Le site d'info Midi Madagascar Le site d'info RFI Le site d'info Jeune Afrique Le site d'info Tiako-Madagascar -Ravalomanana Le site d'info Express Madagascar Le site d'info Tribune de Madagascar

Le site ARRRRR...

LeSite d'Animation

(Click-here)

Histoire des barrages anti-economique...

Madavôvô

A la conquete de la Democratie...

Cliquez pour aggrandir...
Le site d'info Madagate Le site d'info MaTV online

Le site d'info Le Monde

Le site d'info Sobika

15 juin 2003 c'était la fête des pères... Bonne fête à tous les Dada...  ;   Le 26 Juin 2003   l'ARF a soufflé ses 3 bougies...

Cliquez..pour un petit tour

Cliquez... Sakafo gasy

Les news sur le site ARRRRR...

Retour aux infos du jour

Les infos du jour

Cliquez... Silhouette

Le Yoga au quotidien

 

Tout sur le Foot...Cliquez

Cliquez... Les Archives ...

Archives  

Et encore...

1er aout 2003

et encore...

08 aout 2003

et encore...

08 aout 2003

L'armée prend position

07 sept 2003

et encore...

22 sept 2003

Et encore...

13 oct 2003

L'armée prend position

22 oct 2003

et encore...

07 nov 2003

Et encore...

24 nov 2003

Et encore...

07 decembre 2003

Et encore...

Raharaha Zaraniaina.... ;  Cacao de Mada... ;  Rassembleurs et Dynamiques... ;  Savoir vivre sur le web...  ;  200 Milliards pour le secteur public... ;  Air mad renforce sa flotte... ;

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent 07 decembre 2003

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Hello again....  TetezamitaKely  Communique sur MadaVôvö

sur le site d'ANIMATION ARR ...RRRRR ! 

http://a.ratsimbarajohn.free.fr/

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Sommaire Madavôvô: 

1- Madagascar peut réussir en 10 ans ce que Maurice a réalisé en 20 ans  (Madagate)

2- MADAGATE TOURISME Promotion de l'écotourisme (Madagate) 

3- nty sy...Nday           Tsy fantatra intsony izay marina (La Gazette)

4- « Maîtriser la manne pétrolière n'est pas facile »  (Nosintsika)

5- Affaire Tantely Andrianarivo           Pety Rakotoniaina à la rescousse (Tribune)

6- Primates       Les grands singes sur le fil de l'extinction  (Nosintsika)

7- Sans surprise pour Antananarivo, ni coup de theatre à Mahajanga, les verdicts electoraux tombent (Express de Mada)

8- VERS LE RAPATRIEMENT DES AVOIRS ILLICITES PLACES A L’EXTERIEUR ! (Midi Madagascar)

9- AffaireTantely Andrianarivo :    Son sort sera-t-il fixé ce jour ?  (Midi Madagascar)  


  05 decembre 2003

Madagascar peut réussir en 10 ans ce que Maurice a réalisé en 20 ans 
Alors que dans les années 80, Madagascar et Maurice partaient sur pratiquement une même performance avec un revenu annuel par habitant de 280 dollars. En tout cas, comme l’a déclaré le ministre de l’Economie, des Finances et du Budget Benjamin Andriamparany Radavidson, chef de file de cette mission, lors de son ouverture, « avec le régime actuel, Madagascar met en place une autre vision du développement basée sur la mise en place des infrastructures de développement ». Une vision confirmée d’ailleurs par les multiples chantiers et autres projets d’infrastructures routières, portuaires, aéroportuaires et touristiques. Et, comme l’a indiqué un opérateur mauricien de la zone franche, avec ses potentiels économiques énormes, Madagascar peut réussir en 10 ans ce que Maurice a réalisé en 20 ans. Mais le pari n’est pas gagné d’avance surtout si certains fonctionnaires malgaches – comme certains délégués présents à Maurice qui n’ont jamais fait preuve de ponctualité – continuent à vivre dans leur laxisme légendaire .
MADAGATE TOURISME Promotion de l'écotourisme
Inutile, encore qu'il faille quand même s'atteler à la promotion, de vanter l'immense beauté du Sud. L'Ortu a, semble-t-il, conscience de cette beauté et du professionnalisme qu'elle exige pour se montrer sous ses meilleurs atours. 
Le financement sur trois ans d'un responsable de la promotion de l'écotourisme qui aura pour mission d'identifier, concevoir et mettre en place des produits de découvertes, en collaboration avec l'Angap, devrait également aboutir à des retombées économiques tangibles auprès des populations. Une formation de guides professionnels, par modules (faune, flore, culture...), se tiendra au Centre de Bezaha Mahafaly et au Centre écologique de Libanona, de l'autre côté, sur la côte Est et Fort-Dauphin. 
Des cycles de formation seront également dispensés par l'ONG "Asos" en faveur des populations pour qu'elles puissent mieux valoriser leurs produits et faire découvrir le patrimoine régional car, hélas, un seul sourire ne suffit pas toujours. 
Enfin, le projet interviendra aussi sur la conception d'aménagements dans les aires protégées. L'Ortu paraît donc décidée à mettre les bouchées doubles pour réussir sa mission de développement durable et rappelle au passage que l'on ne dit plus Tuléariens mais Tuléarois.


