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Aujourd'hui
un cadeau..."
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contact: Viel
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j'espère.Melody (non sérieux s'abstenir)
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J'ai en ma possession 2 tortues hermann agées de 30 ans chacune, je dois m'en séparer car je dois résider dans un appartement .C'est le couple et je les vends 250 euros chacune . Vous pouvez me joindre au 0660149097 et je réside à Marignane.
contact: deveze brigitte
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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
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Big News...
La soie
: Filière prioritaire de l'industrialisation (Tribune
18/03/05)
Deux sortes de soies existent à Madagascar : l'une est fabriquée à partir de l'élevage de vers à soie, et l'autre par le Borocera
Madagascariensis, ver à soie sauvage vivant dans l'arbre de tapia. Ce dernier est endémique à Madagascar.
La filière soie ne date pas d'aujourd'hui, en effet, les Européens ont découvert au 17è siècle l'existence d'un ver à soie spécial à la Grande île, ceci ensuite a continué au 19è siècle quand la Reine Ranavalona Première a tenté d'industrialiser la filière.
Rakotoarison Henri, le représentant du ministre de l'Industrialisation, du Commerce et du Développement du Secteur privé, a affirmé lors de la cérémonie de l'inauguration de la foire de la soie que c'est une des filières prioritaires au sein de ce ministère, mais aussi au niveau du Programme Intégré de l'ONUDI à Madagascar compte tenu de son impact sur les activités lucratives, génératrices de revenus et sur la lutte contre l'exode rural. Des experts sont alors venus à Madagascar pour apporter des nouvelles techniques dans le but d'améliorer la production qualitativement mais aussi...
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La
Foire de la soie à Madagascar
à Anosimasina-Itaosy
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Tribune
19/03/2005
Etats-Unis - Madagascar
: Annulation totale des dettes
Après la réduction des dettes de Madagascar par les pays créanciers du Club de Paris en novembre 2004 et l'atteinte du point d'achèvement de l'Initiative des Pays Pauvres Très Endettés en octobre 2004, les
Etats- Unis ont à leur tour donné leur accord sur l'annulation en totalité des dettes extérieures de la République de Madagascar dont le montant est fixé à 37,36 millions de dollars, soit environ 70,67 milliards Ariary : sur les 4,300 milliards de dollars de dettes, Madagascar n'en est plus aujourd'hui qu'à 1,600 milliard de dollars.
Conformément à son engagement, le Gouvernement des Etats-Unis d'Amérique a octroyé une annulation supplémentaire à celle accordée par le Club de Paris 10, en décidant d'annuler 100% du stock de la dette au 1er octobre 2004.
La signature de cet accord a eu lieu hier entre le ministre Andriamparany Radavidson et l' ambassadeur des
Etats- Unis d'Amérique, James McGee au ministère de l'Economie, des Finances et du Budget. C'est un grand signe qui montre que la relation entre les deux Etats est toujours au beau fixe et se raffermit de plus en plus.
Le ministre Andriamparany n'a pas oublié de remercier le chef de l'Etat américain et son gouvernement pour cette grande décision qui est d'une importance capitale pour le pays, il a aussi souligné que les Etats-Unis sont d'une aide précieuse dans plusieurs domaines : social, éducatif, et surtout économique.
Pour les dettes de Madagascar envers d'autres pays , le ministre a affirmé qu'il y aura des approches directes avec les responsables en vue de négociations et que si ces pays n'effacent pas totalement les dettes, ils pourront les réduire comme ont procédé les autres.
Midi
18/03/2005
GOUVERNEMENT. Un "petit remaniement" surprise hier décidé par Ambohitsorohitra et
Mahazoarivo. La vice-Primature est supprimée.
Septième remaniement, le VPM remercié !
Un mini-remaniement auquel beaucoup ne s'attendaient pas. La lecture à la radio et la télé nationales, faite par le Secrétaire général de la Présidence, Noël
Rakotondramboa, du décret 2005/144 du 17 mars 2005 portant remaniement de la composition des membres du gouvernement, abrogeant ainsi le décret 2003/008 du 16 janvier 2003 modifié par les décrets 2004/001 du 05 janvier 2004, 2004/680 du 05 juillet 2004, et 2004/1076 du 07 décembre 2004 en ce qui concerne la nomination du vice-Premier ministre, en a surpris plus d'un.
