... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
(
...
)

Tous
les Dossiers

de Culture & Voyages
Klick
>>
des
+
de MadaVôvô Klick
>>
|
Big
News...
Roland
Garros 2010:
-
Chez les hommes l'espagnol Rafael Nadal a remporté pour la cinquième fois les Internationaux de France de tennis après avoir battu dimanche en finale le Suédois Robin Söderling en trois sets 6-4, 6-2, 6-4 et deux heures 18 minutes de jeu.
-
Chez les Dames, l'italienne Francesca Schiavone a joué le match parfait pour parvenir à dominer l'australienne Samantha Stosur sur le score de 6/4, 7/6(2)
Au top de ses moyens, Nadal dans son monde... après son
5ème tournoi
à Roland Garros et redevient numéro 1 mondial
|
Francesca Schiavone, l’exploit italien...
en jouant un tennis de rêve elle a gagné à Roland Garros son Premier titre du Grand Chelem
|
|

|
« L'importance du soutien « humanitaire » de chacun dans la réalisation d’un projet ...
»
|
AMADEA - Enfance et développement à Madagascar, a été créée en 1986 sous le nom des "Amis de
Topaza".
L'association s'est donné pour mission de travailler avec les Malgaches pour leur lutte contre la pauvreté. Sa spécificité est d'avoir 4 secteurs d'activités : La protection de l'enfance, Le développement rural, La protection de
|
|
l'environnement, La sensibilisation au
développement et à la réalité malgache en France.
Sa philosophie c'est d'aider les Malgaches à être les acteurs de leur propre développement dans une logique de coopération et non "d'assistanat".
La famille Rainizafimanga et Amadea se sont rencontrées par hasard sur internet en partageant l’amour pour Madagascar et le souhait d’une évolution favorable pour sa population.
AMADEA a été créée il y a près de 25 ans pour venir en aide aux enfants mais il lui est très vite apparu que les solutions les plus adaptées étaient, avant tout, de donner les moyens à leurs parents de les élever dans de bonnes conditions. C’est ainsi que sont nées les actions de développement rural durable, pour permettre aux familles de vivre dignement dans un environnement protégé.
|
|
Toutes les ressources ou presque sont sur place ; il est « seulement » nécessaire d’offrir des formations et un accompagnement adaptés, en respectant le rythme local lié aux impératifs de la terre et des saisons.
Il faut aussi respecter la culture et gagner la confiance des gens pour qu’ils se risquent à changer leurs façons de procéder, celles précisément qui leur ont permis, même mal, de survivre jusque là.
Il faut pouvoir leur garantir des moyens de subsistance dans le cas où leurs premiers résultats ne seraient pas
...
Lire la
suite Cliquez-ici
Marie-Thérèse Miremont d'Aunac (16)
|
|
|
Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina",
Marie-Thérèse a répondu à notre appel
pour publier des Editos maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
Merci d'avance!
...
Pour
Envoyer un article ou Pour nous contacter
>>
...
Lister
tous les Editos
moov.mg 09/06/2010
Bois de rose : 79 containers exportés et 12 autres bloqués
Finalement, les 79 containers de bois de rose bloqués au port de Toamasina sont expédiés à l'extérieur.
Le bateau portant l'enseigne Terra Bonna chargé de les transporter a quitté le port dimanche dernier vers 6h 30 du matin, a-t-on appris de source locale. Par contre, 12 containers ont été bloqués car leurs papiers ne sont pas en règle, a-t-on poursuivi. Rappelons qu'un bateau transportant ces 91 containers ayant quitté le port de Vohémar en octobre 2009, a été obligé d'accoster au port de Toamasina étant donné qu'il s'agissait d'une exportation illégale.
Mise en vente aux enchères. Après contrôle et vérification, le ministère de l'Environnement a porté l'affaire devant la justice car de nombreuses anomalies ont été constatées, d'après ses dires. Mais les opérateurs suspects ont été relâchés tandis que 79 containers de bois de rose ont pu maintenant être embarqués pour une exportation. Quant aux 12 containers qui ont fait l'objet d'une opposition par le ministère de tutelle, une ordonnance de mise en vente aux enchères sur le marché local sera bientôt publiée, a-t-on appris. Rappelons que tous les bois de rose saisis feront prochainement l'objet d'un appel d'offres par adjudication, et ce, d'une manière transparente. Jusqu'à maintenant, cette procédure n'est pas encore entamée d'autant plus que la statistique exacte des bois confisqués reste floue.
