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un cadeau..."
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Derniers
Messages
(vus
sur
Les Petites Annonces>> )
:
1)-
Bonjour, J'ai en ma possession un siege passager vito avec le socle, neuf sous emballage que j'ai achete le 3 aout pour un montant de 612 euros. Un changement de programme depuis m'oblige à m'en séparer. Mise à prix de l'ensemble 500 euros (prix du siège seul, le socle est offert).
Contact:
mimistf email : stephan.cornielle@wanadoo.fr
2)-
URGENT !!!!!! je cherche un appartement meublé (2pièces) sur limoges à compter du 10 Septembre 2004 (mutation professionnelle)
Merci Contact : alidjra email :
sonialidjra@aol.com |
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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
Express Mada
23 aout 2004
Les
malgaches aux JO d'Athène 2004
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La
délégation malgache (ouverture des Jeux Olympiques) |
Rosa Rakotozafy
: Le porte-drapeau Malgache |
LA DELEGATION
• Athlétisme : Razafimahefa Christian, Rajaonarison Jean Prosper, Rakotozafy Rosa, Rasoarizay Clarisse, Randriamihaja J. Berlioz.
• Boxe : 3 Ao : Harvel Marcellin, Rakotomanga Heritovo, Razanakolona Jean Claude, Rakotoarimbelo G. Jouvin, Rabenarivo Lalaina.
• Tennis : Rakotonindriana Josoa, Randriantefy Dally.
• Natation : Razafindrakoto Nicolas Raft, Razakarivony Jean Luc, Andriamanjatoarimanana Tojohanitra.
• Judo : Ashik Houssen, Ravaoarisoa Naina Cécilia.
9 Athlètes pour 5 disciplines
9 Officiels.
• Invités : MJS - Président & S.G. du C.O.M.
Camp de Jeunesse Olympique : Rabarijaona Verotiana, Razafindrabe Tarika
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La délégation malgache à Athènes conduite par Marc
Ravalomanana ( Avec les ray ban (!), Marcel Ranjeva MAE )
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Photos
:ANDRIANIRINA
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13
AOUT 2004 : MARC RAVALOMANANA A ATHENES
Avant
de se rendre en France pour les comémorations du 15 Aout, Marc
ravalomanana est venu assister "en passionné de sports"
à la l'ouverture des Jeux Olympiques d'Athènes le 13 Aout.
Accompagné d'une délégation "familliale", il est allé
à la rencontre des quelques malgaches présents en Grèce. Voici
quelques photos envoyées par Mr Andrianirina. La délégation
"Ravalomanana" en a profité pour remettre un chèque de
5000 $ à la délégation sportive malagasy. Les Membres de la délégation.
- Marc Ravalomanana - Lalao Rakotonirainy (Epouse Ravalomanana) -
Mlle Sarah Ravalomanana - Josoa Ravalomanana - Maika Ravalomanana
- Tahina Rakotonirainy
-Marcel Ranjeva - Mlle Miora Ranjeva - Hary Ranjeva - Nirihasina
Ranaivo (Journaliste Mbs) - Voara Randrianarivony (Photographe) -
Dr Willy Randriamarotia
- Eric Ratsimbazafy - Lt-colonel Rarivoarimanana -Sergent Daniel
Razakandrainy
- Sergent Dominique Rakotomanan - Zaza Ramandimbiarison - Edith
Bodo Rasolofoarisoa (epouse Ramandimbiarison) - Manantsoa
Razafimandimby ( source "délégation"Express de
Madagascar )
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Au milieu Berlioz (110m haies)avec Razafimahefa Christian
,president d'athletismes Malgache et un resident.
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Photos
:ANDRIANIRINA
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de G à D,Lalaina (boxeur) Roza (100m haies) Razanakolona
(entraineur boxe) avec Claude
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Photos
:ANDRIANIRINA
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Mpanao Boxe Malagasy Lalaina Rabenarivo
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Photos
:ANDRIANIRINA
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Les quelques membres de la diaspora malgache grecque avec
leur Président
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Photos
:ANDRIANIRINA
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Le coureur de 110m haies Berlioz qui est allé jussqu'en
1/4 de finale (droite). Milieu, Colin Jackson, ex champion
olympique
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Photos
:ANDRIANIRINA
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| Ny minisitry
ny Spaoro Henri mivady miaraka amin'ireo Gasy nijery tennis |
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Photos
:ANDRIANIRINA
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Des malgaches d'Athènes sans le président !
