MadaVôvô 2010

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Les Titres de MadaVôvô du 23 aout 2010  

BigNews:  Le Sport est Roi...

L'Edito: « Partir sur la route des villages à Madà...  »   ( ...  )

1. SORTIE DE CRISE :Le calendrier, probablement révisé (nouvelles) ( ...  )

2. Investissements : Des doutes sur les Chinois (midi) ( ...  )

3. Sortie de crise: Un nouvel accord dans l'air ? (nouvelles) ( ...  )

4. la SADC soutient le dialogue entre malgache (xinhua) ( ...  )

5. SADC : Sanctions maintenues contre la HAT (midi) ( ...  )

6. Exploitation illicite de Malachite: Des Chinois pris en flagrant délit  (nouvelles) ( ...  )

7. Sommet de la SADC : Vers l’ouverture d’un bureau de liaison à tana (tribune) ( ...  )

*. No Comment.... No Comment...   

8. Limogeage de Iharizaka : Le dessous des cartes (courrierdemada) ( ...  )

9. Communauté Internationale: Prudence avérée face à la crise (nouvelles) ( ...  )

10. Madagascar : limogeage du ministre des Télécoms (afriscoop) ( ...  )

11. Hôpital des enfants à Tsaralalàna : L’accès à l’oxygène devient payant (tribune) ( ...  )

12. Crise malgache - Suspense à la SADC (nouvelles) ( ...  )

13. JIRAMA - Blackout pour une semaine! (nouvelles) ( ...  )

... Le précédent MadaVôvô  16 aout 10  >>  ( ...  )

*. Combat de coqs : Le sommet national bat son plein (nouvelles)  ( ...  )

*. Premier jour du ramadan à Madagascar. Si la lune le veut bien... (moov) ( ...  )

23/08/2010

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ar

Euro 2 801,65 Ar 
JPY 25,32 Ar 
USD 2 161,42 Ar 
ZAR 293,72 Ar 
GBY 3 355,50 Ar 
HKD 277,99 Ar 
CHF 2 089,54 Ar 
MUR 71,12 Ar 

Date Eur/Ar Date Eur/Ar
30/06 2761 31/07 2841
13/09/08 min:2290 26/10/09 max:3032

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...  ( ...   )


 

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« Partir sur la route des villages à Madà... »

   Mis en ligne le le 4 Mai 2010 à 23:35 , je vous présente le premier article de mon blog 

 http://surlaroutedesvillages.eklablog.com/

    J'ai créé ce journal personnel sur le web ( blog )  pour partager nos expériences sur Madagascar, l'île merveilleuse et magique,  ... et pour revivre de grands moments d'émotions.

    "Nous sommes venus sur la terre pour apprendre et 

nous perfectionner.. La terre est une école et, comme dans toutes les écoles, ceux qui apprennent et s’exercent découvriront ce qu’est le vrai bonheur. »  

   Les villageois sont là, mais ils sont si discrets, si isolés, si vibrants de courage, de chaleur fraternelle, d'authenticité et de connaissances vivantes. On a tant à apprendre d'eux, tant à recevoir et aussi tant à partager.
        Aimer la nature, respecter la nature, vivre avec, par, dans et pour la Nature. Restaurer cette Mère-Terre et cette Mère-Nature de la pureté de l'énerge qu'elles possèdaient à l'origine : telle est la direction que je souhaite prendre sur ma route... Au volant de ma destinée, je dois me frayer cette route...

        Alors, subitement j'ai eu une pensée pour eux. Mais cette vie, c'est leur réalité, la réalité de ces paysans villageois vivant en perpétuelle harmonie avec la Nature. Je voudrais emprunter leur route mais comment faire, par quels moyens, par où commencer, et quand?

      C'est ainsi que "Sur la route des villages de Madà" vit le jour dans ma tête, dans ma créativité et qu'à ce même instant naquît ce blog. L'aventure commence ainsi ici et maintenant, et elle sera belle et pleine de grâce.

     "Sur la route des villages de madà" vous offre des itinéraires à vivre absolument si leur vie à Madagascar vous parle, si vous aimez cette île, ses habitants et cette idée.
      Mais aussi, nous serions très heureux de faire un petit bout de chemin avec vous sur la route de l'amour inconditionnel envers toutes les formes de vie dans la Nature, sur Terre et  ... Lire la suite  Cliquez-ici
    
       " Kôry " ou Corinne Belrose de Tahiti (Polynesie) 

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Kôry  a répondu à notre appel  pour publier des Editos maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos    


