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donnerai tous les éléments permettant la recherche à
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remercie par avance. Cordialement .
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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
Midi
Mada 21/12/2004
Noël et Nouvel An
Le temps des folies… dépensières !
Les temps sont durs. Les Malgaches sont quasi unanimes pour le reconnaître. Mais c’est tout aussi connu, la veille des fêtes de Noël est également celle de toutes les folies, dépensières s’entend. Les achats des jouets en sont souvent les exemples concrets.
Hanitra R.
Sans être forcément fortunés, certains parents n’hésitent pas à consacrer deux ou trois mois de salaire uniquement pour l’achat des jouets.
Eliane, jeune maman et cadre d’entreprise, est parmi ceux-là : « Mon fils a commandé au Père Noël une copie parfaite d’une moto qu’il a aperçue dans les rayons d’un grand magasin, tandis que ma fille a souligné dans sa lettre au Père Noël que son rêve serait cette année, d’avoir une poupée Barbie avec sa maison et son nouveau fiancé. Ces deux jouets, à eux seuls, coûtent quatre millions de
fmg. Et je les achèterai. Je me suis privée d’autres choses pour cela. Certes, je ne roule pas sur l’or, mais je ferai tout pour que mes enfants puissent avoir ce que moi, je n’ai jamais eue lorsque j’étais enfant ». En ces derniers jours, pour les préparatifs de Noël, les parents se bousculent dans les magasins pour trouver « le » jouet.
Se faire plaisir
A côté, les boutiques de mode dans les quartiers passants comme à Behoririka et ses environs, ou dans les pavillons
d’Analakely se frottent les mains : les affaires sont bonnes. « Les dames sont particulièrement dépensières en ce moment, mais les messieurs ne sont pas non plus en reste », commente le gérant d’un stand à
Behoririka. En effet, vêtements, chaussures et accessoires se vendent comme des petits pains et davantage encore depuis le week-end dernier avec la tenue ici et là des divers Bazars de Noël. Toutes ces opportunités commerciales sont exploitées au maximum. Et le même gérant de stand d’ajouter que « malgré les plaintes sur le coût de la vie, le prix du riz et autres, ces dames ont quand même prévu un petit budget destiné à s’acheter un petit quelque chose. Sans doute pour se faire un peu plaisir ! ».
TetezamitaKely
21/12/2004
Un
Noel pour nos enfants
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Des
Artistes sans frontières pour faire plaisir à nos
RagasyKely.
Le
Clown professionnel (Marguerite Dubois), le MpihiraGasy (Faffa
Andriamilantonirinason), L'Artiste Peintre Guy
Ramard, l'auteur compositeur- musicien Gilbert Ramiarison
...
...et
un père Noel ARF.
Le
dimanche 19 décembre 2004 à la salle Robespierre d'Ivry sur
seine, toute une pléiade d'Artistes se sont succédés et
on montré leurs talents pour le bonheur des familles malgaches.
Les enfants Rainizafimanga ont été ravis et leurs parents ont
retrouvé leurs souvenirs d'enfance de Mada.
D'autres
talents artistiques ont été découverts... de trés jeunes
chanteurs "des graines de stars" et un artiste peintre
tel que Guy Ramard de La Réunion.
Toutes
les photos sur www.rainizafimanga.com
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LES HIRA GASY
Le hira gasy est un vrai spectacle comprenant :
-Le Sasitehaka : c'est un prélude d'environ 10mn , au son des tambours, et des battements de mains à l'entrée des chanteurs, des musiciens et des danseurs ;
-le Kabary :
c'est le discours annonçant le début du spectacle, invitant les dames à prendre place sur la scène et introduisant le thème. Le discours dure 15 mn ;
-le Renihira : c'est le chant principal qui développe le thème du spectacle (amour, délinquance juvénile, vie en société…) ;
-le Dihy : c'est la danse. Pendant que les danseurs se déploient sur la scène, le reste de la troupe s'accroupit sur l'herbe. La danse dure 20 mn et est suivie du discours final ;
-Le Zanakira : est un spectacle de 15 mn avant que la troupe ne quitte la scène.
