MadaVôvô 2009

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Les Titres de MadaVôvô du 20 juillet 2009  

BigNews:  Le Sport est Roi ... 

L'Edito: « Efa lasa vodi-ondry vé ? ... »    ( ...  )

1. Le festival Champs et cultures du monde avec Mikéa (ouest-france) ( ...  )

2. Nosy-Be – Milan : Deux vols directs (midi) ( ...  )

3. Economie: Mada rouvre l'exportation des pierres précieuses (casafree) ( ...  )

4. Des armes de guerre aux mains des bandits de grand chemin (midi)( ...  )

5. Mairie d’Antananarivo : La PDS Ratsivalaka destituée (express) ( ...  )

6. Consultation populaire : Jean Claude Boidin répond au gouvernement  (express) ( ...  )

7. Jean Marc Châtaigner : Pour un accord politique inclusif (midi) ( ...  )

8. La SADC soutient l'élection nationale anticipée à Madagascar (xinhua) ( ...  )

*. No Comment.... No Comment... 

9. Energies renouvelables: Fabriquer sa propre éolienne ? C'est possible ! (nouvelles) ( ...  )

10. Approvisionnement  : Du riz de Tiko vendu aux enchères (express) ( ...  )

11. Agoa: les employés défendent leurs emplois jusqu'au bout (moov)  ( ...  )

12. Reprise de négociations : Réserve sur la réunion à Addis Abeba (express)  ( ...  )

13. Fonctionnaires : L’horaire « 8h à 16 h » effectif à partir du 1er août prochain (midi) ( ...  )

14. Sommet du Mouvement des non-alignés : Rajoelina annule le voyage en Égypte (express)  ( ...  )

15. Des détenus criminels devenus garde-corps (midi)  ( ...  )

16. Impacts économiques de la crise politique - Le pire est "à venir" (nouvelles)  ( ...  )

... Le précédent MadaVôvô  13 juillet 09  >>   ( ...  )

*. SADC : A la rencontre de Ravalomanana et de Ratsiraka (nouvelles)  ( ...  )

20/07/2009

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.714.95 Ar 
USD 1.934.42 Ar 
GBP 3.149.03 Ar 
CHF 1.794.36 Ar 
JPY 20.64 Ar 
ZAR 238.73 Ar 
HKD 249.60. Ar 
Date Eur/Ar Date Eur/Ar
31/05 2702 30/06 2719
13/09/08 min:2290 09/05/09 max:2807

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...  ( ...   )


 

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Emeute à Mada: Les Echos de nos correspondants

Le Dossier  ( ... )

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« Efa lasa vodi-ondry vé ? ... »

       « Selon la tradition malgache » , les fiancés avaient le droit de faire une période d'essai.

 la conclusion du mariage suit la période d'essai au cours de laquelle la jeune fille doit prouver qu'elle est capable de tenir un ménage et donner 

des garanties d'une union durable et féconde.

       Si le couple ne s'entend pas les deux jeunes gens se séparent suivant le dicton " ny fanambadiana tsy raikitra tsy maharatsy fihavanana

      Par contre si le couple s'entend et se décide de prendre la responsabilité de fonder un "foyer" " Manorina tokatrano ", ils demandent la bénédiction des parents.
      Cela se manifeste par le rite des: "manatitra fanala henatra" - "mangataka namana ho an-drazazalahy" - "manatitra vody ondry ho an'ireo nahitana masoandro".
      Cela se fait auprès des parents de la fiancée.
      C'est une demande en mariage dans les règles de l'art pour faire honneur aux parents et à la fiancée.
      Ce rite marque la "signature d'un contrat de mariage entre les fiancés et ...SURTOUT ENTRE LES 2 FAMILLES" qui sont témoins de l'événement.
     C'est une fois de plus, une occasion d’une part, d'un concours de joutes oratoires "kabary" entre les représentants des fiancés. Et d’autre part, d'un banquet offert aux deux familles et aux invités : on tue des zebus.

      Depuis toujours, les Malgaches ont dit « Ny fanambadiana toy ny lamban’akoho, ka ny faty no hisarahana », ce qui veut dire « le mariage est comme la robe d’une poule, seul la mort peut les séparer ». En effet, dans ce dossier, nous verrons les péripéties du mariage malgache traditionnel. Tout d’abord, il faut dire que le mariage coutumier est légal à Madagascar.

      Traditionnellement, le mariage est conclu dès lors que les formalités coutumières ont été accomplies et principalement lorsque la donation du « vodiondry » ou « fandeo , fafy, diafotaka, orimbato, fanokoana » ect a été faite. 

      Les Malgaches gardent, si l’on veut leur coutume acquise des Asiatiques, de nos ancêtres. En effet, paraître en public comme mari et femme sans même qu'on se soit    ... Lire la suite Cliquez-ici

Anna et Mika Rabemila de Tana

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Anna et Mika ont répondu à notre appel  pour publier des Editos maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos    


ouest-france.fr 20/07/2009

Le festival Champs et cultures du monde débute lundi à La Flocellière

Le festival Champs et cultures du monde propose, chaque année, la découverte de la culture et de l’agriculture d’un pays étranger. La huitième édition s’ouvre ce lundi avec, pour invitée d’honneur, l’île rouge : Madagascar. 
Films, expositions, tables rondes, spectacles et autres dégustations émailleront la semaine, jusqu’au dimanche 26 juillet. Temps fort de la semaine: un après-midi aux couleurs de Madagascar, à La maison de la vie rurale, à La Flocellière (Vendée). Avec des rencontres avec des artistes, des paysans, des musiciens malgaches et des associations françaises œuvrant sur l’île. Des stands d’artisanat malgache seront également installés. Les animations de l’après-midi : la chorale Talio, le groupe Mikea et les danseurs de Namana, venu de Poitiers.
Et une foule d'expositions visibles pendant tout le festival: des peintures de Richard Razafindrazoto, à l’Échiquier, à Pouzauges. Des photos de Pierrot Men, au Manoir de Réaumur. Des peintures de Nonoh Ramaro et des sculptures du Vendéen Arnaud Guegnard, à la Maison de la vie rurale, à La Flocellière. Et des visites touristiques et agricoles aux quatre coins du Bocage.
Renseignements au 02 51 55 77 14.


