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Manana Petrola ve isika ... Barthez : Adieu l'OM...   GROS GIBIER À CAPTURER À TITRE D’EXEMPLE

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent 07 novambra 2003

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire
Demain est un mystère
Aujourd'hui un cadeau..."

Hello again....  TetezamitaKely  Communique sur MadaVôvö

sur le site d'ANIMATION ARR ...RRRRR ! 

http://a.ratsimbarajohn.free.fr/

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Sommaire Madavôvô: 

1- Face au Dahalo 

2- Rolland Ratsiraka réintègre l'Hotel de Ville ... 

3- LOI DE FINANCES 2004 : Ravalomanana implique le secteur privé

4- Fusillade à Toamasina :  LE CRN RENVOIE LA BALLE AU POUVOIR ! 

5- Barthez : adieu l'OM?

6- Tantely Andrianarivo : Un autre chef d'inculpation 

7- Tyco's Undersea Fiber-Optic Network Turned Into Shipwreck

8- Le MIT à portée de Clic


Nosintsika 07 novembre 2003

« Dahalo »     GUERRE CONTRE LE TERRORISME RURAL
La lutte contre les « dahalo » (bandits de grand chemin) est engagée (voir DMD n°87-835). Vu l'ampleur et la violence du phénomène, il s'agit d'une véritable guerre.
Un fait divers sordide a montré le seuil de gravité du phénomène « dahalo » dans le pays. Le drame a eu pour cadre le hameau d'Antapia, commune d'Ambohimahazo dans le « fivondronampokontany » de Manandriana. Dans le cadre d'une razzia, une trentaine de « dahalo » ont brûlé vif une famille de huit personnes, qui s'étaient réfugiés dans leur grenier à riz. Acte d'une barbarie inouïe, cette affaire a écoeuré l'opinion publique. Cette violence du grand banditisme rural est cependant le lot des campagnes depuis des décennies, mise à part une certaine accalmie de 1992 à 1996.
La violence des « dahalo » dans cette affaire a été complètement disproportionnée par rapport aux fruits de leur rapine puisqu'ils n'ont réussi à emporter que sept boufs. Force est de constater que l'attaque perpétrée à Antapia constitue un véritable défi lancé à l'Etat, pour lequel la restauration de la sécurité en milieu rural est devenue la priorité des priorités. Le comportement des « dahalo » dépasse le cadre du grand banditisme et relève carrément du terrorisme.
-a.. Dérive terroriste 
Cette dérive terroriste, qui fait soupçonner par le pouvoir une véritable opération de destabilisation politique, transforme de facto la lutte anti-« dahalo » en une véritable guerre, dépassant la simple opération de police. La militarisation du phénomène « dahalo » se caractérise aussi par l'utilisation par les bandits d'armes de guerre, comme le célèbre fusil mitrailleur Ak-47 ou kalachnikov. L'origine des cet armement meurtrier n'est pas encore clairement définie mais la distribution massive de kalachnikov aux milices pro-Ratsiraka durant la crise politique de 2002 fait que beaucoup d'armes de guerre circulent dans le pays profond.
Sur le terrain, la situation est mitigée. De manière générale, les élus des « zones rouges » lancent un appel au pouvoir central pour qu'ils renforcent les effectifs des forces de l'ordre, qu'il s'agisse des gendarmes, des militaires ou des réservistes. Dans certaines régions, les forces de l'ordre manquent cruellement de moyens. Le député d'Ambatofinandrahana a ainsi déploré que les 16 gendarmes de sa circonscription ne disposent que de 6 fusils. Des élus d'autres régions déplorent le fait que les forces de l'ordre soient obligés de quémander des véhicules auprès de personnes privées.
Manifestement, le matériel récemment acquis par les forces armées et la gendarmerie n'est pas encore sur zone. Un retard qui peut se comprendre car le déploiement de tous ces véhicules demande du temps et le personnel qui va l'utiliser a besoin d'un temps d'adaptation. Un déploiement en hommes et en matériel adéquat et surtout une bonne combinaison des unités des forces de l'ordre de deux régions voisines permettent d'avoir des résultats palpables. Le député de la région de Beroroha s'est ainsi félicité du reflux des « dahalo » dans sa circonscription grâce à une bonne stratégie appliquée par les forces de l'ordre.
@.. Les grands moyens 
Face à la recrudescence du phénomène « dahalo », l'Etat utilise désormais les grands moyens. Selon « Midi Madagasikara », un hélicoptère donné par le président dela République a participé à une première opération anti-« dahalo » à Marovita, « fokontany » Ambalamahasoa, commune de Tanamarina/Sakay dans la région d'Ikalamavony. L'usage de l'aéronef a permis de repérer la cache des voleurs de boufs. Ces derniers ont pu être neutralisés et les boufs volés récupérés. Ce premier essai à permis de démontrer que l'usage de l'hélicoptère était un élément déterminant dans la lutte anti-« dahalo ».
La lutte contre l'insécurité rurale remet également sur le tapis le problème de l'application de la peine de mort à Madagascar. Au moment où la Grande Ile a été récemment invité à une conférence internationale sur le sujet, sur le terrain, les victimes des méfaits des « dahalo » ne veulent pas entendre parler de sentiments « droits de l'hommistes ». « Il ne faut pas poursuivre en justice et encore moins condamner les forces de l'ordre qui tuent des dahalo », soutient le député d'Ambatofinandrahana. Il faudra sans doute attendre la sécurisation des campagnes avant de reparler du sujet. Bien que les risques de dérapage existent soit par le biais d'une justice privée sous forme de lynchage soit d'une bavure des forces de l'ordre.
Jean-Eric Rakotoarisoa - pour DMD