Nés sur les hautes terres, les " hira gasy " ou chants folkloriques se sont développés au temps du roi
Andrianampoinimerina. Lors des grands travaux d'irrigation, le roi offrait un spectacle royal animé essentiellement par les chanteurs ou " Mpihira gasy ", appelés à l'époque " mpihiran'Andriana " (chanteurs du Roi). Ces " mpihira gasy ", généralement originaires d'un même village, étaient des artistes célèbres mais démunis. Ils étaient alors mal vus par les colonisateurs et
l'Eglise à cause de leurs chants patriotiques.
Les spectacles de " hira gasy " attirent des foules immenses et animent les grands événements de la communauté tels la Fête nationale, les cérémonies de retournement des morts, la fête de la moisson. Les textes des " hira gasy " racontent la vie quotidienne et
..;
...
Suite
sur Fomba gasy >>
EXPRESS
21 dec 2004
Carburant - La baisse des prix se généralise
Les prix ont encore baissé, hier.
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La libéralisation du secteur pétrolier commence réellement à se concrétiser. Elle veut être le déclencheur d’une concurrence saine entre les quatre compagnies de distribution de la place.
Comme la dernière fois, une compagnie annonce la couleur et les autres s’y ajustent. Ce coup-ci encore, Shell et Galana jouent les provocatrices en affichant une baisse des prix dans la nuit du samedi. Ils restent cependant identiques sauf pour le pétrole lampant. Jovenna suit la tendance dans la journée de dimanche et baisse ses prix tout en conservant une certaine marge par rapport aux deux compagnies. Total Madagascar était la dernière à amorcer la baisse. Mais la compagnie affiche ses prétentions en offrant le tarif le moins cher sur le marché.
A l’instar du dernier changement de prix, shell et Jovenna, deux jours après, revoient encore à la baisse leur tarif, hier dans la soirée et s’ajustent à celui de Total.
Le calcul dépend de chaque distributeur. Les principaux paramètres sont le prix du baril, le cours de change entre le franc malgache et le dollar américain ainsi que le frais de transport. Les compagnies pétrolières de distribution évaluent régulièrement les coûts pour connaître les fluctuations des marges bénéficiaires. |
Calcul de prix
Après l’impressionnante baisse amorcée vers la fin du mois de novembre, le prix du baril a repris la spirale de la hausse depuis le 15 décembre et est actuellement de l’ordre de 46 Usd. Le carburant qui est sur le marché à l’heure actuelle date de cette période. La récente stabilité de la monnaie malgache pourrait également expliquer cette diminution.
Total avance une version plus “sociale” de la baisse, “cette réduction des prix a un rapport avec l’approche des fêtes”. Les avis divergent devant cette baisse, “cette baisse servira de préparation psychologique des Malgaches à une hausse plus importante prévue pour l’année prochaine”, se plaint
Rakotondravao, père de famille et chauffeur de taxi-be.
Libéralisation fictive
Si les prix actuels sont maintenus jusqu’au nouvel an, les fêtes s’annoncent sous des jours meilleurs. Toutes les stations-service offrent maintenant un plateau plus ou moins identique mis à part le prix du pétrole lampant. La différence de prix se joue sur quelques dizaines de francs. La concurrence se fait désormais au niveau de la qualité des prestations de service et du nombre de services offerts.
Les différences de prix entre les compagnies pétrolières ne seront pas tangibles, les charges étant plus ou moins identiques. Outre les stratégies commerciales, définies par la valorisation des stocks et les marges bénéficiaires de chaque compagnie, le prix dépend aussi des taxes et redevances imposées par
l’Etat qui les maintient à leurs taux habituels. :
Doda A.
