... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
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« Pour notre premier éveil chinois ...
»
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Pourquoi
Beijing s'appelle aussi
Pékin ? Beijing veut dire ''capital du nord'' en
chinois et Pékin est la francisation. D'autres pays nomme Beijing avec leur propre prononciation
(Pechino en italien, Pequim en portugais,Peking en néerlandais, ...)
Le nom de Pékin nous vient des missionnaires
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jésuites
français du XVIème siècle qui n’ont pas jugé bon de
corriger la chose après les changements de prononciations
des sinogrammes opérés pendant la dynastie Qing. Et les
autres européens dans tout ça ? Ils ont juste bêtement
copié sur nous.
Un
circuit
touristique de 3 semaines à la découverte de l'Empire du Milieu :
Paris... Shanghaï, Hangzhou, Pékin (Beijing), Pingyao, Xi'An,
Chengdu, Chongqing ,Yichang, Wuhan, Shanghaï... Paris
une anecdote parmi tant d'autres " Nous finissons par trouver
une sorte de chauffeur, ou plutôt de chauffard, qui a accepté de
nous conduire à l’hôtel. Il ne s’est pas arrêté une fois
dans sa course, sa vitesse moyenne en ville était de 80 à l’heure,
avec une pointe à 100, peut être plus. Je croyais qu’il était
daltonien mais en fait il passait à tous les feux, qu’ils soient
vert ou rouge."
Pékin est une ville plutôt sympathique. Malgré son ciel lourd et pollué, la ville possède bien les caractéristiques qui font d’elle une capitale et qui la différencient alors de Shanghai. Et encore, en parlant de pollution, elle n’est pas si exécrable qu’on le prétend, disons que l’air est aussi irrespirable qu’à Paris.
La ville est géante, nous n’avons pas eu le temps de tout voir en 4 jours. Seulement les best sellers : cité interdite, colline de charbon, place
Tiananmen, grande muraille, hutongs… et j’en passe.
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Contrairement à Shanghai, à la pointe du progrès, on ressent bien l’histoire de la Chine en se promenant dans Pékin. C’est assez agréable.
On rencontre aussi beaucoup plus de touristes, c’est assez chiant
mais bon, ils doivent se dire pareil pour nous. Je crois que les
pires
touristes
sont les Français. Un groupe de Français s’amusait
à gâcher les photos des gens sur la grande muraille, c’est
vraiment intelligent d’aller à 8 000 kilomètres pour faire ça,
stupid frogs. ...
Lire la
suite Cliquez-ici
Gaëlle, Damien, Hong Chao, Mickaël de l'IDF
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Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina",
Gaëlle, Damien, Hong Chao, Mickaël de l'IDF ont répondu à notre appel
pour publier des Editos maintenant à
qui le tour? On vous attend edito men et edito women.
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Quotidien du Peuple 21/09/2010
Madagascar : la conférence nationale se termine avec des résolutions à controverses
- Source: xinhua
De nombreuses résolutions censées à résoudre la crise politique mais aussi à aboutir à l'avènement de la IVème République ont été prises lors de la conférence nationale qui a pris fin samedi soir à Antananarivo, dans la capitale de Madagascar mais sans obtenir la caution du chef de la médiation internationale pour la crise malgache, Joaquim
Chissano.
Certaines de ces résolutions pourraient toutefois, selon l'avis de certains participants même, déclencher de nouvelles crises.
La sortie de crise à Madagascar reste en pointillée à l'issue de cette conférence nationale initiée par l'association des aînés dite ''Raiamandreny mijoro'' (littéralement traduit parents responsables) ainsi qu'une infime partie de la société civile au sein d'un nouveau groupement dénommé
''Finona'' sur financement de la Haute Autorité de Transition (HAT) malgache.
Le remplacement de tous les maires des 1549 communes que compte Madagascar par des délégations spéciales est sans doute la résolution la plus controversée, adoptée lors de ce rendez-vous. Les chefs des 22 régions devraient être aussi remplacés, selon les voeux d'une grande partie des participants à la conférence nationale, mais ces derniers sont pour l'instant nommés et leur éviction n'ont ainsi qu'une portée limitée.
On est en pleine quête d'un retour à l'ordre constitutionnel et voilà qu'une décision qui va dans le sens contraire intervient. Raharinaivo Andrianatoandro du parti TIM de l'ancien président malgache Ravalomanana s'est exprimé :« Je suis complètement abasourdi par le vote de la « majorité » pour le remplacement de tous les maires qui sont pourtant les seuls élus démocratiquement en exercice actuellement. Il sera encore plus difficile d'avoir la reconnaissance internationale si jamais cette décision sera concrétisée ».
