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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent 07 fevrier 2004

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Hello again....  TetezamitaKely  Communique sur MadaVôvö

sur le site d'ANIMATION ARR ...RRRRR ! 

http://a.ratsimbarajohn.free.fr/

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Sommaire Madavôvô:

1- Pierrot Rajaonarivelo prône l’Unité nationale, le Tim France le développement (Midi Mada) 

2- Réhabilitation du Rova (Midi Mada) 

3- Ambassadeur de Madagascar au japon issu de la grande famille des Rainizafimanga (Correspondant Rainizafimanga)

4-Tily eto Madagasikara 80 années d'éducation scoute ! (Midi mada)

5- No Comment.... No Comment...  

6- Tsy mba zazakely intsony amin’izao fotoana izao no very fa dia ankizy efa lehibe tsotr’izao. (Express mada)

7- Sport        CAN 2004      QUATRE QUARTS DE FINALE DE REVE ! (La gazette)

8- Culturel : Patrimoine de l'UNESCO Regard sur le Rova d'Ambohimanga (Tribune de Mada)


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MIDI MADA Samedi 7 février 2004 
Le CRN et la diaspora pro-Arema en France ont recensé quelque 324 « prisonniers politiques »
Pierrot Rajaonarivelo prône l’Unité nationale, le Tim France le développement 

L’Association pour l’intérêt et la défense de l’Unité nationale de Madagascar (Assidu-Madagascar) basée en France et regroupant certains membres de la diaspora malgache pro-Arema a publié une liste de ce qu’elle qualifie de « prisonniers politiques » à Madagascar. Cette liste ayant comme base les noms fournis par le Comité pour la Réconciliation nationale (CRN) comprend quelque 324 noms de présumés incarcérés depuis 2002. 
Val A.
A la lecture d’une telle liste, on relève que certaines personnalités ont déjà depuis été libérées. Certains ont bénéficié de la récente grâce présidentielle, d’autres attendent encore leur procès. Il faut rappeler sur ce plan que le ministère de la Justice a publié la liste des 73 condamnés ayant obtenu la grâce présidentielle.
Anonymes
La liste est répartie par province et les initiateurs précisent qu’elle n’est pas exhaustive. Ainsi, pour Antananarivo, le CRN et la diaspora de l’Assidu enregistrent 21 « prisonniers politiques », 98 pour Antsiranana, 44 pour Mahajanga, 119 pour Toamasina, 7 pour Fianarantsoa, et 35 pour Toliara. La liste comprend évidemment des noms d’anciens ministres, d’anciens députés, de hauts gradés militaires et des policiers, ainsi que d’anciens responsables administratifs, élus régionaux, et de simples citoyens. A la lumière de son contenu, la liste mentionne également un nombre précis de militants Arema anonymes, qui auraient été arrêtés depuis que les « Evénements 2002 » ont été instruits. Chose qui peut paraître curieuse, on y lit même le nom d’un responsable ministériel actuel. Mais comme arrestation ne voulait pas toujours dire culpabilité à l’époque, beaucoup de choses se seraient passées.
Arbitraire
Sur ce même plan, notons que le Secrétaire national de l’Arema, Pierrot Rajaonarivelo, est actuellement le président d’honneur de cette association en France dénommée Assidu. Le 31 janvier dernier, au cours d’un « cocktail de retrouvailles », une rencontre des représentants de l’opposition malgache en France organisée par l’association, Pierrot Rajaonarivelo, selon une source émanant de l’association même, diffusée sur Internet, a axé son intervention sur l’unité nationale. Pierrot Rajaonarivelo, « a tenu à remercier l’assistance, ainsi que les membres d’Assidu Madagascar pour le chemin parcouru durant l’année écoulée, marquée par un début de mobilisation de la communauté nationale et internationale contre l’arbitraire qui s’est installé dans la Grande Ile depuis la dernière crise post-électorale de 2002 ». « Il a, par ailleurs, demandé aux membres de l’association d’être toujours assidus et de doubler d’effort dans leurs actions de défense de l’Unité Nationale, de la Démocratie et de l’Etat de Droit ».
Partenaires financiers
Parlant toujours de diaspora malgache en France, une autre aile, celle pro-pouvoir dont se trouve à la tête le Tim France présidé par Fanantenandrainy Ratsimbazafy, s’est réunie à Paris et le message de ce dernier a été axé sur « la manière avec laquelle la diaspora peut contribuer au développement économique du pays ». Dans son message à l’occasion du nouvel an, le président Tim France souligne que « la diapsora a le devoir de participer financièrement à la promotion des entreprises à Madagascar, notamment si elle arrive à trouver des partenaires financiers pour des besoins d’investissements et de moyens de production ». Deux discours différents donc pour une même diaspora en France.
Réhabilitation du Rova : 

