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a les yeux braqués sur Madagascar ...
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Big News...
La maladie de Panama frappe les bananiers
Les bananes de la partie orientale de Madagascar subissent encore les assauts de la maladie de Panama, a rapporté mercredi la presse locale.
Découverte en 1998 dans la région de brickaville, située à quelque 300 km à l'est d'Antananarivo, la propagation de la maladie a été favorisée par la crise sociale de 2002. La circulation de marchandises et de personnes dans cette région a été très importante durant cette période, ce qui a facilité la prolifération de la maladie dans les autres régions de l'île.
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Jeune
Afrique 09/03/2005
La France est le premier fournisseur de Madagascar en janvier
- MADAGASCAR - par XINHUA
La France demeure le premier partenaire commercial de Madagascar, représentant plus de 24% du total des expéditions vers la Grande Ile en janvier dernier, a-t- on appris jeudi de source officielle.
C'est l'Afrique du Sud qui vient en deuxième position avec 12% des importations malgaches et la troisième position est détenue par la Chine qui représente 9,3% des expéditions.
La présence de Bahrein, Maurice, Hong Kong, Belgique, Malaisie, Thaïlande, Taïwan, Singapour, Mazambique, Japon, Royaume-Uni, Grèce, Egypte, Indonésie ... manifeste la tendance pour la diversification des partenaires économiques.
En ce qui concerne les devises utilisées pour importer les marchandises, c'est toujours le dollar qui est en tête avec une proportion de 60%. L'autre devise forte utilisée par les importateurs est naturellement l'euro avec 35% de taux d'utilisation. Les autres devises comme le yen (du Japon), la roupie (de Maurice) et le rand (d'Afrique du Sud) sont utilisées dans une petite proportion.
Pour ce qui est de la catégorie des marchandises inspectées, les céréales qui incluent le riz représentent près de 16% des marchandises inspectées avec une valeur de 14,4 millions d'euros au mois de janvier. Les importations de chaudières, machines, appareils et engins mécaniques détiennent une part importante avec une valeur de 12 millions d'euros. Enfin, les hydrocarbures et les huiles minérales sont en troisième position des marchandises inspectées, soit une part de 12,3%, représentant 11,3 millions d'euros.
La maladie de Panama frappe les bananiers
- MADAGASCAR - par XINHUA
Les bananes de la partie orientale de Madagascar subissent encore les assauts de la maladie de Panama, a rapporté mercredi la presse locale.
Découverte en 1998 dans la région de brickaville, située à quelque 300 km à l'est d'Antananarivo, la propagation de la maladie a été favorisée par la crise sociale de 2002. La circulation de marchandises et de personnes dans cette région a été très importante durant cette période, ce qui a facilité la prolifération de la maladie dans les autres régions de l'île.
Le Fusarium oxysporum, champignon à l'origine de cette maladie, attaque les plantes par les racines. Le bananier, infesté, s'assèche. Les recherches effectuées par le ministère malgache de l'Agriculture, de l'Elevage et de la Pêche font état d'une réduction de 75% de la production. Un baninier qui peut produire jusqu'à 90 kg ne donne plus qu'une quinzaine de kilos une fois infecté.
La maladie ne se manifeste qu'en période de fortes pluies. L'eau fragilise les racines, qui subissent ainsi les attaques des champignons.
Le ministère a lancé un vaste programme de redressement pour faire face à ce problème. Il s'agit de nouvelles variétés de banane.On a obtenu 400 000 nouveaux jeunes plants de banane du laboratoire afin de relancer la culture.
Midi
08/03/2005
Bonne gouvernance. De retour de Bruxelles, le Ministre des Affaires Etrangères, le Gal Marcel Ranjeva a annoncé la satisfaction de l’Union Européenne pour Madagascar.
Madagascar dans les 3 pays « satisfaisants » sur 71
Après qu’il ait reçu hier le Directeur Général de la coopération et du développement au sein du ministère des Affaires étrangères français, M. Philippe Etienne, le ministre des affaires Etrangères malgache, le Gal Marcel Ranjeva, a fait part d’une nouvelle émanant de l’Union Européenne, institution où oeuvre le Commissaire au développement, Michel Louis. Selon ce dernier, Madagascar a satisfait aux critères de l’Union Européenne pour ce qui concerne la bonne gouvernance et la lutte contre la corruption. Ainsi, la Grande Ile figure parmi les 3 pays les plus satisfaisants dans ce domaine en Afrique, avec le Burkina Faso et le Mozambique.
