Madavôvô 2004  

L'Année 2004 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Le 26 Juin 2003   l'ARF a soufflé ses 3 bougies...

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Raharaha Zaraniaina.... ;  Cacao de Mada... ;  Rassembleurs et Dynamiques... ;  Savoir vivre sur le web...  ;  200 Milliards pour le secteur public... ;  Air mad renforce sa flotte... ;

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent

Sommaire Madavôvô: 10 Novembre 2004

1. Les échos de la Soirée "ARF-GasyKanto"(TetezamitaKely)

2. Marc Ravalomanana recevant le secrétaire général de la Présidence gabonaise (Express)

3. Viande : Hausse de 2000 FMG du prix du kilo de porc  (Madagate)

4. 9è anniversaire de l'incendie macabre du Rova de Manjakamiadana (Madagate)

5. Il y a six ans, l'incendie du Palais de la Reine  (haisoratra.org)

6. Le vol des bovidés : d'un délit socio-économique vers un crime socio-politique (wanadoo.mg)

7. No Comment.... No Comment...

8. La fiscalité 2005 fait quelques concessions au secteur privé  (Les Nouvelles)

9. Transport : Les tramways bientôt sur les rails (Midi)

10. Augmentation du prix du pain + 50%  (Sobika)

11.1274 paysans malgaches participeront au concours de la meilleure production de riz  (TIM France)

12. Hausse des salaires - Des visées politiques !  (Tribune)

13. Visite à la Présidence : La 4ème fortune des USA soutient la vision Durban  (Tribune)

COURS DES CHANGES

09/11//04

EURO(cmax) 13 000 FMG 
EURO(cmin) 12 500 FMG 
EURO(cmp) 12 828 FMG 
USD 12 210 FMG 
GBP 18 566,77 FMG 
CHF 8 466,23 FMG 
JPY 94,59 FMG 
ZAR 1 624,87 FMG 
HKD 1 285,00 FMG 

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         Cliquez >>

1)-Bonjour, je recherche un petite tortue  herman ou sulcata  male ou femelle agée au minimum de 1 an .  personnes sérieuses merci d'avance.              Contact: Amélie         email: ewyn@tele2.fr     

2)- Jeune fille de 24 ans cherche stage urgent pour la préparation de mémoire et pour avoir un bac+ 3 . Aux alentours de Tanà, Ambohibao, Talatamaty, Ivato, ou Antsirabe . Le stage concerne la comptabilité, aide comptable, ou secrétaire comptable . ce stage pourrait bien m' aider . 

       Contact: Miora      email: mioraherinivo@yahoo.fr             

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


GAZETY NOSINTSIKA   19 novembre 2004

Le Premier ministre Jacques Sylla, accompagné du ministre des Finances, Andriamparany Radavidson, est à Paris 

dans le cadre des négociations sur l'annulation des dettes contractées auprès des créanciers bilatéraux de Madagascar, créanciers regroupés au sein du famaeux Club de Paris.
L'annulation d'au moins 900 millions d'euros sur une dette d'environ 1,6 milliards d'euros auprès du Club a été annoncée. La France, elle, annule 400 millions d'euros de dettes commerciales. Les négociations se pousruivent avec les autres pays créanciers. Après l'annulation de 50% des dettes de Madagascar par la Banque Mondiale et le FMI,la situation est logiquement en faveur de la partie malgache au Club de Paris.
Madaonline du 17/11/2004


TetezamitaKely  10 novembre 2004

Les échos de la Soirée "ARF-GasyKanto" du 06 novembre 2004 par nos sites partenaires

Le 06 novembre 2004 à Lieusaint, les objectifs de l'association ont été atteints "... se Rencontrer, Partager , se Retrouver et faire la Fête  ensemble". Les "Tapaka sy Namana" ont festoyé jusqu'à l'aube, électrisés par le DJ Cash et l'orchestre du groupe Lapé . Le public a envahi la piste de danse. 

... Et le clou de la Soirée c'est la découverte des jeunes talentueux mannequins et des sculptures "Fy Création".

                 ... A la prochaine en toujours plus grand !

Le reportage photo sur www.rainizafimanga.com

 

Edito Madamaki :

Fitantarana ny alin'ny GasyKanto !!! 
Mba mahafinaritra loatra izany mpianakavy anatin'ny fifankatiavana, miara-monina. Io fehezan-tenin'ny hira masina io no tanteraka ara-bakiteny tao amin'ny kianja mitafon'i Lieusaint tamin'ny lanonana nokarakarain'ny fikambanana A.R.F ny alin'ny asabotsy 6 novambra 2004 lasa teo.
Fianakaviam-be avy amin'ny vazan-tany efatra no tonga niara-paly tao, tonga nanotrona tao ohatra Bodo Rajaonarivo Rasolofo filohan'ny fikambanana avy an'i Madagasikara, anisan'ny nanafana ny fety koa i Fy Ratsifasoamanana mpanankanto malagasy (Scénographe) monina atsy amin'ny nosy La Réunion.
Inona marina hoy ianao no zava-niseho tao? Tsy ho lava resaka intsony aho satria fantatro fa efa tsidrian-daona ianao koa dia indro ary ny fitantarana an-tsary haneho aminao ny fizotry ny lanonana. 
madama akia manjamanja â !

    Go to www.madamaki.com  &  www.vanilland.com


Express Mada 10 novembre 2004

Relations internationales : Marc Ravalomanana recevant le secrétaire général de la Présidence gabonaise, Mamadou Diop.
Protection de l’environnement et commerce ont été au menu hier à Ambohitsorohitra. Le président Ravalomanana a reçu en audience deux délégations dont l’un œuvre dans la protection de l’environnement, Conservation international, l’autre est une délégation gabonaise. 
La discussion avec la délégation de Conservation international a tourné autour de la possibilité de financement dans la vision présidentielle annoncée à Durban : la multiplication par trois des surfaces protégées à Madagascar. La délégation de Conservation internationale (CI), a été conduite par Pete Seligman, chairman of the board. Ce dernier a été, entre autres, accompagné par Robson Walton, propriétaire du Wal-Mart stores, la plus grande chaîne de distribution aux Etats-Unis, quatrième personnalité américaine la plus fortunée. 
La délégation gabonaise, conduite par le secrétaire général de la présidence gabonaise, Mamadou Diop, a, quant à elle, émis son souhait de raffermir ses relations commerciales avec Madagascar. La coopération bilatérale a été au centre de la discussion. Marc Ravalomanana a abordé avec la délégation ont abordé, entre autres, le projet d’établissement de liaison aérienne entre les deux pays, la possibilité d’exploration du marché gabonais et de l’Afrique centrale par les opérateurs malgaches. Durant la conversation, il a également été question de proposition d’approvisionnement en pétrole du Gabon. 
Iloniaina A.


