Madavôvô 2004  

L'Année 2004 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Le 26 Juin 2003   l'ARF a soufflé ses 3 bougies...

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Raharaha Zaraniaina.... ;  Cacao de Mada... ;  Rassembleurs et Dynamiques... ;  Savoir vivre sur le web...  ;  200 Milliards pour le secteur public... ;  Air mad renforce sa flotte... ;

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent

Sommaire Madavôvô: 05 Décembre 2004

1. Des abus dans les modalités d'échange des anciens billets de 10.000 et 25.000 fmg (Nosintsika)

2. Un crédit-logement pour les membres de la dispora malgache en France, à la Réunion et Mayotte (Madamaki)
3. Le paludisme touche un à deux millions de personnes par an à Madagascar(Madamaki)

4. Une maman d'origine malgache condamnée  (Madagate)

5. Billets de banque:Confusion totale ! - Paris (Madagate)

6. No Comment.... No Comment...

7. Coutiti et Balbine doivent à l’Etat environ 500 millions fmg (Midi)

8. 2 malgaches arrêtées pour trafic d'héroine Auteur (Sobika)

9. Madagascar: saisie de plus de 2 tonnes de viande fumée de tortues radiées (Sobika)

10. Les billets Zafy Albert de 10 000 et 25 000 fmg n'ont plus cours à partir aujourd'hui (Les Nouvelles)

11. Main Basse sur le riz (Nosintsika)

12.L'UE débloque 300 000 euros en faveur des paysans malgaches(Madamaki)

13. Le Crédit Agricole à la conquête du marché malgache (TIM France)

COURS DES CHANGES

04/12//04

EURO(cmax) 12 500 FMG 
EURO(cmin) 11 900 FMG 
EURO(cmp) 12 163 FMG 
USD 9 400 FMG 
GBP 17 608,96 FMG 
CHF 7 980,19 FMG 
JPY 88,70 FMG 
ZAR 1 565,72 FMG 
HKD 1 176,24 FMG 

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         Cliquez >> : 

1)- je dois me débarasser de mes tortues hermann car j'ai du résider en appartement et je possède les parents et les tortues petites .Les grosses je les vends 100 euros pièce et les petites 30 euros pièce.

Me contacter soit par email ou tel au 0660109097.Merci    contact: deveze brigitte

Contact:E-mail:    devezeb@aol.com

2)-adopterais tortue herman adulte femelle .merci pour mes enfants 

Contact: Foures            email: marc.foures@wanadou.fr

3)-Vends adorable chatonne Blue Tabby Point, disponible dès le mi-décembre. la chatonne sera Vaccinée, vermifugée, "pucée" avec Pedigree LOOF. Le prix est de 600 euros payables en plusieurs fois.     Contact: Nuttin Fabrice  email: physio68@wanadoo.fr

4)-  RECHERCHE TORTUE DE HERMAN SUR TOULOUSE MERCI            

 Contact: Nono   email: norbert.montaigu@wanadoo.fr

5.)je recherche 2 tortues radiata originaire du sud de madagascar tortue de tuléar bébé