NOSINTSIKA 04 décembre 2003

a- manne pétrolière attendue de l'ordre de 13 M$ par an selon le Général  Andrianafidisoa, DG de l'OMNIS.

b - nous ne vous rappellons pas les nombreux articles quant à toutes les exploitations minières envisagées par exemple, Nickel et Cobalt dans l'est du pays, Dioxyde de Titane à Fort-Dauphin

c - trophée "Bonne performance environnementale pour l'année 2003", délivrée à 4 entreprises tamataviennes

d- Les experts réclament 25 millions de dollars pour enrayer la disparition des Chimpanzés, bonobos, gorilles en Afrique, et des orangs-outans en Indonésie.
Bref ! Et nous ? en dehors de notre attention pour les PME tamataviennes, allons-nous offrir notre faune et notre flore à des multinationales minières ?
Les modérateurs Nosintsika
a- araka ny tenenin'ny DG ny OMNIS dia i Général Andrianafidisoa hoe : « Maîtriser la manne pétrolière n'est pas facile »
satria hozy koa fanampiny hoe @ ny teny vazaha kapobatana teknika hoe : " D'après des techniciens, a-t-il évoqué « il faut au moins environ une période de cinq années pour que l'Etat jouisse des avantages de la découverte de gisement de pétrole ». Se basant sur les expériences de quelques pays ayant la même dimension que Madagascar, ces bénéfices peuvent être évaluées jusqu'à 13 millions de dollars (environ 80 milliards de Fmg)
par an."

c. Compatibilité des investissements avec l'environnement Source l'Express de Madagascar mardi 2 décembre 2003 , par TIM France
Dans le cadre de la mise en application du décret Mecie (Mise en compatibilité des investissements avec l'environnement), 4 entreprises 
tamataviennes, à savoir la Smem (Société malgache d'emballages métalliques), la société Varatrafo, la Compagnie des Eaux et Électricité Jirama et l'Huilerie de Melville ont respectivement reçu, du ministère de l'environnement, des eaux et forêts (Meef) le trophée dénommé "Bonne performance environnementale pour l'année 2003", marque de leur savoir faire et de leur engagement en faveur du respect de l'environnement. La cérémonie de remise de ces trophées ainsi que les diplômes y afférents s'est déroulée au palais du Faritany de Toamasina, le vendredi 28 novembre, en d'après-midi.
Primates       Les grands singes sur le fil de l'extinction
Les experts réclament 25 millions de dollars pour enrayer leur disparition. L'implication des populations locales est indispensable.
Par Sylvie BRIET
samedi 29 novembre 2003
Comment éviter une extinction annoncée ? Chimpanzés, bonobos, gorilles en Afrique, orangs-outans en Indonésie disparaissent en même temps que les forêts. «Il nous faut 25 millions de dollars immédiatement pour agir contre cette tendance», ont estimé les experts du Pnue (programme des Nations unies pour l'environnement) et de l'Unesco réunis trois jours à Paris avec des représentants de tous les pays concernés. Déforestation, braconnage et virus déciment les populations de grands singes. Pour qu'elles survivent, il faut 
que les populations locales, dont beaucoup sont parmi les plus pauvres de la planète, aient elles aussi intérêt à les protéger.
Le constat met tout le monde d'accord : il reste entre 300 000 et 400 000 grands singes sur la planète à l'heure actuelle. Les études indiquent que 2 % de ce qui reste d'habitat intact est détruit chaque année, 5 % pour celui des orangs-outans. D'ici à 2030, 10 % seulement de leur habitat aura été épargné par l'activité humaine en Afrique et 1 % en Indonésie. La pression démographique, l'agriculture, la construction de routes isolent les populations de singes les unes des autres et les fragilisent. Pour certaines 
sous-espèces, comme le gorille des montagnes, il serait déjà trop tard.
Huile de palme. Premiers condamnés, les orangs-outans qu'on ne trouve qu'à Bornéo et Sumatra (Indonésie) : à Kalimantan, le tourisme a entraîné une hausse du commerce de crânes d'orangs-outans décorés et de produits réputés aphrodisiaques vers la Chine et l'Asie du Sud-Est. «La déforestation est dramatique, raconte Emmanuelle Grundmann, primatologue au Muséum d'histoire naturelle, le FMI et la Banque mondiale poussent l'Indonésie à supplanter la Malaisie dans le commerce de l'huile de palme.» En 1997-1998, de 
gigantesques feux ont dévasté la forêt : d'après un rapport du WWF (World Wildlife Fund), plus de 75 % des foyers identifiés à Kalimantan avaient été allumés sciemment par des propriétaires, pour préparer les terrains à la plantation de palmiers à huile. En moins de quarante ans, plus de 70 % de la couverture forestière a ainsi disparu. Des chercheurs hollandais ont constaté que dans le parc du Leuser (Sumatra), les autorités participent au déboisement illégal.
Deuxième ennemi du grand singe, le braconnage qui augmente avec l'arrivée des routes, des compagnies forestières ou minières : la viande de brousse est la seule source de protéines. Des marchés se développent pour satisfaire la demande des citadins. Parallèlement, on vend les petits comme animaux de compagnie. Chaque année, 1 000 chimpanzés sauvages environ sont exportés d'Afrique vers les Etats-Unis, les pays arabes et l'Europe. Le trafic se porte bien : un petit vendu 25 dollars dans un village indonésien peut atteindre 50 000 dollars pour un collectionneur américain. Tous sont pourtant en principe protégés par la Cites (Convention sur le commerce 
international des espèces sauvages en danger), qui interdit de chasser les grands singes ou d'en faire commerce. Enfin, la transmission de virus, notamment Ebola (lire ci-dessous) menace des populations entières.
Perte de revenus. «Comment éviter que les conservationnistes ne soient perçus comme des ennemis ?», s'interroge le représentant du Congo. Les interdictions sont très mal vécues par des populations locales qui y voient une perte de leurs seules sources de revenus. «Des ONG sont plusieurs fois intervenues pour redéfinir les contours de parc», explique Frédéric Joulian, maître de conférence à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, un des rares Français à mener des recherches sur le terrain. «Elles y ont mis beaucoup d'argent, mais les gens tout autour ont été expulsés. Il faut s'occuper des hommes, connaître leurs pratiques culturelles. On ne peut pas 
se contenter de faire de la conservation.» On a vu des programmes d'élevage de lapins échouer parce que les villageois ne voulaient pas en manger, car ce n'était pas dans leurs habitudes.
Depuis quelques années, les ONG tentent d'intégrer la gestion de l'environnement, le développement de l'agriculture et la conservation des espèces. «La Banque mondiale et le FMI doivent entendre notre message» plaide Ian Redmond, un des dirigeants du Grasp, le projet pour la survie des grands singes, créé en 2001 par des primatologues et les associations travaillant sur le terrain, coordonné par l'Unesco et le Pnue (1). «Les Africains sont un peu comme les pêcheurs occidentaux à qui on demande de ne plus pêcher autant de poissons.» A Paris, pour la première fois, les représentants des pays africains et indonésiens ont rencontré les experts et les représentants d'ONG. Ils ont adopté un plan stratégique pour la survie des grands singes, avec renforcement légal de la protection, suivi sur le terrain... Mais ils n'ont qu'une vingtaine d'années pour réussir.
(1) www.greatapeproject.org


