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Communique sur MadaVôvö
sur
le site d'ANIMATION ARR ...RRRRR
!
http://a.ratsimbarajohn.free.fr/
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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
Sommaire
Madavôvô:
1-
Ambassadeur de
Madagascar au japon issu de la grande famille des Rainizafimanga
(Correspondant Rainizafimanga)
2-« L’HEURE DE LA RÉCONCILIATION A SONNÉ », estiment Zafy Albert et ses partisans
(Midi mada)
3-
Air Madagascar : Bientôt le nouveau logo
(Midi Mada)

4-
No Comment.... No Comment...
5-
Infos d'andafy Tragédie en concert à Madagascar Doit on encore le répéter ?
(Madamaki)
6-
Impôts sur les boissons alcooliques et tabac : le nouveau régime à l'étude
(Express Mada)
7-
Anciens ministres nommés ambassadeurs ? (La Gazette)
8-
Sandam-bola mitotongana : mbola tsy atahorana ny hiakaran'ny vidim-piainana
(Tiako Mada)
9-JULIANNA
ANDRIAMBELO RAKOTARIVELO , DG DES QUOTIDIENS MALGACHES MIDI MADAGASIKARA
ET GAZETIKO (Sobika)
10-
Article sur l'histoire de "Sylvie Ramanantsoa" (Sobika)
11-
Madagascar : Apparitions de Marie à Anosivolakely (Stella
Maris)
12-
la Légitimité Internationale et de l’Entente Nationale à
Madagascar (L.I.E.N.)
L'ÉDITO
MADAVÔVÔ !
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Nos
Correspondants à Mada 04/02/2004
L’Ambassadeur Jocelyn B. Radifera :
"mon objectif : mettre Madagascar sur la carte au Japon"
04-02-2004 / 11:38
Jocelyn B. Radifera, le nouvel Ambassadeur de Madagascar au Japon, est de passage à Madagascar pour consultation auprès du Président de la République, du Premier ministre, du Ministre des affaires Etrangères. Il en a profité pour effectuer une visite de courtoisie à des membres du gouvernement. Il regagne aujourd’hui le Japon après un séjour d’une dizaine de jours.
Une carrière de financier avec 28 ans à la Banque Mondiale. Jocelyn B. Radifera a fait une grande partie de sa carrière professionnelle dans cette institution de Bretton-Woods, où il entre en 1969 comme attaché de direction à la division des Titres en charge à la fois de la gestion du portefeuille de prêts de la Société Financière Internationale et de certains emprunts de la Banque Mondiale sur les marchés de capitaux. Après avoir évolué à divers postes au Département des opérations financières du Bureau du vice-président et trésorier de la Banque Mondiale à Washington D.C, il a assumé la fonction de Directeur Adjoint du Bureau de la Banque Mondiale à Tokyo pendant cinq ans avant de décider en 1997 de prendre sa retraite pour faire du consulting en matière financière et d’investissement. Il était au bout du compte prédestiné à cette carrière de financier de par sa formation et les brillantes études qu’il a faites en grande partie aux Etats-Unis, Howard University en 65, Harvard University en 71, sans oublier le stage à la Banque nationale de Paris de 65 à 67 et son emploi à la Banque Nationale de
l’Océan Indien de 67 à 69, à Madagascar.
Madagascar pays pilote
Le Président de la République l’a pris de court en lui proposant de devenir Ambassadeur de Madagascar au Japon. Marié à une Jamaïcaine, père de deux fils dont l’un est architecte avec son cabinet à Washington et l’autre photographe qui travaille dans l’informatique à
Charlostteville, grand-père de trois petites-filles, il est à 64 ans, un homme heureux et comblé. Mais que ne ferait-on pour son pays ? Jocelyn B. Radifera se souvient qu’ après l’indépendance en 1960, le Japon avait reconnu Madagascar comme pays indépendant. « C’est mon grand-père, Louis Rakotomalala, qui avait été nommé premier Ambassadeur de Madagascar au Japon en 1962 avec résidence à Washington. Il allait et venait au Japon pour entretenir les relations d’amitié et de coopération», confie-t-il en poursuivant qu’il y a aujourd’hui beaucoup à faire entre les deux pays. Et pour cause, « Dans sa politique, le Japon veut faire de Madagascar un pays pilote. Le Japon l’a choisi pour être le pays qu’il faut absolument aider dans son développement ».
