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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
Sommaire
Madavôvô:
1-
Le consulat de Johannesburg bientôt transformé en
ambassade (Midi Mada)

2-
L'AUTOSUFFISANCE EN "VARY GASY" POUR 2004
(Express de Mada)
3-
Naivo Rahamefy Andriamihamina, Maire de Mahajanga-ville
(Express de Mada)
4-
No Comment.... No Comment...
5-
De Tantely Andrianarivo à Rainivoninahitriniony ? (Tribune de Mada)
6-
"Zafy incarne la vraie opposition à Madagascar"
(Tribune de Mada)
7-
Née à Madagascar, Jeanne-Paule Visnelda : Une guérisseuse (Clicanoo)
8-
Une voix d'or Razafimalala en France (Bal Lacomm')
Midi
Madagascar 29 décembre 2003
Diplomatie malgache
: Le consulat de Johannesburg bientôt transformé en
ambassade
« Nous avons déjà ouvert l’Ambassade de Dakar, qui assure la représentation de Madagascar en Afrique de l’Ouest. La priorité pour la diplomatie malgache est de renforcer la représentation malgache à l’extérieur, et d’établir des branches qui feront la promotion économique du pays dans ces représentations. Nous pensons ainsi transformer bientôt le Consulat général de Madagascar à Johannesburg en Ambassade ».
Bodo A
C’est ainsi qu’on peut résumer les perspectives de la diplomatie malgache, que le ministre des Affaires Etrangères, le Gal Marcel Ranjeva, a développées sur les ondes de la Rnm samedi dernier. Il a également établi la rétrospective de l’année 2003, sur ce même plan.
58ème Assemblée Générale
Dès que la reconnaissance de l’effectivité du régime de Marc Ravalomanana a été établie par les pays amis, à commencer par les Etats Unis le 26 juin 2002, les voyages du Président à l’extérieur se sont multipliés et n’ont plus cessé jusqu’à la fin de cette année. Ainsi, dans son intervention, le Chef de la diplomatie malgache a expliqué que « juste après la crise, le ministère des Affaires Etrangères s’est employé à faire reconnaître l’effectivité du nouveau régime sur le plan international, d’où ces multiples déplacements à l’extérieur, et la visite de nombreux représentants des pays amis ou des bailleurs de fonds à Madagascar ». La plus importante de ces visites a été le passage du Président de la République malgache devant la 58ème Assemblée Générale des Nations Unies au mois d’octobre 2003, où étaient présents une centaine de pays de tous les niveaux économiques.
Coopération régionale
Par la suite, a poursuivi le ministre, Madagascar s’est employé à adhérer aux instances régionales et internationales. La Grande Ile a ainsi été désignée parmi les pays qui assurent la vice-présidence de l’Assemblée Générale des Nations Unies pour un an, et s’implique en outre dans la coopération régionale comme la COI, le COMESA, l’Ior Arc (Indian Ocean Rim)…Madagascar s’est récemment illustré dans la résolution de la crise comorienne et a contribué profondément à la réconciliation nationale dans ce pays. Pour l’année prochaine, la priorité du régime sur le plan diplomatique est donc le renforcement des représentations malgaches à l’extérieur, pour une meilleure promotion du pays.
Naivo Rahamefy Andriamihamina, Maire de Mahajanga-ville
« Je ne ressens aucune pression du fait que je suis Merina »
La passation de pouvoirs entre le maire entrant, Naivo Rahamefy Andriamiamina, et le maire sortant Claude Pagès s’est déroulée dans un climat aussi bien amical mais que technique, la semaine dernière, à Mahajanga-ville. Un climat qui, aux lendemains des élections communales assez tumultueuses, a connu une certaine tension du fait des contestations des candidats adversaires de Tiako i Madagasikara. Actuellement, la ville retrouve sa sérénité, les opérateurs économiques locaux attestant ce fait, tout comme cette
interview du nouveau maire de Mahajanga.
Val A.
Midi : Mr le maire, aucun trouble ni incident n’a perturbé la passation de pouvoirs entre le maire sortant et vous-même…
Naivo Rahamefy Andriamiamina : La passation s’est effectuée dans la stricte norme, sans incidents, sans perturbations. En fait, comme dans toutes les circonstances en la matière, il s’agissait d’une passation administrative et, pour nous, ce fut très technique. Elle s’est déroulée avec aisance car le pouvoir central nous a déjà instruit la marche à suivre.
