Madavôvô 2005  

L'Année 2004 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Joyeuses Fêtes de Noel à tous...

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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent

Sommaire Madavôvô: 29 janvier 2005

BigNews. Les vertus insoupçonnées des plantes dites ordinaires. (Express)

1. Soulac-sur-mer : Le président du sénat malgache, Guy Rajemison R. a été reçu...  (Sud Ouest)

2. Le saviez-vous? Le tourisme à Madagascar est la passion de votre madamaki  (Madamaki)

3.Marc Ravalomanana « dans la cour des grands » (La Gazette)

4. Rumeurs sur la destitution de T.E. et sur la suspension de R.R (Midi)

5. Riz thaïlandais Arrivée des 12 tonnes au port de l'Est  (Madagate)

6. No Comment.... No Comment...

7. Orange conteste à Madacom le leadership de la téléphonie mobile (Les Nouvelles)

8.Poopy en tête d'affiche de "Che Bel Canto" 5  (Tim France)

9. le discours du Président Ravalomanana  (Nosintsika)

10. Après Ernest, une autre dépression tropicale dans le Sud (Wanadoo.mg)

11. Dépression tropicale "Felapi", à 225 km au Nord-Ouest de Toliara (Tim Fr)

12. Les relations inchangées entre la Banque Mondiale et Madagascar (Madamaki)

13. Bureau permanent du Sénat en France -  Un déplacement polémiqué ! (Tribune)

29/01/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

EURO(cmax) 2 420 Ar FMG 
EURO(cmin) 2 330 Ar FMG 
EURO(cmp) 2 397 Ar FMG 
USD 1 870 Ar FMG 
GBP 3 442,09 Ar FMG 
CHF 1 547,85 FMG 
JPY 17,71 Ar FMG 
ZAR 309,39 Ar FMG 
HKD 235,44 Ar FMG 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >> : 

1)- Recherche la testudo hermanni boettgeri, male ou femelle agée d'une quarantaine d'années .Suis prête à me déplacer.  contact : Bernard   email : cath94@free.fr

2)-Un jeune diplômé en Aquaculture générale ( Pisciculture , Crevetticulture, Anguilliculture, Raniculture.....;) ayant 8 ans d'expérience  dans le domaine similaire , cherche un partenaire financier pour réaliser un projet sérieux d'élevage aquacole. Lieu:MAHAJANGA-ANTANANARIVO-MORAMANGA.
Si vous serez intéressé contacter
Randriamampinina  Herisoa Mina  Tél 0320793917 

ou e-mail : mina_herisoa@yahoo.fr

3)- Mba te hifandray @ olona mitondra anarana NIMBOL eto France, azafady raha sendra mahafantatra ianareo,  merci.      contact : Rarindra email:ylokab@cegetel.net

4)- originaire de mad j aimerai faire gouter le mokary a mes petits enfants mais je n ai pas la recette, . merci      contact e-mail :mickael.cappelot@wanadoo.fr

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Big News... Médecine naturelle - Les vertus insoupçonnées des plantes dites ordinaires. A Madagascar, il y a les plantes médicinales, dont on connaît les vertus. Mais il y a aussi tous ces fruits et légumes, sur les étals de nos marchés, et qui peuvent se transformer en remèdes miracles, pour autant que l'on perce leurs mystères. “Ne faisons plus de notre corps une boutique de pharmacien”, disait Molière. Cette phrase ne remet pas en question la médecine moderne ni le traitement à base de médicaments. Seulement, il faut reconnaître que la nature peut aussi sauver des vies humaines. 

(Fanja Saholiarisoa) - Express Mada 29/01/2005        ... + détails  Le Fruit un aliment précieux  >>


SUD OUEST   27/01/2005

Soulac-sur-mer : Le président du sénat malgache, Guy Rajemison Rakotomaharo, a été reçu à l'hotel de ville

Le sénateur Xavier Pintat accueille le président du sénat et la délégation malgache à Soulac.

Madagascar fêtait en 2004 le 44è anniversaire de son indépandance. L'île alors avait choisi le bicamérisme parlementaire, la constitution attribuant au sénat la représentation des vingt-deux régions et le rôle de gardien du régime afin d'assurer la pérennisation de l'Etat.

Vendredi dernier, c'est donc le second personnage de l'état malgache, Guy Rajemison Rakotomaharo, président du sénat, qui était reçu à l'hôtel de ville de Soulac par le sénateur-maire Xavier Pintat.

Liens franco-malgaches. M. Rajemison Rakotomaharo et le sénateur  Benjamin Ramamonjisoa conduisaient en effet une délégation malgache, Madagascar étant l'invitée d'honneur des deuxièmes assises régionales de la coopération décentralisée organisées à Bordeaux.

Après les journées de réflexion sur les pistes du développement de la coopération entre les vingt-deux-régions malgaches et les vingt-deux régions françaises, l'association des malgaches vivant à Bordeaux leur avait organisé une visite du port de Medoc avec une étape à Soulac pour une rencontre entre sénateurs. Etaient présents les députés Jean-François Régère, les maires du Verdon et de Queyrac, MM. Martinet et Sébie et les adjoints soulacais, parmi lesquels 

Marie-Claude Duveau, dont le mari, le ministre Roger Duveau, fut bâtonnier de l'Ordre des avocats de Tananarive et député de Madagascar de 1946 à 1959. L'occasion d'un échange privilégié entre elle-même et le président du sénat.

