MadaVôvô 2010

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Les Titres de MadaVôvô du 31 decembre 2010  

BigNews:  Le Sport est Roi...

L'Edito: « Réflexion sur le temps qui nous tue ... »    ( ... )

1. Sucre biologique-Madagascar: La production malgache éco-certifiée (afriquejet) ( ...  )

2. Réveillon de la St Sylvestre: La fête pour tous les goûts et tous les feelings (nouvelles) ( ...  )

3. Exportation : Le prix du litchi résiste en Europe (express) ( ...  )

4. VISA : Le calvaire des immigrés (courrierdemada) ( ...  )

5. Sables bitumineux : Le jackpot des sociétés pétrolières  (tribune) ( ...  )

6. Andron’ny fety : 800 Ar ny vidin’atody (courrierdemada) ( ...  )

*. No Comment.... No Comment... 

7. Exploitation de Bemolanga: Un désastre écologique (lagazette) ( ...  )

8. "TGV", la voie royale ? (jeune afrique ) ( ...  )

9. Passerelle Internationale Unique: Le gouvernement persiste et signe  (nouvelles)  ( ...  )

10. Électroménager : Fortunes diverses pour les magasins (express)  ( ...  )

11. CI: Contre les candidatures des 4 chefs de mouvance ! (midi)  ( ...  )

... Le précédent MadaVôvô  27 dec 10  >>  ( ...  )

*. La banque BNP Paribas veut se retirer de la BMOI à Madagascar (lexpress) ( ...  )

*. Madagascar : des forêts dans état catastrophique (xinhua) ( ...  )

*. Message de Noël: Le pape pour la stabilité à Madagascar (nouvelles)  ( ...  )

31/12/2010

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ar

Euro 2 833,57 Ar 
JPY 26,15 Ar 
USD 2 147,43 Ar 
ZAR 322,50 Ar 
GBY 3 307,79 Ar 
HKD 275,96 Ar 
CHF 2 260,33 Ar 
MUR 69,43 Ar 

Date Eur/Ar Date Eur/Ar
31/10 2764 30/11 2691
13/09/08 min:2290 26/10/09 max:3032

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...  ( ...   )


 

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moov.mg 21/12/2010
Volailles. Jusqu'à Ar 60.000 pour une dinde

Les dindes, traditionnellement au menu lors des fêtes, arrivent en grande partie sur le marché de la capitale depuis les régions du sud du pays

L'ensemble des volailles abondent actuellement dans les grands marchés et les prix flambent. Jusqu'à Ar 60.000 pour une dinde et Ar 40.000 pour une oie.

 Des prix devant lesquels nombre de clients font machine arrière et se rabattent sur d'autres volailles telles les canards ou mieux, optent pour d'autres plats tout aussi succulents. 
Certaines familles, indépendamment des moyens financiers, ont choisi de délaisser les plats traditionnels pour essayer d'autres types de plats de fête. 

Foie gras et fruits de mer sont alors les plus prisés. Pour ce type de plats, les achats se font la veille du jour J pour disposer de produits de première fraîcheur.   ...  ( ... )      Cliquez ici

             Hanitra R.

Recette malgache de Neny  pour Noël

cliquez-ici  >>


« Réflexion sur le temps qui nous tue ... »

       Le temps, ne meurt pas... Il n'a ni commencement, ni fin... Il se mesure... comme un sablier, mais avant c'était avec la Lune... L'expression « tuer le temps » est significative. En fait, c'est le temps qui nous tue, car notre seul capital, celui qui est hélas physiquement non extensible, est le nombre de jours qu'il nous reste à vivre. Le seul moyen d'échapper à cette effroyable réalité est de dilater psychologiquement chaque heure, chaque minute. Pour cela, il faut enrichir chaque instant 

d'expériences (denses) bourrées de sens, d'émotion, de beauté, d'émerveillement. (Extrait de "Pépites")

   Le temps est une des dimensions qui gouvernent ce monde. C’est à la fois un sujet de la science, et une préoccupation philosophique.
     Le temps c’est cet élément qui nous fait aimer la vitesse. La vitesse est-elle le chainon-clé qui constitue le temps et qui, une fois qu’elle a atteint celle de la lumière, nous fait basculer en dehors du temps pour surgir dans l’espace de l’Eternité. L’éternité c’est l’absence du temps. 

     Le temps n’est effectif que dans le monde créé. Il sert à quoi, sinon à apprendre à mourir : il y a un début et une fin à toutes choses. Il y a un temps pour tout. « Ce que tu auras fait sans le temps, le temps ne te le pardonnera jamais ».
      Un seul a connu le temps de ce monde et « l’anti-temps » qui est l’Eternité. 