Madamaki 21/12/2004
Les chiffres du tourisme à Madagascar : bilan de l’année 2004
Le tourisme malgache redémarre. La destination a accueilli 188.158 touristes non résidents pour la période de janvier à septembre. Ce qui, selon les statistiques officielles rendues publiques, constitue un bon résultat pour le tourisme de la grande île.
En 2003, Madagascar avait reçu 139.230 visiteurs étrangers, soit un peu plus du double des mauvais résultats de 2002 (61.674), dus à la crise présidentielle qui avait perturbé le pays pendant le premier semestre.
On est encore loin des 500.000 touristes annuels prévus dans le business-plan pour l’année 2007 mais c’est déjà 30.000 de plus par rapport aux chiffres d’avant crise qui étaient à 170.000 touristes. Jacques Rabenirina a souligné le résultat du partenariat interministériel. “La vice primature y est pour beaucoup pour avoir augmenté la capacité de transport”. Le tourisme, qualifié de deuxième source pour Madagascar, apporte cette année une rentrée d'à peu près 100 à 200 millions de DTS avec ces 200.000 touristes.
Mais les deux derniers mois de l’année avec notamment la période des fêtes sont toujours positifs pour les arrivées. Selon les professionnels du tourisme, tout porte à croire que la barre des 200 000 touristes sera largement franchie d’ici à fin décembre. |
1984 ………………………………………………………11000 visiteurs
1988 ………………………………………………………35405 visiteurs
1989 ………………………………………………………38594 visiteurs
1990 ………………………………………………………52923 visiteurs
1991 ………………………………………………………34891 visiteurs
1992 ……………… ………… .….………………………40000 visiteurs
1993 :………………………….…….. ..………………… 55000 visiteurs
1994 ………………… ………..………………………… 65000 visiteurs
1997 ………………………….…………..………………112000 visiteurs
1998 ………………………….……….….………………121000 visiteurs
1999 ……………………………...……………………...140 000 visiteurs
2000 ………………….……….………………….………160000 visiteurs
2001………………………….....…………..………….…170000 visiteurs
2002………………………....……………………..………61674 visiteurs
2003………………………....……………………………139230 visiteurs
2004…………………………....…………....………..………wait and see |
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...Et
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...Les
8 Familles et
leurs vœux 2004
(vu sur le site
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"Les
'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
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Madagate
21/12/2004
Projets présidentiels: Suppression des provinces autonomes - Paris
«L’état de dénuement extrême dans lequel le pays est plongé nous interpelle tous et nous incite à une prise de conscience collective. L’heure n’est plus aux tergiversations de quelque nature que ce soit, ni aux lamentations stériles ». Le RFN donne le ton. Dans un document, distribué hier, à l’ouverture de son assise nationale, le Rassemblement des Forces nationales signale que la cote d’alerte est largement dépassée et que Madagascar nécessite plus que jamais un traitement de choc. Un tel pessimisme tranche avec cet excès d’optimisme affiché hier, par le TIM. Dans ce combat à distance, les deux parties font de la surenchère. Aucune n’a le sens de la mesure ni la volonté d’essayer de trouver le juste milieu. Au-dessus de cette mêlée, il y a le Président de la République. Personne, jusqu’à maintenant, ne sollicite son intervention ni son arbitrage. Et c’est mieux ainsi.
Nous réitérons ici que l’organisation, à la même date, de ce congrès du TIM et l’assise du RFN, juste avant la fin de l’année, n’est pas le fruit du hasard. Deux importantes réunions dont les résolutions respectives sont, comme c’est généralement le cas, déjà plus ou moins connues, bien avant la tenue des travaux de commission. Au chef de l’Etat ensuite de tirer les conclusions...
Et il le fera, apprend-on, de source informée. Mais à sa façon, et selon sa propre vision. Le Président de la République a ainsi la ferme intention de boucler sa série de réformes par de grandes décisions. Ainsi, Marc Ravalomanana serait en train, de recueillir l’avis des constitutionnalistes et autres juristes de renom sur son projet de supprimer les provinces autonomes, ne gardant alors que les régions et les communes.
