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a les yeux braqués sur Madagascar ...
Sommaire
Madavôvô:
1-
Un Noël de partage pour le groupe Midi-Madagasikara
(Midi Mada)

2-
Une voix d'or Razafimalala en France (Bal Lacomm')
3-
No Comment.... No Comment...
4-
PROCÈS TANTELY ANDRIANARIVO : 12 ANS DE TRAVAUX FORCÉS ET 42 MILLIARDS FMG D'AMENDE
(Express de Mada)
5-
Sénat : La loi d'amnistie irrecevable (Tribune de Mada)
6-
Ratsiraka, condamné à l'exil (Tribune de Mada)
Midi
Madagascar 24 décembre 2003
Un Noël de partage pour le groupe Midi-Madagasikara
Soixante-deux bébés et enfants, âgés entre 8 mois et 6 ans, issus de familles nécessiteuses du Fokontany d’Ankorondrano-Atsinanana, pourront passer la Nativité comme il se doit, avec de nouveaux habits, des jouets, des friandises et un régal festin.
Vola A.
Ils viennent, en effet, de recevoir, qui une nouvelle robe, qui un ensemble gilet-pantalon assorti à une chemise blanche avec un nœud papillon de la part du groupe Midi-Madagasikara. Une sympathique cérémonie de remise de ces cadeaux, composés également de jouets, de bonbons et de biscuits, et d’un déjeuner venant des raiamandreny pour ses enfants, s’est tenue, hier, dans une ambiance familiale, en présence de la directrice générale du groupe Midi-Madagasikara, Mme Faralalao Juliana Andriambelo
Rakotoarivelo.
Cantine
L’initiative de ce Noël de partage, qui est une tradition du groupe, revient à la fondatrice et présidente du conseil d’administration du groupe, Mme Marthe Rajaofera Andriambelo. Par ailleurs, les actions de la maison Midi-Madagasikara, en faveur des groupes défavorisés, vont au-delà des interventions ponctuelles lors de la fête nationale et de la Nativité. Une cantine accueillant des bébés et des enfants de 8 mois à 6 ans et même plus, approvisionnée par le groupe, est fonctionnelle tout au long de l’année, et ce, depuis une dizaine d’années dans le fokontany d’Akorondrano-Atsinanana. Elle sert un déjeuner par jour, du lundi au vendredi, et un bol de lait par semaine, pour ces tout-petits frappés par la malnutrition. La distribution de ce repas journalier est indispensable pour ces familles. D’ailleurs, l’opération porte ses fruits puisqu’elle contribue énormément à la croissance des enfants, reconnaissent les responsables de la cantine et les parents des petits, qui ne sont gâtés par la vie qu’à travers des actions caritatives de ce genre.
BAL
LACOMM' 24 décembre 2004
Une
voix d'or Chez les Razafimalala
de
la sous branche des Rabejaofera... (5ème
enfant de Razafimalala qui est elle même 4 ème enfant de nos aieux
commun Rainizafimanga)
----- Original Message -----
From: Jean-Jacques Rakotoarisoa To: laComm@rainizafimanga.com
Cc: nirina.rakotoarisoa@mailcity.com ; jean-jacques.rakotoarisoa@libertysurf.fr
Sent: Friday, December 19, 2003 10:54 PM
Subject: FARA ANDRIAMAMONJY EN TOURNEE EN FRANCE
Taranaka Rainizafimanga,
Faly miarahaba ny havana Rainizafimanga rehetra.
Izahay dia ao amin'ny laharana faha 6 angamba izy izay, taranak'i RAMALALAHARIFERA ( feue) niteraka an'i RAMALALAHARIVELO Modestine izay niteraka 9;
ANDRIAMAMONJY Jean-Yves, Modeste, Haja ( Paris ), Nirina ( Grenoble = Rakotoarisoa ), Malalahariféra ( Nice = Subhi ), Tiana, Fara, Tsiory ary Hanitra ( Grenoble = Ralamboarison )
Ny tena antony androatanay, dia satria mandalo eto Frantsa i Fara ANDRIAMAMONJY, mpihira malaza avy any M/scar, ary manao tournée aty Frantsa. efa nitety ny villes de Nice, Grenoble, Mulhouse, Toulouse, Lyon le 21 décembre, Marseille le 28 décembre, ary handeha any Paris à partir du 29 décembre, Troyes le 3 janvier, Lille le 10 janvier 2004.
Hira évangélique no ataony, ary hankalaza ny faha 20 taona nihirany izy @ 2004 ( octobre-novembre ).
