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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent 20 fevrier 2004

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Hello again....  TetezamitaKely  Communique sur MadaVôvö

sur le site d'ANIMATION ARR ...RRRRR ! 

http://a.ratsimbarajohn.free.fr/

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Sommaire Madavôvô:

1. « Affaire Manandafy »   Le démenti du ministre sénégalais (Midi Mada)

2. Les zana-dambo se manifestent de nouveau (Midi Mada)

3. L’EURO À 9130 : NOUVEAU PLONGEON DU FMG  (Express Mada)

4. Crevant les écrans de télévision, Manandafy allume la bombe de l’amnistie (Express Mada)

5. Rova Manjakamiadana : renaîtra-t-il un jour de ses cendres ?(wanadoo.mg)

4. Finale : Tunisie - Maroc (2-1)      Au bout de leur rêve (RFI)

6- No Comment.... No Comment...  

7. Culturel  Miss Manja 2004 -  A Paris mais pas ici (Tribune)

8. Pety Rakotoniaina      «C'est mon droit absolu !» (Tribune mada)

9. LES OBSÈQUES DU Rév. DAOUD SAUVÉES DU SCANDALE ! (Midi mada)

10. POLITIQUE & POUVOIRS      La boulimie du groupe Tiko (Lettre de l'Océan indien)

11. Pillages de tombeaux, vols de bovidés…    Les calvaires des habitants du Menabe (La gazette)


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MIDI MADA  20 fevrier 2004

« Affaire Manandafy »   Le démenti du ministre sénégalais,
rapporté par l’Ambassadeur Lila Ratsifandrihamanana

Citée par le président national du Mfm, et non moins conseiller spécial du Président de la République, Manandafy Rakotonirina, pour expliquer ses déclarations « troublantes » parues dans nos colonnes, l’Ambassadeur de Madagascar à Dakar, Mme Lila Ratsifandrihamanana, a fait parvenir sa version sur ce qu’on appellera désormais l’ « Affaire Manandafy ». Voici un large extrait de cette version.
Val A.
Lila Ratsifandrihamanana souligne en fait que « M. Mananadafy Rakotonirina était présent à Dakar pour assister au 52e congrès de l’Internationale Libérale, en sa qualité de Chef du parti Mfm. Sur sa sollicitation, l’Ambassade avait demandé une audience en sa faveur auprès de SEM. Cheik Tidiane Gadio, ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères de la République du Sénégal. SEM. le ministre d’Etat avait accepté de le recevoir, à titre informel (NDLR : en italique dans le communiqué), le samedi 25 octobre 2003 (ndlr : Le MAE précise qu’il s’agit de cette date et non de celle qui a été écrite dans le communiqué original comportant un lapsus). Nous l’avions accompagné à son rendez-vous, une Attachée de l’Ambassade et moi, pour l’introduire auprès du ministre et c’est ainsi que SEM. Cheik Tidiane Gadio nous avait invité à assister à la première partie de leur entretien. Les deux personnalités voulant par la suite se concerter en privé, je me suis retirée avec ma collaboratrice ».
Compte-rendu
Par la suite, Lila Ratsifandrihamanana fait savoir que « compte tenu du caractère non officiel et informel de la rencontre, et par respect de la déontologie diplomatique, il n’est pas dans mes attributions de rapporter sur les médias les propos tenus lors de cette entrevue ». « Mon rôle consistait à en faire le compte-rendu auprès de mes chefs hiérarchiques. Ce qui avait fait l’objet de mes correspondances n°03-692/AMB/DAK/POL du 25/10/03 et n°04-132/AMB/DAK/POL/SEN du 17/02/04 ». Et notre Ambassadeur à Dakar de préciser : « Toutefois, durant l’entretien auquel j’ai assisté, j’affirme qu’à aucun moment, je n’avais entendu SEM. Cheik Tidiane Gadio déclarer que « si en 2004, une loi d’amnistie ne voit pas encore le jour, Madagascar n’aura plus de financements » (…). Lila Ratsifandrihamanana se désengage donc de toute forme de responsabilité qui aurait été engendrée par la compréhension des propos de Manandafy Rakotonirina.
Feuilleton malheureux
Et mieux, notre Ambassadeur en terre sénégalaise de révéler : « Saisi sur la question par nos soins dernièrement, SEM. Cheik Tidiane Gadio a exprimé sa grande surprise et sa contrariété. Il regrette que Manandafy Rakotonirina lui ait prêté des propos qu’il n’avait pas tenus et ait impliqué les « hauts responsables sénégalais » dans ce débat ». Avec un tel acte, Lila Ratsifandrihamanana a ainsi rapporté formellement le démenti émanant du ministre sénégalais. Et mieux encore, certainement pour clore ce feuilleton malheureux, elle précise que « SEM. Cheik Tidiane Gadio, ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères de la République du Sénégal, a, par ailleurs, assuré qu’il se prononcera incessamment sur la question par Note Verbale officielle, procédure en vigueur dans les relations d’Etat à Etat ». L’« Affaire Manandafy » qui a défrayé la chronique s’arrêtera-t-elle-là ?