     La Bible nous montre l’exemple du fils de Dieu qui s’est fait homme pour vivre dans le monde du temps et qui d’autre part est allé aux cieux éternels après une résurrection, qui est le passage obligé pour l’Eternité.

     Est-ce qu’on ne découvrira jamais le moyen de vivre à 300.000 km à la seconde, à la vitesse de la lumière ? Car scientifiquement cette découverte permettrait, du coup, de rester au même point de départ, c'est-à-dire de ne pas vieillir.
     Le remède contre le temps, c’est le problème de toujours de ce génie humain chercheur qui s’évertue aussi à trouver comment ce monde est apparu au commencement.

      Or, on est bien loin de la vérité de la Bible quand elle nous enseigne que seule la résurrection permet de passer à l’Eternité et que ce monde a été créé par la Parole et non par un big bang hypothétique.
               Formidable, n’est-ce pas !...   Cliquez-ici

Armand Andriamahady d'Antananarivo

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Armand a répondu à notre appel  pour publier des Editos maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos    


afriquejet.com 31/12/2010
Sucre biologique-Madagascar: La production malgache éco-certifiée - Navalona R. - L'Express de Madagascar 
Après la fermeture de l'usine de production de sucre SIRAMA à Brickaville, des anciens employés se sont regroupés au sein d'une coopérative et se lancent dans la plantation de cannes à sucre pour approvisionner leur propre sucrerie construite, il y a 4 ans de cela, avec l'appui du PSDR.
L'objectif vise à produire du sucre biologique très prisé sur le marché international. « De ce fait, la plupart d'entre nous ont converti nos terrains d'exploitation de café ou de bananier ou de riz pour la culture de la canne à sucre suivant une technique biologique », a expliqué Mbinina Claude, le président de la coopérative dénommée Union des Groupements des Producteurs de Cannes à Sucre Biologique (UGPCSB). Leur activité fait la fierté de la région de Brickaville, et partant de la nation tout entière à l'extérieur car la production de sucre biologique malgache commence à être éco-certifiée.
Extension de la sucrerie
En effet, des émissaires de l'organisme international ECOCERT chargé de la certification biologique se sont déjà rendus sur les lieux de plantation pour constater de visu le système de culture de la coopérative comptant en tout 32 membres, dans la commune rurale de Fanandrana. L'UGPCSB approvisionne en sucre biologique les grandes surfaces et une société agro-alimentaire et exporte même vers la France mais elle n'arrive pas à satisfaire les commandes de ses clients. Sa sucrerie a une capacité de production limitée à 90 kg/jour dont 30 kg par processus de fabrication du produit. En dépit de tout cela, ces planteurs n'ont pas baissé les bras, car ils ont pu élargir leur réseau de partenariat grâce au renforcement de capacité reçu du PSDR. « Nous avons conclu un partenariat avec la région Rhônes Alpes en France et le Programme de Promotion des Revenus Ruraux (PPRR) financé par le FIDA pour assurer une extension de notre sucrerie », a raconté Mbinina Claude. Equipés de nombreux matériels, l a capacité de production de cette sucrerie s'élève maintenant à 270kg/ jour. Et lui de rajouter que des clients sur le marché du commerce équitable sont déjà prêts à passer des commandes une fois que la coopérative obtiendra la certification biologique.
Partage de bénéfice 
Par ailleurs, les membres de l'UGPCSB témoignent que leurs revenus se sont améliorés du fait que la coopérative achète leur canne à sucre à raison de 50 000 Ariary/ tonne et partage équitablement le bénéfice obtenu de la commercialisation du sucre biologique entre eux. Notons que chaque membre dispose en moyenne de 0,5 à 1 ha de champs de canne tandis que le rendement se situe autour de 60 tonnes/ha. Une extension du terrain de culture de la canne à sucre est également prévue ultérieurement. Voilà une filière qui s'annonce juteuse.


Nouvelles 31/12/2010
REVEILLON DE LA ST- SYLVESTRE : La fête pour tous les goûts et tous les feelings - Vavah Rakotoarivonjy 
Il y en aura pour tous les goûts et tous les feelings. C'est en ces termes qu'on peut résumer le large choix d'événements et d'animations qui se présentent en ces fêtes de fin d'année et particulièrement pour le réveillon de la Saint-Sylvestre 2010.