La Gazette de La Grande Ile  06/12/2003

Inty sy...Nday           Tsy fantatra intsony izay marina
Asa rey olona, na isika miaina eto an-tanindrazana no mikimpy, na efa be menomenona; na ry zareo any ivelany any koa no manana solmaso tsy mbola fahita, ka manana fijery hafa amin’ny fandehan-javatra eto amintsika eto. Lasa ihany mantsy ny ertitreritra raha mandinika ny fifanaovan-tsonia tato ho ato izay datria dia lasa hatao filamatra indray, hono, izao i Madagasikara eo amin’ny fampandrosoana. Tsy hita izay nolazaina raha nandre ilay resaka fa dia araka ny filazan’ny Filoha Tsiranana izay hoe: “Zava-dehibe izany!”. Raha ny eritreritra voalohany, tamin’izany dia ny hoe toa mapihetsika ny hambom-po ary te-hirehareha izany ny tena nandre ilay vaovao, saingy rehefa mba nandinika kosa dia nivadika indray hoe sao dia mba fandatsana àry izany?... Filamatra fa nahoana tokoa moa? 
Ny fanazavana azo dia ny hoe satria, hono, isika manana ilay teny filamatra hoe “fampandrosoana haingana sy maharitra” koa dia nosafidiana hatao maodely. Dia gaga ihany ny tena satria raha izany teny filamatra izany no horesahina dia angamba hiara-hiaiky aminay ianareo fa tsy misy manana mihoatra an’ireo firenena sosialista ny amin’izany, koa nahoana no tsy ireo no noraisina? Raha samy mandinika isika, ny fampandrosoana tokoa ve no haingana sy magaritra eto. Misy ny zavatra haingana eto, dia ny fisamborana mpanao politika manelingelina; ary ny maharitra kosa dia ny fiandrasan’ny gadra izay fotoana hitsarana azy; dia izay ihany aloha hatramin’izao… Izay izany ve no hianaran’ny firenena hanao filamatra an’i Madagasikara? 
Tany amin’ny fivorian’ny OIT tany afrika tany koa, hono, dia voatonona ho ohatra koa ity firenentsika ity. Raha fantatra fa ny momba ny asa no sahanin’io OIT io dia mbola fahagagana ihany koa no nahazo ny tena satria dia izao iaraha-mahita izao ihany ny iainana ê! Ny mpiasan’ ny “zone” izay very asa dia ireny mbola hita avezivezin’ny fitadiavana ireny; ny mpiasam-panjakana izay nampanantenaina “volana” ireo mbola hita mitsipozipozy ireo ihany, koa aiza ihany àry izy ity ê?... 
Rehefa alefa lavitra ny fisainana dia tsapa ihany fa asain’ny sasany mamboatra ny fihariany ity firenentsika ity. Raha ny fisian’ny “demokrasia” no natao ho antoka tamin’ny fahatsaran’ny firenena vaventy tamintsika madinika, teo aloha teo, dia toa efa niova indray izany ankehitriny, indrindra hatramin’izay nankalazaina ny “fanatontoloana” izay. Rah any marina dia izay mpitondra mahay manery ny mponina ao aminy hifofotra sy hively vy hampandroso ny toe-karena iraisam-pirenena, izany hoe mety hoambakain’ny ngeza, no lazaina fa mety sy filamatra. Toa anisan’izany isika… sa izahy no diso fijery? 
Lalou

