2009 "année de défi" - Xinhua

Le président malgache Marc Ravalomanana a déclaré 2009 "année de défi" pour la grande île de l'océan Indien, mais il s'efforcera pour améliorer la vie de chaque foyer. 
"Je déclare que 2009 sera une année de défi et l'amélioration de la vie des foyers sera l'une des priorités du gouvernement", a déclaré le président malgache lors d'une cérémonie officielle de présentation des voeux pour la nouvelle année. 
Le président a dit qu'il fera de son mieux pour accroître la production alimentaire, pour renforcer le partenariat entre les secteurs public et privé et pour augmenter les financements des entreprises et des associations. 
M. Ravalomanana a annoncé devant plus de 3000 invités, dont les chefs d'institutions publiques, les hauts fonctionnaires gouvernementaux, les dirigeants locaux et les représentants des 22 régions du pays, que 2009 sera également une année de démonstration pour son pays. 
Avec tous les travaux de préparation en cours pour le sommet de l'Union Africaine prévu à Antananarivo en juillet, Madagascar veut se montrer extraordinaire au monde pendant cette réunion. 
Il a déclaré que le gouvernement formera plus de 1500 dirigeants locaux dans toute l'île et réhabilitera une route de 23 km dans la ville portuaire de Toamasina, à 370 km au nord-est d'Antananarivo, même si seulement une longueur de 7 km a été achevée l'année dernière. 
Il a informé les invités du fait que le président de la Banque Mondiale Robert Bruce Zoellick, se rendra à Madagascar au début de cette année. 
La Banque mondiale a accordé en juin dernier une subvention de 500 millions de dollars américains pour le pays en faveur de la production alimentaire. 

Express Mada 10/01/2009
Commune de Tana : Andry Rajoelina coupe le pont - Iloniaina Alain
Les employés de la commune urbaine de Tana ont présenté leurs vœux de Nouvel an au maire. Il était absent à la grand-messe d’Iavoloha.
Le fossé s'agrandit davantage entre la municiplalité de Tana et le pouvoir. Pour la première fois dans les annales, le maire de Tana a snobé l'invitation présidentielle. Andry Rajoelina a préféré honorer les siens au gymnase de Mahamasina. Une cérémonie haut en couleur où les fastes étaient de mise et où le maire avait l'allure d'un véritable 
« président » de Tana comme ses partisans le qualifient sur certaines ondes privées.
C'est d'autant plus vrai que parmi les cadeaux qu'ils a reçus figurait une brebis,galeuse ou pas, animal préféré du président de la République.
Si l'attitude du maire de Tana conduit à la rupture définitive avec le pouvoir, son discours sentait le désir de se rapprocher et de dialoguer. « Il ne faut pas se mettre des bâtons dans les roues, se chercher des poux, il faut s'entr'aider et se soutenir», a-t-il affirmé. Un ton rassembleur qui n'a pas pour autant effacé les relents de fiel vis-à-vis de l'Etat. « Les employés communaux ont pleinement assumé leurs devoirs mais les embûches dressées un peu partout ont entravé la bonne marche de leur travail. Mëme les ordures ont fait jaser », a-t-il regretté.
Optimisme dans l’air
Comme à Iavoloha au même moment,où son nom était dans les esprits et cité indirectement dans les discours, l'optimisme était dans l'air. Andry Rajoelina a rassuré ses collaborateurs qu'il tiendra ses promesses électorales pour le reste de son mandat. « Certains chantiers sont déjà entamés à l'image de la reconstruction de l'hôtel de ville, de la place d'Andohalo... » a-t-il rappellé.

Les Nouvelles 10/01/2009

SUITE À L'APPEL DU PRÉSIDENT … Baisse des prix des carburants - Ranaivo Lala Honoré

Lors de son intervention à la cérémonie de présentation de vœux, Marc Ravalomanana a lancé un appel à l'endroit des pétroliers pour que ces derniers procèdent à une baisse des prix à la pompe. Cet appel n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd : dès hier même, les prix à la pompe ont enregistré une baisse (du moins en ce qui concerne la société Jovenna).