Le goût pour la fête reprend ainsi petit à petit, en dépit de l'interminable crise socio-politique qui sévit dans le pays. Et miraculeusement, le programme s'est légèrement étoffé par rapport aux deux derniers réveillons de fin d'année.
Ainsi, c'est l'embarras du choix pour les animations qui entrent dans le cadre du réveillon de fin d'année. Il y a des animations musicales de tous styles, allant du rock avec le groupe Iraimbilanja (Espace concerto à Anosy Avaratra), à l'évangélique avec DayVide et Antsan'i Kristy (Espace M'Amour'Y Ivato) en passant par la variété ( Njakatiana au Lion d'Or ou encore Melky et Ndondolah à l'espace A&C à Ivato, Ny Ainga au Mon Goûter à Ambohijanahary Ouest), la musique tropicale (Dah' Mama au Glacier) et bien sûr le karaoké.
Ceux qui apprécient la musique nostalgique seront aussi mieux servis, avec entre autres, le retour sur scène d'Henri Ratsimbazafy, à l'espace Jeanni, à Soavinimerina (oui, il a déjà annoncé sa retraite de la scène). Les mordus du funk, du soul et du jazz seront aussi gâtés à l'In Square à Ambatobe. Idem pour ceux qui préfèrent la tendance traditionnelle car, le groupe Benja Gasy et Banjo Group leur réservent «quelque chose» à la villa Vanille à Antanimena. Ceux qui opteront pour les animations deejaing ne seront pas en reste car la plus grande soirée de ce genre «Last night» leur est toujours promise à Ankorondrano… Mais la liste n'est visiblement pas exhaustive.
Gastronomiquement parlant, il y en aura certainement pour tous les goûts avec des menus «succulents» et très variés : farandole de charcuteries ou encore trésor de la mer en cascade brochettes de fruits de mer, nuggets de poissons, crabes sautés à l'ail, lapin à la moutarde, terrine de foie gras façon Périgard sur toasts garnie, dinde à la malagasy, rôti de mouton, plat de Vohitr' Andriana, coupe de gambas, crêpe de périgourdine…La concurrence est littéralement rude entre les grands chefs et les restaurants de renom ainsi que les espaces qui préparent des 

animations.
Le point commun entre les différents sites est qu'ils offrent tous, du moins pour la plupart, une large gamme de menus en buffet gastronomique. Et cela fera certainement saliver les gourmands.
Si le choix d'animations et d'événements est le plus souvent limité par les moyens, cette fois-ci, ce ne sera plus le cas. Car un large choix de prix s'annonce, allant de 25 000 ariary à 125 000 ariary. Pour la plupart, ce sont les grands hôtels et restaurants incluant leurs précieux services, qui affichent des prix assez élevés. C'est le cas entre autres de La Taverne, l'Hôtel Colbert, Les Hérons à Vontovorona… Espaces et restaurants moyens affichent par contre en moyenne un prix d'entrée avoisinant les 65 000 ariary.
Pourra-t-on dire alors que la fête de fin d'année est accessible à tous ?


Express Mada 30/12/2010
Exportation : Le prix du litchi résiste en Europe - Mahefa Rakotomalala
La qualité des litchis dûe à l’insuffisance de pluviométrie est à peu près semblable à celle des pays concurrents.Le prix moyen du litchi est à peu près le même que celui de l'année dernière. Plus de crainte sur les impacts éventuels de mauvaise qualité.

La campagne de litchi 2010-2011 semble ne pas être aussi catastrophique qu'on le craignait. Son prix faisant la réputation de la Grande île se stabilise autour de son niveau en 2009. Selon les informations recueillies auprès des professionnels, le kilo au niveau des grossistes se situe entre 2 et 2,20 euros. Et sur les étals des grandes surfaces, entre 2,30 à 2,40 euros. 
Cette fois-ci, le site Centre technique horticole de Toamasina (CTHT) affiche un certain retard pour diffuser ces informations capitales. « Le comportement du litchi de Madagascar sur le marché français paraît assez solide. Mais il risque d'être fragilisé, surtout en Allemagne », déclare Simon Rakotondrahova, directeur général d'une société exportatrice. 
Problème écarté
Actuellement, 13 000 tonnes au total sont déjà arrivés en Europe, par deux bateaux conventionnels. Le premier navire a accosté à Marseille le 18 décembre, avec à son bord 6500 tonnes de litchis. Logiquement et selon les prévisions du ministère du Commerce, il reste donc 4000 tonnes à exporter par conteneur frigorifié. Cette quantité réduite de 2000 tonnes par rapport à 2009 ne devra plus trop influer sur l'offre et la demande et entraîner une chute de prix. Par ailleurs, près de 250 tonnes de litchis souffrés sont arrivés par avion. Le kilo de ces produits primeurs s’élève en moyenne à 6 euros. 
« Au stade actuel, l’aspect, le calibrage et le prix des fruits ne devront plus poser de problèmes. Par contre, le danger pouvant changer la donne serait les conditions phytosanitaires et le taux de souffrage utilisé », précise Simon Rakotondrahova. 
Le déroulement de la campagne 2010-2011 marque définitivement un changement majeur de la filière litchi. L'insuffisance de pluviométrie et le retard de la période de maturité des fruits sont désormais des paramètres à prendre en compte pour Madagascar, et toute la zone de production dans l'océan Indien. 
Les pays concurrents de la Grande île comme l'île Maurice, la Réunion et l'Afrique du sud ont rencontré les mêmes problèmes de pluviométrie. C'est un des facteurs qui a sauvé le prix du lichi malgache en Europe. 