Tribune de Mada 31 octobre 2003

Commune Urbaine de Toamasina : Roland Ratsiraka réintègre l'Hotel de Ville 
Selon la lettre n° 806PREF/REG/TOA en date du 30 octobre 2003 adressée par le Préfet de la Région à l'actuel Pds de la Commune Urbaine de Toamasina, Barnest Andriamiarantsoa, l'ancien maire de la Commune Urbaine de Toamasina, Roland Ratsiraka devait réintégrer l'Hôtel de Ville hier le 30 octobre 2003. Cette lettre demande ainsi à ce dernier de procéder immédiatement à la passation de service avec l'ancien maire Roland Ratsiraka en raison de l'expiration du délai de sa suspension. Seulement, où est-il ?
Frappé d'une mesure de suspension d'un mois et qui a encore fait l'objet d'une prorogation de trois mois, l'ancien maire de la Commune Urbaine de Toamasina, Roland Ratsiraka devait réintégrer l'Hôtel de Ville hier le 30 octobre 2003. C'est ce qui ressort d'ailleurs de la lettre n° 806 PREF/REG/TOA en date du 30 octobre 2003 adressée par le Préfet de la Région à l'actuel Président de la Délégation Spéciale de la Commune Urbaine de Toamasina, Barnest Andriamiarantsoa. Cette lettre demande ainsi à ce dernier de procéder immédiatement à la passation de service avec l'ancien maire Roland Ratsiraka pour deux raisons : expiration du délai de suspension de celui-ci et de son bureau exécutif et absence d'un texte réglementaire et des mesures judiciaires justifiant la prorogation de ce délai.
Cependant, dans la même lettre, le préfet de région invite l'actuel Président de la Délégation Spéciale de la Commune Urbaine de Toamasina à régler les affaires courantes de la Commune jusqu'à l'aboutissement de cette passation de service. Une passation qui risquerait de traîner du fait que depuis sa suspension et victime des menaces d'arrestation et de poursuite judiciaire, le neveu de l'amiral aurait quitté le territoire national pour une destination inconnue. Et, on avait même parlé voici quelques mois d'une "fuite à l'extérieur" de Roland Ratsiraka alors qu'il était soupçonné de malversation financière à la tête de la Commune Urbaine de Toamasina.
Désormais, c'est clair. La suspension de Roland Ratsiraka de sa fonction de Premier Magistrat de la Ville de Tamatave, comme celle des autres maires qui ont été également frappés de la même sanction administrative, n'a aucune coloration politique (les propos du Pds de la Province Autonome de Toamasina, Tsizaraina Emile, lorsque nous l'avons interrogé sur cette question ont été alors justifiés). Et ce, contrairement à ce que les mauvaises langues véhiculaient et à ce que l'intéressé lui-même a martelé lors d'une conférence de presse qu'il a organisée à l'Hôtel Hilton Madagascar quelques jours seulement après sa suspension.
Quoi qu'on dise, ce retour de Roland Ratsiraka à la direction de la Commune Urbaine de Toamasina aura sûrement des impacts sur l'atmosphère socio-politique qui prévaut actuellement dans cette Capitale de l'Est. Une athmosphère qui, force est de le constater, s'est dégradée malheureusement dès son départ de l'Hôtel de Ville à cause des différends qui existaient entre ses "fidèles" et les partisants du nouveau régime qui s'attendaient même à la fin de carrière de ce jeune maire. Par ailleurs, ce retour de l'ancien maire, après les enquêtes menées par les éléments de l'Inspection Générale de l'Etat sur la gestion financière de la Commune Urbaine de Toamasina, pourrait signifier pour la plupart la "pureté" et la "régularité" de celui-ci vis-à-vis de l'Administration qui a diligenté les enquêtes. Une pureté qui pourrait suffire pour le CAVEC local pour accepter la candidature de Roland Ratsiraka qui a déposé dans les délais prévus par la loi, tous les dossiers y afférents. Et, la bataille électorale serait encore plus dure pour le candidat du TIM, Barnest Andriamiarantsoa qui s'attendait déjà, avant l'intervention de cette décision de réintegration de l'ancien maire, à une victoire écrasante et "sans appel". Wait and see.