     Contact: Jean  email: marseillac@yahoo.fr       

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Nosintsika 05 dec 2004

De nombreux abus des banques signalés dans l'échange des billets 
Des abus dans les modalités d'échange des anciens billets de 10.000 et 25.000 fmg
Avec le riz, c'est l'échange des anciens billets de banque de 10.000 et 25.000 Fmg contre de nouvelles coupures de même valeur faciale qui enregistre actuellement le plus grand succès si l'on se réfère à la longueur des files qui se créent auprès de chaque agence des banques commerciales.
On a beau expliquer aux gens qu'il n'y a pas le feu pour échanger ces anciens billets contre des nouveaux (l'opération étant possible jusqu'au 31 décembre 2009); mais pour une raison ou une autre, cette explication semble n'avoir aucun effet : les queues s'allongent au fil des jours, si bien que des fois, il faut bien attendre une heure ou quarante cinq minutes, au moins, pour échanger un malheureux billet de 10.000 ou de 25.000 Fmg, qui n'a plus cours légal, contre un nouveau, flambant neuf, avec en outre, pour l'échangeur, l'obligation de remplir un bordereau d'échange.
Pourquoi tant d'empressement alors que le délai ultime pour échanger ces billets est encore loin ? Il n'y a qu'une seule explication : la population ne dispose pas de liquidités, de moyens de paiement suffisants. En effet, comme les anciens billets sont systématiquement refusés par les commerçants, on est obligé d'effectuer l'échange, à chaque fois, pour faire des achats.
Si le pire était à craindre au niveau des populations rurales qui sont exposées à toutes les formes d'escroquerie dans le cadre des échanges des anciens billets contre des nouveaux, compte tenu de l'insuffisance d'explication et de sensibilisation, celles des grands centres urbains n'en sont pas moins épargnées.
Toutefois, cette exploitation se manifeste sous d'autres formes.
Presque partout, on déclare que les clients de la banque sont prioritaires pour les opérations d'échange, c'est-à-dire, ceux qui ont un compte ouvert auprès de l'agence où celles-ci s'effectuent. Encore faut-il remarquer qu'il n'y a aucune loi qui stipule qu'il faut être titulaire d'un compte pour pouvoir effectuer l'échange.
DÉCLARATION OBLIGATOIRE
Dans ce cas précis, on recommande au client d'effectuer le versement sur son propre compte, et en contrepartie, il pourra effectuer le retrait correspondant au même moment. Mais ce qu'on ne lui explique pas, c'est que, au bout du compte, il se retrouvera perdant.
Cette perte se situe au niveau de la date de valeur considérée. Effectivement, dans les versements d'espèces, la date de valeur appliquée est, au mieux, le jour du versement (le jour J), si ce n'est pas le lendemain (J+1); par contre, dans tout retrait d'espèces, la date de valeur considérée est la veille (J-1).
En fin de compte, le client se retrouve débiteur d'un jour ou deux, selon la date de valeur appliquée par la banque.
De prime abord, cela semble insignifiant.. Mais si on tient compte de la masse monétaire qui sera échangée, sans aucun doute, on peut dire que le profit de la banque commerciale sera considérable.
Par ailleurs, on notera qu'une commission est perçue lors des échanges (de 0,5 % du montant total échangé dans certaines banques commerciales). Celle-ci est surtout appliquée à tous ceux qui ne sont pas clients de la banque. Et la valeur de cette commission est fonction du montant échangé.
De même, si le montant échangé est important, une note de la Banque centrale oblige les banques commerciales à amener l'échangeur à faire une déclaration ( identité.). Pour quelles raisons ? Si aucune explication n'a été donnée pour le moment, on peut supposer que cela relève d'un souci de connaître l'origine des fonds échangés.
Ranaivo Lala Honoré 


Madamaki 01 décembre 2004

Un crédit-logement pour les membres de la dispora malgache en France, à la Réunion et Mayotte 
Logement 

Marcel Lenguin, président-directeur général de la banque Bfv/SG et Guy Toquet, président-directeur général de Getim-International ont signé hier un contrat de partenariat permettant aux particuliers de bénéficier d'un crédit-logement . La Bfv/Sg se chargera du financement tandis que Getim International s'occupera de la construction. Tous les clients de la Bvf/Sg sont concernés par ce partenariat.
Selon Maurice Thevenon, directeur des agences auprès de la Bfv/Sg, ce partenariat permettra aux particuliers d'avoir un logement sans se soucier ni du financement ni de la construction.
Par ailleurs, en vertu d'un accord passé entre la Bfv/Sg et la Bfoi de la Réunion-qui est une filiale de la Société Générale de France, les Malagches résidant dans ce département français ainsi qu'à Mayotte pourront aussi contracter des crédits auprès de cet établissement . "Il appartiendra à la société Getim International de s'occuper de la construction de leur logement à Madagascar," a-t-il souligné .
Les Malgaches, résidant en France, pourront procéder de manière analogue auprès de la Société Générale .
José Moutou, directeur général de Getim Madagascar a mis l'accent sur le fait que cette nouvelle formule de partenariat permettra à la classe moyenne d' acquérir un logement décent ."Concernant les membres de la dispora malgache en France, à la Réunion et Mayotte, ils pourront être certains d'avoir leur propre logement à leur retour au pays."
[ Source : L'express ]

Le paludisme touche un à deux millions de personnes par an à Madagascar. 
Une campagne d'aspersion d'insecticide dans les foyers, un programme plus connu sous l'appellation de CAID (campagne d'aspersion intra-domiciliaire), se tient actuellement sur les Hautes Terres centrales (HTC) à Madagascar, a-t-on appris mardi de source officielle. Cette opération, qui durera un mois, entre dans le cadre de la lutte contre le paludisme. Il s'agit de prévenir toute infection palustre dans cette zone. 
En effet, sur les HTC, zone répartie entre la province d'Antananarivo (centre du pays) et la province de Fianarantsoa (sud-centre), la transmission de cette maladie se limite à la saison chaude et pluvieuse, entraînant un paludisme saisonnier. En tout, 38 communes sont concernées par cette opération d'aspersion d'insecticide sur les HTC. Un peu plus de 450 agents sanitaires assureront le bon déroulement de cette campagne financée par l'OMS (Organisation mondiale de la santé) et l'USAID (Agence des Etats-Unis pour le développement international). 
Le paludisme est la deuxième cause de consultation, après les infections respiratoires aiguës, dans les formations sanitaires. Cette maladie touche un à deux millions de personnes par an à Madagascar. 
Dans les centres hospitaliers, deux malades succombent du paludisme par jour. Il est responsable des 13% de la mortalité des enfants de moins de 5 ans. Cette maladie constitue toujours un grand problème de santé publique, 204 ans après son identification à Madagascar.


