Madavôvô 2005  

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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent

Sommaire Madavôvô: 02 fevrier 2005

BigNews. Les vertus insoupçonnées des plantes dites ordinaires. (Express)

1. Inondation à Madagascar (Clicanoo)

2. Chirac à Madagascar en juillet selon Marc Ravalomanana  (Sobika)

3. Le Président malgache reçoit le prix Louise Michel (Madagate)

4. No Comment.... No Comment...

5. Insécurité urbaine :De mal en pis (La Gazette)

6. Enseignement supérieur Sans miracle, pas de cours!  (Tribune)

7. Après l'attaque d'Andohan'i Mandroseza (Tribune)

8. Le président du sénat malgache, Guy Rajemison R. a été reçu...  (Sud Ouest)

9. Madagascar attend plus de touristes cette année (Madamaki)

10. Les étudiants otages du bras de fer entre ministère et Seces (Les Nouvelles)

02/02/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

EURO(cmax) 12.250 FMG 
EURO(cmin) 11.750 FMG 
EURO(cmp) 12.096 FMG 
USD 9.400 FMG 
GBP 17.465 FMG 
CHF 7.821 FMG 
JPY 90 FMG 
ZAR 1.562 FMG 
HKD 1.189 FMG 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Derniers Messages de nos Petites Annonces         + Savoir plus >>            Les Contacts  >>

1)- Recherche la testudo hermanni boettgeri, male ou femelle agée d'une quarantaine d'années .Suis prête à me déplacer.  Contact : Bernard  

2)- cherche Tortue Herman  Faire Offre Merci        Contact :  Lechantre  

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4)- Jeune homme de 26 ans dynamique cherche stage urgent pour finir ses études ... Bac+2 en commerce international .Merci de me contacter au 032 04 245 83        contact: Sylvain

5)- Je cherche renseignement pour acheter maison sur TULEAR. Je n'ai pas d'idée sur les prix qui y sont pratiqués. Pourrais je avoir quelques renseignements ou adresses . Merci                 contact: altet

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Big News... Médecine naturelle - Les vertus insoupçonnées des plantes dites ordinaires. A Madagascar, il y a les plantes médicinales, dont on connaît les vertus. Mais il y a aussi tous ces fruits et légumes, sur les étals de nos marchés, et qui peuvent se transformer en remèdes miracles, pour autant que l'on perce leurs mystères. “Ne faisons plus de notre corps une boutique de pharmacien”, disait Molière. Cette phrase ne remet pas en question la médecine moderne ni le traitement à base de médicaments. Seulement, il faut reconnaître que la nature peut aussi sauver des vies humaines. 

(Fanja Saholiarisoa) - Express Mada 29/01/2005        ... + détails  Le Fruit un aliment précieux  >>


Clicanoo 01/02/2005

Inondation à Madagascar

Après les passages du cyclone Ernest le 26 janvier, et de la dépression tropicale Felapi le 28 janvier, d’importantes précipitations ont provoqué de fortes inondations dans le Sud Malgache. La Croix-Rouge Malgache (CRM) a mobilisé ses équipes d’intervention. A la Réunion, la Plate-forme d’intervention régionale pour l’océan Indien (PIROI) a activé sa « cellule de veille catastrophe ». 

Croix Rouge de madagascar (CRM) 

Plusieurs régions annoncent de lourdes pertes ; c’est le cas de Tuléar où la ville a subi des inondations sans précédant avec un premier chiffre de 20 000 personnes sinistrées. Les communes d’Androka, d’Itampolo, d’Anakao, et de Saint-Augustin annoncent également d’importants dégâts. Le dernier bilan du Comité National des Secours (CNS), le 27 janvier, faisait état de 83 personnes portées disparues. Le CNS réalise actuellement une évaluation dans les zones enclavées. 
La Croix-Rouge malgache a mobilisé ses équipes d’intervention. Des membres de l’ERPR (Équipe régionale de personnes ressources), formés par la Piroi se sont rendus sur le terrain pour participer aux évaluations préliminaires. 
Deux premières équipes de la CRM (Tuléar et Fianarantsoa) sont à pied d’œuvre, une autre équipe est partie du siège de Tananarive dans l’après- midi d’hier et l’équipe régionale de Tamatave a été mise en alerte pour un éventuel renfort. Outre ses équipes, la Croix-Rouge malgache a également mobilisé ses stocks de réponse aux urgences basés à Tananarive et Tamatave. 