Les Nouvelles 23/08/2010
SORTIE DE CRISE :Le calendrier, probablement révisé - Manohisoa
Le calendrier établi par l'espace de concertation des partis politiques au cours de la signature de l'accord commun est un grand pas vers la sortie de crise mais risque d'être révisé.
L'évolution de la situation semble marquer que ce calendrier ne constitue qu'un premier repère dans la mise en œuvre des dispositions de l'accord d'Ivato et par conséquent, est susceptible d'être modifié au fur et à mesure de l'évolution du contexte politique.
En effet, si le programme de la Coordination des organisations de la société civile (Cnosc) constitue une référence, le calendrier sera certainement modifié. La tenue de la conférence nationale sera le premier programme susceptible d'être reporté étant donné que la Cnosc prévoit encore de tenter avec les trois mouvances et l'espace de concertation de trouver entre eux un terrain d'entente sur la fusion de leurs propositions respectives en organisant une réunion, mercredi prochain. Mais comme toute tentative de négociation, la réunion d'une journée ne suffira pas pour les parties pour débattre de cette fusion. Donc, la Coordination devrait au moins engager la semaine prochaine toute entière pour cette négociation. Il faut remarquer que, entre l'accord d'Ivato et les résolutions prises par les trois mouvances, quelques points restent à débattre notamment l'organisation d'une réconciliation nationale, l'organisation de la médiation sous l'égide de Joaquim Chissano….
Report de la conférence nationale et des élections
Mais même si les deux parties trouvent une entente à l'issue de la réunion de la semaine prochaine, la Cnosc aura encore la tâche de préparer la tenue de la conférence nationale proprement dite, en tenant compte des propositions de la base au cours du Dinika santatra organisé dans les districts. Ce qui signifie donc que le dialogue national ne pourrait être tenu que vers la troisième ou la dernière semaine du mois de septembre.
Ce report de la conférence nationale induira aussi que la tenue du référendum constitutionnel prévu au mois de novembre sera reporté à son tour vers le mois de décembre ou le mois de janvier de l'année prochaine même. Et évidemment, les législatives et l'élection présidentielle seront reportées à des dates ultérieures. Certes, la recherche d'une solution de crise ne devrait pas être précipitée mais l'inconvénient d'un report du calendrier électoral, c'est que les scrutins seront tenus au cours de la saison des pluies, un cas qui reste toujours contesté par la grande majorité.
Position critique de la communauté internationale
L'impact de la révision du calendrier pour la marche vers la quatrième République serait en outre d'allonger encore la durée de la Transition. Alors qu'elle devrait s'achever d'ici trois mois environ, il est plus probable que le régime de la HAT ne prendra fin que vers la moitié de l'année 2011. Sur le plan international, plus la marche vers le retour à la normalité constitutionnelle traîne, plus la communauté internationale a tendance à faire pression jusqu'à infliger même des sanctions. Les membres de la Sadc en ont donné l'exemple en maintenant les sanctions prononcées à l'encontre du régime au pouvoir tout en appuyant le processus initié par les parties malgaches.
Heureusement que les autres pays membres de la communauté internationale n'ont pas encore infligé de sanctions à l'endroit de Madagascar mais accordent plutôt des chances aux parties malgaches de trouver entre elles une issue de crise pérenne….
Encadré: MEDIATION : Un envoyé spécial de Chissano sera à Madagascar
Après avoir effectué un rapport de son séjour à Madagascar devant la réunion de la Sadc en Namibie, le médiateur du groupe international de contact et non moins émissaire de la Sadc reviendra prochainement dans la Grande île. Mais comme il est de pratique chez cet ancien président mozambicain, il enverra d'abord un envoyé spécial.
Si l'arrivée de Joaquim Chissano est estimée vers le début du mois de septembre, son émissaire devrait donc arriver à Madagascar cette semaine. Néanmoins, aucune date officielle n'a encore été fixée ni communiquée sur cette question. Seulement, comme le premier ministre mauricien, Navin Ramgoolam, l'a annoncé lors de la clôture du sommet de la Sadc , cet envoyé spécial occupera les locaux de l'ambassade de Maurice à Madagascar situé à Manakambahiny.
Généralement, les émissaires de Joaquim Chissano ont pour mission d'évaluer l'évolution de la situation politique à Madagascar depuis le dernier séjour de ce médiateur jusqu'à sa prochaine mission dans la Grande île.


Midi Mada 21/08/2010
Investissements : Des doutes sur les Chinois - Didier Rambelo 
Les Chinois sont de plus en plus redoutés dans le milieu des investissements à Madagascar. Des pêcheurs chinois appréhendés dans les mers malgaches en train de travailler illégalement ; des promoteurs chinois pris en flagrant délit d’exploitation illicite de gisement de malachite ou autres types de pierres 

précieuses. Ces derniers ne sont pas étrangers non plus dans les trafics de bois de rose ou encore dans des trafics de devises. Et l'on serait tenté de dire que ces Asiatiques sont presque sur tous les coups tordus.
Le sens très aiguisé du business pourrait servir de modèle pour les jeunes promoteurs malgaches qui veulent ouvrir leur propre entreprise mais seulement, ces opérateurs asiatiques ne sont pas toujours de bons exemples. Dans un Etat où la loi est faite pour être violée, elles ne sont jamais ou presque jamais appliquées, ces types d’investisseurs règnent en maîtres.
Mais la question que se posent les observateurs est de savoir par quel moyen ces promoteurs douteux ils arrivent à s’installer tranquillement dans le pays, démarrer leurs activités avant que l’Etat ne réagisse. Doit-on en conclure qu’il y a des failles quelque part ?
Si les Chinois sont parvenus à extraire de la malachite dans la région du Melaky, c’est qu’on les a laissé faire ou plutôt, quelqu’un, certainement des responsables, leur a ouvert la porte. D’autant plus, les populations de ces localités n’apprécieraient pas trop que des intrus, puisqu’ils le sont ces Chinois qui ont investi le gisement de malachite de la région du Melaky, pénètrent sur leur territoire pour leur voler leurs richesses.
Des observateurs tiennent cependant à noter que des projets miniers de cette envergure doivent passer par des appels d’offres et ce n’est pas au niveau des petites localités que l’on donne l’autorisation à des

Trafics de bois de rose

 42 chinois identifiés mais introuvables

investisseurs pour qu’ils puissent s’installer et extraire des minerais. Alors, par rapport à cette situation, les opérateurs économiques estiment que les autorités concernées devront à l’avenir faire preuve de plus de vigilance lorsqu’il est question de faire venir des investisseurs. Ceci est valable pour tout type d’investisseur.


Les Nouvelles 20/08/2010
SORTIE DE CRISE : Un nouvel accord dans l'air ? - Manohisoa
Une rencontre entre Andry Rajoelina, les Raiamandreny mijoro et la Coordination nationale des organisations de la société civile (Cnosc) a eu lieu hier au palais d'Etat d'Ambohitsorohitra. La prochaine discussion entre les trois parties semble aller dans le sens d'un nouvel accord.
Une rencontre entre Andry Rajoelina, les Raiamandreny mijoro et la Coordination nationale des organisations de la société civile (Cnosc) a eu lieu hier au palais d'Etat d'Ambohitsorohitra. La discussion entre les trois parties semble être axée sur la préparation d'une grande réunion.