 LA PROPOSITION DU CONSEIL DE REGION DE LA REUNION RESTEE SANS SUITE! L’effondrement d’un pan entier du mur du second étage côté face (au Betsimitatatra), remet sur le tapis, la question sinon de sa restauration, du moins de la préservation (par rapport à l’histoire et à la culture) et de la sécurisation (par rapport aux habitations environnantes et à leurs occupants) des ruines du Rova.
R.O. 

 L’effondrement d’un pan entier du mur du second étage côté face (au Betsimitatatra), remet sur le tapis, la question sinon de sa restauration, du moins de la préservation (par rapport à l’histoire et à la culture) et de la sécurisation (par rapport aux habitations environnantes et à leurs occupants) des ruines du Rova.
R.O. 
C’est justement au nom « d’une partie d’histoire commune qui est à l’origine des liens étroits qui existent entre les deux îles » que le Conseil régional de la Réunion a fait savoir que « des actions de coopération pouvaient être envisagées entre nos institutions sur certains aspects du programme de réhabilitation … ». C’était le 23 octobre 2002, dans une lettre adressée par Idriss Omarjee, directeur de cabinet du président du Conseil régional, à la direction nationale de l’opération Rova. A l’Hôtel de Région Pierre Lagourgue, Avenue René-Cassin, Moufia, on a souligné que « cette coopération pouvait prendre la forme d’une mobilisation d’expertise réunionnaise (ingénierie notamment) ».
Technique
La mise en œuvre de « chantiers écoles » était également envisagée côté réunionnais qui attendait d’être « saisi officiellement afin d’étudier les modalités d’un partenariat renforcé entre la Région Réunion et le ministère de la Culture de la République de Madagascar ». Ce dernier n’a pas apparemment donné suite à l’offre de la première, en dépit de plusieurs relances et quand bien même la question aurait été évoquée devant le président Marc Ravalomanana et le président du Conseil de Région, Paul Vergés, à l’occasion de la visite du numéro Un malgache dans l’île sœur fin juillet 2003. 6 mois après, à cause d’une technique de consolidation des ruines qui tenait - Elita l’a montré - plus du bricolage que d’une véritable ingénierie, le Rova de Manjakamiadana a failli s’écrouler comme un château de cartes, avec ce que cela suppose de quasi impossibilité de récupérer et de numéroter toutes les pièces indispensables à la restauration. La culture serait-elle vraiment c’est ce qui reste quand on a tout perdu ? 


Nos Correspondants à Mada   04/02/2004

L’Ambassadeur Jocelyn B. Radifera : 