Transformation avant réexportation. Et avec le changement à la tête du ministère de l'Environnement, les acteurs de la filière s'inquiètent en même temps que le lancement de cet
appel d'offres soit retardé tandis que |

Quelques containers de bois de rose au port de Toamasina en 2009
© MICTSL |
les trafics continuent pour ne citer que
les stocks de bois de rose qui s'empilent de plus en plus dans la cour
des opérateurs.
Notons que l'Alliance Voahary Gasy réclame que les bois saisis soient être mis en vente via un appel d'offre par adjudication sur le plan national tout en promouvant la transformation des bois précieux avant leur réexportation.
Navalona R.
Les Nouvelles 09/06/2010
SORTIE DE CRISE
: La COI cautionne les médiateurs - Nasolo R.
A l'issue du 26e conseil des ministres de la commission de l'océan Indien, le secrétaire d'Etat français chargé de la Coopération et de la francophonie, Alain Joyandet, et les ministres des Affaires étrangères mauricien, comorien et seychellois ont pris, hier, une résolution commune sur la crise malgache.
Ils ont ainsi décidé de mandater le secrétaire général pour apporter le soutien de la COI au processus de sortie de crise et se joindre aux facilitateurs internationaux du processus électoral en cours.
L'objectif est, pour les membres de la COI , le rétablissement de l'ordre constitutionnel.
«A l'occasion du 26e conseil des ministres de la COI , les ministres représentant les Comores, la France , Maurice et les Seychelles ont eu à débattre de la situation malgache. Compte tenu des impacts économiques et sociaux de la crise institutionnelle malgache sur la population et ses répercussions sur les îles voisines, ils appellent à un retour rapide à l'ordre constitutionnel à Madagascar», ont-ils déclaré.
Autrement dit, la COI est donc partante pour appuyer le processus de médiation initiée par la France et l'Afrique du Sud et menée sous l'égide du médiateur en chef de la SADC , l'ancien président Joaquim
Chissano.
D'ailleurs, même si Alain Joyandet vient de passer le relais de la présidence de la COI à l'île Maurice, représentée par le ministre des Affaires étrangères, Arvin
Boolell, les positions de la France et de Maurice sur la crise malgache semblent s'être considérablement rapprochées à l'issue du conseil des ministres de la COI.
La preuve, c'est que les deux pays ont même, sur d'autres sujets, réussi à dépasser des contentieux de plusieurs années, notamment celui concernant l'île
Tromelin.
La COI prend note...
En outre, les membres de la commission «prennent acte de l'engagement pris le 12 mai 2010 par Andry |

|
Rajoelina, président de la HAT , conformément à la demande de l'Union africaine de ne pas se présenter à la prochaine élection présidentielle».
Pour rappel, à l'issue du sommet de Nice et avec les pays africains, la France vient de réaffirmer sa volonté de prévenir les crises institutionnelles sur le continent et d'assurer le respect des normes constitutionnelles, conformément aux principes de démocratie et d'Etat de droit, y compris ceux de la Charte de l'Union africaine sur les élections, la gouvernance et la démocratie.
«Les Chefs d'Etat et de gouvernement d'Afrique et de France ont réitéré leur soutien à la position africaine de refus des changements anticonstitutionnels de gouvernement. A cet effet, ils ont décidé de travailler avec, notamment, l'Union africaine, les organisations africaines sous-régionales, l'organisation des Nations unies et l'organisation internationale de la Francophonie pour renforcer les mécanismes de soutien technique et financier aux processus électoraux», a-t-on souligné.
En d'autres termes, la France et la COI restent donc parties prenantes au processus de médiation initiée depuis quelques mois par les acteurs africains mais estiment néanmoins que seule la tenue d'élections rapides et crédibles peuvent sortir Madagascar de la crise.
A noter que les questions de la lutte contre la piraterie maritime, du renforcement des échanges commerciaux interîles et de la mise en œuvre de la stratégie régionale pêche et aquaculture ont également été abordées lors de ce conseil des ministres de la COI.
lemonde.fr 08/06/2010
L'UE suspend son aide au développement à Madagascar
- AFP
L'Union européenne a annoncé lundi qu'elle suspendait son aide au développement à Madagascar en raison de l'absence de progrès démocratiques depuis l'arrivée au pouvoir controversée d'Andry Rajoelina en mars 2009.