Midi Mada 20/07/2009
Nosy-Be – Milan : Deux vols directs - R.Edmond
Les opérateurs tentent de sauver le tourisme, malgré la crise
Eloignée des mouvements politiques, la destination Nosy Be intéresse toujours les touristes européens. Plus particulièrement les Italiens qui viennent en masse grâce aux deux vols directs hebdomadaires qui relient dorénavant l’Ile aux Parfums à Milan.

Le groupe Mikea se produira par deux fois durant le festival Champs et cultures du monde. Sa musique mêle Beko, ce chant traditionnel malgache qui raconte la vie quotidienne des habitants, et blues, pour exprimer les difficultés de la vie sur l’île. : Photo : Valérie Passelèque

Chaque vol en provenance d’Italie transporte en moyenne 130 passagers dont 85 sont des clients d’Andilana Beach et le reste (45) des pensionnaires d’autres hôtels de Nosy Be. Un vol de ligne qui profite, en somme au secteur touristique de Nosy Be en général. Même topo pour le deuxième vol assuré par la compagnie italienne Neos et qui a atterri hier avec son premier contingent de 150 passagers dont 135 pour Andilana Beach et 15 pour les autres établissements hôteliers de Nosy Be.
Second souffle
En tout cas, ce deuxième vol est aussi un second souffle pour le secteur touristique malgache qui se remet petit à petit des effets néfastes de la crise politique. Mais il est aussi le résultat des efforts menés par les professionnels du tourisme pour sauver la filière. A l’instar d’Andilana Beach qui, dans le cadre de la politique de relance de la destination offre une réduction de 50% à tous les clients, étrangers ou nationaux de l’hôtel. Une offre très alléchante en somme puisque pour seulement 75 euros, le touriste peut s’offrir le « all include » qui comprend tout : l’hébergement, le petit-déjeuner, le déjeuner, le dîner, les activités sportives et autres divertissements…
Clientèle locale
Une formule qui réussit apparemment, avec cette venue en masse des Italiens. Mais Andilana Beach vise également la clientèle locale et lancera d’ici peu une campagne. Une campagne qui a aussi toutes les chances de réussir dans la mesure où le tarif est à la portée d’une gamme de touristes locaux qui pourront ainsi bénéficier des merveilles d’un séjour à Andilana Beach, l’un des meilleurs établissements touristiques dans l’Océan Indien.
Cette promotion permet par ailleurs à Andilana Beach de « garder le marché ». « Dans le contexte de crise financière et économique qui sévit actuellement dans le monde, nous ne prétendons pas gagner beaucoup, mais l’essentiel est que nous puissions nous maintenir » explique André Aiolfi, Directeur Général du groupe Andilana en faisant référence à l’Ile Maurice où le taux d’occupation serait actuellement de moins de 40%. André Aiolfi qui se félicite par ailleurs de l’initiative prise par le ministère du tourisme de supprimer les droits de visa qui étaient de 60 euros. « C’est un signal fort de la volonté du gouvernement de relancer le tourisme » selon lui.


casafree.com 19/07/2009
Economie: Madagascar rouvre l'exportation des pierres précieuses  - Xinhua
Le gouvernement malgache a rouvert l'exportation des pierres précieuses malgaches, a déclaré jeudi le ministre malgache de l'Energie et de la Mine Jean Rodolphe Ramanantsoa à Antananarivo.

Lors d'une conférence de presse jeudi, le ministre a affirmé que des mesures ont été prises pour contrôler cette filière et pour garder l'intérêt de Madagascar.
Ramanantsoa a expliqué que la décision a été prise par le conseil du gouvernement mardi dernier, pour reprendre les affaires courantes dans le pays.
Ramanantsoa a rappelé que le gouvernement de transition a décidé il y a quelques mois de suspendre l'exportation des pierres précieuses pour contrôler la filière.
Il a indiqué que le gouvernement va promouvoir le secteur lapidaire pour augmenter la valeur ajoutée et accroître les capitaux versés dans le budget de l'Etat.

Le gouvernement a parié de ne pas exporter de pierres brutes et a priorisé la promotion du secteur lapidaire à Madagascar, a ajouté Ramanantsoa. 


Midi Mada 19/07/2009

Banditisme. Des armes de guerre aux mains des bandits de grand chemin.

Blessé dans sa fuite, un bandit disparaît de l’hôpital, plusieurs armes et munitions découvertes chez lui. Les attaques à main armée se suivent et se ressemblent semant la terreur au sein de la population, en ville comme en brousse.