Cellule de veille catastrophe à la Réunion 
Ces stocks (abris temporaires, traitement d’eau, matériel médical, etc.) ont été prépositionnés par la Piroi afin de permettre des interventions rapides à partir du pays. D’autres matériels de secours (équipements familiaux) composés de bougies, friperies, savons, couvertures et produits alimentaires seront acheminés par la Croix-Rouge malgache.
La Piroi de la Croix-Rouge française, basée à la Réunion a par ailleurs activé sa « cellule de veille catastrophe ». Composée de spécialistes (ingénieurs eau, techniciens en télécommunications, médecins, logisticiens, etc.) elle est chargée, lors de catastrophe dans la zone, d’apporter un soutien technique aux sociétés nationales de la Croix-Rouge, membres de la PIROI. Depuis plus de trois ans, en partenariat avec la Piroi et la fédération internationale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, la Croix-Rouge malgache a renforcé son programme de préparation et de réponse aux désastres, avec, notamment, la formation de ses volontaires aux secours d’exception, la création d’équipes d’intervention ainsi que le positionnement de lots de secours dans plusieurs provinces (Tananarive, Tamatave et Diego). Ce renforcement des capacités opérationnelles permet aujourd’hui à la Croix-Rouge malgache de faire face aux premières urgences. Cependant, les moyens régionaux de la Piroi restent en alerte dans l’attente des résultats d’évaluation. 


Sobika 01/02/2005

Chirac à Madagascar en juillet selon Marc Ravalomanana  auteur : CLICANOO
Chirac à Madagascar en juillet selon Marc Ravalomanana
En visite en France, le président malgache Marc Ravalomanana a indiqué que Jacques Chirac se rendrait dans la Grande Île en juillet lors du sommet de la Commission de l’océan Indien.
Le président malgache est par ailleurs revenu sur le braquage dont a été victime le premier conseiller de l’ambassade de France. “Il ne faut pas la dramatiser, indique Marc Ravalomanana dans les colonnes de Midi Madagasikara. Il s’agit de l’œuvre d’une minorité ayant comme stratégie la déstabilisation et qui veut montrer une image négative du pays”.


Madagate 02/02/2005

Le Président malgache reçoit le prix Louise Michel : « On ne peut plus dire que je sois maladroit en politique » 
Le Président malgache Marc RAVALOMANANA reçoit, le mardi 25 janvier 2005 à Paris, le prix Louise Michel pour l'année 2003 « pour son action dans la défense et la promotion de la démocratie, des droits de l'Homme et de la paix ». Avant lui, d'autres Africains ont reçu cette distinction, qui récompense tous les ans une personnalité politique ayant marqué son temps : les anciens Présidents sénégalais Léopold Sedar Senghor (1985) et Abdou Diouf (1998), le chef de l'Etat égyptien Hosni Moubarak (1990) et le Président camerounais Paul Biya (1998).