D'autre maire, élu sous les couleurs de l'ancien parti au pouvoir, est plus pessimiste en craignant des tensions au niveau local suite à cette résolution. Le vice-président de la HATn Lahiniriko Jean, est pourtant favorable à ce « changement » en affirmant que les actuels maires ne sont que des mal-élus et ne reflètent en aucun cas la volonté de la majorité des électeurs ».
Mis à part cet éventuel remplacement des maires, la question de l'amnistie est également controversée. « Apparemment, les participants sont encore blessés ou marqués par les événements récents d'où leur attitude de ne pas accorder une amnistie aux événements de 2009. Il y a là une volonté manifeste d'écarter Ravalomanana, un apaisement a été pourtant nécessaire », a encore réagit Raharinaivo
Andrianatoandro.
Par ailleurs, en rabaissant l'âge requis pour la candidature à l'élection présidentielle à 35 ans, la conférence nationale d'Ivato vient de permettre au président de la HAT, Andry Rajoelina de revenir sur sa décision de ne pas se présenter aux prochaines présidentielles.
Ce dernier restera aux commandes jusqu'à l'élection du président de la IV ème République comme l'ont décidé les conférenciers. La future République aura comme régime un régime mixte, semi-parlementaire et semi-présidentiel.
Le calendrier électoral adopté par l'accord politique d'Ivato du 13 août n'a connu aucune modification majeure sauf pour le référendum constitutionnel retardé de deux jours et prévu se tenir le 19 novembre prochain.
Encadré:
les élections communales anticipées auront lieu le 20 décembre 2010
Le Président de la Haute Autorité de Transition (HAT) malgache, Andry Rajoelina, a annoncé lundi soir au Palais d'Etat d'Ambohitsorohitra, dans la capitale de la grande île, que les élections de tous les maires vont se dérouler le lundi 20 décembre 2010 prochain.
Cette décision fait suite à l'une des résolutions de la récente conférence nationale, selon lesquelles tous les maires en places devraient être remplacés par des présidents de délégation spéciale (Pds).
Les dernières élections communales dans le pays remontent au mois de novembre 2007. Les maires en place actuel devraient encore honorer leur mandat de cinq ans, qui court jusqu'en 2012. Plus de 1 500 sièges sont à pourvoir dans toutes les communes de la Grande Île.
humanite.fr 20/09/2010
Madagascar encore loin de l’apaisement
: La conférence sur la «réconciliation
nationale» contestée.
Jusqu’à ce samedi est réunie à Antananarivo une conférence censée sortir le pays de sa crise institutionnelle née du putsch de décembre 2008 mené par l’ancien maire de la capitale, M.
Rajoelina.
Convoquée pour mettre sur pied une Constitution, lancer un processus électoral et définir des règles d’amnistie qui doivent accoucher d’une « réconciliation nationale », la conférence parvient avec difficulté pour le moment à apaiser les tensions entre le pouvoir putschiste en place, les anciens présidents, la société civile et une population qui est plus préoccupée par son quotidien.
Les trois principales formations politiques, dirigées par les trois anciens présidents de la République, ainsi que les représentants de la société civile se refusaient toujours à participer aux débats, exigeant au préalable le retour des exilés politiques et la dissolution de l’actuel régime de transition.
Était posée également la question de la légitimité de la pléthore d’organisations – groupusculaires pour la plupart – conviées, de ces délégués sans mandat précis et de ces 1 700 participants (sur 4 000) qui se sont invités d’eux-mêmes à la conférence.
Certains débats ont néanmoins permis d’avancer sur des points précis, comme l’amnistie générale des délits politiques ou la nomination d’un premier ministre sans appartenance politique ou militaire.
Un opposant, qui souhaite conserver l’anonymat, voit à travers cette conférence la « légitimation du pouvoir putschiste dans un simulacre de réconciliation ».
Rémy Darras
Midi Mada 18/09/2010
Prix : 10% plus cher qu’en août 2009
- Didier Rambelo
Le prix à la consommation a augmenté de 10,2% entre le mois d’août 2009 et le mois d’août 2010 ; c'est-à-dire en glissement annuel. C’est ce que l’on apprend, entre autres, de l’enquête périodique de l’Instat (Institut National de la Statistique) intitulée : «Nouveaux Indices des prix à la consommation», dans sa publication du mois courant.
D’après cette étude, la population d’Antsiranana est celle qui a le plus souffert de l’inflation durant cet intervalle de temps. L’Instat indique en effet que dans cette localité, les prix à la consommation ont connu une très forte hausse de 16,2% entre le mois d’août 2009 et le mois d’août 2010. Toliary et Antananarivo suivent la capitale du Nord avec des taux d’inflation respectifs de 10,5% et 10,4%. Il faut noter que c’est dans la ville de Mahajanga que l’augmentation du coût de la vie a été le plus faible (5,2%) en glissement annuel.