Ny tournée ataony izao fin 2003-début 2004 izao, dia mivarotra ireo CD isan-karazany sady manao ny annonce sahady ny @ ny 20ème anniversaire 2004.
Koa satria taranaka Rainizafimanga ihany izy, izahay, ary satria raharaham-pianakaviana no ataonay, dia mba lasa tampoka taty amin'ny taranaka RAINIZAFIMANGA ny sainay, ry chantal RAJAOFETRA no mahalala anay, ry Hortense RAJAONERA ( mahafantatra an'i Malalahariféra ), ary ry Honoré RAVELOSON no dadatoanay, ry Lolona sy Todd Morse any Boston no cousine-nay, sns.....!
Bref, mba valio raha azo atao, fifaliana ho an'ny Taranaka rehetra angamba ny mahare ny "voix d'or de Madagascar" izay nahazo ny 1ère voix féminine tany Dago farany teo 2003.
Misaotra Tompoko.
Nirina Rakotoarisoa
2, rue Pacalaire
38170 Seyssinet
Tél: 04 76 96 23 21
NO
Comment... NO Comment... NO Comment... NO Comment... NO Comment... NO
Comment...
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...Et
en passant par
TetezamitaKely
...Les
8 Familles et
leurs vœux 2003
(vu sur le site
www.rainizafimanga.com)
"Les
'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
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EXPRESS
DE MADA 24/12/2003
PROCÈS TANTELY ANDRIANARIVO :
12 ANS DE TRAVAUX FORCÉS ET 42 MILLIARDS FMG
D'AMENDE
Il a fallu attendre minuit 45, au cours de cette nuit du mardi 23 au mercredi 24 décembre 2003, veille de Noël, pour que le verdict du procès de Tantely Andrianarivo tombe : 12 ans de travaux forcés et 42 milliards Fmg d'amende. Les seuls chefs d'inculpation retenus sont l'usurpation de fonction et le détournement de deniers publics.
Pour le tribunal, en effet, le doute a plané sur l'attentat contre le gouvernement, puisqu'aucune peine "capitale" n'est attachée à cette accusation, finalement non retenue, dans le jugement. Il est vraisemblable que l'ancien et dernier Premier ministre du régime de Didier Ratsiraka fera appel d'un verdict d'une sévérité inattendue. En résidence surveillée puis en prison, rappelons que M. Andrianarivo est privé de liberté depuis plus d'un an et demi.
TOUT TOURNE AUTOUR DE LA GESTION DE FAIT ET DES CIRCONSTANCES EXCEPTIONNELLES
L'audition des témoins, la plaidoirie et la partie civile ont occupé la scène de la seconde journée du procès de l'ex-Premier ministre Tantely
Andrianarivo, accusé de 7 chefs d'inculpation, axés surtout sur l'usurpation de fonction et les détournements des fonds publics.
Selon la défense de l'accusé, il n'a pas participé à l'érection des barrages et à la destruction des ponts ni même versé une goutte de sang. Durant ces évènements, il a toujours voulu la continuation des affaires de
l'Etat. En ce qui concerne l'usurpation de fonction, l'absence du trésorier principal et du directeur du Trésor y est pour quelque chose. Pour les détournements de 19 milliards de
Fmg, "Tantely Andrianarivo ne les pas empochés", clame la défense, car ces fonds ont été alloués pour les salaires des militaires, pour les examens à Toamasina et pour le budget du Palais de
Mahazoarivo. Ce qui fait évoquer les circonstances exceptionnelles. En effet, l'article 53 de la Constitution définit la nomination et l'abrogation au poste de Premier ministre. Le nouveau Premier ministre Jacques Sylla a été renommé le 9 mai 2002, et du 15 au 23 mai, il n'y eût pas de passation entre les deux personnalités.
Pour le cas des "Bemiranga", le nom de Rossy a été cité. Un témoin, le chef de sécurité, a même déclaré lors de son audition qu'il a fait entrer les
"Bemiranga" dans le Palais, sans que le Premier ministre soit au courant de cette intrusion. Il en est de même pour le recel des malfaiteurs, entre autres, le capitaine Vola et l'adjudant Chef
Jeanson, mis en cachette dans le Palais.
Et pour l'attentat au gouvernement et la participation au Conseil des ministres à
Toamasina, la défense s'est référée à l'article 60 de la Constitution stipulant que le Premier ministre est obligé de signer le décret décidé par le Président de la République.