Les discussions entre les organisateurs de la conférence nationale (Raiamandreny mijoro et la Cnosc ) et le président de la HAT ont duré environ une heure au cours de laquelle ils ont pu discuter de la préparation d'une grande réunion qui aura lieu dans les prochains jours. En effet, les Raiamandreny mijoro ainsi que la Cnosc prévoient de réunir mardi prochain les trois mouvances ainsi que les membres de l'espace de concertation des partis politiques. Cette réunion permettrait aux parties de discuter de l'application des dispositions de l'accord signé à Ivato.
De toute certitude, les membres des trois mouvances refuseront d'appliquer les clauses de cette convention et exigeront par conséquent à ce que les résolutions de Carlton soient prises en compte. Ces résolutions se rapportent, entre autres, sur la tenue d'une réconciliation nationale et l'organisation de la conférence nationale, laquelle est basée sur l'application des accords de Maputo et d'Addis Abeba, sous l'égide de Joaquim Chissano.
Vers un nouvel accord ?

Etant donné que la conférence nationale aura lieu dans dix jours (du 30 août au 3 septembre), cette initiative des Raiamandreny mijoro et de la Cnosc permet aux trois mouvances et à l'espace de concertation de trouver un terrain d'entente sur l'application de l'accord d'Ivato et des résolutions du Carlton.
Dans ce sens, le consensus et l'inclusivité, critères très importants pour l'organisation de la conférence nationale, ne seront probablement trouvés que par la fusion des deux propositions. Dans ce cas, un nouvel accord, fruit de cette fusion, sera donc avancé lors de la conférence nationale.
Néanmoins, les idées recueillies au niveau des districts au cours du Dinika santatra ne devront pas être négligées puisque ce sont des propositions des représentants de la population. Le rejet de ces propositions pourrait faire l'objet de contestation et surtout de non reconnaissance des résolutions prises à l'issue de la conférence nationale par la communauté internationale, notamment des membres de la Sadc vu qu'ils ont déjà maintenu les sanctions à l'encontre du régime actuel.
Rappelons que, sur ce dernier point, Joaquim Chissano a annoncé lors de son dernier séjour à Madagascar que « le recueil des idées à la base est une meilleure façon pour trouver une solution à la crise. La crise ne concerne pas uniquement les politiques mais touche surtout la population ».
La Cnosc à la rencontre des associations et des grands Corps
En attendant la tenue de la réunion avec les politiques, la Coordination nationale des organisations de la société civile a rencontré hier au Falda Antanimena les associations des syndicats et des grands Corps. Ont, entre autres, répondu à cette invitation, le syndicat des administrateurs civils, les médecins fonctionnaires, les magistrats … Au cours de la rencontre, ces associations et corps ont avancé une proposition pour persuader les politiques à trouver une solution à cette crise. Ils ont annoncé, par exemple, que les élections devraient être organisées par un gouvernement neutre. « C'est l'unique solution de sortir de cette crise », ont-ils annoncé.


Xinhuanet.com 20/08/2010
la SADC soutient le dialogue entre malgache - Xinhua

La résolution de la communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) à l'issue de son 30ème sommet qui s'est tenu à Windhoek, Namibie, mercredi, met en exergue le soutien de cette instance au processus de dialogue inter-malgache.
« Le sommet recommande à la SADC, à l'Union Africaine et plus largement à la communauté internationale à apporter leur appui politique, technique, matériel et financier au processus de dialogue malgacho-malgache », indique la résolution.
Toutefois la SADC conditionne cet appui à « la nécessité de l'élargissement du processus de dialogue ». « Celui-ci devrait observer également les principes fondamentaux de neutralité, de consensus, la crédibilité et l'inclusivité », stipule la résolution du sommet.
L'espace de concertation des partis politiques, parmi les initiateurs de l'accord politique signé le vendredi 13 août dernier se réjouit de cette position de la SADC. « C'est encourageant », estime Benjamina Ramarcel-Ramanantsoa, l'un des leaders de cette espace.
La question de l'élargissement du processus est pourtant interprétée de différentes manières par les forces politiques. Les mouvances des trois anciens présidents, Didier Ratsiraka, Albert Zafy et Marc Ravalomanana estiment que « c'est le dialogue entre les 4 mouvances, initialement établies par la communauté internationale, qui devrait être continué ».
« En signant l'accord politique vendredi dernier, sans les trois anciens Présidents, le président de la Haute Autorité de Transition n'a fait que reconstituer sa mouvance qu'il a déclaré, il y a quelques mois, dissoute. Le dialogue ne peut maintenant que poursuivre », a lancé Fetison Rakoto Andrianirina de la mouvance Ravalomanana Benjamina Ramarcel-Ramanantsoa, qui est également membre de la HAT estimant qu' « une nouvelle inclusivité prônant l'approche partis mais non plus l'approche mouvance a déjà été entamée ».
« Plus aucun partis politique ne devrait plus être écarté du processus », estime-t-il.
Un bureau de liaison sera établi par la SADC à Madagascar pour soutenir le processus de dialogue. En attendant son issu, les sanctions prononcées à l'encontre de la Grande île sont maintenues « jusqu'à ce que le retour à la normalité constitutionnelle soit effective ». 


Midi Mada 20/08/2010
SADC : Sanctions maintenues contre la HAT - Davis R
Les sanctions imposées par la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC) contre le Zimbabwe ont été levées. Pas pour le régime de la Haute Autorité de la Transition qui, rappelons-le, a été suspendu de cette Institution régionale depuis le renversement de l’ancien président Ravalomanana. 