Tendance à la hausse.
Et l’on apprend également de cette enquête de l’Instat que la tendance est toujours à la hausse en ce qui concerne la variation du prix à la consommation sur une courte période, plus précisément en glissement mensuel. Les statistiques révèlent alors qu’entre le mois de juillet 2010 et le mois d’août 2010, le coût de la vie s’était encore renchéri de 0,7%. Certes, le taux paraît faible mais toujours est-il qu’il s’agisse d’une augmentation.
On explique du côté de l’Instat que cette hausse du mois d’août peut en grande partie s’expliquer par le relèvement du coût du groupe «produits locaux». Ce dernier ayant enregistré une augmentation de 0,7% et contribuant à hauteur de 83% dans la variation de l’ensemble de la période. Par contre, l’on note du côté de l’Instat que les produits semi-importés et les produits importés ont également emprunté le chemin de la hausse avec des taux respectifs de 0,9% et de 0,3%.
Perspectives
sombres.
Les conclusions des statisticiens révèlent que selon les secteurs d’activités, l’on a observé au cours du mois d’août la même tendance. Effectivement, on révèle que les prix des «produits manufacturés artisanaux» ont flambé de 1,7% tandis que pour les services publics et privés, les variations (à la hausse) s’élèvent respectivement à 1,3% et 1%. Par ailleurs, l’Instat indique que selon les fonctions des articles, deux catégories se distinguent du lot en termes de hausse de prix : +2,4% pour le groupe «logement, eau, électricité, gaz et autres combustibles» et +1,8% pour les «tissus et vêtements» Par contre, les techniciens notent que les groupes «transports» ; «loisirs et spectacles et culture» ; «produits alimentaires, boissons et tabacs» ont vu leur coût baisser légèrement durant le mois d’août.
En ce qui concerne les prévisions, les techniciens se montrent très pessimistes. En effet, ces derniers avancent que la tendance haussière se maintiendra du moins pour les trois prochains mois. Pour ce mois de septembre, le taux de relèvement de l’Ipc sera de +1,2%. Cette variation sera de +1,1% le mois suivant. Au mois de novembre, l’Instat table sur une hausse de 0,9% du prix à la consommation.
Tribune Mada 18/09/2010
Des « pensionnaires » du lycée d’Alarobia réclament des perdiem
- par Ben
Une partie des participants à la conférence nationale est hébergée au Lycée industriel d’Alarobia. Ce jeudi matin du 16 septembre, des délégués refusent de rejoindre le Centre de conférence international (CCI) d’Ivato. Ils réclament des perdiem de l’ordre de 100 000 ariary allant jusqu’à 200 000 ariary quotidiens et ont fermé le portail du lycée.
Ils menacent de ne pas poursuivre les travaux de la conférence nationale tant qu’ils n’obtiennent pas satisfaction. Des délégués qui souhaitaient alors se rendre au CCI Ivato n’ont pu sortir de l’enceinte du lycée à bord des véhicules réservés à cet effet. Une délégation des organisateurs de la conférence venue s’enquérir de la situation n’a pu les dissuader d’observer une telle « grève » et encore moins décider de leur accorder les perdiem réclamés. Les desiderata et revendications d’un perdiem, négocié par les Secrétaires nationaux du TGV de Toliara, Roberto Tinoka et Mme Nina de Mahajanga auprès des « grévistes » à 60 000 ariary ont finalement été fixés à 100 000 ariary par personne pour la semaine et transmis au Secrétaire général de la Présidence de la Haute autorité de transition
(HAT).
Il faut reconnaître que les positions des pensionnaires du lycée ont durci quand le colonel Richard Ravalomanana est intervenu. Richard Ravalomanana leur a signifié sèchement, qu’ils rentrent chez eux s’ils ne veulent pas poursuivre les travaux de la conférence nationale car ils sont en train de semer le trouble et de faire en sorte que la conférence échoue.
Alors qu’une majeure partie des pensionnaires du lycée d’Alarobia a finalement décidé de reprendre le chemin d’Ivato, Alain Ramaroson, président de la commission Défense et sécurité au sein de la HAT, arrive sur les lieux pour promettre qu’il va prendre en main et résoudre les problèmes évoqués par les « grévistes ». Il était 13h 15 quand les premiers congressistes ont quitté le lycée, retardant ainsi les débuts des travaux en séance plénière au CCI
Ivato.