Madagate 01 novembre 2004

Maltraitance sur enfant mineur en France 
Une maman d'origine malgache condamnée ! - Paris

Près de soixante millions de Fmg de dommages et intérêts pour l'enfant, 18 mois de sursis et quelque 6 millions de Fmg d'amendes pour le tribunal de Nimes ! Tel a été le verdict du procès de R. Lalaina Patricia, résidant à Bagnole sur Cèze dans le sud de la France. 
Fracture de crâne
Un procès qui a eu lieu suite à la plainte déposée par l'Etat français à travers l'école que fréquentait l'enfant mineur victime de maltraitance. D'ailleurs, les hospitalisations successives et le certificat médical faisant état de fracture de crâne et d'hématomes multiples et cetera ne laissaient place à aucune autre alternative.
Un fait malheureux qui alimente une fois de plus un débat de société qui est déja plus qu'ouvert en France. Un proverbe malgache est souvent cité par l'avocat du diable dans ce genre d'affaires : "Ny zaza tiana, tsy hitsitsina rotsa-kazo" (c'est l'enfant bien aimé qu'on corrige à coups de tiges d'arbre). Mais sauf erreur de notre part, nos ancêtres n'ont jamais laissé entendre qu'il était permis d'aller jusqu'à une fracture de crâne. Sans oublier que notre société a déja beaucoup évolué, qu'il y a maintenant d'autres méthodes d'éducation pour ne citer que la communication...
Mais pour cet enfant, fâcheusement, le mal est fait. Et comme ce n'est pas les quelque 60 millions qui vont le réparer, souhaitons que ses jours à venir puissent lui faire découvrir autre chose que les bêtises des adultes !
Une victime, elle l'est. Mais malgré ce qu'elle a enduré en silence, à chaque fois que le téléphone sonne, elle demande comme tout enfant : "est-ce que c'est maman ?".
[ Posté par : www.madagascar-tribune.com | 
Billets de banque:Confusion totale ! - Paris 
Pauvreté ? La Banque centrale semble contribuer aussi à la lutte. Non contre le fléau, qui frappe l’immense majorité des Malgaches, mais plutôt pour l’émission de nouveaux billets et le retrait d’anciens qui se font d’une manière totalement chaotique. La confusion est totale que personne ou presque tout le monde ne sait plus quel billet a encore cours dans le pays. 
« Le billet de 5 000 FMG est-il encore valable ? », se sont notamment demandé une multitude de gens durant toute la journée d’hier, qui fut marquée par une panique quasi-générale provoquée par l’imminence de la fin du pouvoir libératoire des anciennes coupures de 25 000 FMG et 10 000 FMG. La majorité des receveurs de bus n’ont plus accepté dès hier ces anciens billets. Il en est de même chez de nombreux épiciers de la capitale dont certains ont accepté d’échanger le « vingt » contre 24 000 FMG, la différence de 1 000 FMG servirait de frais pour l’échange du billet rouge auprès des banques. Bref, ces anciens billets ont raté leur sortie en provoquant incidents et désagréments pour de nombreux consommateurs et usagers devenus encore plus pauvres par le refus des coupures en leur possession. 
On imagine aisément ce qui se passe en milieu rural où des problèmes surgissent à chaque retrait de billets de banques. Là-bas, l’ancienne coupure de 
25 000 n’est pratiquement plus acceptée, plus particulièrement dans les localités éloignées, à cause des faux billets. Et ceux qui ont encore le malheur d’en détenir sont obligés de s’en dessaisir avec une décote de 50 % au moins. Le même système sera à coup sûr utilisé par les profiteurs pour le billet de 10 000 FMG. 
Depuis sa création en 1973, la Banque centrale a suffisamment émis des billets pour ne pas connaître ce genre de problèmes. La question est donc de savoir pourquoi cette institution n’a pas pris les mesures nécessaires pour éviter la répétition de tels phénomènes. Certes, le retrait des anciens billets de 25 000 et 10 000 FMG était annoncé depuis l’année dernière, plus précisément lors de l’émission des 10 000, 5 000 et 2 000 ariary en juillet. Mais l’annonce remonte tellement loin pour une population préoccupée par des difficultés de plus en plus aiguës que personne ne s’en souvient plus. La récente campagne d’information de rappel aurait ainsi provoqué la panique d’hier et les filouteries organisées auprès des paysans. 
Contrairement aux années où elle était encore bénéficiaire (tiens !), la Banque centrale n’a donc pas pris la peine de préparer les usagers suffisamment à l’avance. L’émission surprise des billets « Monopoly » (c’est le qualificatif qu’on entend partout) de 200 et 100 ariary en est une preuve flagrante. Et aujourd’hui, peu ou prou de personne ne sait quel billet a encore cours. Celui de 2 500 FMG est par exemple indiqué comme valable alors qu’il n’existe pratiquement plus dans la circulation monétaire. Et hier, le billet de 5 000 FMG a presque subi le même refus que celui de 10 000 FMG. 
Une fois de plus, la Banque centrale a en réalité fait défaut en matière de communication. Pour ne prendre que son site web qui suppose la modernité et l’utilisation de nouvelles technologies, l’internaute s’étonnera que dans la liste des « billets ayant cours légal », on retrouve encore les billets de 100 et 50 FMG que seuls les collectionneurs continuent de détenir. De même, les nouvelles coupures de 200 et 100 ariary n’y figurent pas une semaine après leur émission alors que le site est supposé actualisé quotidiennement. Il est fort à parier que dans un an, les anciens billets de 25 000 et 10 000 FMG seront toujours dans ce site au titre des coupures en vigueur. 
Confortant ce déficit en communication, le passage à l’ariary le 1er janvier prochain est piètrement géré à Antaninarenina. La note relative à la normalisation des chèques à l’occasion du passage à la nouvelle unité monétaire ne date que du 15 novembre dernier. Les clients devant disposer des chèques libellés en ariary au moins une semaine avant le nouvel an, il n’est donc donné aux banques primaires qu’un mois pour imprimer de nouveaux chéquiers correspondant aux nouvelles normes, lesquelles ne sont pas du tout évidentes pour les imprimeries de la place en terme de capacité de production. 
Pareillement aux usagers détenteurs de 10 000 FMG hier, des clients bancaires risquent donc de subir le même sort, au début de l’année, en ne disposant pas de chèques correspondants aux nouvelles normes alors qu’on sait que janvier est le mois le plus dur pour tous. La Banque centrale s’intéresse-t-elle vraiment à la lutte contre la pauvreté ? 
[ Posté par : www.lagazette-dgi.com 