Les zana-dambo se manifestent de nouveau 
Après avoir observé le silence pendant une semaine, voilà de nouveau les réservistes qui se manifestent. Ces derniers se sont donné rendez-vous ce jour à Ampahibe. Selon un communiqué remis à la presse, les Zana-dambo se demandent où sont partis les 43 milliards débloqués au niveau des Finances et qui leur étaient destinés. 
Dominique R.
Par ailleurs, ils ont signalé qu’ils ont été appelés suivant le décret N°2002-259 du 15 mai 2002 et un autre décret portant N°2003-641 du 14 mai 2003 concernant le prolongement de leur activité. 
Mêmes traitements 
En s’appuyant sur ces décrets, les Zana-dambo estiment qu’ils doivent recevoir les mêmes traitements que les agents de l’Etat. Ils ont par ailleurs tenu à rappeler leurs apports décisifs pour la mise en place du régime actuel. Le communiqué invite également les réservistes à arborer leur tenue au cours du « rassemblement » de ce jour. Il est à rappeler que les Zana-dambo ont revendiqué des indemnités de logement, de risque et que des allocations familiales leur soient versées, ainsi que le paiement des arriérés sur leurs indemnités de 25.000 francs par jour, lors de la pacification. Neuf jours après leur descente dans les rues de la capitale, les « Zana-dambo » refont surface pour revendiquer des droits qu’ils considèrent comme légaux.


EXPRESS MADA 19 fevrier 2004

L’EURO À 9130 : NOUVEAU PLONGEON DU FMG 
Le franc malgache a replongé hier sous la barre des 9000. Il a en effet clôturé sur le Mid à 9014 FMG pour le cours moyen pondéré d’un Euro, le cours maximum ayant été de 9130 FMG, tout cela malgré une injection 700.000 Euros de la part de la Banque centrale sur le marché. La barre psychologique des 9000 FMG pour un Euro a donc de nouveau été franchie. 
La dernière fois où notre monnaie a glissé en deçà de ce niveau, fut au cours de la récente « semaine noire » du mois dernier pendant laquelle la cotation maximum de l’Euro avait frôlé les 10.000 FMG, provoquant à l’époque une véritable panique dans les milieux économiques. 
Ainsi, contrairement aux déclarations faites depuis par le ministre des Finances et du budget Radavidson Andriamparany, et malgré une accalmie passagère d’une quinzaine de jours, le franc malgache reprend sa descente aux enfers Les commentaires entendues hier après-midi dans les divers milieux d’affaires commencent à mettre sérieusement en doute la crédibilité de nos principaux responsables économiques lesquels n’en finissent pas d’être démentis par les faits. De même, les propos qui se voulaient rassurants des représentants du FMI et de la Banque mondiale lors de leur conférence de presse de lundi, n’ont pas empêché la monnaie nationale de persister dans sa dérive baissière. C’est comme si cette conférence de presse avait rendu les choses encore plus troubles et l’avenir économique immédiat, encore plus illisible. 
L’inquiétude s’installe donc de nouveau chez les opérateurs économiques car 
Madagascar est un pays traditionnellement beaucoup plus importateur qu’exportateur. Ces craintes sont encore plus ravivées par l’appréhension devant l’attitude qu’adoptera le secteur bancaire face à cette « crise ». 
Cette dépréciation monétaire va en effet nécessairement engendrer ou aggraver les problèmes de trésorerie des entreprises du fait par exemple, du renchérissement des importations, de la mévente éventuelle causée par la hausse des prix, de la nécessité d’accorder encore plus de crédit aux clients etc. Les banques auront alors à décider si, devant des risques ainsi accrus, elles fermeront le robinet par prudence ou si elles accorderont plus de crédit aux entreprises pour les aider à tenir le coup. 
Dans le premier cas, nombreuses seront les entreprises qui y laisseront des plumes, surtout les petites et moyennes. Dans le deuxième, c’est l’ensemble du système bancaire qui, avec un encours de crédits plus risqués pourrait être à son tour entrer en crise. Avec les centaines de milliards de redressement fiscal qui leur pendent actuellement au nez, les banques ne sont certainement pas aujourd’hui enclines à faire trop de cadeaux. 