Madagate 10/11/2004

Viande : Hausse de 2000 FMG du prix du kilo de porc 
Rien ne va plus pour les consommateurs. Après les hausses quotidiennes du prix du riz, un coût qui se situe actuellement entre 4 400 FMG et 5 000 FMG, la ménagère a eu une nouvelle désagréable surprise, qui est celle de constater chez son boucher que la viande de porc n’a pas pris de la graisse mais que son prix a augmenté de 2 000 FMG. 
Didier Rambelo 

La viande de porc mélangé se vend désormais sur les étales à 22 000 Francs le kilo si la même quantité s’achetait quelques jours avant à 20 000 FMG, ce qui représente une hausse de 10%. Pour la viande de qualité supérieure son prix culmine à 24 000 francs le kilo. Cette catégorie a par contre augmenté de 9%, puisque son prix était de 22 000 FMG. 
Selon les explications de certains bouchers, cette nouvelle augmentation du prix du porc a été décidée par les fournisseurs. « Nous ne sommes pas là pour engranger des pertes » devait déclarer un boucher pour justifier ses nouveaux prix. Mais plus haut, au niveau des fournisseurs, l’on apprend que cette hausse était inévitable pour ces opérateurs. Ces derniers d’expliquer alors que les frais de transports ont augmenté à cause de la dernière évolution du prix du gas-oil. Les éleveurs, soufrant également d’une conjoncture morose, ramènent leurs prix à la hausse. 
Mais dans tous ces engrenages, il faut reconnaître que ce sont toujours les consommateurs qui en pâtissent. « Déjà, on mangeait peu de porc, mais avec cette nouvelle hausse, je crains fort qu’il ne nous sera plus possible d’en acheter », devait déplorer une ménagère qui faisait ses courses au marché d’Ampasapito. On peut dire que cette femme n’est pas la seule qui découvre de nouveau prix chaque matin, sur les marchés. Devant les difficultés auxquelles ils font déjà face, les consommateurs se demandent ce qui va les attendre pendant la période de soudure. 
9è anniversaire de l'incendie macabre du Rova de Manjakamiadana 
Patrimoine national : Un Comité informel au Rova samedi dernier ? 
Samedi 6 novembre dernier, 9è anniversaire de l'incendie macabre du Rova de Manjakamiadana a été commémoré autrement. Si Nasolo Valiavo Andriamihaja et Vahombey nous ont habitué depuis à observer dans le silence un sit-in sur la Place d'Andohalo, cette fois, ce fut une commémoration dans la détermination vers un nouvel élan tout en se ressourçant dans l'histoire du Rova. Pas uniquement du Rova de Manjakamiadana d'ailleurs mais de tout notre patrimoine historique ou non, si on ne devait considérer que les 156 sites recensés par les organes et démembrements de l'Etat avec l'aide de l'Unesco. Ce 6 novembre dernier a en fait marqué un tournant dans l'esprit même de la commémoration et la perception de l'avenir de l'âme du peuple malgache.
Reconstruction 
Précédé la veille par une conférence de presse de notre ambassadeur auprès de l'Unesco, Yvette Ranjeva, la commémoration du 6 novembre a pris une autre envergure avec l'annonce de la création dans les prochains jours, d'un Comité national du Patrimoine à la place de la Direction nationale des opérations Rova (DNOR), et qui dépendrait davantage de la Présidence que d'un seul ministère. Mejamirado a souligné que ce Comité national du Patrimoine qui est encore à créer, n'exclut toutefois pas les différentes structures ministérielles, et il n'est pas spécifique au Rova de Manjakamiadana. 
Si l'on a bien compris la structure en gestation, ce Comité national du patrimoine piloterait des comités de réhabilitation, dont celui du Fort de Foulpointe, ou Mahavelona, et dans le cas présent, celui relatif au Rova de Manjakamiadana. La présence du maire de la capitale, Patrick Ramiaramanana aux côtés d'une poignée de personnalités connues pour leurs valeurs et compétences culturelles, dont Yvette Ranjeva, Mireille Rakotomalala, Mejamirado, Nasolo Andriamihaja ou encore Chantal Ramanankasina Rahalison, laisse en tout cas présager d'un possible comité régional susceptible de donner un autre souffle à la réhabilitation dans un meilleur delai de ce Rova de Manjakamiadana. Le maire de la "Ville des Milles" a déclaré qu'il est prêt à assumer les tâches et devoirs qui lui incombent. La brève allocution de circonstance de Patrick Ramiaramanana, samedi dernier, dans l'enceinte du Rova, fait allusion à un terme qui lui est cher, la citoyenneté de résidence, en appellant tout un chacun, habitant dans la capitale sa circonscription, sans distinction aucune, à une mobilisation future et à davantage de civisme et d'esprit citoyen. Interrogé quant à la réhabilitaiton du "hasina", il a du reste fait remarquer que la reconstruction n'est pas uniquement d'ordre technique, matérielle, ni historique, mais aussi spirituelle.
Le Comité national du Patrimoine ne s'occupera pas uniquement du patrimoine culturel, historique, matériel ou immatériel, mais aussi de l'environnement. Le Tsingy de Bemaraha ou l'art Zafimaniry ou le Rova d'Ambohimanga (voir article en malgache en page 9) entre autres, figurent parmi les sites intéressant le Comité national dont l'iintiative revient au président Ravalomanana quand le 14 octobre dernier, il a fait visiter le Rova par le président de la Banque mondiale, James Wolfensohn. Une décision qui veut mettre fin aux polémiques quant à la reconstruction qui n'en finit pas après près de 9 ans de réhabilitation, et ce, en dépit des sommes allouées. En plus de ce que l'Unesco a octroyé et continue d'injecter, le gouvernement a déjà prévu un budget spécial pour la reconstruction du Rova. Le président Ravalomanana a lui aussi promis d'investir personnellement.
Place d'Andohalo: Expo photo, mémoire collective
Aux lieux et places d'Andohalo où le public s'attendait à un sit-in de silence et de recueillement, s'est tenue samedi dernier, 6 novembre 2004, une exposition de photos historiques sur non seulement le Palais de la Reine mais aussi sur les autres places et sites historiques de la capitale. Ainsi, jeunes gens, adultes et enfants accompagnés par leurs aînés ou leurs parents se sont rememorés le passé de la "Ville des Milles". Des photos de toute la haute ville annotées depuis 1895 jusqu'à l'indépendace en passant par l'époque coloniale qui ont suscité autant l'intérêt des touristes que des enfants. D'ailleurs certains de ces écoliers ont appris beaucoup de choses sur leur ville grâce aux notes en bas de page des photos ou grâce aux conseils de certains de leurs aînés, qui comme ces jeunes louveteaux conduits par leur chef, d'autres enfants ont pris la peine de prendre des notes dans leur cahier. En tout cas, une heureuse et enrichissante initiative de la part des organisateurs qui méritent encouragements dans leur action des plus civiques et citoyennes. L'éducation en fait est à beaucoup d'égards fondée sur la mémoire collective qui, au fil des temps, procède à une sélection objective ou subjective en fonction des circonstances et des besoins; et de telles manifestations sont toujours nécessaires pour l'entretien de cette mémoire collective


