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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
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Big News...
Les médicaments au marché noir constituent un danger public
Danger permanent, les médicaments courent les rues.
Il fut un temps où la chloroquine était le seul médicament trouvable sur le circuit “informel”, après autorisation préalable du ministère de la Santé.
...
En effet, force est de constater que ces remèdes se vendent aussi bien dans les épiceries de quartier que dans la rue, en l’occurrence à Ambolokandrina ou aux 67 ha, voire au marché dans les zones reculées de la capitale comme
Ankazobe. Toutes sortes de médicaments envahissent le marché informel, de la nivaquine au
valium, en passant par l’aspirine, le paracétamol ou encore les corticoïdes…, aussi bien sous forme générique qu’en spécialité.
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Sobika.com
02/03/2005
La plante à carburant
auteur
: xinhua
la plante dénommée " Jatropha" qui pousse à l'état sauvage dans le nord de Madagascar, permet de fabriquer du biocarburant pour les moteurs diesels, a rapporté mardi la presse locale.
Il s'agit d'une ressource renouvelable qui connaît actuellement son expansion sur le marché mondial. La culture du Jatropha est favorable du point de vue climatique et pédologique dans la région de Sambava, dans le nord du pays. Mieux encore, cette région dispose d'un vaste terrain de 167 000 hectares de réserve foncière pour le reboisement, selon l'enquête du ministère de l'Environnement. Une plante fournit 1 à 4 kg de graines.
2 500 pieds sont cultivés sur un hectare, produisant jusqu'à 8 tonnes de graines, dont 3 tonnes permettent d'extraire une tonne d'huile.
Une société britannique est à Sambava où il y a déjà 17 000 hectares d'exploitation de Jatropha. C'est là-bas qu'elle va monter sa première raffinerie, a-t-on appris.
-- ANTANANARIVO, 22 février
(XINHUANET)
Express
Mada 02/03/2005
PRÉSIDENTIELLE DE 2006 - LE RETOUR DE PIERROT DIVISE
Sacré challenge pour Pierrot
Rajaonarivelo.
" Rêvant de conduire les forces unies de l’opposition lors des prochaines électorales, si Dieu le veut", le secrétaire national de
l’Arema devra déployer les gros moyens et tout son talent de politicien pour réaliser son " rêve ". Lançant son projet comme un ballon de sonde, le secrétaire national de l’ancien parti au pouvoir aura à balayer devant la porte de son parti et convaincre ses propres militants avant de lancer une vaste offensive de charme en direction de l’opposition.

Pierrot Rajaonarivelo (debout) lors d’une conférence du temps de sa fonction à la vice-primature. (photo d’archives)
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" Libéré " de façon provisoire de son procès, le secrétaire national du parti de l’ancien régime s’est montré prêt à endosser cet habit de chef de file de l’opposition unie en 2006. " L’opposition ne devra pas tarder à choisir son chef ", a–t-il annoncé tout en présentant son programme, lors d’une interview accordée à
l’Afrique Education du 16 février. Samedi, un "message" de Pierrot Rajaonarivelo aux militants Arema a même été diffusé, préparant le microcosme politique à son " retour imminent".
Ce rêve du secrétaire national de l’Arema se heurte d’abord au " souhait " du fondateur du parti et ancien Président de la République,
l’Amiral Ratsiraka. Le sénateur Raphaël Rakotozandrindrainy, a transmis dimanche aux militants du parti à Analamahitsy un message recueilli à Paris selon lequel " il faut d’abord se concentrer sur la consolidation du parti ", un égaré après la crise de 2002. Interrogé sur la question, Samuel
Ralaidovy, coordonnateur national du parti, a préféré s’abstenir de tout commentaire.
Parti dans l’Hexagone le mois dernier, le médecin traitant de Tantely Andrianarivo a rencontré son patient et l’ancien chef de
l’Etat pendant respectivement cinq et deux bonnes heures et a " oublié " son secrétaire national. |
Opposition prudente.
Le sénateur Lucien Andrianirina a ajouté " qu’une telle décision devrait émaner du congrès national du parti ", faisant allusion à une absence de consultation de ses camarades avant la prise d’une décision d’une telle importance.
Du côté de l’opposition, la tâche de l’ancien vice-premier ministre reste également ardue.
Tout en reconnaissant " l’hétérogénéité de l’opposition ", le député Voninahitsy Jean Eugène a mis un bémol à ce " rêve " puisque " l’opposition, même hétérogène, a toujours existé en son absence – de Pierrot Rajaoanarivelo". Le député Saina Michel abonde dans ce sens en rejetant une " imposition " à ce genre de décision, même s’il " ne trouve pas d’objection à la question".