Pour ce faire, il ne voudrait pas une consultation populaire (référendum), mais procèderait par voie parlementaire (Sénat et Assemblée nationale), vu qu’il ne s’agit que d’un simple amendement de la loi fondamentale. Cette initiative de remplacer les six provinces par les régions a déjà été évoquée au début des années 90, et aurait même reçu l’aval du PNUD. A l’époque, l’on parlait de 28 au lieu de 22 régions. L’idée présidentielle serait, entre autres, de préserver l’unité nationale, et d’effacer toute velléité d’autonomie, comme lors de la crise 2002, voire de 1992, quand des politiciens préconisaient l’indépendance des cinq provinces ou l’instauration du fédéralisme dans l’île. Aussi, le Parlement serait-il, selon toujours notre source, convoqué, vers le début de 2005, pour une session extraordinaire.
Parallèlement, le chef de l’Etat projetterait (le conditionnel est de rigueur) d’annuler les procédures judiciaires à l’endroit des prisonniers et exilés politiques. Une mesure qui va au-delà de l’amnistie et de la grâce présidentielle, et qui aura pour effet de faire d’une pierre deux coups. D’un côté, éviter la tenue d’une conférence nationale, et de l’autre, priver l’opposition de sa principale revendication qu’est l’élargissement des prisonniers politiques et le retour au pays des exilés.
Dans tous les cas, ces projets de M. Ravalomanana sont conçus à partir d’un savant dosage. Visiblement, il souhaite l’apaisement et la stabilité avant d’entamer la dernière année de son quinquennat. En fait, dans l’hypothèse où toutes ces mesures seraient couronnées de succès, il peut s’inventer un nouveau destin présidentiel. De toute façon, étant donné que l’opposition est en ce moment divisée, affaiblie, et que le RFN n’est encore qu’à ses premiers balbutiements, tout cela laisse le champ à de nouvelles dynamiques. D’où ces décisions qui ressemblent à une vraie révolution...
Quoi qu’il en soit, le message à la Nation
que fera le président Ravalomanana, à l’occasion du Nouvel An, est à suivre avec beaucoup d’attention.
[ Posté par : www.lagazette-dgi.com
NOSINTSIKA
21/12/2004 consolider son empire commercial - La lettre de l'océan indien N° 1115 - 18/12/2004
Le président Marc Ravalomanana est en train de mettre à profit son passage à la magistrature suprême pour consolider son empire commercial. Souvent au nom d'une certaine conception de l'efficacité, les compagnies du groupe Tiko appartenant au chef de l'Etat se voient accorder des contrats publics,parfois de gré à gré, ou des avantages fiscaux dont ne bénéficient pas
toujours leurs concurrents. D'autres firmes "amies" du nouveau régime sont traitées de manière identique, tandis que des sociétés jugées proches de l'ancien régime sont sujettes aux tracasseries administratives.
Exemptions. La société Tiko Oil, qui avait déjà obtenu une exemption de taxe controversée au milieu des années 1990, devrait encore bénéficier dans le budget 2005 d'une taxe à taux zéro sur la matière première qu'elle importe afin de fabriquer son huile raffinée. Par contre, l'importation par ses concurrents d'huile déjà raffinée sera taxée à 20%. Cette disposition va renforcer le monopole de Tiko Oil sur ce produit de consommation courante.
De même, la société Malagasy Grossiste (Magro), appartenant à Ravalomanana, a été exemptée de taxes pour l'importation de 19 000 tonnes de riz et monopolise leur commercialisation dans les provinces de Mahajanga et Tuléar.
Magro en a commercialisé une grosse partie dans la région d'Antananarivo grâce à des camions Mercedes loués à l'armée et à du carburant payé par la Commune urbaine d'Antananarivo (CUA) dont le maire, Patrick Ramiaramanana, est un proche collaborateur du chef de
l'Etat.