Les Sites Partenaires                                   ... News des Provinces

Cliquez sur TetezamitaKely

cliquez...

...Et en passant par TetezamitaKely

...Les 8 Familles et leurs vœux 2003

  (vu sur le site  www.rainizafimanga.com)

  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


Tribune  07/12/2003

Affaire Tantely Andrianarivo           Pety Rakotoniaina à la rescousse 
Un meeting politique improvisé s'est tenu, hier devant le Palais de justice à Anosy à l'issue de l'audience extraordinaire tenue par la Cour suprême sur l'affaire Tantely Andrianarivo. La foule composée en majorité de natifs du Betsileo a été haranguée par le maire officieux de Fianar, Pety Rakotoniaina, de son frère, député d'Ikalamavony et du chanteur bien connu Sareraka...
Devant le Palais de Justice hier 

Un meeting politique s'est déroulé spontanément hier à l'issue de l'audience "extraordinaire" tenue par la Cour Suprême sur l'affaire Tantely Andrianarivo devant le Palais de Justice à Anosy. Et ce, malgré le fait que certains espaces aux alentours de ce Palais ont été à cette occasion déclarés "zones rouges". Ainsi, à la sortie du Palais et sollicités par la foule immense composée en majorité de Betsileo et des élus (députés et sénateurs) de la province de Fianarantsoa, l'occasion a été saisie par le maire officieux de la Commune urbaine de Fianarantsoa I Pety Rakotoniaina, le député d'Ikalamavony Hery Hajaina Randrianiaina et le chanteur engagé Sareraka de mobiliser ces derniers sur le harcèlement judiciaire et moral que subit actuellement l'ancien Premier ministre Tantely Andrianarivo, originaire de la province de Fianarantsoa. 

"Tuer Tantely Andrianarivo, c'est tuer tous les Betsileo car cet ancien Premier ministre fait l'honneur et la fierté de la province". "Donnez à Tantely Andrianarivo le droit de bénéficier des soins en dehors de la prison".

 "Si l'actuel régime persiste dans cette erreur juridico-politique, nous invitons vivement tous les Betsileo de Fianar et d'ailleurs à venir ici à Tanà et le régime s'écroulera en conséquence très bientôt". C'est en ces termes que l'enfant terrible du MFM, et membre actif de MAMI Pety Rakotoniaina a déclenché hier l'ovation et la fureur de l'assistance qui attendait de lui une action immédiate plutôt qu'une déclaration politique verbale. Et lui de continuer : "Sans les Betsileo, dont certains ont sacrifié leurs vies pendant les moments chauds de la crise 2002, Marc Ravalomanana n'aurait pas pu vaincre l'amiral Didier Ratsiraka et s'installer à son trône". Quant au procès de Tantely, plus particulièrement au traitement de cette affaire Tantely en regard de la Constitution, le maire de Fianarantsoa I a été catégorique : "Mettez en place la Haute Cour de Justice qui va juger non seulement l'ancien Premier ministre de l'amiral mais aussi les autres acteurs politiques de cette crise (...)". Par ailleurs, connu pour son franc parler et son engagement politique, le chanteur Sareraka, de la même région d'origine (Ambositra) que Tantely Andrianarivo, a fermement mis en garde le régime actuel en affirmant que "si Tantely Andrianarivo ne bénéficie pas d'un traitement médical qu'il mérite avant mardi prochain ( jour où la Cour Suprême rendra son Arrêt après le pourvoi en cassation de la défense de Tantely Andrianarivo), Marc Ravalomanana saura ce que c'est la mentalité des Betsileo". Bref, l'affaire Tantely Andrianarivo vient de prendre là une dimension tant politique qu'ethnique. Une situation qui risque d'être dangereuse pour le régime en place qui, apparemment, aurait épargné certaines personnalités de l'ancien régime par rapport à d'autres en son temps dans le même sac et partageant les mêmes responsabilités pour avoir provoqué sinon été mêlées à la crise 2002.
Pour en revenir à l'audience "extraordinaire" d'hier ; vu l'état de santé actuel de l'ancien premier ministre, un débat sur le problème des procédures a eu lieu entre les Avocats de Tantely Andrianarivo et les magistrats de la Cour Suprême. En effet, la défense du prévenu a soutenu qu'avant la date du 16 avril 2002, Tantely Andrianarivo avait été encore Premier ministre. Par conséquent, tous les actes que l'ancien Premier ministre de l'amiral aurait commis avant cette date doivent être portés selon la Constitution non devant la juridiction du droit commun mais devant la Haute Cour de Justice. Autrement dit, si la Cour Suprême, à travers son Arrêt, rejette le pourvoi en cassation formé par les Avocats de Tantely Andrianarivo, ce dernier sera traduit devant la Cour Criminelle Ordinaire (CCO). Et selon Me Lydia Rakoto, son client risque d'une peine d'emprisonnement à perpétuité car l'Attentat contre le Gouvernement" (prévu par l'article 87 du Code Pénal) figure parmi les sept chefs d'inculpation de Tantely Andrianarivo. A signaler que Tantely Andrianarivo a été hier vers midi, évacué à l'Hôpital militaire de Soavinandriana.