« On ne peut plus dire que je sois maladroit en politique » disait le Président, en recevant son prix. Il dévoile que la bonne gouvernance n'est pas uniquement son affaire personnelle. « Il faut gouverner avec le peuple et pour le peuple » insiste-t-il. « Ce trophée du prix Louise Michel, pour la démocratie et la bonne gouvernance ne m'appartient pas tout seul. Il nous appartient à nous tous ». Le Président a montré aux invités, le trophée en forme de flamme doré aux Malgaches rassemblés pour la circonstance à l'Ambassade.
La diaspora a découvert l'image d'un homme serein et déterminé. En ce qui concerne les projets d'investissement à Madagascar, Marc RAVALOMANANA voudrait redonner la fierté aux Malagasy. « Je n'oblige pas les investisseurs à entreprendre chez nous, ils jugeront eux-mêmes des opportunités d'affaire et choisiront le bon moment pour venir à Madagascar». 
Un discours franc et qui semble porter ses fruits, car, à priori, le Géant du Tourisme et de l'Hôtellerie « Le groupe Accord » souhaite venir à Madagascar pour une mission de repérage en avril de cette année. Les Chinois, les Allemands sont déjà implantés sur place dans divers secteurs de l'économie. te consultant en la matière auprès de la Présidence est lui-même Allemand, véritable « Rainboto » qui signifie en malgache, les vrais durs. 

Les prochaines destinations du Président seront les Etats-Unis, où il va tenter de séduire les géants de la nouvelle économie et de l'industrie des hautes technologies, à l'instar de Microsoft ou Boeing pour une coopération avec Madagascar.

En ce qui concerne la sécurité des biens et des personnes à Madagascar, suite aux événements récents qui visent à fragiliser la confiance des investisseurs et corps diplomatiques, le Président reste serein, « Je ne suis pas inquiet, car étant ancien homme d'affaires, un fait divers, comme celui-là, n'a de commune mesure par rapport à ce qui se passe en Irak ou en Afghanistan, et n'a jamais empêché les investisseurs à s'installer sur place si le jeu en valait la chandelle » 
Au nom de tous les Malagasy d'Andafy, Monsieur Jean-Pierre Razafy ANDRIAMIHAINGO, Ambassadeur de Madagascar à Paris, a tenu à offrir au Président un présent : Une montre portant des gravures d'images d'athlètes faisant un grand pas en avant. Le Président a décodé le message … 
Si le Président, en deux ans, a été capable de remporter le Prix de bonne gouvernance, cette montre lui permettra d'être encore plus à l'heure du jour. 

recueillis par Augustin ANDRIAMANANORO    www.madagate.com - Emission TSIDIKA TVM 


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...Les 8 Familles et leurs vœux 2005

  (vu sur le site  www.rainizafimanga.com)

  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


La Gazette  02/02/2005

 Insécurité urbaine :De mal en pis
Les récents braquages des villas et autres kidnappings concernant des personnalités connues, et qui ont été très médiatisés, dont les auteurs courent toujours, ne constituent que l’arbre qui cache la forêt… Partout et ailleurs, l’insécurité est devenue, depuis un certain temps, un fléau qui ronge notre société. Aujourd’hui, beaucoup affirment qu’elle est pire que le Sida. L’insécurité, ce mal du siècle, on ne le dira jamais assez, commence dangereusement à se banaliser. On en arrive même à dire qu’il faut faire avec. 
La semaine passée, une fois de plus, les bandits n’ont pas, à Antananarivo, chômé, et semblent vouloir narguer les forces de sécurité, impuissantes devant l’audace et les armes dont ils disposent. En tout cas, dans la nuit du mardi à mercredi, une villa appartenant à un Européen, située à Ambolokandrina, a été attaquée par une dizaine d’individus, armés et non encagoulés. Un groupe a, en effet, franchi le mur d’enceinte et ouvert le portail afin que le reste puisse entrer. Alerté, le propriétaire s’est manifesté en tirant en l’air. Les assaillants ont alors usé de leurs armes. Il y eut ainsi un échange de tirs durant quelques minutes. Mais devant la riposte et la détermination de l’Européen, les bandits ont préféré prendre la fuite... Au cas où celui-ci n’aurait pas été armé, on devine aisément le sort que ces individus lui auraient réservé. 
D’autre part, à Mahazo, sept bandits, encagoulés cette fois, s’en sont pris à un charbonnier qui s’est vu délester de quelques millions fmg. Toujours dans ce quartier, une famille devait subir l’assaut de plusieurs malfaiteurs. 
Par ailleurs, à Antsahalava (Itaosy), une villa (encore ?) a été la cible d’une dizaine de bandits armés. Ceux-ci, ont carrément forcé le portail et mis en joue les personnes qui s’y trouvaient. Là, ils ont emporté bijoux, argent et appareils électroménagers. Même scénario à Ankazotokana (haute-ville), où deux maisons furent simultanément attaquées. 
Mais il n’y a pas que la capitale qui subit de telles affres, les autres chefs-lieux de province également. Ainsi, une Française, de passage à Toamasina, a été, la semaine dernière, agressée au bord de la mer. Pour arracher son sac banane, censé contenir de l’argent, les détrousseurs ont alors plaqué à terre la dame qui est gravement blessée au visage. 
Ce ne sont là, que quelques faits qui pourraient encore se répéter à l’envi, ici et ailleurs, tant nous sommes en face d’un autre « phénomène social » qui a surpris le public et pris de court les forces de l’ordre. Néanmoins, que le gouvernement prenne ses responsabilités pour mettre fin à ce cycle infernal de la violence. Est-ce trop demander ? 
Franck Raharison


