Cliquez ...Vôvô Mada

MadaVôvôô

Last minute du dernier MadaVôvô.... Cliquez

voir

Revenir aux Editos du jour >>

                                        ...Liste de  tous les Editos >> Les Archives de MadaVôvô                                 ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>

Editos  d'Aout  2007 ... (4) 

- « Plaisir du vin au creux du Médoc ... ...  »     08104   17/08/2007 ( Marie Hélène Rabefaniraka de Bordeaux  )

- « Le Développement Durable ??? ... »     08103  13/08/2007 (Raymond Rakotomamonjy d'Ambohidratrimo) 

- « BIZOURK ... Le bel Italiano de Roma ? ...  »     08102   09/08/2007 (Shoan  )

- « Adin'akoholahy hoe ? Kilalao no harena ... »     08101   03/08/2007  (Mbelo- Razafimbelo Honoré de Soanierana Tana )

Editorial :"Plaisir du vin au creux du Médoc ... "    08104    17/08/2007 

      Le 45ème parallèle traverse le Médoc, situé entre l'Océan Atlantique et l'estuaire de la Gironde, dans le sud-ouest de la France. Situé dans le Sud-Ouest de la France, dans la région de Bordeaux, le Médoc possède quelques-uns des crus les plus prestigieux de vin rouge.

     « Il y a plus de philosophie dans une bouteille de vin que dans tous les livres »  (Louis Pasteur)

   Au pays du Bordelais, le vin est un art de vivre à découvrir au fil de promenades, de séances d'initiation ou de dégustation, ou encore autour d'une bonne table. 
     Depuis 2000 ans, la vigne modèle avec ordre et méticulosité les paysages du Bordelais. Présente sur la moindre parcelle propice à sa culture, dans les vallons ombreux et les clairières de pinèdes, sur les coteaux et les plateaux, autour des demeures et des églises, jusqu’au cœur même des villes et des villages. 
     Entre châteaux et bastides, vastes propriétés et petites parcelles, chaque terroir du Bordelais est le fruit unique d’un climat, d’une topographie, d’une géologie et d’une histoire viticole. L’écrin d’une promenade d’une richesse exceptionnelle et toujours renouvelée.
     Chaque saison modifie la palette des vignobles. Il y a les inconditionnels de l’automne et du temps des vendanges. Ceux de l’hiver, œnologues amateurs qui souhaitent éviter les foules et participer, en toute tranquillité, à des visites avec dégustation pour enrichir leurs caves. Au printemps le vert tendre règne en maître et l’Océan se fait plus bleu. Les roses fleurissent (on les plantait jadis près des vignes pour que les parasites, s’attaquant d’abord à elles, avertissent les viticulteurs du danger). L’été est la saison de tous les plaisirs : ceux de la mer après ou avant les visites et dégustations. 
    
Première région d'appellations d'origine contrôlée de France, le Bordelais représente 13% du vignoble français et 1,5% des vignes cultivées dans le monde. Rouges, blancs secs, blancs doux ou rosés, les vins de Bordeaux sont classés en 57 appellations d'origine contrôlée (43 si l'on ne tient pas compte des couleurs du vin) qui identifient le vin par la localisation de sa région de production et constituent une assurance de qualité pour le consommateur.

...le Dossier Cliquez-ici

      Car, au-delà de leurs dénominateurs communs qualitatifs, historiques et climatiques, les vins de Bordeaux offrent une mosaïque de saveurs et de plaisirs due autant à la diversité des terroirs et des cépages, qu'à la maîtrise des techniques d'exploitation de la vigne et des méthodes de production du vin.
   Chaque vin de Bordeaux est le fruit conjugué d'une nature bienfaitrice et de gestes minutieusement sélectionnés et exécutés.
Les 120.000 hectares de vignoble Bordelais ne comptent pas moins de cinq routes des vins :
         ... Le Dossier  Cliquez-Ici >>

                                     Marie Hélène Courroy-Rabefaniraka (Baby) de Bordeaux  

Les Traductions par l'Auteur (FR), Lanto Rakotonandrasana (GB) et Manantsoa Andriamiarina (MG)

 Les Traductions :

 ... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Baby  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance !          ... ... Lister  tous les Editos  >> 

Pour un tourisme facteur de diversité culturelle

 et de développement durable...

Edito:"Qu'est-ce le Développement Durable ? une vision de l'avenir ... " 

                                                 08103    13/08/2007 

"Nous n'héritons pas la terre de nos ancêtres, nous l'empruntons à nos enfants" Saint Exupéry

       Le développement durable a 20 ans. Le 4 août 1987 était présenté à l’ONU un rapport fondateur : «Notre avenir à tous». 