Encadré:
Grève pour perdiem
Le pasteur Nestor du « rayamandreny mijoro » toutefois déclare avec d’autres pensionnaires du lycée d’Alarobia que dès les débuts, il n’était pas question d’indemnités et qu’aucune promesse n’a été faite à ce sujet, précisément à l’intention des 12 délégués par district. Par ailleurs les secrétaires nationaux du TGV Mahajanga et Toliara affirment eux aussi que leurs délégués ne sont pas dans la capitale pour de l’argent mais pour soutenir leurs points de vue et leurs résolutions afin de sortir le pays de la crise.
(Bill - Tribune)
Jeune Afrique 17/09/2010
Un Malgache, un Togolais et cinq Français enlevés par un groupe armé
Sept salariés des sociétés françaises Areva et Satom ont été enlevés par un "groupe armé" dans la nuit de mercredi à jeudi à Arlit, au Niger.
Joint par Jeune Afrique, Areva a confirmé l'information. « Nous déplorons l'enlèvement de deux salariés et cinq sous-traitants [travaillant pour la société française Satom, NDLR]. »
Les deux salariés
d'Areva sont de nationalité française. Concernant Satom, trois sont également français et les deux autres sont des ressortissants malgache et togolais, d'après une « source sécuritaire nigérienne » citée par l'AFP.
L'enlèvement a été commis « par un groupe armé » de sept à une trentaine de personnes a indiqué Laouli Dan
Dah, le porte-parole du gouvernement nigérien, à l'AFP. Les ravisseurs se trouvaient à bord de deux pick-up et parlaient « majoritairement arabe et souvent tamachek [langue des touaregs vivant dans la région, NDLR] », a-t-il précisé sans s'avancer sur l'identité du groupe. « Après leur forfait, ils ont pris la direction
d'Inabangaret », près de la frontière avec l'Algérie et le Mali, a-t-il ajouté. Cette région est une zone d’influence
d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
Un otage relâché
Un « logisticien » nigérien, enlevé avec les expatriés, « a été, selon ses propres déclarations, relâché à une quarantaine de km
d'Arlit », a indiqué Laouli Dan Dah, d'après qui il est actuellement entendu par les services de sécurité.
Selon toute vraisemblance, les sept personnes ont été enlevées à leur domicile à Arlit dans la nuit de mercredi à jeudi. L'information émane d'une source nigérienne confirmée par
Areva. « Il n'est pas exclu qu'Al-Qaïda au Maghreb islamique ait gagné des sympathies au sein de la population nigérienne dans la région », ajoute la source nigérienne. |

La mine à ciel ouvert
d'Arlit, dans le nord du Niger. © AFP
Nouvelle prise d'otage dans le nord du Niger |
Joint la semaine dernière pour aborder la question de la sécurité de ses salariés, Areva déclarait « avoir mis en place des systèmes de sécurité depuis plusieurs années du fait de la rébellion touarègue ». « 80 % de la sécurité consiste à avoir de bonnes informations et à respecter les bonnes règles de comportement », expliquait Gaëtan Halna du Fretay, le responsable de la protection des personnes du groupe.
Areva emploie 2 500 personnes au Niger, dont une centaine d'expatriés, en majorité français.
Jusqu'alors, les dispositions prises concernaient essentiellement le déplacement du personnel entre Arlit et les deux mines de Cominak et Somaïr, situées à quelques kilomètres. Les convois étant placés sous escorte militaire.
Le Français Michel Germaneau, qui est mort aux mains d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) en juillet, avait été enlevé au Niger au mois d'avril.
Encadré: enlèvement au Niger
Sept personnes, cinq Français, un Togolais et un… Malgache, ont été enlevées au Niger, dans la nuit du mercredi à jeudi
Les assaillants seraient probablement des éléments" d'Aqmi ou des bandits qui vendent leurs otages aux jihadistes, a déclaré à l'AFP une source sécuritaire nigérienne.
Les sept personnes ont été capturées par "un groupe armé" qui comprendrait de sept à une trentaine de personnes, selon les sources, a rapporté le porte-parole du gouvernement nigérien, Laouali Dan
Dah.
Les ravisseurs, à bord d'au moins deux pick-up, "parlaient majoritairement arabe et souvent tamachek" - langue des touaregs vivant dans la région - et ont pris la direction d'Inabangaret, près de la frontière avec l'Algérie et le Mali, a-t-il affirmé.
Les sept captifs étaient "sortis sans escorte et ont été surpris par un groupe de ravisseurs enturbannés", a raconté une source sécuritaire nigérienne. La radio privée Saraounia soutient à l'inverse que "les otages ont été surpris par leurs ravisseurs à leur domicile".