Midi : Aujourd’hui, vous vous sentez à même de gérer la ville après ces jours de secousse nés de la tension post-électorale ? Les récriminations de vos adversaires à ce scrutin ne planent pas comme une ombre qui risque de vous déstabiliser ?
NRA : Pas du tout. La situation n’est pas celle qu’on laisse croire. Les électeurs de Mahajanga ont pris conscience de la véritable situation. Beaucoup d’entre eux n’ont pas apprécié ce que certains de mes concurrents ont tenté de réaliser. A Mahajanga, chaque entité sait trouver sa véritable place, comme c’est toujours le cas. Par exemple, à l’époque de l’ancien Président Ratsiraka, les acteurs politiques majungais ont su manifester une attitude de responsables. Mahajanga est une ville généralement réputée calme malgré des dissensions politiques. Je pense que ses habitants en sont les premiers méritants.
Midi En attendant, le KMSM (Komity miaro ny safidin’i Mahajanga) continue sa lutte.
NRA : Ils ont été plus virulents les premiers jours suivant les élections. Mais par la suite, ils se sont rendus compte que la plupart de la population ne les suivent pas. Et même parmi les membres de ces candidats malheureux, certains se sont investis en médiateurs, sinon en réconciliateurs, en se démarquant du groupe.
Midi On avait beaucoup utilisé l’instrument à caractère ethnique durant la campagne électorale des communales à Mahajanga. Vous êtes élu maire en étant originaire des hautes terres, comment le climat se présente-il ?
NRA : Pour tout vous dire, je ne ressens aucune pression du fait que je suis Merina. Mahajanga est une ville assez particulière. On y trouve les 18 tribus vivant dans une harmonie sans égal. Je pense que les habitants de la ville ont été surtout motivés par la recherche du changement maintenant. Il leur importe peu de perdre du temps dans des considérations à caractère tribaliste. On est tous conscient du besoin de changement. Je ne me sens pas gêné et je pense que je pourrais administrer la ville sans trop de difficulté sur ce plan-là.
Midi : Quelles sont vos priorités pour la ville de Mahajanga ?
NRA : Elles sont nombreuses mais trois points me paraissent urgents : l’assainissement et l’hygiène, la santé, et enfin la promotion économique. Beaucoup d’efforts sont à entreprendre en ce qui concerne l’assainissement de la ville. La mairie manque de matériels et de moyens. Il faut régler cette question-là. On est en pleine période de pluies, ce qui suppose qu’il faudrait prévenir la prolifération des épidémies. Puis, il faudrait aussi améliorer les infrastructures en matière d’éducation, et donner beaucoup plus de relance en matière économique.
EXPRESS
DE MADA 29/12/2003
LE PRÉSIDENT RAVALOMANANA PROJETTE L'AUTOSUFFISANCE EN "VARY GASY" POUR 2004
Fort des résultats obtenus cette année par certains riziculteurs, grâce à l'utilisation d'engrais, le président Marc Ravalomanana a programmé l'autosuffisance alimentaire en "vary gasy" pour 2004. De 2.200.000 T. de riz cette année, la production projetée en 2004 devra être d'un million de tonnes supplémentaires pour atteindre cet objectif et que cessent les importations spéculatives, fort préjudiciables au monde rural, pour lequel le chef de l'Etat a une sollicitude constante. C'est à Iavoloha, lors de la remise des prix aux meilleurs producteurs de l'année, que ce pari a été lancé. Plusieurs paysans l'ont, en effet, déjà gagné en augmentant leur récolte dans des proportions spectaculaires, comme le premier prix de ce concours agricole national, doté de 100 millions Fmg, dont la moisson est passée de 3,5 à 17 T. à l'hectare.