Privilèges. Le maire d'Antananarivo privilégie les sociétés du groupe Tiko de plusieurs façons, par exemple en réservant les panneaux de 12 m2 du stade municipal de Mahamasina pour leur publicité, les autres firmes n'ayant droit dans ce stade qu'à des panneaux de 3 m2. L'épouse du chef de l'Etat, Lalao Ravalomanana, supervise la conception des publicités de Tiko, payées en général 50% moins cher que le prix du marché selon un sous-traitant.
Plusieurs firmes publicitaires se sont cassé les dents face aux décisions administratives de Ravalomanana et de ses collaborateurs. Quand Andry Rajaoelina, le Pdg d'Injet, a voulu investir dans des panneaux publicitaires modernes, la CUA lui a fait savoir qu'ils n'étaient pas conformes aux normes malgaches. La CUA s'oppose toujours à Rajaoelina à propos de l'installation de panneaux au carrefour d'Antanimena, pour un motif inavoué : ils feraient de l'ombre à ceux de dimension plus modeste accueillant les publicités du groupe
Tiko.
Rétorsions. Des sociétés bien vues par le chef de l'Etat, telles Urban Graphic qui est dirigée par une Suédoise ou NYR Image, obtiennent des marchés publicitaires dont d'autres firmes sont écartées. Synergie Communication, de Elya Ravelomanatsoa, avait par exemple présenté à Ravalomanana le projet d'une campagne de lutte contre le Sida financé par la Banque mondiale, mais après deux mois de travail les services de la présidence lui ont fait savoir que le chef de l'Etat ne voulait pas travailler avec elle. La même histoire s'est répétée pour la campagne sur l'Ariary (nouvelle monnaie malgache) : Synergie a reçu un coup de téléphone d'un ministre lui attribuant le marché puis un autre appel du même ministre, le lendemain, précisant que l'appel d'offres avait été annulé. C'est ensuite Urban Graphic qui a hérité du contrat.
Gré à Gré. Dans le secteur de l'imprimerie, la fille du président malgache Sarah Ravalomanana n'hésite pas à monter au créneau pour rafler des marchés en se présentant en personne au dépouillement de certains appels d'offres.
L'imprimerie de Madagascar Broadcasting System (MBS, du groupe Tiko) a mis la main sur le marché des étiquettes de produits et s'est lancée dans l'importation de papier, au grand dam de la société Papmad. Quant à la filiale BTP du groupe, la société Alma dirigée par Heriniaina Razafimahefa (président du conseil d'administration d'Air Madagascar) et ayant pour
directeur technique Gédéon Rajaonson (ancien directeur de cabinet de Ravalomanana), elle a réussi à obtenir des marchés sans appel d'offres de la part de l'Agence d'exécution des travaux d'infrastructures publiques d'Antananarivo (Agetipa) et de la
CUA.
2)- consolider son empire commercial - La lettre de l'océan indien N° 1115 - 18/12/2004
bonjour,
Si il y a un adversaire contre lequel il faut s'ériger dans un pays comme le notre , ce n'est ni MM Ratsiraka ou Zafy ou Ravalomanana et
tout autre dirigeant à venir , en eux-mêmes, c'est bien le manque patent d'éthique et
toutes les personnes (dirigeants inclus) et métiers qui en démontrent. La
Lettre de l'Océan Indien (LOI) a déjà prouvé pas mal de fois que ses
nouvelles , scoops et développements sur Madagascar ( ce que nous ici , à Madagascar ,
nous pouvons recouper) sont loin d'être exacts et non dénués de
manipulation et d' insidieux ; il y a des exemples précis
pour cela.
Cela ne veut pas dire que ce qui y est dit est toujours totalement faux, mais le à moitié vrai est déjà plus que répréhensible, notamment dans un
métier sacré comme la presse , Salutations,
Faraniaina Pierre Bernard
TRIBUNE
21/12/2004
Fitsarana momba ny ady amin'ny fanjakana...
