Madavôvô 2004  

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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent

Sommaire Madavôvô: 15 janvier 2005

1.Attestation d’accueil plus dure à obtenir en France ! (wanadoo.mg)

2. Plus de 4 T. d'or s'évaporent par an dans la nature  (Les Nouvelles)

3. La grève des magistrats pour février  (Midi)

4. Kofi Annan à Antananarivo cette année  (Midi)

5. No Comment.... No Comment...

6. Diaspora :Une Plateforme de Concertation pour Madagascar (La Gazette)

7. Pierre Tsiranana :"Ras-le bol de Ravalomanana" (La gazette)

8.Le professeur Albert Zafy ne désarme pas - (Madagate)

9.France: durcissement des conditions pour héberger un étranger en visite(Nosintsika)

15/01/2005

COURS DES CHANGES

EURO(cmax) 2 400 Ar FMG 
EURO(cmin) 2 300 Ar FMG 
EURO(cmp) 2 360 Ar FMG 
USD 1 840 Ar FMG 
GBP 3 367,08 Ar FMG 
CHF 1 527,83 Ar FMG 
JPY 17,14 Ar FMG 
ZAR 297,37 Ar FMG 
HKD 229,89 Ar FMG 

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

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... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Wanadoo.mg  15/01/2005

Attestation d’accueil plus dure à obtenir en France ! 
Les conditions pour héberger un étranger en visite en France viennent d’être renforcées. Ces mesures concernent la délivrance d’une attestation d’accueil, nécessaire à l’obtention d’un visa pour un court séjour privé ou familial dans l’Hexagone. Les maires français devront vérifier la surface du logement d’un demandeur d’attestation d’accueil dans ’Hexagone. 
En effet, depuis le 1er janvier dernier, des garanties financières et de logement très dures sont exigées au niveau des mairies françaises pour l’octroi d’une attestation d’accueil. Et ce, en application de la loi Sarkozy sur l’immigration. Cette loi donne au maire le droit de vérifier la réalité du logement et de refuser l’attestation s’il estime que les conditions normales font défaut. 
Surface habitable 
Ces exigences du ministère de l’Intérieur français, pour lutter contre les fraudes, imposent que le logement de l’hébergeant doit impérativement remplir les conditions posées par le code de la construction et de l’habitat. Ce code définit les normes de confort et d’hygiène des logements décents. Ainsi, le logement de l’hôte doit avoir une surface moyenne minimum de 14 m² pour une personne, 28 m² pour deux et 42 m² pour trois… Les enfants sont également comptés comme adultes. En outre, l’habitation doit également comporter des éléments d’équipement tels un chauffage en bon état de marche, une cuisine équipée d’un appareil de cuisson et d’un évier, une installation sanitaire permettant de garantir l’intimité personnelle… 
Sur le plan financier, le visiteur étranger doit payer un timbre fiscal de 15 euros pour l’Office des migrations internationales et souscrire une assurance médicale et hospitalière avec un minimum de garantie de 30.000 euros. Et ce, en marge du droit de visa (s’élevant entre 30 et 50 euros selon le pays d’origine) qu’il doit obligatoirement acquitter au moment du dépôt de la demande de visa. Ce droit n’est d’ailleurs pas remboursable même si le visa est refusé. 
Droits divers 
En somme, un étranger visiteur doit prévoir une dépense minimum de 170 euros, rien que pour les droits divers. De son côté, le logeur doit disposer d’au moins 14 m² de surface habitable par personne. « Les premiers demandeurs d’attestation d’accueil auprès des mairies françaises se sont vus remettre une liste de six critères pour le logement, et réclamer trois fiches de paie attestant leur capacité à couvrir les besoins du visiteur. 
De leur côté, les responsables des services des affaires générales et militaires avouent qu’ils sont maintenant tenus de faire les vérifications, alors qu’auparavant, ils se souciaient peu de la surface du logement du demandeur », rapporte un journal français. En fait, la loi Sarkozy a déjà existé mais c’est seulement après la circulaire du 23 novembre, envoyée par le ministère de l’Intérieur français aux maires, pour exiger son application, que les choses sont devenues plus difficiles. Ainsi, il est donc plus dur d’obtenir une attestation d’accueil pour les étrangers résidant en France. 