Plan d’action en quatre volets
Jocelyn B. Radifera a présenté ses lettres de créances auprès de Sa majesté l’ Empereur du Japon, le 16 janvier dernier à Tokyo. Il se donne déjà entièrement à sa nouvelle mission diplomatique avec un plan d’action et des programmes étoffés en quatre volets, consulaire, politique, économique et commercial, culturel et social. « Madagascar est mal connu et mal vendu au Japon jusqu’ici. Nous devons faire des efforts particuliers pour la faire connaître», remarque-t-il. Son objectif est de « mettre Madagascar sur la carte comme un pays d’opportunités pour les investisseurs au Japon et de conquérir les marchés japonais». A cette fin, il envisage de mener campagne auprès des politiciens japonais, d’effectuer des visites auprès des institutions comme le Parlement, du corps diplomatique et des organisations internationales pour avoir leur soutien. Au niveau économique, il pense renforcer les capacités de la cellule économique de l’ Ambassade à travers différentes actions. Entre autres, la mise en place d’un site web, des campagnes d’informations sur Madagascar, la création d’un Madagascar House s’occupant au départ du tourisme, la création d’un Japan/Madagascar Business Council, l’organisation de conférences pour la promotion de Madagascar dans les différentes villes du Japon. Des ministres malgaches des secteurs porteurs seront invités à donner des conférences sur leur secteur. L’Ambassadeur Radifera pense déjà organiser d’ici quelques mois une visite d’hommes d’affaires japonais à Madagascar.
Partenariat dans tous les domaines
L’Ambassade aura du pain sur la planche car il participera à toutes les foires au Japon et projette aussi d’organiser une foire pour promouvoir les investissements étrangers à Madagascar. Au niveau culturel, il s’agira de trouver des sponsors pour faire venir des artistes malgaches au Japon et des artistes japonais à Madagascar. « Mon souhait sera de créer un partenariat avec le Japon dans tous les domaines». Enfin, le Japon souhaite aussi que Madagascar coopère étroitement avec les pays de l’Asie car une bonne partie de l’ assistance japonaise va vers ce continent à cause de ses ressources naturelles. « C’est dans ce cadre que le Japon désire aider Madagascar ».
Bref, les relations entre le Japon et Madagascar devraient se renforcer davantage avec Jocelyn Radifera,
un Ambassadeur issu de la grande famille des Rainizafimanga
qui associe la finesse de la diplomatie à la grande expérience du monde financier international.
Zo Rakotoseheno
Midi Mada
31 janvier 2004
Grand’messe du CRN ce jour : « L’HEURE DE LA RÉCONCILIATION A SONNÉ », estiment Zafy Albert et ses partisans
Prévue samedi dernier, mais reportée pour cause d’enterrement de Germain Rakotonirainy, la « grand’messe » du Comité pour la Réconciliation Nationale (CRN) se tiendra finalement ce jour, à la villa Elisabeth, à Ivandry, où les invités seront, au propre comme au figuré, dans les eaux du maître des lieux, si la pluie continue à tomber aujourd’hui.
R.O.
Classe politique
Les invités seront effectivement composés de membres de la classe politique et de la société civile favorables à la réconciliation nationale qui reste et demeure le cheval de bataille du CRN, comme son nom l’indique. D’ailleurs, on croit savoir que le discours de son président national, le professeur Zafy Albert, sera axé sur ce thème. « L’heure de la réconciliation et du rapprochement a sonné », estime-t-on, dans les rangs du CRN dont les membres issus des 6 provinces, seront présents sinon représentés ce jour, à Ivandry. Un représentant par Faritany prendra d’ailleurs la parole avant le président du CRN qui prononcera, annonce-t-on, un discours rassembleur de raiamandreny. Avec comme leitmotiv, la réconciliation nationale. A l’image même du « nofon-kena mitam-pihavanana » qui sera servi au déjeuner.
« Les chrétiens laïcs doivent participer au développement de la nation » estime le Premier ministre Jacques Sylla
Les chrétiens laïcs devraient s’impliquer dans la lutte contre la pauvreté car leurs activités couvrent tous les domaines d’intervention de l’Etat, entre autres, l’éducation, la santé, le développement rural, etc. En fait, ils participent inéluctablement au développement de la nation, estime le Premier ministre Jacques Sylla, lors de l’assemblée générale des chrétiens laïcs, organisée mensuellement par l’Evêque du Diocèse d’Antsirabe, Félix Ramananarivo, au centre
Diantana
Navalona R.
Le Premier ministre s’est référé aux ouvrages de Monseigneur Claude Rolland, intitulé « Les Chrétiens, la lutte contre les misères, le développement économique » pour responsabiliser les Chrétiens laïcs. En effet, sa vision datée d’une quarantaine d’année, inspirée des encycliques et d’autres esprits des souverains pontifes, demeure toujours d’actualité, selon le Premier ministre Jacques Sylla.
Complémentarité
Les Chrétiens avaient l’habitude de séparer leurs vies professionnelles et privées de leurs vies religieuses alors qu’il y a une complémentarité, a-t-il affirmé. En outre, le développement n’est pas uniquement l’affaire des politiciens mais il ensert tout un chacun. Par ailleurs, le Premier ministre a précisé que l’Etat n’a pas uniquement une vision sur la croissance économique, mais son regard porte aussi sur le développement humain. Le développement couvre plusieurs domaines dont la santé, l’éducation, le développement rural. L’unité nationale devrait être également renforcée pour asseoir un développement harmonieux.