Rencontre impromptue et informelle peut-être, mais "un très grand honneur pour Soulac" tenait à souligner Xavier Pintat. Il émettait le souhait avec M.Rajemison Rakotomaharo de nouer des liens plus étroits entre la cité soulacaise et une ville malgache.

: Maguy Caporal.


Madamaki 29/01/2005

Le saviez-vous? Le tourisme à Madagascar est la passion de votre madamaki
Madagascar : 110 000 touristes français en 2004 et 81 770 touristes de plus que 2003.
Belle performance pour le tourisme à Madagascar. Tous les indicateurs publiés du secteur du tourisme sont au vert. Les arrivées ont enregistré une hausse de 57% comparativement à la même période de l’année dernière. 

Air Madagascar arrive toujours à bon port 

Nettement mieux que 2002 et 2003, années marquées par la crise politique, la guerre en Irak et les attentats terroristes, l’année 2004 a enregistré une dynamique touristique hors pair. Il semblerait que la promotion du tourisme, engagée par le ministère de tutelle pour 2004, ait donné ses fruits. Cette amélioration des entrées a permis le franchissement de la barre des deux cent vingt mille de touristes 
(discours de Monsieur Jean Jacques RABENIRINA Ministre de la Culture et du Tourisme lors de la cérémonie de présentation des voeux de Nouvel-An 2005 au CEMES Soanierana le jeudi 20 janvier dernier) .
La palme de la meilleure progression revient aux Italiens: plus de 38%. Les Anglais, les Helvétiques, les Américains et les Allemands sont encore assez peu nombreux. Le nombre de touristes français a, quant à lui, atteint les cent mille permettant à l’Hexagone de conforter son leadership. 
Le nombre de touristes français qui ont visité Madagascar en 2004 a connu une croissance de 41 % pour atteindre le chiffre de 110 000 personnes. 

Les touristes français qui se rendent à Madagascar sont généralement des personnes aisées désireuses de découvrir les animaux sauvages ou de découvrir les faunes et flores uniques au monde (baobab, orchidées, maki, tsingy, papillons…)
63% de ces visiteurs sont des touristes à titre principal, le reste arrive dans la Grande île pour un tourisme à titre secondaire. 


La Gazette de la grande ile 28/01/2004

Marc Ravalomanana « dans la cour des grands »
En parlant hier du trophée « Louise Michel » qu’il vient de recevoir à Paris, le président Ravalomanana n’a pu contenir sa joie devant l’ambassadeur de France Catherine Boivineau. Cette dernière n’a pas manqué de le féliciter en déclarant : « Vous avez marqué votre siècle Monsieur le Président… ». Réponse de Marc Ravalomanana : « Beaucoup d’hommes politiques ont espéré avoir ce trophée depuis des années. Mais nous autres, Malgaches, l’avons obtenu après seulement quelques années. C’est une grande marque de confiance en notre peuple. Je me souviens que plusieurs chefs d’Etat et éminents politiques ont déjà également été couronnés de ce trophée. A mes souvenirs, les présidents Chirac, Abdou Diouf, Léopold Sedar Senghor et d’autres parmi les grands de ce monde, sont parmi ceux qui ont reçu ce trophée. Donc, me voilà maintenant dans la cour de ces grands… » 


Midi Mada 29/01/2005

Toamasina. Rumeurs sur la destitution de Tsizaraina Emile et sur la suspension de Roland Ratsiraka. Eventuel départ du PDS et du maire ?
Info ou intox ? Les Tamataviens sont dans l’expectative et s’interrogent depuis quelques semaines sur le bien-fondé des rumeurs incessamment véhiculées dans la capitale de Betsimisaraka, sans y trouver les réponses exactes et fiables. Selon elles, la place du PDS du Faritany, Tsizaraina Emile, serait menacée, tout comme Roland Ratsiraka pourrait être démis de ses fonctions. 
J.C. Steve/Nirina R.