www.haisoratra.org 06/11/2004
Il y a six ans, l'incendie du Palais de la Reine 
Hier à Anosy, l'ambassadeur Yvette Rabetafika, lors d'une conférence de presse. 
Le Rova de Manjakamiadana sera reconstruit dans son aspect originel. Marc Ravalomanana, par l'entremise de notre ambassadeur auprès de l'Unesco, a dévoilé un pan de son intention. 
L'espoir est permis. Le Rova de Manjakamiadana pourrait retrouver son aspect originel. Sans pour autant tout livrer, le président Ravalomanana veut montrer des signes quant à sa détermination. Son principal outil est le Comité national de patrimoine (Cnp). Cette institution, mise sur pieds incessamment, aura pour " tâche prioritaire la reconstruction du Rova de Manjakamiadana appartenant à la Nation toute entière ". 
Dépêchée par le président Ravalomanana, Yvette Ranjeva Rabetafika, ambassadeur de Madagascar auprès de l'Unesco a livré quelques informations sur cette reconstruction. Au cours d'une conférence de presse à Anosy, la veille de l'anniversaire de l'incendie du Rova, Yvette Rabetafika a délivré un message du président sur son engagement personnel à cette reconstruction. " Il participera financièrement à l'opération ", a-t-elle déclarée. La reconstruction ou la restauration des patrimoines, naturel, matériel ou immatériel sera inscrite dans le budget de l'Etat dès 2005. " L'Unesco a déjà promis 25 000 dollars pour le démarrage des travaux ". 
Ayant reçue l'engagement présidentiel, Yvette Rabetafika a déjà annoncé la décision de restaurer le Palais " tel qu'il était ". Seul bémol, elle a prévenu qu' " une partie de l'édifice pourrait être supprimée ". L'annonce d'une telle importante décision a été rendue possible par des " travaux préalables des techniciens déjà à pied d'?uvre ". Pour l'instant, les travaux de reconstruction de Mahitsielafanjaka, les tombeaux royaux et le temple sont achevés. 
Des signes sont apparus ces derniers mois sur l'intention de Ravalomanana à cette reconstruction. Le 14 octobre courant, accompagné par James Wolfenhson, président de la Banque mondiale, à Manjakamiadana, il a donné l'ordre de suspendre les travaux entrepris et de revoir le dossier de reconstruction. Il a également a dessaisi le ministère de la Culture du dossier et a annoncé le rattachement du Direction nationale de l'opération Rova (Dnor), censée piloter la reconstruction, à la présidence. 
Invité par l'association des Andriana à l'occasion du nouvel an malgache, Ravalomanana a déclaré le 3 avril à Anatirova que " la reconstruction d'un tel édifice, qui plus est détruit par l'Homme n'a rien d'insurmontable, au vu des réparations occasionnées par les dégâts cycloniques ". Conscient de la valeur du patrimoine national et international, Ravalomanana a déclaré qu' " un pays qui n'a pas d'Histoire est un pays qui soit le plus pauvre qui soit ". 
La reconstruction du Rova de Manjakamiadana n'est donc qu'une étape pour le Cnp. " Ce comité aura pour tâche de restaurer tous les Rova dans tout Madagascar et de veiller à tout patrimoine, culturel, matériel immatériel du pays ", a déclaré l'ambassadeur Yvette Rabetafika
Iloniaina A. L'Express de Madagascar du 06-11-04
Fanarenana an'Anatirova :Lasa propagandy politika fotsiny hatramin'izao 
Ho feno sivy taona katroka amin'ity sabotsy 6 Novambra ity ny nahamay an'Anatirova. Ny alatsinainy 6 novambra 1995 tokoa no kila hotohoton'ny afo io foto-drafitrasa isan'ny goavana momba ny firaketana ny tantaran'i Madagasikara io. Hatramin'izao fotoana iresahantsika izao dia io toy ny vay an-kandrina io Anatirova, ary toy ny tongo-bakivaky ka sady maharary no mahamenatra. Tsy hita ny tena hetsika momba ny fanarenana azy fa toa mikononkonona fotsiny amin-javatra madinika izay tonga eo amin'ny fitondrana. Toa ny olom-pirenena tsotra nentanin'ny Fikambanana tsotra toy ny avy amin'ireo taranak'Andriana aza no nahavita be raha mitaha amin'ny vitan'ny fanjakana. Isaka ny misy fampielezan-kevitra politika momba ny fifidianana dia isan'ny narangarangan'ny mpikabary hatrany ny fampanantenana hanarina an'Anatirova. Nanomboka tamin'ny Pr Zafy izay ho Filohampirenena amperinasa tamin'ny fotoana nahamay ny Rova no nanandratra tamin'ny fampielezan-kevitra fifidianana Filohampirenena tamin'ny Novambra 1996 fa hataony laharam-pahamehana ny fanarenana an'Anatirova. Tonga teo amin'ny Fitondrana ny Amiraly dia nanindry koa fa hatao ny fanarenana an'Anatirova. Amin'izao andron-dRavalomanana izao indray dia mbola voaventy hatrany izany. Etsy ankilany, na ny nahavanon-doza ka nahatonga ny fahamaizan'ny Rova aza dia tsy hita popoka ny niafaran'ny Raharaha. Mbola voatana any ve ireo voarohirohy, ary ahoana ny tohiny ? Inona no marina momba azy iny izao sa navela havalon'ny fanadinoana ? Ny olom-pirenena moa dia voafatotry ny adim-piainana andavanandro ka tsy mahavita miherika kely akory mba mieritreritra ny momba an'Anatirova. Tsy anomezantsika tsiny ny olom-pirenena tsotra izany satria na ny vola narotsany hoenti-miatrika izay mba vitany hatramin'izay aza toa tsy hita be ihany ny tena fandehany. Voalaza koa taty aoriandriana taty fa nisy vola voahodinkodina tao amin'ny tahiry tokony hoenti-manarina an'Anatirova, nefa dia toa tsy re ny tohiny hoe "iza no tompon'andraikitra tamin'izany ary inona no fepetra noraisina momba azy". Ny hany mahatsiaro tsy tapaka ny andron'ny 6 novambra dia ny Fikambanana Andohalo izay manao hetsi-pahatsiarovana amin'ny alalan'ny fahanginana eny amin'ny Kianjan'Andohalo isaky ny migadona io andro io ; ary miezaka mampahatsiahy ny tsirairay koa ny lanja aman-kasin'ireny vakoka ireny. Ka amin'izao fahasivy taonan'ny nahamay an'Anatirova izao, inona no politikam-panjakana hoenti-miatrika azy io ? Misy ve ny hevitra azo antoka hoenti-manarina azy sa tokony hisafidy hevitra iray isika hoe "ndeha izao endriny ankehitriny sisa izao no itadiavana lalana ny hanamafisana azy dia io no hahatsiarovana fa sisa tavela tamin'ny Rovan'I Manjakamiadana ?" Tsy misy antoka azo ianteherana intsony mantsy ny kabary politika fa ny omaly tsy miova ihany, na vao nanamafy ny finiavany hanarina azy io aza ny Filoha Ravalomanana, vao tsy ela akory izay.
La Gazette de la Grande île du 06/11/2004
Ralay
Le « Rova de Manjakamiadana » renaît de ses cendres ( Enquête du 6/11/2004 )