Midi Madagascar   30 octobre 2003

LOI DE FINANCES 2004 : Ravalomanana implique le secteur privé
Radavidson confirme avec foi le taux de croissance de 9,6%
 
A la veille du dépôt du projet de loi portant Loi de finances 2004 au Parlement, le président de la République, Marc Ravalomanana, a réuni hier au palais d’Ambohitsorohitra les représentants du secteur privé à Madagascar, pour s’enquérir des derniers ajustements sinon des éventuelles retouches de la part de ce dernier, lequel avait déjà présenté ses doléances. Le Chef de l’Etat, en présence des journalistes, a déclaré qu’il s’agissait de faire participer le secteur privé dans l’élaboration d’une Loi de finances. 
Val A. 
Cohérence 
Marc Ravalomanana a précisé que dans le cadre de la nouvelle stratégie sur le partenariat Public-Privé, on était conscient du fait que les opérateurs économiques constituaient le moteur du développement. « Il est indispensable de tenir une concertation avec eux », a souligné le président de la République. Ils étaient tous là d’ailleurs, entre autres, le GEM, le Fivmpama, le SIM, le secteur de la zone franche, etc. Par son geste, le Chef de l’Etat a voulu montrer qu’aucune exclusion n’a été opérée à l’encontre de qui que ce soit lorsqu’il s’agit de conjuguer tous les efforts en commun. Si l’on s’en tient aux explications du ministre de l’Economie, du Budget et des Finances, Benjamin Radavidson, les doléances du secteur privé ont porté, entre autres, sur l’intégration d’autres mesures concernant la détaxation (lire article dans notre rubrique Economie) afin d’assurer une certaine cohérence, ou encore concernant le renforcement des capacités de compétitivité du secteur privé malgache.
Résultats comparatifs
Par ailleurs, le moment a été profité par les journalistes pour obtenir plus de précisions sur la tenue de la seconde Réunion des Amis de Madagascar à Paris tout récemment. Selon Benjamin Radavidson, qui a quelque peu égratigné les journalistes au passage, « le taux de croissance de 9,6% est bien une réalité ». « Pourquoi les journalistes ne nous croient-ils pas ? », a-t-il demandé, en soulignant que trois semaines avant cette rencontre, les documents ont été distribués et une semaine avant la tenue de la réunion à Paris, le chiffre a été confirmé avec le Fonds Monétaire International. Et le ministre de préciser que l’intervention du représentant de la Banque mondiale, Hafez Ghanem, lors de cette réunion, est justement allée dans le sens d’une confirmation de ce chiffre. « Avec les résultats comparatifs chaque année, on a pu atteindre ce seuil pour le compte du mois de septembre. Au début de l’année, on a fixé un objectif de 7,8% pour cette année. Actuellement, on en est à 9,6% », a-t-il déclaré avant d’indiquer qu’une telle croissance a été surtout le fruit de trois secteurs, notamment l’Agriculture, qui a bénéficié de l’apport des mesures prises dans ce domaine, l’Industrie qui commence à se redresser, et enfin, les services qui ont pu enregistrer une nette amélioration par rapport aux résultats de 2002.
Rapprochement