EXPRESS MADA 18 fevrier 2004
Crevant les écrans de télévision, Manandafy allume la bombe de l’amnistie
« Le monde nous jugera sur cette loi d’amnistie ». Manandafy Rakotonirina, conseiller spécial du président Ravalomanana et président national du parti MFM, persiste et signe. Le 24 octobre à Dakar et en sa présence, le ministre sénégalais des Affaires étrangères a déclaré en substance à Mme Lila Ratsifandrihamanana, ancienne ministre des Affaires étrangères et actuel ambassadrice en résidence à Dakar que « si en 2004, une loi d’amnistie ne voit pas encore le jour, Madagascar n’aura plus de financements »
Le ministre qui revenait de la réunion parisienne du « Club des Amis de Madagascar » auquel la France et le Sénégal avaient joué un rôle actif, avait délivré le « message » aussitôt répercuté vers le président Ravalomanana et par Manandafy Rakotonirina, conseiller spécial et par l’ambassadrice. Crevant l’écran de la station TV Plus, au cours d’une émission spéciale, après avoir lancé un premier coup de semonce sur MATV, Manandafy Rakotonirina aura mouché les fonctionnaires d’Ambohitsorohitra – « qu’est-ce qu’ils y connaissent ? » - qui s’étaient fendu d’un démenti aussi rageur que malveillant. La semaine dernière, Manandafy Rakotonirina avait rapporté au journal « Midi Madagasikara », les propos du ministre sénégalais tenus il y aura trois mois mais qui tombent comme un pavé dans la mare. Ce dernier avait évoqué des liens entre la question de l’amnistie et les relations avec les bailleurs de fonds, ce qui a été rapporté par le président national du MFM et fait l’objet d’une conférence de presse conjointe des représentants résidents de la Banque mondiale et du FMI, avant-hier à Anosy. Manandafy Rakotonirina n’aura pas fait mentir sa réputation d’agitateur...d’idées. Son information était pourtant du réchauffé déjà servi au Président de la République. D’où, sa sérénité. « Il n’y a aucun nuage dans mes relations avec le Président ». 
Manandafy Rakotonirina explique son souci de « protéger » le président Ravalomanana, « qui n’a pu faire que ce qui lui revenait, la grâce ». Manandafy rappelle que le Président a été clair à Diégo-Suarez en encourageant les parlementaires à « avoir de l’audace et oser ». Manandafy révèle avoir conseillé que « s’ils vous gênent, procédez à la dissolution du Parlement et du gouvernement ». D’où sans doute, une contre-offensive du sérail. Les thèmes de bavure et de démission « responsable » court les rédactions. 
:Mamy Nohatrarivo 


WANADOO.MG  18/02/2004

Rova Manjakamiadana : renaîtra-t-il un jour de ses cendres ?
Le Rova de Manjakamiadana a été fortement malmené par le cyclone Elita. Tandis que le Rova d'Ambohimanga vient d'être inscrit officiellement par l'Unesco comme patrimoine mondial. 
Le palais de la reine, le Rova de Manjakamiadana vient d'être sérieusement endommagé par le cyclone Elita. Une partie du mur vient de s'effondrer et les voisins ont été priés de déménager en attendant. Il fallait s'y attendre après des années d'attente. 
L'actuel directeur de la direction national de l'opération Rova DNOR, Marcel Andriatsitohaina note qu'il faut dans les 22 millions US$ soit dans 135 milliards de fmg pour réhabiliter le Rova de Manjakamiadana. L'inflation est assez importante donc car au début, plus exactement en mars 1997, les études ont évalué à 6.646.000 US$ soit près de 52 milliards de fmg le montant nécessaire à la réhabilitation du palais de la reine incendié. Mais le coût est multiplié par près de 3,5 en l'espace de 7 ans. Et si on va attendre encore ce sera la même chose. Rappelons qu'entre 1997 et 2001 la DNOR n'a disposé que de 1,7 milliard de fmg pendant 4 ans (sans oublier les 600 millions de fmg détournées par l'ancien responsable de cette direction) alors qu'elle a besoin de 13 milliards de fmg annuellement à cette époque. Actuellement si on veut finir les travaux en 5 ans il faut que la DNOR dispose de 27 milliards de fmg par an. Qui va financer les travaux alors? L'Etat dans le contexte actuel a d'autres priorités, d'autres urgences ce qui est compréhensible. Quant aux traditionnels bailleurs de fonds, ils mettront peut-être la main à la poche. Mais ce n'est pas sûr dans la mesure où la réhabilitation du Rova est devenu le fond de commerce de certains, sans parler des détournements de fonds des certains responsables. Quant aux nationaux, ils sont aussi échaudés par la malversation et le peu de réalisation constatée. 
Déjà à cette époque, alors que le Rova n'était pas aussi endommagé qu'aujourd'hui mais le financement arrivait au compte goutte, alors on estimait à 140 ans le temps nécessaire pour réhabiliter le Rova. Peut être que nous devrons nous rendre à l'évidence, où allons nous trouver un tel financement en premier lieu ? On va dire que l'actuel régime est plus compétent que le précédent et qu'il va trouver le financement nécessaire. Mais compétent ou non, à moins de faire un miracle, la priorité apparemment est ailleurs. Mais qui va oser dire à la population qu'on ne trouvera pas de l'argent pour ces travaux et peut être qu'il vaut mieux le laisser à l'état actuel d'autant qu'une grande probabilité de démantèlement du Rova est envisagée. 
Notons qu'au niveau des travaux qui sont déjà réalisés il y en a les différentes études au préalable déjà réalisées, archéologiques, géotechnique….Et selon le programme établi depuis le début, après les études, il a fallu procéder à la sacralisation du site, puis aux travaux archéologique, ensuite aux travaux de sauvegarde. Cette dernière opération est nécessaire pour la protection des parties épargnées par l'incendie qui est la maçonnerie de pierre. Après la sauvegarde doit suivre la rédaction des documents définissant les grandes lignes des travaux et qui fixe le coût, la durée. 
Sur terrain, on a déjà procédé au renforcement provisoire de la maçonnerie de pierre mais aussi à la réhabilitation de l'église. Notons que le changement fréquent de responsables aussi bien au niveau du gouvernement que de la DNOR entraîne aussi une discontinuité des décisions et des travaux. Certains nouveaux responsables ne savent même pas que la DNOR est le maître d'œuvre, c'est à dire que tous les travaux doivent passer par lui. Dans le temps certains travaux ont ainsi réalisé sans son approbation. Mais le plus grand handicap évidemment concerne l'insuffisance de financement pour la réalisation des travaux. D'autant qu'il est arrivé des fois que le ministère de tutelle ne se soucie même pas de suivre les dossiers de demande de financement auprès des différents bailleurs de fonds. Le suivi de ces dossiers, ainsi que la recherche de financement ne relève pas de la mission de la DNOR. 