Tribune   01/02/2005

Enseignement supérieur Sans miracle, pas de cours! 
Comme prévu dans le calendrier universitaire 2005-2006, tous les étudiants des six universités de l'île doivent rejoindre leurs départements respectifs à partir de ce jour, 01 février 2005. Mais, puisqu'il y a cette histoire des revendications du SECES, cette rentrée risque de ne pas avoir lieu. Hier, le ministre Hajanirina Razafinjatovo, conscient de la gravité de la situation et dans l'objectif d'"arranger les choses", était descendu à Ambohitsaina où il a rencontré la population universitaire dont les enseignants, les étudiants et le personnel administratif et technique. En fait, aucune révélation. Le ministre s'est contenté de dire : "Je ne peux pas faire de miracle car ce n'est pas mon argent." La seule chose qui aurait soulagé les quelques enseignants-chercheurs "présents", c'est lorsque le ministre Hajanirina Razafinjatovo a déclaré que les arriérés des heures complémentaires (2001-2002-2003) seront incessamment payés car les dossiers y afférents seraient en ce moment entre les mains du CDE (Contrôle des Dépenses Engagées).
* La déception
Ainsi, augmenter à 3.000.000 Fmg l'indemnité de recherche est complètement impossible. "S'il y a quelqu'un qui peut me dire que c'est bel et bien possible, je lui donne ma place", a lancé le ministre. Aucun mot sur le statut particulier des enseignants-chercheurs alors qu'il constitue la principale revendication de ces derniers. Le personnel administratif et technique attend (alors que nous sommes déjà aujourd'hui le 01 février) quant au paiement de leurs salaires du mois de janvier car les procédures de déblocage seraient actuellement en cours. Une mauvaise nouvelle qui a provoqué hier la huée des intéressés, qui, déçus, ont par la suite évacué la salle de réunion pour montrer leur courroux. Le recrutement des nouveaux enseignants sera à étudier avec le ministère des Finances. Les bourses d'études ne connaîtront pas de hausse. Une nouvelle dont l'annonce a été ressentie hier comme une douche froide par les étudiants présents. Aucun mot sur le cas des enseignants-chercheurs "en maintien", l'un des points que le SECES-Section Antananarivo a soulevé dans ses revendications. Et écœuré, le ministre Hajanirina Razafinjatovo est allé hier, au nom de la transparence a-t-il précisé, jusqu'à révéler que c'est le ministère de l'Education Nationale qui a financé le dernier Conseil National du SECES. Bref, c'était la déception pour la population universitaire qui attendait du ministre, lors de cette rencontre "de dernière chance", des solutions concrètes à leurs problèmes. Des parents et des étudiants en tout cas n'en revenaient pas à la suite de cette "transparence" et souhaitent davantage de limpidité sur ces heures complémentaires.
* Boycottée
Le SECES a boycotté la rencontre d'hier. Ce qui ne les empêche pas cependant de réagir. Pour Mihamitsy Cyrill, président national du SECES, il s’est avéré maintenant à travers ses déclarations d'hier que le ministre n'a pas la volonté de dialoguer et de négocier avec les enseignants-chercheurs. Quant à la "révélation" du ministre Hajanirina Razafinjatovo selon laquelle c'est le ministère de tutelle qui a financé le dernier conseil national du SECES, la contre-offensive de Mihamitsy Cyrill est plus corrective que méchante : "Oui, j'ai compris que le ministre voulait nous discréditer en faisant cette fausse révélation. Mais ce qu'il ne connaît malheureusement pas, c'est le fait que le ministère finance une activité du SECES ne date pas d'aujourd'hui. C'est presque devenu une tradition depuis plusieurs années au sein de l'enseignement supérieur." "Et si le ministre a également insisté hier qu'il n'a rien promis aux enseignants-chercheurs, il a menti. Lors de notre dernière rencontre, au mois de novembre 2004, le ministre en personne nous a promis que toutes nos revendications à incidence financière ou budgétaire seront incluses dans la loi de finances", a démenti Mihamitsy Cyrill. Et ce président du SECES de persister : "Puisque le ministre n'a pas voulu nous satisfaire, il n'y aura pas cours demain dans toutes les six universités, et c'est jusqu'à nouvel ordre." 