Pour revenir à l’implication du secteur privé dans l’élaboration de ce « Budget programme », certains représentants de nos opérateurs économiques, interrogés par les journalistes, ont déclaré être satisfaits de la « collaboration » entre l’Etat et le Privé. Et même plus, ils attendent les retombées de ce rapprochement devenu incontournable. Puissent nos entrepreneurs nationaux arriver à étendre leur champ d’activité afin de relancer le dynamisme de l’économie nationale qui, d’ailleurs, veut largement dépasser le seuil d’une simple économie de rente familiale. 
Fusillade à Toamasina :  LE CRN RENVOIE LA BALLE AU POUVOIR ! 
Alors que l’enquête policière sur la fusillade de lundi matin, à Toamasina, suit son cours aux fins d’identifier ceux qui étaient dans le coup, les interprétations politiques vont bon train. « Le pouvoir cherche un prétexte pour arrêter les dirigeants du CRN qui sont venus à Toamasina pour exprimer leur « fiaraha-miory » et leur solidarité à l’endroit de la famille du défunt Lieutenant-colonel Botomora Victor», déclare Vaovao Benjamin. Renvoyant ainsi la balle au pouvoir qu’il accuse même de « non assistance à personne en danger pour être resté sourd aux appels à l’aide de l’officier, qui devait alors succomber dans sa cellule à Antanimora ». 
R.O. 
« Manœuvre » 
D’après lui, « les tireurs d’Ambolomadinika étaient à la solde d’une personnalité locale proche du régime ». Avant de poursuivre qu’ « il s’agit d’une manœuvre destinée à jeter le discrédit sur le CRN ». Lequel persiste et signe qu’il ne participera pas aux prochaines élections communales. « Nous ne mènerons même pas une campagne appelant au boycott », poursuit Vaovao Benjamin, qui dément toute velléité du CRN de contrecarrer la tenue des élections communales du 09 et du 23 novembre 2003. « C’est le pouvoir qui cherche une excuse car il n’a pas d’argent pour assurer la bonne organisation de ce double scrutin », avance-t-il.
Dissension
Il, c’est évidemment Vaovao Benjamin, membre influent du CRN et non moins sénateur. C’est sous cette seconde casquette d’ailleurs qu’il tient à expliquer pourquoi le groupe parlementaire Arema avait voté en faveur de projet de loi comme celui autorisant l’accès des étrangers à la propriété foncière. « Nous avions décidé de voter pour, afin que les gens puissent constater et ressentir eux-mêmes, les impacts de cette mesure décidée par un régime qui prône le « fahamarinana » et le « fahamasinana ». Revenant sur le …terrain de la prochaine propagande, Vaovao Benjamin d’annoncer qu’«ayant renoncé à tout dialogue avec un pouvoir qui ne veut pas entendre parler de réconciliation nationale, le CRN va s’entretenir directement avec le peuple». Première étape, le 03 novembre à Mahajanga. « Le 6 novembre, nous serons à Morondava », ajoute l’autre baron du CRN, Tabera Randriamanantsoa. En révélant au passage l’existence d’ « une dissension interne au sein du FFKM local, qui pourrait se muer en dissidence du FLM ». Et ce, à quelques semaines de la réunion du comité central du Conseil des Eglises Chrétiennes de Madagascar, qui se tiendra dans la capitale du Menabe. Le CRN veut-il torpiller ces assises ? En tout cas, il ne se fera sans doute pas prier pour exploiter la crise au sein du FFKM à Morondava, après avoir peut-être manqué son coup à Toamasina. 