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Photos
:ANDRIANIRINA
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EXPRESS
MADA 27 aout 2004
Athlétisme 110 mètres haies
: Berlioz part la tête haute
Le dernier espoir malgache aux jeux olympiques d'Athènes en l'occurence le hurdler Joseph Berlioz Randriamahaja a terminé son parcours au stade des quarts de finale du 110 m haies mercredi où il a fini 6ème de la première série remportée avec beaucoup d'aisance par le francais Ladji Doucoure en 13"24.Berlioz a été crédité de 13"64 bien loin de son nouveau record de Madagascar ,13"46 établi mardi au premier tour.Mais Berlioz a des circonstances atténuantes sur cette contre performance."Deux fois j'ai été gêné par l'Equatorien Jackson Quinonez qui m'a poussé et qui n'a pas eu la correction de s'en excuser à
l'arrivée.Ce qui m'a rendu furieux mais cela fait partie des aléas d'une course de haies" a-t-il affirmé rasséréné.
Ce genre d'incident peut arriver à tout le monde et surtout aux plus grands comme la grande favorite de la finale dame, la Canadienne Felicien Perdita qui a perdu toutes ses chances dès le départ marchant sur la première haie entraînant dans sa chute la concurrente de la Russie. La même mésaventure est arrivée avant-hier au super favori de l'épreuve masculine l"Americain Allen Johson qui a chuté à deux haies de l'arrivée après avoir titubé sur 80m de course. Une course de haies reste plus que jamais imprévisible et à l'image des autres épreuves dans lesquelles les surprises n'ont pas épargné les favoris comme la Mozambicaine Maria Mutola battue au 800m, l'Ethiopien Hailé Gebressélassié qui n' a été que l'ombre de son ombre au 10000m,elle aura été le théâtre d'événements impensables.
R. S.
La Gazette de
la Grande Ile 23 aout 2004
JO d’Athènes
: D’une précision à une photo exclusive !
Dans notre livraison en date du jeudi 19 août en page 17, dans l’article intitulé, « Football CJSOI et Malgaches aux JO » on peut lire :
« La rigueur du contrôle fut telle que le Ministre lui même, muni de sa carte d’accréditation, rencontra un problème en égarant son ticket d’accès à la tribune. Mais par bonheur, tout s’est arrangé ». De notre part, ce fut ici une interprétation hâtive. En réalité, aucune pièce n’a été égarée ; néanmoins, le précieux sésame n’a effectivement pas figuré dans l’ensemble du document d’accréditation du membre du Gouvernement. Cette omission imputable au service chargé du protocole a soulevé un problème vite résolu. Autant pour nous !
Ceci étant, nous éprouvons du plaisir, à vous présenter cette photo ramenée d’Athènes et qui nous fut remise à mains propres. Ce document date du jeudi 12 août, juste à la veille de la cérémonie d’ouverture des JO d’Athènes. Le Président de la République, Ravalomanana Marc et sa suite, en visite privée en Grèce, effectuèrent une incursion au Village Olympique pour y rencontrer des membres de la délégation sportive de Madagascar. Les observateurs auront tous remarqué que le Président Ravalomanana Marc, et le Ministre Randrianjatovo Henri, (pour le commun des mortels, une tape amicale dans le dos, traduit une certaine complicité ), exhibent leur carte d’accréditation. De g à d, on reconnaît au premier plan, la sportive Naina Cécilia (Judo), Clarisse Rasoarizay (médaille d’or du Marathon des Jeux Africains d’Abuja au Nigeria en octobre 2003) le Président Marc Ravalomanana, le Ministre Randrianjatovo Henri, Rakotozafy Rosa (deux fois championne d’Afrique du 100 m haies à Tunis 2002 et à Brazzaville 2004), le Président du Comité Olympique de Madagascar Raoelina-Andriambololona Tiana.