Pour le premier, en particulier, les derniers événements semblent, de prime abord, cautionner ces différents bruits. En effet, du matériel aurait été retiré de son usage personnel. Et les spéculations vont bon train au sein même du personnel du Faritany. A demi-mots, certes, mais cela donne la puce à l’oreille et justifierait les supputations de tout un chacun. Pour certains, Tsizaraina Emile serait pressenti pour tenir un poste d’ambassadeur de Madagascar à l’étranger.
Remplaçant
Pour son remplacement, son second, Razafindrazaka Emmanuel, serait en tête de liste. Sept noms sont, par ailleurs, entendus pour l’occupation future de son siège prochainement vacant. Il s’agit, entre autres, de Vony Roger, ex-directeur général du Port de Toamasina, et de Mahazaka Clermont, ancien ministre de la Télécommunication qui a été auparavant préfet de la région. Le nom d’Imbiky Anaclet a été aussi souvent évoqué. Il est à rappeler que le PDS Tsizaraina Emile a toujours été maintenu à sa place depuis la première nomination par le Président Marc Ravalomanana des six présidents de la délégation spéciale des provinces.
Et la commune
D’autre part, le maire de la ville de Toamasina, en la personne de Roland Ratsiraka, serait prochainement suspendu. Et avec lui, tout l’exécutif communal. Les raisons invoquées seraient toujours les anciens dossiers qui lui sont reprochés, ainsi que les 1,5 milliards de fmg octroyés lors de l’incendie touchant le marché «bazar kely ». A côté de cela, d’un simple coup d’œil, tout citoyen dirait que les efforts de développement sont invisibles dans cette capitale provinciale, et tout semble stagner. Notamment, les actions sociales relevant de la compétence communale de la mairie, et c’est la population locale qui en pâtit. Le maire semble mener seul sa barque, sans coordination avec l’autorité centrale, ne serait-ce qu’en ce qui concerne la réhabilitation de l’axe central qui traverse la ville et initiée par la dernière.
Faire foi
La population tamatavienne se passerait bien de telles rumeurs relatives à deux personnages clés, cohabitant dans la ville de Toamasina. Lesquels, d’ailleurs, ne se sont pas caché publiquement de leur inimitié respective. Cette dernière raison est également avancée pour la justification d’un tel départ, afin de faire face réellement aux travaux de développement de la ville. Qui a à y gagner, qui trouve son compte dans la propagation de telles rumeurs, s’il s’avère qu’elles ne sont pas fondées ? Dans quelle mesure peut-on y faire foi ? Et si elles se justifient, quelles sont les raisons d’une telle décision ? Ce qui est sûr pour le moment, c’est que le personnel du Faritany s’échangera ses vœux mardi prochain. Un début de réponse pourrait être trouvé à cette occasion.


Madagate.com  29/01/2005

Riz thaïlandais Arrivée des 12 tonnes au port de l'Est 
Hier, le port de Toamasina a accueilli une nouvelle cargaison de riz thailandais qui s'inscrit dans le cadre de l'opération riz à 700 Ar. pour le compte des 100.000 tonnes de riz importés. A bord du navire "Jaï Pur", les 12.000 tonnes de riz thaïlandais seront déchargés à partir de ce jour sous la vigilance du ministre de l'Industrialisation, du Commerce et du Développement du Secteur Privé, Sahobisoa Olivier Randrianarison. On sait que cettte énième cargaison appartient au groupe MAGRO ainsi qu'aux autres opérateurs. Comme il a été annoncé, l'opération riz à 700 Ar. prendra fin à la fin du mois de mars prochain. Ce qui suscite une vive interrogation à propos de l'éventuel surplus de stock qui ne sera pas encore épuisé au-délà du mois de mars prochain. Est-ce que les distributeurs sont-ils tenus de respecter le prix de l'opération jusqu'à l'épuisement du stock, quel que soit le moment ? Dans le cas où les distributeurs du riz gouvernemental sont libres de fixer leur prix dès la fin de la période de soudure (mois de mars), on peut désormais s'attendre à tout. Beaucoup craignent que, plus la date d'expiration de l'opération approche plus des rétentions de stock s'intensifient. Qui vivra verra !
[ Posté par : www.madagascar-tribune.com | 


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...Les 8 Familles et leurs vœux 2004

  (vu sur le site  www.rainizafimanga.com)

  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


Les Nouvelles   29/01/2005

Orange conteste à Madacom le leadership de la téléphonie mobile 
La bataille du leadership fait rage sur le marché de la téléphonie mobile 
La guerre des mobiles existe et prend forme de plus en plus. Dans ce marché dont le caractère duopole n’est plus à rappeler, ni Orange Madagascar ni Madacom ne lésinent sur les moyens pour remporter le titre tant convoité de « leader du GSM à Madagascar ». 

Le grand tapage médiatique dans lequel se sont versés les deux challengers au moindre de leurs actions n’a jamais laissé indifférent. Mais cette course au leadership va vite prendre une tournure désopilante lorsque chacun prétend urbi et orbi être le leader du marché. 
Pas plus tard qu’hier, le nouveau DG d’Orange Madagascar Patrice Pezat, un fin connaisseur en marketing, qui vient tout droit de la République dominicaine, n’a pas manqué l’occasion de remettre le sujet sur le tapis. 
Avançant un effectif de 169.000 abonnés (au 31 décembre 2004) et la couverture de 27 villes – les deux dernières en date étant Ambositra et Tsarabanjina – Patrice Pezat de déclarer qu’Orange est « le leader de la téléphonie mobile et de la téléphonie à Madagascar ». 
Se basant sur les appréciations de ses clients et du public en général, Orange se targue également d’être le « number one » en qualité de réseau. Elle rappelle à cet effet qu’elle s’est vue décerner le 1er prix international « Star Award for Quality » à Paris par le Bid (Business Initiative Direction). 
De l’autre côté, Madacom donne sa meilleure réplique dans son premier bulletin de l’année où son DG Parwez Jugoo tire un bilan de 2004 : « Grâce à nos actions, Madacom est bel et bien le leader du GSM à Madagascar : leader en terme de prix, puis leader en terme d’abonnés cette année, également leader en terme de technologie puisque nous sommes le seul réseau bi-bande, et enfin leader en terme de couverture », peut-on y lire. 
Madacom se définit avec ses clients comme étant « la plus grande famille de mobiles à Madagascar » avec un peu moins de 200.000 utilisateurs, dont 15.000 abonnés en post-payé répartis sur 24 villes. Une information démentie par Patrice Pezat qui préfère se baser sur le nombre d’abonnés déclaré au fisc. 
En tout cas, les deux challengers ne sont pas prêts de lâcher du lest. Dans cette course effrénée, le public semble ne voir que du feu mais ne manque pas d’y placer l’espoir d’un meilleur rapport qualité-prix pour cette année. 
Mamy Lalaina Razafindrakoto 