"L'UE considère que le transfert par la force du pouvoir survenu à Madagascar le 17 mars 2009 constitue une violation flagrante de la démocratie et de l'Etat de droit", souligne un texte adopté lors d'une réunion ministérielle européenne à Luxembourg. Ce document avait déjà fait l'objet d'un accord de principe la semaine dernière des ambassadeurs des 27 pays de l'Union européenne. La mesure aura pour effet de suspendre pendant douze mois tout appui budgétaire accordé à Madagascar, ainsi que l'affectation de nouveaux moyens financiers au titre du 10e Fonds européen de développement. Elles n'affectera pas en revanche l'aide humanitaire et d'urgence ni certains projets bénéficiant directement à la population. Madagascar est plongée dans une nouvelle crise depuis fin 2008. Elle a conduit à l'éviction en mars 2009 de Marc Ravalomanana, qui vit depuis en exil en Afrique du Sud, et à son remplacement par M. Rajoelina, alors soutenu par l'armée. Malgré la décision de M. Rajoelina de ne pas se présenter à l'élection présidentielle, "les formations politiques n'ont pas été en mesure d'aboutir à un consensus sur la mise en oeuvre du processus de transition qu'elles avaient adopté l'an dernier", juge l'Union européenne.
Encadré: «D'ailleurs, pour tenter de sortir de l'impasse politique, une nouvelle initiative de médiation a été lancée par l'Afrique du Sud et la France en coordination avec Joaquim Chissano, médiateur dans la crise malgache. Une nouvelle feuille de route a ainsi été proposée, inspirée des accords politiques de Maputo et d'Addis-Abeba. Les pourparlers se poursuivent», a fait savoir le conseil de l'UE.
Les Nouvelles 08/06/2010
QUID DE LA FIERTE NATIONALE
: Cinq artistes étrangers au jubilé de l'Indépendance - Vavah Rakotoarivonjy
Cinq artistes étrangers seront à l'affiche du cinquantenaire de l'Indépendance. Parmi eux, Céline Dion. Le coût de leur prestation serait de six milliards d'ariary. L'on se demande alors à quoi rime une telle programmation alors qu'il s'agit du cinquantième anniversaire de la Grande île ?
L'organisation de la célébration du cinquantenaire de l'Indépendance est loin d'être convaincante. Après le lancement officiel et cacophonique de samedi à
Andohalo, une programmation artistique curieuse vient également d'être annoncée.
Quatre ou cinq artistes étrangers et plus d'une cinquantaine d'autres nationaux seront à l'affiche des spectacles du cinquantenaire de l'Indépendance de Madagascar. C'est Jaobarison
Randrianarivony, premier responsable de Média Consulting, prestataire attitré de l'organisation des spectacles de la célébration du 50è anniversaire de l'Indépendance qui a dévoilé hier cette grande partie du programme.
Si ce responsable reste discret sur l'identité des artistes, une source digne de foi auprès de la Présidence a confirmé que «Céline Dion est bel et bien attendue à Madagascar» dans le cadre de cet événement. La star internationale canadienne, actuellement enceinte de quatre mois et future maman de jumeaux, serait ainsi présente à l'un des spectacles qui se dérouleront dans les sept grandes villes de Madagascar une semaine avant le 26 juin.
Un cachet de six milliards
d'ariary
D'autres noms de célébrités étrangères comme Britney Spears, Christina
Aguilera, Whitney Houston ont également été révélés. Mais comme à l'accoutumée, l'accès aux informations officielles reste très difficile concernant cette commémoration, donc aucune confirmation n'a encore été faite sur la présence ou non sur ces trois autres chanteuses. L'on apprend aussi que le coût de la prestation de ces artistes étrangers serait de six milliards
d'ariary.
Une source digne de foi auprès du ministère de la Culture a aussi révélé qu'un grand carnaval «du jamais vu dans le pays », partant de trois axes, au Nord à
Antsiranana, au Sud à Toliara et à l'Est à Toamasina pour se croiser dans la capitale, sera aussi au programme. Et ce serait
Rossy, l'artiste et non moins l'organisateur réputé de grands événements au pays, qui s'en occupera. |

|
Des questions sans réponse
Malgré tout, à moins de trois semaines du grand jour, beaucoup de questions restent sans réponse quant à l'organisation, la communication, la réalisation et la plausibilité de la célébration de cet anniversaire de l'Indépendance de la Grande île. Le manque de cohérence et l'absence de transparence sur cet événement majeur de la vie de la Nation sont manifestes.