Il a fallu attendre ce premier concours agricole sur le riz de contre-saison pour la campagne culturale 2002-2003 organisé par le ministère de l'Agriculture, de l'élevage et de la pêche (MAEP) pour que les agriculteurs malgaches - du moins ceux qui ont été primés (au nombre de 213 en ce qui concerne ceux qui ont atteint le rendement minimal de 5 tonnes à l'hectare) - montrent leur haut niveau de compétence professionnelle. En parlant de compétence professionnelle, on ne saurait la remettre en question quand certains agriculteurs frôlent le rendement record de 18 tonnes à l'hectare (plus précisemment 17,10 tonnes à l'hectare à mettre à l'actif de Solo André de la Commune de Kianjavato-Mananjary), d'autant plus que ces résultats ont été atteints sans aucune aide du ministère de tutelle.
Certes, les primes ont été alléchantes (100 millions de Fmg pour le premier prix du concours national et 50 millions de Fmg pour le lauréat du concours provincial, et d'autres primes non moins importantes pour les accessits), mais elles ne sauraient tout expliquer. En effet, depuis des décennies, un grand nombre de techniques agricoles a été appliqué, beaucoup de types d'engrais ont été utilisés et différentes variétés de riz ont été introduites à Madagascar pour des résultats plus ou moins décevants.
Aujourd'hui, on constate que "quand l'agriculteur le veut, il peut". Et c'est tout naturellement que le Président de la République, Marc Ravalomanana, a manifesté toute sa satisfaction à l'encontre des lauréats dont certains, pour ne pas dire la grande majorité, ont foulé pour la première fois un Palais présidentiel, voire cotoyé un Président de la République en exercice.
VERS
L'AUTOSUFFISANCE
C'est dans cette euphorie générale que Marc Ravalomanana a décrété que le concours sera pérennisé (et même plus car il se déroulera deux fois par an) vus les résultats obtenus. Il a été même suggéré que le concours sera élargi à d'autres produits agricoles, ainsi qu'à l'élevage et même à la pêche. Effectivement, ces résultats dépassent largement les moyennes enregistrées dans le domaine de la riziculture. Généralement, le rendement moyen de la riziculture à Madagascar se situe entre 2 tonnes et 2,5 tonnes à l'hectare. Comme cette année, la production rizicole a enregistré une hausse de 200 000 tonnes par rapport à l'année précédente, le Président de la République a déclaré qu'on pourra atteindre les 3 500 000 tonnes en 2004 (contre 2 200 000 tonnes en 2003). Et de continuer sur cette lancée que très prochainement, "on pourra exporter du riz vers les îles voisines, en Afrique, dans les pays du Comesa". Ce qui signifie, en d'autres termes, que d'ici peu, Madagascar n'importera plus de riz !
Toutefois, il faut noter que le mauvais état des voies de communication ne permet pas aux producteurs d'évacuer facilement leur production. Cette situation les met à la merci des collecteurs de produits qui, souvent, ne leur allouent qu'un faible prix d'achat. Ce qui, en fin de compte, contribue à décourager les producteurs à produire plus qu'ils n'en ont besoin pour subsister.
Il faut noter que la Bank of Africa- Madagascar a apporté un appui considérable à la réalisation de la cérémonie de remise de prix dans la récompense des paysans, entre autres, l'octroi d'un "passeport pour le développement" aux paysans ayant obtenu plus de 5 tonnes à l'hectare. Muni de ce document sanctionnant leurs qualités professionnelles, ils seront reçus par les directeurs d'agence de la Boa-Madagascar pour une étude du financement de leurs projets d'extension de leur exploitation agricole.
Il faut aussi relever que le concours a montré sa faille en termes d'organisation en octroyant les 100 millions de Fmg au lauréat du concours national qui n'a réalisé que 12,59 tonnes à l'hectare alors que le lauréat du concours provincial de Fianarantsoa a réalisé la performance remarquable de 17,10 tonnes à l'hectare pour n'encaisser que 50 millions de Fmg.
Mais allez expliquer à un agriculteur la différence fondamentale entre un concours provincial et un concours national !
:Ranaivo Lala Honoré
NO
Comment... NO Comment... NO Comment... NO Comment... NO Comment... NO
Comment...
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...Et
en passant par
TetezamitaKely
...Les
8 Familles et
leurs vœux 2003
(vu sur le site
www.rainizafimanga.com)
"Les
'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
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TRIBUNE
DE MADA 29/12/2003
De Tantely Andrianarivo à Rainivoninahitriniony ?