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...Les 8 Familles et leurs vœux 2004

  (vu sur le site  www.rainizafimanga.com)

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  les 'misérables' parlent contre les personnes..."

Midi Mada   04/12/2004

Gestion de finances publiques : Coutiti et Balbine doivent à l’Etat environ 500 millions fmg
Alors qu’ils étaient encore responsables au sein du 2e RFI d’Antsiranana, les deux Lt-Cl Balbine Hubert et Coutiti Assolant auraient été impliqués dans une gestion de fonds publics dont ils doivent répondre. Actuellement à Tsiafahy pour purger leur peine suite à des actes commis durant la crise 2002, les deux militaires qui ont fait parler d’eux dans la région Nord de la Grande Ile se trouvent redevables envers l’Etat malgache.
Val A. 

Six autres
« Sont déclarés conjointement et solidairement redevables envers l’Etat, le Lieutenant-Colonel Balbine Hubert Maurice, ex-Chef de corps du 2e RFI d’Antsiranana et consorts, pour la somme totale de 488.744.953 Fmg au profit du Budget général de l’Etat », stipule l’article premier de l’arrêté 16.231/2004/41 du ministère de l’Economie, des Finances et du Budget, selon le Visa n°11.563 du 28 juillet 2004 de la Direction générale des Dépenses publiques, Service de la Tutelle des Etablissements publics et des débets. Cet article répartit ainsi la somme comme suit : 396.209.753 fmg pour le Lt-Cl Balbine Hubert Maurice et 33.628.106 fmg pour le Lt-Colonel Coutiti Rémi Assolant. Six autres personnes dont deux militaires déserteurs, comme il est indiqué dans l’arrêté, répartissent le reste. 
Série de peines
L’article 2 dudit arrêté dispose qu’ « un ordre de recette de la somme de 488.744.953 Fmg sera émis par le Sous-Ordonnateur du Budget de l’Etat à Antsiranana à l’encontre de Lt Cl Balbine Hubert Maurice et consorts au titre de recettes non fiscales ». Pour rappel, Coutiti a été condamné à plusieurs reprises pour une vingtaine de dossiers le concernant. Condamné à perpétuité après avoir été jugé à plusieurs reprises pour une série de peines de 10 ans d’emprisonnement, Coutiti se trouve actuellement à la Maison de force de Tsiafahy. Balbine Hubert, quant à lui, écopera d’une peine d’emprisonnement et se trouve probablement à Tsiafahy. 
DEMOTIVATION TOTALE CHEZ LES FONCTIONNAIRES !
Une grande partie des agents de l’Etat s’adonne à des activités parallèles 
« Tout citoyen a droit, selon la qualité et le produit de son travail, à une juste rémunération lui assurant ainsi qu’à sa famille, une existence conforme à la dignité humaine ». Par les temps qui courent, ces dispositions de l’article 29 de la Constitution restent lettre morte. Bien rares sont les citoyens qui s’estiment justement rétribués par rapport à l’inflation rapide qu’on espère non durable. D’aucuns continuent d’y croire tout simplement. 
R.O. 