L'on se demande ainsi, sans vouloir être chauvin, à quoi rime exactement la présence de ces cinq artistes étrangers, peu importe leurs noms, avec la célébration du cinquantenaire de l'Indépendance d'une Grande île. Quid de la fierté nationale ? Avec six milliards d'ariary, si ce montant s'avère exact, ne peut-on pas faire vibrer de la bonne musique avec des artistes nationaux des 22 régions de Madagascar?
Midi Mada 07/06/2010
Présidence de la IVe République : Une vingtaine de prétendants
- RAJAOFERA Eugène
Marc Ravalomanana, Tantely Andrianarivo, Mialy Rajoelina, Pierrot Rajaonarivelo, Saraha Georget Rabeharisoa, Dr Jules Etienne, Jean Tsakaison, Nathalie Rabe, Roland Ratsiraka, Yvette Sylla, Voninahitsy Jean Eugène, Rajemison Rakotomaharo, Elia Ravelomanantsoa, Gilbert Raharijatovo, Monja Roindefo, Noël Rakotonandrasana, Augustin Andriamananoro, Edgard Razafindravahy, José Andrianoelison (José
Kely), Vahombey, Naivo Raholdine, Daniel Rajakoba et Pety Rakotoniaina.
Ils sont une vingtaine cette fois-ci à prétendre à la Magistrature suprême du pays. Mais, pour certains prétendants, leur sort sera fixé par le futur code électoral qui déterminera l'âge minimum requis au candidat, la loi d'amnistie et les éventuels accords politiques de sortie de crise.
Critère d'âge.
Deux des prétendants sus-cités auraient un problème d'âge: Mialy Rajoelina et Nathalie Rabe. Si la date du 26 novembre fixée unilatéralement par la HAT est maintenue pour la tenue des prochaines présidentielles, l'épouse du président de la HAT et l'ancienne ministre de la Communication n'auront pas 40 ans, l'âge requis par l'ancienne Constitution. Par ailleurs, il n'est pas encore sûr qu'elles soient les candidates de leur parti respectif. Faute de candidature de Andry
Rajoelina, Mialy Rajoelina ne serait pas la seule à avoir de l'ambition au sein du
TGV. Il y a également Lanto Rakotomavo, la présidente nationale. Même topo pour le cas de Nathalie Rabe du Leader
Fanilo, car ce ne sont pas les présidentiables qui manquent au sein de ce parti, pour ne citer que Benja
Razafimahaleo, ancien ministre des Finances et qui n'est autre que le frère du fondateur du parti, Herizo
Razafimahaleo.
|
 |
Amnistie.
Condamnés dans l'affaire de 2002 et sous le régime de Marc
Ravalomanana, les Pierrot Rajaonarivelo, Tantely Andrianarivo, Voninahitsy Jean Eugène,
Roland Ratsiraka et Pety Rakotoniaina ont besoin d'être amnistiés pour pouvoir se porter candidat. Ce qui n'empêche pas le premier de préparer déjà le terrain après avoir créé son propre parti, le MDM. Quant à Tantely Andrianarivo, il n'est pas certain pour le moment qu'il sera le poulain de l'amiral Didier Ratsiraka. « Deba » pourrait porter son choix sur l'une des ses filles. Le cas de l'ancien président Marc Ravalomanana est spécial. Ayant déjà fait l'objet de condamnations judiciaires, le sort, à savoir l'éligibilité ou non, de l'exilé politique de l'Afrique du Sud, serait fixé par d'éventuels accords politiques de sortie de crise. Ces accords pourraient lui accorder une amnistie comme c'est le cas de l'amiral Rouge, prévu dans les accords de Maputo I. Jusqu'ici, Marc Ravalomanana garde son ambition de retourner au pouvoir.
Déclaration
officielle.