 « Nous étions quelques copains à traîner sur le Tranovato (l'ancien tribunal, ndlr) lorsque soudain, on a vu une grande lumière du côté du palais. Par simple curiosité, nous sommes allés voir d'où ça venait et qu'est ce que c'était. On s'était approché du Rova, et on a constaté que la cour principale devant le grand Palais était en feu. La foule a alors commencé à éteindre ce début d'incendie avec les moyens du bord. Tout le monde était dans la panique ». C'est le souvenir qu'un jeune homme présent lors de cet incendie garde de ce malheureux événement. Le Rova a pris feu dans la soirée du 6 novembre 1995. Ici et là, la foule s'activait à éteindre le début de feu. Mais les flammes étaient trop vives, et avec l'aide du vent, elle a vite avalé tout ce qui était inflammable dans le grand domaine. « Un peu plus tard, je suis descendu plus bas vers le côté versant de la colline. Avec stupeur, le c?ur serré, je vis des flammes sortir des fenêtres du Tranovola », continue le jeune homme, le visage évasif, comme s'il se perdait dans ses souvenirs. Les témoins de ce drame, hommes, femmes et enfants, étaient tous en pleurs au vu de ce grand édifice qui sombrait petit à petit dans le feu. La fumée montait aux yeux, les larmes coulaient. Le c?ur serré, tous les Malgaches, et même les résidents n'en croyaient pas leurs yeux. Où qu'ils étaient, ils partageaient tous la même peine. Le Rova de Manjakamiadana tombe en ruine. Les premières personnalités étaient arrivées immédiatement. On y reconnaissait le maire de la ville d'Antananarivo de l'époque, Guy Willy Razanamasy. Les artistes aussi étaient présents, notamment Rossy, qui s'est déplacé comme une lumière pour aider la foule à arroser le feu de grande eau. Mais rien à faire. Le feu prenait toujours le dessus. « Nous avons ensuite essayé de récupérer le maximum d'objets pour les sauver du feu. Certains osaient même entrer dans le grand Palais alors que le feu détruisait les escaliers faits en bois. Seul le grand pilier du milieu résistait. A un moment, j'ai entendu un grand bruit, c'était les escaliers qui tombaient, vaincus par les flammèches. » poursuit-il. Beaucoup comme lui se sont sacrifiés pour épargner n'importe quoi qui appartenait au Palais, car cela avait de la valeur pour eux. Jamais auparavant on a vu les Malgaches s'entraider autant pour une cause. Ils étaient tous animés par un autre feu, celui du patriotisme. Le groupe Kiaka en a fait un tube, et beaucoup sont ceux, écrivains ou poètes, qui ont écrit leur sentiment sur ce sujet. De cet événement, l'on ne garde que de mauvais souvenirs. Neuf ans plus tard, la nostalgie reste. Chacun se souvient certainement de cette longue nuit. L'association « Fikambanan'Andohalo » invite tous ceux qui ont envie de les rejoindre à observer un silence au kianjan'Andohalo à partir de 17h ce soir, pour un « Tabatabam-pahanginana ». Tant que les souvenirs restent, l'âme du Palais vit encore 
Le gouvernement prévoit en 2005 un budget spécial pour la reconstruction du Rova 

La reconstruction du Rova est un sujet à polémique. La DNOR (Direction nationale des opérations Rova) a été la première entité rattachée au ministère de la culture responsable des travaux de réhabilitation du Rova. Au terme de ces neuf ans de réhabilitation, aucun bilan n'a été officiellement présenté. Les personnes concernées n'ont pas voulu se prononcer sur ce sujet. Durant sa déclaration du 14 octobre, lors du passage du président de la Banque Mondiale, Wolfensohn, le président Marc Ravalomanana a annoncé la mise en place d'un nouveau comité pour la réhabilitation du Rova, le CMP (Comité national du patrimoine). L'ambassadeur malgache auprès de l'Unesco, en la personne d'Yvette Rabetafika Ranjeva, a fait le point sur cette nouvelle équipe et les travaux y afférents. Le comité ne s'occupe pas seulement du patrimoine culturel, mais aussi de l'environnement. Sont déjà inscrits auprès de l'Unesco en tant que patrimoine environnemental mondial les Tsingy de Bemaraha, depuis 1991, et dans la catégorie patrimoine culturel, le Rova d'Ambohimanga en 2001 et l'art Zafimaniry, l'année dernière. Mais la reconstruction du Rova de Manjakamiadana a été le sujet clé de la réunion. Depuis le malheureux incendie, l'Unesco, ainsi que d'autres entités publiques ont aidé à la réhabilitation de Manjakamiadana, qui a perdu toutes ses chances de devenir un patrimoine international. Après l'incendie en 1995, l'Unesco a envoyé des experts pour constater et faire le devis de la reconstruction. Plusieurs milliers de dollars ont été promis. $100.000 en deux tranches, à raison de $80.000 en 1998, puis $20.000. Un autre montant a été au programme, et sur les $50.000 prévus, $16.000 ont été octroyés. Le gouvernement français a alloué 500 millions de fmg qui ont servi à la reconstruction des toitures des quatre grands piliers du palais de Manjakamiadana. Les grandes familles notables de la capitale ont, eux aussi contribué, et la somme récoltée a permis la réhabilitation des tombeaux. A l'aube de ce nouveau comité qui n'est pas encore officiellement mis en place, et alors que la DNOR continue ses travaux, un budget de $25.000 est prévu pour la suite des travaux, octroyé par l'Unesco. Le gouvernement malgache prévoit également un budget spécial en 2005 pour cette reconstruction, et le président, qui se sent personnellement concerné, a promis de redonner au Palais sa noblesse d'antan 
Historique du Rova de Manjakamiadana 