Incompatibilités
Parce que leurs salaires n’arrivent plus à subvenir à leurs besoins, fussent les plus élémentaires, bon nombre de travailleurs, de quelque secteur qu’ils soient, se livrent à des activités parallèles. Au risque de travailler 24 h sur 24, genre chauffeur le jour, gardien la nuit. Avec tout ce que cela suppose de risque pour la santé et de danger pour la vie d’autrui. Les fonctionnaires pour lesquels la démotivation est quasi générale, ne sont pas en reste en matière d’activités secondaires qui tendent en fait à devenir le principal. Au détriment du service public et de l’intérêt général. Et au mépris des incompatibilités inhérentes à la nature des fonctions, tel le cas d’un agent du fisc qui est accessoirement épicier ou d’un éducateur qui est propriétaire d’une salle vidéo où l’on projette tout sauf ce qui concerne son domaine. A l’exclusion peut-être de ceux qui bénéficient de la fameuse prime spéciale de rendement, même les fonctionnaires soumis à des statuts particuliers parce qu’appartenant à des corps privilégiés – par rapport aux autres agents de l’Etat – n’échappent pas au phénomène. Il arrive qu’un magistrat exerce, ne serait ce que d’une manière indirecte, le plus souvent par le truchement de son conjoint, une activité commerciale, pour arrondir ses fins de mois, quand bien même son salaire et ses indemnités seraient nettement conséquents par rapport au commun des fonctionnaires qui revendique un salaire minimum à 7 chiffres.
Réflexe
Le réflexe devenu presque automatique sinon naturel au niveau des fonctionnaires est aujourd’hui de raisonner par rapport au coût de la vie et par rapport aux autres. L’armée, mais aussi la gendarmerie, se situent par rapport à la police et aux agents pénitentiaires qui se comparent, à leur tour, aux magistrats dont ils sont les « fournisseurs ». Même réflexe sans doute, quoique non extériorisé, pour les PDS de province vis-à-vis des chefs de Région qui sont côté hiérarchie leurs subordonnés, mais du point de vue salaires, leurs supérieurs. Un sentiment de frustration partagé probablement par les édiles, notamment ceux élus au suffrage universel direct, par rapport aux responsables désignés ou nommés par le fait du prince. Lequel risque de faire les frais de ce « deux poids, deux mesures » qui est en contradiction avec le sacro-saint principe d’égalité de traitement des fonctionnaires dont l’effectif sera réduit de 10% en 2005. Des fonctionnaires obligés de trouver d’autres sources de revenus, sans considération des règles de la fonction publique, qui se mettent de leur propre chef, en position de détachement de fait, alors qu’officiellement, ils sont toujours à leurs postes. Ils deviennent des fonctionnaires fantômes car il s’agit d’une question de vie et de mort. 