Saraha Georget Rabeharisoa du parti Vert Hasin'i Madagasikara, Dr Jules Etienne, qui n'est autre que le cousin de l'ancien premier ministre Ravony Francisque, et l'artiste Vahombey ont déjà annoncé leur candidature aux prochaines présidentielles. Le pasteur Daniel Rajakoba de « Ny Fihavanantsika » et Jean Tsakaison vont rebeloter. Yvette Sylla du « Madagasikara Vaovao », Rajemison Rakotomaharo de « Mamafisoa », Elia Ravelomanantsoa du « Ny Madagasikarantsika », Augustin Andriamananaro (ancien ministre des Télécommunications, des Postes et des Nouvelles Technologies) du DEFI 2010, Gilbert Raharizatovo (ancien ministre de la Culture et du Patrimoine) du RPM, Monja Roindefo (ancien premier ministre) du Monima, l'ancien ministre des Forces Armées Noël Rakotonandrasana, Naivo Raholdine du FAFI V, l'ancien ministre José Andrianoelison et le PDS d'Antananarivo Edgard Razafindravahy répondront certainement aux critères d'éligibilité. Il n'est pas exclu que ce dernier défende les couleurs du
TGV.
...
et
encore plus de News à la Page 2 (
...
)
...Suite
Cliquez ici
|
|
bonjour,
je serais interesser pour un terrain à tamatave ou une maison à vendre. A meilleur prix.
Attente de votre réponse. de m'informer en cas de
disponibilité ou non.
Contact : Andriamihaja
Etant dans le domaine de location de voiture depuis bientôt 6 ans, nous proposons location de véhicule mini-bus et 4*4 dans tout Madagascar: circuit ordinaire ou circuit personnalisé.
Etudie toutes propositions .
Contact : Andosantatra
J'offre mon chiot yorkshire de trois mois vacciner, vermifuger et tatouer contre bon soin pour cause de voyage non prévu. Le chiot aime beaucoup les enfants et autre animaux.
L'idéal sera un jardin
Contact : MoniqueLydie
Concert de Rajery et Mikéa à Paris
/ Samedi 11 juillet à partir de 19h30 au Cabaret Sauvage (Parc de la
Villette) Avec : Rajery (Madagascar) / Mikea (Madagascar)
/ Edou (Nouvelle Calédonie) /
Rajery est sans conteste l'artiste malgache le plus actif
sur la scène internationale. / Mikea puise son
inspiration dans le beko... Contact : Villette
|
La
Recette du jour

"Koban-dravina"
Comment
faire un "Koban-dravina" ?
(
... )
|
|
|
Les Nouvelles 09/06/2010
«L'origine des financements est déterminante»
- Nasolo R.
Dans un communiqué publié lundi, l'alliance des organisations de la société civile (OSC) adhérant à une solution de sortie de crise consensuelle et inclusive estime que la tenue du dialogue national doit être soumise à un certain nombre de conditions de réussite pour éviter de donner de faux espoirs à la population.
En fait partie l'origine des financements qui, selon ces OSC, s'avère déterminante.
En effet, pour elles, il faut garantir «L'indépendance totale de l'organisation de ce dialogue par rapport au pouvoir en place et aux autres mouvances politiques. Il s'agit d'une condition incontournable pour garantir la neutralité et l'impartialité du dialogue», considèrent-elles.
En tout cas, l'alliance s'inquiète que, depuis les assises nationales d'avril 2009, les initiatives de concertation nationale initiées par le pouvoir en place se sont considérablement multipliées. Elles de citer les conférences régionales du 30 juin au 3 juillet 2009, le
«Teny ifampierana» de mars dernier et voilà qu'arrive, à son tour, le dialogue national.
Or, «Leur capitalisation est inexistante, par rapport à la mobilisation des énergies des citoyens issus de la société politique et de la société civile qui y ont participé volontairement», ont estimé ces organisations de la société civile.
Parmi les autres conditions de réussite du dialogue, l'alliance des OSC mentionne également le délai de préparation qui doit être suffisamment long pour garantir une représentativité qualitativement acceptable, la snécessité de sérénité, de même que la sécurité de tous les participants.
Notons que l'alliance compte notamment des membres comme Acces
Zon'olombelona, le CCOC, le Fisema, le
CDE…
Xinhuanet.com 09/06/2010
Madagascar : la conférence nationale est de nouveau reportée
- Xinhua
La conférence nationale en vue de fixer les contenus de la nouvelle constitution malgache, prévue se tenir les 14 au 17 juin prochain a été de nouveau reportée pour une date non fixée, a indiqué le communiqué émis lundi par l' association «Raiamandreny Mijoro», dirigé par le Pasteur Ramino Paul, lundi soir.