courrierdemada.com 30/12/2010
VISA : Le calvaire des immigrés - Lissan 
Pour rester à Madagascar, les étrangers doivent se faire apposer un visa long séjour sur leur passeport.
Une foule de démarches attend les étrangers qui souhaitent s'établir à Madagascar, avant l'obtention du sésame que constitue le visa long séjour.

Mardi matin, à 9h30, un jeune Comorien fait les cent pas dans la cour du ministère de l'Intérieur : son visa va expirer, et il a besoin de le renouveler. "Ca fait trois fois qu'on se contente de proroger le récépissé de dépôt de mon dossier, soupire-t-il. J'espère que cette fois c'est bien le visa qu'on va me donner".
Le jeune homme, qui étudie à l'Université d'Ankatso, ne peut cacher son impatience : "Je suis arrivé hier à 11h au ministère, mais on m'a dit que c'était déjà fermé, et qu'il fallait que je revienne aujourd' hui à 8h30, mais voilà une heure que je suis là, et ce n'est pas toujours ouvert". 
Comme lui, une douzaine de personnes patientent dans la cour du ministère. Il y a deux stagiaires européennes, mais la plupart sont des étudiants de nationalité comorienne. Tous sont des habitués des lieux, où ils viennent pour la deux ou troisième fois, espérant que celle-ci sera la bonne. Ils revoient ensemble le contenu de leur dossier de visa, car un seul papier manquant et le dossier sera rejeté. Certificat de scolarité et bulletins de notes, certificat de résidence, attestation d'hébergement et de prise en charge, casier judiciaire, attestation de recensement des étrangers, et bien d'autres documents sont exigés.
"Les bulletins de notes sont souvent un problème, lorsque l'année universitaire prend du retard, car nous n'avons alors aucun document à produire", témoigne un étudiant.

Il est presque 10h quand la vitre du bureau s'ouvre enfin. Les immigrés peuvent s'avancer. Sur cette matinée, seuls deux dossiers seront reconnus comme complets et acceptés, les autres devront revenir.
L'immigration à Madagascar
Le taux net de migration à Madagascar est nul en 2010, selon les chiffres de la CIA, mais cela ne signifie pas qu'il n'y a pas d'immigration. Au contraire, il y en a, mais celle-ci est compensée par l'émig-ration, c'est-à-dire par les Malgaches qui partent chaque année vivre à l'étranger. L'immigration à Madagascar reste cependant difficile à chiffrer. En 2000, on estimait à 61 000 le nombre de migrants vivant à Madagascar, un chiffre que le gouvernement jugeait "satisfaisant". Les Comoriens restent les principaux étrangers résidant dans le pays.


Tribune Mada 28/12/2010
Sables bitumineux : Le jackpot des sociétés pétrolières - Mona M. 
Avec 1% de recettes pour l’Etat contre 99% pour les sociétés exploitantes, il n’est pas certain que Madagascar sorte gagnante de l’exploitation des sables bitumineux, une activité qui est de plus extrêmement néfaste pour l’environnement.
Dans le partage des richesses pétrolières de Madagascar, s’il y a un gagnant, on ne peut pas dire que ce soit l’État malgache, mais plutôt le groupe français Total, et, dans une moindre mesure, d’autres sociétés pétrolières de plus faible envergure, dont Madagascar Oil.
En effet, c’est une véritable braderie qui a été faite en faveur de ces entreprises, l’État ne demandant, pendant 10 ans, qu’1% des recettes liées de l’exploitation de ces richesses pétrolières, ce qui laisse 99% du gâteau aux sociétés exploitantes, d’après les informations publiées sur le site Mediapart.
Si Total est le grand gagnant, c’est qu’il a acquis 60% du plus grand gisement de pétrole non conventionnel de la Grand Ile, à savoir celui de Bemolanga, qui pourrait produire jusqu’à 1,2 milliards de barils. Cette énorme part du gisement a été achetée par Total moyennant la somme de 100 millions de dollars, et les opérations de forage ont commencé depuis juillet 2009.
De son côté, la société Madagascar Oil se concentre majoritairement sur l’exploitation du gisement de Tsimiroro, dont les réserves sont estimées à un milliard de barils. L’exploration de ce bloc pétrolier est financée par le succès de l’introduction en bourse de la jeune société, cotée sur le marché de Londres depuis novembre dernier.
Madagascar doublement perdant
Avec seulement 1% des recettes, le pays ne profitera pas beaucoup de la manne financière que représentent les sables bitumineux. En revanche, il devra en supporter les coûts, notamment écologiques. En effet, le sable bitumineux est une forme semi solide de pétrole mélangé à de la terre, dont le captage nécessite une consommation folle d’énergie. L’empreinte carbone suscitée par cette exploitation sera donc conséquente, et le danger couru par la biodiversité locale est plus que sérieux.