Iloniaina Alain & : Patrick Andriamahefa
Madamaki.com
02/03/2005
Le leader Réunionnais de l’hôtellerie va investir à Madagascar.
Le premier opérateur de l’hôtellerie à la Réunion, le groupe Apavou, envisage de construire à Nosy be.
Le groupe envisage de construire un établissement haut de gamme, minimum trois étoiles à l’île Sakatia, à Nosy Be et un complexe d’hôtel d’affaires dans la capitale.
La construction de cet hôtel rehaussera le niveau du tourisme à Madagascar. L’entrée d’un groupe de cette envergure dans le milieu touristique malgache apportera une bouffée d’oxygène au secteur.
La délégation mauricienne dirigée par son directeur général Richard Apavou a rencontré jeudi 17 février dernier le ministre de la Culture et du tourisme, Jean Jacques Rabeniriana, à son bureau à Tsimbazaza, et a annoncé leur intention de débuter les travaux dans les plus brefs délais.
Après 40 années d’éxistence, le groupe Apavou a fourni 40 % de la capacité hôtelière de l’île de la Réunion. Actuellement, plus de 1 500 personnes travaillent directement pour le groupe APAVOU qui continue au rythme de 300 nouveaux logements par an. A nos jours, il gère près de 1 800 chambres reparties dans 14 hôtels de la zone Océan Indien dont 9 à la Réunion et 5 à l’Ile Maurice.
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'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
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Madagate.com
02/03/2005
Ravitaillement - Le prix du “vary gasy” baisse sur le marché
Après des mois de hausse perpétuelle, le prix du riz sur le marché amorce une baisse. Le début de cette semaine a vu une nette diminution du coût de cette denrée sur l’étal des marchands. Cependant, le “vary gasy” reste le seul à subir cette baisse de prix. Les autres variétés de riz conservent encore leurs anciens prix.
“Cette baisse s’explique par l’abondance du produit sur le marché”, avance-t-on du côté du ministère de l’Industrialisation, du commerce et du développement du secteur privé (MICDSP). Le ministre Olivier Sahobisoa Andrianarison estime à 136.000 tonnes la quantité de riz importé jusqu’à maintenant. “Les riz en provenance de Thaïlande, de Pakistan, d’Inde, de Chine, du Japon ont réussi a faire baisser le prix”. A cette quantité s’ajoute le riz de contre- saison ou le “vary aloha” qui représente environ le cinquième de la production totale de Madagascar.
“Le contrat avec le Président Agri, exportateur thaïlandais, touche à son terme vers la fin du mois de mars”, remarque le directeur du commerce intérieur du MICDSP, Jean Claude Ralambomanana, “Le mois de mars ne fait que commencer et avec lui l’une des périodes les plus dures de l’année”, continue-t-il. La dernière cargaison de riz en provenance de la Thaïlande arrivera à cette date.
Malgré cette baisse manifeste du prix du riz sur le marché, le MICDSP a publié un communiqué pour inciter les opérateurs privés à importer du riz. “Cette initiative a été lancée pour signifier aux opérateurs que l’importation est libre”, explique Olivier Sahobisoa Andrianarison. “Il faut que nous importons encore pour être sûrs d’approvisionner le marché et satisfaire la demande du public”, poursuit-il.
Stock de régulation.
Les opérateurs doivent anticiper sur les éventuels cataclysmes qui sont fréquents à cette période de l’année. Les cyclones sont encore possibles au mois d’avril. Madagascar aurait pu prétendre à une autosuffisance en riz sans les dégâts provoqués par le passage des deux cyclones, Elita et Gafilo. Environ 100.000 ha de rizières ont été alors détruites.
“Cette année sera une bonne année”, avance avec optimisme le ministre de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche, Randriarimanana Harison Edmond. “L’autosuffisance en riz sera pour cette année”, clame-t-on haut et fort. Le ministre explique cette incitation à l’importation comme une mesure pour réguler le marché et stabiliser le prix, “l’importation servira en quelque sorte de fonds de roulements et de stock de régulation”.
Une autosuffisance signifie que l’offre correspond à la demande. Cette situation est cependant assez critique car à la moindre défaillance de l’offre sur la demande, la fluctuation du prix est incontrôlable. L’importation sera alors un moyen d’assurer la présence du produit sur le marché. :
Doda A. [ Posté par : lexpressmada.com
Tribune
Mada 02/03/2005
Exposition: «Lamba ; Malgachitude» à Andafiavaratra
Pour que nos
"lamba" ne finissent plus en... lambeaux
Cérémonie simple mais ô combien solennelle, hier matin, au Palais
d'Andafiavatra devenu Musée du Premier ministre, malgré l'absence de l'ambassadeur américain James
McGee, soudainement indispos. Car il s'agissait du vernissage officiel de la nouvelle exposition intitulée
"Lamba : Malgachitude", fruit de plusieurs mois de collaboration entre experts américains et
malagasy.