Encore une fois, ce sont les parents qui se chamaillent et ce sont les "enfants" qui en font les frais. Qu'est-ce que cette famille ou ces raiamandreny qui ne voient et ne considèrent que le bout de leur nez ? Sans considérer que les étudiants qui fréquentent nos universités sont plutôt les enfants des pauvres auprès desquels on exige des frais de scolarité de plus en plus chers. Il faut dire que nos universités sont uniques au monde : concours payants et cours payants alors que ce sont des établissements publics.
Après l'attaque d'Andohan'i Mandroseza 
Les diplomates interpellent le gouvernement malgache 
Les diplomates en service à Madagascar n'ont pas minimisé le "fait divers" dont la résidence du premier conseiller de l'ambassade de France a été l'objet. Les bandits armés s'en sont pris en effet à des personnalités, mais surtout à des diplomates dont le premier conseiller de l'ambassade de France, Philippe Boutrie, et le représentant local de la Banque Mondiale, James Bond. En effet, une trentaine, plus précisément 35 ambassadeurs, consuls et consuls généraux, représentants d'organismes internationaux se sont donnés rendez-vous vendredi dernier dans les locaux de l'ambassade Russe sis à Analamahitsy, et non moins doyen des corps diplomatiques dans la Grande ILe. De 15 heures à 17 heures trente minutes, les participants ont fait le tour d'horizon sur ce malheureux incident. Bien qu'on ne sache pas exactement dans les détails les propos échangés, il est vraisemblable que quelques diplomates aient réitéré leur perception comme quoi il n'est pas besoin de dramatiser cette affaire, bien que quelques-uns de leurs collègues étaient les principales cibles. Une appréciation justifiée, il est vrai, car ce n'est pas un cas isolé, et encore moins un acte visant spécialement les représentants de pays amis étrangers. En somme, pour eux, il ne s'est agi que d'un acte conçu et organisé par des bandits, dans le but de ramasser des butins, c'est-à-dire, un simple faits divers comme dans divers pays de la planète.
En revanche, il est aussi vraisemblable que des corps constitués n'aient pas épousé cette thèse, jugée par une certaine opinion tananarivienne trop simpliste. A certains égards en effet, cette affaire a une autre dimension plus grave. Le président Ravalomanana lui-même l'a fait comprendre quand il était rentré de France. N'avait-il pas laissé entendre que cela a trait à des actes de déstabilisation ? En tout cas, après deux heures trente minutes de discussions , les diplomates présents lors de cette réunion particulièrement spéciale ont décidé " d'informer " le ministre des Affaires étrangères, le général Marcel Ranjeva, sur la situation. Le doyen des corps constitués, Youri Romanov, ambassadeur de la Fédération de Russie, est chargé de remettre cette lettre au locataire d'Anosy. A l'aune des conventions internationales, tout laisse à penser que des recommandations ont été faites, et que quelque part, il s'agit d'une interpellation du gouvernement malgache devant la menace qui pèse sur les diplomates et leurs ressortissants. En tout cas, chaque diplomate fera certainement un rapport officiel auprès de leur gouvernement respectif sur l'état actuel des choses. A rappeler que le gouvernement malgache a déjà pris la décision de renforcer la sécurité des corps constitués, afin de les protéger, ainsi que leurs biens. Pour avoir plus de détails sur cette réunion, on a contacté l'ambassade russe, mais son troisième secrétaire, Valéry Martynov, nous a indiqué que le doyen des diplomates rencontrera les journalistes intéressés. Pour l'instant, la primeur du compte-rendu de cette réunion sera réservée aux autorités malgaches.
Visiblement, l'attaque de la résidence du premier conseiller de l'ambassade de France aura une dimension internationale. Du côté du pouvoir, de son retour de la Métropole, le président de la République malgache, Ravalomanana Marc, n'a pas hésité d'un iota que " cette affaire est un acte de déstabilisation de son régime ". Autrement dit, le numéro un Malgache n'a pas dramatisé ces attaques des bandits. Toutefois, il a épousé la thèse selon laquelle il s'agit d'un acte hautement politique, dont l'objectif est de ternir l'image du pays aux yeux du monde entier, et surtout au niveau des investisseurs internationaux. Où va ce pays ?