Tim France 29/01/2005

Événement - Poopy en tête d'affiche de "Che Bel Canto" 5   Source L' Express de Madagascar 
Poopy aura l'honneur d'être la vedette de la 5e édition de " Che Bel Canto ". Elle aura à ses côtés toute une armada de chanteurs. 

Poopy, plus que jamais sous les feux des projecteurs. 
Poopy encore et toujours. La star de la variété est à la tête d'affiche du spectacle " Che Bel Canto 5" qui aura lieu le dimanche 13 février à 16h au Palais des sports de Mahamasina. A cette occasion, une armada de chanteurs, connus et appréciés dans le showbiz local, est appelée à la soutenir. Il s'agit de Njakatiana, Lôla, Tovo J'Hay, Sitraka (lauréat de 

Pazzapa 2004) et Andry (du groupe Hirah). " Chacun est amené à chanter sa propre chanson en duo avec Poopy ", a précisé Jaobarison Randrianarivony, patron de Media Consulting, l'agence de communication et de création événementielle qui organise cet évènement. 
Une trentaine de chansons de Poopy est inscrite au répertoire de " Che Bel Canto 5 ". " On a choisi les morceaux de Poopy les plus appréciés", a noté Jaobarison Randrianarivony. Plusieurs formes d'animation Poopy et les autres artistes collaborateurs s'astreignent, à l'heure actuelle, à la répétition. Un clip, dans lequel la chanteuse et ceux-ci unissent leurs voix, est diffusé en boucle à la télévision. Histoire de mettre l'eau à la bouche des fans qui ne manqueront pas d'accourir le jour du spectacle. 
Après Njakatiana, Bodo et Tovo J'Hay, c'est au tour de Poopy d'avoir l'honneur d'être au centre de l'évènement musical " Che Bel Canto ", lequel ouvre uniquement sa scène aux poids lourds du showbiz, c'est-à-dire à ceux qui sont susceptibles d'assurer un grand concert. " Plus tard, Lôla et le groupe Mahaleo pourront faire l'objet de la tête d'affiche de Che Bel Canto", a informé Jaobarison Randrianarivony d'une voix optimiste. Media Consulting ne lésinera pas sur les moyens, dans la réalisation du spectacle. " Il y aura plusieurs formes d'animation sur écran géant, une heure avant le show des artistes à l'affiche. Nous utiliserons, comme à l'accoutumée, les deux écrans géants, dont le premier renverra les paroles des chansons et le second les images ", a indiqué le patron de Media Consulting, mettant surtout l'accent sur le professionnalisme dans l'organisation. Et de continuer : " Comme c'est la veille de la Saint-Valentin, on réservera, dans l'animation, d'excellentes surprises aux couples d'amoureux qui y viendront ". Voilà une bonne dose d'émotions en perspective que Poopy and Co ne manqueront pas de booster.