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Il fut un temps où la chloroquine était le seul médicament trouvable sur le circuit “informel”, après autorisation préalable du ministère de la Santé. C’était vers la fin des années 80 quand le paludisme sévissait dans le pays. Certains en ont profité pour élargir la gamme des produits commercialisés.
Du coup, ces dernières années, le commerce des médicaments sur le circuit informel prend de l’ampleur au point de devenir un problème de santé publique.
En effet, force est de constater que ces remèdes se vendent aussi bien dans les épiceries de quartier que dans la rue, en l’occurrence à Ambolokandrina ou aux 67 ha, voire au marché dans les zones reculées de la capitale comme
Ankazobe.
* Promouvoir l'identité culturelle malgache
Toutes sortes de médicaments envahissent le marché informel, de la nivaquine au
valium, en passant par l’aspirine, le paracétamol ou encore les corticoïdes…, aussi bien sous forme générique qu’en spécialité. Il est possible qu’ils proviennent de dons non enregistrés, ou des containers ou pharmacies dévalisés. Moins onéreux et ne requérant Si l'on résume les diverses interventions techniques du jour, voici ce qu'il fait retenir. Cette exposition a été
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financée par
l"Ambassador's Fund for Cultural Preservation" du "State
Department" des U.S.A., à hauteur de 21.250 Usd. Un accord a été signé entre l'ambassade américaine, le ministère de la Culture et du Tourisme, celui de
l'Education Nationale et de la Recherche Scientique et l'Institut des civilisations du Musée d'Art et d'Archéologie (MAA) de l'université d'Antananarivo. Le but est de renforcer la capacité professionnelle des techniciens et conservateurs malgaches et de promouvoir l'identité culturelle malgache à travers le textile, précisément le "lamba", cette étoffe dont on se pare vivant et dont on est recouvert une fois décédé ("Velona fitafiana, maty hirakofana"). Du 19 janvier au 8 février 2005, onze conservateurs et techniciens issus des Musées d'Andafiavaratra, d'Art et d'Archéologie (Antananarivo), Akiba (Mahajanga), Faniahy (Fianarantsoa) ont reçu une formation spécifique prodiguée par Julia Brennan, expert en conservation de textiles. Il s'agissait de l'application des techniques de conservation et l'élaboration d'un plan en vue de la préservation de la totalité de la collection de tissus composée de 95 pièces que l'on a pu sauver de l'incendie du Palais de la Reine en 1995. De nos jours, c'est la plus complète collection d'étoffes historiques malagasy qu'on a jamais assemblées et qui avait été transférée au Musée du Rova d'Ilafy pour raisons de sécurité. Cependant, seuls 28 objets ont été sélectionnés pour cette exposition "Lamba : Malgachitude", le reste ayant été aussi traité et placé dans un espace de stockage spécial. Après divers tests, Ils ont fait l'objet d'une restauration durable à travers divers étapes spécifiques afin qu'ils ne finissent pas en... lambeaux : nettoyage, lavage, stabilisation des textiles.
* Kits pédagogiques
L'implication du ministère de la Culture et du Tourisme se situe au niveau de l'Histoire de Madagascar même. En effet, ces lamba, spécifiquement malagasy, proviennent de différentes régions et ont été fabriqués avec diverses variétés de fibres végétales. Ils ont joué -et jouent encore- un rôle indéniable dans l'Histoire de Madagascar, en tant patrimoine national. Pour ce qui est du minstère de l'Education Nationale et de la Recherche Scientifique, Il faut savoir qu'une partie des 21.250 Usd ont servi à créer de nouveaux kits pédagogiques innovatifs consistant en des manuels et exemples de variétés de lamba et leur histoire. Ces kits devront être distribués aux centres de ressources des Directions de l'enseignement de base des six provinces. Ils sont destinés aux enseignants qui auront la charge d'apprendre aux élèves malgaches cette partie de leur histoire commune. Volet présence VIP, nous avons remarqué celle des ministres Haja Razafinjatovo (Menres), Jean-Jacques Rabenirina (Culture et Tourisme) et tout son staff; de l'ancien de l'Industrialisation, du Commerce et du Développement du secteur privé, Mejamirado Razafimihary (actuel Dg de Kraoma); Zachary Z. Teich (Premier secrétaire de l'US Embassy); Jean-Aimé Rakotoarisoa et Viviane Rasendrasoa (MAA); Christiane Botbol (Projet Art Mada)...