Les nouvelles 15/01/05

 Plus de 4 T. d'or s'évaporent par an dans la nature 
La production nationale d'or est estimée à 5 T. par an. Environ 300 kilos sont nécessaires à la satisfaction des besoins locaux, en bijouterie essentiellement. Comme 30 kilos seulement sont officiellement déclarés : où passent, chaque année, plus de 4 T. d'or ? C'est pour lutter contre cette volatilisation du précieux métal que la création d'un Comptoir de l'or est envisagé, composante à l'étude du projet de renforcement institutionnel du secteur minier. En attendant, l'or se barre ! Article du : 14/1/2005 
Plus de 4 T. d'or s'évaporent par an dans la nature 
Pour 5 tonnes de production annuelle, 300 kilos de besoins locaux et 30 kilos de déclaration officielle : où passe l'or ?
Depuis le mois d'août 2004, le Prismm (Projet de renforcement institutionnel secteur minier à Madagascar) est déjà à son troisième atelier qui doit déterminer les termes de références de l'étude de faisabilité sur la mise en place d'un comptoir de l'or, dont le premier devrait être installé à Andriamena. Mais trop de formalisme peut tuer le projet dans l'œuf et c'est du temps donné à l'informel pour se développer encore plus.
La régulation et le contrôle de la commercialisation de l'or sont une nécessité, ne serait-ce que par rapport aux statistiques officielles disponibles qui sont loin de refléter la réalité.
Pour une production nationale estimée à 5 tonnes d'or par an, 30 kilos seulement ont été déclarés officiellement en 2001, et encore, c'est l'une des déclarations officielles les plus élevées depuis plusieurs années.
Selon les sondages effectués auprès des bijoutiers et autres utilisateurs de l'or de la place, les besoins locaux sont estimés à 300 kilos par an. Où est donc passé le reste de la production locale non utilisée sur place ? Comme l'a déclaré le ministre de l'Energie et des mines, Donat Olivier Andriamahefaparany, lors de l'ouverture officielle de ce troisième atelier : "Nous sommes convaincus que ce comptoir est un des moyens pour canaliser la production". Ce qui explique déjà en partie l'empressement des autorités pour contrôler la filière.
De plus, avec un prix de vente tournant autour de 20.000 ariary (100 000 Fmg) le gramme d'or aujourd'hui, la commercialisation de cet or produit localement draine une masse d'argent incommensurable dont ne profitent pas, très souvent, les orpailleurs et l'Etat. Or, il a été maintes fois annoncé que le secteur minier, donc la filière or comprise, doit "contribuer à la lutte contre la pauvreté et au développement durable".
FORMALISATION DES ACTEURS
Sur le plan des ressources humaines, la filière or fait intervenir un grand nombre d'acteurs : on compte environ 200.000 orpailleurs à Madagascar (soit 10 % de la population active) et 15.000 bijoutiers sont recensés. Mais rares sont ceux qui s'enrichissent à partir des activités liées à l'or.
Le marché noir est très florissant dans la commercialisation de l'or. Cela s'explique pour diverses raisons. Entre autres, on peut citer une fiscalité trop lourde (les activités sont frappées de la TVA, du droit d'accises, de l'IBS, et de l'impôt sur les revenus), la difficulté d'accès au crédit pour les acteurs individuels de la filière, un circuit de commercialisation trop flou… 
La canalisation de la filière devrait aussi permettre de formaliser tous les acteurs de la filière, de réguler le prix de l'or et d'améliorer le rendement des producteurs (leur formalisation faciliterait leur identification, et partant, concentrer les aides susceptibles d'être apportées à leur endroit). Le but avoué est de faire de la filière or une activité porteuse, rétributrice de revenus. Et cela passe par une croisade contre l'informel.
Mais dans ce contexte, la démarche choisie par le Prismm pour mettre en place le comptoir de l'or semble trop compliquée et exige un délai de réalisation espacé dans le temps. On sait qu'il existe déjà bel et bien un marché (noir, certes) de l'or. Il importe alors d'inciter les acteurs à se formaliser. Cela peut se faire de différentes manières : installer un local où les vendeurs et les acheteurs pourraient se rencontrer au niveau de la collectivité décentralisée concernée (commune, district…) . Les autorités locales pourront alors percevoir directement ce qui leur revient après un commun accord avec les intervenants.
DEUX PROJETS EN CONCURRENCE ?
C'est d'ailleurs, à notre connaissance, ce qu'envisage de mettre en place le PGRM (Projet de gouvernance des ressources minérales) à Maevatanàna. C'est une structure plus simplifiée et plus fonctionnelle comparée à celle prévue par le Prismm et qui ne nécessite pas l'injection de millions de francs pour parfaire encore une étude de faisabilité. D'ailleurs, on peut se demander pourquoi existe-t-il deux projets différents pour un même objectif. Le Prismm, rappelons-le , comme pour partenaire la Coopération française; le PGRM est, par contre, financé par la Banque mondiale. N'aurait-il pas mieux valu combiner les deux projets par souci d'efficacité ?
A moins, bien entendu, qu'on ne veuille comparer les deux systèmes en termes d'efficacité ! Toujours est-il que le système choisi par le Prismm laisse planer un certain doute quant à son efficacité. Ce doute se situe en particulier au niveau du capital requis pour monter un comptoir de l'or. D'après les textes qui régissent le comptoir de l'or, pour son exploitation, l'intéressé doit investir 500 millions de Fmg. C'est en quelque sorte une forme d'exclusion.
Pour en revenir à l'atelier d'hier, parmi les idées force émises, on peut retenir : la révision du Code général des impôts, la création d'un comptoir central et des structures décentralisées, la précision du cadre légal et réglementaire régissant le comptoir (procédures d'agrément, circuit de commercialisation, cahier des charges…). Ce qui démontre que la mise en place du comptoir de l'or n'est pas encore pour demain.
Ranaivo Lala Honoré 