RFI   15 février 2004

Finale : Tunisie - Maroc (2-1)
Au bout de leur rêve
La Tunisie, pour la première fois, est championne d'Afrique. Une victoire acquise aux dépens du Maroc par deux buts à un, au terme d'une rencontre de grande intensité. 
Contre
La Tunisie vainqueur
de la 24e Coupe d'Afrique des nations
Finale  Tunisie 2 - 1 Maroc 

Finale : Tunisie - Maroc (2-1)      Au bout de leur rêve
La Tunisie championne d'Afrique, c'est une première pour ce pays qui rejoint ainsi ses voisins maghrébins, Algérie et Maroc, déjà vainqueurs par le passé. Les camarades de Riadh Bouazizi, capitaine d'un jour, ont tout donné et ils ont remporté la coupe.
De notre envoyé spécial en Tunisie

La Tunisie est en liesse. A l'exception peut-être d'un homme, Khaled Badra, capitaine et chef de défense de la sélection, privé de finale pour cause de double carton jaune. A 31 ans, il n'est pas sûr qu'il puisse retrouver une telle opportunité. Ce sera, pour lui, un jour sans dans une carrière bien remplie avec son club de toujours, l'Espérance de Tunis. 
L'absence de Badra n'a pourtant pas eu d'incidence négative sur le comportement de ses troupes, dopées par la présence d'un public festif, du chef de l'Etat, du président de la FIFA et de celui de la CAF, ainsi que par le soutien de tout un pays qui ne rêvait que de la victoire. Et la Tunisie n'a jamais tremblé dans cette finale, entrant tout de suite dans la partie. Dès la cinquième minute un centre de Mehdi Nafti permettait à Santos d'ouvrir le score de la tête. Un but si rapide, cela prouvait que les Tunisiens étaient sur le terrain pour ne laisser aucun répit à leur adversaire.
Cueillis à froid, les Marocains étaient dans l'impossibilité de trouver leurs repères, constamment pressés par des adversaires omniprésents sur le porteur du ballon. D'ailleurs, quelques instants plus tard, sur une passe mal assurée de Ouaddou à Khalid Fouhami, Jaziri, en embuscade, obligeait ce dernier à se coucher sur le ballon. Les Tunisiens étaient dominateurs et, surtout, interdisaient aux Marocains de développer leur jeu court et précis.