Cette décision a en effet été prise au cours du Sommet de la SADC qui s’est tenu les 16 – 17 août derniers à Windhoek Namibie. Avant de quitter la terre namibienne, le Vice-président angolais Fernando da Piedade Dias dos Santos a annoncé que « les participants ont décidé la création d’un bureau de liaison à Antananarivo afin de faciliter le processus de dialogue pour la résolution de la crise politique à Madagascar et de maintenir les sanctions imposées à ce pays ». Par contre, la SADC a lancé un appel à la communauté internationale afin de lever les sanctions contre le Zimbabwe.
Relance de la médiation internationale. En effet, la SADC considère que les raisons de l’application des sanctions contre le régime Mugabe sont déjà dépassées. D’après les explications, les effets négatifs sur le pays et sur les autres Etats membres ont poussé les participants à prendre cette décision. Les sanctions contre la HAT sont donc encore maintenues même si la SADC commence apparemment à fléchir sa position quant à la résolution de la crise. D’après les informations, la SADC encourage le dialogue malgacho-malgache entamé 

 l’ancien président mozambicain, Joaquim Chissano qui a laissé entendre en marge de ce sommet que « je suis de près l’évolution de ce processus, je continuerai de m’entretenir avec les parties malgaches et si nécessaire, je retournerai à Madagascar où une délégation va s’y rendre ».


Les Nouvelles 19/08/2010
CRISE MALGACHE : La SADC s'est prononcée pour le maintien des sanctions - Nasolo R. 
A l'issue de son 30e sommet tenue à Windhoek (Namibie), la SADC s'est prononcée pour le maintien des sanctions prononcées contre la Grande île
«Le sommet a décidé la poursuite des sanctions contre la République de Madagascar jusqu'à ce que le pays revienne à la normalité constitutionnelle », 

indique le communiqué final de la réunion.

Madagascar reste donc officiellement suspendu des instances de la SADC. Et , malgré l'intervention des autorités mauriciennes qui ont constitué un lobbying auprès de l'Union européenne et des Etats-Unis contre toute sanction liée au commerce et à l'aide, au motif que les sanctions affecteront la population malgache, l'organisme régional le plus proche et auquel l'île appartient en a décidé autrement.

En tout état de cause, « Le sommet soutient un nouveau processus qui conduira à un consensus. Il a approuvé que la SADC , l'Union africaine et la communauté internationale au sens large devraient apporter leur soutien politique et technique au processus de dialogue malgacho-malgache », ont souligné les participants.
Par ailleurs, « Le médiateur de la SADC (ndlr : l'ancien président mozambicain, Joaquim Chissano) devra continuer à suivre de près le processus et à se poser en facilitateur. Il devra également effectuer un rapport régulier à la SADC et l'UA sur l'évolution de la situation à Madagascar ».
Malgré ce soutien déclaré à un processus malgacho-malgache, les chefs d'Etat et de gouvernement de la SADC ont constaté « La nécessité de respecter les principes essentiels de neutralité, de consensus, de crédibilité et d'inclusivité dans le processus de dialogue ».
A cet effet, ils ont tranché pour la création d'un bureau de liaison de la SADC à Madagascar (voir article par ailleurs), une idée qui n'est au final, pas nouvelle puisque le projet a déjà été évoqué au cours des précédentes rencontres en Afrique entre les quatre chefs de file des mouvances et les médiateurs.

Encadré: Joaquim Chissano a déclaré que « le processus lancé actuellement entre les parties malgaches est en bonne voie ». En quelque sorte, la SADC encourage ce processus malgacho-malgache mais joue toutefois la carte de la prudence. « On se demande si les Malgaches vont se mettre d’accord pour aboutir à un consensus le plus large possible », a mentionné l’ancien président mozambicain. On a pu apprendre que « la SADC ne veut reconnaître aucun accord tant qu’elle n’a pas l’assurance que toutes les sensibilités sont incluses dans les discussions ». En effet, cette organisation régionale réclame la participation des mouvances Zafy, Ratsiraka et Ravalomanana dans l’accord politique signé vendredi dernier entre le président de la HAT, Andry Rajoelina, et les différents chefs de partis regroupés au sein de l’Espace de concertation. ( Midi Mada )


Les Nouvelles 18/08/2010
EXPLOITATION ILLICITE DE MALACHITE : Des Chinois pris en flagrant délit - Faly R. 
Une exploitation d'un gisement de malachite à Betanantanana, à Maintirano, dans la région du Melaky, effectuée par des Chinois, a été fermée la semaine dernière. Cette exploitation s'avère être illicite car elle ne possède pas les papiers requis pour une exploitation digne de ce nom.

Suite à des renseignements recueillis concernant l'existence d'une prospection illicite de pierres précieuses dans cette zone, des agents de la police des mines, accompagnés d'inspecteurs des mines, sont descendus sur place pour faire le constat.
«Aucun document ni déclaration de début d'activité n'ont été déposés auprès de la mairie. C'est pourtant une démarche obligatoire pour une exploitation de cette ampleur. Par ailleurs, les Chinois qui ont effectué l'exploitation n'étaient en possession d'aucun type de permis minier» lit-on dans le communiqué officiel du ministère des Mines et des hydrocarbures.
«Toutes les autorités locales, du président du fokontany jusqu'au chef de la région du Melaky, ainsi que les responsables des forces de l'ordre, ont été officiellement avisés de cette décision» affirme un des mandataires du ministère, présents lors de 

cette action.
Actuellement, cette affaire est minutieusement étudiée auprès du ministère des Mines et des hydrocarbures. En effet, les exploitations illicites constituent des délits graves qui s'assimilent à un pillage de richesses nationales. «Une procédure judiciaire sera donc engagée à l'encontre de ces contrevenants et ces derniers risquent des sanctions pénales et financières exemplaires», affirme le ministre.
La malachite transformée donne du cuivre de très bonne qualité. Grâce à sa couleur souvent intense, elle peut également être utilisée comme pierre ornementale et même pour fabriquer des bijoux.