BA
En effet, le DSRP malgache ainsi que la perspective 2015 ont été jugés conformes aux objectifs du millénaire. L’Union Européenne est donc prête à poursuivre sa coopération avec le pays, et parmi celles en vue, figure la reprise de l’exportation de sucre vers les pays européens. Le ministre des Affaires étrangères a en effet expliqué que Madagascar n’ a pas pu honorer son quota d’exportation pendant les 3 dernières années, et aurait dû être sanctionné, mais grâce à ces efforts menés dans le domaine de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption, la Grande Ile a bénéficié de la clémence de l’Union Européenne. Le ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, Radavidson Andriamparany, ayant également été du voyage, il est sûr que les détails techniques sur cette opportunité ont été discutés sur place. En effet, il est connu que la principale société malgache de fabrication de sucre est en bien mauvaise posture, ce qui rend la réalisation de ce projet encore ardu. Lors de cette visite à Bruxelles, le commissaire au développement, Michel Louis a également fait part de sa venue à Madagascar en juillet 2005, à l’occasion du sommet de la COI. Une occasion de reprendre cette discussion dont l’intérêt est nettement « sirupeux » pour l’économie malgache.
France
Pour en revenir à la coopération avec la France, le Directeur à la coopération et au développement, Philippe Etienne, a fait savoir que la France ne coopère pas uniquement avec Madagascar sur le plan bilatéral, mais également dans le cadre multilatéral. Il est connu en effet que la France contribue énormément dans les projets de l’Union Européenne, par le biais de nombreux financements. C’est ce que le Directeur du MAE français a tenu à mettre en exergue, en appuyant que Madagascar est le premier pays qu’il a pris la peine de visiter, dès ses prises de fonction. Il a en effet été désigné à ce poste récemment, et cette visite constitue la première tournée qu’il effectue dans les pays qui coopèrent avec la France. Ce haut responsable français a rencontré plusieurs autorités malgaches hier, ainsi que des responsables d’institutions multilatérales. L’objectif de sa visite, selon le ministre des Affaires étrangères malgache, était de faire le point de la coopération actuelle qui existe entre la France et Madagascar, sur le plan bilatéral et multilatéral, et de voir les améliorations possibles. Bref, avec les partenaires étrangers, les relations de Madagascar sont pleines de dynamisme. Reste à en attendre les effets concrets dans toutes les couches de la population…
ETAT DE DROIT. Les 2 parties ne jurent que par le droit. Une overdose d’articles pour la Chambre administrative dont la décision sera opposable à tous.
SMM contre Etat malagasy : Moment de vérité demain !
Jour J-1 pour les magistrats grévistes qui seront fixés demain, sur l’issue de leur recours devant la Chambre administrative de la Cour suprême. A son corps défendant d’anticiper sur la décision du juge administratif, encore moins de faire pression sur ce dernier, le secrétaire général du SMM, Richard Razakavonison croit (tout simplement) en l’annulation de la mesure de suspension de salaires, prise par l’Exécutif, suite au discours du « président du conseil supérieur de la magistrature », à Toliara.
R.O.
« Compte tenu des irrégularités qui ont entaché cette mesure de suspension de salaires et que nous avions exposées dans notre requête, nous nous attendons à ce que la Chambre administrative annule la décision attaquée », déclare le S.G du SMM. En soulignant au passage que « l’arrêt de la Chambre administrative s’impose erga omnes à toute autorité constituée ». Tout ceci pour dire que l’Exécutif ne pourra pas s’y soustraire, sous peine de fouler aux pieds l’Etat de droit. « On verra si le respect de l’Etat de droit est effectif ou si ce n’est qu’un simple slogan », ajoute-t-il. Il, c’est évidemment le S.G du SMM qui porte en, même temps, la casquette de président de la plate-forme pour la protection de l’Etat de droit (PPED). « C’est cette seconde entité qui a demandé officiellement la mise en place de la Haute Cour de Justice par lettre n°20/PPED/04 du 14 juillet 2004 dont copie a été adressée au président de la République et au Premier ministre », précise-t-il. Histoire de dire et il le dit que « même si le SMM a eu l’occasion d’en toucher mot au ministre de la Justice, la mise en place de la HCJ ne figure pas parmi les revendications de la grève actuelle qui portent respectivement sur le statut particulier, la grille indiciaire et les indemnités ».