Le début de cette semaine qui vient de s’écouler a été marqué par plusieurs attaques à main armée dans la capitale. A Anosizato, quatre hommes armés ont fait irruption dans une épicerie pour dérober, sous la menace de leurs fusils d’assaut, la somme de 5 millions ariary. Il était 9 heures 30 minutes. Heure où la population de ce quartier populeux de l’Ouest de la capitale grouillait dans les rues. Mais cela n’a pas empêché ces malfaiteurs d’accomplir leur basse besogne. Après avoir mis la main sur le butin, ils ont prix la fuite. Alertés par les riverains, les éléments du poste avancé d’Anosizato arrivent sur les lieux. Ainsi, une course poursuite a été engagée. Dans sa précipitation, un bandit s’est accroché sur une grille de protection. Blessé à l’entre jambe, il a quand même pu échapper à ses poursuivants pour disparaître dans les nombreux dédales de la localité. 
Une enquête a été ouverte par les éléments de la gendarmerie. Et de fil en aiguille, les fins limiers ont su que ce blessé s’est fait soigner dans un établissement sanitaire de la capitale. Les militaires se sont rendus dans cet hôpital. Mais, grande fut leur surprise, l’homme a disparu. Toutefois, les éléments des forces de l’ordre ont pu recueillir sur place des renseignements utiles pour l’identification de ce malfrat, notamment son adresse. 

Tout de suite après, une descente a été opérée. La perquisition au domicile de ce voleur a été fructueuse. Un pistolet automatique avec 24 munitions et quatre étuis déjà utilisés, a été découvert dans la maison. Et ce n’est pas tout, car en plus, 14 balles de kalachnikov font partie de cet arsenal de guerre.
Divers objets volés se trouvaient également dans la maison : 2 postes téléviseur moyen écran ; 1 lecteur dvd marque Perx ; 1 lecteur divx marque Sony ; 1 mini-chaîne marque Philips avec baffles ; 1 stabilisateur ; 1 amplificateur ; 4 hauts parleurs médium ; 3 table basse vitrée.
La gendarmerie informe le public que ces objets se trouvent actuellement dans les locaux de la brigade à Fenoarivo. Toute les personnes victimes de vol ces derniers temps sont invitées à faire le déplacement munies de pièces justificatives pour d’éventuels enlèvement de leurs biens.


Express Mada 16/07/2009
Mairie d’Antananarivo : La PDS Ratsivalaka destituée - Iloniaina Alain 
Dans l’air depuis quelques jours, la destitution de la PDS d’Antananarivo a été concrétisée par le conseil municipal. La décision a été votée à l’unanimité.

Du rififi à la commune urbaine d’Antananarivo (CUA). Le conseil municipal, pourtant dominé par des élus de l’association Tanora malaGasy Vonona (TGV), fondée par Andry Rajoelina, président de la Haute autorité de la transition (HAT), a procédé à une démarche de destitution de Michèle Ratsivalaka, le maire en exercice. 
«Le conseil municipal a destitué à l’unanimité le maire par intérim Michèle Ratsivalaka», a déclaré hier Sahoby Ranaivoarimanga, vice-président de l’organe législatif de la mairie. Au cours d’une séance à huis clos, les conseillers municipaux ont décidé de déclarer la guerre à la première magistrate de la ville. Sahoby Ranaivoarimanga n’a pas fourni de détails sur les motifs de la destitution. Il a seulement évoqué le «manque de performance» du maire. 
Après le vote d’hier, la procédure a été mise en branle. «Nous allons encore demander l’avis de la préfecture de police pour le contrôle de la légalité de notre acte, avant de transmettre le dossier au ministère de l’Aménagement du territoire et de la décentralisation», a indiqué Sahoby Ranaivoarimanga.
Les bruits de la destitution de Michèle Ratsivalaka couraient depuis un certain temps, mais les parties concernées avaient toujours nié l’existence d’un malaise. La convocation d’une session extraordinaire pour une question de lavoir a juste servi de prétexte pour déclencher le processus.
Sabordage

Michèle Ratsivalaka, cible de la destitution, a vivement réagi à la décision en défendant son bilan. Elle accuse à son tour le 

conseil municipal de faire un «blocage par inertie». Elle réclame l’arbitrage du président de la HAT. «J’ai été nommée par Andry Rajoelina et lui seul peut me démettre de mon poste de présidente de la délégation spéciale (PDS) de la ville d’Antananarivo», a-t-elle soutenu. Elle refuse ainsi de se soumettre à la décision du conseil municipal, qui pour elle, est illégale.
Le général Ferdinand Razakarimanana, conseiller de Michèle Ratsivalaka, dénonce une connotation politique dans le vote. «C’est le président de la HAT qu’on veut atteindre par une telle initiative», a-t-il indiqué. 
Hoby Ranaivoarimanga réfute tout calcul politique derrière la procédure de destitution. «Ce n’est pas une question politique dans la mesure où les autres tendances politiques au sein du conseil l’ont également approuvée», a-t-il martelé. 
L’histoire de destitution de Michèle Ratsivalaka s’apparente à un sabordage. La majorité des conseillers récalcitrants proviennent de l’association TGV qu’Andry Rajoelina, maire d’Antananarivo, puis président de la HAT a créée. Ils s’attaquent ainsi à la première magistrate de la ville désignée par ce dernier. 
À l’heure actuelle, il est difficile de déterminer avec précision les vraies motivations des conseillers municipaux. Mais l’évènement survient au sein du fief d’Andry Rajoelina et au moment où ce dernier a besoin de soutien face à la pression autour de la gestion de la Transition. 
Encadré : Bataille juridique en perspective
Le camp du conseil municipal et celui du maire Michèle Ratsivalaka s’affrontent sur le terrain juridique pour fonder leurs positions respectives.
Les conseillers municipaux assurent que la première magistrate de la ville est un maire par intérim et peut être destitué. Michèle Ratsivalaka affirme pourtant qu’elle est une Présidente de délégation spéciale (PDS) et le conseil municipal n’a pas la compétence pour la destituer. Elle se fonde sur le jugement du tribunal administratif du 1er mai, concernant le décret portant nomination de Guy Rivo Randrianarisoa, pris par le gouvernement Rabemananjara au moment de la crise politique.