Nosintsika   28/01/2005

Voici au complet le discours du Président Ravalomanana :
Monsieur le Président de la République Française,
Monsieur le Président de la République de Nigeria,
Monsieur le Directeur Général de L'Unesco,
Excellences, Mesdames, Messieurs,
Laissez moi savourer ce moment unique : Pour une fois. Madagascar fait partie des pays riches !! En biodiversité, bien sur !
La nature est notre patrimoine. Notre devoir est de la préserver.
C'est pourquoi, Excellences, Mesdames, Messieurs, je suis très heureux de participer à cette conférence internationale dont le thème est :
« biodiversité : Science et Gouvernance ».
Je voudrais remercier particulièrement mon ami le Président Jacques Chirac, pour son initiative et pour son invitation. Je remercie aussi tous ceux qui ont contribué à l'organisation de cette conférence.
Mesdames, Messieurs,
Les thèmes qui seront traité lors de cette conférence sont particulièrement importants pour Madagascar.
Après sa séparation du continent africain il y a 160 millions d'années, une richesse biologique remarquable a évolué à Madagascar : 85% des 12000 plantes de Madagascar sont uniques au monde. Dans le monde animal, la singularité est au moins aussi spectaculaire : les lémuriens, avec quarante espèces, sont emblématique de l'île. Et les découvertes de nouvelles espèces se poursuivent à une fréquence étonnante.
Au niveau des écosystèmes et des paysages, il existe également à Madagascar certains qui sont uniques au monde (tels le bush du Sud, les Tsingy, les inselbergs des Hauts plateaux.).
Mesdames, Messieurs,
Il n'y a pas d'alternatives ; il nous faut concilier les impératifs d'un développement rapide et durable avec ceux de la préservation d'une richesse biologique remarquable qui fait notre fierté parce qu'elle fait partie du patrimoine biologique mondial.
Je suis conscient du défi majeur que mon pays doit relever. C'est pourquoi, il y a deux mois, j'a présenté un Vison pour Madagascar. Cette vision s'intitule « Madagascar, naturellement » !
« Madagascar, naturellement » ! est un message fort à mon gouvernent : désormais, toute stratégie et toute action politique ou économique doivent prendre en compte la protection de l'environnement. Dans cet esprit, la production agricole doit être renforcée. Le développement d'industries liées au monde rural doit être encouragé, et les échanges commerciaux de produits du monde rural doit être développés.
« Madagascar, naturellement » ! est aussi un message fort à la communauté internationale. Nous sommes conscients que les richesses de notre nature sont un héritage mondial. Madagascar est tourné vers l'avenir.
Sur la biodiversité spécifique et les ressources génétiques qu'elle représente, beaucoup d'espèces ne sont pas encore connues à Madagascar, et risquent fort de disparaître avant même qu'on ne les découvre, devant les pressions et menaces qui pèsent sur les divers écosystèmes malgaches.
Il est donc essentiel de poursuivre activement cet inventaire du vivant car la connaissance de l'ampleur et des caractéristiques de cette biodiversité est déterminante pour sa protection.
On ne protège que ce que l'on aime et on n'aime que ce que l'on connaît.
Mais cela ne suffit pas.
La population malgache tire encore une grande partie de ses revenus d'une exploitation non durable des ressources naturelles. La biodiversité est menacée dans de nombreuses régions.
Cependant, il faut avancer plus résolument sur trois fronts : le développement économique, la protection de la nature et la bonne gouvernance. Ces trois dimensions sont intimement liées.
1er Front : Madagascar a besoin d'un développement économique rapide et durable.
Il n'y aura pas de protection de l'environnement sans croissance et réduction des inégalités. C'est une évidence qui doit être sans cesse rappelée. Notre responsabilité particulière, en tant que dirigeant, est de faire en sorte que l'industrialisation, l'ouverture des routes et le développement des infrastructures ne se fassent pas au détriment de notre patrimoine naturel. C'est un défi difficile pour lequel nous avons besoin d'un soutien international.
Une partie de la croissance peut d'ailleurs provenir de la nature malgache elle-même avec l'écotourisme, l'exploitation des ressources naturelles à des fins médicales, de ses forêts ou de ses lagons dans un contexte de développement durable. Ainsi, la gestion de nos basins hydro agricoles a besoin de la protection des massifs forestiers qui les entourent.
Jusque là, il faut le reconnaître, malgré un cadre juridique complet, la création d'une agence nationale des aires protégées (ANGAP) et dix ans de soutien de la communauté internationale, il reste encore beaucoup à faire pour enrayer la déforestation et la dégradation des milieux aquatiques et marins.
Mesdames, Messieurs,
Surexploitations, pratiques destructives de pèche, développement côtier, sédimentation, pollution d'origine terrestre et marine constituent les menaces les plus lourdes pour les récifs. Par la suite, la décoloration des coraux est venue s'ajouter à la liste. 
Au rythme actuel, il est prévu que plus de la moitié des zones de récifs coralliens risque d'être perdue dans les 30 années à venir si rien n'est tenté pour les conserver.
Il est vrai que des efforts sont déployés par Madagascar avec le concours de la communauté internationale, et plus particulièrement à travers le programme Environnemental qui entre actuellement dans sa troisième phase.
2nd Front : La protection de la nature et de la biodiversité malgache
L'engagement pris par mon pays à Durban en septembre 2003, à l'occasion du Congrés mondial des parcs nationaux, de porter en 5ans à 6 millions d'ha les aires protégées sera tenu. Nous y travaillons activement. En 2004, les zones potentiellement concernées ont été sélectionnées sur la base des données scientifiques sur la biodiversité. Dans ces zones, les activités forestières et minières ont été suspendues. Nous entrons désormais dans la phase opérationnelle de démarcation sur le terrain et d'engagement concret des autorités locales, traditionnelles et de développement économique.