Le Niger possède d’énormes ressources minières, notamment de l’uranium. Areva exploite deux gisements dans le nord du pays, précisément dans la région instable d’Arlit
- le ressortissant malgache qui figure parmi les otages enlevés par le groupe Al Quaïda se nomme Rakotoarilalao Jean Claude
Tribune Mada 16/09/2010
Entreprise Robert
: Entre tradition et modernité, du chocolat pour tous les goûts
- Mona M.
La chocolaterie Robert [1], qui existe à Madagascar depuis 1937, a ces dernières années considérablement diversifié la gamme de ses produits. On les trouve aujourd’hui sous toutes les formes et à tous les prix, du thé-cao de l’épicerie du coin aux délicats assortiments des boutiques de luxe, en passant par les tablettes disponibles en grandes surfaces. A Noël, on peut retrouver leur bûche chocolatée, la spécialité du département pâtisserie, qui a ouvert ses portes il y a deux ans.
« Depuis 15 ans, nous recevons un meilleur ouvrier de France, qui nous aide à développer de nouveaux produits entre tradition et modernité », explique Fredy
Rajaonera, directeur général adjoint de la chocolatière. À côté des traditionnelles tuiles ou des orangeades, a été développée toute une
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MadaVôvô du 16
sept 10 >>
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Midi Mada 15/09/2010
Conférence nationale : La communauté internationale absente
- Dominique R.
La grande salle de réunion et le hall des pas perdus du centre de conférence international d’Ivato ont été pleins comme un œuf, hier, lors de l’ouverture officielle de la conférence nationale. Si au départ, 2000 personnes ont été prévues, finalement le nombre des participants a tourné autour de 4000. Le gros de la troupe vient des 119 districts. Malgré la présence de ce beau monde, la communauté internationale a été absente. Quand bien même celle-ci aurait souhaité que ces assises soient placées sous l’égide de la Coordination Nationale des Organisations de la Société Civile
(CNOSC).
Participants.
Côté officiel, le président de la HAT et le Premier ministre ont brillé par leur
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MadaVôvô du 16
sept 10 >>
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5.
Conférence nationale: Chahutée par des journalistes
(lagazette) (
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Forces armées : 18 hauts gradés pointés du doigt
(midi) (
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Présidentielle : L'âge minimal des candidats fixé à 35 ans
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Gouvernance financière : Bilan ahurissant et très suspect (courrierdemada) (
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Les Nouvelles 21/09/2010
UNIVERSITE : La grogne des étudiants ne s'apaise pas
- Océane
« Nous avons convenu avec les enseignants de suspendre certains examens qui devaient avoir lieu cette semaine et de les effectuer la semaine prochaine », a expliqué un porte-parole des étudiants de la faculté des sciences.
Hier, un barrage a été posé à l'entrée de l'université et aujourd'hui, les étudiants de la faculté des Lettres et ceux du département de la gestion de la faculté Degs viendront en renfort aux étudiants de la faculté des Sciences. Les autres étant encore en pleine période d'examen.
Les étudiants sont mécontents car les bourses de juillet et d'août n'ont pas encore été payées et les calendriers de paiement ne sont pas encore affichés. Or, le ministre de l'Enseignement supérieur a annoncé mercredi dernier que le déblocage des fonds nécessaires au paiement des bourses d'études va se faire sous 48 heures. Il a aussi promis que les étudiants recevront leurs allocations au courant de cette semaine.
Les étudiants attendent l'affichage de ces calendriers de paiement d'ici demain, autrement la grève se renforcera.
LaGazette-dgi.com 19/09/2010
Conférence nationale: Chahutée par des journalistes
- Adelson RAZAFY
Un événement imprévu a jeté un froid hier à la conférence nationale d’Ivato : des journalistes se sont livrés à une manif bruyante et prolongée lors de la séance plénière, suscitant la consternation des organisateurs et la stupéfaction des participants. Motif de ce mouvement d’humeur inopiné : les participants de la conférence ont approuvé à main levée la condamnation des journalistes à des peines d’emprisonnement ferme. Mais une condamnation qui serait revue et corrigée ce jour.
Dans le flot des résolutions soumises au vote de l’assemblée, ce point allait passer comme une lettre à la poste. Alors que généralement, la contestation vient des rangs même des participants, grand fut l’étonnement en voyant l’opposition naître et éclater chez un corps considéré comme étranger à la conférence. En tout cas, ne pouvant remettre en cause sur le champ une motion votée par l’assemblée, les organisateurs bottèrent prudemment en touche, annonçant vouloir examiner les doléances des journalistes. En tout cas, on saluera ces derniers qui ont réagi sainement, s’élevant contre le vote avec vigueur et sans tergiverser. Ce qui obligera les participants de la conférence, les organisateurs et même le public à se pencher avec attention sur ce point (peu connu) qui a provoqué chez les gens de presse un tel emportement.