SUD OUEST   27/01/2005

Soulac-sur-mer : Le président du sénat malgache, Guy Rajemison Rakotomaharo, a été reçu à l'hotel de ville

Le sénateur Xavier Pintat accueille le président du sénat et la délégation malgache à Soulac.

Madagascar fêtait en 2004 le 44è anniversaire de son indépandance. L'île alors avait choisi le bicamérisme parlementaire, la constitution attribuant au sénat la représentation des vingt-deux régions et le rôle de gardien du régime afin d'assurer la pérennisation de l'Etat.

Vendredi dernier, c'est donc le second personnage de l'état malgache, Guy Rajemison Rakotomaharo, président du sénat, qui était reçu à l'hôtel de ville de Soulac par le sénateur-maire Xavier Pintat.

Liens franco-malgaches. M. Rajemison Rakotomaharo et le sénateur  Benjamin Ramamonjisoa conduisaient en effet une délégation malgache, Madagascar étant l'invitée d'honneur des deuxièmes assises régionales de la coopération décentralisée organisées à Bordeaux.

Après les journées de réflexion sur les pistes du développement de la coopération entre les vingt-deux-régions malgaches et les vingt-deux régions françaises, l'association des malgaches vivant à Bordeaux leur avait organisé une visite du port de Medoc avec une étape à Soulac pour une rencontre entre sénateurs. Etaient présents les députés Jean-François Régère, les maires du Verdon et de Queyrac, MM. Martinet et Sébie et les adjoints soulacais, parmi lesquels 

Marie-Claude Duveau, dont le mari, le ministre Roger Duveau, fut bâtonnier de l'Ordre des avocats de Tananarive et député de Madagascar de 1946 à 1959. L'occasion d'un échange privilégié entre elle-même et le président du sénat.

Rencontre impromptue et informelle peut-être, mais "un très grand honneur pour Soulac" tenait à souligner Xavier Pintat. Il émettait le souhait avec M.Rajemison Rakotomaharo de nouer des liens plus étroits entre la cité soulacaise et une ville malgache.