courrierdemada 28/12/2010
Andron’ny fety : 800 Ar ny vidin’atody - Liva R.
Raha toa ka 350 Ar na 400 Ar teo ho eo ny vidin'ny atody amin'ny andavan'andro, dia tafiakatra hatramin'ny 700 Ar sy 800 Ar izany tamin'ny marainan'ny 25 Desambra teo, izany hoe arakaraky ny mpivarotra.

Nilaza ireo mpivarotra fa vitsy ny atody ka izany no mahatonga ny fiakaram-bidy, tsy maintsy mividy anefa ny olona satria rehefa vanin' andron'ny fety tahak'izao dia tsy maintsy mila atody ny isan-tokatrano, na hanaovana sakafo, na hanaovana mofo mamy, sns... Raha ny tafa izay nifanaovanay tamin'ny mpivarotra iray ary dia nilaza izy fa saika ireo Hotely lehibe sy mpivarotra mofomamy no tena manangona ny atody mialoha, hany ka vitsy sisa misy eny an-tsena amin'ny andron'ny fety. Tsy dia nandeha ihany koa ny tsenan'ny akoho amam-borona noho ny halafosany, ka maro ireo nirona tany amin'ny akoho atavezina.
Nahampanan-karena tampotampoka mihitsy ny vidin' atody tamin'ny andron'ny fety teo, satria dia niakatra avo roa heny amin'ny vidiny amin'ny andavan'andro ny vidiny. Samy nanao izay saim-patany ireo mpivarotra tamin'ny vidin' entany, nisy ireo nanao 600 Ar, nisy koa ireo nanao 700 Ar, ka ny lafo indrindra tamin'izany dia 800 Ar. Maro tamin'ireo mpiantsena ary no nilaza fa "fantatr'ireo mpivarotra tsara fa tsy maintsy mila atody ny olona rehefa fety ny andro, hany ka dia araraotin'izy ireo ny mampiakatra ny vidiny". Maro tamin'ireo mpivarotra atody ary no lany entana vao maraina, nisy ihany koa ny efa kely sisa ny tao 
anaty arony, hany ka dia tena nanano sarotra ny nitady atody nanomboka tamin'ny 10 ora sasany teo ho eo noho ny fahamaroan'ny mpividy. Raha nanontany an' ireo mpivarotra ihany koa anefa izahay dia nilaza izy ireo fa hatrany am-potony mihitsy no niaka-bidy hany ka voatery ihany koa izy ireo nampiakatra ny azy, nanamafy ihany koa izy ireo fa herin'andro mialohan' ny fety dia efa somary niakatra tsikelikely ny 

Tsy takatry ny kely vola ny atody !

vidin'ny atody. Marihana etoana fa ny mpivarotra iray dia mahalafo atody 800 ka hatramin'ny 1000 isa isa'andro tato anatin'ny fety, mbola hiakatra ireo, hoy ireo mpivarotra, amin'ny faran'ny taona, satria eo no tena betsaka ny manao mofo mamy sy sakafo maro.
Niaka-bidy ihany koa ireo akoho amam-borona !
Araky ny efa mahazatra ny Malagasy moa rehefa andro fety tahak'izao dia mamono akoho na vorona. Tsy dia nandeha anefa ny tsena raha ny nambaran'ny mpivarotra taminay, noho ny halafosany. Raha ny akoho ary dia manodidina ny 8000 Ar ka hatramin'ny 16.000 Ar ny vidiny iray, io indray dia arakaraky ny halebeny. Io halafosam-bidiny io ary no nambaran'ireo mpivarotra fa mampalaina ny mpanjifa hividy azy. Nandeha kosa anefa ny tsenan'ny akoho atavezina, satria dia saika nirona tamin'ireny ny olona, noho izy mora vidy sady mora masaka, raha ny an'ity farany mantsy dia manodidina ny 6500 Ar ka hatramin'ny 7000 Ar ny 1Kg.