Au deuxième rang, de g à d, le DTN d’Athlétisme Rajaonarison Prosper, le chef de mission et président de la fédération malgache de tennis, Ramiandrasoa Serge, Lucky Razakarivony (natation), le président de la fédération malgache de judo, Ashik Houssen, les entraîneurs de boxe dont Heritovo Rakotomanga (juste derrière le MJS), et Tojohanitra Andriamanjatoarimanana, (natation). Au cours de cette visite, les membres de la délégation sportive ont reçu comme argent de poche, 5.000 $ du Président de la République et 1.500 $ du Ministre de la Jeunesse et du Sport.
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...Et
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...Les
8 Familles et
leurs vœux 2004
(vu sur le site
www.rainizafimanga.com)
"Les
'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
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Afrik.com
24 aout 2004
Un
tramway suisse à Antananarivo
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Un
tracé oublié exhumé (jeudi 22 juillet 2004)
Antananarivo pourra bientôt bénéficier d’une ligne de tramway de 5km de long. Ce petit train des villes a été donné aux autorités malgaches par la compagnie de transport « Forchbahn » de la ville de Zürich, grâce à l’initiative de M.
Matzinger, un Suisse dont le coeur est depuis longtemps attaché à Madagascar.
Par Christian Lehmann |
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Un tramway suisse donné par la compagnie de transport « Forchbahn » de la ville de Zürich est actuellement en route pour Madagascar. Les fonds pour le transport ont pu être récoltés auprès de plusieurs grandes entreprises helvétiques grâce à l’appui de M. Frank West. Ce dernier représente le « réseau de solidarité des chemins de fer suisses avec Madagascar » qui, depuis 1998, a déjà fait parvenir à Madagascar quelques 250 tonnes de matériel roulant encore utilisable. Le maire de la capitale, de passage à Zürich le 12 juillet dernier, a pu assister au départ de ces tramways et en profiter pour remercier les donateurs.
La capitale est constamment engorgée par des embouteillages. Il est difficile de les résorber du fait de l’étroitesse des rues. C’est pourquoi la commune s’évertue à trouver des solutions alternatives. La bicyclette en est une, le tramway en est une autre. Amateur des cartes et des tramways, M.
Matzinger, Dr en droit, possède une large bibliothèque d’ouvrages historiques malgaches. En regardant une carte de 1936, il s’est aperçu du tracé d’une ligne de tramway de 25km de long.
Un tracé dont personne ne connaissait l’existence
Ce tracé n’avait pourtant jamais été utilisé et peu de Malgaches en connaissent l’existence ! M. Matzinger a dépêché un spécialiste sur place qui a bien voulu venir bénévolement. Le Professeur Brändli s’est rendu compte que seuls 5km sont encore utilisables mais qu’ils sont compatibles avec les trams suisses. Après avoir pris contact avec la maire et réglé les problèmes du transport des wagons, le projet était ficelé. Les trams qui roulaient encore à Zürich il y a peu et qui devaient partir vers les pays de
l’Est seront finalement sur les rails de Tana d’ici Noël. Une extension sera peut-être possible grâce à d’autres dons.
Par ailleurs, quelques 20’000 touristes suisses voyagent à Madagascar chaque année. De nombreuses associations y travaillent, financées par divers organismes étatiques ou privés. La coopération suisse octroie à Madagascar un budget de 7 millions de francs suisses par année. |
EXPRESS
MADA 26 aout 2004
ENVIRONNEMENT - LES TORTUES DU SUD MENACÉES
Victime du braconnage, ces tortues sont veillées en attendant leur remise en liberté.
Dans le bush et les forêts d’épineux du Grand sud, les braconniers collectent les tortues par charretées entières. Les autorités et organismes environnementaux commencent à se mobiliser.