Sobika 01/12/2004

2 malgaches arrêtées pour trafic d'héroine Auteur : L'express.mu
La tante et la nièce tentaient d’importer de l’héroïne
La Malgache Andrian Janahary, 39 ans, et sa nièce Mirella Claude Hermann, 28 ans, de nationalité française, ont été inculpées hier en cour de Mahébourg pour importation de deux kilos d’héroïne. Elles ont été interpellées jeudi à leur descente d’avion à l’aéroport Sir Seewoosagur Ramgoolam. La valeur marchande de la drogue saisie est estimée à Rs 20 millions. Les deux inculpées restent en détention jusqu’au 6 décembre. Un ordre de gel de leurs avoirs a été déposé contre elles. Leurs deux présumés contacts mauriciens, Ellanden Mootoosamy, 57 ans, et sa nièce Jenny Mooken, 20 ans, ont également été inculpés hier au tribunal de Mapou pour “procuring the importation of heroin with an averment of trafficking”. L’Anti-Drug and Smuggling Unit a arrêté ces deux habitants de Mont-Roches dans la nuit de vendredi à samedi à Grand-Baie, lors d’une opération de livraison surveillée, supervisée par le DCP Ravin Sooroojbally. 
L’opération policière démarre avec l’interpellation d’Andrian Janahary à sa descente du vol MK 286 d’Air Mauritius en provenance de Madagascar, jeudi à 22 h 10. Deux kilos d’héroïne sont retrouvés dans le double fond de sa valise. Lors de son interrogatoire, la couturière malgache incrimine sa nièce, Mirella Claude Hermann, une commerçante de Madagascar, qui a voyagé sur le même vol qu’elle. 
La nièce est interpellée à son tour. Elle passe aux aveux et fournit des informations sur une éventuelle livraison. C’est ainsi que la livraison surveillée a lieu. Andrian Janahary et sa nièce sont transférées dans une pension de famille à Grand-Baie. Tard dans la soirée de vendredi, Ellanden Mootoosamy, un éleveur de porcs de Mont-Roches et sa nièce Jenny Mooken, une coiffeuse, habitante de la même localité, se sont présentés à un rendez-vous convenu auparavant par téléphone cellulaire pour prendre livraison des colis de drogue à Grand-Baie. Ils tombent dans le piège tendu par les éléments de l’ADSU et sont arrêtés. 

saisie de plus de 2 tonnes de viande fumée de tortues radiées Auteur : RCI
Madagascar: saisie de plus de 2 tonnes de viande fumée de tortues radiées 
Plus de 2 tonnes de viande fumée de tortues radiées et 328 tortues vivantes de même espèce ont été saisies depuis fin juin 2004 et 17 trafiquants ont été arrêtés dans la province de Toliara, dans le sud de Madagascar, a-t-on appris mardi de source officielle. 
Lors d'une opération de lutte contre le trafic de tortue menée par une équipe multipartite et tenue du 6 au 8 octobre, trois mètres cubes de viandes fumées et 114 espèces vivantes ont été prises, dont 10 sacs de viande de tortues fumée (700 kg), 4 sacs de foies de tortues fumés et 3 litres de graisses. 
A l'issue d'une récente opération menée du 21 et 23 novembre, la plus grosse saisie est constituée de 21 sacs de viande de tortue fumée, pesant en tout près de 2,1 tonnes, et de 50 kg de foies de tortues fumées, ainsi que 214 animaux vivants. Notons qu'une tortue vivante pesant 5 kg procure 2 kg de viande fumée. Des milliers de tortues radiées, connues sous le nom scientifiue de "Geochelone radiata", espèce endémique et porte- fanion de l'habitat des forêts épineux dans le sud de Madagascar, ont été ainsi tuées et mises en trafic. 
Cette espèce a une durée de vie de plus de 100 ans mais sa population regresse de façon dramatique à cause de la déforestation et de ce trafic. Sur le marché local, le kilo de la viande de tortue fumée est à 5 000 Ar (queque 2 000 Ar équivalent à un dollar). Par ailleurs, une tortue radiée vivante pourrait valoir entre 2 500 et 3 000 dollars, à l'exportation. Le trafic connaît de l'ampleur notamment à l'approche des grandes fêtes, rappelle-t-on. 