Express MADA 16/07/2009
Consultation populaire : Jean Claude Boidin répond au gouvernement - Iloniaina Alain
«Nous n’avons pas fixé de date, mais avons émis le souhait d’un retour à l’ordre constitutionnel dans les plus brefs délais », a rectifié Jean-Claude Boidin, ambassadeur de l’Union européenne. 
C'était mardi en marge de la célébration de la Fête nationale française à Ivandry. Le diplomate en a profité pour rappeler un autre point de la position de l’UE. « L’organisation unilatérale des élections pourrait être source de contestations et donc d'une nouvelle instabilité. Il faut donc un consensus, donc un accord politique pour y arriver. Le gouvernement doit trouver la bonne formule pour résoudre cette équation. » La déclaration de Jean Claude Boidin répond en quelque sorte à l'annonce faite par les dirigeants de la Transition. Andry Rajoelina puis Monja Roindefo ont parlé d'une sorte de pression de la communauté internationale pour la tenue des élections avant la fin de l’année, faisant allusion à la demande des États-Unis de tenir les présidentielles en décembre. 
Devant la suggestion des dirigeants de la Transition, les avis sont partagés. Si certains l'approuvent, Fetison Rakoto Andrianirina de la mouvance Ravalomanana soutient qu'il faut une gestion consensuelle de la Transition.


Midi Mada 15/07/2009
Jean Marc Châtaigner : Pour un accord politique inclusif - RAJAOFERA Eugène
L'ambassadeur de France, Jean Marc Châtaigner, a eu recours hier à une image pour décrire ce que devrait être la solution à la crise politique malgache. Il a lâché le mot « Tranobe », une « maison démocratique malgache », que les malgaches eux même doivent construire à base d'un accord politique inclusif. 

« La communauté internationale est là pour fournir les matériaux et mettre à disposition des charpentiers et des ouvriers. Elle est là pour veiller que le permis de construire de cette maison réponde bien aux normes et conventions internationales. », a souligné Jean Marc Châtaigner lors de son intervention durant la célébration de la fête nationale française hier à Ivandry. 
Congrès. L'ambassadeur de France de prévenir: « Un plan de construction qui prendrait un tour trop unilatéral ou bancal créerait plus de problèmes qu'il n'en résoudrait. » Pour être plus concret, Jean Marc Châtaigner propose une Transition dans laquelle toutes les sensibilités politiques puissent se reconnaître et trouver leur place. « Un moyen simple d'assurer un meilleur équilibre des pouvoirs pourrait être ainsi de rétablir pendant la période de Transition un Congrès, exerçant la fonction législative et réunissant députés, sénateurs élus et membres désignés par la HAT et les mouvances politiques. », suggère-t-il.
Négociation. Jean Marc Châtaigner a clarifié la position de la France dans la crise malgache. « C'est celle de l'ONU, c'est celle de l'Union africaine, c'est celle de la SADC (...), c'est celle justement de cet appui à une solution politique malgache inclusive pour gérer la Transition vers le rétablissement d'un nouvel ordre constitutionnel. », a-t-il expliqué. Et de marteler: « ceux qui, ici ou là-bas, refuseraient la négociation politique s'en excluraient. Ceux qui, ici ou là-bas, continueraient à poser des préalables à la reprise de la négociation s'en excluraient. Ceux qui, ici ou là-bas, envisageraient un recours à la force ou à toute forme de violence pour reprendre le pouvoir s'en excluraient. » 

Boycott. Jean Marc Châtaigner a profité de l'occasion pour lancer que si un appui international est nécessaire pour établir la vérité sur la tuerie du 7 février 2009 et le cas d'autres victimes de la crise, il devra être sollicité. 

   " La France ne reconnaît pas les gouvernements. Elle ne reconnaît donc pas plus celui-ci (ndlr : la Hat ) que le précédent ou le prochain. Elle reconnaît les Etats, donc elle reconnaît Madagascar". 

    A l'occasion de la célébration du 14 juillet, hier à Ivandry, c'est la réponse de Jean-Marc Châtaigner, L'ambassadeur de France (non encore accrédité) à Madagascar, à la question de savoir si son pays reconnaît la Hat. (Les Nouvelles )

Tout comme il a exprimé le souhait que les procédures judiciaires engagées contre certaines personnalités et des parlementaires puissent déboucher dans les plus brefs délais (...) pour que ceux-ci ne restent pas définitivement en détention préventive. En tout cas, la célébration de la fête nationale française a réuni beaucoup de monde hier à la Résidence de France à Ivandry. Malgré le boycott annoncé par Monja Roindefo, nombreux sont les tenants de l'actuelle Transition à avoir répondu présent. Par contre, le mot d'ordre de boycott lancé du côté des parlementaires pro-Ravalomanana a été suivi. Roland Ravatomanga a fait exception.