Midi Mada Samedi 6 décembre 2003 
LA PROPOSITION DE LOI D’AMNISTIE REPORTEE EN 2004 ? 
L’Assemblée nationale entame la dernière ligne droite de sa seconde et dernière session ordinaire de l’année qui avait commencé le 30 septembre, conformément à la Constitution qui stipule qu’elle « commence le dernier mardi de septembre ». La durée de chaque session ne pouvant « ni être inférieure à 60 jours ni être supérieure à 90 jours », les travaux s’achèveront donc au plus tard, le 30 décembre. En raison des fêtes de fin d’année, on croit savoir que le rideau tombera une semaine plus tôt, c’est-à-dire le 23. 2 jours avant l’arrivée du Père Noël qui pourrait ne pas emmener dans sa hotte, l’amnistie pour les détenus de sécurité. 
R.O. 
Il ne reste plus que 2 semaines, enfin presque, à l’Assemblée nationale pour épuiser l’ordre du jour de cette session « consacrée principalement à l’adoption de la loi de Finances ». Ce fut chose faite le 26 novembre puisque les députés, du moins les 82 présents, ont voté à l’unanimité le projet de loi n°042/2003 portant loi de Finances 2004. Après le principal, la Chambre basse pourra donc expédier le côté secondaire ou accessoire de son ordre du jour fixé par la conférence des présidents. N’y serait pas incluse, la proposition de loi d’amnistie adoptée le 16 octobre dernier par le Sénat avec 54 voix pour, 13 abstentions et aucune voix contre.
Navette
Ladite proposition de loi ayant été déposée à la Chambre haute, c’est cette dernière qui l’a examinée en premier lieu, avant d’être transmise à l’autre assemblée, selon le système de la navette prévu par la Constitution. Celle-là même qui dispose que « la discussion a lieu successivement dans chaque assemblée jusqu’à l’adoption d’un texte unique ». Et de prévoir que « lorsque, par suite d’un désaccord entre les deux assemblées, un projet ou une proposition de loi n’a pu être adopté après deux lectures par chaque assemblée ou si le gouvernement a déclaré l’urgence, après une seule lecture par chacun d’elle, le Premier ministre a la faculté de provoquer la réunion d’une commission mixte paritaire chargée de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion. Le texte élaboré par la commission mixte peut être soumis par le gouvernement, pour approbation, aux deux assemblées. Aucun amendement n’est recevable, sauf accord du gouvernement. Si la commission ne parvient pas à l’adoption d’un texte commun ou si ce texte n’est pas adopté dans les conditions prévues à l’article précédent, l’Assemblée nationale statue définitivement à la majorité absolue des membres la composant ».
Voter contre
Pour l’instant, on n’en est pas encore là dans la mesure où la proposition de loi d’amnistie n’a pas encore été examinée par la Chambre basse qui a la haute main sur son adoption. Aussi bien sur le plan constitutionnel selon les dispositions de l’article 86 sus cité qu’au niveau politique en raison des rapports de forces dans les travées de l’Hémicycle de Tsimbazaza. Si la proposition de loi d’amnistie qu’ils ont initiée et adoptée n’est pas retenue dans son ordre du jour par l’autre Chambre du Parlement, mais reportée à la prochaine session en 2004, on prête aux sénateurs Arema, l’intention de voter contre le projet de loi de Finances dont les dispositions risqueraient alors d’être mises en vigueur par voie d’ordonnance. 
Pety Rakotoniaina, Vaovao Benjamin, Désiré Ramakavelo et les autres, venus témoigner leur soutien, hier à Anosy 
La salle d’audience de la Cour suprême du Palais de justice à Anosy s’est avérée exiguë, hier, pour contenir toute une foule, venue assister à l’affaire Tantely Andrianarivo. Les parents de ce dernier, des proches, des amis et des curieux sont venus pour connaître « l’évolution » du cas de l’ancien locataire de Mahazoarivo. Ainsi, les sénateurs Vaovao Benjamin, Ramasy Adolphe, Pety Rakotoniaina, le général Désiré Ramakavelo et Avonel Andriatsilavo étaient venus épauler Tantely Andrianarivo. 
Dominique R. 
Solidarité 
A cette occasion, l’ancien PDS du Faritany de Fianarantsoa a pris la parole devant le portail central du Palais de Justice à Anosy, après que l’audience a pris fin. Il a lancé un appel à tous les natifs de cette province de faire preuve de solidarité. « Que les fils du Faritany de Fianarantsoa ne soient pas divisés par leur appartenance politique. Tantely est malade, nous n’acceptons pas qu’il soit gardé en prison ». Le chanteur engagé Sareraka a également appuyé la thèse de l’ancien député d’Ikalamavony. Concernant l’audience proprement dite, les avocats de Tantely Andrianarivo veulent connaître l’avis de la Haute Cour Constitutionnelle sur la 7ème inculpation qui vient de « frapper » leur client.
Revenir 
Selon la Défense, cette inculpation concerne un détournement de 24 milliards qui remonte à mars 2002. L’Etat malagasy est partie plaignante et a demandé à ce que cette inculpation soit rajoutée aux 6 autres. La dernière inculpation remonte au 7 octobre 2003 et le 27 octobre 2003, le procureur a introduit un réquisitoire supplétif. Et les avocats de Tantely Andrianarivo de signaler que les deux décisions de la HCC ont bien dit que Tantely Andrianarivo n’était plus Chef du gouvernement en avril et mai 2002 et non en mars 2002. Ainsi, les avocats ont décidé de « revenir » à la HCC si ce chef d’inculpation doit être retenu. « Renvoyez-nous devant la HCC. Juger ce dossier de mars 2002 car cette Institution n’a pas encore tranché sur cette affaire », ont-ils dit. La Cour suprême rendra son arrêt le mardi 9 novembre 2003. Notons que Tantely Andrianarivo n’était pas présent hier à Anosy. 