Réclamée par les journalistes malgaches depuis les fameux états généraux de la presse à l’hôtel Astauria d’Antanimena, en 2002, la « dépénalisation des délits de presse » consiste à éliminer des sanctions pénales infligées aux journalistes les peines de prison ferme. Le système a été adopté par presque tous les pays dits de « vieille démocratie » (c’est-à-dire occidentaux), et dans le tiers-monde, on le considère comme un palier important du processus démocratique. Sauf dans des cas extrêmes comme l’incitation à la haine ethnique ou religieuse, l’apologie du crime et de la violence ou la divulgation d’informations classées « secret défense », le journaliste fautif ne doit pas subir une peine privative de liberté. L’emprisonnement peut, en effet, viser à intimider les journalistes ou à les obliger à l’autocensure, ce qui restreint leur liberté d’expression.
La manif d’hier met en relief certains dysfonctionnements et carences de la conférence nationale. Dans la commission Communication qui a adopté la résolution indésirable, il n’y eut aucun représentant de la presse, ni technicien qualifié pour éclairer les participants et alimenter les débats. La question de la sanction des journalistes fut donc tombée sous le coup de l’idéologie dominante de la conférence nationale qui est le refus de l’impunité. On notera notamment les insuffisances au niveau de la représentativité à
Ivato, et étant donné les absences, on ne sait si la conférence mérite le qualificatif « nationale ».
Ensuite, apparemment, un grand nombre de participants n’ont pas saisi les grands enjeux du rassemblement, la question de la « dépénalisation » ayant par exemple échappé à la compréhension. Sur ce point comme sur d’autres, beaucoup ont voté alors qu’ils n’étaient pas en possession des tous les éléments permettant de juger en toute connaissance de cause. En d’autres termes, beaucoup ont voté à tort et à travers, guidés plus par le cœur que par la raison. Ceci pose la question de la fiabilité des votes et de la pertinence des résolutions adoptées, lesquelles vont pourtant régler la vie de la nation.
Le mérite de la manif tonitruante des journalistes d’hier, c’est qu’elle a mis les carences de la conférence nationale à la… une.
Encadré:
- Fin de La Conference Nationale le samedi
18 septembre. Les participants ont ainsi estimé que l'actuel homme fort
de Madagascar, Andry Rajoelina, devrait être maintenu à la tête du régime
mais qu'il devait nommer un Premier ministre de consensus qui ne soit
pas issu des Hauts Plateaux comme lui.
- Les conférenciers ont aussi demandé que tous les maires et chefs de régions soient démis de leurs fonctions pour être remplacés par des autorités provisoires dont le mode de nomination n?a pas été spécifié.
Midi Mada 19/09/2010
Forces armées : 18 hauts gradés pointés du doigt
- Davis R
Un tract circule en ce moment dans les camps et les casernes. Un tract incitant notamment les Officiers, les Sous-officiers et les Hommes de troupes à se lever contre les détournements et l'accumulation illégale de richesses effectués par des dirigeants actuels et des anciens hauts responsables au sein des Forces armées. En effet, 18 noms sont cités dans ce tract.
Parmi eux figurent un Vice-amiral d'Escadre, 10 Généraux dont la plupart sont encore en activité, 4 Colonels et 2 Lieutenants-colonels, ainsi qu'un Contrôleur Général de Police. Constructions de Résidences et de Villas et même de complexe hôtelier dans plusieurs régions de la Grande île et même à l'extérieur, achat de terrains à des prix colossaux, détournements et achat de véhicules 4X4 et des camions semi-remorque, corruption lors des recrutements de nouveaux éléments et dans les distributions des avancements et des stages pour les Sous-Offs et les hommes de troupes, détournement d'armes, trafic de bois de rose…
Milliardaires.
Ce sont entre autres, les pratiques malsaines qui se sont produites au sein des Forces armées et dénoncées par les auteurs de ce tract. Et de faire savoir que les hauts gradés impliqués dans ces affaires sont tous des milliardaires tandis que leurs subalternes vivent dans l’extrême pauvreté. Il serait même question d'annuler le Corps des Sous-officiers de Madagascar
(COSOFAM) dont les membres sont considérés par l'auteur du tract comme « les responsables de la prise de pouvoir par la force » qui s'est produite dans la Grande île en 2009. Et de dénoncer également le détournement des indemnités des éléments des Forces de l'ordre qui participent à l' « Opération Coup de poing » car au lieu de 150 000 Fmg par jour, ils ne reçoivent que 25 000
Fmg. Les auteurs du tract interpellent donc le Bianco et le SAMIFIN afin d’éclaircir cette affaire.