A l'occasion de la cérémonie de présentation de vœux au couple présidentiel par les corps constitués, cérémonie qui s'est déroulée hier au palais d'Etat d'Iavoloha, le président de la république, Marc Ravalomanana, a sollicité la collaboration des pétroliers afin que ces derniers s'efforcent de baisser les prix à la pompe des produits pétroliers. Cet appel n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd.

Lors de son intervention à Iavoloha, Marc Ravalomanana a appelé à la collaboration des distributeurs de produits pétroliers pour faire baisser les prix à la pompe, concernant notamment le pétrole lampant et le gazole dont les niveaux de prix ont des impacts directs sur la vie de la population. Il a même suggéré que le litre d'essence tourisme descende jusqu'à 2.200 ariary. La réaction des pétroliers ne s'est pas fait attendre, du moins en ce qui concerne la 

société  Jovenna. En effet, en réponse à cet appel, cette dernière a décidé de baisser ses prix à la pompe hier même. Cette décision est probablement liée à l'arrivée d'une cargaison de produits pétroliers prévue être livrée à Toamasina pour ce week-end. Il faut rappeler que les distributeurs pétroliers ont déjà procédé à une baisse des prix à la pompe le 17 décembre dernier. Avec cette nouvelle baisse, les nouveaux prix (Jovenna) sont les suivants (en ariary) : (Tableau ci-contre)

Comme on peut le constater, la demande du président de la République n'a pas été exaucée, entre autres, 2.200 ariary le litre d'essence tourisme. Quoi qu'il en soit, un pétrolier a fait l'observation selon laquelle, de juillet 2008 à ce jour, le prix du gazole à la pompe a enregistré une baisse cumulée de 28%.

Toujours est-il que cette décision reflète la volonté des pétroliers à collaborer avec les pouvoirs publics dans l'objectif principal d'améliorer le niveau de vie de la population. Et sur cette lancée, on peut déjà se demander à quand la baisse des tarifs de la Jirama ?

xinhuanet.com 09/01/2009
Le Conseil des droits de l'homme discutera de la crise de GAZA vendredi - GENEVE, (Xinhua)

Le Conseil des droits de l'homme des Nations Unies tiendra vendredi à Genève une session extraordinaire sur "les graves violations des droits de l'homme dans le territoire palestinien occupé, y compris la récente agression dans la bande de Gaza occupée", selon un communiqué publié mercredi par le Conseil. 
La session extraordinaire est convoquée à la demande de l'Egypte au nom du Groupe arabe et du Groupe africain, du Pakistan au nom de l'Organisation de la Conférence islamique (OCI), et de Cuba au nom du Mouvement des pays non alignés. 
La majorité requise pour la tenue d'une session extraordinaire est de 16 membres, soit le tiers des membres du Conseil, composé de 47 membres. 
La demande de convocation de la présente session extraordinaire a été signée jusqu'à mercredi par 29 membres du Conseil: Afrique du Sud, Angola, Arabie saoudite, Azerbaidjan, Bahrein, Bangladesh, Bolivie, Burkina Faso, Cameroun, Chili, Cuba, Djibouti, Egypte, Gabon, Ghana, Inde, Indonésie, Jordanie, Madagascar, Malaisie, Maurice, Nicaragua, Nigéria, Pakistan, Philippines, Qatar, Fédération de Russie, Sénégal et ... suite sur MadaVôvô du 9 jan 09  >>   ( ...  )  

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xinhuanet.com 16/01/2009
Madagascar: pas de candidat indépendant aux législatives dans l'avenir - Xinhua

L'Assemblée nationale de Madagascar a approuvé mardi la modification de l'article 15 de la Constitution malgache sur l'admissibilité et les droits électoraux, par 118 voix sur 120. 
Le nouvel article stipule que tous les candidats d'une élection dans la grande île de l'Océan Indien doivent provenir d'un certain parti politique. 
"L'article 15 a été modifié, mais nous devons suivre une procédure pour la proclamer", a déclaré le ministre de l'Intérieur, Gervais Rakotonirina, peu après le vote. 
Il est fort probable que la modification soit approuvée par le Sénat. 
Le parti au pouvoir Tiako i Madagasikara (TIM), ou J'aime Madagascar, détient 106 des 127 sièges de l'Assemblée nationale. Au Sénat, 22 des 33 sièges sont occupés par des membres de TIM, les 11 autres étant nommés par le président Ravalomanana suivant une élection nationale en Septembre 2007.