Audience
Par ailleurs, Richard Razakavonison a fait savoir que le SMM a pris acte des propos du Premier ministre Jacques Sylla selon lesquels, sa porte reste grande ouverte. « Nous avions eu par téléphone son S.P et son directeur du protocole. Le second nous a recommandé de confirmer par écrit, notre demande d’audience. En tout cas, nous avions laissé un message aux deux collaborateurs du Premier ministre ». En somme, le fameux « processus négocié » n’est pas définitivement rompu, quoique le verdict de la Chambre administrative pourrait mettre l’une des parties en position de force ou de faiblesse (c’est selon) par rapport à l’autre. En cas de rejet de sa requête, le SMM ne serait plus dans son bon droit, face à l’Exécutif qui pourrait être tenté de durcir sa position. Par contre, si le requérant venait à obtenir gain de cause contre l’Etat malagasy, ce serait profil bas pour ce dernier. Du président de la République au Premier ministre, en passant par le ministre de la Justice et son homologue des Finances et du Budget.
Suspension
Toutefois, quand bien même il serait difficile, voire impossible pour n’importe quelle juridiction, de satisfaire à la fois, les deux parties au procès, la Chambre administrative, considérée à tort ou à raison, de juge et partie dans l’affaire, pourrait couper la poire en deux, en prononçant, non pas son annulation pure et simple, mais seulement la suspension de la …suspension. Comme c’était déjà le cas du décret portant obligation de déclaration de patrimoine qui a été attaquée devant ladite Chambre par le même SMM. Lequel a déjà obtenu, par voie d’huissier, la suspension de la suspension, dès l’introduction de son recours en annulation de l’acte pris par le pouvoir. Celui-là même qui doit sa légalité à la Chambre administrative de la Cour suprême qui avait trouvé l’artifice juridique, pour faire tomber l’Amiral et consacrer la victoire au premier tour, de l’actuel locataire d’Ambohitsorohitra. En tout état de cause, le verdict de la Chambre administrative qui fera jurisprudence, aura un impact sur la suite des événements, notamment sur la prochaine assemblée générale du SMM prévue le 18 mars. D’ici là, le service minimum continue pour le SMM qui maintient le maximum de ses revendications.
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Tribune
08/03/2005
Exilés politiques en France
; Des hauts et des bas !
Les exilés malgaches vivant en France depuis la crise politique de
2002 ont connu des hauts et des bas. Ayant un statut de réfugiés
politiques, certains d'entre eux, surtout les barons de l'ancien régime,
ont une meilleure condition de vie. A preuve, de source parisienne,
quelques partisans de l'Amiral auraient acheté des villas luxueuses ou
des appartements dans des quartiers chics de la capitale française. A
citer entre autres l'ancien premier ministre Tantely Andrianarivo qui
vient d'avoir une belle villa à Tours, tandis que l'ancien ministre du
Tourisme Blandin Razafimanjato est à Versailles, l'ancien ministre de
l'Intérieur, le général Jean-jacques Rasolondraibe a sa résidence
privée dans la banlieue de Paris et la fille de l'ancien chef de
l'Etat Sophie Ratsiraka vient d'acquérir un appartement à Neuilly... Bref,
une partie des Ratsirakistes a pu s'intégrer dans la société française
en accumulant des fortunes pour pouvoir acheter des belles demeures. Une réussite exemplaire en un temps record !
Le train de vie de certains anciens maîtres du pays a surpris plus
d'uns, notamment la diaspora malgache. En tout cas, la justice française ne tolère pas l'enrichissement illicite ou l'argent d'origine
douteuse. Notre source a affirmé qu'ils ne sont pas inquiétés. En revanche, la majorité d'entre eux est dans une situation
délicate, voire insupportable, mais de peur d'être poursuivis par la
justice malgache, ils ont préféré s'exiler "volontairement " en
Métropole. D'autres, comme l'ancien vice-premier ministre Pierrot
Rajaonarivelo, sont obligés de louer des appartements ou d'être hébergés chez des amis ou de famille, faute de ressource. Profitant
de leur séjour en terre française, certains exilés ont poursuivi leurs
études, à citer l'ancien gouverneur et procureur de Toliara Maharante
Jean de Dieu, l'ancien ministre des Travaux publics Tsaranazy Jean
Emile... Quoi qu'il en soit, tous les exilés n'ont pas l'intention de rester
éternellement à "Andafy ". Sûrement, dès qu'ils ont la possibilté de
rentrer au pays, ils se bousculeront dans le premier avion vers Madagascar. Mais à quand ?