Val A.
La vice-Primature chargée des programmes économiques est ainsi supprimée. Par conséquent, celui qui se trouvait à sa tête, Zaza
Ramandimbiarison, est écarté. Innovation, un ministère chargé des Travaux Publics et des Transports a été érigé, à la tête duquel est nommé Roland
Randriamampionona. Tandis que le Secrétariat d'Etat chargé de la Décentralisation a été transformé en un ministère chargé de la Décentralisation et de l'Aménagement du Territoire dirigé par le même ministre Angelin
Randrianarisoa.
Ingénieur
Le Secrétaire général de la Présidence n'a pas eu à expliquer cette décision. Mais au cours du conseil des ministres d'hier à
Ambohitsorohitra, le président de la République a fait savoir que "l'ancien responsable n'était pas pour autant incompétent, il a beaucoup fait". Le Chef de
l'Etat a exprimé sa reconnaissance à l'endroit de Zaza Ramandimbiarison qui sera, selon lui, appelé à occuper un autre poste. Comme en ce qui concerne les chefs de région, Marc Ravalomanana d'indiquer que "le pays a besoin d'un nouveau souffle, bon nombre d'entre eux sont très compétents mais n'ont pas fait preuve de bonne conduite vis-à-vis de la société". Ce nouveau souffle pourrait ainsi être apporté par le nouveau venu du gouvernement, invité à bien tenir la route. Randriamampionona Roland est un diplômé de
l'Ecole Nationale des Ponts et Chaussées de Paris. Cet Ingénieur est également titulaire d'un diplôme de Mathématiques générales et Physique de l'Université de Bordeaux. Il a occupé plusieurs postes ayant trait à la mécanique de sol, aux études routières, et au dimensionnement d'ouvrages. Né en 1944,le nouveau ministre des Travaux publics et des Transports, a contribué à l'exécution de bon nombre de travaux dans une douzaine de pays dans le monde.
Quel poste attendra Zaza Ramandimbiarison ? L'avenir nous le dira. Toujours est-il que la vice-Primature fut un grand ministère lourd et parfois complexe. Sa mission a été de réaliser les programmes notamment liés aux grands travaux d'infrastructure avec un certain calendrier. En ce sens qu'une grande part des fonds émanant des bailleurs de fonds est gérée à son niveau. Des centaines d'appel d'offres, des centaines de marchés, etc. Zaza Ramandimbiarison avait à superviser tout l'ensemble au point pour lui de former une cible privilégiée des détracteurs du régime lesquels, à une époque, avaient même présumé une guéguerre entre lui et le Premier ministre. Ceci expliquant cela, certains soutiennent dur comme fer qu'il aurait été remplacé pour devenir Chef de gouvernement. Pour Zaza
Ramandimbiarison, ce n'est que la fin d'une autre expérience. Pour les férus de chiffres, c'est un septième remaniement dont fait l'objet le gouvernement Sylla. Certains diraient déjà que pour
"Ravalo", jamais 7 sans 8 !
MAIBAHOAKA. 2 jours après son retour au pays, l’épouse de l’ancien vice-PM, suspectée de trafic, a reçu hier, la visite de la Brigade criminelle.
Perquisition de la BC chez la femme de Pierrot Rajaonarivelo
Fort d’un mandat de perquisition « ne comportant pas de numéro » mais dûment signé par le procureur de la République près le Tribunal de Première Instance de Tana, des éléments de la 4e section de la Brigade criminelle conduits par un commissaire de police, ont débarqué hier, vers 8 heures du matin, au domicile de Renée Rajaonarivelo, à Maibahoaka Ivato.
R.O.
Les avocats de la famille, Mes Maria Raharinarivonirina et Willy Razafinjatovo, ainsi que des témoins dont le sénateur Ramasy Adolphe, ont assisté à la perquisition qui a commencé un peu après à 9 heures pour ne prendre fin qu’aux alentours de midi, en présence de la presse.