100 MILLIARDS DE DOMMAGES
Pour la partie civile, elle demande 100 milliards Fmg pour réparer les dommages, dont la destruction des pylônes et des ponts. "C'est quand même trop que je répare des choses que je n'ai pas fait et j'étais déjà en résidence fixe", a déclaré Tantely
Andrianarivo. En tout cas, cette demande a étonné l'accusé qui se réfère aux sanctions infligées à l'ancien Président de la République, à l'ancien vice-Premier ministre du Budget et à
Velomita, gouverneur de la Banque centrale à Toamasina. Quoi qu'il en soit, le verdict, qui tarde à venir hier soir, devrait tourner autour des termes "gestion de fait" et "circonstances exceptionnelles".:
F. R.
TRIBUNE
DE MADA 24/12/2003
Sénat
: La loi d'amnistie irrecevable
Au nom du strict respect de la loi et de la procédure en particulier, le Sénat a déclaré irrecevable la proposition de loi d'amnistie présentée par les députés TIM et qui a été déjà adoptée la semaine dernière par l'Assemblée Nationale. Deux raisons ont permis à la Chambre Haute, où les sénateurs AREMA et
"non-TIM" représentent la majorité absolue, de rejeter au niveau de la Commission plénière d'hier cette proposition de loi d'amnistie...
Primo, les initiateurs de cette proposition ont sciemment bafoué l'article 84 al3 de la Constitution qui stipule : "les propositions de loi déposées par les parlementaires sont portés à la connaissance du Gouvernement lequel dispose pour formuler ses observations d'un délai de trente jours". Secundo, transmis au Sénat, cette proposition de loi d'amnistie a déjà porté le numéro 2003-045. Ce qui signifie pour les 47 sénateurs qui ont rejeté la proposition que c'est déjà une loi et ce n'est plus la peine de la discuter et de l'adopter en conséquence. A cet effet, le sénateur Jean Félicien a matélé au cours de la Commission plénière que la bonne gouvernence passe avant tout par le respect de la loi. Et lui de continuer : "ce sont les législateurs (allusion aux députés et sénateurs) qui doivent être les premiers à respecter et à faire respecter les lois en vigueur". Et tout cela malgré le fait que la ministre de la Justice Mme Alice Rajaonah a essayé à tout prix pendant la commission plénière d'hier de "calmer" les sénateurs non-TIM en disant que cette proposition de loi reflète l'esprit de celle présentée par ces derniers sur l'amnistie générale.
Bref, les sénateurs AREMA et non-TIM viennent là de prouver aux yeux du public qu'ils ne sont pas, contrairement à ce que pensaient certains observateurs politiques, dans le filet de ce régime. Un régime qui a déboulonné implacablement leur base politique en 2002 : le pouvoir de l'amiral Didier Ratsiraka. Reste à savoir donc si le Président de la République, par le biais de l'article 72 de la Constitution, convoquera une session extraordinaire du Parlement. Une session extraordinaire qui permettrait de tenter la dernière chance sur l'adoption de cette proposition de loi d'amnistie et de créer, si besoin est, la réunion d'une commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion. Et l'article 86 dernier alinéa de la Constitution stipule que si ladite commission ne parvient pas à l'adoption d'un texte commun ou si ce texte n'est pas adopté dans les conditions prévues, l'Assemblée nationale statuera définitivement à la majorité absolue des membres la composant. Sinon et si l'urgence se présente, le chef de
l'Etat peut proclamer, car c'est son droit, avant la fin de cette année 2003, une grâce présidentielle. Wait and
see.
Ratsiraka, condamné à l'exil
La "contre-proposition de Loi d'Amnistie" adoptée par l'Assemblée nationale a été déclarée irrecevable par le Sénat. Une commission paritaire doit alors être constituée par le Premier ministre Chef du Gouvernement a déclaré le président Rajemison
Rakotomaharo, pour trouver un consensus à ce propos.
Comme il fallait s'y attendre et à l'instar des groupes d'intellectuels qui sont sorits ces derniers jours de leur mutisme, la concorde est encore loin d'être vécue par les citoyens et en particulier entre politiciens. Cette incompréhension entre institutions qui éclate au grand jour laisse à réfléchir sur cette amnistie.
A certains égards, et pour certaines têtes pensantes de l'actuel régime, l'amnistie est, depuis la reconnaissance du pouvoir Ravalomanana par les bailleurs de fonds, voire bien avant, quand l'appel au ralliement à la Place 13-Mai a produit ses effets, cette amnistie est achevée. Beaucoup de ces têtes pensantes trouvent qu'une amnistie politique ne sied plus au contexte malgré les appels du pied des lobbyes tant de l'intérieur que de l'extérieur.
Pour faire admettre ce refus
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