Encadré: Selon l'ambassadeur français à Madagascar « la France ne reconnaît pas les gouvernements, elle ne reconnaît donc pas plus que celui-ci, que le précédent ou le prochain ; la France reconnaît les Etats, donc elle reconnaît Madagascar». 
Seulement voilà, il existe un document cadre de partenariat entre la France et Madagascar pour la période 2006-2010. L'on se demande actuellement ce qu'advient du rapport périodique bilatéral Franco-malgache concernant les priorités de ce document. Effectivement, l'ambassadeur a précisé la continuité de ses œuvres vis-à-vis des infrastructures, de l'éducation pour tous, de l'eau potable pour tous, de la santé et le planning familial (sida, paludisme …), du monde rural et l'environnement, et enfin du développement du secteur privé et le tourisme. Mais à quel gouvernement va-t-elle se vouer pour les comptes rendus ? ?  - Faly Rajaonarison
 


Xinhuanet.com 14/07/2009
La SADC soutient l'élection nationale anticipée à Madagascar - Xinhua

Une élection nationale transparente est la seule possible solution à l'actuelle crise politique, qui a ravagé Madagascar depuis décembre dernier, a affirmé dimanche un envoyé spécial de la Communauté pour le Développement de l'Afrique Australe (SADC) à Antananarivo.
Avant de quitter Madagascar à l'issue de quatre jours de consultation, l'ancien président mozambicain, Joachim Chissano, a invité toutes les parties prenantes malgaches à retourner à la table de négociation pour trouver une solution acceptable par tous les côtés.
Les politiciens malgaches devraient joindre leurs efforts pour préparer l'élection présidentielle, qui devrait être tenue avant la date prévue, a estimé l'envoyé spécial de SADC, qui est arrivé jeudi dernier à Antananarivo, à la tête d'une délégation de quatre personnes.
Les négociations, qui devraient supprimer tous les obstacles sur le chemin d'atteindre la réconciliation nationale, y compris l'amnistie pour toutes les victimes politiques, étaient dans l'intérêt de tous les Malgaches, a-t-il confié aux journaliste à l'aéroport.
Chissano a été nommé le mois dernier au sommet extraordinaire de la SADC à Sandton, en Afrique du Sud, pour mener une équipe de médiation afin de trouver une solution pacifique au six mois de crise politique à Madagascar.
Pendant leur séjour dans le pays de l'océan Indien, Chissano et sa délégation ont rencontré Andry Rajoelina, président de la Haute autorité de transition de Madagascar, et les représentants des anciens présidents Marc Ravalomanana, Didier Ratsiraka et Albert Zafy.
Chissano a également discuté du dernier développement politique dans le pays avec les institutions diplomatiques basées à Antananarivo aussi bien que les représentants des sociétés civiles.
Au lendemain de sa réunion avec Chissano, Rajoelina a annoncé vendredi soir que sa haute autorité de transition a accepté de raccourcir la période de transition et de tenir une élection nationale d'ici la fin de l'année.
Il a également annoncé qu'il va chercher d'autres sources de financement pour l'élection si les donateurs traditionnels de Madagascar comme l'Union Européenne, la Banque mondiale et le Fonds monétaire International refusent de l'aider à tenir l'élection.
Rajoelina, 35 ans, a officiellement remplacé Ravalomanana le 21 mars en tant que président de la grande île de l'Océan Indien aussi bien que président de la haute autorité de transition, qui n'est pas reconnue par la communauté internationale.
Peu après l'éclatement de la crise politique, les médiateurs internationaux, y compris les envoyés spéciaux des Nations Unies, de l'Union Africaine, de la SADC et de l'Organisation internationale de la Francophonie, s'y sont précipités et ont essayé de trouver un règlement pacifique.
Cependant, ils n'ont pas pu convaincu les parties prenantes malgaches à compromettre afin de conclure un accord sur le règlement de la crise politique prolongée. 


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La Recette du jour

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Les Voeux  Rainizafimanga

2009 2009

Les Nouvelles 20/07/2009
ENERGIES RENOUVELABLES : Fabriquer sa propre éolienne ? C'est possible !  - Nasolo R.
C'est, en tout cas, ce qu'assure Henri Rambalo, du Centre technique de maintenances (CTM) qui a présenté son projet, vendredi au Cite Ambatonakanga.

Ce projet consiste à apprendre aux habitants de sites isolés à construire leur propre éolienne afin de tirer parti de l'énergie électrique à usage domestique. Henri Rambalo est, en effet, réticent à l'idée de commercialiser ses produits car le coût serait prohibitif (une éolienne coûte selon lui entre 2 600 000 et 5 600 000 ariary actuellement sur le marché). Il préconise ainsi le transfert de connaissances en initiant ceux qui seraient intéressés. Le tarif a été fixé à 120 000 ariary, documentation et plans y compris, pour une formation de 6 jours. 
Fabriquant lui-même des éoliennes, Henri Rambalo révèle en avoir déjà construit une à Andraisoro et deux à Antsirabe. Le coût de fabrication de l'unité a été, selon lui, de 400 000 ariary. 
En tout cas, à travers sa démarche, le technicien entend contribuer au développement de ces localités éloignées et à la préservation puisque le recours aux énergies renouvelables s'avère économique car ne nécessitant pas l'usage de carburant et non polluant, autrement dit, ne dégageant pas de gaz nocifs.


Express Mada 19/07/2009
Approvisionnement  : Du riz de Tiko vendu aux enchères - Lantoniaina Razafindramiadana
Des milliers de tonnes de riz ont été vendus aux enchères hier dans l'enceinte de la gare de Madarail. Il s’agit à 90% de riz importé du Pakistan. Selon un responsable de communication du groupe Tiko, 1800 tonnes y ont été stockées. Or, Sylvain Houpier, directeur du trafic de Madarail a souligné qu'il s'agissait de 1000 tonnes de riz, dont 50 tonnes de riz local.
La société Magro, une des filiales du groupe, propriétaire de ces denrées, a été notifiée le 29 mars de la mise sous scellés, signifiant qu'elle ne pouvait plus mettre la main sur ces produits. Cependant, elle n'a pas été avisée de cette vente aux enchères. Devant cette situation, le groupe entend saisir le tribunal local et celui du commerce international, estimant que les procédures de vente n'ont pas été suivies.
« Le groupe va intenter des poursuites à l'encontre des donneurs d'ordre et des exécutants, car les procédures de vente aux enchères n'ont pas été respectées », déclare le responsable de communication. « Nous allons aussi saisir le tribunal du commerce international, car ce riz a été en grande partie, soit 90%, importé du Pakistan», ajoute-t-il.
De son côté, le ministre des Finances Benja Razafimahaleo a affirmé que les procédures répondent au code général des impôts. C'est la direction générale des impôts, dit-il, qui a fait état de ce riz, et qui devrait être vendu pour récupérer les arriérés du groupe.