"mon objectif : mettre Madagascar sur la carte au Japon" 04-02-2004 / 11:38 
Jocelyn B. Radifera, le nouvel Ambassadeur de Madagascar au Japon, est de passage à Madagascar pour consultation auprès du Président de la République, du Premier ministre, du Ministre des affaires Etrangères. Il en a profité pour effectuer une visite de courtoisie à des membres du gouvernement. Il regagne aujourd’hui le Japon après un séjour d’une dizaine de jours. 
Une carrière de financier avec 28 ans à la Banque Mondiale. Jocelyn B. Radifera a fait une grande partie de sa carrière professionnelle dans cette institution de Bretton-Woods, où il entre en 1969 comme attaché de direction à la division des Titres en charge à la fois de la gestion du portefeuille de prêts de la Société Financière Internationale et de certains emprunts de la Banque Mondiale sur les marchés de capitaux. Après avoir évolué à divers postes au Département des opérations financières du Bureau du vice-président et trésorier de la Banque Mondiale à Washington D.C, il a assumé la fonction de Directeur Adjoint du Bureau de la Banque Mondiale à Tokyo pendant cinq ans avant de décider en 1997 de prendre sa retraite pour faire du consulting en matière financière et d’investissement. Il était au bout du compte prédestiné à cette carrière de financier de par sa formation et les brillantes études qu’il a faites en grande partie aux Etats-Unis, Howard University en 65, Harvard University en 71, sans oublier le stage à la Banque nationale de Paris de 65 à 67 et son emploi à la Banque Nationale de l’Océan Indien de 67 à 69, à Madagascar. 
Madagascar pays pilote 
Le Président de la République l’a pris de court en lui proposant de devenir Ambassadeur de Madagascar au Japon. Marié à une Jamaïcaine, père de deux fils dont l’un est architecte avec son cabinet à Washington et l’autre photographe qui travaille dans l’informatique à Charlostteville, grand-père de trois petites-filles, il est à 64 ans, un homme heureux et comblé. Mais que ne ferait-on pour son pays ? Jocelyn B. Radifera se souvient qu’ après l’indépendance en 1960, le Japon avait reconnu Madagascar comme pays indépendant. « C’est mon grand-père, Louis Rakotomalala, qui avait été nommé premier Ambassadeur de Madagascar au Japon en 1962 avec résidence à Washington. Il allait et venait au Japon pour entretenir les relations d’amitié et de coopération», confie-t-il en poursuivant qu’il y a aujourd’hui beaucoup à faire entre les deux pays. Et pour cause, « Dans sa politique, le Japon veut faire de Madagascar un pays pilote. Le Japon l’a choisi pour être le pays qu’il faut absolument aider dans son développement ». 
Plan d’action en quatre volets 
Jocelyn B. Radifera a présenté ses lettres de créances auprès de Sa majesté l’ Empereur du Japon, le 16 janvier dernier à Tokyo. Il se donne déjà entièrement à sa nouvelle mission diplomatique avec un plan d’action et des programmes étoffés en quatre volets, consulaire, politique, économique et commercial, culturel et social. « Madagascar est mal connu et mal vendu au Japon jusqu’ici. Nous devons faire des efforts particuliers pour la faire connaître», remarque-t-il. Son objectif est de « mettre Madagascar sur la carte comme un pays d’opportunités pour les investisseurs au Japon et de conquérir les marchés japonais». A cette fin, il envisage de mener campagne auprès des politiciens japonais, d’effectuer des visites auprès des institutions comme le Parlement, du corps diplomatique et des organisations internationales pour avoir leur soutien. Au niveau économique, il pense renforcer les capacités de la cellule économique de l’ Ambassade à travers différentes actions. Entre autres, la mise en place d’un site web, des campagnes d’informations sur Madagascar, la création d’un Madagascar House s’occupant au départ du tourisme, la création d’un Japan/Madagascar Business Council, l’organisation de conférences pour la promotion de Madagascar dans les différentes villes du Japon. Des ministres malgaches des secteurs porteurs seront invités à donner des conférences sur leur secteur. L’Ambassadeur Radifera pense déjà organiser d’ici quelques mois une visite d’hommes d’affaires japonais à Madagascar. 
Partenariat dans tous les domaines
L’Ambassade aura du pain sur la planche car il participera à toutes les foires au Japon et projette aussi d’organiser une foire pour promouvoir les investissements étrangers à Madagascar. Au niveau culturel, il s’agira de trouver des sponsors pour faire venir des artistes malgaches au Japon et des artistes japonais à Madagascar. « Mon souhait sera de créer un partenariat avec le Japon dans tous les domaines». Enfin, le Japon souhaite aussi que Madagascar coopère étroitement avec les pays de l’Asie car une bonne partie de l’ assistance japonaise va vers ce continent à cause de ses ressources naturelles. « C’est dans ce cadre que le Japon désire aider Madagascar ». 
Bref, les relations entre le Japon et Madagascar devraient se renforcer davantage avec Jocelyn Radifera,
un Ambassadeur issu de la grande famille des Rainizafimanga qui associe la finesse de la diplomatie à la grande expérience du monde financier international. 
Zo Rakotoseheno 


Midi Mada 22 janvier 2004

Tily eto Madagasikara
80 années d'éducation scoute !