allafrica.com 15/01/2009
Madagascar: Ravalomanana accule Rajoelina -Express mada - Iloniaina Alain
Le président de la République a durci sa position vis-à-vis de l'ultimatum posé par le maire d'Antananarivo. Il a affirmé qu'il reste celui qui commande.
Le président Ravalomanana attend le maire d'Antananarivo, Andry Rajoelina, de pied ferme. Le chef de l'État n'entend pas céder un pouce de terrain au maire de la capitale et le fait savoir. La tension monte d'un cran au moment de l'expiration de l'ultimatum lancé par le magistrat de la ville des Mille, réclamant plus de liberté d'expression, avant le 13 janvier.
«Personne ne peut me lancer d'ultimatum (...). On n'oblige pas le gouvernement à agir contre l'intérêt du peuple», a déclaré hier le président Ravalomanana à l'Hôpital Joseph Raseta, à Befelatànana. «Aucun état au monde ne se plie aux intimidations d'une seule personne», a-t-il continué.
Et voilà le président de la République qui apporte une réponse claire et sans concession aux revendications et fait connaître ses intentions. «C'est toujours l'hésitation qui permet aux autres de lancer un ultimatum», a-t-il soutenu, profitant d'une question sur la révision constitutionnelle, pour montrer son état d'esprit.
Le chef de l'État, qui cache parfois mal son irritation, n'a pas été tendre avec Andry Rajoelina. Sur un ton ferme, il est allé jusqu'à comparer l'acte du maire de la capitale à ceux des «pirates» et des «preneurs d'otages».
Sur le pied de guerre
À travers sa visite à Befelatànana, Marc Ravalomanana souhaite envoyer un message fort à l'endroit de Andry Rajoelina avant que celui-ci n'annonce ses intentions. Organisée à quelques heures de l'expiration de l'ultimatum lancé par le maire d'Antananarivo, elle s'apparente à une sérieuse mise en garde contre ce dernier.
Le choix de l'endroit n'est pas fortuit ni dénué de sens, vu la conjoncture politique actuelle. Le chef de l'État s'est rendu à Mahamasina, tout près de la mairie, pour marquer son territoire. «Je suis ici pour visiter les raiamandreny malades, à l'occasion du nouvel an», a-t-il cependant soutenu.
Le chef de l'État évite de se prononcer sur l'éventuelle riposte du gouvernement en cas de réaction de Andry Rajoelina. «Il faut lui poser la question», a-t-il indiqué, mettant la pression sur le magistrat de la ville des Mille.
Sur le terrain, les forces de l'ordre sont déjà sur le pied de guerre, après la rencontre du chef de l'État avec les officiers le 12 décembre. Les casernes adoptent la vigilance comme mot d'ordre. Des éléments de la police militaire font le tour de la ville depuis quelques jours.
Pour l'instant, Andry Rajoelina n'a pas fait de commentaire sur la visite présidentielle. Le maire de la capitale semble vouloir donner l'impression de ne pas céder à la pression et obéir au calendrier qu'il s'est fixé. Il promet de se prononcer ce jour à Mahamasina, quelques heures après l'expiration du délai fixé.