Ayant suivi de près l'affaire Tantely, beaucoup de nos lecteurs ont déploré un certain parti pris de la justice. Pour une partie de ces lecteurs qui ont assisté de bout en bout au procès, la justice n'aurait pas tenu compte des témoignages en public des personnes appelées à la barre pour ce faire. Sans aller jusqu'à contester l'autorité de la chose jugée puisque la justice a ses raisons et elle est souveraine, ces personnes émettent leurs opinions qui sont, à certains égards, partagées par une frange de l'opinion publique.
Cette opinion se défend de connaître la loi mais ne peut s'empêcher de réagir au nom de la liberté d'expression et d'opinion. Elle dénonce les peines infligées à l'encontre de l'accusé dont entre autres les amendes que Tantely Andrianarivo doit à
l'Etat malgache. Elle dénonce également le caractère ou le qualificatif d'association de malfaiteurs appliqué à "Bemiranga".
Pour elle en effet, comment se fait-il que Tantely doive encore à l'Etat une amende de 42 milliards fmg, somme qui correspond à celle qu'il aurait détournée, alors que les déclarations à la barre et sous serment des officiers supérieurs de l'Armée l'infirment. "Ces témoins avaient bien établi que les destinataires de ces sommes avaient bien reçu ces chèques et ordres de virement à titre de solde mensuelle et que ce qu'il en restait était encore disponible dans les caisses de l'Armée. La justice a d'ailleurs ordonné aux responsables de ces opérations de rendre ce qui en restait de cet argent", nous fait-on comprendre.
En quelque sorte, la somme de 42 milliards n'aurait pas été détournée par Tantely à son profit ; malgré cela, on veut qu'il paye l'équivalent de cette somme par n'importe quel moyen. Et comme il ne travaille plus et n'a plus aucune ressource, il est vraisemblable que l'Etat va récupérer cette somme en s'appropriant de ses biens meubles et immeubles jusqu'à concurrence de cette somme de 42 milliards fmg. Donc adieu les récoltes de plus de 30 ans de travail de ce jeune technicien prodige. Adieu la villa de Tantely à
Ivandry. Adieu aussi les avoirs dans les banques - ou ce qu'il en reste après des retraits des mois durant de détention "préventive".
Finalement, selon des membres de sa grande famille, dont certains ne cachent pas leur amertume et rappellent le bannissement de Rainivoninahitriniony à
Ambositra, ordonné par Rainilaiarivony, l'Etat dépouille la famille et les enfants de Tantely pour l'anéantir à jamais car il n'a pas voulu reconnaître la victoire de Ravalomanana dans le scrutin du 16 décembre 2001, parce qu'il a voulu tenir tête à l'opinion dominante de l'époque et parce qu'il n'a pas voulu démissionner et donner les pouvoirs au Premier ministre de Ravalomanana.
Par ailleurs, comme nous l'avons relevé dans un précédent article relatif aux chefs d'inculpation qui pèsent sur l'ancien Premier ministre (cf. "Madagascar Tribune" n°4507 du 17 décembre 2003, "Affaire Tantely, "Bemiranga" et deux officiers malfaiteurs dans le lot"), cette opinion qui partage ses vues à travers notre journal, s'interroge sur les tenants et aboutissants de cette association Bemiranga. Qui en sont les membres, qu'ont-ils fait et ont-ils été jugés pour les actes qu'ils auraient perpétrés pour être définis comme association de malfaiteurs ? Si cette association est avérée et qu'elle avait été condamnée, alors il est logique, si l'on en croit à ces lecteurs, que l'on fasse porter leur tort à celui qu'on accuse de lui avoir donné asile. Et encore ! sous réserve d'aveu de la part de l'ancien maître de Mahazoarivo, parce que Tantely n'a pas reconnu avoir hébergé ces éléments de Bemiranga. Pour démontrer et prouver son indignation cette opinion attire même notre attention sur les actes ignobles et dévastateurs d'une association d'étudiants au pont de
Brickaville.