Les Nouvelles 18/09/2010
PRESIDENTIELLE :
L'âge minimal des candidats fixé à 35 ans - Nasolo R.
Au cours de la séance plénière d'hier et en procédant au vote à main levée, les participants de la conférence nationale sont entrés en profondeur dans l'examen des conditions d'éligibilité à la présidentielle et ont fixé l'âge minimal des candidats à 35 ans. Ils ont également adopté d'autres décisions allant dans le sens contraire d'autres textes adoptés précédemment…
En procédant au vote à main levée concernant le code électoral et la commission électorale nationale indépendante
(Ceni), hier au cours de l'avant dernière journée de la conférence nationale, la séance nationale s'est prononcée pour l'âge minimal de 35 ans des candidats à la présidentielle.
C'est ce qu'ont décidé 1 149 sur les 1 966 votants qui, contre la décision prise en travaux de commission, n'ont fixé aucune limite quant à l'âge maximal des prétendants à la magistrature suprême du pays. Depuis les conférences régionales et les assises nationales, cette question revient sans cesse au centre des discussions, sans pour autant avoir jamais donné une réponse fixe. Dans ce cadre, même le décret n°2010-003 portant loi organique relative au code électorale ne dit mot sur le sujet et se borne à stipuler que tous les citoyens malgaches remplissant les conditions ainsi que celles requises par les textes particuliers à chaque catégorie d'élection, pour être électeur, sans distinction de sexe, sont éligibles.
A cette condition s'ajoute également l'astreinte à une enquête de moralité à laquelle seront soumis ces candidats.
Pour rappel, les partis réunis à la rencontre politique d'Ivato ont prévu la date du 14 avril pour la tenue du scrutin présidentiel.
La Ceni remise en question |
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Parmi les autres résolutions significatives adoptées lors de la séance plénière figure également celle concernant la
Ceni. En effet, les participants n'ont pas officiellement reconnu l'institution en tant qu'organisateur exclusif des élections et ont préconisé une délimitation claire entre ses responsabilités et celles du ministère de l'Intérieur avant, pendant et après les différents scrutins.
Bien évidemment, cela entre en contradiction avec les termes du décret 2010-120 fixant l'organisation, le fonctionnement et les attributions de la commission électorale nationale indépendante qui a, notamment, pour missions la gestion, l'organisation et la supervision des opérations électorales et référendaires, le respect de la législation électorale à tous les niveaux en vue d'assurer la crédibilité des élections et la coordination des activités d'éducation électorale.
Une entité spéciale chargée du contrôle et du suivi des activités de la Ceni devra même être mise en place.
Egalité des chances
Par contre, ils ont opté pour le fait que ce soit la Ceni qui se charge de la publication des résultats. En cela, aucun intermédiaire ne devrait figurer entre les membres des bureaux de vote et la commission durant la collecte des résultats.
En outre, la séance plénière d'hier s'est prononcée pour l'égalité des chances des candidats aux différentes élections. En ce qui concerne le cas particulier des membres de l'assemblée nationale, la répartition électorale parle de deux députés à élire pour une population de 150 000 personnes.
Bref, des décisions novatrices mais qui ont suscité quelques interrogations de la part de certains participants, notamment au niveau des procédures de vote et de décompte des suffrages exprimés.
Encadré: La conférence nationale vient d'annoncer la couleur hier : le Comité national de réconciliation sera présidé par une personnalité neutre, tandis que l'amnistie sera sélective et portera exclusivement sur les condamnés et détenus politiques de la période 2002-2008.
courrierdemada.com 18/09/2010
Gouvernance financière : Bilan ahurissant et très suspect
- RAW
La Haute autorité de transition (HAT), les ministères de la Sécurité intérieure, des Travaux publics, de la Santé, de la Fonction publique, de l'Énergie, de l'Eau, des Télécommunications, de l'Economie, des Affaires étrangères, de l'Environnement, des Sports et la présidence de la HAT, sont tous passibles de sanctions de la part, sinon des autorités judiciaires informées par celles habilitées et affectées au contrôle et à la veille en matière de passation de marchés publics, du moins par les contribuables.
C'est l'impression qui se dégage en apprenant le rapport de la Commission nationale des marchés
(CNM) fait par son président, Philibert Tovoherihavana, ce jeudi 16 septembre dans les locaux du ministère du Plan à
Anosy. Le bilan des travaux de contrôle a posteriori auprès de trois institutions et 21 ministères sur les 4 premiers mois de l'année 2010 est catastrophique pour la bonne gouvernance et
l'Etat de droit et surtout pour le climat et l'environnement des affaires. Des détournements de deniers publics sont suspectés dans les institutions et ministères, soit de manière volontaire, soit par méconnaissance et incompétence. Toujours est-il que des irrégularités, des infractions et délits ont été constatés lors de ces contrôles.