tribune mada 10/01/2009
Madagascar face à l’Afrique du Sud - par Rata 
Madagascar et l’Afrique du Sud se disputent l’organisation du 21e Championnat d’Afrique des Nations (CAN), Dames. « C’est à la réunion du bureau central de la Fiba/Afrique, les 25 et 26 du mois courant au Caire que se décidera qui des deux pays abritera ce sommet féminin » précise Ntsay Abel, vice-président de la Fiba/Afrique.
Rien n’est encore certain
Prudent, le past - Président de la Fédération Malagasy, ne veut avancer quoique ce soit sur la chance réelle de Madagascar d’héberger un tel évènement au mois d’Avril prochain. « L’Afrique du Sud et Madagascar ont chacun déposé un dossier bien ficelé, la décision finale revient au bureau central de la Fiba/Afrique » répond-il devant notre insistance.
Ainsi, rien n’est encore certain, mais le milieu malgache aspire que son pays soit retenu. Il n’est pas le seul car les membres de la zone 7 le souhaitent également. En effet, si le bureau central décide de tenir à Madagascar la phase finale, la zone 7 aurait ainsi deux représentants. La sélection nationale hôte est qualifiée d’office.
Par ailleurs, la désignation des pays hôtes des phases finales du 25 e C.A.N. Masculin, au mois de septembre, et du 1er C.A.N. des moins de 16 ans, Garçons et Filles, figure également à l’ordre du jour de la réunion du bureau central.
Une réunion précédée la veille de son ouverture par celle des Présidents des zones. Président de la zone 7, Ntsay Abel a dressé le calendrier des éliminatoires de sa juridiction en vue de ces sommets africains.
Pour le C.A.N. masculin et féminin, les phases éliminatoires de la zone 7 se tiendront à l’île Maurice au mois de février. Concernant les moins de 16 ans, des deux catégories, les équipes nationales de la zone 7 se donnent rendez-vous dans la capitale malgache au mois d’avril, pour la phase éliminatoire.

moov.mg 10/01/2009
Trois évasions en 72 heures - Solofo Andrianjakarivelo © DTS 
S'agit-il d'une pure coïncidence ou autre ? En tout cas, force est de constater que la population est sur le qui vive avec les séries d'évasion dans les prisons malgaches en ce début d'année. 

Les dernières en date après les évasions massives de la maison de force de Tsiafahy dimanche matin sont les évasions de 7 prisonniers à Ambalatavoahangy (Toamasina) et 10 à Betroka. Celle de Toamasina a eu lieu lundi matin vers les 03 heures 30. Les prisonniers, tous des criminels écopant des lourdes peines, ont scié les barres des chambrées et ont escaladé les murs avant de s'évanouir dans la nature. Et les gardiens n’ont pu constater le dégât que leur de leur tournée matinale. C’est un peu la même image de la grande évasion de Tsiafahy de dimanche, sauf que les 21 évadés ont creusé un canal allant de la chambrée vers le mur et cela trois jours durant bien avant la grande date et sans que les responsables pénitenciers ne soient au courant qu’à l’alerte d’évasion en tirant sur les prisonniers. Un a été mort et deux autres ont été blessés par balle. 15 ont pu prendre la fuite. Aux dernières nouvelles, un détenu évadé a été appréhendé par la population du côté d’Andramasina lundi en fin d’après-midi. A Betroka, 10 prisonniers ont aussi pris la fuite dimanche soir avant minuit. Aucune nouvelle n’a été collectée jusqu’à maintenant quant à cette évasion de Betroka.  A Toamasina, les responsables régionaux ont pris des mesures dès lundi matin. Les forces de l’ordre issu de l’EMMOREG sillonnent la ville du Grand Port et les axes routiers de la région tout en fouillant les véhicules et contrôlant l’identité des piétons et des passagers. Dimanche, le Chef de l’Etat, a laissé entendre l’existence des

La prison d'Ambalatavoahangy (au premier plan), à Toamasina  © DTS

« complices » à l’extérieur et à l’intérieur de ces maisons d’arrêt. Les enquêtes fourniront de plus amples informations, mais force est de constater la recrudescence de l’insécurité. 
Ce n’est pas la première fois dans l’histoire que les prisons malgaches ont connu des pareilles histoires d’évasion. Rien qu’à Toamasina, 4 détenus se sont évadés d’Ambalatavoahangy en novembre dernier. Un seul a été appréhendé, les 3 autres sont encore en cavale. L’Etat appelle ainsi la population à la vigilance et à la collaboration afin d’attraper les évadés. 

laverite.mg 09/01/2009
Appâts insuffisants - V.R 
Le secteur de la santé publique est l’un des témoins, sinon le premier avec l’enseignement et l’éducation, de la faillite du régime actuel. Si l’on parle de faillite, c’est les chiffres et les statistiques mirobolants, les réalisations grandioses et les discours d’optimisme béat qui ne convainquent personne. 