Après une concertation avec les membres du comité d'organisation issus de la Coalition de la société civile, l'une des raisons qu'ils ont avancée a été le report des réunions préparatoires prévues se tenir du 08 au 10 juin 2010 dans les six provinces de Madagascar pour une date ultérieure.
Selon les explications de Ramino Paul, « les réunions préparatoires qui précédent la conférence nationale, seront étendues au niveau des 119 districts de la Grande Île afin de mieux coordonner et bien organiser la conférence nationale», lit- on dans le communiqué conjoint de l'association «Raiamandreny Mijoro» et la Coalition de la société civile.
Dans le même communiqué, ils ont avancé qu'une consultation plus élargie a été effectuée auprès des différentes personnalités, de la politique, de diverses associations ou de simples citoyens. C'est ainsi que les aînés (ou les grandes personnalités qualifiées de sages) et les membres du comité d'organisation se sont rendus compte que les contacts et pourparlers avec des différentes forces politiques, de la société civile ou encore de la communauté internationale étaient encore insuffisants.
A ce sujet, les «Raiamandreny Mijoro» et la Coalition de la société civile vont entamer une démarche auprès de la communauté internationale cette semaine, afin de gagner le soutien de celle- ci.
Les deux entités, qui se sont réunies à leur siège à Ampefiloha dans le centre de la ville d'Antananarivo, la capitale de Madagascar, vont révéler ultérieurement les nouvelles dates de ces deux rendez-vous importants, en vue de résoudre la crise à Madagascar.
Les Nouvelles 09/06/2010
A. PIEBALGS : Les mesures de l'UE, «en appui à celles de l'UA et de la SADC »
- Nasolo R.
«Les mesures appropriées de l'Union européenne viennent en appui à celles adoptées par l'Union africaine et la communauté de développement de l'Afrique australe
(SADC)».
Cette précision a été faite par le commissaire européen au Développement, Andris Piebalgs après les décisions, lundi, de l'UE de mettre fin aux consultations avec Madagascar et d'adopter des mesures appropriées.
«Nous sommes face à une véritable impasse politique à Madagascar, ce qui nous pousse à clôturer les consultations ouvertes il y a presque un an et à adopter des mesures appropriées, sous forme de suspension de l'aide, tel que prévu dans l'accord de Cotonou», a déclaré Andris
Piebalgs.
Pour rappel, le 17 mars dernier, le conseil de paix et de sécurité de l'Union africaine avait prononcé des sanctions contre 109 personnalités au pouvoir, lesquelles consistent en un refus de visas (interdiction de voyager), le gel d'avoirs financiers dans des établissements bancaires étrangers et un refus d'accréditation aux dites personnalités.
Le commissaire européen au Développement indique également que ces décisions étaient inévitables.
Lui d'expliquer qu' «En l'absence de progrès et suite à la mise en œuvre par les autorités de facto d'un processus unilatéral de transition, il n'y a pas d'autre alternative que d'adopter ces mesures qui auront pour effet la suspension de tout appui budgétaire ainsi que de la mise en œuvre du programme indicatif national prévu dans le cadre du 10e Fond européen de développement pour une durée de 12 mois. Il est bien entendu que ces mesures n'affectent en rien l'aide humanitaire ni certains projets bénéficiant directement à la population», a-t-il ajouté.
Réagissant à la décision de l'instance européenne, la France se contente de rapporter que
«L'Union européenne a pris note dans son communiqué de la décision
d'Andry Rajoelina de ne pas se présenter aux prochaines élections. L'Union européenne laisse une porte ouverte à la négociation et au dialogue en reconnaissant qu'une nouvelle tentative de médiation, initiée par l'Afrique du Sud et la France , suivait son cours».
Actualité en Mauritanie - Foexgood.com 08/06/2010
L'UE suspend son aide au développement : inquiétude à Madagascar
L’Union européenne devrait officialiser lundi 7 juin 2010 la suspension de ses aides à Madagascar, en raison de l’absence de solution consensuelle pour régler la crise politique. Même si les aides humanitaires et d’urgence sont maintenues, cette décision va lourdement peser sur l’économie malgache. En effet, plus de 500 millions
d’euros devaient être versés sur 5 ans dans le cadre du 10ème Fonds européen de développement (FED).
Même si l’aide budgétaire avait déjà été coupée pour mauvaise gouvernance alors que Marc Ravalomanana était encore président, même si la majorité des bailleurs avaient suspendu leur aide dès la prise de pouvoir
d’Andry Rajoelina il y a plus d’un an, l’officialisation des sanctions européennes est un coup dur pour le pays. Chaque jour qui passe rend la situation un peu plus difficile et la reprise n’est pas pour demain.