Nijoro koa ny eto Antananarivo
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aorian'ny fanokanana ny lapan'ny fitsarana etsy Anosy nasiana fanavaozana, dia niroso tamin'ny fitokanana ny tranon'ny fitsarana momba ny ady atao amin'ny fanjakana sy ny fitsarana momba ny fitantanam-bola ny filohan'ny Repoblika sy ireo olo-manan-kaja maro. Trano iray ahitana efitra 12 sy efitra fitsarana 1 ity trano vao naorina ity, izay natsangana nandritra ny 2 volana ka nandaniana vola 480.000.000 Ar ka ny FID no tompon'antoka amin'ny fanatanterahana ny asa, fa ny minisiteran'ny fitsarana ihany no niantoka ny vola lany. Notokanana niaraka tamin'io koa ny fiara roa ho an'ity sampana iray ao amin'ny fitsarana ity, izay efa misy laharana amin'ny takelaka mena.
Faha 4 amin'ny fitsarana isaky ny faritany 6 misahana ny ady amin'ny fanjakana sy momba ny fitantanam-bola ity vao naorina eto Antananarivo ity, izany hoe mbola misy an'Antsiranana sy Toamasina izay ho tokanana atsy ho atsy ihany koa.
Tanjona amin'ny fananganana moa dia ny hirosoana amin'ny maha tany tan-dalàna an'i Madagasikara sy fametrahana ihany koa ny fitondrana tsara tantana, ary mba ho marika fa hisy ny mangarahara. Nisongadina teto ny kabarin'ny filoham-pirenena izay nilaza fa taonan'ny asa tokoa ity taona
ity, raha tsy hijery afa-tsy izao fanamboarana eto amin'ny fitsarana
izao. |
"Hanaja ny fahefan'ny fitsarana aho", hoy ny filoha, satria saro-pady ny asan'ny mpitsara noho ny asa mahakasika ny
zon'olombelona. Noho izany, dia masina ny didy avoakany.
TInoana tokoa fa hisongadina amin'izay ny maha fitsarana madio sy azo itokisana azy. Vonona ny filoham-pirenena hanampy ity minisitera iray ity izay hita mivaingana ny asa vitany, ary hataony laharam-pahamehana mihitsy izany. Ny minisitry ny Fitsarana kosa dia nampahatsiahy fa efa eo am-panatontosana ny asa fanamboarana ireo fitsarana toy ity any Antsiranana sy Toamasina ny minisitera, ka tsy ho ela dia ho vita izany.
• Mpitsara miisa 8 no misahana ny asa
Mpitsara 8 mianadahy no voatendry hisahana ny raharaha ao amin'ity trano fitsarana ny ady amin'ny fanjakana sy fitsarana momba ny fitantanam-bola eto Antananarivo ity izay napetraka tamin'ny alalan'ny fotoam-pitsarana manetriketrika omaly ihany koa. Nametraka azy ireo ireo mpisolo vava jeneraly maro sy ny filohan'ny fitsarana eto Antananarivo.
Ny filohan'ny fitsarana momba ny ady atao amin'ny fanjakana dia Atoa Rakotoson Andriatsiferana Jean Roland, Rtoa Raholiarisoa Marie Lucile sy Atoa Randrianasolo Léon no mpanolon-tsaina, ary Atoa Ratsimbason Joseph Séraphin no mpampanoa lalàna.
Ny filohan'ny fitsarana momba ny fitantanam-bola kosa, dia Atoa Raserijaona Louis José, Raharimalala Lydia Clémence sy Atoa Velomahita Pierre no mpanolon-tsaina ary Atoa Ndriadama Andrianasedo Arsène kosa izay marihana fa mbola tanora tokoa satria vao 24 taona monja, no "Commissaire financier".
Didim-panjakana no nananganana ireo fitsarana misahana ny ady amin'ny fanjakana sy ny fitantanam-bola, sy nanendrena ireo mpiasa hisahana ity fitsarana
ity.
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