Force est de reconnaître que Madagascar a de fortes potentialités en matière de croissance mais certains obstacles l’en handicapent. Les acteurs de développement acquièrent tant et tant de formations théoriques mais manquent d’expérience. Ils n’ont pas non plus le sens de bien commun et d’une bonne organisation. Pis encore, le fossé de développement entre les pays riches et les pays pauvres se creuse à la mesure des progrès techniques. Le Chef du gouvernement a ajouté qu’on ne peut pas vivre en autarcie, notamment face à la mondialisation. Les Chrétiens laïcs devraient, dans ce cas, se préparer dès maintenant pour faire face à la concurrence, tant sur le plan national qu’international, a-t-il réitéré.
Droit canon
Néanmoins, le Premier-ministre Jacques Sylla a bien souligné qu’il y a séparation entre l’Etat et l’Eglise. Celle-ci n’est autre que des entités parmi tant d’autres, qui prend part au développement du pays. D’ailleurs, ce sont les lois promulguées par
l’Assemblée Nationale, celles adoptées par le Sénat, ainsi que les décrets pris par l’Etat qui sont appliqués à Madagascar mais non pas le droit canon, a-t-il martelé. Dans la même foulée, le DSRP servira comme document de base afin d’atteindre l’objectif qu’est la réduction de moitié de la pauvreté dans dix ans.
FMG : « L’incident est clos », déclare Gaston Ravelojaona
9995 FMG, telle était la valeur de l’euro en FMG lundi dernier, le pic de la courbe, si l’on peut dire, avant que la Banque Centrale de Madagascar n’intervienne sur le Marché Interbancaire de Devises (MID) pour sauver la monnaie nationale. Cette dernière avait, en effet, entamé sa descente vers la fin de l’année 2003 où le cours était encore de 7 800 FMG pour un euro. Ce qui représente une perte de 2 195 points en un peu moins d’un mois. Alors, la situation commençait à prendre tellement d’ampleur que la BCM a dû mettre en vente sur le MID, lors de sa première journée d’intervention 2 millions d’euro pour sauver le FMG et par ricochet, pour venir en aide aux importateurs, qui sont parmi les premières victimes de la chute du FMG. Actuellement, il n’y a plus rien à craindre. « L’incident est clos »
Didier Rambelo
« L’incident est clos », telle a été la déclaration du gouverneur de la Banque Centrale de Madagascar, Gaston Ravelojaona, faisant le point sur l’événement qui a marqué le Marché Interbancaire de Devises (MID) ces derniers jours. « Ce qui était arrivé à notre monnaie ne risque pas de se reproduire », le numéro Un de la BCM de rassurer.
Signal de ventes
Il a fallu en effet que la Banque Centrale de Madagascar (BCM) intervienne sur le MID (Marché Interbancaire de Devises), mardi dernier, pour redresser le FMG, qui était partie depuis la fin de l’année 2002 dans une série de chutes impensables et l’euro s’échangeait contre 9 995 FMG en début de semaine. Alors dès sa première intervention, la BCM a mis en vente sur le MID 2 millions d’euro, une vraie bouffée d’oxygène pour la monnaie nationale qui n’en finissait pas de s’écrouler. A propos de cette intervention, Gaston Ravelojaona a tenu à préciser que la Banque Centrale n’a pas injecté de fonds sur le marché mais elle a donné le signal aux opérateurs qu’il était temps de vendre. «La BCM n’a pas injecté de devises mais elle a procédé à une vente », devait-il déclarer.
L’intervention de la Banque Centrale n’était pas appelée à durer. Au fur et à mesure que le FMG se redressait, l’euro s’approchant hier de la barre des 8000 FMG, la BCM a diminué le volume de ses ventes. « Avant-hier, 125 000 euro seulement ont été mis en vente », Gaston Ravelojaona d’indiquer. Ce qui est largement inférieur au volume des opérations normales sur le MID qui peut atteindre 5 millions
d’euros.
Gaston Ravelojaona a, par ailleurs, rassuré que la Banque Centrale, malgré ses interventions sur le MID pour sauver le FMG, dispose encore, à la date du 28 janvier 2004, de 431 millions de dollars de réserves en devises, soit l’équivalent de 12 semaines d’importations. La pénurie de devises était-elle donc imaginaire ?
Fausse
Concernant les origines de la dégringolade du FMG, le Gouverneur de la BCM explique que cette dépréciation du FMG était due à une fausse interprétation des informations du marché. En effet, d’une part, certains, attendant que les cours s’améliorent, refusaient de vendre leurs devises, les spéculateurs cherchant à se faire des bénéfices aidant. Alors l’euro disponible sur le marché ne suffisait plus pour satisfaire la demande. D’autre part, les acheteurs ont paniqué. Alors, maintenant que tout est rentré dans l’ordre ou presque, Gaston Ravelojaona d’affirmer que la Banque Centrale continue à jouer son rôle habituel sur le MID.