Tribune Mada 17/08/2010
Sommet de la SADC : Vers l’ouverture d’un bureau de liaison à Antananarivo - Recueilli par Patrick A. 
Le sommet des Chefs d’État de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC) s’est ouvert ce lundi 16 août, à Windhoek, en Namibie. À l’ordre du jour : la situation au Zimbabwe et à Madagascar ainsi que l’intégration économique de la région.

« C’est un sommet spécial car nous célébrons les 30 ans de l’organisation et les progrès réalisés durant ces trois décennies dans la région », a déclaré le secrétaire général de la SADC Tomás Salomão lors d’une conférence de presse à Windhoek. Selon lui, ces trente ans d’existence de la SADC ont été marqués par l’indépendance de la Namibie et des batailles qui ont effectivement conduit à l’effondrement de l’apartheid. Tomás Salomão a affirmé que bien qu’ayant payé cher pour la fin de l’apartheid, les pays de la région étaient en paix et disposaient de la stabilité politique et de la sécurité permettant désormais de se concentrer sur le développement économique.
L’organisation de l’Afrique australe doit se pencher une nouvelle fois sur le Zimbabwe, thème de nombreuses réunions régionales et du précédent sommet à Kinshasa.
Les ministres de la Justice devront présenter un rapport sur le refus du Zimbabwe d’appliquer trois décisions du tribunal de la SADC invalidant l’expulsion de fermiers blancs. Le président namibien, Hifikepunye Pohamba, nouveau président en exercice de la SADC, a cependant dès l’ouverture du sommet reconnu les progrès réalisés dans ce pays après la formation d’un gouvernement d’union début 2009.
Sur le dossier malgache, l’ex-président mozambicain Joaquim Chissano a fait son rapport dimanche sur les derniers développements à l’organe de sécurité de la région.
Tous les rapports seront discutés à huis-clos avant d’être présentés mardi après-midi à la clôture du sommet, tout comme les avancées sur la zone de libre-échange lancée en 2008, et l’amélioration de la coordination avec le marché commun de l’Afrique australe et de l’Est (Comesa) et la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC).
En ce qui concerne plus particulièrement Madagascar, quelques indiscrétions ont cependant commencé à filtrer. L’organisation encouragera probablement la poursuite du dialogue initié par la société civile qui semble avoir provoqué quelques premières avancées, comme la signature de l’accord entre les autorités du pays et près de cent partis politiques. Les chefs d’État et de gouvernement se seraient aussi entendus sur l’ouverture à Antananarivo d’un bureau de liaison de la SADC afin de pouvoir suivre de plus près la situation et assurer une coordination avec les 

L'Afrique australe rappelle à l'ordre le Zimbabwe et le Madagascar 
La Communauté de développement des pays d'Afrique australe (SADC), fête son 30 anniversaire. A cette occasion, les délégués de chaque pays se réunissent en Namibie, ce 16 août 2010 
AFP/STEPHANE DE SAKUTINPar RFI  ( rfi.fr  )

initiatives malgacho-malgaches.


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courrierdemadagascar.com 21/08/2010
Limogeage de Iharizaka : Le dessous des cartes - Écrit par ANR 
Limogé pour insubordination ou pour avoir brisé l' "Omerta" sur les magouilles en haut lieu ? Les commentaires vont bon train quant à la sortie médiatique du jeune Ministre des Télécommunications.

Pour avoir dit clairement que le Président de la HAT et son Premier Ministre se considèrent n'être pas tenus par les décisions de Justice du pays, ce jeune ex-Ministre a été limogé. Iharizaka Rahaingoson a évoqué l'affaire Madamobil mais d'autres sons de cloche font comprendre d'autres dessous de cartes dont le concerné lui-même n'a pas vraiment conscience de l'enjeu, ni de la mesure de son insubordination, motifs de son limogeage, notamment, le projet d'agence de télécommunications Gateway. Il consiste à donner à une société sise dans les paradis fiscaux (dans les Iles Vierges) la gestion des appels  téléphoniques à l'international. 

Gateway veut collecter les recettes des appels entrants et s'approprier en quelque sorte des recettes des appels sortants, tout en réclamant à l'Etat une mensualité de l'ordre de 200 millions de Dollars si l'on en croit un  confrère. Un projet qui s'élabore sur le dos des opérateurs en télécommunications, créant un surcoût évidemment mais surtout au détriment des usagers de la téléphonie, c'est-à-dire des clients et de la nation sur laquelle la société veut se faire facilement du blé.

Quoi qu'il en soit, il s'agit dans ce comportement de Iharizaka Rahaingoson, d'une première en matière d' "Ampamoaka" puisque l'information vient du premier concerné qui, en agissant ainsi, crée un précédent que d'autres ne suivront certainement pas vu les avantages en jeu.
Mais combien d'autres cas qui n'ont rien à voir avec les intérêts supérieurs de la Nation mais qui concourent certai-nement à des intérêts personnels, supérieurs à la Nation, sont gardés sous le coude ? Combien de responsables qui traitent des "dossiers" ont en main tout ce qu'il faudrait faire connaître au peuple souverain en matière de mauvaise gouvernance et autres pillages de la Nation ?
"Etat voyou"
Les uns et les autres s'offusquent quand un éminent spécialiste qualifie Madagascar d' "État voyou" alors que ce terme correspond à une définition technique mondialement admise. Dans cette définition, est qualifié d' "État voyou" celui qui agit comme un prédateur pour son peuple. 