       Aujourd’hui, alors qu’on parle beaucoup de développement durable , 58,5% des Francais en ont entendu parler . Seuls 16% d'entre eux savent réellement ce que cela  signifie.  (Sondage Louis Harris, juin 2005)

       Les problèmes environnementaux planétaires comme l'appauvrissement de l'ozone stratosphérique, les changements climatiques, la diminution de la biodiversité et certaines pratiques d'exploitation forestière nous poussent à apporter des changements dans nos comportements et nos stratégies économiques. Il y a des gestes simples que tout le monde peut faire pour aider la planète.

        L' Historique : Le Développement Durable est une idée ancienne pour un concept nouveau.
         La présentation du rapport de la Commission Mondiale sur l'Environnement et le 

Développement, connu sous le sigle CMED a marqué le début d'une nouvelle étape, nécessaire pour la croissance et le développement du monde entier, ainsi que pour les politiques de l'environnement.

 

     La Commission BRUNTLAND a été la première commission internationale officielle à adopter la notion du Développement durable, en tant que condition préalable dans la pérennisation des ressources naturelles et du développement.

=> Depuis plusieurs années, autrement avant les années soixante, le monde avait pensé que les ressources naturelles, ainsi que les matières premières nécessaires au développement social et économiques sont intarissables. L'idée d'une forte croissance économique allait envahir les politiques de développement du monde. Ce fut l'ère du gaspillage, de la forte consommation et aussi de la pollution.

Les ressources naturelles ont été considérées comme des biens gratuits, car elles n'ont pas de valeur économiques. 

=> Parallèlement à ces fortes croissances économiques, un grave problème se pose, certaines ressources naturelles commencent à disparaître ou bien à être rares sur la planète. La pollution commence à s'amplifier et à perturber l'équilibre écologique et même du système climatique, et autres. Beaucoup des activités économiques ont généré de la pollution ou bien à laisser des POPs ( des Polluants Organiques Persistants dans la nature). Ces POPs ont laissé des traces indélébiles dans beaucoup de générations humaines exemple le DDT, laisse des traces dans les seins des mères et des poissons d'eaux douces,. Les appareils modernes dégagent des gaz qui détruisent la couche d'ozone.
=> Les activités économiques ont faits des uns des riches sur la planète, mais ces activités ont perturbé les ressources naturelles et ont laissé des victimes, ce sont les générations futures. Ces activités ont laissé des pollutions graves. Le Développement de ces générations sont mises en causes.
=> Grâce à la prise de conscience de plusieurs organismes, nationaux et internationaux, plusieurs actions ont été mises en place pour faire prendre conscience les entreprises et ainsi que toute la population dans la préservation de nos ressources naturelles et aussi d'éliminer progressivement les pollutions qui sont générées par leurs activités.
=> Madagascar est parmi les nations qui partent pour la préservation des ressources naturelles et de lutter contre la pollution. Grâce au programme environnemental qui est en vigueur depuis 10 ans.  

      Quatrième plus grande île du monde et faisant partie des 17 pays dits "à mégadiversité", qui abritent 80% de la diversité biologique de la planète. ( Fonds pour l'Environnement Mondial, 2003 ), Madagascar est un sanctuaire de la nature...  qu'a-t-on déjà fait et que doit-on encore faire pour préserver son environnement et préserver une nature qui constitue un patrimoine pour l'humanité.      ...lire le Dossier  ... Cliquez-ici  >>

                           Raymond Rakotomamonjy d'Ambohimanarina

... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Raymond  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance !

L'Edito : "BIZOURK ... Le bel Italiano de Roma ? " 08102    09/08/2007 

    Vous avez tous entendu parler du "Free Hugs", mais connaissez-vous le BIZOURK ?

En fait ... Je vais tout vous dire...
   J'ai fait la connaissance d'un beau jeune homme qui vit en Italie  ... et que j'ai surnommé le Bel Italiano de Roma ...

Aspetta ... Aspetta ... J'ai voulu le garder secret quelques temps mais en fait, tout le monde a pu le découvrir car en me laissant des messages sur mon blog et mes livres d'or, il s'est dévoilé !

Il a trahi mon secret ... lol ;-)

     Il a "signé" en laissant son nom, son adresse mail et l'adresse de son blog et son site. Heureusement que j'ai son adresse vraiment "perso" moi hihihihi ... Sorridere e Vivere ...

Oui, Oui, c'est bien lui ! ... Celui qui a comme devise   "Tsiky dia ampy" ...