Le « Rova de Manjakamiadana » est situé à 1463m d'altitude sur la plus haute colline d'Antananarivo dû à sa position stratégique, durant les guerres qui se tenaient auparavant. La vue y est fabuleuse, pour le plus grand plaisir des habitants du palais. C'est la résidence royale depuis le 17ème siècle, et le centre du gouvernement malgache pendant un siècle, de 1794 à 1895. Plusieurs bâtiments sont érigés dans le grand domaine. La plus monumentale est le « Manjakamiadana ». La première construction a été entièrement en bois, entourée d'une palissade en rondins pointus. Elle a été bâtie par le roi Andrianjaka (1610-1630) au 17ème siècle. Différents autres monarques s'y sont succédé : Andriamasinavalona qui a régné entre 1675 et 1710, Andrianampoinimerina (1787-1810), qui a longtemps régné à Ambohimanga, et suite à l'annexion d'Antananarivo, a fait de celle-ci la capitale. Puis, il y eut Radama I (1810-1828), Ranavalona I (1828-1861), Radama II (1861-1863), la reine Rasoherina qui a régné de 1863 à 1868, Ranavalona II (1868 à 1883) et enfin Ranavalona III, entre 1883 à 1895, date d'annexion de Madagascar par les français. Le Rova de Manjakamiadana est constitué d'un ensemble de bâtiments, dont cinq palais, un temple et neuf tombeaux. L'enceinte est une palissade fait avec du bois rondins pointus, recouverts de briques sous les ordres de Gallieni en 1897. La grande porte située au nord a été construite en forme d'arc de triomphe par James Cameron en 1845. Elle est majestueusement surmontée d'un aigle noir importé de France par Jean Laborde en 1840. « Manjakamiadana » est le palais principal du Rova. Il a été érigé par Jean Laborde en 1839, entièrement construit en bois. Celui-ci s'étant dégradé petit à petit, sa façade a été recouverte de pierres par James Cameron. Le rez-de-chaussée est très spacieux, puis, il comporte deux étages et trois niveaux sous les combles. Le pilier central est un énorme tronc en bois monoxyle de palissandre, symbolisant la gloire des souverains. L'intérieur est une représentation des habitations européennes au 17ème siècle, mais l'emplacement des objets respecte les divisions astrologiques malgaches. La première « Tranovola » a été bâtie pour Radama I en 1819 par Louis Gros, et définitivement reconstruite en 1845 par Jean Laborde selon les ordres de Ranavalona I pour son fils Radama II. Le bâtiment est entièrement fait en bois, et entouré d'une véranda à trois niveaux superposés autour d'un pilier central. « Manampisoa » est un petit palais en forme de croix grecque dessiné par James Cameron en 1866, et réalisé sous la direction de William Pool. Suivant le style traditionnel, il est construit en planches verticales, avec des fenêtres à guillotines coulissantes, ainsi que de lourds volets et un toit en bois. A droite du palais se trouve le trône de la reine fait de trois socles. « Besakana » est également construit intégralement en bois. Ce sont trois maisons juxtaposées, érigées respectivement par Andrianjaka le premier souverain d'Antananarivo, Andriamasinavalona en 1680 et Andrianampoinimerina en 1800. C'était là où avaient eu lieu les intronisations des souverains, et l'exposition de leurs dépouilles mortelles après leurs décès. Enfin, « Mahitsielafanjaka », la résidence d'Andrianampoinimerina, qui est actuellement déjà reconstituée. Le Temple a été édifié par William Pool pour Ranavalona II, et a nécessité 11 ans de corvées. Il a été solennellement inauguré le 8 avril 1880. Les Tombeaux sont au nombres de neuf, dont celui des reines construit en 1868 par James Cameron pour Rasoherina, Ranavalona I, II et III. Le second est celui des rois achevés en 1828 par Louis Gros pour Radama I, II et Andrianampoinimerina. Les Fitomiandalana sont les sept tombeaux des premiers rois depuis Andrianjaka. Ces tombeaux sont actuellement rénovés et reconstitués grâce à la contribution des grandes familles de la capitale 
MANJAKAMIADANA. Une carcasse vide (Dossier réalisé par Anjara N)
Le 06 novembre 1995, vers 16 heures, les premières flammes commencèrent à lécher la façade Est de Mahitsielafanjaka, la résidence des reines malgaches. Quelques temps après, Besakana disparut dans un nuage de fumée. D'où venait le feu ? L'enquête n'a jamais permis de le savoir. Accident ? Crime ? Personne, sauf les hypothétiques auteurs, n'est en mesure d'y répondre. La colère des tananariviens à l'époque n'était pas feinte. Certains ont failli en venir aux mains et s'en prendre? aux côtiers qui étaient des suspects tout désignés dans ce genre d'accident. « A qui profite le crime ? », aurait demandé Agatha Christie. Guy Willy Razanamasy, alors Maire de la capitale, a su apaiser la tension. Il a déclaré que l'incendie du Rova profiterait à ceux qui veulent que les Malgaches s'entre-tuent. Le Rova, symbole de toute une ville et de tout un pan de l'histoire de Madagascar, est l'expression de la puissance Merina, expliquait-il à l'époque. « S'en prendre au Rova, c'est toucher dans son c?ur l'Ambaniandro, et il est tout à fait normal qu'il soit furieux ». « Afa-tsiny ianareo raha ho tezitra », a clamé Razanamasy. « Mais vous n'êtes pas sans savoir que les instigateurs d'un tel crime veulent cela, ils veulent que vous vous vengiez et tuiez ceux que vous croyez être derrière ; alors, faites attention? », a-t-il prévenu. En habile politicien, il avait flairé le danger. Les tenants du pouvoir de l'époque avaient promis que le Rova renaîtrait de ses cendres. Ils n'étaient pas les seuls à le dire. Ratsiraka, Ravalomanana quand il était encore candidat à la mairie de la capitale, tous avaient exprimé leur volonté de reconstruire le palais. 9 ans après, rien n'est fait. Pire, les quelques centaines de milliers de dollars obtenus ici et là ont été utilisés ailleurs, sinon détournés. Une enquête aussi est en cours pour cette affaire, mais elle n'a pas encore abouti. Aboutira-t-elle jamais ? ? ? Le Rova est actuellement dans un état de délabrement tel que des scientifiques proposent qu'il soit détruit. Les menus travaux de renforcement menés par la Direction Nationale de Reconstruction n'ont servi strictement à rien. Les murs commencent à se fissurer dangereusement et un effondrement total n'est pas à écarter. Qui plus est, cela risque d'endommager sérieusement les alentours du palais puisque les pierres pourraient tomber sur les maisons d'habitation d'Ampamarinana ou de Manakambahiny. Pour bien des tananariviens et, pourquoi pas, des Malgaches, le Rova ne représente plus rien. Il a perdu de sa majesté? Une carcasse vide. 
MaTV online du 06-11-04