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La Recette du jour

 Comment  la préparer ?  ( ...

lagazette-dgi.com 31/12/2010
Exploitation de Bemolanga: Un désastre écologique - D.R 
Bien que Total ait contribué à l’installation du régime actuel qui serait favorable à son projet d’exploitation de sables bitumineux dans la Région Melaky, il est probable, de l’avis des analystes, que les campagnes internationales contre Total et leur bilan social et environnemental pourraient bien se développer. 

Dans ce cadre, Stainsby Macdonald rappelle qu’en 2008, Total a acheté une participation de 60% dans le domaine des sables bitumineux de Bemolanga, une filière réputée devant produire quelque 200 000 barils par jour.
Mais note-t-on, du fait que le sable bitumineux est moins pur, son exploitation va générer des catastrophes écologiques caractérisées par des résidus les plus toxiques et dont le traitement nécessite l'utilisation de grande quantité d'eau.
Et autre envers du projet Bemolanga : même 20 ans après le début des opérations, Madagascar ne devrait recevoir que 1% des paiements de redevances. D’aucuns n’excluent que gouvernement actuel voulait «renégocier» les contrats permanents et les licences avec Madagascar Oil. En ce sens que le ministère de tutelle a indiqué qu'il est intéressé à acquérir auprès de la Société toutes ses licences à l'exclusion de Bemolanga.
Total, dans ce contexte, indique-t-on, n'a pas subi de telles pressions. De la sorte, il est avancé qu’avec Total, tout va bien. Bemolanga, faut-il souligner, est le bloc d'exploration qui est détenue en majorité par Total.
De tout ce qui précède, on laisse entendre que dans la région Melaky, qu’en plus des problèmes de déforestation 

et des feux de brousse, s’ajoutent ceux causés par les exploitants pétroliers : problème social, délocalisation de la population, désertification, et autres dégâts écologiques.
En attendant d’y voir un peu plus clair, l’on annonce que Total a déjà procédé au déplacement des gens qui y ont vécu pendant des générations, dont certains appartiennent à la catégorie des plus pauvres dans le pays.
Le projet Bemolanga couvre une superficie d’environ 6.500 kilomètres carrés et contient des accumulations de sables bitumeux développables par technologie minière et évaluées à plus de 10 milliards de barils à la suite des campagnes de forage réalisées, explique Total. En outre, la compagnie a déjà expliqué deux ans plus tôt, qu’elle se développe ainsi sur le segment des huiles lourdes nécessaires à l’approvisionnement des marchés mondiaux dès la prochaine décennie .


Jeune Afrique 30/12/2010
"TGV", la voie royale ?
Nouvelle République, nouvel hôtel de ville, marche royale et promesse de jours meilleurs... Andry Rajoelina ne mégote pas sur les symboles. Le message lancé est clair : l’homme providentiel, c’est lui ! Reste à savoir s’il sera candidat à la présidentielle de juin 2011.
Quand ils ont entendu l’information à la radio, le 10 décembre à l’heure de la sieste, certains chefs d’entreprise ont d’abord cru à une blague. Puis ils se sont renseignés auprès de la présidence. Et, une fois le combiné raccroché, se sont laissés aller à quelques jurons… « Oui, demain sera bien un jour chômé et payé », leur a-t-on confirmé. Dorénavant, il en sera ainsi chaque 11 décembre, « jour d’anniversaire de la promulgation de la IVe République », selon le décret publié à cet effet.

Ce samedi-là, le président de la Haute Autorité de la transition (HAT), Andry Rajoelina, ne s’est pas contenté de proclamer ouverte la nouvelle République, dans le palais de Iavoloha, accompagné de sa femme, Mialy. En visitant quelques minutes plus tard le chantier du Palais de la reine, détruit par un incendie en 1995, en rejoignant à pied la place du 13-Mai, entouré de mpiantsa (des chanteuses royales) et de mille guerriers, reconstituant ainsi un fragment de la légende de Radama 1er (le premier souverain d’une Madagascar unifiée), et en inaugurant le nouvel hôtel de ville, la « fierté » des Tananariviens, détruit par les flammes en 1972, Rajoelina a lancé un message fort à ses concitoyens : l’homme providentiel, c’est lui !
« Ce n’est pas la nouvelle Constitution qui a été fêtée, ni l’hôtel de ville, c’est Andry Rajoelina », persifle un membre du Congrès de la transition. Pour lui, « Rajoelina a tiré un trait sur sa promesse du mois de mai », lorsqu’il avait déclaré qu’il ne se présenterait pas à l’élection présidentielle de juin 2011. Après cette démonstration élaborée par le président lui-même en moins d’une semaine, plus personne n’en doute à Tana. « Il ne fait pas ça pour rien, concède un de ses plus proches conseillers. Je crois qu’il va se présenter. »
La communauté internationale fait tout pour s’y opposer. La France, qui l’avait poussé à faire cette promesse en mai, et les États-Unis sont sur la même longueur d’onde – et le lui ont fait savoir. « Il 