Les Nouvelles  01/12/2004

Les billets Zafy Albert de 10 000 et 25 000 fmg n'ont plus cours à partir aujourd'hui 
Les anciens billets de 10.000 et 25.000 fmg n’ont plus cours légal à partir d'aujourd'hui
Au regard de la loi, les anciens billets de 10.000 fmg (2.000 Ar) de couleur marron et de 25.000 fmg (5.000 Ar) de couleur rose perdent leur pouvoir libératoire aujourd’hui.
Ces billets, émis le 4 avril 1995, devront ainsi disparaître petit à petit de la circulation au titre du décret n°2003-781 du 8 juillet 2003. Cette disposition s’impose suite à l’émission de nouvelles coupures de billets de 50.000 Fmg (10.000 Ar) et de nouveaux billets de 25.000 Fmg (5.000 Ar) et de 10.000 Fmg (2.000 Ar), répondant au souci d’instaurer l’Ariary comme unité monétaire de Madagascar à partir du 1er janvier 2005 en vertu de la loi n°2003-004 du 8 juillet 2003.
Si ces anciens billets n’ont plus cours légal, leurs détenteurs ont encore jusqu’au 31 décembre 2009 pour les échanger. A partir d’aujourd’hui et jusqu’au 31 décembre 2005, cette opération pourra se faire auprès des guichets de la Banque centrale, de ses succursales et agences, et auprès des guichets des banques primaires et autres institutions financières. Mais à partir du 1er janvier 2006 et jusqu’au 31 décembre 2009, ces billets ne pourront être échangés qu’aux seuls guichets de la Banque centrale, de ses succursales et agences.
Pas plus tard qu’hier, des files indiennes ont déjà été observées devant les guichets de la Banque centrale et ceux des banques primaires tant l’appréhension de l’invalidation de ces anciens billets est grande, notamment chez les commerçants.
UN SERVICE AUX CLIENTS
En vertu de la loi, nul n’est porté à accepter ces anciens billets. Et inversement, nul n’est en droit de forcer l’acceptation des autres. Mais la logique voudra que la règle soit assouplie dans la pratique : ces billets pourront toujours être utilisés à des fins commerciales à partir du moment où leurs preneurs acceptent de les échanger auprès des banques dans le cas où ils n’arriveraient pas, à leur tour, à les faire accepter par d’autres. En règle générale, les commerçants rendent ce service à leurs clients.
A contrario, certains financiers recommandent à tout un chacun de ne réagir négativement ni brusquement à ce changement pour ne pas verser dans une psychose générale, vu le temps imparti pour l’échange de ces billets. Mais les difficultés d’adaptation, de compréhension et d'exécution, comme l’histoire l’a toujours montré, se présentent surtout pour les ruraux situés loin des agences bancaires. Ils sont souvent contraints de les échanger à des prix largement inférieurs à leurs valeurs faciales… quand ils ont à faire à des aigrefins.
Il faut espérer que les autorités monétaires ont cette fois pris toutes les dispositions nécessaires pour que ce genre d'escroquerie ne se reproduise plus.
Mamy Lalaina Razafindrakoto 


Nosintsika  02/12/04

Main Basse sur le riz

Le spectre d'une pénurie de riz à grande échelle plane sur Madagascar. Une telle menace est prise au sérieux par divers conjoncturistes. Mais que s'est-il exactement passé pour que le pays se trouve subitement dans cette situation qui fait remonter à la surface les années sombres du régime socialiste.
Malgré l'entrée (tardive !) de l'île dans le libéralisme économique où, notamment, les prix ne doivent plus être administrés et que seule la loi de l'offre et de la demande doit régir le marché, cette crise actuelle du riz étonne quelque peu.
Une crise savamment entretenue, dans le noir dessein de focaliser toutes les attentions sur un seul et unique problème, et aussi, selon des observateurs politiques, à des fins bassement mercantiles. Et pourquoi pas les deux à la fois ! L'implication trop voyante, sinon intéressée, de l'Etat dans la commercialisation du riz, par le biais d'une grosse société familiale (l'Etat c'est moi !) qu'il n'est plus besoin de présenter, signifie qu'un pan de l'économie de marché vient de s'effondrer, en attendant que le reste s'écroule avec.
A l'heure où, dans de nombreux quartiers d'Antananarivo, des bureaux de fokontany, chargés de vendre du riz, sont pris d'assaut par une foule de plus en plus dense, beaucoup ont nettement l'impression de revivre ces scènes... d'horreur qui ont eu cours dans les années 80. D'ailleurs, il est maintenant exigé à chaque acheteur de se munir du fameux « carnet-pokontany », l'équivalent d'un ticket de rationnement, s'il veut obtenir sa ration journalière (trois ou cinq kilos par famille).
Pendant une bonne partie du second mandat présidentiel de l'amiral, le pays était en cessation de paiement, à cause de ce socialisme primaire qu'on était en train d'imposer aux Malgaches, et ne pouvait donc importer des denrées alimentaires. Conséquence, la pénurie. Mais aujourd'hui, ce n'est plus le cas : le gouvernement ne cesse, en effet, de claironner partout que notre dette est effacée, l'économie va mieux, le FMI et la Banque mondiale appuient la politique du régime, les investisseurs arrivent... Toutefois, à regarder de près, la Grande Ile profonde n'a jamais été aussi proche de la disette, pour ne pas dire plus. Le jour où l'on devait (re)faire la queue devant les fokontany dès 3 heures du matin, comme par le passé, n'est pas loin.
Afin d'éloigner ce chaos alimentaire, l'Etat fait des pieds et des mains en vue d'engranger les récoltes et les stocks de riz. A commencer par l'acquisition par ladite société, sans appel d'offres, affirment les opérateurs concernés, de 50 000 tonnes de riz sur les 100 000 importées de Pakistan. Notons qu'elle a acheté une grande partie du paddy produit par les riziculteurs d'Ambotondrazaka et ceux de Marovoay, les principaux greniers à riz de Madagascar, à 2 000 fmg le kilo. Pourtant, le cours normal dépassait rarement, lors de la précédente campagne, les 1 250 fmg/kg. D'où cette flambée du riz sur le marché (6 000 fmg/kg en moyenne), ce qui est une 
grande première dans l'histoire de notre pays.
En outre, les cargaisons de riz importées dernièrement par des opérateurs sont tombées dans l'escarcelle de l'Etat. L'entreprise Felana (7 000 tonnes) ainsi que l'homme d'affaires Moïse Ismael (19 000 tonnes) en savent quelque chose. Bien que ces derniers aient, paraît-il, fauté dans leurs démarches respectives, les autres importateurs ne vont sûrement pas se bousculer au portillon, d'autant que la société en question est passée de la prédominance à l'hégémonie sur la filière riz. Alors que, devant l'urgence, le ministre 
du commerce a invité les opérateurs à importer du riz...
Quoi qu'il en soit, soulignons que l'économie de marché et la démocratie s'entraînent l'une et l'autre. En ce moment, de par les entraves que rencontrent des importateurs, à l'exemple des dirigeants de l'entreprise Trois Frères (actuellement en prison) qui ont eu le malheur de gêner un concurrent connu, c'est notre démocratie naissante qui est ébranlée.
Franck Raharison  pour La Gazette