"Zafy incarne la vraie opposition à Madagascar"
L'une des personnalités présentes lors de la conférence de presse tenue vendredi dernier au Môtel Anosy par l'association "Malagasy Tsy Tia Mifamono", Betiana Bruno, en a profité pour nous livrer en aparté son point de vue sur la situation politique du moment, et en particulier sur cette fameuse "réconciliation nationale" que certains politiques véhiculent actuellement. En effet, après avoir mis l'accent sur le fait que c'est le professeur Zafy Albert qui a lancé cette idée de réconciliation nationale à travers le CRN (Comité pour la Réconciliation Nationale), ce sénateur a souligné dur comme fer que ce premier président de la troisième République incarne actuellement la vraie opposition à Madagascar. De ce fait, l'ancien ministre de l'Energie et des Mines du professeur Zafy a martèlé que si le Président Marc Ravalomanana veut restaurer la stabilité politique, condition sine quoi non pour le développement rapide et durable, la négociation avec son ancien patron reste incontournable.
Réagissant à certains observateurs politiques qui ont de mauvaises appréciations sur la personnalité du professeur Zafy, le sénateur Betiana Bruno a été clair : "au moment où nous avions été ensemble au pouvoir, je n'avait jamais vu le professeur Zafy détourner même un franc de la caisse de l'Etat". Et lui d'affirmer : "C'est le seul homme dont l'honnêteté et l'intégrité m'ont convaincu". Par ailleurs, Betiana Bruno a déploré le comportement de certains politiques qui, ayant taxé à tort ou à raison le professeur Zafy d'opposition systèmatique, soutiennent actuellement les causes que ce Raiamandreny, connu pour être le père de la démocratie, défendait depuis la crise 2002.
:: Betiana Bruno
CLICANOO
29/12/2003
Née à Madagascar en 1922, Jeanne-Paule Visnelda a grandi à la Réunion.
Dans sa vie, elle a aidé bon nombre de personnes malades ou désespérées. Aujourd’hui encore, plus de neuf ans après sa mort, beaucoup cherchent à savoir si l’un de ses enfants a hérité de ses dons.
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Jeanne-Paule Visnelda : Une guérisseuse
“Madame Visnelda possède une intuition, des dons de clairvoyance et une science qu’elle sait mettre au service des souffrances de toutes sortes.” Gendarme R., CNRS de Paris. “Ça fait plusieurs fois que j’assiste à des désenvoûtements. Pour les Z’oreilles, cela tenait du surnaturel. Je dois avouer qu’après avoir vu madame Visnelda guérir tant de gens, je fais partie maintenant de ceux qui croient en ce genre de médecine.” Gendarme C., La Réunion.
Des témoignages de remerciement de ce type, il y en a des milliers. Gendarmes, particuliers, malades… Tous ont vu ou ont fait appel aux services de Jeanne-Paule
Visnelda. Cette dernière avait des dons de guérisseuse. Déjà toute petite, elle était attirée par les sciences. Ou du moins par tout ce qui se rattachait au surnaturel. Mais à l’époque, les petites filles n’avaient pas le droit de s’intéresser à ce genre de chose.
Et pourtant…Atteinte d’une mystérieuse maladie
Née le 29 juin 1922 à Diego-Suarez (Madagascar), Jeanne-Paule Visnelda est arrivée à la Réunion en 1926. Âgée de quatre ans et demi, elle accompagne ses parents d’origine réunionnaise. Son père a signé un contrat avec une société afin de créer la première saline à
l’Etang-Salé-les-Bains. Son enfance est comme celle de toutes les autres petites filles. Après l’obtention de son brevet élémentaire, elle suit des cours de sténodactylo et ce, malgré les réticences de ses parents. Ces derniers l’imaginent plutôt institutrice… |
Après leur mort, elle décide de renoncer à un poste à la préfecture de Saint-Denis afin de s’occuper de sa sœur et de ses quatre frères. Elle entretient la maison et travaille à Saint-Louis. De temps en temps, elle conseille des malades. En effet, sa mère lui a fait découvrir les effets de toutes sortes de plantes qui servent à concocter des tisanes. Dans l’ensemble, Jeanne mène une vie tranquille. Et comme toutes les jeunes filles, elle se marie. Son existence va prendre alors un tout autre tournant.