Wanadoo.mg 10/11/2004

Le vol des bovidés : d'un délit socio-économique vers un crime socio-politique
C'est bien le cas de le dire, après de la remise de la médaille de chevalier de l'ordre national à Rebanjy dit Jado et les révélations qui s'ensuivirent, cet authentique "mpanarivo" en zébus qui vient tout droit du fin fond de la brousse du centre ouest crie son innocence dans une affaire de "dramse". 
Une opération de ratissage après la constatation de la disparition d'un troupeau, a été accomplie dans sa région d'adoption de Mandrosonoro, Ambatofinandrahana. Il a fait des révélations fracassantes et non moins directes dirigées contre des personnalités politiques de sa région. 
L'affaire remontant au mois de juillet dernier, prend une autre allure avec l'intervention des élus à tous les niveaux dans cette région de l'Amoron' Imania. Le vrai-faux instigateur de cette affaire, nommé Rekamy, aujourd'hui sous les verrous à Ambositra, ne cesse ainsi de se justifier dans cette rocambolesque affaire de vol de bovidés sur pied ayant mis en jeu près de 488 têtes. 
D'autres enquêtes et le recoupement de différentes sources ultérieures éclairciront bien entendu cette l'affaire afin certainement de dénouer le nœud gordien né de l'insécurité rurale qui ne fait que s'amplifier ces derniers temps dans les quatre coins de l'île. 
Didier Ramanoelina  ©Les Nouvelles 


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  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."

Les Nouvelles 10/11/2004

La fiscalité 2005 fait quelques concessions au secteur privé 
La fiscalité 2005 fait quelques concessions au secteur privé 
La fiscalité a toujours été la pomme de discorde entre le secteur privé et le gouvernement dans le cadre de la loi de finances. Cette fois, quelques concessions de la part de l’Etat sont palpables dans le projet de loi de finances 2005. Et ce, suite à la journée de dialogue entre le secteur privé et le ministère de l’Economie, des finances et du budget à l’hôtel Le Hintsy le 14 octobre.
Entre autres, l’on retrouve dans ce projet de loi l’exonération de l’IBS 
(Impôt sur les bénéfices des sociétés) et la suppression du minimum de perception pendant les deux premiers exercices et la réduction de moitié de l’impôt lors du troisième pour les sociétés nouvelles. « C’est l’une des grandes innovations de la loi de finances 2005 », a noté Hanitra Rajaonah, directeur général des impôts, qui y voit une incitation de l’Etat à l’investissement et à la création d’entreprises.
A noter que le taux de l’IBS est toujours de 30% pour la généralité des entreprises. L’impôt dû est majoré de 50% pour les sociétés qui n’ont pas leur siège social à Madagascar. Toutefois, un taux de 30% est appliqué aux revenus tirés par les sociétés étrangères qui opèrent à Madagascar pour la réalisation d’un marché administratif ou d’un contrat avec des entreprises locales.
Dans la même foulée, le souhait du secteur privé d’aligner le taux de l’IRCM (Impôt sur le revenu des capitaux mobiliers) à 20% contre 30% auparavant pour les personnes physiques se trouve réalisé dans cette proposition de budget. Celle-ci confirme également la suspension de la TVA (Taxe sur la valeur ajoutée) et des droits de douanes sur certains produits au mois de septembre 2005, à la demande des opérateurs économiques, dont les industriels locaux.
La TVA à 18% à compter du 1er septembre 2005
Mieux, l’Etat prévoit une légère baisse de deux points du taux de la TVA. A compter du 1er septembre 2005, ce taux passe de 20 à 18%. Ainsi, le ministre de l’Economie, des finances et du budget Benjamin Andriamparany Radavidson n’a pas manqué à sa parole. Néanmoins, il faut admettre que ce taux unique est loin de satisfaire les opérateurs touristiques qui ont souhaité l’application d’un taux zéro en leur faveur.
A la demande du secteur privé, la taxe forfaitaire sur les transferts est à la charge du bénéficiaire du transfert. A rappeler que cette taxe au taux de 10% est due en raison des versements ou transferts effectués au profit des personnes se trouvant à l’étranger au titre d’impôt sur les revenus ou de taxe professionnelle.
Une modification de la base pour la taxe professionnelle a également été opérée dans le projet de loi pour alléger la fiscalité des investissements. La taxe professionnelle frappe toutes les activités exercées à Madagascar, dont les produits sont répartis comme suit : 40% mis à la disposition du budget de la province autonome, 30% aux régions et 30% aux communes. Le taux est fixé comme suit : 1/10 pour les professions libérales, 1/15 pour les commerces, 1/25 à 1/30 pour les industries, les métiers et les prestations de services, 1/40 pour les autres activités.
Malgré ces concessions, le gouvernement se fixe toujours un impératif de recettes assez rigoureux pour 2005. L’objectif est d’atteindre un taux de pression fiscale de 11,8% contre 11,2% cette année. En dépit des aléas et chocs exogènes de cette année, « le recouvrement des 2.138 milliards de Fmg de recettes fiscales est presque atteint. La stabilisation des recettes par le renforcement des vérifications fiscales et l’élargissement de l’assiette fiscale sont néanmoins nécessaires en 2005 », a expliqué Hanitra Rajaonah.
Mamy Lalaina Razafindrakoto  


Midi Mada 10/11/2004

Transport : Les tramways bientôt sur les rails
Les wagons sont là. Pour le moment, 4 sont arrivés à bon port. 10 sont prévus. Les équipements destinés à faire rouler des tramways à Tana sont quasiment fin prêts. Récemment arrivés au port de Toamasina, en provenance de la Suisse et bientôt à Tana, ces wagons seront mis à profit dans des visées de « fluidifier » la circulation dans le centre de la capitale. En fait, ces wagons ont fonctionné sous alimentation électrique mais comme ils disposent également de dispositifs leur permettant de rouler sur des rails, ils seront exploités ainsi.
Hanitra R.