     A travers ces mots, à travers ses mots, il m'a fait comprendre la vraie signification de sa devise ... "Tsiky dia ampy"    Sorridere... e Vivere

     J'en ai tiré ces citations : "Le sourire que tu envoies revient vers toi"

"Nous ne saurons jamais tout le bien qu'un simple sourire peut être capable de faire."

     Il s'appelle Heriniaina ... Hery ... 

Prénom prometteur direz-vous ? Force de la vie , Force ... Rien que ça ...

Et, il est celui par qui, le BIZOURK a fait, fait et fera encore le tour du monde ...

     En fait, le vrai terme est "biz'oroka" Comme bises en français et oroka en malgache...

Et comme ça se dit et se lit Bizourk' ... moi j'en ai fait des BIZOURK ... Tout simplement ...

      Il s'agit de distribuer et/ou de recevoir des BIZOURK  à travers le web ....

Et ceci via le site www.serasera.org ... dont il est le fameux webmasitera !

Alors, faites comme moi ... consommez, distribuez, abusez des BIZOURK !!!!!

Rendez-vous dans la rubrique "hanome biz'oroka" de www.serasera.org/namana

   Voici une explication by Hery pour ceux qui comprennent le malgache :

Ny fanomezana biz'oroka dia fomba anakiray hampisehoanao fankasitrahana na fitiavana ny namana anakiray. Tsapany fa misy mahatsiaro izy. Ary ny fanomezana biz'oroka azy matetika dia hahatonga azy hiakatra hatrany ao amin'ny lisitry ny namana be mpitia ao anatin'ny volana iray. Azonao asiana hafatra miaraka amin'izany biz'oroka omenao azy izany.       Jereo eto : [  Namana be mpitia   ]

 

      En attendant le retour des vacanciers ... Souriez ! ... Tsiky dia ampy ! Sorridere e Vivere... Grazie Mille Hery ...

Un sourire, se donne et se reprend.
Un sourire, s'offre ou se refuse.

Et en un instant,

Un sourire peut suspendre le temps

Et ... sourire à tout vent, moi ? cela m'amuse !
Comme un soleil en une journée sombre,
Comme une emblème qui estompe les ombres.

Sourire, c'est telle une promesse...
Promesse d'un nouveau monde !
Un sourire, c'est telle une caresse ...
Telle une lumière qui nous inonde.

Alors ... mon sourire je te l'offre avec bonheur, 

Ce sourire, je te le donne de tout coeur ...

Sourire, Bonheur ... Chaleur ... Couleurs ... , 

Te sourire est mon soleil ... ,  Ton sourire m'émerveille...                                ...  suite Klikeo eto >>  

de Normandie pour rainizafimanga.com

 et tous les internautes

 ... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Shoan  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance ! 

Eugène Heriniaina

le fameux webmasitera de serasera.com !

    L'Edito : "Combat de coqs, dites-vous?  Jeux et Richesse ... " 08101    03/08/2007 

       Le combat de coqs, de nos jours (d’antan aussi paraît-il) , s’inscrit dans les annales de la vie sociale courante des malgaches. Il s’agit ici d’un vrai combat organisé et non d’un simple accrochage fortuit entre deux gallinacés du quartier. Organisé car des détails on en tient compte : en commençant par bien connaître la race des coqs, passant par les soins quotidiens à eux prodigués et aboutissant soit à la fin du parcours si l’animal meurt au combat, soit à la prochaine étape en cas de victoire… Ce n’est pas un jeu mais vraiment un duel : physiquement pour les oiseaux et pour les propriétaires et autres supporters antagonistes, décliné en joutes oratoires. Les spectateurs, ici plutôt formés de la gente masculine, forts en verbes et gestes de défi, ne sont point de tout repos durant le match.

   Où et quand ?
     A l’échelle du pays, on ignore le nombre exact de terrains de combat. Appelons-les « stade » car déjà bon nombre disposent d’un minimum d’infrastructure comme la clôture, toiture, banc pour les spectateurs et même si l’accès est encore gratuit. A Antananarivo et ses environs, on peut citer les endroits suivants : Antsofinondry, Ambohimanarina, Ambatoroka, Vinany, Ankaditany, Tanjombato, Antaninkatsaka, Analamahitsy, la nouvelle route dite « By Pass »,…Les « rendez-vous » en ces lieux s’organisent régulièrement les week ends et les jours fériés. A Antsofinondry cependant, un arrêt est observé en octobre et reprend peu de temps après. Il est clair qu’il faut respecter le cycle biologique de l’animal : lors des mues et éventuellement quand il est malade, occasions qui l’empêchent de se livrer au combat. 
  