Quelque temps après son mariage, Jeanne tombe malade. Durant près d’un an et demi, elle va perdre régulièrement connaissance. Les médecins cherchent à comprendre ce mal mais ne trouvent rien. Un matin, une voix la réveille : “Lorsque tu te seras guérie toi-même, tu imposeras les mains pour guérir les autres”. Quinze jours plus tard, une fois rétablie, elle se rend chez la mère de sa bonne. Celle-ci, allongée dans un fauteuil, souffre terriblement au niveau de la cheville. La guérisseuse prend la cheville et la masse en disant une prière. Au grand étonnement de tous, la douleur disparaît. C’était en 1952 et sa première guérison.
“Guérir, voilà ce qui compte !”
Par la suite, elle renouvelle l’expérience tout en indiquant aux personnes des plantes à boire. Très vite, la guérisseuse se fait une réputation. Mais elle a peur des représailles des médecins. Ainsi, elle passe son brevet de secourisme et de protection civile. A ce moment-là, elle se considère comme l’intermédiaire entre les patients et les docteurs. Mais à la différence de ces scientifiques, pour elle, tout cela était naturel : “Guérir, voilà ce qui compte ! Quelle merveille de pouvoir soulager les misères humaines ! C’est… sublime.” Après une vie placée sous le double signe de la solidarité et de la générosité, Jeanne-Paule Visnelda s’est éteinte à l’Etang-Salé le 14 août 1994. Qui sait ? L’un de ses descendants a peut-être hérité de ses dons…
Mirella Pinguin
BAL
LACOMM' 24 décembre 2004
Une
voix d'or Chez les Razafimalala
de
la sous branche des Rabejaofera... (5ème
enfant de Razafimalala qui est elle même 4 ème enfant de nos aieux
commun Rainizafimanga)
----- Original Message -----
From: Jean-Jacques Rakotoarisoa To: laComm@rainizafimanga.com
Cc: nirina.rakotoarisoa@mailcity.com ; jean-jacques.rakotoarisoa@libertysurf.fr
Sent: Friday, December 19, 2003 10:54 PM
Subject: FARA ANDRIAMAMONJY EN TOURNEE EN FRANCE
Taranaka Rainizafimanga,
Faly miarahaba ny havana Rainizafimanga rehetra.
Izahay dia ao amin'ny laharana faha 6 angamba izy izay, taranak'i RAMALALAHARIFERA ( feue) niteraka an'i RAMALALAHARIVELO Modestine izay niteraka 9;
ANDRIAMAMONJY Jean-Yves, Modeste, Haja ( Paris ), Nirina ( Grenoble = Rakotoarisoa ), Malalahariféra ( Nice = Subhi ),
Tiana, Fara, Tsiory ary Hanitra ( Grenoble = Ralamboarison )
Ny tena antony androatanay, dia satria mandalo eto Frantsa i Fara
ANDRIAMAMONJY, mpihira malaza avy any M/scar, ary manao tournée aty
Frantsa. efa nitety ny villes de Nice, Grenoble, Mulhouse, Toulouse, Lyon le 21 décembre, Marseille le 28 décembre, ary handeha any Paris à partir du 29 décembre, Troyes le 3 janvier, Lille le 10 janvier 2004.
Hira évangélique no ataony, ary hankalaza ny faha 20 taona nihirany izy @ 2004 ( octobre-novembre ).
Ny tournée ataony izao fin 2003-début 2004 izao, dia mivarotra ireo CD isan-karazany sady manao ny annonce sahady ny @ ny 20ème anniversaire 2004.
Koa satria taranaka Rainizafimanga ihany izy, izahay, ary satria raharaham-pianakaviana no
ataonay, dia mba lasa tampoka taty amin'ny taranaka RAINIZAFIMANGA ny
sainay, ry chantal RAJAOFETRA no mahalala anay, ry Hortense RAJAONERA ( mahafantatra an'i Malalahariféra ), ary ry Honoré RAVELOSON no
dadatoanay, ry Lolona sy Todd Morse any Boston no cousine-nay, sns.....!
Bref, mba valio raha azo atao, fifaliana ho an'ny Taranaka rehetra angamba ny mahare ny "voix d'or de Madagascar" izay nahazo ny 1ère voix féminine tany Dago farany teo 2003.
Misaotra Tompoko.
Nirina Rakotoarisoa
2, rue Pacalaire
38170 Seyssinet
Tél: 04 76 96 23 21
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