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wanadoo 31 octobre 2003

Barthez : adieu l'OM?

 

Barthez a peut-être fait une croix sur l'OM. 


La FIFA n'aurait pas accordé de dérogation à l'OM lui permettant de s'attacher les services de Fabien Barthez. Cette information provient d'une source officieuse de Zurich, le siège de la fédération internationale. Il faut donc prendre tout ça avec précaution avant le communiqué officiel de la FIFA vendredi après-midi. Si tel était le cas, l'OM devrait abandonner la piste du portier de MU, ne pouvant pas attendre le 1er janvier et l'ouverture du mercato pour enrôler un autre gardien. 


EXPRESS  Mada 31/10/2003
Tantely Andrianarivo : Un autre chef d'inculpation 
En attendant son procès pour les poursuites dont il fait l'objet depuis son admission à la prison d'Antanimora, l'ancien Premier ministre Tantely Andrianarivo a comparu hier devant le doyen des juges d'instruction. Une audition qui a duré près de 90 minutes, au cours de laquelle le juge a fait part au prévenu, d'un nouveau chef d'inculpation, à savoir, un détournement de 24 milliards Fmg au mois de mars 2002. 
D'après les avocats de Tantely Andrianarivo, cette nouvelle accusation portée contre leur client, a été le fait d'un "témoin" qui, pourtant, lors de son audition préliminaire par les enquêteurs, avait précisé que la procédure de déblocage de l'argent avait été assurée par une autre personne et non par Tantely Andrianarivo. Apparemment donc, Tantely Andrianarivo n'a rien à voir avec ces prétendus 24 milliards. Mais quoi qu'il en soit, le débat concernant son statut de chef de gouvernement au moment des faits qu'on lui reproche, a été de nouveau soulevé hier. Question à laquelle ses avocats ont exigé de la Cour, qu'un jugement soit rendu, précisant la date exacte où Tantely Andrianarivo est déclaré déchu de sa fonction de Premier ministre. 
Miadana Andriamaro 
Le retour de Roland Ratsiraka à la mairie de Toamasina accuse un retard
La passation avec Barnest Andriamiarantsoa, nommé président de la délégation spéciale du Grand Port pendant les trois mois de suspension prononcée à l'encontre du neveu de l'Amiral, a été reportée à une date qui n'a pas été précisée. Selon des sources proches de la préfecture de région, le report est lié au retour du Premier ministre Jacques Sylla. Hier à 10 heures, Roland Ratsiraka s'est déplacé à l'hôtel de ville selon des directives donnés mercredi par le secrétaire général du faritany de Toamasina, pour la passation de service avec le Pds Barnest Andriamiarantsoa. 
Le préfet de région, le secrétaire général de la délégation spéciale de la province de Toamasina, le colonel commandant la Gendarmerie et le commissaire central de la ville, sont venus pour la circonstance. Barnest Andriamiarantsoa a cependant demandé un entretien privé avec le neveu de l'Amiral. A l'issue de ce tête à tête, rendez-vous a été pris l'après-midi pour exécuter la passation notifiée par le préfet. 
Le délai de suspension de l'ancien maire de la commune urbaine de Toamasina et de son bureau exécutif venant à expiration et en l'absence d'une texte réglementire et de mesures judiciaires justifiant sa prorogation, j'ai très respectueusement l'honneur de vous demander de bien vouloir procéder à la passation de service dans les règles avec l'ancienne équipe de cet après-midi" (hier Ndlr). 
Barnest Andriamiarantsoa est venu vers 15 heures pour aussitôt repartir "avec des dossiers", selon des témoins. Selon des sources proches de la préfecture, la décision de surseoir a été prise "pour que le Premier ministre est arrivé". 
Selon toute probabilité, les autorités provinciales attendent des instructions, "en l'absence d'un texte réglementaire et de mesures judiciaires justifiant" la prorogation d'une suspension de un mois prise le 25 juillet et prorogée de deux autres mois, le 25 août. 
Candidat à sa propre suspension aux municipales du 25 novembre, le neveu de l'Amiral a reçu de la Cavec local, son certificat définitif d'enregistrement de candidature "qui vaut autorisation de propagande". 
Des mesures extrêmes liées aux enquêtes administratives puis policiers diligentées sur la gestion de la ville par l'équipe de Roland Ratsiraka, visant à écarter de la course électorale le neveu de l'Amiral seraient un exercice périlleux dans la conjoncture socio-politique de Toamasina. 
Tard dans la soirée, Roland Ratsiraka a annoncé sur Rta de Toamasina qu'il investira ses bureaux ce jour.
Mamy Nohatrarivo 