Express Madagascar  07/12/2003

SANS SURPRISE POUR ANTANANARIVO, NI COUP DE THÉÂTRE À MAHAJANGA, LES VERDICTS ÉLECTORAUX TOMBENT 
Le TIM s'est officiellement emparé depuis hier de la totalité des six fauteuils de maires urbains dans la province de Tana, en concède trois sur neuf dans la province de Mahajanga, Maevatanàna à l'Avi, Antsohihy et Maintirano au Rpsd-Nouveau. Le tribunal électoral de Mahajanga n'a pas retenu les arguments d'une forte contestation du dernier scrutin municipal. Le TIM Naivo Rahamefy prend les rênes d'une ville de 52.629 électeurs inscrits par 9297 voix. Patrick Ramiaramanana s'empare de Tana sur un taux de participation décevant. L'attention se focalisera lundi sur le verdict du tribunal électoral de Toamasina qui statuera sur l'épineux cas Roland Ratsiraka. Ou les prochains jours, sur celui l'ex-PDS Pety Rakotoniaina venu apporter depuis Fianarantsoa, le vent de la controverse en montant au créneau pour l'ancien Premier ministre Tantely Andrianarivo, hospitalisé depuis hier à l'hôpital militaire de Soavinandriana. 
Les tribunaux électoraux commencent à rendre leurs verdicts sur les élections du 23 novembre tenues dans les communes urbaines. C'est officiel, la totalité des six municipalités de la province d'Antananarivo tombent aux mains du parti "Tiako i Madagasikara". Le parti au pouvoir n'aura à regretter que le faible taux de participation qui a transformé le PDS Patrick Ramiaramanana en Monsieur le maire d'Antananarivo. 
Aucun coup de théâtre non plus à Mahajanga. Le scrutin a été validé et le TIM Naivo Rahamefy succède à Claude Pages, devenu entre-temps son mentor électoral, par 9297 voix de 52.629 électeurs inscrits et 19.372 votants dans la 4ème ville de Madagascar. Le tribunal électoral de Mahajanga n'aura pas retenu les arguments d'une forte contestation du scrutin tenu dans la capitale provinciale. Les réactions du collectif des contestataires, piloté par Pierre Tsiranana du PFDM (7357 voix) et Voninahitsy Jean Eugène du RPSD-nouveau (975 voix) sont attendues. 
Le ministère de l'Intérieur a pris les devants en rappelant qu'aucun meeting ne devrait se tenir sans une autorisation en bonne et due forme. Le président du tribunal électoral a immédiatement pris l'avion sous forte escorte policière, sitôt son verdict prononcé. 
Le "Tiako i Madagasikara" aura néanmoins concédé trois communes urbaines sur les neuf que comptent la province de l'Ouest. 
L'Avi gagne sa première ville avec Maevatanàna, à la "frontière" d'Antananarivo. Le Rpsd-Nouveau a résisté dans ses deux capitales : Maintirano, dont VJE est le député, et Antsohihy du député Jao Jean. 
Le tribunal électoral étant juge des élections en premier et dernier ressort, il est peu probable qu'une éventuelle saisine de la Cour de cassation -qui juge sur la forme- apporte des surprises. 
L'attention se focalise sur la journée de lundi à Toamasina. Il sera statué sur l'épineux cas Roland Ratsiraka. Ou les prochains jours, sur celui l'ex-PDS Pety Rakotoniaina venu apporter depuis Fianarantsoa, le vent de la controverse en montant au créneau pour l'ancien Premier ministre Tantely Andrianarivo, hospitalisé depuis hier en début d'après-midi à l'hôpital militaire de Soavinandriana. 
La question de son état de santé a agité l'opinion après la mort d'un troisième détenu dit de sécurité, les autorités refusant la qualité de détenu politique dans le cadre des affaires "Evènements 2002". Après le décès de Norbert Botomora le 24 octobre, un autre lieutenant-colonel, Randriamiarisoa Joseph, est décédé lundi dernier, mettant le cercle de l'opposition déclarée en ébullition. Après plus d'un an de détention préventive, l'ancien Premier ministre a été admis pour la première fois, à "résider" dans un établissement hospitalier. :
Mamy Nohatrarivo 