Un tel programme requiert des engagements financiers importants et à long terme.
A cet égard, Madagascar se réjouit de l'initiative quadripartite prise pa la France, l'Espagne, le Chili et le Brésil, pour un nouveau mécanisme de financement du développement.
Nous pensons que les ressources nouvelles devraient être affectées aux objectifs du millénaire et en particulier sur les dimensions de protection de l'environnement qui y sont liés.
Mais, assurer la protection de 10 millions d'ha sur terre et d'espaces marins tout aussi riches demande beaucoup de moyens et une mobilisation de tous les acteurs nationaux.
Les ministres chargés de la pêche et de l'environnement, avec des opérateurs du secteur privé, présenteront les résultats obtenus à Madagascar pour la pêche et l'aquaculture de crevette. Ce secteur a valeur d'exemple.
Avec le concours de scientifiques, une bonne analyse des ressources et de l'impact environnemental de leur exploitation a été conduite.
Dans un monde de compétition internationale très vive, les conditions environnementales et sociales de production sont des atouts commerciaux. Sur ces bases, nous pouvons envisager une croissance durable et importante.
3ème Front : La bonne gouvernance pour l'environnement.
Il nous semble que la bonne gouvernance des ressources naturelles repose sur trois piliers : l'application stricte de la loi par les autorités qui en sont chargées, la mobilisation des populations locales, à travers leurs communes et enfin une concertation avec les opérateurs économiques et les associations sur des connaissances objectives et scientifiques.
Premier pilier : nous avons engagé la restauration de l'autorité de plusieurs services de l'état dont les moyens, les capacités de contrôle et les performances font l'objet d'une attention particulière. C'est le cas notamment de l'administration forestière dont le programme d'action environnementale permettra le redéploiement, la mobilisation et le renforcement. C'est le cas également de la surveillance des pêches.
C'est un problème crucial pour un pays comme Madagascar. La longueur des ses côtes, sa position centrale dans le sud-ouest de l'Océan Indien et l'étendu de sa zone économique posent des problèmes très difficiles. A cet égard, la coopération sous régionale, et avec la France en particulier, pays du voisinage maritime de Madagascar doit être renforcée.
Deuxième pilier : la décentralisation est une autre de nos grandes priorités et ce sera un facteur essentiel de la mobilisation populaire pour la nature : toutes les communes de Madagascar auront un plan de développement communal dans lequel la protection de l'environnement est obligatoirement traitée. Elles disposeront de ressources affectées à cet objectif grâce à un système de fonds communaux pour l'environnement communal en cours de création. Dans ce cadre, elles auront les moyens d'exercer leurs responsabilités en matière de suivi des transferts de gestion des ressources naturelles opérées depuis plusieurs années au profit des communautés de base, voire des opérateus privés, selon des modalités innovantes que nous poursuivrons car nous avons en la matière des expériences très prometteuses.
Enfin Troisième pilier, à l'instar de ce qui a été mis en place pour la pêche de la crevette, nous développerons dans d'autres secteurs clés de la protection de l'environnement (la forêt et le bois, le tourisme, les mines et les énergies, mais également l'agriculture) une concertation entre l'état et les professionnels, avec le concours d'experts et de scientifiques, afin de promouvoir, pour chaque secteur de l'économie, les logiques de croissance durable dont le pays a besoin.
Mesdames, Messieurs,
La question de l'expertise scientifique mérite qu'on s'y arrête un instant.
C'est un fait que les écarts se creusent entre les pays du Nord et du Sud en matière de capacités scientifiques. Pour les sciences de l'environnement, les pays du Sud sont des terrains largement ouverts aux chercheurs du Nord.
Mais il faut aussi noter que trop souvent, seules les étapes de descriptions, de collecte et de premières analyse sommaires sont faites au Sud. Les recherches les plus approfondies se déroulent dans les laboratoires européens ou américains. Le renforcement des capacités scientifique du Sud reste toujours insuffisant et ne permet pas de combler un fossé encore élargi par la fuite des meilleurs cerveaux entraînées dans le sillage des chercheurs du Nord. Les pays du Sud sont trop souvent exclus du partage des avantages des ressources génétiques exploitées.
Des initiatives doivent être prises pour relocaliser au Sud, les recherches qui portent sur leur biodiversité. La proximité du terrain, les coûts de formation des scientifiques nationaux, permettent d'envisager des solutions qui feraient progresser plus vite ces recherches. La création du Sud de plates-formes scientifiques internationales, associant les recherches publiques et privées, les universités, les entreprises et les fondations, est un chantier que nous devrons ouvrir, à Madagascar en particulier.
A cette occasion, j'ai l'honneur, Monsieur le Président, de vous remettre un ouvrage intitulé « l'histoire Naturelle de Madagascar », qui est le fruit d'une collaboration entre des chercheurs malgaches et près de 300 chercheurs du monde entier. Cette somme scientifique rappelle la contribution des premiers explorateurs et savant, français pour une large part, et témoigne des progrès réalisés depuis 10 ans dans la connaissance de la biodiversité malgache. Elle donnera la possibilité à des générations de chercheurs de s'investir sur cette question, et je souhaite, personnellement, que des scientifiques malgaches y prennent une part croissante.
Cette conférence confirme que la biodiversité est une richesse mondiale. A problème global, solution globale.
Trouvons ensemble les voies et les moyens pour y parvenir.
Excellences, Mesdames, Messieurs,
Je vous remercie.
Allocation de SEM Marc Ravalomanana
Président de la République de Madagascar
Conférence Internationale « biodiversité : Science et Gouvernance »
Scéance d'ouverture, Paris, lundi 24 janvier 2005