MIDI
MADA 07/03/2005
Pétrole. Aussi bien à Londres qu’à Washington, les prix du brut ne
cessent d’augmenter. A Madagascar, c’est la stabilité des prix qui
règne.
Hausse du carburant évitée par la stabilité de
l’Ariary.
Tant mieux pour les consommateurs malgaches qui restent épargnés par la
hausse des prix du carburant. Si sur le marché international la tendance est
toujours à la hausse, à Madagascar, les prix à la pompe du carburant restent
pour le moment inchangés. « Nous n’envisageons pas encore une hausse
des prix à la pompe », déclare le premier responsable d’une grande société
de distribution pétrolière.
R.E.
Une déclaration qui devrait rassurer ceux qui ont craint à juste titre une nouvelle
révision à la hausse des prix du carburant sur le marché national. Une crainte
justifiée par la hausse des prix du pétrole brut sur le marché international. En
effet, aussi bien à Londres qu’à New York, les prix du pétrole ne cessent
d’augmenter. Ces prix sont restés en fin de semaine à des niveaux très haut.
Selon l’AFP, « sur le New York Mercantile Exchange, le baril de light sweet
crude pour livraison en avril a progressé de 21 cents à 53,78 dollars après
une journée en dents de scie. Jeudi, il s’était envolé à 55,20 dollars en
cours de séance, à quelques encâblures de son record historique de 55,67
dollars atteint le 25 octobre. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord
a perdu 15 cents à 51,80 dollars sur l’échéance de mars après avoir battu
la veille un record historique à 53 dollars. Le prix du « panier » de sept
bruts mondiaux, qui sert de référence à l’OPEP a également inscrit jeudi un
nouveau record depuis sa création dans les années 80 à 48,36 dollars le
baril ».
Face à ce marché international qualifié de « vraiment très nerveux »
par les analystes internationaux, le marché malgache du carburant résiste à la
pression. Une résistance qui s’explique avant tout par la stabilité du cours des
changes. Mieux, l’ariary, par moment, affiche une véritable compétitivité par
rapport au dollar qui est la principale devise de référence du marché pétrolier.
« Les prix mondiaux et le taux de changes sont les deux principaux facteurs
de hausse des prix du carburant », rappelle un pétrolier avant d’ajouter que la
deuxième condition, en l’occurrence le cours des changes ne connaît pas encore
un taux nous permettant de modifier à la hausse, les prix à la pompe. Il reste
évidemment à espérer que la situation évolue d’une manière favorable afin de
pouvoir maintenir ce prix. Ou mieux encore de manière à le baisser. Attendre et
croire.
SOBIKA
08/03/2005
Bousculade au stade de Mahamasina à Madagascar: 2 enfants morts
auteur : AFP
Deux enfants qui avaient été grièvement blessés dans une bousculade dimanche à l'entrée du stade de football d'Antananarivo avant un match ont succombé à leurs blessures, a-t-on appris lundi de source hospitalière.
Le dernier bilan faisait état de 25 blessés. Les deux enfants, âgés de 12 et 13 ans, sont morts à l'hôpital Joseph Ravohangy à Antananarivo, a précisé à l'AFP le directeur de l'établissement, le professeur Violette
Rasoavelonoro.
16 Mars au cinéma
Huit personnes, dont l'une se trouve dans le coma, restaient hospitalisées lundi. Une bousculade a eu lieu dimanche avant un match entre le club malgache de Madagascar USJF Ravinala et l'équipe sud-africaine des Kaizer
Chiefs.
Environ 40.000 personnes se sont pressées pour entrer dans le stade municipal d'Antananarivo, qui ne contient que 21.500 places assises, a expliqué lundi l'attaché de presse de la fédération malgache de football, Sylvain Ranjalahy.
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