L'égalisation du Maroc
Le portier marocain Fouhami n'était pas à la fête. Il était constamment aux aguets, sur une tentative d'Adel Chedli (19e) qui, après un beau geste technique, envoyait son tir au-dessus de la cage ou sur cette frappe de José Clayton (23e) qu'il détournait, les deux poings en avant. Les Aigles de Carthage étaient en permanence en mouvement, disponibles les uns pour les autres, le porteur du ballon ayant plusieurs solutions avec des partenaires bien placés.
Les Marocains approchaient parfois le but d'Ali Boumnijel, que ce soit par des frappes d'Hadji, Kaissi ou Regragui, mais sans créer un véritable danger. Jusqu'à la 38ème minute où Youssef Hadji de la ligne de but tunisienne adressait un centre parfait en retrait que d'une tête plongeant déterminée, Youssef Mokhtari catapultait au fond des filets. Coup de tonnerre dans le satde de Radès. Le Maroc venait d'égaliser. Les joueurs de Badou Zaki allaient-ils retrouver leur jeu? Un dernier frisson provoqué par une tête du capitaine du jour au-dessus du but de Fouhami précédait la rentrée des vingt-deux acteurs aux vestiaires. Une belle finale, intense, un jeu de qualité et toujours correct. On ne s'était pas déplacé pour rien.

Contraint de suivre la finale sur le banc en raison d'une suspension, Khaled Badra (à droite) a ensuite pu savourer la joie d'offrir à la Tunisie son premier titre de champion d'Afrique. (Photo AFP)

Le travail de Lemerre
La deuxième période allait se révéler moins dense, en raison sans doute de la fatigue des matchs accumulés depuis le 24 janvier. Pour les deux équipes, il s'agissait de leur sixième match, avec pour chacune d'entre elles, des prolongations lors d'une rencontre. Le coeur, la volonté étaient du côté des Tunisiens, ce qui devait largement contribuer à les porter vers la victoire. Une victoire qui devait se dessiner très vite, après seulement six minutes de jeu. Une balle de Santos pour l'autre Tuniso-brésilien José Clayton. Ce dernier tente un tir, Fouhami rate sa prise de balle au sol et relâche dans les pieds de Ziad Jaziri qui n'a plus qu'à pousser l'objet de toutes les convoitises au fond des filets. 2-1, ce sera la score de la finale qui consacre pour la première fois la Tunisie qui, par le passé, avait échoué deux fois dans l'ultime rencontre (1965, 1996).

Cette victoire réjouit tout un peuple à qui il manquait ce trophée. Elle est la récompense du travail accompli depuis quinze mois par le pestiféré de la dernière Coupe du monde, Roger Lemerre. Il a démontré à la tête d'une équipe pas nécessairement plus forte que les quinze autres, qu'un travail sagement élaboré sur le moyen terme pouvait donner des résultats très intéressants. De nouveaux joueurs se sont révélés dans cette équipe, tels que Karim Hagui, Ziad Jaziri ou Santos le néo-Tunisien. Mais sa force est avant tout collective. 

Le Maroc a perdu la finale par la faute d'une Tunisie plus déterminée à gagner ce match crucial, mais il sort comme l'un des grands vainqueurs du tournoi. Cette équipe est en devenir, comme l'ensemble du football maghrébin. Les seigneurs du foot africain, le Cameroun, le Nigeria, et plus récemment, le Sénégal, ont du souci à se faire. Les choses bougent au nord et la supériorité des premiers depuis une douzaine d'années risque d'être très vite totalement remise en question. C'est sans doute l'une des conclusions principales d'une CAN 2004 dont on a la certitude qu'elle est un bon cru.
Gérard Dreyfus
14/02/2004

Le Tunisien Santos a, une nouvelle fois, été décisif en attaque lors de la finale, marquant son quatrième but de la compétition. (Photo AFP)

           


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  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


TRIBUNE DE MADA 20 fevrier 2004

Culturel  Miss Manja 2004 -  A Paris mais pas ici
Depuis que Mme Anna Radavisa est devenue mairesse d'Ivato Tanàna, on ne sait plus ce qu'il est advenu de Finardie, Miss Malaïka Madagascar...
Aussi, aujourd'hui, allons-nous vous parler de Miss Manja 2004. Mais à Paris. L'élection se tiendra le samedi 28 février 2004, à partir de 21h30, chez " Les Portes, salons de la Reine ", 253, boulevard Jean-Jaurès, à Boulogne Billancourt. En fait, il s'agit d'une troisième édition du genre. Cette année, place à l'élégance, au charme et la beauté malagasy. Pour être plus précis, il s'agit d'une élection régionale dans le cadre d'une soirée dansante animée par des Dj. Admirez déjà la photo... Les critères étaient : être d'origine malagasy, âgée de plus de 18 ans et mesurant au moins 1,65 m, habitant en Ile-de-France et le Nord de la France.