« Harcèlement »
L’épouse de l’ancien vice-PM est « susceptible », selon le Procureur, de se livrer à un trafic de pierres précieuses et de devises, en raison de ses fréquents déplacements à l’extérieur. « C’est lors de ses voyages qu’il aurait fallu chercher quelque chose », fait remarquer Me Olala. « C’est un véritable harcèlement contre sa famille, surtout depuis que Pierrot Rajaonarivelo s’est déclaré candidat à l’élection présidentielle de 2007 », estime-t-il. Et de rappeler que « cette descente policière n’est pas la première du genre, puisque la villa de la famille à Toamasina a été perquisitionnée 4 ou 5 fois ». Il, c’est toujours Me Willy Razafinjatovo qui a reconnu hier, que « les policiers étaient courtois et corrects lors de cette perquisition qui s’est déroulée normalement ». Une perquisition inopinée qui intervient, signale-t-il, presque au lendemain du retour au pays de Renée
Rajaonarivelo.
Rumeurs
Me Maria Raharinarivonirina devait pour sa part positiver les choses, en déclarant que « cette perquisition qui n’a rien donné, a permis de prouver que la famille Rajaonarivelo n’a rien à se reprocher ». Elle se demande si le but inavoué de la perquisition n’était pas en fait de vérifier les rumeurs selon lesquelles, le secrétaire national de l’Arema serait déjà sur place. « Si c’était le cas, le parquet se serait basé sur des informations qui n’étaient pas du tout fondées », conclut-elle. Et ce n’est pas l’épouse du candidat déclaré qui dirait le contraire car c’est en raison justement de l’exil forcé de Pierrot Rajaonarivelo qu’elle est amenée à faire ces fréquents déplacements. « Est-ce que je n’ai pas le droit de rendre visite à mon mari et à mon fils qui sont à Paris ? », s’interroge Renée Rajaonarivelo qui ne peut pas non plus, abandonner au pays, les biens de la famille et surtout son fils cadet qui a signé avec elle, le P.V. de perquisition qui s’est avérée infructueuse. Et ce, malgré une fouille minutieuse qui a conduit à des découvertes parfois cocasses comme ces serviettes hygiéniques rangées dans une grande enveloppe. Provoquant quelque peu un sentiment de gêne de la part des policiers qui « ne faisaient que leur travail », en exécutant le mandat de perquisition. Accompagné d’une convocation de Renée Rajaonarivelo, à la 4e section de la brigade criminelle, « pour une affaire la concernant ». Et dont on connaîtra la suite – si suite il y a – aujourd’hui, à partir de 9 heures, à Anosy, où, à l’instar de la perquisition, l’interrogatoire de l’intéressée sera sans doute « policièrement correct ».
Wanadoo.mg
19/03/2005
Natao sava hao ny birao fiasan'ny vadin'ingahy Pierrot Rajaonarivelo
Araka ny vaovao azo farany dia tonga teny amin'ny trano fiasan'ny vadin'ny praiminisitra lefitra teo aloha indray ny mpitandro filaminana omaly. Tsy tonga tanam-polo akory fa niaraka tamin'ny taratasy fahazoan-dalana hisava ny birao. Natao sava hao ny efitrano maromaro tao ambony rihana nitadiavana izany vola vahiny sy vatosoa voalaza fa mety ho ao aminy izany. Niala maina hatrany anefa izy ireo satria dia tsy nisy tao izay notadiavina. Mpitandro filaminana efatra mianadahy no nanatanteraka ny asa omaly.
Ity fisavana ity dia tohin' ilay natao afakomaly teny amin'ny trano fonenany teny Maibahoaka. Taorian'ny fisavana dia mbola nitohy tetsy amin'ny biraon'ny polisy ekonomika etsy Anosy ny raharaha ary tonga teny mihitsy Ramatoa Renée Rajaonarivelo. Ora iray sy 15 minitra no naharetan'ny fakana ambavany azy tamin'izany ary efa ho tamin'ny fito ora sy sasany alina vao vita.