Les Tily ou Scouts de Madagascar fêtent cette année leur jubilé de 80 ans. Et la célébration sera ouverte officiellement ce samedi. Une marche fraternelle à travers la ville d'Antananarivo, pour rallier le théâtre de verdure d'Antsahamanitra où se tiendra une grande rencontre, ouvre très tôt les festivités. Et demain, dimanche, un culte sera célébré au Palais des Sports et de la Culture de Mahamasina, à partir de 14 heures 30. "Le Scoutisme est, en effet, une organisation mondiale et bénévole, dont le but est le développement personnel des enfants et adolescents des deux sexes, par une éducation morale, physique, pratique et civique". Le mouvement compte aujourd'hui près de 25 millions de membres répartis dans 136 pays. Il a été fondé en 1909, en Angleterre, par Robert Baden-Powell. Ses aventures ont servi de modèle, démontrant une façon d'apprendre, de vivre, de survivre, de servir et de réussir qui est à partager à d'autres. Le scoutisme est ainsi une école de l'autodoscipline et de l'initiative.

Mais avant tout, le scoutisme est une méthode d'éducation chrétienne et civique des jeunes par le respect de la Loi Scoute, l'emploi du système des patrouilles (ou des équipes pour les guides), et la pratique du jeu et de la vie dans la nature. Cette éducation est considérée, aux côtés de l'école, comme comlémentaire de la famille, qui est le premier responsable de l'enfant au premier chef. Elle est cependant complète, en ce sens qu'elle veut éduquer l'homme sur tous les plans : corps, esprit et âme et qu'elle attache un importance essentielle, non seulement à la formation personnelle, mais aussi à la formation de l'homme social et du futur citoyen. Elle est enfin active, car elle incite le jeune à prendre en charge sa propre éducation dans un cadre approprié à ses besoins et à ses forces. 
Nirina R.                              
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  les 'médiocres' parlent d'évènements

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Express Mada 07/02/2004

Ankizy very 
Tsy mba zazakely intsony amin’izao fotoana izao no very fa dia ankizy efa lehibe tsotr’izao. Amin’izay indray saika zazavavy avokoa. Raha ny fanazavan’ity zandary tafaresaka tamin’ny mpanao gazety dia somary mahazendana ihany ny zava-miseho satria ankizy salama saina tsara daholo izy rehetra ireny ary efa ao anatin’ny hafetsena tsara, tsy azo ambakaina na hadalaina amin-javatra hafa. Betsaka izy tato ho ato raha ny fitarainana voarain’izy ireo satria misy any amin’ny dimy isan’andro any. Ao ny irahin-dray aman-dreniny mividy zavatra dia tsy hita, ao ny lasa mandeha mianatra dia tsy miverina mody intsony, ao ny mivoaka kely dia any dia tsy hita koa … Tsy hay na lasa aiza na aiza. Amin’ny tarehin-javatra toy itony mantsy, raha zazavavy no very tsy hita, indrindra fa zazavavy ao anatin’ny fotoana ivelaran’ny sainy toy izao, dia misy alaim-panahy mihevitra foana fa mety ho nanaraka olona (sakaizany) izy. Nefa dia ho toy izany avokoa ve izy rehetra very ireny, indrindra raha mijery ny tarehi-marika isan’andro voalaza ery ambony ? 
Na izany na tsy izany dia tairina ihany ny sain’ny tompon’andraikitra mba tsy handrihandry foana amin’ny zava-miseho satria sahiran-tsaina amin’ity raharaha ity avokoa na ireo ray aman-dreny iharan’ny voina na ireo manampahefana mpanao famotorana. Dia ho sanatria ve misy manao trafika-na ankizivavy ihany koa ?:
N. R. 