Midi Mada 15/01/2005

SMM La grève est donc décidée au niveau du SMM. A partir d’hier, un préavis d’un mois est respecté, avant la grève prévue se tenir le 14 février. La grève pour février !
170 votants sur 254 ont opté pour la grève contre 82 qui ont décidé le processus négocié, et 2 ne se sont pas exprimés. Tel a été l’aboutissement de la session extraordinaire du syndicat des magistrats de Madagascar hier à Anosy, qui a réuni la moitié des 540 magistrats de la Grande Ile. B.A. 
La rencontre qui s’est passée à huis clos, et qui a duré presque 3 heures, a porté sur tous les processus entamés par le SMM avec les autorités compétentes, dans le but de satisfaire ses revendications. Elles portent sur l’adoption du statut particulier des magistrats, la revalorisation de la grille indiciaire et la réactualisation des indemnités diverses. Le statut particulier des magistrats a été ajourné pour la prochaine session, mais apparemment, la patience des magistrats avait des limites. « Le 3 septembre, nous avons déjà procédé à une levée totale de la grève, et avons adopté le processus négocié, nous étions alors ouverts à toute discussion », a déclaré hier le secrétaire général du Smm, Razakavonison Richard. 
Casser
Celui-ci a martelé que la grève a été adoptée à l’unanimité, ce qui signifie que c’est la volonté de tous. Et ceci malgré la réunion que le bureau du SMM a eue le 05 janvier dernier avec le Président de la République, en présence du ministre de la Justice. Le Président avait alors déclaré qu’il ferait quelque chose d’important pour la magistrature, mais que pour le moment, l’adoption du statut des Magistrats paraissait inopportune, et que l’âge de 65 ans à la retraite n’était pas accepté par les bailleurs de fond. Apparemment, le SMM a décidé de casser le dialogue, à moins que d’ici le début de la grève prévue pour le 14 février, le régime lâche du lest. Le SG du ministère de la Justice, présent à la réunion en tant que magistrat, a déclaré à la sortie que le régime avait déjà fait des efforts, dans le but d’assainir l’environnement judiciaire, car auparavant, les conditions de travail étaient déplorables. 
Critiques
La réhabilitation du Palais de Justice en est un exemple, selon le SG, et il faut aussi que les magistrats se remettent en question, car les critiques émises contre eux étaient nombreuses, tant de la population que des parlementaires. « Le ministère est, en tout cas, contre la grève, car nous pensons aux conséquences que cela pourrait avoir sur le pays et les justiciables », a conclu le SG. Il n’a pas évoqué la possibilité d’une sanction à l’encontre des magistrats qui procèderaient à la grève. Avant la session d’hier, des tracts avaient déjà circulé, émanant d’un groupe qui se dit contre l’intimidation, et qui incitait les magistrats à la grève. L’existence d’un tel groupe n’a pas été confirmé, mais il est clair que leur démarche a abouti, vu que le SMM est pour la grève, dans sa majorité. La suite des événements déterminera l’efficacité de ce mouvement… 
ONU-MADAGASCAR. Le programme « Monde rural » bien appuyé, des constructions anti-cycloniques seront mises en place avec l’aide des Nations-Unies.
Kofi Annan à Antananarivo cette année ! 