Au centre, le chef de l'État malgache et son épouse, Mialy, le 11 décembre.© Direction de la communication à la présidence de la HAT. 

ferait une grosse erreur, il se mettrait tout le monde à dos », estime un diplomate, alors que la plupart des représentations étrangères ont boudé les festivités du 11 décembre.De nature optimiste, ce dernier s’accroche à une confidence que Rajoelina aurait faite récemment, d’abord à l’ambassadeur français, puis à son homologue américain. « Il leur a dit que son intérêt était de laisser planer le doute le plus longtemps possible, car le jour où il n’est plus candidat, il est fini. » Mais ce diplomate est forcé de constater que « le train est parti » et qu’il sera difficile, désormais, de le rattraper. « Rajoelina n’est pas surnommé TGV pour rien, c’est un fonceur, quand il a décidé quelque chose, plus personne ne peut le faire changer d’avis », confie son bras droit, Augustin Andriamananoro. Surtout, « il n’est plus naïf. Il a signé [les accords de] Maputo, Addis-Abeba, il a annoncé sa non-candidature, mais rien de ce qu’on lui avait promis en échange n’est arrivé. Il a compris qu’il ne peut compter que sur lui-même ».


Les Nouvelles 30/12/2010
PASSERELLE INTERNATIONALE UNIQUE : Le gouvernement persiste et signe - Nasolo R.
S'achemine-t-on vers un bras-de-fer entre l'Etat et les opérateurs en téléphonie mobile ? En effet, alors que ces derniers se disent résolument contre la mise en place d'une passerelle internationale unique leur imposant de faire transiter les communications internationales par cette passerelle via une société privée, l'Etat a réaffirmé sa volonté de mettre ce projet à exécution.
Hier à Anosy, le premier ministre, Camille Vital, a maintenu que la passerelle verra bel et bien le jour. «Ainsi ont réagi les opérateurs. Ils pensent à leurs intérêts et c'est tout à fait normal. Mais nous, nous pensons à l'intérêt de la Nation », a-t-il fait valoir.
Pour rappel, dans un communiqué conjoint, Orange, Airtel et Telma ont estimé qu' «En voulant imposer une mainmise sur les communications internationales entrantes et sortantes, et en attribuer la gestion à une société privée, le gouvernement instaure une situation de monopole qui remettra en cause tous les principes de libéralisation fondés sur la libre concurrence».
Pour eux également, «Ce projet est strictement contraire aux principes résultant des conventions internationales sur la télécommunication, notamment de la convention de Melbourne de 1988 portant règlement des télécommunications internationales signées par l'Etat malgache».
Malgré ces arguments avancés par les opérateurs, l'Etat ne semble donc nullement décidé à faire machine arrière.


Express Mada 28/12/2010
Électroménager : Fortunes diverses pour les magasins - Judicaëlle Saraléa
Les magasins d'électroménager ont, pour la plupart, effectué des promotions spécial fêtes de fin d'année. Mais ce n’est pas le cas de tous.
A chacun sa part de marché. En général, les fêtes de fin d'année représentent une occasion pour les magasins d'écouler leur stock. 

C'est aussi un moyen de présenter les nouveaux produits à la clientèle. Pour le cas de l'électroménager, des magasins évoquent une grande satisfaction. Les clients ont répondu présent et plusieurs produits ont pu être vendus en un court laps de temps. 
« Le fer à repasser, le robot, le four électronique et le micro-onde ont eu beaucoup de succès. Nous avons effectué une réduction spéciale de 10 % et, chez nous, tous les prix sont discutables. Cela a joué en notre faveur », rapporte Lala Niaina, elle travaille dans un magasin d'électroménager à Soarano. 
Promotion
Beaucoup de personnes ont, en effet, voulu profiter des promotions pour faire leurs achats. Tel est le cas de Malalatiana Tsiferana.
« Mon robot est déjà très vieux. Je devais déjà le changer il y a quelque temps mais comme je sais que les magasins font toujours une réduction à la fin de l'année, j'ai voulu attendre ». Certains préfèrent, par contre, patienter pour le mois prochain comme le cas de James Ranarivelo. « Je suis venu en repérage. Au mois de janvier, le prix sera encore moins cher. Les gens auront dépensé leur argent pour les fêtes et les magasins seront obligés de descendre leurs prix ». 
Mais la satisfaction n'a pas été partagée par tous les magasins. Beaucoup ont enregistré une baisse importante de bénéfice par rapport à l'année dernière. Selon leur explication, les clients n'ont pas trop 

Les appareils électroménagers intéressent en ces fêtes de fin d’année.

investi dans l'électroménager. Apparemment, ces derniers n'osent pas effectuer de grosses dépenses, vu que Madagascar est en état de crise. « Les clients essaient d'épargner pour faire face à une éventuelle conjoncture, si jamais la situation dégénère », indique un propriétaire d'un magasin au centre-ville.