La Gazette 07/02/2004 
Sport        CAN 2004      QUATRE QUARTS DE FINALE DE REVE !
Le jeudi 5 et le vendredi 6, la CAN 2004 a fait relâche. Ce temps de pause, pour permettre aux huit sélections qualifiées aux quarts de finale, de panser les blessures contractées lors des trois matches livrés, depuis le 24 janvier dernier. Toutes affichent leur détermination à retrouver la prestigieuse compétition. Une épreuve fort relevée en sa 24 ème édition. 
Quatre matches ce week-end. 
MALI-GUINEE 
Ce samedi, à 13H GMT, soit 16H chez nous, au stade El Mensah de la banlieue de Tunis, 
le choc Mali-Guinée. 
La sélection du Mali a bien entamé la première phase de la compétition. Les Aigles du Mali s’imposaient deux fois, par 3-1, face aux « Harambee Stars » du Kenya et devant la formation du Burkina Faso. Ainsi les Maliens justifiaient le progrès de leur football amorcé lors de la CAN 2002 organisée chez eux où le Mali avait surpris bien des observateurs, en se classant demi-finaliste. Dans cette sélection, volontaire et bien soudée, un certain Frédéric Kanouté, auteur de 3 buts, et un autre attaquant, Mohamed Sissoko (1 but). 
Son adversaire de cet après-midi la Guinée figure parmi les bonnes surprises de l’actuelle CAN. Après avoir battu la RD Congo 2-1 (0-1) la Guinée réalisa l’exploit , 1-1, face à la Tunisie évoluant à domicile. Au sein de « Sily National » évoluent des joueurs racés comme Pascal Feindouro, Mansaré et le remuant, Titi Camara, ( 33 ans, auteur du but, lors du 1-1 du Guinée-Rwanda mi-temps, 0-0). La confrontation de ces deux pays francophones sera probablement ouverte pour un maximum de spectacle. 
TUNISIE-SENEGAL 
Samedi, 16hGMT, soit 19H à Madagascar, le match, Tunisie-Sénégal 
La Tunisie évoluant à domicile est dangereuse. Elle s’imposa 2-1, face au Rwanda, 3-0 devant la RD Congo avant d’être tenue en échec, 1 partout, face à la Guinée. L’équipe tunisienne semble complète et bien organisée. Elle compte en son sein, l’attaquant brésilien de Sochaux, Dos Santos, récemment naturalisé tunisien et qui est un véritable poison. 
Après ses deux matches nuls, 0-0 devant le Burkina Faso, 1-1 devant le Mali, l’équipe du Sénégal vainqueur 3-0 du Kenya se qualifia en quarts de finale, sans réellement convaincre. Cette sélection, flamboyante et quart de finaliste du Mondial 2002, devra se remuer davantage et que Hadji Diouf arrête de chuter et de réclamer une faute à chacune de ses interventions. Mais les Lions de la Teranga ont d’autres joueurs de grande classe comme Henri Camara, Ferdinand Coly, Mamadou Niang, Habib Beye Pape Diop.. 
CAMEROUN-NIGERIA 
Dimanche, à 13h GMT, 18H chez nous, au stade de Monastir, le choc Cameroun-Nigeria. 