Le SG des Nations Unies, Kofi Annan, visitera Madagascar cette année. L’information a été révélée par Marc Ravalomanana à l’issue de la rencontre entre les deux personnalités qui s’est tenue dans un des salons du complexe international de Port-Louis, Ile Maurice. Selon le Chef de l’Etat, le Secrétaire Général de l’ONU a justement reconfirmé son soutien quant à la politique du développement du monde rural établie par l’Etat malgache. « M. Kofi Annan a félicité l’initiative prise par Madagascar concernant cette politique au profit du monde rural », a déclaré Marc Ravalomanana. 
Val A.
Initiative
Les deux hommes ont aussi discuté des questions relevant du domaine du planning familial dont la réalisation s’offrira l’aide des Nations Unies au profit de Madagascar. Comme en matière humanitaire où les Nations Unies aideront la Grande Ile à construire des constructions anti-cycloniques dans les régions sensibles de Madagascar, lesquelles constructions serviront d’abri humanitaire et de préservation de produits alimentaires. Enfin, les deux hommes ont parlé de la préparation du 60e anniversaire de l’Assemblée générale de l’ONU, à marquer cette année, de la participation de Madagascar à l’aide aux pays victimes du Tsunami, de la mise en place des 22 régions.
Avec le Commissaire européen pour le développement, Louis Michel, le président de la République a discuté de la coopération avec l’Union Européenne. Ce responsable viendra à Tana au cours du sommet de la Commission de l’Océan Indien au mois de mars prochain afin de ficeler des programmes avec le pays. Intense et compact entretien également avec le Premier ministre mauricien, Paul Bérenger, à l’issue duquel les 2 personnalités se sont félicitées du renforcement des relations entre les deux îles. Le processus menant Madagascar vers l’effectivité du statut de membre titulaire de la SADC est en bonne voie. Signe de progrès en matière de transport aérien, il y a actuellement 10 vols par semaine entre Madagascar et Maurice. Bref, pour le président de la République, ces quelques heures passées à l’Ile Maurice, ont été très positives, malgré un incident technique qui a dû bloquer le Chef de l’Etat dans un ascenseur défaillant.


NO COMMENT        NO COMMENT       NO COMMENT      NO COMMENT

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...Les 8 Familles et leurs vœux 2004

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  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