Midi Mada
30 janvier 2004
Air Madagascar : Bientôt le nouveau logo
 |
Le nouveau logo
d’Air Madagascar sera bientôt connu. Une communication de la compagnie aérienne nationale indique sur ce point que, cette semaine, la proposition finale du logo a été présentée au Conseil
d’Administration et au Président de la République Marc Ravalomanana par le Directeur Général Klaus Oschlies et un consultant expert. Le Président de la République, qui reçoit ainsi pour la première fois le D.G
d’Air Madagascar après les remous de ces derniers temps, a émis des observations en vue d’affiner la proposition.
Edmond Rakotomalala |
La création de ce nouveau logo d’Air Madagascar figure dans les efforts de redressement de cette compagnie. En effet, jusqu’à présent les responsables d’Air Madagascar se sont surtout concentrés sur certains aspects essentiels de son redressement comme le volet commercial et financier, la flotte ainsi que son réseau. Il s’agit maintenant pour la compagnie de se pencher un peu plus sur son image de marque. Ce « rebranding » de la compagnie aérienne regroupe, outre le logo, l’innovation sur l’habillage des avions, l’uniforme du personnel mais également le design des imprimés utilisés. Bref, après cette opération Air Madagascar changera complètement de look. Au-delà d’un simple remaniement de graphisme, il s’agit pour Air Madagascar et ses employés de transmettre un message à tous leurs clients et ce, à travers ce visuel.
La nécessité d’effectuer ce travail sur l’image de marque d’Air Madagascar s’explique par plusieurs points. Il s’agit de retranscrire graphiquement les orientations prises par la compagnie, en vue d’une part de devenir moderne, rentable et orientée vers le client, et d’autre part de s’affirmer comme un leader sur le réseau régional et une compagnie attractive sur le réseau long courrier.
Bref l’époque des deux visuels d’Air Madagascar sera d’ici révolue. Faut-il en effet rappeler que jusqu’à présent Air Madagascar utilise un emblème composé d’un oiseau et d’un ravinala et un autre représentant un ravinala associé à des lignes horizontales. Or, il est généralement admis dans le secteur aérien mondial que l’utilisation simultanée de deux symboles visuels ne favorise ni la cohérence, ni la simplification d’une représentation graphique pour aucune compagnie du monde.
Notons que dans ce logo, dont la version définitive sera présentée incessamment, quatre valeurs devant être associées à la compagnie nationale sont mises en exergue. La malgachéité, la compétitivité, l’hospitalité et la confiance. Le rebranding est réalisé par un Task Force de la compagnie avec la collaboration de consultants experts.
Le nouveau logo d'Air Madagascar sera bientôt connu. Une communication de la compagnie aérienne nationale indique sur ce point que, cette semaine, la proposition finale du logo a été présentée au Conseil d'Administration et au Président de la République Marc Ravalomanana par le Directeur Général Klaus Oschlies et un consultant expert. Le Président de la République, qui reçoit ainsi pour la première fois le D.G d'Air Madagascar après les remous de ces derniers temps, a émis des observations en vue d'affiner la proposition.
La création de ce nouveau logo d'Air Madagascar figure dans les efforts de redressement de cette compagnie. En effet, jusqu'à présent les responsables d'Air Madagascar se sont surtout concentrés sur certains aspects essentiels de son redressement comme le volet commercial et financier, la flotte ainsi que son réseau. Il s'agit maintenant pour la compagnie de se pencher un peu plus sur son image de marque. Ce « rebranding » de la compagnie aérienne regroupe, outre le logo, l'innovation sur l'habillage des avions, l'uniforme du personnel mais également le design des imprimés utilisés. Bref, après cette opération Air Madagascar changera complètement de look. Au-delà d'un simple remaniement de graphisme, il s'agit pour Air Madagascar et ses employés de transmettre un message à tous leurs clients et ce, à travers ce visuel.
La nécessité d'effectuer ce travail sur l'image de marque d'Air Madagascar s'explique par plusieurs points. Il s'agit de retranscrire graphiquement les orientations prises par la compagnie, en vue d'une part de devenir moderne, rentable et orientée vers le client, et d'autre part de s'affirmer comme un leader sur le réseau régional et une compagnie attractive sur le réseau long courrier.
Bref l'époque des deux visuels d'Air Madagascar sera d'ici révolue. Faut-il en effet rappeler que jusqu'à présent Air Madagascar utilise un emblème composé d'un oiseau et d'un ravinala et un autre représentant un ravinala associé à des lignes horizontales. Or, il est généralement admis dans le secteur aérien mondial que l'utilisation simultanée de deux symboles visuels ne favorise ni la cohérence, ni la simplification d'une représentation graphique pour aucune compagnie du monde.