Ces deux sélections ne sont plus à présenter. Le Cameroun, vainqueur des deux dernières CAN 2000 et 2002, entend devenir, la première sélection africaine à s’imposer trois fois d’affilée. Samuel Eto’O et Rigobert Song se relèvent de leurs blessures. Si les partenaires de Patrick Mboma, du gardien Kameni daignaient se démener davantage sur le terrain, aucune sélection ne peut résister aux Lions Indomptables. Le Cameroun a montré des facettes de son immense talent, face à l’Algérie. Finalement, les Fennecs ont arraché un nul de 1-1. Le nul vierge, face à l’Egypte, survenant après sa victoire de 5-3 devant le Zimbabwe, traduit tout de même, une faiblesse défensive, car en trois matches, les Lions Indomptables ont encaissé un total de 4 buts. 
Le Nigeria surpris par le Maroc, 0-1, s’est bien ressaisi, en triomphant 4-0 de l’Afrique du Sud, Mondialiste 2002, comme lui, avant de signer une victoire difficile de 2-1, face au modeste débutant, Bénin. Dans le passé, en quatre finales de CAN disputées face au Cameroun, le Nigeria essuya trois défaites. La dernière confrontation des deux sélections, remonte à octobre 2003, en finale de football des Jeux Africains d’Abuja, à Abuja. Le Cameroun, l’emporta, alors, par 2 buts à 0. Mais un match est unique. 
L’actuelle version des Super Eagles, semble compétitive à souhait, avec un sémillant Jay Jay Okocha, qui fait les beaux jours de Bolton (Angl), un Kanu (Arsenal), du goalkeeper Vincent Enyeama (vainqueur en Ligue des Champions avec son club Enyimba), le Lensois John Utaka et le jeune Osaze Odemwingie 22 ans et déjà auteur de 2 buts. Sur un match, le Nigeria peut tout. Comment va-t-il se comporter, face à son ennemi sportif de toujours ? Réponse, demain. 
ALGERIE-MAROC 
Dimanche à 16H GMT, soit 19h à Madagascar, le match Maroc-Algérie. A Sfax et non à Tunis, comme souhaité par les deux protagonistes. En trois matches, la cage marocaine n’a été violée qu’une fois, lors du 1-1 livré, face à l’Afrique du Sud. Sinon, le Maroc a triomphé 1-0 du Nigeria, 4-0, devant le Bénin. Jusqu’ici, les Lions de l’Atlas se montraient les plus appliqués à développer un football technique. Cette fois, le Maroc semble en possession des moyens de son ambition. La sélection du Maroc a l’habitude de poser son jeu. Avec Noureddine Naybet (Corogne-Espagne), les redoutables attaquants Jaïri, Youssouf Hadji et autre Marouane Chamakh, cette sélection est dangereuse. 
L’Algérie, sa voisine géographique, pratique elle aussi, un football bien séduisant mais bien plus athlétique, comparé à celui du Maroc. Face au Cameroun, mentionnions-nous, lors de précédentes livraisons, l’Algérie l’avait échappé belle, 1-1, devant le Cameroun. Selon notre estimation, au suivi de la rencontre, l’Algérie aurait dû essuyer une lourde défaite d’au moins trois à quatre buts. Face à l’Egypte, l’Algérie a récidivé dans son miracle, en battant l’Egypte qui avait pourtant nettement dominé, par 2-1. Les Fennecs furent défaits 1-2, par les Warriors du Zimbabwe. Derrière ce que nous appelions « miracle à répétition », peut-être convient-il davantage, d’y déceler, l’expression d’une grande maîtrise technique individuelle et collective. En tout cas, au sein de l’Algérie, un certain Hocyne Achiou a ravi la vedette aux professionnels évoluant en Europe et présents au CAN 2004.
Jean-Martial VANIVATO 