La Gazette 15/01/2005

Diaspora :Une Plateforme de Concertation pour Madagascar
Des membres de la diaspora malgache en France viennent de mettre en place, mercredi dernier à Paris un comité préparatoire de la Plateforme de Concentration pour Madagascar (PCM). Sur l’initiative des responsables des deux associations « Enina » et « Hetsika Diaspora – France », la plateforme est ouverte à tous citoyens sans distinction de partis, ayant en commun la conscience des difficultés cruciales qui guettent la Nation malgache et qui sont disposés à organiser une concertation nationale. 
D’après les dix premiers signataires (voir en encadré), cette concertation a comme objectif de « débattre, en tant que société civile indépendante, des solutions pour sortir Madagascar de la crise qu’elle traverse depuis plusieurs années ». Il s’agit-là d’une autre contribution à la réduction de la pauvreté, au développement de la croissance économique et à la garantie d’une stabilité politique. 
Affichant sa détermination, le comité préparatoire du PCM programme déjà des rencontres dans différentes villes françaises, tels Bordeaux et Toulouse (5 février), Lyon (12 février), Strasbourg (19 février) et Toulon (26 février). Et la boucle sera bouclée par une concertation à Paris le dimanche 27 février prochain. 
Pierre Tsiranana :"Ras-le bol de Ravalomanana"
Depuis qu'il a été évincé de la présidence de la délégation spéciale de la province de Mahajanga, Pierre Tsiranana n'a pas tardé à prendre position pour une opposition au pouvoir. Il l'a déjà déclaré à maintes reprises, mais hier, il était encore revenu à la charge. En fait, devant les rumeurs qui courent à propos d'un éventuel changement du gouvernement, Pierre Tsiranana pense que, quel que soit le Premier ministre, "cela ne changera rien dans la marche des affaires nationales. Pour nous, c'est toute l'équipe, depuis le Président de la République jusqu'aux chefs de quartier qu'il faut changer. Ils ont promis des changements dans la vie du pays, mais aucune concrétisation de leurs promesses n'a été notée. Ils n'ont rien réussi et leurs prétendues réalisations ne sont que de la poudre aux yeux pour nous…" 
S'en prenant par ailleurs au président du Sénat Rajemison Rakotomaharo, Pierre Tsiranana fait remarquer : "Il n'appartient pas à Rajemison de dire que le gouvernement ne marche pas. C'était une bavure monumentale de sa part, surtout qu'il n'avait pas à le faire devant les représentants des corps constitués. Mais dans une certaine mesure, dire que le gouvernement ne fait plus le poids, c'est dire que le premier responsable, en l'occurrence le Président de la République qui l'a nommé, l'est aussi. Donc, s'il faut changer, que ce changement se fasse à partir du sommet. S'ils ne veulent pas démissionner, alors le peuple s'en chargera…" 
M.A.


Madagate.com  15/01/2005

Le professeur Albert Zafy ne désarme pas - 
Conférence nationale - Le Crn va dévoiler les résultats de sa campagne de signatures .Le professeur Albert Zafy ne désarme pas pour obtenir une conférence nationale de réconciliation.
Le Comité préparatoire de la conférence nationale sur la réconciliation nationale est au rapport. Le mouvement dirigé par José Rakotomavo et parrainé par le Comité pour la réconciliation nationale (CRN) exposera demain à la Villa Elisabeth, résidence du professeur Zafy Albert, les avancées des premiers résultats de la campagne de collecte de signatures pour la tenue d'une conférence nationale. 
Le comité avait lancé il y a un peu moins de trois mois une campagne de collecte de signatures pour légitimer la conférence nationale. Il en est de même de la réalisation des conférences régionales dans les provinces, une étape conduisant à la tenue de la conférence nationale. 
Annoncées avec un grand tam-tam, les actions du Comité ont disparu des feux des projecteurs ces derniers temps. Pour l'instant, seules les provinces de Mahajanga et de Toamasina ont pu terminer leurs conférences régionales respectives. Pour la collecte de signatures, aucun chiffre officiel n'est encore communiqué. Pour la province d'Antananarivo, le comité concède une collecte relativement maigre, "mais il y en a", a souligné l'un d'entre eux. 
Annoncée avant la fin de l'année 2004, le comité préparatoire n'a pas pu tenir la conférence nationale. L'on assure tout simplement qu'"elle se tiendra cette année". 
Cette rencontre avec la presse sert également au Comité préparatoire à indiquer "les étapes qu'il va suivre", selon Léon Ramily, responsable de la communication.
En tout cas, cette année risque encore d'être fertile en événements politiques. Pour l'instant, trois conférences nationales sont toutes annoncées pour 2005, à moins qu'on assiste à une fusion quelque part. On peut mentionner celle du Comité préparatoire, proche du CRN. Il faut citer également la conférence nationale du Rassemblement des forces nationales (RFN) et enfin celle de la Solidarité parlementaire pour la défense de la démocratie et de l'unité nationale (SPDUN). :
Iloniaina A.   [ Posté par : www.lexpressmada.com 