Devrions-nous en conclure qu'aujourd'hui, il y a lieu de bien choisir son camp, à savoir, faire partie des prédateurs ou rejoindre la grande masse des proies ?

Se taire ou claquer la porte ! L'ex-ministre a choisi. 

Sous contrôle de l’IGE et convoqué par le BIANCO (Photo d'archives)

Mais surtout, la question posée est de savoir si ce phénomène ne sera qu'un épiphénomène que le silence des principaux concernés rejettera aux oubliettes dans peu de temps ou bien, pourrions-nous croire que parmi nos dirigeants, il y en aurait quand même quelques uns qui ont le sens de la mission qu'ils ont à leur poste et qui refuseront d'être complices de tant de crimes - n'ayons pas peur des mots - commis contre la Nation et son Peuple ?
La question est certainement à poser à nous tous : Est-ce que ce jeune ex-Ministre a ouvert la voie pour que le silence soit systématiquement brisé et que les magouilles soient portées à la connaissance du Peuple, ou bien au fond, nous allons nous dire qu'il est fou de cracher ainsi dans la soupe ; mais encore pire, de stigmatiser et culpabiliser tous les autres qui ne demandent qu'une chose : pourvu que ça dure et après moi le déluge...


Les Nouvelles 21/08/2010

Communauté Internationale: Prudence avérée face à la crise - Nasolo R. 
Face aux récents développements de la situation politique, la communauté internationale reste globalement prudente dans le traitement de la crise 

malgache. En effet, bien que tout le monde semble s'accorder sur l'opportunité de soutenir un processus malgacho-malgache, plusieurs questions restent en suspens…
Visiblement, la communauté internationale peine à trancher dans le vif et à afficher une position claire dans ce contexte de résolution de la crise malgache.
En effet, alors que les uns veulent soigneusement éviter de s'exprimer sur la question, les autres continuent de se montrer prudents. En l'occurrence la SADC qui, à l'issue de son 30e sommet organisée à Windhoek (Namibie), semble vouloir appuyer le processus malgacho-malgache initié depuis Iavoloha, puis à Ivato. Par contre, elle a décidé le maintien des sanctions contre Madagascar jusqu'au «retour de l'ordre constitutionnel».
Cet ordre, même les autorités en place le recherchent en vue de bénéficier, de nouveau, des financements extérieurs, principalement des appuis budgétaires. C'est dire à quel point la position des tenants du pouvoir et de leurs proches s'est assouplie puisque c'est la première fois – depuis le début de cette crise qui dure maintenant près de 18 mois – qu'ils se l'avouent.
Plus, même la mouvance Marc Ravalomanana qui ne jurait jusqu'à présent que sur les accords de Maputo et l'acte additionnel d'Addis-Abeba, vient de se prononcer en faveur d'une solution malgacho-malgache qui s'alignerait sur les esprits desdits accords.
Des questions non résolues
Une nouvelle chance de pouvoir sortir de la crise s'offrirait-elle donc actuellement ? En tout état de cause, il reste à 

s'entendre sur les notions de neutralité, de consensus et d'inclusivité dont tout le monde veut se prévaloir.
Dans ce cadre, la méthodologie est aussi à définir, notamment sur le fait d'adopter une approche par mouvances ou par partis. Car jusqu'à maintenant, les trois mouvances n'ont pas officiellement accepté d'adhérer à l'accord d'Ivato ou de participer à la conférence nationale.
Bureau de liaison : à point nommé ?
Mais il est également à souligner le caractère primordial de l'assistance de la communauté internationale dans le processus.
Et pour cause, si ses représentants veulent continuer à s'y impliquer, un peu plus de rigueur serait de mise. Sans cela, tout effort serait voué à l'échec, comme cela a déjà été le cas pour les fameux accords de Maputo. Depuis leur signature, l'équipe conjointe de médiation pour Madagascar (composée de l'UA, de la SADC, de l'OlF et de l'ONU) s'est déclarée garante de leur mise en œuvre. A son tour, l'acte additionnel d'Addis Abeba a préconisé la mise en place d'un mécanisme de suivi de l'application des accords, ce qu'a confirmé la résolution finale de la rencontre de Pretoria. Malgré tout, aucune structure du genre n'a vu le jour.
L'arrivée de ce bureau de liaison à Antananarivo prônée par la SADC pourrait donc sérieusement relancer le processus une fois que toutes les questions en suspens seront résolues. et mettre un coup d'arrêt à toute intention, d'où qu'elle provienne, de nuire à sa bonne marche.


afriscoop.com 20/08/2010
Madagascar : limogeage du ministre des Télécoms - (AfriSCOOP Antananarivo)

Rahaingoson Iharizaka, le jeune ministre des Télécommunications, des Postes et des Nouvelles Technologies de transition malgache, a été limogé mardi, lors du conseil des ministres, selon un communiqué de la Haut autorité de transition (Hat) transmis à AfriSCOOP. Mais, ce dernier affirme avoir démissionné.

Selon des sources concordantes, Iharizaka Rahaingoson, nommé à ce poste il y a près de trois mois, a été limogé parce qu’il a dénoncé la non délivrance de la licence d’exploitation à l’opérateur « MadaMobil ».
Selon lui, ce blocage n’avait pas de fondement légal du moment où l’Office malgache d’Etudes et de Régulation des Télécommunications (OMERT) n’y voyait pas d’inconvénient.
« Madamobil » est un nouvel opérateur en télécommunications qui a commencé à s’installer depuis deux ans à Madagascar mais toujours bloqué par faute d’une autorisation d’exploitation.
Selon un communiqué de la présidence de la HAT, Andry Rajoelina, a donné lundi une « instruction ferme » au ministre Iharizaka Rahaingoson, selon laquelle « tout octroi de licence en téléphonie mobile, litigieuse ou non, devra être préalablement débattu au niveau du conseil des ministres » avant d’ajouter que le limogeage du ministre s’explique par « un manquement grave tant au concept de la subordination hiérarchique qu’à celui de la solidarité gouvernementale, les deux piliers de la bonne gouvernance ».
Mardi, M. Rahaingoson avait annoncé, quelques heures avant la tenue du conseil des ministres à Ambohitsorohitra, son désaccord avec le Président de la Transition ainsi que le Chef du gouvernement sur ce dossier menaçant de démissionner si si l’octroi de cette licence à ce nouvel opérateur mobile n’est pas accepté par le gouvernement.