Nosintsika 05 novambra 2003

Tyco's Undersea Fiber-Optic Network Turned Into Shipwreck

Tyco Intl - http://www.tycotelecom.com - no nanamboatran'ny Fiber Optic mandalo eo akaikin'ny Madagasikara.
http://www.safe-sat3.co.za
i Tycom no nanao an'ilay lalana atao hoe SAFE (South African Far East).
Tsy niditra tamin'io Consortium io mankony Madagascar, izay tsy nazahoany ny 'Landing point connection'.
Fa izao Dago voa te-hihiditra. Io no matongan'i Fermatel (http://Iliad.fr) sy sns.. no miditra ao anatin'ilay resaka.
Alcatel no nanao an'ilay SAT3-WASC landing point (Portugal/South-Africa).
Izao no fanontaniana:
- Iza no hividy an'i Tycom Undersea cable division ? Alcatel ve sa AT&T
- mbola tsy maintsy miandry an'io resaka io ve Dago vao mahazo Fiber optic connection ?
mbola ho ela voa ho vita ity resaka ity.
BSR
ps: Mpiasan'i AT&T Patricia A. Bagnell  no saika nanao an'ilay atao hoe :
- The African Loop (http://www.africaone.com) fa tsy ampy ny tosika dia very najanona fotsiny ilay kinasa (Project)   http://www.bizreport.com/article.php?art_id=5426
Tuesday, November 04, 2003
Tyco's Undersea Fiber-Optic Network Turned Into Shipwreck
Tyco International Ltd.'s bet to build an undersea fiber-optic cable network turned out to be a multibillion dollar corporate shipwreck, but the plan once was seen as a masterstroke by former chairman Dennis Kozlowski.
Investors on Tuesday cheered Tyco's decision to sell its Tyco Global Network, formerly known as TyCom. Tyco has recorded about $5.5 billion in network-related charges over the past two years because of dwindling
revenue and overcapacity.
"They're killing TyCom and that's great," said John Boland, an analyst and fund manager at NL Capital Management, a small Tyco shareholder.
Boland has been a long-time critic of the network because it has drained Tyco's resources.
Tyco did not identify any potential buyers or put a number on expected proceeds from the network's sale.
In July 2000, TyCom Ltd.'s initial public offering made investors giddy as they bid up the IPO offer price to $32 a share. Tyco sold a minority stake in the IPO and netted a gain of nearly $1.8 billion.
Kozlowski was giddy, too, because the IPO raised $1 billion more than Tyco originally expected. The proceeds were used to build a fiber-optic network along the floor of the Pacific and Atlantic oceans.
But the project proved costly as demand for undersea capacity soured.
During fiscal 2001, Tyco increased the amount of money it pumped into the network's construction, spending about $2.3 billion that year, company financial statements show.
Some of TyCom's rivals filed for bankruptcy protection, and in December 2001, Tyco bought back the TyCom shares it did not already own. Tyco issued 17.7 million shares of its stock worth about $819 billion in the
buyback.
Network construction spending slowed in fiscal 2002, but it still cost Tyco nearly $900 million amid a cash crunch.
The global network took more water as customers jumped ship. Tyco blamed "the fierce decline in the telecommunications market, coupled with the bankruptcies of virtually all of our sub-sea competitors and
the subsequent market valuation of their assets."