Moov.mg 19/07/2009
Agoa: les employés défendent leurs emplois jusqu'au bout - Recueillis par Solofo Andrianjakarivelo
Les employés des entreprises franches travaillant pour le marché américain dans le cadre de l'Agoa montent au créneau et se disent être "prêts à défendre jusqu'au bout leurs emplois". 

Conférence de presse ce matin à Ankorondrano du comité des travailleurs pour la défense de l'AGOA (African Growth and Opportunity Act) qui interpellent les décideurs au pays à trouver des solutions adéquates pour que Madagascar reste dans l'Agoa. Selon ce comité, la perte des avantages liés à l'Agoa enduit à la perte de la compétitivité du pays au niveau mondial. 
"Notre expérience et notre savoir faire nous permettent d'entrer en compétition avec d'autres pays. Nous sommes fiers du travail que nous avons accompli durant des années...Mais nous refusons que notre expérience et nos efforts soient vains. Nous ne voulons pas devenir des victimes en perdant nos emplois et nos revenus. Notre avenir est hypothéqué", clament ces employés dans une lettre ouverte qu'ils ont donné aux décideurs du pays. 
Malgré les efforts déjà déployés par le patronat et les syndicats, l'avenir des entreprises franches textiles travaillant pour le marché américain et de leurs employés est encore incertain. 
"Jusqu'à maintenant, on n'est pas rassuré", a déclaré Jeannot Rakotomalalasolo, membre de ce comité et président du comité d'entreprise à la Cotona à Antsirabe. 
"Il y a actuellement 99,99% de possibilité que Madagascar ne serait plus rééligible dans l'Agoa", selon John Hargreaves, Vice-président du GEFP (Groupement des Entreprises Franches de Madagascar) qui a rapporté les entretiens que la délégation des opérateurs malgaches qu'il a conduite à Washington ont eu avec les membres du comité d'éligibilité de l'Agoa en avril dernier. 

Rakotomalalasolo Jeannot du comité des travailleurs malagasy de l'Agoa © DTS

"La seule solution est la mise en place d'une feuille de route vers la constitutionnalité consensuelle et acceptée par tous les malgaches", a-t-il ajouté. 
appelons qu'en septembre, le Président américain Barack Obama décide et promulgue une loi concernant la rééligibilité ou l'inéligibilité de Madagascar à bénéficier des avantages de cette loi. 

"Au cas où Madagascar ne serait plus rééligible, il y a des droits de douanes à payer pour faire entrer des produits aux Etats-Unis. Droit compris entre 10 à 33% de la valeur des marchandises et cela suivant les produits", selon toujours M. Hargreaves. 
Une cinquantaine d'entreprises franches textiles travaillent pour le marché américain à Madagascar avec 100.000 emplois directs et 300.000 emplois indirects. Elles ont exporté en 2008 divers produits d'une valeur totale de 246Millions USD. Parmi ces produits, on note les pantalons, les t-shirts, les pullovers, des sous-vêtements, des shirts et des knit sweaters. 
Les critères d'éligibilité pour l’AGOA sont déterminés dans la Section 104(a) de l’AGOA et des Sections 502(b) et (c) de la Loi de 1974 sur le Commerce, telle qu’amendée (pour inclure les critères d’éligibilité pour le SGP). Si le Président des Etats-Unis décide, avant la fin de cette année de retirer l’éligibilité d’un pays à l’AGOA, ce retrait sera effective le 1er janvier 2010. Les importations provenant de ce pays à partir de ou après le 1er janvier 2010 qui auraient pu bénéficier des avantages de l’AGOA, seront soumis au régime de MFN (nation la plus favorisée) à moins que le produit provenant de ce pays soit éligible aux avantages accordés par le SGP (Système Généralisé de Préférences). Le SGP n’est pas applicable à l’habillement.

John Hargreaves, Vice-président du GEFP expliquant l'Agoa © DTSR

Outre cette interpellation, ces employés des entreprises franches travaillant dans l'Agoa vont aussi écrire une lettre au Président américain afin de convaincre ce premier responsable de faire bénéficier davantage la Grande Ile de cette loi. 
"Des centaines d'entreprises vont fermer et s'implanter sous d'autres cieux. Mais nous, travailleurs Malagasy, nous ne pourrons pas "renverser nos marmites" et ne pourrons pas non plus émigrer ailleurs", peut-on lire dans cette lettre. 
La balle est ainsi dans le camp des politiques dont trois des quatre mouvances ont répondu présent à l’appel de ces employés à cette conférence. 