Ils sont clamés haut et fort pour justifier sans doute le train de vie de l’Etat qui défie toute concurrence y compris celle des pays les plus puissants et les plus riches du monde. Et lorsque une certaine presse sans complaisance et ne faisant ni compromis ni compromissions, déclarent, preuves à l’appui et parce qu’en contact régulier et quasi permanent avec la population, égrène inlassablement les vraies réalités du pays, l’on crie à la désinformation. Il ne s’agit, comme pour certains, de faire une fixation sur les chiffres mais plutôt de les analyser car lesdites réalités malgaches actuelles sont tout à fait édifiantes pour qu’il leur soit collé des statistiques parfois sujettes à caution.  En réalité c’est la grande majorité de la population dont il faut redorer le blason et qu’il faut réhabiliter dans sa dignité humaine. Ce n’est pas cette population dans l’état où elle se trouve qu’il faut exhorter à la discipline, au travail, à l’audace, à la solidarité et à la démonstration. Car dans cette dernière, elle n’a que sa misère et sa pauvreté à démontrer. Livrée à elle-même, elle est sciemment précipitée dans le dénuement et dans les maladies. Sur ce point précis, à savoir la santé publique, il est vrai que les autorités limitent son autosatisfaction tout en se prévalant d’avancées énormes que les partenaires techniques et financiers de la Grande île semblent approuver tout en tempérant également leurs appréciations par des ... suite sur MadaVôvô du 9 jan 09  >>   ( ...  )

Express Mada 06/01/2009
Avion présidentiel : Ar 112 milliards pour Force One II - Iloniaina Alain 
Le nouveau Force One, un palace volant, de 60 millions de dollars a atterri à Ivato hier, sous les yeux émerveillés du comité d'accueil.

Un pan du voile concernant le nouvel avion présidentiel a été levé. Le président Ravalomanana tente de rassurer l'opinion sur l'utilité de l'appareil au vu de l'énorme investissement pour son acquisition. Comme le chef de l'état l'avait annoncé dans son message dominical, le nouvel aéronef destiné aux déplacements présidentiels a atterri hier à Ivato. Il s'agit d'un Boeing 737-700 ayant appartenu au milliardaire américain Roy Disney, neveu du célèbre Walt Disney, père du légendaire personnage de Mickey Mouse.  Salon privé  Aménagé pour le transport de VIP (Very important person), l'avion, pouvant transporter entre 120 à 140 personnes, ne compte que 25 sièges. Le reste de l'espace accueille bureau ou encore salon privé. Comme l'avait déjà soufflé le chef de l'Etat, l’appareil a une autonomie de vol de 11, voire 12 heures. C'est avec une joie non feinte que le président Ravalomanana et son épouse ont accueilli le nouvel avion présidentiel. « N'est-ce pas que c'est beau ? » s'est extasié le chef de l'état auprès de tous les chefs d'institution et membres du gouvernement, venus l'accompagner à l'aéroport international d'Ivato. L'investissement consacré par l'Etat, pour l'achat de l'appareil est à la hauteur de son luxe. « L'avion coûte environ 60 millions de dollars», a déclaré le président Ravalomanana. Il n'a pourtant pas divulgué l'origine de l'enveloppe budgétaire consacrée à l'achat de l'aéronef. L'achat du nouveau Force One représente une somme colossale. Les Ar 112 milliards représentent  ... suite sur MadaVôvô du 9 jan 09  >>   ( ...  )

nouvel appareil “Force One”, B737-700, arrivé directement de la Louisiane, aux Etats-Unis, en passant par Bruxelles Le dossier Cliquez-ici

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent sur cette page ( ... Sommaire en haut de page)