Nosintsika 11/01/2004

France: durcissement des conditions pour héberger un étranger en visite - Le Monde

Le ministère de l'intérieur durcit les conditions pour héberger un étranger en visite      LE MONDE | 08.01.05 | 12h28
Les maires devront vérifier la surface du logement
Faire venir sa grand-mère d'Alger pour la circoncision de son petit-fils ou le mariage de sa fille sera désormais plus difficile pour les étrangers résidant en France. Le ministère de l'intérieur a adressé aux maires une circulaire exigeant des garanties financières et de logement très dures.  Quelque 170 euros pour le visiteur et 14 m2 de surface habitable par personne chez le logeur sont demandés depuis le 1er janvier.
C'est par cette circulaire du 23 novembre 2004, envoyée en application de la loi Sarkozy sur l'immigration, que les maires ont été prévenus des nouvelles exigences pour toute visite sur le sol français. Jusqu'alors, les maires, seuls habilités à délivrer l'attestation d'accueil nécessaire à l'obtention d'un visa pour un court séjour privé ou familial, faisaient remplir à l'hébergeant un certificat précisant son identité et son adresse, le nombre de personnes accueillies et la durée de leur séjour.
La loi Sarkozy confère désormais au maire le droit de vérifier la réalité du logement et de refuser l'attestation s'il juge que les "conditions normales"d'hébergement font défaut. Un décret est venu préciser ces conditions.
L'étranger visiteur doit, en plus du visa, qu'il paye entre 30 et 50 euros selon le pays d'origine, payer un timbre fiscal de 15 euros pour l'Office des migrations internationales et souscrire une assurance médicale et hospitalière avec un minimum de garantie de 30 000 euros. La compagnie d'assurances la moins chère prévoyant cette couverture en France, April, propose une assurance de 32 euros pour un séjour de moins de huit jours, et de 107 euros pour ceux supérieurs à deux mois.
Au total, le visiteur étranger peut être amené à débourser, s'il n'a pas d'assurance personnelle, pas moins de 150 à 170 euros pour un séjour d'un à deux mois. Une somme astronomique quand le smic algérien est à 90 euros et le turc à 189 euros.
Les exigences du gouvernement pour "lutter contre les fraudes", comme le justifie la loi, vont plus loin. La circulaire demande aux maires de vérifier que le logement de l'hôte "remplit les conditions" posées par le code de la construction et de l'habitat, qui définit les normes de confort et d'hygiène des "logements décents". L'habitation doit avoir une surface moyenne minimum de 14 m2 pour une personne, 28 m2 pour deux, 42 m2 pour trois..., les enfants étant comptés comme adultes. Le logement doit en plus comporter des "éléments d'équipement", comme un "chauffage normal", une cuisine "aménagée d'un appareil de cuisson et d'un évier", une installation sanitaire permettant de "garantir l'intimité personnelle"...
Les premiers demandeurs de la mairie du 14e arrondissement de Paris se sont vu remettre une liste de six critères pour leur logement et réclamer trois fiches de paye attestant leur capacité à couvrir les besoins du visiteur. "Avant, on ne vérifiait pas, peu importait la surface du logement. Nous sommes maintenant tenus de le faire", s'excuse le responsable des services des affaires générales et militaires.
La pratique fait bondir les associations : "Ces normes sont celles exigées pour les demandes de regroupement familial. C'est démentiel de les appliquer pour les étrangers qui viennent visiter leur famille !, s'insurge Claire Rodier, du Groupe d'information et de soutien des immigrés (Gisti). C'est pire que sous les lois Pasqua."
Sylvia Zappi       . ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 09.01.05

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La RNS souffle ses 30 bougies cette année 2005 et pour marquer cet événement exceptionnel, le Comité Exécutif National (C.E.N.) et le Comité National d’Organisation (C.N.O.) de la RNS 2005, lancent un Concours pour  la création d’un Hymne à la RNS.  

Articles du règlement  consultable sur le site www.rns-cen.com   

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