Express Mada 16/07/2009
Reprise de négociations : Réserve sur la réunion à Addis Abeba - Fano Rakotondrazaka 
Seule la mouvance Ravalomanana a annoncé sa participation à la réunion du GIC à Addis Abeba. Les autres se donnent un temps de réflexion.
Les mouvances politiques, exceptée celle de Marc Ravalomanana, restent prudents devant l'invitation de la Commission de l'Union africaine pour une réunion du Groupe international de contact (GIC) à Addis Abeba, le 22 juillet. Elles veulent y réfléchir avant d'annoncer leur position.
Emmanuel Rakotovahiny, chef de file de la mouvance Zafy, a confié hier qu'il attend la réponse d'un e-mail envoyé à Ablassé Ouedraogo, l'émissaire de l'Union africaine pour la médiation sur la crise malgache. Il veut savoir si la prochaine rencontre sera une reprise des discusions entre les quatre mouvances ou s'il s'agira de conclure la convention. « La situation ne cesse de s'aggraver et exige la signature de la convention en vue de mettre en place une Transition consensuelle et inclusive. Mais les représentants des mouvances détiennent-ils les pleins pouvoirs pour y procéder ? », s'est-il demandé lors d'un entretien à Ivandry. 
En fait, l'ancien Premier ministre estime que la suite des négociations doit s'effectuer au niveau des quatre patrons, Andry Rajoelina, Marc Ravalomanana, Didier Ratsiraka et Albert Zafy. 
« Les différentes tendances se sont déjà mises d'accord sur 90% des dispositions du projet de convention le 15 juin au Carlton », a-t-il ajouté.
Ange Andrianarisoa, chef de file des partisans de Ratsiraka aux négociations sous l'égide du GIC au Carlton, préfère s'abstenir de tout commentaire. « Nous n'avons aucune déclaration à faire pour le moment », a-t-il répondu au téléphone.
Déjà prévue 
Ny Hasina Andriamanjato, dirigeant de la mouvance Rajoelina, quant à lui, n'a pas pu être joint. Sa délégation s'est retirée de la table de négociations au Carlton. C'est une des raisons de la suspension du dialogue. 
Par contre, Fetison Rakoto Andrianirina de la mouvance Ravalomanana s'est montré prêt à se rendre à Addis Abeba pour le rendez-vous de l'Union africaine. Selon lui, la rencontre du 22 juillet était déjà prévue. Il a indiqué hier que la réunion visera à évaluer l'état d'avancement des négociations. Il a notamment cité les modalités d'organisation des élections parmi les grandes lignes qui seront abordées dans la capitale éthiopienne.

Encadré: Des mouvances prêtes à participer 
L'initiative de l'Union africaine de reprendre les négociations n'a pas laissé certaines mouvances sans réaction. Etant invités à participer à la réunion tenue à Addis-Abeba prévue le 22 juillet, les chefs de délégation des mouvances Albert Zafy et Marc Ravalomanana se déclarent prêts à y participer.


Midi Mada 16/07/2009
Fonctionnaires : L’horaire « 8h à 16 h » effectif à partir du 1er août prochain - Recueillis par v.a.
C’est enfin communiqué officiellement par la HAT ! La Fonction Publique revient à l’horaire « 8h à 16h » à partir du 1er août prochain. En fait, ce retour aux anciennes heures de travail a été annoncé dans plusieurs ministères depuis mi-juin. Certains départements les ont même déjà appliquées depuis le 1er juillet dernier. Ainsi, l’actuel horaire « 9h à 17h » n’a duré que deux ans et un mois. Il a été, en effet, adopté le 1er juillet 2007 sous le régime Ravalomanana.
Avec ce changement d’horaire, les fonctionnaires travailleront toujours en journée continue. Et ils disposeront d’une demi-heure comme pause déjeuner. «Changement pour changement, on devrait adopter un horaire d’hiver et un horaire d’été. Ce ‘’8h à 16h’’ ne convient pas tellement aux parents qui ont des enfants en primaire et en secondaire. L’hiver correspond un peu chez nous à la période des vacances scolaires. A cette saison, l’horaire de travail doit être repoussé de ‘’9 h à 17h’’ pour permettre aux parents de s’occuper de leurs enfants et pourquoi pas, de traîner au lit. Et ce, afin de casser un peu le rythme infernal pendant l’année scolaire avec les obligations d’accompagner et de chercher les enfants à l’école. Par contre, pendant l’été, les élèves sont en classe et l’horaire ‘’8h à 16h’’ arrange bien les choses», suggère un père de famille.
Par ailleurs, les fonctionnaires des autres régions ne sont pas tenus à ce nouvel horaire. «Les horaires sont souples en fonction du climat au niveau des régions. Il appartient aux régions de statuer sur les modalités de son application», souligne la HAT durant son conseil de gouvernement de mardi dernier.


Express Mada 15/07/2009
Sommet du Mouvement des non-alignés : Rajoelina annule le voyage en Égypte - Iloniaina Alain 
«Le président de la HAT n’ira pas en Égypte», confirme Ny Hasina Andriamanjato, ministre des Affaires étrangères, hier en marge de la cérémonie de célébration de la fête nationale française à Ivandry. « L’Égypte a envoyé une demande pour que le président de la HAT ne vienne pas au Sommet. Le président a accédé à la requête », a-t-il expliqué.
Ny Hasina Andriamanjato a indiqué le motif amenant le pays hôte du Sommet à agir ainsi. « Il appréhende une éventuelle perturbation des réunions à cause de la position de certains pays africains », a-t-il soutenu. Sans citer de nom, le ministre des Affaires étrangères a fait allusion à des actions de lobbying de certains pays d'Afrique. Certaines confidences évoquent le Swaziland comme faisant partie des nations réticentes à la présence de Andry Rajoelina. A part sa place au sein du Mouvement des non-alignés, le Swaziland, pays où l’ancien président Ravalomanana séjourne de temps à autre, occupe en ce moment la tête de la Troïka, l’organe de sécurité de la SADC.


Midi Mada 15/07/2009
Des détenus criminels devenus garde-corps  -Didi R
La réouverture manu militari de Toamasina Oil Plant, jeudi dernier, avec la libération de quelques uns de ses employés - déjà détenus à Antanimora - afin qu'ils reprennent leur poste ; l'implication de Dinà - de son vrai nom Randriamiarana Rabenja Irina - dans trois attaques à main armée alors qu'il est censé faire de la Main d'œuvre Pénale (MOP), pour ne citer que ces deux cas, défraient la chronique.