Madamaki 05/12/2004

L'UE débloque 300 000 euros en faveur des paysans malgaches 
L'Union européenne (UE) vient de débloquer une enveloppe de 300 000 euros pour une opération dont bénéficieront plusieurs réseaux régionaux en milieu rural à Madagascar, dans un souci d'accroissement rapide des rendements des principales cultures. 
Selon une source officielle, cette subvention additionnelle vient en complément d'une enveloppe financière de 7,6 millions d'euros prévue pour les projets d'appui au développement des filières vivrières porteuses en milieu rural ainsi que pour le financement des actions de filets de sécurité en milieu urbain. Le démarrage de ces actions est prévu au cours du 1er trimetre 2005. 
L'utilisation de ces fonds alloués par la France et l'UE consistera en l'octroi de primes en faveur des paysans bénéficiaires de crédits productifs et en vue de l'acquisition des équipements agricoles consentis par les réseaux de microfinance. Grâce à ces fonds, ces institutions pourront mobiliser sur leurs ressources propres plus de 10 milliards d'Ar (quelque 2 000 Ar équivalent à un dollar) de crédits qui seront octroyés pour l'achat d'engrais, d'équipements et pour l'appui à la commercialisation d'intrants et équipements agricoles par les coopératives de proximité. 


TIM France   04/12/2004

Banque - Le Crédit Agricole à la conquête du marché malgache 
Source l'Express de Madagascar 
La première banque française et la deuxième au niveau mondial, le Crédit Agricole, vient de s'offrir la Banque nationale de l'industrie (BNI-CL) et est actuellement présent dans le sérail financier de Madagascar. Cette union fait suite à un rapprochement entre le Groupe Crédit Agricole et le Groupe Crédit Lyonnais pour former un groupe d'importance mondiale. Avec cette nouvelle affiliation de la BNI-CL au groupe Crédit agricole, la banque amorce également une nouvelle politique commerciale plus généraliste car plus axée sur les clients particuliers. "Contrairement aux idées reçues, nos clients sont constitués aussi bien d'entreprises que de particuliers et de professionnels", tenait à préciser Evariste Marson, président du conseil d'administration de la banque, lors de la réception organisée en l'honneur de Jean Frédéric de Leusse, représentant du groupe Crédit Agricole et membre du comité exécutif de Crédit Agricole S.A. Avec cette tendance universalisante, les clients particuliers qui font référence au Malgache moyen en général seront plus au centre des préoccupations de la banque. Plus encore, le paysan sera davantage considéré à partir de maintenant. La BNI-Crédit Lyonnais entend ainsi saisir toutes les opportunités de développement de ses activités avec la présence du Crédit Agricole. Rappelons que cette institution dispose d'une puissante assise financière et de réseaux implantés dans les pays à fortes potentialités économiques. "L'appartenance au groupe nous offre la possibilité d'optimiser les synergies avec les différents métiers et réseaux et de nous ouvrir vers de nouvelles activités en anticipant les besoins du marché", remarque Evariste Marson.

Les échos de la Soirée "ARF-GasyKanto" du 06 novembre 2004 par nos sites partenaires 

   Le reportage photo sur www.rainizafimanga.com 

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