MIDI MADAGASCAR | 05.12.03 | 

VERS LE RAPATRIEMENT DES AVOIRS ILLICITES PLACES A L’EXTERIEUR !
Une étude sur l’origine des fonds des partis politiques est par ailleurs en cours 
« Le financement des partis est un terrain fertile à la corruption ». Cette réflexion est du secrétaire exécutif du Conseil Supérieur de Lutte Contre la Corruption, Patrick Rafolisy. Ceci expliquant cela, le CSLCC mène actuellement une étude pour ne pas dire une enquête car elle n’en a pas le droit, pas encore, sur les sources de financement des partis qui jouent rarement la carte transparence, en dépit des promesses et déclarations d’intention, comme celles qui ont été tenues dernièrement à Maibahaoka. 
R.O. 
Priorité
« On pourra alors être fixé sur l’origine des fonds des politiques », annonce le numéro Deux du CSLCC. En soulignant au passage que « la loi sur le financement des partis figure parmi les priorités dans le plan de réforme de la législation. En effet, malgré les déclarations d’intention des uns et les revendications des autres, aucun texte ne réglemente jusqu’ici, le financement des partis politiques. Ne serait-ce qu’en matière de fonds de propagande, qui ne sont pas plafonnés comme c’est le cas dans d’autres pays démocratiquement et économiquement avancés. « Il y a une relation causale entre l’état de pauvreté et la corruption », a fait remarquer le consultant international, Bertrand de Speville, qui connaît ce problème de fond(s).
Manque à gagner
« A cause de la corruption, des fonds empruntent un autre circuit que celui du Trésor ». Une manière pour Bertrand de Speville de dire que ce fléau car c’en est un, obère les caisses de l’Etat. Quand bien même les résultats de l’enquête menée par le CSLCC ne seraient pas encore connus ni publiés, le financement des partis est sans doute pour quelque chose dans ce manque à gagner. Les affaires, pour ne citer que Elf, qui ont défrayé la chronique en France, dont le système a fortement inspiré Madagascar et la classe politique malgache, sont révélatrices des sources de financement occultes et souvent illicites des partis pour lesquels la pratique est commune. Ici comme ailleurs. Seulement, d’après l’expert international sus nommé, « dans les pays développés, les effets de la corruption ne sont pas aussi dévastateurs que dans un pays en voie de développement ».
« Dingana lehibe »
En somme (au propre comme au figuré), les pays pauvres ont beaucoup intérêt à lutter contre la corruption. L’adhésion à la Convention des Nations Unies contre la corruption est un « dingana lehibe » dans ce sens. « Nous avons rédigé une note à l’intention du président de la République sur la nécessité pour Madagascar de signer et de ratifier ladite Convention », a fait savoir, Mme Bakolalao Ramanandraibe Ranaivoharivony, présidente du CSLCC. Le Conseil fera d’ailleurs partie de la délégation malgache qui s’envolera pour Mexico aujourd’hui où se tiendra la ratification de la Convention des Nations Unies contre la corruption qui, outre le préambule, comporte 71 articles répartis dans 8 chapitres. Des dispositions générales aux dispositions finales, en passant par les mesures préventives, l’incrimination, la détection et la répression, la coopération internationale, le recouvrement d’avoirs, l’assistance technique et l’échange d’informations, les mécanismes d’application.
Collaboration internationale
Certes, le financement des partis n’est prévu dans aucun chapitre, mais cela n’empêche pas l’Etat-partie à la Convention, de prendre une loi interne sur la question. « L’essentiel est qu’elle ne soit pas contraire aux dispositions de la Convention », a spécifié Mme Bakolalao Ramanandraibe Ranaivoharivony. Non sans faire remarquer qu’à travers cette Convention onusienne, Madagascar pourra compter sur la collaboration internationale pour le recouvrement d’avoirs, prévu au chapitre V (article 51 à 59) aux fins de rapatrier les fonds, fruits d’enrichissement illicite (nuance avec enrichissement sans cause, a-t-elle précisé), placés à l’extérieur. 
AffaireTantely Andrianarivo :    Son sort sera-t-il fixé ce jour ? 
Bon nombre d’observateurs se posent la question, le sort de Tantely Andrianarivo sera -t-il fixé ce jour, au Palais de justice à Anosy? Et ce, trois jours après l’appel de détresse lancée par sa mère sur l’état de santé de ce dernier. 
Dominique R. 
En effet, la mère de Tantely Andrianarivo estime que sa progéniture devrait être hospitalisée vue la dégradation de son état de santé. Pour en revenir au dossier de l’ancien locataire de Mahazoarivo, les juges vont de nouveau trancher sur les procédures suivies concernant le cas de Tantely Andrianarivo. Rappelons que ce dernier a été placé sous mandat de dépôt le 21octobre 2002, après avoir été assigné à résidence surveillée.
Originaires 
Concernant toujours les personnes impliquées dans la crise 2002, l’ancien gouverneur de la province autonome de Toliara, Maharante Jean de Dieu, a été condamné, avant-hier, par la Cour criminelle ordinaire à 15 ans de travaux forcés. Les colonels Fanapera et Jean Paul ont été également condamnés à 15 ans de travaux forcés, par cette même juridiction. Un mandat d’arrêt à l’audience a été décidé à l’encontre de l’ancien gouverneur et des deux officiers supérieurs, qui sont tous originaires du Faritany de Toliara. Notons que tous les trois n’ont pas assisté à l’audience. 