Quelle race ?
    Les vrais connaisseurs distinguent bien les races de volailles : mavolamba, kalamainty, kalamena, kalalantitra, kanety, malaho, bruce lee (eh oui !), lita kely, tsilaizina, taolana, tariby, poizina, sakay, kalamalemy, kômety, taralila, mandoro, pikasoa. La concurrence oblige, le propriétaire d’une poule de race ne s’en

dessaisit pas facilement pour ne pas disséminer l’espèce, exception faite cependant avec l’emprunt consenti avec un ami de confiance. Avec quelqu’un de très porche, une poule est cédée à minimum 20 000 ar. Un coq vainqueur se vend facilement à 500 000 ou 600 000 ar. En matière d’amélioration de la race, des croisements sont réalisés mais le résultat ne s’obtient qu’après une année. Des idées se dessinent quant à l’introduction de races étrangères pour régénérer ce qui existe localement mais la menace de la grippe aviaire fait frein à un tel plan.
  
Et l’entretien ?
   Comme tout moyen de production, le coq bénéficie d’un soin particulier depuis son jeune âge. Il est de la vaccination contre les maladies (peste, cholera, variole), l’utilisation d’autres produits comme les vermifuges. Le coq commence à chanter à 7 mois et à partir de là, il faut bien le surveiller pour en faire un vrai combattant. On peut essayer de le « tester » avec des combats très légers ; si les indices le montrent potentiellement doué, les soins sont renforcés : alimentation, santé, exercices physiques, légers massages du corps à l’eau chaude et froide…comme on prépare un athlète. En fait le coq a besoin d’espace pour marcher à longueur de journée mais il faut faire attention aux voleurs si on lui laisse le champ trop libre !
  
L’heure du combat sonne
    D’abord les parieurs s’entendent sur la mise qu’on donne au juge ; le coq est inspecté (enduit d’un quelconque produit ? ergot naturel ?) Le poids et la taille importent peu car les qualités combatives du sujet n’en dépendent pas. L’arbitre siffle le début du match et seuls lui et les deux « jockeys » restent dans l’arène. En cas de sortie du ring, on donne une minute pour réconforter les combattants : ventilation, mettre de la salive sur les plaies, bref diminuer les douleurs. La durée du combat est de deux heures au maximum.
    En cas de d’échec du protégé, son propriétaire (et ses alliés) ne reçoivent rien amis doivent payer la location du terrain. Le partage du gain s’opère avec beaucoup de calculs quand le coq sort vainqueur : 3% pour le « hofan-tany » (littéralement location du terrain), 5% pour le coq (il y des cas où le propriétaire ne participe pas au pari mais se contente de louer son animal), et le reste réparti entre l’équipe gagnante. En cas de combat égal, soustraction des frais communs et distribution du reste entre les membres de chaque équipe. Dans tous les cas, le propriétaire, qu’il mise ou pas, reçoit toujours quelque chose en cas de victoire ou d’égalité.

    En général il faut observer un repos de trois semaines avant la reprise des combats , période de soins et de surveillance.
   En bref
"C'est évident que le combat de coq se tourne vers le côté lucratif. Mais toujours est-il que le succès dépend largement de l'effort consenti, comme toute chose d'ailleurs. Le hasard n'est pas de mise ici car un coq de bonne race ne donnera pas les meilleurs résultats tant qu'on ne lui prodigue pas les soins et entretiens nécessaires. Le collectif existe pour l'élevage de la race chevaline, de même pour la race canine, qu'en est-il des coqs de combat? Est-ce que tout mouvement de dynamisation de cette discipline pourrait-il susciter des discussions au sein de la société? A nous tous d'y répondre."
       « Adin’akoholahy ambony fasika, ny resy disadisaka, ny mpandresy torotoro » (un combat de coqs sur le sable : le vainqueur fatigué, le vaincu terrassé)  (A cause du sable qui gène les  deux belligérants)

     Formulé par Mbelo sur les propos recueillis de M. Kiki à Soanierana-Antananarivo     ...  Le Dossier...  Klikeo eto >>

                              Mbelo- Razafimbelo Honoré de Soanierana Tana

Traductions par l'Auteur

 Les Traductions :

... Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Mbelo  a répondu à notre appel de publier des Editos, maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women. Merci d'avance !  

***

RETOUR AU SOMMAIRE  des MadaVôvô

 Accueil du site ARR

Accueil du site Rainizafimanga

  Accueil du site d'Animation ARR