Animal tabou et espèce protégée, les tortues sont menacées dans leur milieu naturel du Grand sud. Dans les profondeurs des broussailles et des “raketa” (figuiers de Barbarie), le braconnage décime les peuplements de tortues rayonnées ou radiées. Les rares grandes prises commencent à inquiéter les autorités et organismes environnementaux.
Actuellement, 114 tortues “geochelone radiata”, parquées à la pépinière de Mangarivotra ou au groupement de gendarmerie de Fort-Dauphin attendent d’être remises en liberté. “Ce sera dans la forêt tabou de la commune rurale
d’Ifotake” revèle Rasolonirina Victor, chef de la circonscription régionale de
l’Environement et des eaux et forêts (CIREEF). Ces 114 tortues constituent la seconde grosse prise depuis fin 2002. Le 26 novembre 2002, la Gendarmerie a arrêté quatre personnes prises en flagrant délit de collecte illicite de tortues radiées. Les 80 animaux saisis à l’époque ont été libérés en janvier 2003, dans la réserve spéciale du cap Sainte-Marie, la pointe extrême sud de Madagascar.
Une demi tonne de boucané
L’entreprise avait mobilisé la gendarmerie, les Eaux et forêts, le W W F,
l’Angap et les magistrats de Fort-Dauphin. La collaboration a été ensuite formalisée. Le “geochelone
radiata” est une espèce protégée par la Convention de Washington. Elle y figure dans l’annexe I comme une espèce très menacée. Sa protection semblait ne poser aucun problème. La tortue est taboue pour les populations Antandroy et Mahafaly qui vivent sur les plateaux. Même si leur prolifération gênait quelque peu les cultures, leur statut de “fady” (tabou) les mettait relativement à l’abri des prédateurs humains. Désormais, la pauvreté aidant, la capture de tortues est devenue un commerce lucratif, pour alimenter les tables de fête. “Les populations de l’intérieur n’en mangent pas dans leur majorité, mais toute la périphérie, le littoral et la ville de
Fort-Dauphin, prisent la viande de tortue” explique Victor
Rasolonirina, chef de la CIREEF. La prise de 2002 était destinée à
Bekily, où les braconniers escomptaient obtenir 10.000 FMG par animal. La prise de juin 2004 comportait 450 kg, soit près d’une demi tonne de “boucané” de tortue. “Elles ont été rendues impropres à la consommation puis enterrées dans le regret général des spectateurs” raconte le chef
CIREEF. Jusqu’à ce jour, 4 charrettes et leurs bœufs restent en fourrière. Les tortues saisies attendent qu’un parc de saisie soit concrétisée dans la forêt sacrée
(ala faly ou forêt taboue) d’Ifotake, Amboasary. L’USAID a apporté sa contribution. Le collectif de protection des tortues peut aller très loin. Les festivités de juin et de la fin d’année constituent les périodes de pointe. Des mandats de perquisition sont délivrés pour inspecter jusqu’aux marmites. Le code des initiés se résume à la seule expression de “spécial” pour savoir si de la viande ou de la soupe de tortue etait disponible.
960.000 Fmg pour huit tortues
Depuis longtemps, les médias rapportent quelquefois, des interpellations à l’aéroport
d’Ivato pour cause de trafics de petites tortues, aux environs de février-mars. Ces mois correspondent à l’éclosion des œufs de tortues. L’affaire se réglait par la voie pratique des transactions douanières. A
Ambovombe, un fonctionnaire en mission s’en est sorti pour 960.000 Fmg d’amendes pour huit tortues. Autrement, c’est la prison. La situation avait empiré quand les autorités n’arrivaient plus à couvrir leurs circonscriptions. Le collectif soulève la déficience de moyens surtout de déplacement, le manque de motivation ou la défaillance de la communication. Le problème des textes est en train d’être résolu. Le collectif est en train de finaliser un guide pour les maires. “Les maires et les autorités locales ignorent leurs droits et sont désarmés devant les braconniers”. Quel avenir pour les tortues ? Il est d’abord dans l’exemple des forêts sacrées. “Les habitants de Sakamanitra protègent sévèrement leurs tortues”.
Mamy Nohatrarivo
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