TRIBUNE MADA 18/02/2004

Pety Rakotoniaina      «C'est mon droit absolu !» 
"En tant que maire de la Commune urbaine de Fianarantsoa, j'ai le droit et le devoir d'intervenir pour résoudre ces problèmes qui minent actuellement le Lycée Raherivelo Ramamonjy. Et j'insiste que c'est mon droit absolu". C'est ce qu'a déclaré hier Pety Rakotoniaina, le nouveau maire de la Commune urbaine de Fianarantsoa, lorsqu'il a répliqué aux propos qui le taxent de vouloir récupérer "politiquement" ce mouvement de contestation des élèves du Lycée Raherivelo Ramamonjy pour déstabiliser ce régime en place. Par ailleurs, l'enfant terrible du MFM n'a pas digéré la décision du ministère de la Communication ayant ordonné la fermeture de la Radio SAVA dont il est le propriétaire-fondateur. Et il a, à cet effet, interpellé le ministre Mahazaka Clermont Gervais : "Pourquoi n'a-t-on pas non plus fermé la Radio MBS Fianarantsoa qui a diffusé des fausses informations comme quoi un chef des "dahalo" a été pris au domicile du député Herihajaina d'Ikalamavony alors que c'est complètement faux car, au contraire, c'est la femme du député Haja qui a voulu rendre service à l'autorité locale en ayant fait venir chez elle, Sangody recherché pour le conduire par la suite dans les bureaux de la gendarmerie ?". Bref, Pety Rakotoniaiana voulait tout simplement laisser entendre à travers ces "répliques" qu'il intervient sans aucune arrière-pensée politique dans cette affaire du Lycée Raherivelo Ramamonjy pour que la population de la Ville de Fianarantsoa, dont il est le premier magistrat, puisse s'occuper "tranquillement" de leur vie quotidienne, loin des "perturbations" engendrées par la manifestation de ces élèves grévistes.
De sources informées, la Capitale du Betsileo aurait été hier encore le théâtre de violences estudiantines. Ainsi, des lycéens grévistes auraient saccagé le bureau du DirESEB, pointé du doigt pour être le premier responsable et le fomenteur de tous ces malaises au sein du Lycée Raherivelo Ramamonjy. Un DirESEB qui aurait insisté, malgré la contestation des enseignants et des parents d'élèves, sur l'installation du nouveau proviseur Rakotovao Marcellin. 
Toujours dans la matinée d'hier et après avoir envahi le bureau du DirESEB, les grévistes, qui auraient décidé d'arrêter complètement les cours jusqu'au nouvel ordre (jusqu'à la tombée de la décision du ministère de tutelle reconduisant à son poste l'ancien proviseur) qui, faut-il le dire, bénéficient actuellement de la forte mobilisation des parents d'élèves, auraient fait sortir les élèves du CEG de Mahamanina pour étoffer leur mouvement de revendication.
Est-ce alors dans l'interêt de ce régime de persister dans le maintien de M. Rakotovao Marcellin, le nouveau proviseur et objet de cette contestation qui ne cesse de s'amplifier et pire de faire tâche d'huile ? Et à qui profite cette décision du ministère de la Communication ayant ordonné la fermeture de la Radio SAVA auprès de laquelle plus de 80 % des Fianarois s'informent habituellement ? Et ce alors que, selon Pety Rakotoniaina, les journalistes de sa Radio (SAVA) n'ont jamais annoncé "de leurs propres bouches" la mort de Miora, l'élève gravement blessé lors de l'affrontement lundi dernier entre les forces de l'ordre et les élèves grévistes. "D'ailleurs, après avoir constaté de visu à l'hôpital principal de Tambohobe que Miora n'est pas mort mais dans le coma, j'ai immédiatement donné l'ordre aux journalistes de ma Radio de rectifier", a-t-il encore précisé.
Quoi qu'on dise et malgré les réponses que l'on peut apporter à ces questions, force est de reconnaître que la résolution de ce problème qui perturbe fatalement le déroulement de l'enseignement au Lycée Raherivelo Ramamonjy de Fianarantsoa, ne serait possible qu'avec l'intervention des différentes autorités "locales" dont entre autres le Maire de la ville, Pety Rakotoniaina.


MIDI MADA   18/02/2004

LES OBSÈQUES DU Rév. DAOUD SAUVÉES DU SCANDALE ! 
Des affrontements évités, grâce aux autorités officielles !