: Maguy Caporal


Madamaki  02/02/2005

Madagascar attend plus de touristes cette année (320 000 visiteurs?? Pourquoi pas?)
Madagascar maintient ses ambitions touristiques avec l'objectif d'accueillir cinq cent mille visiteurs en 2007. Tous les opérateurs prévoient que pour 2005, si rien de politiquement grave ne se passe, Madagascar accueillira 320 000 touristes, soit une augmentation de 46% par rapport à l'année 2004.

La volonté de donner une nouvelle impulsion au tourisme, un des principaux secteurs de l'économie malgache, a été réaffirmée lors de la cérémonie de présentation des voeux de Nouvel-An 2005 le jeudi 20 janvier dernier au CEMES Soanierana, par Monsieur Jean Jacques Rabenirina Ministre de la Culture et du Tourisme.
En effet, la promotion de l’industrie touristique, la progression des taux de retour et l’accroissement du nombre de touristes pour atteindre les 500 000 en 2007 nécessitent la mise en place des infrastructures dont a vivement besoin le secteur, l’amélioration des différentes prestations offertes aux visiteurs, le respect des normes d’hygiène et de qualité des produits de l’artisanat et en général la mise à niveau du secteur touristique dans son ensemble pour pouvoir faire face à la concurrence des autres destinations touristiques semblables à la grande île et qui offrent leur produit à des prix compétitifs et dans des conditions de séjour meilleures. Par ailleurs, les autorités compétentes doivent - dans le cadre d’une action concertée qui implique tous les départements concernés - lutter contre certains phénomènes qui nuisent à la promotion du tourisme (mendicité, faux-guides, escroqueries diverses, manque d’hygiène, délabrement des sites historiques, harcèlement des touristes, etc.).

Les assises du tourisme doivent également débattre des moyens de dynamiser les investissements dans le secteur touristique tout en tenant compte de certaines spécificités régionales.
Pouvoir public et privé doivent agir ensemble pour permettre au secteur touristique de jouer pleinement son rôle dans la promotion de l’emploi et la croissance économique et pour atteindre le chiffre de 500 000 de touristes en l’an 2007.


Les Nouvelles 01/02/2005

Les étudiants otages du bras de fer entre ministère et Seces    Article du : 1/2/2005
Rentrée universitaire maintenue, le ministère défie le Seces 
La population de la faculté est tenue en haleine par le feuilleton à suspenses « rentrée universitaire ». C’est le moins qu’on puisse dire. Alors que le ministre de l’Education nationale et de la recherche scientifique se dit être « prêt » pour le grand jour, le Seces préfère se cacher derrière une conférence nationale prévue pour la Saint Valentin à Fianarantsoa. Pleins feux sur une histoire de cœur à l’eau de rose ! 