Noro Andriamamonjiarison, vice-présidente du Groupement des entreprises malgaches est obligée de se projeter à long terme concernant l’aide européenne : «D’après nos calculs et compte tenu des différentes procédures qui sont compliquées pour
l’Union européenne, si on avait eu une reprise des activités, c’est-à-dire une solution politique dans le courant de cette année, le dixième FED aurait pu être mis en œuvre à partir de 2012...» explique-t-elle.
L’Etat, qui a surnagé jusqu’à présent, pourrait avoir bientôt des problèmes de trésorerie et les projets de développement sont quasiment tous à l’arrêt. Le dixième FED comportait notamment une très grosse enveloppe pour les routes qui représentent un |

Drapeau de Madagascar et de l'Union européenne.
Montage/ RFIPar RFI |
investissement à long terme. «Ca change la vie de la population qu’il y ait une route, ça c’est indiscutable. Je sais que beaucoup de détracteurs de Marc Ravalomanana disaient 'on ne mange pas les routes', certes, mais les routes permettent d’évacuer les récoltes, d’être en contact avec la grande ville, de pouvoir acheter, vendre
etc, et là c’est l’impact majeur» précise Noro
Andriamamonjiarison.
Les sanctions des bailleurs de fonds peuvent-elles contraindre à une reprise du dialogue politique inter malgache ? Pour l’heure ce sont les secteurs vulnérables de la population qui pâtissent le plus de la crise.
Les Nouvelles 07/06/2010
CINQUANTENAIRE DE
L'INDEPENDANCE: Fausses notes sur toute la ligne
A jour J-20, la cérémonie d'ouverture des festivités pour le cinquantenaire de l'Indépendance s'est déroulée à
Andohalo. Bon nombre de fausses notes ont été décelées.
A jour « J-20 », il fallait faire quelque chose. Et c'est dans une organisation « précipitée » que la cérémonie qui marque l'ouverture officielle de la célébration du cinquantenaire de l'Indépendance s'est déroulée avant-hier sur la place de la République à
Andohalo. Une cérémonie bien culturelle mais qui a tout de même un peu été imprégnée de politique car tous les dignitaires de ce régime ont été présents au grand complet. Toutefois, on peut dire que cette cérémonie a été imprégnée de fausses notes sur toute la ligne. Evénement !»
- Fausse note concernant la présence du couple présidentiel qui n'a été là que symboliquement pour présider l'assistance. En effet, la déclaration officielle du début de cérémonie a été assurée par Mireille Mialy
Rakotomalala, ministre de la Culture , assistée par Virapin
Ramamonjisoa, ministre des Sports et Serge Ranaivo, ministre de la Jeunesse et des loisirs.
- Fausse note également car cette célébration qui s'est tenue en début de soirée a posé quelques soucis au public venu nombreux pour assister à cet événement. En effet, des questions se sont posées concernant la levée de drapeau vers 18 heures. Pour certains, une levée de drapeau se fait uniquement le matin. Mais on peut également interpréter cela autrement car cette levée de drapeau a marqué le début des festivités pour la célébration du cinquantenaire de l'indépendance, peu importe l'heure à laquelle débute cette célébration.
- Encore une fausse note car l'organisation de tous les événements relatifs à la célébration du cinquantenaire de l'Indépendance a été confiée au ministère de la Culture du temps de Gilbert
Raharizatovo. Normalement, le début des festivités devait se tenir au mois de mars mais rien n'a été fait. Dans ce dessein, les chefs lieux des régions de la Grande île devaient également bénéficier de plusieurs manifestations tant culturelles que politiques pour marquer l'événement. Mais à jour J-20, on n'a eu droit qu'à cette cérémonie dotée d'une désorganisation totale. |
 |
- Par ailleurs, le ministère de la Culture n'a pas encore communiqué le résultat du concours organisé au début de l'année sur cet événement. L'on sait seulement que Max Exception est l'auteur compositeur de l'hymne du cinquantième anniversaire, que Media Consulting s'occupe de l'organisation (y compris la sonorisation) et que le logo reste sans signature.
Les faits parlent d'eux-mêmes !