Wanadoo.mg  29/01/2004

Après Ernest, une autre dépression tropicale dans le Sud
Le Sud du pays est de nouveau mis à rude épreuve. Ernest s’est à peine dissipé qu’une autre dépression tropicale menace déjà cette partie de l’île. Cette zone perturbée a été localisée, hier, à 300 km au Nord-Ouest de Toliara. Bien que ce météore semble adopter une position quasi-stationnaire, il n’en représente pas moins un danger. 
Aussi, un avis de menace a-t-il été lancé par le service de la météorologie d’Ampasampito à l’endroit des habitants de toute la province de Toliara, et surtout, ceux longeant les côtes. Le météore évolue faiblement, à une vitesse de 6 km/h, en faisant cap Sud-Sud-Est, et s’accompagnant de rafales de vent de 80km/h. Jusqu’à hier, cette zone perturbée n’a pas encore atteint les pressions au centre requises pour se voir donner un nom. Toutefois, elle pourrait bien s’intensifier et prendrait alors probablement le nom de baptême de Felapi. 
3 morts, 83 disparus 
Par ailleurs, le bilan des ravages causés par Ernest dans le Sud s’alourdit de jour en jour. Les agents du CNS indiquent que la population du Sud a déjà reçu les premiers secours. Toutefois, les besoins sont encore énormes. La situation des habitants du Sud, dont la plupart sont déjà victimes du Kere, s’est gravement détériorée. Ils sont indéniablement en manque de PPN. Par ailleurs, pour prévenir d’éventuelles maladies, il y a urgence pour dépêcher des médicaments et des purificateurs d’eau, sur place. Les données recueillies par le CNS (Conseil National de Secours) font état de 3 morts (un à Toliara ville et deux autres à Beloha), 83 pêcheurs portés disparus (à Beloha), une centaine de blessés et quelque 1340 sans-abri. 
Cauchemar 
Les dégâts matériels sont également importants. Plus de 250 maisons détruites, 466 pirogues et 638 filets perdus, emportés par les eaux. A Benenitra, entre autres, 643 hectares de rizières sont inondées, 231 hectares de cultures diverses (manioc, patate douce,…) détruites. A Befasy, un boutre, dont les riverains ignorent la provenance, a échoué sur le rivage, avec 4 passagers malades à bord. Et la liste des dégâts est loin d’être exhaustive. En effet, cette partie sud de l’île, habituée à la sécheresse, n’était pas du tout préparée à affronter une telle abondance d’eau. Les réjouissances de la population à l’arrivée des premières gouttes de pluie, ont vite tourné en cauchemar. Et le pire est encore à craindre puisqu’il semble qu’il y ait un acharnement climatique sur le Sud. 
Vola Andriamanana     ©Midi-Madagasikara 


Tim France 28/01/2005

Météo - Dépression tropicale "Felapi", à 225 km au Nord-Ouest de Toliara 
Source MBS vendredi 28 janvier 2005 , par TIM France 
Hier, à 9 heures du matin, la météo a annoncé la formation d'une dépression tropicale à 280 km à l'Ouest Morombe. A 21 heures, l'œil de la tempête tropicale "Felapi" se trouvait déjà à 225 km au Nord-Ouest de Toliara. Vents Les différentes perturbations tropicales passe ensuite par plusieurs stades : de dépression, elle peut se transformer en dépression tropicale (vents moyens inférieurs à 61 km/h et des rafales inférieurs à 91 km/h), tempête tropicale modérée (vents moyens de 62 à 83 km/h et rafales de 95 à 130 km/h) ou forte tempête tropicale (vents moyens de 89 à 117 km/h et rafales de 132 à 176 km/h), puis en cyclone tropical (vents moyens de 118 à 165 km/h et des rafales de 178 à 252 km/h), intense (vents moyens de 166 à 212 km/h et des rafales de 254 à 330 km/h), ou très intense (vents moyens supérieurs à 212 km/h et des rafales supérieures à 330 km/h). "Felapi" Felapi en est donc au stade de la dépression et se déplace à une vitesse de 9 km/h. Portant des rafales de 85 km/h, elle se dirige vers les côtes Sud-Ouest de l'île. Tous les avertissements concernant les différentes phases d'alertes sont actuellement effectifs. Selon les informations recueillies auprès du Service de la météorologie, Moron-dava, Morombe et Toliara sont les zones les plus touchées, par conséquent, les stations de télévision et radio de ces localités ont cessé d'émettre. La ligne téléphonique reste l'unique moyen de communication fonctionnel à l'heure qu'il est. Antananarivo sous les précipitations Les fortes pluies de la capitale, par contre, n'ont rien à avoir avec la dépression "Felapi". C'est tout simplement la saison normale des pluies. La température moyenne est entre 18° et 28°. Tout le monde devrait, dans ce cas, penser à se protéger contre la pluie jusqu'à samedi où ces précipitations céderont la place au beau temps.