Les institutions et ministères ayant obtenu de mauvaises notes, et donc non respectueux de la bonne gouvernance financière, se souciant très peu par la même occasion du sort des deniers publics, sont très nombreux : 14 sur 21 pour les seconds, et 2 sur 3 pour les premières. Dans la plupart des cas où les structures existent et fonctionnent, les contrôleurs ont remarqué d'incessantes permutations des personnes responsables des marchés. Sinon il n'y a pas eu de nomination de ces responsables des marchés ; les fonctions sont alors cumulées par qui l'on sait.
Corruption avérée ?
D'après le rapport, 66% des entités contrôlées ne sont pas en conformité avec le Code des marchés publics. Pas de structures appropriées à l'organisation et au fonctionnement normal de l'octroi de marché, pas d'archives ni de documents de mise en concurrence, pas de commission d'appel d'offres permettant d'évaluer les marchés, sont autant de constat évoqué ce jeudi par les contrôleurs de l'Autorité de régulation de marchés publics
(ARMP). Pire, la récurrence des mêmes candidats et prestataires et le manque de transparence à propos des candidats non retenus, |

Même la Présidence serait passible de sanction
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le tout associé à aucune décision d'attribution sont plus que suspects pour ne pas dire de la corruption avérée.
En tout cas, les contrôleurs déplorent une course à la régularisation des marchés qui, selon les réglementations en vigueur, n'ont plus cours. Il n'est pas étonnant, se plaignent des observateurs, que dans la pauvreté ambiante foisonnent de nouvelles voitures flambant neuves et se multiplient de grands immeubles et villas/ espaces car les procédures en matière de marchés publics sont rangées dans les placards ou jetées dans les corbeilles à ordures sous couvert de l'urgence des opérations vraisemblablement durant cette période de crise ou de transition. Car procédures il y a, et c'est fonction d'un certain nombre de critères, entre autres, le type d'entreprise concerné suivant le montant du marché, la période et la durée de lancement des appels d'offres ou encore le type d'appels d'offres restreint ou non. Mais apparemment rien de tout cela ne semble respecté. Les observateurs sont très curieux de savoir si dans les projets promis dans le domaine des infrastructures sportives ou dans le domaine de la santé, des appels d'offres sont envisagés ou déjà lancé dans les normes ? Et ce bien que les financements relèvent du RPI ou ressources propres internes.
Andry Rajoelina a bien fait d'ordonner ce contrôle après qu'il ait remarqué de curieux mouvements financiers à la Présidence de la HAT pour décider du limogeage du Directeur financier.
Les Nouvelles 17/09/2010
CRISE MALGACHE:
L'UA demeure saisie - Nasolo R.
Malgré son silence, l'Union africaine demeure saisie de la question de la résolution de la crise malgache. Et pour cause, mercredi au siège du parlement belge, au cours de son allocution prononcée à l'ouverture d'une conférence de haut niveau Union européenne - Afrique, Jean Ping a évoqué le cas de la Grande île.
« Le processus de restauration de l'ordre constitutionnel à Madagascar n'aboutit toujours pas alors que de nombreux pays du continent se préparent à organiser des élections très sensibles et lourdes de menaces pour la paix et la stabilité des pays concernés », a indiqué le président de la commission de
l'UA.
Ainsi, le cas malgache a été cité parmi les autres conflits en cours dans certains pays d'Afrique dont la résolution reste un défi majeur pour
l'UA et la communauté internationale. D'ailleurs c'est dans cette optique qu'a été retenu le thème de cette conférence : «Un partenariat pour le développement et la sécurité ».
« Face à ces défis immenses et globaux, l'UA dispose maintenant d'un organe clef qui est le Conseil de paix et de sécurité (CPS) qui œuvre activement à la prévention, à la gestion, et au règlement des conflits », a souligné Jean
Ping.
Dans cet exercice, il est à souligner « L'appui politique que l'Union européenne continue à apporter à
l'UA dans la gestion des différentes crises que connaît le continent. Nous nous devons d'approfondir cette coopération, étant évidemment entendu que la promotion durable de la paix en Afrique est subordonnée à la prise de responsabilité des institutions africaines, ainsi qu'au soutien de la Communauté internationale aux initiatives et décisions prises par l'Union africaine », a relevé le président de la commission de
l'UA.
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