Notons que dans ce logo, dont la version définitive sera présentée incessamment, quatre valeurs devant être associées à la compagnie nationale sont mises en exergue. La malgachéité, la compétitivité, l'hospitalité et la confiance. Le rebranding est réalisé par un Task Force de la compagnie avec la collaboration de consultants experts.
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...Et
en passant par
TetezamitaKely
...Les
8 Familles et
leurs vœux 2004
(vu sur le site
www.rainizafimanga.com)
"Les
'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
|
Express
Mada 31/01/2004
Impôts sur les boissons alcooliques et tabac : le nouveau régime à l'étude
Mais il n'a pas encore précisé quelle est l'ampleur de l'augmentation du taux ni la nature des changements (Tva ou droits d'accise, ou les autres nomenclatures fiscales). Selon lui "une telle décision n'est pas à prendre dans la précipitation dans la mesure où ces deux activités génèrent à
l'Etat une importante source fiscale".
Le gouvernement est ainsi invité à concilier sa volonté de circonscrire les effets nocifs de l'alcoolisme et le tabagisme sur la santé publique, et ménager tout de même deux poules aux œufs d'or pour la caisse de l'Etat.
L'Ofmata dans sa dernière conférence de presse a révélé que la filière tabacole, plantations et productions, ont permis à
l'Etat d'encaisser 223 milliards de Fmg au titre de recettes fiscales.
Pour les sociétés de production de boissons alcooliques, des taux d'impositions élevés se repercuteront inévitablement sur les prix de vente. Elles affirment que "cela n'aura pas forcément un effet dissuasif chez les buveurs invétérés qui iront chercher ailleurs leurs doses quotidiennes. D'où le risque d'explosion d'un marché des produits frelatés avec le danger que cela comporte".
Personne n'a encore oublié les victimes d'alcools frélatés à Ambohimanarina pour avoir bu à 250 Fmg le verre.:
Eric Ranjalahy
La
Gazette 31/01/2004
Anciens ministres nommés ambassadeurs ?
Marc Ravalomanana, il faut le reconnaître, est très reconnaissant envers ceux qui ont contribué à son accession au pouvoir. En effet, selon des informations, glanées ici et là, il aurait émis l’intention de caser certains anciens ministres du gouvernement Sylla. Aussi, Razafindralambo Vola Dieudonné, ex-ministre de la Fonction publique et qui jouit de sa retraite à Ambatofotsy Avaradrano, serait pressenti pour être ambassadeur en Algérie, tandis que Andrianasandratriniony Yvan (ex-ministre de l’Agriculture) pourrait occuper le poste d’ambassadeur nouvellement créé à Johannesbourg, en Afrique du Sud. Pour ce qui est du cas de l’ancien ministre Razafindrandriantsimaniry Michel pourrait être nommé aux Etats-Unis ou aux Nations Unies.
Tiako
i Madagascar 30/01/2004
Sandam-bola mitotongana : mbola tsy atahorana ny hiakaran'ny vidim-piainana, araka ny fanazavan'ny minisitry ny Vola
Source Gazetiko , par TIM France

|
Niteraka resa-be teny anivon'ny asa fandraharahana ny fitontongan'ny sadam-bola
Malagasy, miohatra amin'ny "Euros" ( 9900 Fmg, tamin'ny alatsinainy ary nidina 8550 Fmg omaly ).
"Efa nanao ny asany, niezaka nandanjalanja izay banga tokony hofenoina izay rahateo ny Banky
Foibe, hoy ihany Ing Radavidson Benjamin Andriamparany".
Mba hialàna amin'ny hevitra tsy azo dia nitondra fanazavana tamin'ny mpanao
gazety, omaly tolakandro ny minisitra tomponandraikitra.
"Mandalo ihany ny fidinan'ny sandam-bola toy izao ka tsy tokony hanaitra na hampatahotra . |
Ny fiakaran'ny vidi-piainana
mantsy, hoy io tomponandraikitra voalohany misahana ny toe-karena io no atahorana
indrindra, nefa tsy ahiana izany noho ireto antony roa manaraka
ireto.
Voalohany, vitsy ny entana ilaina amin'ny fiainana andavanandro no afarana any ivelany, raha tsy hitanisa afa-tsy ny vary izay ampy tanteraka ny vokatra eto an-toerana. Faharoa, vidina amin'ny dôlara fa tsy amin'ny alalan'ny "Euros" ny solika ka tsy misy atahorana ihany koa ny hiakaran'io sokajina entana tsy afa-misaraka amin'ny fiainana andavanandron'ny mponina io. Manodidina ny antony niteraka ny fitotongan'ny sadam-bola Malagasy dia nanamarika ny minisitry ny Vola fa nifanojo tamin'ny fotoana handoavana ny vidin'entana nafarantsika sy ny fiandrasana ny vola vahiny saran'ny entana naondrantsika iny fotoana
iny.