« Il est impossible de les faire marcher électriquement chez nous comme cela se fait en Suisse. Parfaitement compatibles avec les rails déjà existants sur nos infrastructures, ces wagons ne nécessiteront donc plus d’aménagements spéciaux quant à leur mode de circulation. En revanche, ils seront munis de moteurs, certainement des groupes électrogènes. Nous sommes actuellement en train de voir avec le secteur privé comment ils peuvent contribuer à l’installation de ces groupes », a expliqué le maire d’Antananarivo, Patrick Ramiaramanana. 
Banlieue
Il y a quelques mois, un émissaire du Réseau des chemins de fer suisse est venu proposer au maire de la capitale malgache la possibilité d’utiliser ces wagons. En effet, ce Réseau qui avait modernisé ses matériels n’en a plus besoin. Et les responsables suisses étaient prêts à céder les wagons à condition que le pays preneur puisse payer les frais de transport. Ces tramways seront certainement gérés par le secteur privé qui se mettrait d’accord avec la Commune urbaine d’Antananarivo et les autres départements concernés par le transport. Ces wagons relieront essentiellement le centre ville à la banlieue sud de Tana. Conformément d’ailleurs au programme lancé par l’ancien maire de la capitale, actuellement président de la République, Marc Ravalomanana, dans le cadre de la gestion d’une circulation fluide. L’axe Atsimondrano est en effet régulièrement le théâtre de scènes d’exacerbation de toutes sortes pour cause d’embouteillages aux heures de pointe. Ce nouveau mode de déplacement offre ainsi aux habitants des quartiers d’Atsimondrano, la possibilité d’arriver à l’heure dans le centre ville sans avoir à subir les désagréments occasionnés par la circulation automobile le matin, et en fin d’après-midi. Plusieurs milliers de personnes empruntent en effet tous les jours, les rues reliant cette partie de la ville à Anosy et Analakely, en transport en commun ou à bord des voitures particulières. Les collégiens et lycéens ainsi que les employés en constituent la grande majorité, les principaux quartiers commerciaux, marchés et blocs administratifs ainsi que les grands établissements scolaires étant situés dans le centre ville. Toute cette population espère ainsi trouver en cette autre possibilité de déplacement un nouveau moyen de gagner du temps. Et de l’énergie.


Sobika 10/11/2004

Augmentation du prix du pain + 50%  Source : Xinhua
ANTANANARIVO, XINHUANET) -- les consommateurs à Madagascar auront eu la désagréable surprise d'acheter son pain quotidien à 1 500 Fmg (10 000 Fmg équivalent à un dollar) depuis samedi matin, soit une augmentation de 50%, a-t-on constaté sur place. 
Il s'agit d'une hausse décidée sans tambour ni trompette hier par l'association professionnelle des boulangers après une tentative malheureuse il y a quelques mois de cela. La hausse annoncée à cette époque-là s'était heurtée par le président malgache Marc Ravalomanana. 
Cette fois, la hausse est apparue inévitable avec la conjugaison de plusieurs paramètres qui ont grevé le coût de production. La dépréciation du Fmg estimé à 11 000 Fmg pour un dollar contre 6 000 Fmg pour un dollar au début de cette année, la hausse du prix des transports qui fait suite à celle des carburants dont les prix ont augmenté de 150% par rapport au début de cette année affectent de façon inexorable le prix de la farine sur le marché. 
Rappelons que le smic à Madagascar est fixé à 230 000 Fmg. Fin 
L'eau de pompe devient payante source : mada presse 
La Communauté Urbaine d'Antananarivo a décidé de faire payer l'accés à l'eau publique des 847 bornes fontaines de la capitale. Il en coutera 10 ariary par litre. La fin de la gratuité de l'eau dont dépendent prés de 30% des habitants d'Antananaria té fraichement accueillie par la poulation même si le prix reste accessible aux plus démunis.
Le Maire de la ville, Patrick Ramiarimanana, justifie cette action par la nécéssité de gérer l'eau comme une ressource énergétique. L'argent collecté sera redistribué entre la Jirama, société gérant l'eau et l'électricité de Madagascar et l'association responsable de la gestion des eaux à Antananarivo.


TIM France  10/11/2004

AGRICULTURE: 1274 paysans malgaches participeront au concours de la meilleure production de riz 
Source : L'Express de Madagascar 
Le ministère de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche organise chaque année le concours de la meilleure production rizicole. Le nombre de participants ne cesse d’augmenter à chaque édition.
Le riz se trouve au centre de préoccupation des Malgaches. Sa production doit être un défi. 
Ils sont pas moins de 1274. C’est le nombre des participants pour le deuxième concours de la meilleure production rizicole 2004. Et la liste n’est exhaustive. Le nombre de paysans intéressés par le concours ne cesse d’augmenter chaque année. 
En 2003, le concours pour la première saison a vu la participation d’environ 1.200 producteurs. Cette année, ce chiffre est déjà dépassé alors que toutes les fiches de participation ne sont pas encore arrivées au ministère. Le but de ce concours est d’encourager les paysans à augmenter la productivité. " C’est l’augmentation du nombre de participations qui est importante dans ce concours ", rappelle Harison Edmond Randriarimanana, ministre de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche. Les paysans sont de plus en plus intéressés par le concours, " ils font tout pour le gagner ". Il s’agit d’une compétition réservée aux riziculteurs malgaches et organisée par le ministère de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche. 
Riz de contre-saison
Deux concours sont organisés tous les ans. Le premier concerne la culture de première saison dont la récolte se fait au mois de janvier. Le deuxième concours est destiné au " Vary vaky ambiaty " ou riz de la seconde saison, récolté au mois de mai. 
Le " Vary aloha " ou riz de première saison est surtout pratiqué sur les hauts plateaux. Les régions d’Analamanga, du Vakinankaratra, d’Imoron’i Mania, de l’Itasy en sont les principaux greniers. Certains producteurs de riz le pratiquent aussi dans les régions du Bas Mangoky, du Morombe et du Sud-Est. Cette pratique n’assure que 18 % de la production totale de la Grande Ile. Elle occupe une superficie de 200.000 ha qui produit environ 600.000 tonnes par an. 
Le riz de contre-saison, a un meilleur rendement que celui de la seconde saison. " La contre-saison peut avoir un rendement supérieur à 3 tonnes à l’hectare contre 2,5 tonnes pour le riz de la seconde saison ", précise Malalasoa Rakotonirainy, responsable de la communication du comité national de l’Année internationale du riz, AIR 2004. 
6 tonnes à l’hectare 
La raison avancée par les techniciens du ministère de l’Agriculture est la maîtrise de l’eau. " Afin de pouvoir cultiver les rizières pendant cette période, il est nécessaire d’avoir les infrastructures et les techniques indispensables à la maîtrise de l’eau ", explique Rakotovao Jean Marie, directeur de la statistique et du suivi-évaluation au ministère de l’Agriculture. 
Outre la maîtrise de l’eau, l’engrais, la semence et l’entretien font partie des conditions sine qua non d’une bonne production. " Il est possible d’obtenir plus de 6 tonnes à l’hectare avec une bonne utilisation des intrants ", remarque Rakotovao Jean Marie. Il fait ainsi référence aux 263 paysans ayant pu dépasser le cap des 6 tonnes à l’hectare lors du concours de l’année dernière. Le record établi est de 13 tonnes à l’hectare. 
Prix national 
La distribution des prix aux 57 meilleurs participants du concours de culture de riz de première saison de l'année 2004 s'est déroulée au palais d'Iavoloha au mois de juillet dernier. Deux catégories prix sont à attribuer : la première dénommé "prix national"est décernée aux trois meilleurs producteurs riz dans tout Madagascar. La seconde est dédiée aux trois premiers de chaque région. 
Le concours s’adresse à tous les agriculteurs sans exception : individus, groupements, coopératives ou associations paysannes. Une superficie minimale de 1 hectare est éxigée
RELATIONS INTERNATIONALES
Marc Ravalomanana recevant le secrétaire général de la Présidence gabonaise, Mamadou Diop. Source : L'Express de Madagascar 
Protection de l’environnement et commerce ont été au menu hier à Ambohitsorohitra. Le président Ravalomanana a reçu en audience deux délégations dont l’un œuvre dans la protection de l’environnement, Conservation international, l’autre est une délégation gabonaise. La discussion avec la délégation de Conservation international a tourné autour de la possibilité de financement dans la vision présidentielle annoncée à Durban : la multiplication par trois des surfaces protégées à Madagascar. La délégation de Conservation internationale (CI), a été conduite par Pete Seligman, chairman of the board. Ce dernier a été, entre autres, accompagné par Robson Walton, propriétaire du Wal-Mart stores, la plus grande chaîne de distribution aux Etats-Unis, quatrième personnalité américaine la plus fortunée. 
La délégation gabonaise, conduite par le secrétaire général de la présidence gabonaise, Mamadou Diop, a, quant à elle, émis son souhait de raffermir ses relations commerciales avec Madagascar. La coopération bilatérale a été au centre de la discussion. Marc Ravalomanana a abordé avec la délégation ont abordé, entre autres, le projet d’établissement de liaison aérienne entre les deux pays, la possibilité d’exploration du marché gabonais et de l’Afrique centrale par les opérateurs malgaches. Durant la conversation, il a également été question de proposition d’approvisionnement en pétrole du Gabon.