 Ce qui n'est pas pour renforcer la confiance des justiciables envers la Justice. Qui plus est, des grands criminels auraient fait l'objet de transfert dans d'autres établissements pénitentiaires pour des raisons que leurs anciennes victimes ont du mal à comprendre. 
Condamnations criminelles. De sources concordantes, (les forces de l'ordre sont déjà au courant) deux grands criminels dont les noms ont fait la Une des journaux, auraient été recrutés comme « bodyguards » ou garde-corps de hautes autorités (le pluriel est de rigueur). Exécutant ainsi comme MOP, leurs condamnations criminelles qui vont jusqu'à des années de travaux forcés. Une liberté de fait qui reste encore à éclaircir par les enquêteurs. En tout cas, cela a fait l'effet d'une bombe auprès des forces de l'ordre qui les ont arrêtés, souvent au bout d'une longue traque. Le fait qu'ils maîtrisent le maniement des armes et pratiquent des arts martiaux justifie peut-être, si cela est justifiable, le recrutement de ces deux grands criminels devenus garde-corps. Et ce, par le truchement de la MOP qui a été justement suspendue par l'ancienne ministre de la Justice, pour éviter qu'on n'en use et n'en abuse puisque bien des prisonniers profitent de leur situation de MOP pour s'évader ou continuer leurs méfaits. Pour ne citer que le cas rapporté récemment par le ministre de la Sécurité intérieure en personne, à savoir, l'attaque éventée par la police contre la station Total à Mahitsy. Un précédent qui remet sur le tapis l'utilisation de main d'œuvre pénale. Fût-ce comme garde-corps de hautes personnalités. 


Les Nouvelles 14/07/2009
Impacts économiques de la crise politique - Le pire est "à venir" - Tsiry Andrianina 
Une grande institution financière a effectué une étude des impacts de la crise politique dans les différents pans de la vie économique malgache. Connus vers la fin du mois de juin, les résultats sont particulièrement inquiétants pour le secteur privé et, par conséquent, les ménages, car le pire serait à venir. 
"Les impacts négatifs de la crise se feront lourdement sentir au cours du deuxième semestre de 2009", révèle le rapport. 
En effet, en plus de la récession économique mondiale, la crise politique actuelle a déjà eu des conséquences sur les activités privées. Un segment de l'économie a été gravement touché, dont le tourisme, le textile et la construction, ces secteurs étant assez vulnérables à la baisse de la demande sur les marchés internationaux et à l'incertitude politique intérieure. La quasi-paralysie de l'investissement public a également réduit les travaux publics, entraînant un ralentissement dans la construction et les projets d'infrastructures. Les effets négatifs sont importants et visibles, mais difficiles à quantifier en l'absence d'informations détaillées sur le terrain et dans les comptes nationaux. 
D'autre part, certains indicateurs ont aussi considérablement décru, entre autres la consommation d'électricité qui a diminué de 5% en avril et de 1% en mai par rapport à la même période d'il y a un an.Une chute de 55% de la consommation d'électricité dans le secteur du textile et de 20% dans l'industrie chimique a également été notée, tandis que la consommation de gasoil a baissé de 1% par rapport à son niveau d'avril 2008.
Paiement des salaires des enseignants
Cependant, d'autres mauvaises nouvelles risquent de tomber pour ces secteurs. Ceux-ci sont susceptibles de rester en situation de détresse en raison du climat politique tendu, lequel peut éventuellement causer des pertes massives d'emplois dans les centres urbains. En particulier, la mise au chômage des employés de l'industrie textile, suspendue à la décision concernant la poursuite ou non de l'Agoa, pourrait générer des tensions économiques et sociales dans les mois à venir. En parallèle, avance le rapport, le manque de capacité du gouvernement à accroître les recettes fiscales (aggravé par le ralentissement dans les activités économiques), ainsi que l'absence de financements extérieurs, continueront de placer les finances publiques dans un contexte contraignant. 
Le principal défi auquel le gouvernement aura à faire face interviendra d'ailleurs au début de la prochaine année scolaire, à la mi-septembre, lorsqu'il faudra payer les enseignants sans avoir recours à l'aide extérieure qui devrait couvrir le 1/3 de leurs salaires. 
"Le gouvernement sera-t-il en mesure de passer ce test en l'absence d'un accord politique ?" se demande l'institution.
Le secteur bancaire affecté
Mais cette baisse des activités privées et du commerce international a également commencé à affecter le secteur bancaire. Le crédit global pour le secteur privé a, certes, augmenté entre fin décembre 2008 et avril 2009, mais à un rythme plus lent que durant la même période il y a un an (13% contre 17%). Au sein de la Banque centrale, les réserves ont encore baissé de 7,3% en mai 2009 par rapport à son niveau de fin avril. Néanmoins, la stabilité du change a été partiellement préservée grâce aux interventions de la Banque centrale : sur 30 jours, il s'est vendu plus de 15 millions de dollars US et 2 millions d'euros. La baisse cumulée des réserves a en tout cas atteint 17% depuis la fin de 2008. 
Malgré tout, le rapport mentionne que le déficit budgétaire est resté sous contrôle grâce à un ajustement sévère des dépenses non prioritaires et que les principaux indicateurs financiers (taux de change et d'inflation) sont restés relativement stables, ce qui reflète la politique monétaire prudente et la confiance dans le marché financier local. En outre, la bonne récolte de riz a aidé à réduire les pressions sur les ménages pauvres, grâce à l'autoconsommation dans les zones rurales et la baisse des prix dans les zones urbaines.

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