Nambarany fa ny faramparan'ny Volana desambra lasa teo dia nanondrana letchis, vanille…tany ivelany isika nefa tsy maintsy miandry telo volana vao tafaverina eto ny vola vahiny. Rehefa mividy entana any ivelany kosa anefa isika, hoy ihany ny fanazavan'Ing minisitra dia tsy maintsy efaina ao anatin'ny iray volana ny vidin'izany. Anisan'ny vahaolana izany ny fangatahana ny hanalavàna io fotoana iray volana io. Nanamarika ihany koa Ing minisitra fa tsy voatery ho ratsy ho an'ny toe-karena ny fitontongan'ny sandam-bola toy
izao.
Les
News de Sobika.com

|
I/
JULIANNA ANDRIAMBELO RAKOTARIVELO , DG DES QUOTIDIENS
MALGACHES MIDI MADAGASIKARA ET GAZETIKO
"Midi
est un quotidien populaire et nous suivons la ligne
populaire"Après Elia Ravelomanantsoa , Andry
Rajoelina, Alain Rajaonarivony, nous continuons notre
tour des personnalités de la communication malgache
avec Julianna andriambelo Rakotoarivelo Directrice Générale
de Midi Madagasikara. Diplômée d'un DEA de sciences
politique de la Sorbonne et de l'institut Pratique du
Journalisme, elle reprend avec succès le quotidien fondé
par sa mère. Interview de la femme " la plus lue
" de Madagascar.
|
"Midi
est un quotidien populaire et nous suivons la ligne
populaire"
Après
Elia Ravelomanantsoa , Andry Rajoelina, Alain Rajaonarivony,
nous continuons notre tour des personnalités de la
communication malgache avec Julianna andriambelo Rakotoarivelo
Directrice Générale de Midi Madagasikara. Diplômée d'un DEA
de sciences politique de la Sorbonne et de l'institut Pratique
du Journalisme, elle reprend avec succès le quotidien fondé
par sa mère. Interview de la femme " la plus lue " de
Madagascar.
Bonjour et merci de nous recevoir pour
cette interview. Midi Madagasikara a été crée par votre mère
Mme Marthe Andriambelo. Vous souvenez vous dans quelles
circonstances est né le quotidien ?
Midi est né en 1983 . A l'époque, c'était l'envie de créer
un nouveau quotidien d'information accessible à tous. C'était
un vrai pari car la situation économique de l'époque n'était
pas florissante.
Vous
rappelez vous quel est était le tirage du 1er numéro ?
Vous
me posez une colle là ! Mais je crois que le 1er numéro a été
tiré à 11 000 exemplaires.
Vous
avez donc multiplié par 3 votre diffusion puisque vous publiez
plus de 30000 exemplaires quotidiennement. Pensez vous que la
marge de croissance reste encore importante ?
Oui
je le pense. On peut encore augmenter le tirage. En edition spéciale
, nous tirons a 45000 exemplaires. Mais il faut savoir que la
prise en main du journal est à multiplier par 4 au moins. Donc
notre nombre de lecteurs est très important.
 |
A
quoi attribuez vous le succès de Midi ? Vous avez un
tirage 3 fois supérieur a celui de vos concurrents .
Ce
succès je pense est du a une qualité de l'information
dans un premier temps. C'est le contenu de Midi qui fédère
nos lecteurs. Nous sommes un quotidien populaire avant
toute chose.
Avez
vous repris cette même formule pour lancer Gazetiko ?
Gazetiko
, c'était un vrai défi que nous avons su relever.
Aujourd'hui, Gazetiko est le second quotidien et le
premier en langue malgache.
Vous
attendiez vous à cette réussite ?
On
peut dire que oui car cela répondait a une vraie demande
des lecteurs
Y
a t il une ligne éditoriale bien spécifique entre Midi
et Gazetiko ?
Pour
Midi , nous n'avons pas de ligne éditoriale précise. Il
n ' y a pas de ligne figée en tous cas. Nous essayons de
ne pas être trop tendancieux. |
photo
Sobika.com (dr)
Comment
avez vous fait pendant la crise pour gérer les " tendances
"?
Midi
est un quotidien populaire et nous suivons la ligne populaire.
Nous suivons l'opinion de la rue s'il peut nous arriver dêtre
sollicité par telles ou telles tendances, c'est a nous de faire
nos choix sans que cela nuise au journal.
Pour
Gazetiko, la ligne éditoriale est un peu plus critique que
celle de Midi.
Midi est reconnu par les annonceurs qui sont nombreux.
Quelle
part représente la publicité dans votre chiffre d'affaires ?
La
répartition est d'environ 70% de ventes et 30% de publicité.
L'apparition de nombreux quotidiens et
magazines malgaches a t elle eu des répercussion sur vos
quotidiens en termes de lectorat ?
Non,
il n' y a eu aucune répercussion. Je crois que chaque quotidien
a trouvé son public et c'est positif pour la presse malgache.
Comment
expliquez vous la faible part de la presse magazine malgache ?