Iharizaka Rahaingoson, ancien ministre des Télécoms 

(ph : midi-madagasikara.mg)

Joint au téléphone par nos confrères de midi-Madagascar, M. Rahaingoson Iharizaka a affirmé avoir déposé sa démission mardi à la fin du conseil des ministres.
Le Général de brigade Albert Camille Vital, Premier ministre, Chef du Gouvernement, assure l’intérim du Ministre des Télécommunications, des Postes et des Nouvelles Technologies.

Encadré: Iharizaka Rahaingoson: Sous contrôle de l’IGE et convoqué par le BIANCO
« Depuis le mercredi 18 Août 2010, le ministère des Télécommunications, des Postes et des Nouvelles Technologies et sa personne (ndlr : l’ancien ministre Iharizaka Rahaingoson) font l’objet d’un contrôle administratif et financier par l’Inspection Générale de l’Etat (IGE). Sa personne fait également l’objet d’une enquête auprès du BIANCO à partir de ce jour, jeudi 19 Aout 2010, concernant l’affaire Madamobil. Iharizaka Rahaingoson remettra tous les dossiers qui pourront être demandés par les enquêteurs ce jour, notamment sur l’ensemble des années 2009 et 2010. Il se met à la totale disposition de l’IGE et du BIANCO ». C’est l’intégralité d’une communication de l’ancien ministre des Télécommunications, des postes et des nouvelles technologies, Iharizaka Rahaingoson.

Sans couleur, sans saveur, cette communication diffusée au lendemain de sa démission aussitôt suivie de l’abrogation de sa nomination et de la passation des services qui s’est déroulée sans grand tam tam au Palais du Premier ministre à Mahazoarivo, ce jeudi 19 août, rapporte les faits. Mais elle n’est pas banale car c’est la première fois qu’une telle opération intervient aussi rapidement à l’encontre d’un ministre qui démissionne. ( Bill - Tribune Mada)


Tribune Mada 20/08/2010
Hôpital des enfants à Tsaralalàna : L’accès à l’oxygène devient payant
Mauvaise surprise depuis mardi 17 août 2010 pour les parents et accompagnateurs des malades qui séjournent à l’hôpital des enfants à Tsaralalàna. 

La veille, rapportent-ils à la presse, des responsables de cet établissement hospitalier destiné aux enfants les ont averti que dorénavant, l’accès à l’oxygène médical pour les patients qui en ont besoin, est payant. Le tarif appliqué est de 1000Ar/heure alors qu’auparavant l’oxygène médical était gratuit pour n’importe quel enfant en traitement dans cet hôpital. L’oxygène médical est pourtant utilisé pour aider à soigner les maladies et pour maintenir les patients en vie.
Un parent d’une enfant en traitement dans cet hôpital depuis plus d’un mois déjà se plaint de devoir emprunter de l’argent à ses proches pour pouvoir payer l’oxygène à son enfant. Une dame ajoute qu’elle ne supporte plus les frais d’hospitalisation car en plus de l’oxygène, il faut débourser pour les médicaments et le savon pour le nettoyage quotidien. Elle conclut qu’elle va finir par demander à sortir son enfant de l’hôpital car elle n’a plus de ressource pour subvenir aux besoins quotidiens de son enfant. Cet enfant indique-t-elle souffre de problèmes pulmonaires ; elle est asthmatique.
Réagissant à cette nouvelle disposition en vigueur à l’hôpital des enfants à Tsaralalàna, un membre du personnel médical déplore et dénonce une politique de santé de classe ou de prestige. La politique actuelle est la course à la création de nouveaux hôpitaux modernes ou de nouveaux établissements médicaux, telle cette nouvelle banque de sang dans l’enceinte de la HJRA Ampefiloha ou encore ce nouvel hôpital à Mahajanga. Aider les malades à accéder à des soins gratuits ou à des médicaments moins onéreux semble loin des stratégies et de la politique des plus hautes 

Auparavant l’oxygène médical était gratuit pour n’importe quel enfant en traitement dans cet hôpital.

autorités. Un cadre universitaire voit dans cette mesure, une des conséquences de la politique de restriction budgétaire décidée par la présidence de la HAT et son gouvernement.


Les Nouvelles 18/08/2010
CRISE MALGACHE - Suspense à la SADC - Miadana Andriamaro 
Le sommet de la SADC qui s'est tenu pendant deux jours à Windhoek (Namibie) s'est terminé hier sur une note de suspense, en ce qui concerne notamment la résolution de la crise à Madagascar.
Au menu de ce sommet figure en effet le « dossier Madagascar » dont un rapport sur l'évolution de la situation a été présenté, dimanche dernier, par le chef de file de l'équipe du groupe international de contact, Joaquim Chissano, lequel était récemment de passage dans le pays .
Au moment où nous mettons sous presse, aucune information n'est encore disponible quant à une éventuelle décision de la SADC concernant ce dossier malgache.