La grande population universitaire s’est réunie hier dans les hauteurs d’Ambohitsaina, avec comme hôte, le ministre de l’Education nationale et de la recherche scientifique. Une occasion pour ce dernier de mettre les points sur les « i » sur la brûlante question de la rentrée universitaire. 
« Tout est fin prêt de notre côté, la rentrée aura donc normalement lieu », déclare le ministre. Normalement, car trois jours avant la grande réunion de famille, le syndicat des enseignants chercheurs de l’enseignement supérieur (Seces), section Antananarivo, a officiellement appelé au boycott de la rentrée universitaire. 
CONFERENCE NATIONALE
Interpellé à ce sujet, le président du Seces pour la section Antananarivo, Elysé Rastefano, se défend à sa façon : « l’appel au boycott a été lancé, mais la décision finale ne sera prise qu’à l’issue de la conférence nationale du Seces à Fianarantsoa le 14 février ». 
Une incohérence dans le discours, puisque la rentrée universitaire en elle-même aura lieu ce jour à Ankatso. Rentrée ou pas rentrée pour le Seces ? Elysé Rastefano renchérit : « le calendrier universitaire n’est même pas encore sorti, la rentrée n’est donc pas effective ! ». 
Quoi qu’il en soit, en choisissant la « transparence », le ministre de l’Education nationale et de la recherche scientifique a choisi de mettre les choses à plat en nommant un chat par un chat : « je me suis toujours abstenu de divulguer la réalité suivante : le ministère a financé la conférence nationale du Seces en 2004 avec une contribution de 1.000.000 d’Ariary. Une conférence qui s’est finalement ponctuée par une grève et un gel des notes ». 
BUDGET PHARAONIQUE
Par ailleurs, en rebondissant sur la demande du Seces concernant le paiement des arriérés des heures complémentaires de 2001 à 2003, Haja Nirina Razafinjatovo révèle que 31 milliards ont été dépensés en heures complémentaires au cours de l’exercice 2004, pour les six universités. 
D’autre part, les bourses aussi bien intérieures qu’extérieures se sont élevées à près de 35 milliards en 2004. Rien que pour la capitale, les bourses des étudiants de l’université d’Antananarivo se sont élevées à 3 milliards par mois. 
PAS DE MIRACLE
Autre point crucial des revendications du Seces, le décret 2004 portant sur l’indemnité des enseignants chercheurs. Si le Seces réclame 400.000 Ariary, seuls 100.000 Ariary sont acquises. « Je ne peux pas faire de miracle ! » argue Haja Nirina Razafinjatovo, « cet argent n’est pas le mien, et des procédures sont à suivre pour de telles revendications ». 
Toujours selon le ministre : « l’Etat ne peut pas faire plus que ce qu’il possède », avant de renchérir : « il n’y a pas de miracle possible. D’ailleurs, je cède volontiers ma place à celui qui pourra augmenter les indemnités de recherche à plus de 400.000 Ariary ». 
SOIF D’ETUDES
Pour sa part, la population estudiantine se morfond sur son sort. « Ça fait trois ans que je suis à l’université, trois années ponctuées à chaque fois de perturbations dues aux grèves » s’insurge Michelle Razanamalala, étudiante en économie. La faculté des sciences elle, bénéficie de l’aide de deux missionnaires qui assurent les cours jusqu’à la reprise des professeurs du Seces. 
Le groupement des associations pédagogiques de l’université d’Antananarivo (Gapua) espère une issue rapide au contentieux. Nasolo, président de l’association des étudiants de la faculté des lettres précise : « nous espérons que les cours reprendront au plus vite car nous avons envie d’étudier ». 
Renaud Rianasoa Raharijaona 

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  Malagasy ve ianao ? 

La RNS souffle ses 30 bougies cette année 2005 et pour marquer cet événement exceptionnel, le Comité Exécutif National (C.E.N.) et le Comité National d’Organisation (C.N.O.) de la RNS 2005, lancent un Concours pour  la création d’un Hymne à la RNS.  

... Jusqu'au 25 février 2005 >>

Articles du règlement  consultable sur le site www.rns-cen.com   

Fety sy Fihaonana

Les Rencontres malagasy...

 

L’artiste Ratsif 

envahit Cadres et Créations
Présente un extrait de son Art
« MI-PASSAZY »
Vous invite à l’expo performance
le Mardi 08 Février 2005 à 19h
A la Galerie Cadres et Créations
8 rue du Marché, 69009 Lyon
Métro Valmy, ligne D
Expo permanente du 8 au 15 Février
de 10h à 18h30 (sauf le Lundi)


Renseignements au 04 78 83 71 13 / 06 33 80 60 17

La chanteuse TIANA 

sera en tournée 
en métropole et ce dans le cadre de la promotion de son nouvel album intitulé MIHARINA (mivoaka @ le20 fev) , 

elle sera à Marseille le 05 mars 

avec l'association Omby manga , au Florida Palace et accompagnée par le groupe dodolocean (créole) , 

avant cela elle sera à Lyon le 26 fevrier 


 - pour tout renseignement concernan t la commande du cd et l'album :jbemizik@fr
- Pour tout renseignement concernant la tournée :jbemizik@fr.st et voir : www.vanilland.com et www.croissance.com 

 

 

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