Madamaki  29/01/2005

Les relations inchangées entre la Banque Mondiale et Madagascar
"Ce ne sont pas 4 bandits qui vont remettre en cause les bonnes relations entre Madagascar et la Banque mondiale", a déclaré James Bond, représentant de la BM à Madagascar. 
Il a fait cette déclaration mercredi à Antananarivo après le braquage de samedi dernier dont il était victime. Lors d'un dîner offert samedi dernier par le premier conseiller de l'ambassade de France à Antananarivo, Philippe Bottrie, en l'honneur de sept couples dont M. Bond, 4 bandits ont fait intrusion dans la villa de M. Bottrie pour braquer les invités et hôtes. 
Il faut dédramatiser la situation et il s'agit d'un incident, a-t-il commenté à propos de ce braquage. Pour ce qui est de la possibilité de visées politiques derrière l'affaire de samedi, James Bond a avoué n'avoir aucune information là-dessus. 
"C'était un incident. Pour d'autres interprétations, il n'y a que des spéculations, et il faut laisser les forces de l'ordre faire leur travail tranquillement", a-t-il ajouté. 
De son côté, l'ambassadeur de France à Madagascar, Catherine Boivineau a qualifié ce braquage d'acte de délinquance. 
La France n'est pas visée par cet acte de délinquance. Il n'y a aucune raison que de tels actes crapuleux aient une incidence sur la relation entre la France et Madagascar, a-t-elle ajouté. 
Le braquage du week-end dernier a soulevé un intérêt médiatique sans précédent, parce que pour la première fois à Madagascar, la maison d'un diplomate était concernée. D'autres diplomates étaient parmi les invités.
[Source :cri]


Tribune 29/01/2005

Politique : Bureau permanent du Sénat en France -  Un déplacement polémiqué ! 
Rajemison Rakotomaharo (Président), Soja Jean André dit Kaleta (Vice président pour la province de Tuléar), Totobesola Jean Pierre (Vice président pour la province d'Antsiranana), Raoelina Médard (Vice président pour la province de Tamatave), Raphaël Ratokozandrindrainy (Vice président pour la province de Fianarantsoa), Jean Clément (vice président pour la province de Mahajanga), Ramilison Max (vice président pour la province d'Antananarivo), Razafimily Constance (Questeur I) et Jeannot Raberson (Questeur II). Bref, ils sont sept (7), donc tous les membres du bureau permanent du Sénat, qui effectuent en ce moment une tournée "de travail" en France où ils suivent des réunions avec leurs homologues français sur la décentralisation. Ce qui explique peut-être la présence du sénateur Benjamin Ramamonjisoa, président de la commission "Décentralisation et Développement Rural", au sein de cette forte délégation sénatoriale. Ces membres du bureau permanent de la Chambre Haute ont quitté depuis une semaine la Grande île, et ils ne seraient de retour selon nos sources que ce week-end. Ils ont assisté mardi à la cérémonie de remise du Prix Louise Michel 2003 au président de la République au Palais du Luxembourg, siège du Sénat français.
Dépenses folles
Depuis le départ de cette délégation sénatoriale malgache, c'était le tollé au Sénat. Et cette grogne s'est amplifiée lorsque ces membres du bureau permanent du Sénat ont été vus au grand complet à la TVM avant-hier lors de la cérémonie de la remise du Prix Louise Michel au Président Marc Ravalomanana. " Nous ne négligeons pas l'objet de leur déplacement, non. Mais, ce qui nous échappe, c'est qu'est-ce que ces réunions sur la décentralisation nécessitent-elles le déplacement d'une aussi forte délégation telle que celle-ci, et en plus tous les membres du bureau permanent, alors qu'au Sénat, on a même du mal à trouver des papiers (de bureau) à utiliser pour le compte de l'Institution!", se sont indignés les quelques sénateurs que nous avons pu par hasard rencontrer. Et eux d'enfoncer le clou : " Nous ne sommes pas jaloux envers ceux qui font partie de cette délégation, loin de là. Mais, nous ne pouvons pas nous taire si on gaspille ainsi le budget du Sénat. Une Institution qui doit également apporter sa contribution à l'allègement de la crise qui frappe quotidiennement les foyers malgaches." Bref, pour ces sénateurs, le budget du Sénat supporte avec le déplacement de cette forte délégation sénatoriale malgache en France des dépenses inutiles.
Politique d'austérité ?
De l'avis des gens de la rue et des simples observateurs, c'est du gaspillage total. "Alors que le "Vahoaka Malagasy" ont actuellement du mal, avec 7.000 Fmg le kilo du riz local, à trouver de quoi manger quotidiennement, le riz gouvernementale à 3.500 Fmg étant largement insuffisant dans la Capitale, et rare, pour ne pas dire inexistant, dans les localités et autres grandes villes des province", a déploré un épicier qui s'acquitte régulièrement de ses obligations fiscales auprès des agents de la contribution. Et un autre observateur d'aller plus loin en interpellant le président de la République: " Où est la politique d'austérité, imposée par les bailleurs de fonds, et que le président Marc Ravalomanana, d'accord apparemment sur le principe, n'a jamais manqué d'évoquer à chaque opportunité qui se présente." Et voici ce qu'a déclaré un maire qui a été déçu de la récente rencontre d'Iavoloha avec le président de la République : "Au Palais d'Iavoloha, on nous a incité à travailler bien et dur, avec peu de moyens et des salaires dérisoires alors qu'il y a de hauts dirigeants qui ne font que du tourisme à l'étranger aux frais de l'Etat."
 Recueillis par Eugène R 

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