Les funérailles du Révérend Mounir Aziz Daoud, patriarche de l’église pentecôtiste, fondateur de l’association cultuelle Jesosy Mamonjy, se sont finalement, déroulées sans heurts. Les affrontements ont été évités de justesse, grâce à l’intervention des autorités officielles, composées du Préfet de police, du délégué du 3ème arrondissement, ainsi que des éléments de l’EMMO/FAR. L’objet des disputes entre les prétendus héritiers du Révérend et ses supposés successeurs, concerne principalement l’exécution des sacrements de l’église et la cérémonie religieuse relative aux funérailles. 
Vola Andriamanana
Terrain neutre 
Les autorités officielles ont résolu le problème en convoquant d’urgence, une séance de travail entre trois représentants de chaque partie sur un terrain neutre, le gymnase couvert d’Ankorondrano en l’occurrence. A l’issue de ces négociations, qui ont duré plus de 3 heures, il a été décidé qu’un office religieux, assuré par les supposés successeurs du Révérend, se tiendra à l’église et la cérémonie religieuse relative à l’enterrement sera dirigée par ses prétendus héritiers. La dépouille mortelle du patriarche de l’église Jesosy Mamonjy a ensuite été acheminée vers Ivato, lieu de son repos éternel. Ainsi, un long cortège de voitures, a quitté Ankorondrano vers 14h30, pour mettre le cap sur Ivato. Inutile de préciser que cet imposant cortège a sérieusement perturbé la circulation. Mais ces milliers de fidèles ont voulu témoigner leur respect à ce grand missionnaire, qui a accompli jusqu’au bout son ministère. 
Expulsion 
Le Révérend Daoud est né le 6 juin 1924 en Irak. Devenu citoyen américain et marié à une Américaine, il débarque à Madagascar en 1960. Trois ans après, en 1963, il fonde la première église Jesosy Mamonjy à Ankorondrano-Antananarivo. Son prosélytisme actif a servi l’extension rapide de son église à travers tout le pays. 
En 1967, le Révérend Daoud avait été frappé d’une mesure d’expulsion du pays. Il n’est revenu à Madagascar que 25 ans plus tard, en 1991. Depuis, les activités religieuses de l’église Jesosy Mamonjy ont repris de plus belle. Elle compte actuellement, plus de 1.700.000 fidèles, répartis dans quelque 600 paroisses aux quatre coins de l’Ile.
Déchirure
Malgré son expansion, l’église Jesosy Mamonjy n’est pas à l’abri de problèmes divers. Déjà, du vivant du Révérend, qui commençait à prendre de l’âge, le vent de la déchirure soufflait sur son église. Plus d’une affaire interne a été portée devant la justice, comme c’était le cas de l’école d’Akorondrano. Et la guéguerre continue dès l’annonce de la mort du patriarche. Les deux parties, les prétendus héritiers d’un côté et les supposés successeurs du Missionnaire de l’autre, s’affrontent à coups de communiqués. Devant cette situation, certains fidèles en viennent à douter de la cause du décès de leur patriarche. L’église de Jesosy Mamonjy survivra-t-elle à son fondateur ? Cette guerre de succession, en tout cas, ne concerne plus le patriarche, entré dans la paix du Seigneur.


La Gazette de la grande ile  18/02/04

Pillages de tombeaux, vols de bovidés…    Les calvaires des habitants du Menabe
Pillages de tombeaux, vol de bovidés, invasion des charançons… Voilà les principaux tourments auxquels sont confrontés les habitants des villages et communes sis dans les sous-préfectures de Miandrivazo et de Morondava depuis quelques temps. 
En effet, depuis le passage du cyclone « Elita », trois tombeaux situés à Betsipotika, commune rurale d’Analaiva, ont fait l’objet de pillage et de profanation. Selon les informations qui nous sont parvenues, les sépultures chapardées sont vidées de 70 dépouilles mortelles. Dans ce contexte, les larrons ont laissés les linceuls par terre. 
Dans la même foulée, 17 bœufs ont été soustraits frauduleusement à leurs propriétaires dans le Fokontany de Mahasoa, commune rurale de Befasy, sous-préfecture de Morondava le 31 janvier dernier. Grâce à la mobilisation des éléments des forces de l’ordre et de la population locale, trois escamoteurs ont été arrêtés. Par ailleurs, certains bœufs volés ont été saisis et remis à leur titulaire. Pas plus tard que dimanche dernier, le même scénario s’est produit dans cette commune rurale de Befasy. Dans ce cadre, 40 bovidés ont été détournés par les malfaiteurs qui ont pris la direction du sud. Heureusement, la population locale a pu suivre leur trace. Ce qui a permis de récupérer quelques bœufs. 
Enfin, un autre problème qui est loin d’être le moindre handicap les paysans de Miandrivazo, notamment ceux issus du fokontany d’Ankondromena. L’on sait actuellement que des charançons envahissent les rizières et abîment les récoltes. S’ajoute à cela les eaux de pluies emportées par le cyclone « Elita » qui ont inondé une grande partie des rizières et ont provoqué la destruction des moissons. Or la plupart de ces riziculteurs n’ont pas en leur possession des insecticides pour y pallier. En outre, cette localité ne dispose pas de techniciens ayant pour mission de les encadrer et de faire le suivi des cultures de riz. Désespérés, ces paysans qui risquent de voir leur rendement s’effriter, lancent un appel aux autorités compétentes pour que leur cas soit étudié.
Henintsoa A. 