But the success of TyCom's IPO came back to haunt Kozlowski and former finance chief Mark Swartz, who are now on trial in Manhattan criminal court on charges of looting Tyco of $600 million. Their lawyers deny
the charges.
The 35-count indictment includes grand larceny charges based on a TyCom-related bonus of nearly $100 million collected by Kozlowski, Swartz and other executives that prosecutors say never was approved by Tyco's board.
At its peak during fiscal 2000, TyCom generated earnings of $516 million on revenue of $2.5 billion.
Tyco Chairman Edward Breen on Tuesday morning offered investors a stark assessment of the global network's future.
"The market for this type of network is challenged by significant overcapacity, severe pricing pressure and the industry is clearly in need of consolidation," Breen said.
In addition to selling Tycom, Tyco said Tuesday it would eliminate 7,200 jobs and exit more than 50 business lines.
Tyco shares rose more than 7 percent to $22.55 on the New York Stock
Exchange.
http://www.bizreport.com/article.php?art_id=5426
Reuters, Newsbytes


LEMONDE.FR | 31.10.03 | 14h10 
Le MIT à portée de clic 
Comme la plupart des universités américaines, le Massachusetts Institute of Technology (MIT) n'a pas la réputation d'être gratuit. Ce prestigieux établissement privé de Boston, qui compte parmi ses enseignants les plus grands noms de la recherche scientifique, impose des frais de scolarité d'environ 27 000 dollars (23 200 euros) par an et n'accepte que les étudiants les plus brillants. Mais il est désormais possible d'accéder à ses cours sans dépenser le moindre dollar. Via Internet. 
Un an après avoir lancé un programme pilote et mis en ligne 32 cours, le MIT a franchi un nouveau pas au mois d'octobre en mettant à la disposition des étudiants, enseignants ou autodidactes du monde entier plus de 500 cours sur le site MitOpenCourseWare. Ces cours, de la neurobiologie génétique à la théorie de la macroéconomie en passant par la musique folk anglo-américaine, sont des plus variés et sont présentés sous la forme d'un programme d'études et de notes plus ou moins détaillées, accompagné de bibliographies, d'exercices et d'examens corrigés.
Et le public est là : selon Jon Paul Potts, responsable de la communication du projet OpenCourseWare, le MIT a déjà reçu plus de 10 000 messages d'encouragement et de remerciement en un an. "Bien que je ne sois pas religieux, la première expression qui me vient à l'esprit est celle-ci : 'Que Dieu bénisse l'OpenCourseWare', écrit notamment un autodidacte chilien. Pour la première fois de ma vie, je sais que j'ai toutes les clés en main pour apprendre."
Forts de ce succès, les responsables du projet comptent aller encore plus loin : ils visent à l'horizon 2007 la mise en ligne de la totalité des cours du MIT - environ 2 000. Le MIT veut même être le moteur d'un changement à l'échelle planétaire. "Nous espérons qu'en mettant gratuitement en ligne nos cours, nous allons inciter d'autres institutions à partager leurs propres ressources, créant ainsi un réseau mondial de connaissances dont pourra bénéficier le monde entier", explique le président du MIT, Charles M. Vest.
Mais seule l'université d'Ho Chi Minh-Ville a pour l'instant répondu à cet appel. Car, bien que le MIT ait proposé de mettre à la disposition de toutes les universités les outils informatiques qu'il a mis au point, un tel projet représente un énorme investissement sur les plans technologique, administratif et financier. Le MIT a déjà dépensé 5,5 millions de dollars (4,7 millions d'euros) dans ce projet et devra en investir encore une vingtaine pour le mener à bien. Peu d'établissements peuvent se le permettre. Quant aux riches universités américaines, elles ont jusque-là considéré que la mise en ligne gratuite de leurs cours pourrait nuire à leur image et à leur tradition d'élitisme. Mais elles pourraient changer d'avis au vu du nouveau prestige acquis par le MIT grâce à ce projet.
Célia Mériguet

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Emission Gasik'Arts  avec Marie Jo

 Le dimanche en direct de 12h00 à 13h30

92.6 FM Toulouse   103.7 FM Montauban
107.3 FM Castres Mazamet

 

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