TRIBUNE 10/11/2004

Politique :  Hausse des salaires - Des visées politiques ! 
Les fonctionnaires et les employés du secteur privé attendent avec impatience la décision du gouvernement de faire augmenter les salaires devant l'inflation galopante. Mais pour l'instant, rien n'a été décidé. Toutefois, lors de sa rencontre avec la presse, vendredi dernier, le ministre de la Fonction publique et des lois sociales, Ranjivason Jean Théodore a laissé entendre qu'il y aura une augmentation des salaires, mais c'est au tour du président de la République Ravalomanana Marc de l'annoncer au moment opportun. A vrai dire, comme à l'accoutumée et selon les pratiques de l'ancien régime, l'annonce d'une telle nouvelle est une prérogative du chef de l'Etat. Pour dire qu'il s'agit d'un "cadeau" de la part du régime mais non pas un droit des plus absolus des agents de l'Etat et de tous les travailleurs. 
Selon les pratiques des régimes successifs, la hausse des salaires est souvent annoncée en grande pompe au cours des cérémonies grandioses pour dire aux yeux de tout le monde que le gouvernement en place ne reste pas les bras croisés devant les problèmes quotidiens de la population. En fait, il s'agit d'un geste politique bien calculé afin de donner une dose de somnifère pour calmer les esprits devant la montée du mécontentement social à cause de la cherté du coût de la vie.
Les dirigeants espèrent qu'une décision en faveur des 120.000 agents de l'Etat, aurait des retombées politiques sur eux et leur famille. On ne sait pas si cette récupération politique orchestrée par les tenants du régime, aura les résultats escomptés au moment où on craint une explosion sociale. Du côté du ministre de l'Economie, des Finances et du Budget Andriamparany Radavidson, il n'a pas caché son inquiétude sur les conséquences de l'augmentation de salaire. Pour ce Grand argentier, la hausse de salaire pourrait provoquer une inflation généralisée. Une manière de dire que les avis sont partagés sur cette question épineuse. En tout cas, le ministre Ranjivason devait indiquer que l'augmentation de salaire dépend de la croissance économique réalisée par l'équipe de Jacques Sylla.
Environnement : Visite à la Présidence : La 4ème fortune des USA soutient la vision Durban 
La délégation de «Conservation internationale». Robson Walton, à droite du président Marc R. 
La déclaration du président Ravalomanana à Durban, sa décision à tripler les aires de conservation à Madagascar a frappé la 4ème fortune des Etats-Unis, Robson Walton. Cet invité de marque de "Conservation Internationale", ainsi qu’une forte délégation de cet organisme international, représentée par le PCA de CI, Dr Pete Seligman, le président de la CI, Dr Russell Mittermeier, le vice-président pour l’Afrique de CI, Dr Olivier Langrand, le président de CI à Madagascar, Léon Rajaobelina, ont fait une visite au président de la République malgache hier, dans la soirée. Robson Walton, PCA de la plus grande chaîne de distribution au monde, "Wal-Mart Stores", a fait savoir son soutien à cette vision Durban, et sa possibilité de financer une grande partie de cette vision. Après une visite dans le Sud malgache, ce riche homme a été émerveillé par la richesse du pays et a bien constaté de visu que Madagascar figure bien parmi les "Hotspots" ou région prioritaire dans la conservation de la biodiversité. Ses écosystèmes, terrestres mais aussi marins, méritent une protection particulière. 
Notons que Robson Walton a 60 ans. Il est juriste de formation. Fils de Sam Walton , fondateur de "Wal-Mart Stores", il est à la tête de cette chaîne de distribution depuis 1992. 4ème fortune des Etats-Unis avec 18 milliards de dollars, il a devant lui dans le classement des plus grosses fortunes américaines, selon le magazine "Forbes", Bill Gates (Microsoft) qui a 48 milliards de dollars, Warren Buffett ( Berkshire Hathaway) qui a 41 milliards de dollars, Paul Allen (Vulcan Ventures) qui a 20 milliards de dollars. Après lui, Michael Dell (14,2 milliards de dollars), Lawrence Ellison (Oracle, 13,7 milliards de dollars). Ces six grosses fortunes pèsent ainsi 154,9 milliards de dollars.
En ce qui concerne de "Wal-Mart", c’est la plus grande chaîne de distribution dans le monde avec 4.800 magasins implantés aux USA, Porto Rico, Mexique, Argentine, Brésil, Canada, Chine, Japon, Corée et Royaume Uni. Son chiffre d’affaires en 2004 a atteint 256 milliards de dollars. "Wal-Mart" emploie 1. 500.000 personnes.

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