Tribune de Madagascar   07/02/2004

Culturel : Patrimoine de l'UNESCO 
Regard sur le Rova d'Ambohimanga 
    Photo: www.masombahiny.com 
Descente, hier matin, d'une forte délégation gouvernementale, au Rova d'Ambohimanga, inscrit officiellement au patrimoine matériel mondial de l'Unesco, l'art du travail du bois Zafimagniry ayant été inscrit au patrimoine mondial immatériel de la même liste en 2003. 
Décembre 2001- Février 2004
En fait, avec tous ces changements ministériels, il s'agissait plutôt de présenter le nouveau ministre de la Culture et du Tourisme aux diverses entités s'occupant de ce Rova, ainsi qu'à la population locale. Car, sauf changement de dernière minute, Koïchiro Matsuura, le Directeur général de l'Unesco, qui a rang de chef d'Etat, effectuera une visite officielle à Madagascar les 16 et 17 février 2004. Il aura ainsi le loisir de visiter le Rova d'Ambohimanga.

 De toutes les façons, cette inscription date de décembre 2001 et Madagascar a ainsi bénéficié de 18.300 Usd, pour "assistance préparatoire". Selon une source bien informé, d'autres sites de la Grande île font aussi l'objet de proposition d'inscription sur cette liste de l'Unesco. Comme les grottes d'Isandra, les Rova de Tsinjoarivo et d'Antongona et même tout le pays Mahafaly. Rappelons que, suite à l'incendie de 1995, le Rova de Manjakamiadana a été écarté de la liste. Dans l'état actuel où elle se trouve, il faudra sûrement attendre une décennie avant que l'Unesco, qui a déjà donné, y pense à nouveau. De quoi faire réfléchir profondément... Il faut savoir qu'en 1994, le Comité du patrimoine mondial a adopté une conception du patrimoine culturel qui intègre, outre les monuments, diverses formes de représentations sociales, religieuses, artistiques ou artisanales. Le Comité a ainsi ouvert la voie à une distribution plus représentative du patrimoine de l’humanité. Une nouvelle notion est née : "le paysage culturel". Il s’agit de lieux exceptionnels qui, sans posséder obligatoirement des monuments historiques, associent étroitement les phénomènes culturels et religieux aux phénomènes naturels, ou perpétuent des traditions vivantes au sein des sociétés contemporaines. Tel est le cas du Rova Ambohimanga. 
Capitale religieuse...
Ambohimanga, la "Colline bleue". Onze ans après la Réserve naturelle de Bemaraha, la colline royale d’Ambohimanga, vient donc officiellement de rejoindre la liste du patrimoine mondial. Lieu de métissage des cultures asiatiques et africaines, associant étroitement le culte des ancêtres et celui de la royauté, Ambohimanga est le symbole le plus significatif de l’identité culturelle du peuple malgache. A la fois site historique et lieu sacré, la colline bleue (1.468 m) est aussi un témoignage des pratiques agricoles traditionnelles, notamment les rizières en terrasses irriguées. Les plantes locales très variées rivalisent en beauté avec les splendeurs architecturales de la cité royale d’Ambohimanga. Le Rova (cité royale fortifiée), datant du 15è siècle, a connu son essor entre 1740 et 1794, année où le palais royal a été transféré à Antananarivo. Ayant gardé son statut de capitale religieuse, Ambohimanga a continué à abriter les restes des souverains décédés. Leurs tombeaux se trouvaient dans la partie Est de la cité, espace sacré, réservé au culte des ancêtres. Les dépouilles reposaient dans une maison mortuaire de bois, le "Tranomanara", avant d’être transportées jusqu’aux tombeaux, où les rois, devenus ancêtres, continuaient d’exercer un pouvoir de protection et de sanction sur les vivants.
Mobilisation
Onze rois y reposaient jusqu’en mars 1897, lorsque les autorités françaises, qui ont colonisé Madagascar un an plus tôt, décidèrent de les transférer à Antananarivo. Une pelouse pousse à présent là où se dressaient jadis les tombeaux, mais la cité n’a pas perdu son âme. Elle demeure un haut lieu de l’histoire et de la spiritualité malgache. La gestion d’Ambohimanga est confiée à la municipalité et à la Direction du Patrimoine culturel. Le financement - 20.000 Usd, soit environ un sixième des frais - vient de l’Etat et de 60 % des droits d’entrée perçus. Des subventions extérieures ont été obtenues pour des travaux de restauration et des campagnes de publicité. Plus de 40.000 personnes visitent chaque année Ambohimanga, dont environ 12.000 touristes étrangers, sa capacité d’accueil étant de 1.000 visiteurs par jour. L’inscription du site sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco contribuera sans doute au développement du tourisme et permettra de mobiliser les institutions nationales et internationales en faveur d’une gestion et d’une préservation efficaces. 

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Emission Gasik'Arts  avec Marie Jo

 Le dimanche en direct de 12h00 à 13h30

92.6 FM Toulouse   103.7 FM Montauban
107.3 FM Castres Mazamet

 

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