Sans
doute à cause du coût. Les gens sont encore habitués a
l'information au quotidien et le pouvoir d'achat est encore trop
bas pour s'offrir le prix d'un magazine.
Il
y a eu pas mal de polémiques ces derniers temps sur une liberté
de presse qui serait peu respectée. Vous qui avez connu l'avant
ravalomanana , qu'en pensez vous ?
La
liberté de la presse existait déjà sous l'ère Zafy et
aujourd'hui il n'y a pas de quoi se plaindre. Les journalistes
avaient fait un tollé pendant la crise mais tous ces journaux
qui fleurissent aux opinions différentes sont la preuve que la
liberté de la presse existe. Mais cette liberté, c'est a
chaque journaliste de l'utiliser au mieux.
Comment voyez vous Midi Madagiskara dans
10 ans ?
Si
vous voulez parler de l'avenir de Midi, notre politique est
d'aller vers une constante amélioration. De nouvelles
rubriques, et nous interressons aussi à l'internet.
Que
prévoyez vous dans ce domaine?.
Déjà
il faut savoir que Midi était le premier quotidien en ligne et
même si aujourd'hui cela est une version simple , nous avons
des projets pour l'avenir
Pensez
vous que mettre son contenu en ligne est une bonne chose?
Non,
je ne pense pas et c'est pour cela que nous ne le faisons pas.
J'ai
posé la même question a Andry Rajoelina et Elia
Ravelomanantsoa : Quelle est la recette de votre succès ?
Je
crois que pour réussir dans toute chose, il faut persévérer.
Il y a toujours des hauts et des bas, mais ce qui fait la différence,
c'est la persévèrance.
Notre
site s'adresse en majorité à la Diaspora, que lui diriez vous
pour lui donner l'envie de " rentrer au pays " ?
Aujourd'hui
c'est le bon moment pour rentrer car il y a beaucoup de projets,
beaucoup d'optimisme. Le climat est propice à la réalisation
de ses projets.
Ma
dernière question est une question que tout lecteur s'est déjà
posé au moins une fois. Pourquoi faut il encore séparer
manuellement les pages des journaux ?
Ce
problème est réglé maintenant ! En fait, avant 1995 c'était
voulu parce que les crieurs de journaux louaient le journal au
lieu de le vendre. Pour empêcher cela, nous avons trouvé cette
parade mais elle n 'existe plus aujourd'hui.
Mme Julianna Andriambelo Rakotoarivelo, je vous remercie.
Interview
réalisé par Niry Sobika"
II/
Article sur l'histoire de "Sylvie Ramanantsoa"
19/01/04
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Madagascar
: "Jamais sans mes filles", les suites de
l'affaire.
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SOURCE:CLICANOO
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Christian
Maillaud, qu’elle avait mandaté pour les récupérer,
est écroué à Tananarive en compagnie de sa
collaboratrice, Séverine Miadana.
Cinq
jours après l’interpellation de Christian
Maillaud, dit Stan, à Madagascar, Sylvie
Ramanantsoa a organisé hier une conférence de
presse au siège de l’ISP (Intervention sécurité
privée) à Saint-Pierre pour attirer l’attention
du public sur le sort de ses deux filles et de ceux
qu’elle avait mandaté pour les récupérer.
Rappel des faits : le 6 janvier, Christian Maillaud,
ancien gendarme bien connu à la Réunion et
reconverti dans la sécurité privée, s’envole
pour Madagascar en compagnie de Séverine Miadana,
sa collaboratrice. Il est mandaté par Sylvie
Ramanantsoa pour récupérer ses deux filles, Domoîna
et Soa, âgées de 10 et 6 ans, qu’elle n’a plus
vu depuis octobre 2002. L’affaire a pour cadre un
divorce conflictuel dans lequel les deux parents se
disputent la garde des enfants. Documents à
l’appui, Sylvie Ramanantsoa affirme que les
justices française et malgache lui ont accordé la
garde des enfants. Sûre de son bon droit, elle a
donc tenté toutes les voies juridiques possibles
pour récupérer ses enfants, que leur père retient
à Madagascar. En vain. “Je n’arrivais pas à
faire appliquer mes droits, Christian Maillaud a été
touché par mon histoire et a accepté de me venir
en aide”, explique Sylvie Ramanantsoa.
“N’importe quelle mère aurait fait de même”,
estime-t-elle, soulignant avoir laissé “carte
blanche” à son homme de main.
Muni d’une lettre de Sylvie Ramanantsoa, dans
laquelle elle précise l’autoriser à escorter ses
enfants jusqu’à la Réunion, l’ex-gendarme va
monter l’opération de toute pièce et organiser
leur enlèvement devant l’École française de
Tananarive. Mais pour lui et sa collaboratrice, l’échappée
va s’arrêter à Sainte-Marie.