* Cadeau cérémonial de choix
A présent, réflexions à propos de cette exposition qui durera un semestre à partir d'hier, en nous rappelant le rôle d'échange d'étoffes ayant joué un rôle important dans l'histoire des premières relations américano-malgaches, d'où la légitimité de cette subvention de la part de ce fonds américain. Jusqu'en 1920, presque toutes les femmes de la Grande île tissaient. Le tissage figurait comme la catégorie d'art la plus répandue et la plus développée. Au-delà de sa splendeur esthétique, le tissu avait aussi gardé une profonde signification sociale et religieuse. Le tissage était le pilier principal de l'honneur et de l'identité féminine. Utilisée comme vêtement, l'étoffe définissait et exprimait une information sociale complexe. Mais c'était aussi le cadeau cérémonial malgache de choix : offrir un tissu établissait ou renforçait de liens de parenté... L'exposition comporte donc une sélection de 28 pièces, issue d'une collection unique de tissus malagasy. Lors de l'incendie du Rova, le plus belle collection de textiles historiques de Madagascar a été détruite. Heureusement qu'une une petite collection du XIXème siècle se trouvait au Musée d'Ilafy. En 2004, cette collection rescapée, âgée d'au moins 150 ans, a été transférée au Musée d'Andafiavatra où il y a moyen de les conserver, les mettre en réserve convenablement et surtout les faire apprécier du grand public. "J'ai vu les habillements portés par les étrangers... Mais je préfère, chère demoiselle, vous voir draper (de lamba). C'est non seulement un héritage, ta beauté, mais aussi une parure qui ne ternira jamais " (Extraits du poème "Lamba" de
Dox).
Midi
Mada 02/03/2005
PALUDISME.
Madagascar est un véritable terrain palustre. 95 % du territoire malgache et 90% de la population sont exposés à la transmission permanente ou saisonnière du palu.
Plus d’un million de cas traités à la chloroquine chaque année
Un malade sur quatre en meurt chaque année. Cette statistique suffit à prouver que le paludisme demeure l’un des premiers problèmes de santé publique à Madagascar. Dans les dispensaires, une consultation sur cinq concerne cette pathologie. Les femmes enceintes et les enfants de moins de cinq ans constituent les principales victimes du paludisme. Des études entreprises par l’IPM (Institut Pasteur de Madagascar) dans le cadre de la lutte contre le paludisme, indiquent que plus d’un million de cas sont soumis au traitement à la chloroquine chaque année à travers le pays. Durant respectivement les années 1999 et 2000, par exemple, 1 141 568 et 1 388 263 d’accès palustres présumés ont été observés au niveau des consultations externes des services de santé.
Vola A.
IPM
La chloroquine est l’antipaludique le plus utilisé et elle garde encore son efficacité sauf dans quelques régions, comme à Sainte-Marie, où la résistance à ce médicament a été constatée par l’IPM. Cet institut de recherche et d’analyse consacre d’ailleurs une place importante dans ses activités à l’étude de l’évolution du paludisme à Madagascar. Ainsi, depuis hier, un atelier sur le paludisme se tient à l’IPM. Des professionnels de santé du pays et de l’extérieur échangent leurs expériences et leurs connaissances, ainsi que les dernières informations sur le traitement et la prise en charge de cette pathologie au cours des conférences scientifiques organisées à Avaradoha.
Moustiquaires
Madagascar est un véritable terrain palustre. On trouve dans la Grande île les quatre espèces d’hématozoaires responsables du paludisme pouvant infecter l’homme. Le plasmodium malarea, le plasmodium vivax, et plasmodium ovale et le plus redoutable d’entre eux, le plasmodium falsiparum. En outre, 95 % du territoire malgache et 90% de la population sont exposés à la transmission permanente ou saisonnière du paludisme. Le palu est une des toutes premières causes de morbidité et de mortalité dans les zones côtières, tout au long de l’année. Et il constitue une menace pour l’apparition d’épidémies meurtrières sur les Hautes terres centrales et dans le sud aride, surtout durant la période des pluies. La lutte contre cette maladie est principalement basée sur le traitement précoce et sur la prévention, notamment par l’utilisation de moustiquaires imprégnées d’insecticides. Mais même avec tout un arsenal de moyens préventifs, le palu continue de faire des victimes. Trois millions par an à travers le monde. Un malade sur quatre chez nous.
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