Annoncée à 17 heures, cette cérémonie n'a débuté que vers 18 heures. Le retard n'a agacé personne car force est d'affirmer que c'était le dernier des soucis de l'assistance, face au problème qu'elle a dû endurer durant tout le spectacle.
Dans ce dessein, l'assistance, composée essentiellement de dignitaires du régime actuel, a commencé à prendre place vers 17 heures. L'autre fausse note a été que les organisateurs étaient encore à cet instant en train de finaliser les installations techniques de la scène. Vers 17 heures 30, on entendait encore un technicien annonçant au micro qu'on entendait mal les violonistes (des violonistes de l'orchestre philharmonique qui devait accompagner le spectacle). L'on se demandait réellement si c'était encore le moment opportun de faire du «check-sound» sachant que les invités étaient déjà installés. L'arrivée du couple présidentiel de la Haute autorité de la Transition vers 18 heures a marqué le début de la réelle cacophonie.
Cacophonie, c'est bien le mot adéquat pour qualifier la sonorisation d'Andohalo. Un son exécrable qui déshonorait la présence de ces dignitaires. Ce ne sont pas des accusations à la légère car force est d'affirmer que même une sonorisation de kermesse aurait pu faire mieux, sans parler de l'utilisation d'un CD de Njava, rayé et qui agaçait davantage lors de la prestation scénique de la compagnie Djampela. Pourtant, les installations promettaient du bon son.
Etait-ce à cause du fait que les organisateurs n'ont pas vraiment eu le temps de terminer les installations à temps ? Pour une envergure nationale, cet événement a été un fiasco et espérons que cela ne se reproduira plus car cela écorne l'image d'un pays qui célèbrera ses 50 ans d'indépendance.
Faly Rajaonarison
Midi Mada 07/06/2010
Faratiana Ratsifandrihamanana : Restauration des récifs coralliens dégradés à Madagascar
Une brillante Thèse de Doctorat ès Sciences sur les récifs coralliens de Madagascar
La soutenance de la Thèse de Doctorat de Faratiana Ratsifandrihamanana sur la restauration des récifs coralliens dégradés a été effectuée le lundi 31 Mai 2010 à
l’Institut Halieutique et des Sciences Marines de Toliara. Cette étude scientifique, première publiée, entre dans le cadre d’une collaboration entre le Département de Biologie Animale de la Faculté des Sciences de
l’Université d’Antananarivo et de l’Institut Halieutique et des Sciences Marines de Toliara de
l’Université de Toliara. Les récifs coralliens sont des structures sous-marines construites par les coraux. Ces structures coralliennes servent d’abris à des milliers d’espèces qui forment la communauté corallienne. Les récifs coralliens font partie des écosystèmes marins les plus riches en biodiversité et les plus productifs de notre planète. Ils jouent donc un rôle social, économique et culturel majeur et constituent la principale source de nourriture pour la population humaine. Fait importants, les récifs coralliens sont soumis à une dégradation alarmante suite à leur exploitation illicite sans parler des agressions dues aux phénomènes naturels. En conséquence, cette destruction massive des récifs coralliens a entraîné une diminution accrue des ressources associées à cet écosystème. C’est pour cette raison que Faratiana
Ratsifandrihamanana. a pris l’initiative de trouver des moyens pour sauvegarder cet écosystème aussi riche que fragile. L’impétrante a bien souligné l’objectif de sa recherche qui consiste à concevoir des techniques de transplantation corallienne en vue de la restauration et de la conservation des écosystèmes récifaux à Madagascar. L’étude a été réalisée durant 3 années sur le récif corallien d’Ifatry, Toliara et a révélé un grand succès se manifestant par la survie et la croissance et de nombreuses colonies coralliennes fixées en milieu récifal naturel et aussi par l’arrivée d’une haute diversité en espèces de poissons et en macro-invertébrés alors qu’avant la transplantation des coraux très peu d’espèces, sinon aucune, n’étaient repérées au niveau des stations étudiées. Les membres du Jury composés de : Monsieur le Professeur Refeno Germain, Madame le Professeur Raminosoa Rasoamampionona
Noromalala, Madame le Professeur Ranaivoson Eulalie, Monsieur le Professeur Gérard Lasserre et Monsieur le Professeur Jean
Maharavo, ont attribué à l’impétrante le Grade de Docteur ès Sciences en Sciences de la Vie, option Biologie, Ecologie et Conservation animale avec la Mention très honorable avec Félicitation du Jury.
Félicitations Faratiana !
|