Dénoncés par le pilote de l’avion qu’ils
venaient de prendre, les deux Saint-Pierrois sont
interpellés par la police locale et ramenés à
Tananarive, où les fillettes sont remises à leur père.
“C’est
chaud pour lui”
Pour
l’heure, les proches de Christian Maillaud
expliquent craindre pour la vie de celui-ci : “Je
l’ai eu au téléphone mardi matin, il a juste eu
le temps de me dire que c’est chaud pour lui”,
précise son conseiller. Arrêtés à Sainte-Marie,
les deux Saint-Pierrois ont en effet été escortés
à Tananarive par des policiers locaux faisant
office de garde du corps, car les agents auraient
expliqué à Christian Maillaud “ne pas répondre”
de leurs collègues de Tananarive. “Aujourd’hui,
à Madagascar, une vie ne vaut pas plus de 100
francs”, explique Sylvie Ramanantsoa, qui se dit
persuadée que son ex-mari, qui aurait le “bras
long” sur la Grande île, a passé un contrat sur
la tête de l’ex-gendarme : “Il fait pression
sur la justice, sur les gardiens de prison. Je suis
très inquiète pour Stan”, explique-t-elle.
Christian Maillaud et Séverine Miadana ont été
interrogés par la brigade criminelle malgache.
Présentés à un juge et mis en examen pour enlèvement,
ils ont été écroués à la prison de Tananarive.
Sylvie Ramanantsoa, pour sa part, attends toujours
des nouvelles de ses filles. “Le dernier contact
que j’ai eu avec elles date de samedi, peu avant
que Christian Maillaud ne soit arrêté. Elles
m’ont envoyé un texto pour me dire qu’elles
m’aimaient.”
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STELLA MARIS N°399 du mois de janvier 2004 -pages 19 à
21
Madagascar :
Apparitions de Marie à Anosivolakely
Dans les derniers jours surviendront des moments difficiles ! La première apparition : 10 novembre 1990 La première apparition eut lieu le 10 novembre 1990 à Andasibé, village voisin (12 km) de celui de Patrice
Raharimanana, où il y cultive une rizière. Quelques personnes demandèrent à ce catéchiste de les aider à prier. Il accepta parce qu’il n’y avait pas de prières le dimanche. Ce samedi soir, entre huit et neuf heures, il organise d’abord une répétition de chant, quand tous sont rentrés des champs. Puis on le conduit dans une maison pour dormir. Dans la pièce, ils sont 6 personnes. Patrice : »Je ne pensais pas du tout dormir, j’étais en train de réfléchir sur ma vie, ma femme, mes enfants, notre pauvreté, et surtout ma foi. J’étais bien éveillé et en forme quand, vers 22 heures, il y eut un éclair qui revint trois fois. Puis il y eut une flamme comme celle d’une bougie, mais plus grande, très belle et brillante ; et la chambre était très claire. Tous dormaient. Ensuite il y eut un nuage blanchâtre et dans le nuage, un espace en forme de niche ou de grotte. Et la Sainte Vierge apparut dans la niche. Le nuage formait comme une courette où elle pouvait se déplacer. La Dame portait une robe longue, blanche, un long voile blanc avec une bordure dorée et une ceinture bleue avec un filet doré. Elle ne portait pas de souliers et tenait un chapelet noir. De temps en temps, elle s’avançait ou reculait. Elle est blanche, sa peau est légèrment teintée. Elle sourit doucement, mais est sérieuse quand elle parle un bon malgache, simple et clair. Ses mains suivent ce qu’elle dit, surtout quand c’est important ou urgent.
...Suite...
Communique-Lien
31/01/04
Appel
en vue d’une initiative de renforcement de L.I.E.N.
la Légitimité Internationale et de l’Entente Nationale à
Madagascar
«
Il y a un temps pour tuer et un temps pour soigner les
blessures ; un temps pour démolir et un temps pour construire
; … un temps pour déchirer et un temps pour coudre… »
(L’Ecclésiaste 3 : 3-7).
Préambule :
Madagascar : une Nation originale, des instabilités
banales…
Depuis l’indépendance, toutes les « alternances »
politiques à Madagascar ont été consécutives à des crises
insurrectionnelles (1972, 1991, 2002), des controverses de «
juridisme » (1996) ou des « incidents » meurtriers (1975) ,
nonobstant les ajustements de légitimité a posteriori.
Comme dans beaucoup de pays « émergents », les alternances
sont synonymes de crise de régime. Il en résulte toutes les
insécurités qui minent le développement économique, le
progrès social et la fiabilité institutionnelle :
- désorganisation institutionnelle, incurie législative,
versatilité réglementaire et non-respect de l’Etat de
droit ;
- déficience de moyens propres de l’intervention publique ;
- dépréciation de la richesse nationale et de l’effectif
des entreprises à capacité motrice;
- accentuation de l’inertie de l’administration publique ;
- et surtout aggravation des crimes et délits couverts par
diverses impunités de faits.
...Suite...
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