 

Le 31 décembre à 20h30.... 

à quelques pas de la Tour Eiffel...

Click here

Fety malagasy

Les DJ Vévé et Niaina (famille Rakotomanga) présentent

"Ny Tia sy ny Manina"

20 décembre 2003

à l'Espace de Courteaboeuf2

-8 rue de madagascar les Ulys (91)-

Click here

Les infos du jour - Revenir vers le haut

Le site d'Animation ARR...Cliquez

Les détails, les photos, les archives et l'historique des évènements sur Mada sur
"MadaVôvô"
consultable sur
Tous les resultats des competitions  Rubrique Relaxation... Yoga & Sports... Velo... Football...  (click here)

LES ARCHIVES "MadaVôvô  2002-2003"

Archive 2002 

Archive Droit de savoir mois de janvier 2003...

janv 2003

Archive Droit de savoir mois de fevrier 2003...

fev 2003

Archive droit de savoir 2ème moitié de mars

mars 2003

Archive droit de savoir Avril

Avril 2003

Archive Droit de savoir Mai...

 mai 2003

 

  Archive Droit de savoir Juin...

 

 juin 2003

Archive Droit de savoir juillet...

juillet 2003

 

Archive Droit de savoir aout...

 aout 2003

 

Archive Droit de savoir septembre...

septembre 2003

Archive Droit de savoir octobre...

oct 2003

Archive Droit de savoir Nov dec 2002...

Et encore...

nov 2003

 

Encore des adresses sur les actualités de Mada

[Lakroan'i Madagasikara]-[MadaNews ]-[Havana-News ]-[Canal Madagascar]-[Echos du Capricorne]

[Les depêches sur Nomade ]-[Les nouvelles de Ravinala  ]-[Radio Madagascar ]-[New Magazine]-[Clicanoo]

[L'agence Reuters sur Yahoo ]-[L'agenda de Moramora]-[L'agenda de Nathalie Rabe]-[L'agenda de Croissance ]

-[ Wanadoo.mg]-[ MaTV]-[ La Gazette de la Grande Ile ]

Augustin ANDRIAMANANORO
Réalisateur Multimédia


Ste IMAGES & PRODUCTIONS
Tél. : 06 13 19 92 38

Le 1er site Culturel malgache A l'etranger

www.heli-s-madagascar.fr.st

 

On line

Emission Gasik'Arts  avec Marie Jo

 Le dimanche en direct de 12h00 à 13h30

92.6 FM Toulouse   103.7 FM Montauban
107.3 FM Castres Mazamet

 

RETOUR AUX INFOS DU JOUR

 Accueil du site ARR

Accueil du site Rainizafimanga

  Accueil du site d'Animation ARR