Lettre de l'Océan indien n° 1075 du 07 février 2004 
POLITIQUE & POUVOIRS      La boulimie du groupe Tiko
Conduisant ses sociétés et les affaires de l'Etat avec le même dynamisme, le président Marc Ravalomanana a beaucoup diversifié les activités de son groupe Tiko depuis qu'il a accédé à la magistrature suprême. Son volontarisme a parfois contribué à créer un dangereux mélange des genres, accentué par le fait qu'en province les locaux de Magro, société du groupe Tiko, servent de quartier général au parti présidentiel TIM et que plusieurs anciens dirigeants de ce groupe et amis du chef de l'Etat occupent maintenant des postes de responsabilité dans l'appareil d'Etat. Il en est ainsi du président du conseil d'administration (PCA) d'Air Madagascar,
Heriniaina Razafimahefa ; du maire d'Antananarivo et PCA de la Jirama (énergie), Patrick Ramiaramanana ; du directeur général de l'Omnis et PCA de la Secren (construction navale), le général Andrianafidisoa ; d'un membre influent du conseil d'administration de la Seimad (société immobilière), Lala Rahamaefy, qui fut directeur de cabinet de Ravalomanana à la mairie d'Antananarivo ; d'un membre du conseil d'administration de la Caisse d'épargne de Madagascar, Harisetra Ravelojaonina.
L'efficacité avant tout. Au nom de l'efficacité gouvernementale, le président Ravalomanana n'a pas hésité à se servir de ses propres sociétés. Ainsi, l'avion présidentiel Boeing 737-300 a été immatriculé sous les références 5R-MRM au nom de la société Tiko Air dirigée par Nirina Andriamanerisoa. La société Asa Lalana Malagasy (Alma), du groupe Tiko, bénéfice de liens privilégiés avec la communauté urbaine d'Antananarivo et dispose d'une sorte de monopole du bitumage dans la capitale. Elle a également obtenu un contrat de réhabilitation de routes à Tulear et a travaillé en sous-traitance pour la société française Sogea. Le siège d'Alma se trouvait il y a peu dans une annexe du ministère des travaux publics à Tsimbazaza, à 200 mètres de l'assemblée nationale, mais il a été déménagé le
5 février à Ampasapito, dans la banlieue de la capitale, dans l'enceinte de Mikoja S.A., une firme spécialisée dans la réparation automobile, dans laquelle la famille Ravalomanana aurait des parts. Alma s'est associée à la firme allemande Bickhard pour déposer une offre pour le contrat de réhabilitation d'un tronçon routier d'un montant de plus de 133 millions d'euros. Leur offre est arrivée derrière celles des firmes françaises Colas et Sogea, mais une partie du contrat pourrait lui revenir sous une forme ou une autre.
Des médias aux crevettes. Via la Madagascar Broadcasting System (MBS) gérée par la fille du chef de l'Etat, Sarah, le groupe Tiko est également présent dans les médias audiovisuels et a lancé il y a quelques mois un journal Le Quotidien. En outre, l'imprimerie de MBS dispose d'un matériel de haute technologie qui lui a permis de rafler le marché de l'impression des étiquettes de produits à Madagascar. Le groupe Tiko a une véritable boulimie de diversification. 

Des membres de la famille de Ravalomanana se sont associés au Sud-africain Shoprite pour acheter en 2002 les supermarchés du
Français Cyril Juge tandis que Tiko a acquis en janvier 2003 plusieurs agences du groupe étatique Somacodis. Les "murs" du Hilton Madagascar ont été vendus par le groupe Fraise au groupe Tiko qui a pris une participation de 40% dans l'hôtel restaurant Le Colbert. En novembre 2003, Tiko a passé un accord avec le ministère de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche, et la société belge VDS Crustocean de Benoît Hillion, sur la mise en place d'une usine de fabrication d'aliments pour crevettes d'élevage. Tiko projetterait également de se lancer dans l'aquaculture. Bientôt les carburants. Les produits pétroliers pourraient devenir un autre secteur de diversification de ce groupe, de même que l'aviation. L'an dernier, le président Ravalomanana a annoncé la libéralisation du stockage
des carburants. Depuis lors, des proches du chef de l'Etat, en collaboration entre autres avec le fils de Norbert Ratsirahonana qui est directeur général de l'Auximad, se sont penchés sur un projet de création de Tiko Petroleum.
Des contacts exploratoires auraient été pris avec un pays producteur de pétrole en Amérique latine, ce qui expliquerait partiellement l'intérêt nouveau de la diplomatie malgache pour ce sous continent.

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