Midi Mada 28/12/2010
Communauté internationale : Contre les candidatures des 4 chefs de mouvance ! - R. O 
De la Commission de l'Océan Indien (COI) aux Etats-Unis, en passant par la France, la communauté internationale est unanime à reconnaître que la feuille de route de sortie de crise à Madagascar passe par la voie des urnes. 

« Des élections libres, fiables et transparentes, acceptées par toutes les parties et soutenues par la communauté internationale. Et qui devraient se tenir dans les plus brefs délais », selon les termes de la résolution sur les situations de crise, de sortie de crise et de consolidtaion de la paix dans l'espace 

francophone, issue de la XIIIe conférence à Montreux (Suisse) des Chefs d'Etat et de gouvernement des pays ayant le français en partage.

Charte.

 A propos d'élections, la COI, dans le cadre d'un accompagnement international du processus de sortie de crise à Madagascar, estime que l'une des « conditions d'apaisement du climat politique est la confirmation par Andry Rajoelina, président de la transition, de ne pas se présenter à l'élection présidentielle (engagement pris devant la nation malgache le 12 mai 2010). La France va dans le même sens en préconisant la « réaffirmation officielle de l'engagement du Président Andry Rajoelina à ne pas faire acte de candidature, conformément au principe de la Charte Africaine de la Démocratie (art 25) sur 

« les auteurs de changement anti-constitutionnel de régime ».

Neutre. 

Pour la « restauration de la démocratie à Madagascar », les Etats-Unis estiment également que « M. Rajoelina devrait reconfirmer publiquement son engagement de mai 2010 de s'abstenir de se présenter aux prochaines élections législatives ou présidentielles. Pour Rajoelina, participer en tant que

candidat aux élections serait contraire à l'article 25 (4) de la Charte Africaine de la Démocratie, des Elections et la Gouvernance ». Et les Etats-Unis d'ajouter même que « M. Rajoelina devrait également s'engager à ne pas soutenir activement ou publiquement tout candidat ou tout parti aux prochaines élections. Tout soutien à un candidat ou à un groupe de candidats serait incompatible avec le rôle d'un gouvernement de transition neutre ».
Contrepartie. 

Dans le même ordre d'idée, les Américains préconisent aussi que « les dirigeants des trois autres mouvances devraient prendre des engagements similaires à ne pas se présenter comme candidats aux prochaines élections et ne pas soutenir un candidat ou un groupe de candidats ». En contrepartie, le gouvernement malgache issu des élections devrait s'engager à ne pas actionner des représailles contre les chefs des 4 mouvances (Rajoelina, Zafy, Ratsiraka, Ravalomanana) pour les méfaits qu'ils auraient commis alors qu'ils étaient chefs de l'Etat. Selon le document « Restoring Democracy in Madagascar », « cette mesure serait prise dans l'intérêt de la réconciliation nationale, et peut prendre la forme d'une amnistie générale, l'immunité, le pardon ou toute autre mesure appropriée déterminée par le nouveau gouvernement malgache démocratiquement élu ». Les 4 chefs de mouvance ne seront pas toutefois inéligibles définitivement. « Ils seraient libres de participer à toutes les élections ultérieures hormis celles organisées prochainement pour le retour de l'ordre démocratique ».
Experts.

 La CENI est également remise en question. « Une véritable Commission Nationale Indépendante Electorale restructurée doit être mise en place pour préparer et administrer les élections », selon les Américains. Pour ces derniers, « pour assurer la transparence et la neutralité, la CENI doit être dirigée par un technocrate international (nommé/proposé par l'UA) et doté d'un groupe mixte d'experts techniques malgaches et internationaux ». Même souci côté français où l'on parle de « garanties du bon déroulement des scrutins par une recomposition de la Commission Electorale Nationale Indépendante faisant une large place à toutes les sensibilités politiques et ouvertes aux experts internationaux ». De même, la Commission de l'Océan Indien juge indispensable, « un encadrement du processus électoral par la communauté internationale avec un réaménagement de la CENI ». Une condition qui risque de laisser plus d'un ...COI

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