Revirement ?
Il semble toutefois, d'après certaines agences de presse présentes sur place que ledit rapport présenté par Joaquim Chissano aurait suscité un certain revirement de la position de la SADC par rapport à son insistance pour l'application des seuls accords de Maputo et d'Addis Abeba comme étant la meilleure voie de sortie de crise.
Le fait est que lors de sa dernière visite à Madagascar, l'ancien président du Mozambique avait déjà laissé entendre qu'il encourageait entièrement l'initiative d'un processus malgacho-malgache de sortie de crise. Et c'est ce qu'il aurait réitéré dans son rapport devant les instances dirigeantes de ses mandataires.
Rappelons que, selon le principe de subsidiarité, il revient à l'organisation géographiquement la plus proche du pays concerné de désigner un mandataire pour conduire les négociations destinées à solutionner un conflit ou une crise dans ce pays. C'est ainsi que la SADC a mandaté Joaquim Chissano… avec également l'aval de l'Union africaine qui serait la deuxième instance de décision dans le cas où la mission première venait à échouer.
De l'accord d'Ivato
D'après les agences de presse internationales présentes sur place pendant ce sommet de la SADC , Joaquim Chissano aurait donc plaidé pour l'élargissement des bases du dialogue initié dans le cadre de la réunion politique qui a été organisé au centre de conférences internationales d'Ivato (CCI). En quelque 

Le président de la République démocratique du Congo Joseph Kabila (d), s'entretient avec son homologue namibien Hifikepunye Pohamba, nouveau président en exercice de la SADC, le 16 août 2010. © AFP

sorte pour l'élargissement de l'accord politique qui y a été adopté à toutes les tendances… pas seulement politiques mais également à toutes les autres entités représentatives de la nation.
Cet élargissement pourrait aussi amener la communauté internationale à revoir sa position et partant à accélérer la reconnaissance internationale du pouvoir de Transition… présidé par Andry Rajoelina.
Il est à remarquer que dans son rapport, Joaquim Chissano n'a plus évoqué le retour aux accords de Maputo ou d'Addis Abeba comme le revendiquent encore les partisans des trois mouvances.
Place au patriotisme
Cependant, se pose encore la question d'une véritable inclusivité…malgacho-malgache quant à la mise en œuvre de cet accord d'Ivato. Il est patent que beaucoup d'autres sensibilités n'y ont pas (encore) souscrit… attendant peut-être une meilleure opportunité pour le faire.
Mais on ne peut pas non plus dire que tous les signataires de cet accord sont issus ou proches de l'ex-mouvance Rajoelina. Vivement alors le rapprochement qui se prépare entre les différentes entités, en vue, peut-être, de l'adoption d'un nouvel accord malgacho-malgache qui consacrerait un processus véritablement consensuel et inclusif de sortie de crise et de gestion de la Transition.
Ce consensus et cette inclusivité devraient cependant écarter les ambitions déplacées pour laisser place au réel patriotisme des uns et des autres.


Les Nouvelles 17/08/2010
JIRAMA - Blackout pour une semaine! - Faly R. 

Suite aux annonces parues dans la presse, la Jirama, réparant la centrale hydroélectrique d'Andekaleka, procédera à des coupures sur le réseau interconnecté Antsirabe, Antananarivo et Moramanga du 20 au 27 août prochain de 17 à 21 heures. Le blackout sera encore une fois au rendez-vous.

Bon nombre de clients d'Antsiranana se plaignent également du délestage car la centrale thermique de la Jirama à Antsiranana n'arrive plus à subvenir aux besoins de ses clients. Pour Antananarivo, Antsirabe et Moramanga, la réparation ou plutôt l'arrêt temporaire d'Andekaleka est nécessaire pour que la firme nationale puisse continuer à assurer l'approvisionnement en électricité de ce réseau interconnecté.
La Jirama a déjà annoncé ces coupures depuis quelques semaines, en particulier aux grandes entreprises membres du Groupement des entreprises de Madagascar (Gem) et du Syndicat des industriels de Madagascar (Sim), « pour que ces dernières n'aient pas de mauvaises surprises ». D'ailleurs, la Jirama leur a même envoyé des communiqués leur indiquant de «s'effacer complètement durant ce laps de temps».
Des priorités à respecter
En matière de délestage, les départs des réseaux de distribution sont classés par ordre de priorité. La première étant celles qui desservent les hôpitaux et les hautes autorités (présidence, primature, ambassades, défense nationale, radio et télévision nationales). La seconde priorité concerne les zones industrielles, les abonnés sensibles (résidences des ambassadeurs, les responsables de la sécurité publique…) et enfin, la troisième concerne les départs qui desservent le grand public.
Le grand public est bien concerné car la Jirama demande également à ses usagers de ne pas utiliser des appareils susceptibles de consommer plus de courant que d'habitude, comme les séchoirs, les fours électriques et autres… La tranche d'heure où les Tananariviens consomment le plus d'énergie électrique va surtout de 17 à 20 heures. La Jirama prend donc déjà une marge jusqu'à 21 heures pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

Antsiranana aussi !
Antsiranana subit le même sort que le réseau interconnecté d'Antananarivo Antsirabe Moramanga. Mais pour cette ville, il ne s'agit pas d'entretien ou de réparation mais carrément d'insuffisance de production de la Jirama. En effet, la centrale thermique d'Antsiranana n'arrive plus à assurer les 14 mégawatts de consommation en heures de pointe, c'est-à-dire entre 17 et 21 heures. Cette centrale ne produit que la moitié des besoins de la ville : 7.5mégawatts d'où les fameux délestages atteignant surtout les quartiers de priorité 3, c'est-à-dire les plus éloignés de la ville.
Et ce n'est pas tout car les tarifs à Antsiranana sont également plus chers que dans les autres grandes villes de Madagascar. Cela s'explique par la cherté des carburants car en effet, une centrale thermique tourne au fuel et au gasoil et non à l'eau comme pour les centrales hydroélectriques.

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