Nambaran'ny mpisolovava ny fianakaviana Rajaonarivelo fa karazany tombony ho azy ireo ny vokatry ny fisavana. Voaporofo hatrany fa madio ny fianakaviana arovan'izy ireo.
Ny fanamarihana nataony no nahitana fa misy lesoka ihany teo amin'ny fanatanterahana ny baiko. Tsy nahitana laharana ny taratasy mampisava, mbola ilay teny an-trano afakomaly ihany koa no nampiasaina. Noraiketin'izy ireo tamin'ny fitanana an-tsoratra teny amin'ny polisy izany fanamarihana izany.
Raha ny fanambaran'ny mpisolovava dia tokony ho vita hatreo izany ny momba iny raharaha iray iny. Mazava mantsy ny vokatry ny fisavana fa tsy nitombina ny vaovao azon'ny mpitandro filaminana sy ny fampanoavana nanome ny baiko.
Raha ny filazana fa mivezivezy matetika any am-pita Ramatoa Rajaonarivelo dia tsy mitombina izany hoy ihany ny mpisolovava satria zara raha mandeha mivoaka in-3 isan-taona izy.
r.r ©Taratra
Les
Nouvelles 18/03/2005
l"Zaza flingué"... ! la vice-primature fait des petits
Remaniement surprise du gouvernement, Zaza Ramandibiarison limogé
"N'ayez aucun état d'âme pour limoger ceux qui ne sont pas performants comme vous l'avez fait avec les chefs de région", avait suggéré Kaleta la veille. Marc Ravalomanana n'a pas dit que Zaza Ramandimbiarison n'était pas performant, mais c'est sans état d'âme qu'il a démis hier le vice-premier ministre de ses fonctions pour donner "un nouveau souffle au gouvernement". A peine a-t-il évoqué l'éventualité d'un nouveau poste de consolation pour son ancien Chief of Staff. Du coup, plus personne ne fera de l'ombre au Premier ministre. La vice-primature chargée des programmes économiques a été dissoute et les départements ministériels qui lui étaient rattachés attribués à Roland Randriamampionona pour les travaux publics et le transport, à Jean Angelin Randrianarison pour l'aménagement du territoire.
La surprise était de taille. Malgré les rumeurs qui lui attribuaient des ambitions présidentielles, ainsi que les problèmes qu'il a rencontrés dans la gestion des programmes sous sa tutelle, personne ne pensait que Zaza Ramandimbiarison serait limogé. Les rumeurs de remaniement donnaient plutôt Jacques Sylla sur le départ. Elles avaient même spéculé sur un éventuel remplacement de ce dernier par celui qui, pendant deux ans et deux mois, entre le 16 janvier 2003 et le 17 mars 2005, était son numéro 2.
DEUX NOUVEAUX MINISTRES
Mais alors que le Premier ministre reste solidement planté sur son siège, c'est le vice-premier ministre qui est invité à quitter le navire. Hier, le secrétaire général de la présidence, Noël Rakotondramboa, avait lu sur les plateaux respectifs de la RNM et de la TVM le décret abrogeant sa nomination et nommant deux nouveaux ministres pour s'occuper des départements qui jusqu'ici étaient regroupés sous sa direction.
La vice-primature chargée des programmes économiques est dissoute. Les départements des travaux publics et du transport qui lui étaient rattachés sont confiés à Roland Randriamampionona, tandis que celui de l'aménagement du territoire est dévolu à Jean Angelin Randrianarison. Ancien secrétaire d'Etat chargé de la Décentralisation, du développement régional et des communes, ce dernier est ainsi promu ministre de la Décentralisation et de l'aménagement du territoire.
OMBRE ET MESENTENTE
Avec la dissolution de la vice-primature, plus personne ne fera de l'ombre à Jacques Sylla. Pendant deux ans, le Premier ministre avait dû subir la présence gênante d'un numéro 2 qui, fort de son titre, "accaparait" tout ce qui était économique au détriment du chef du gouvernement. A l'Assemblée nationale, les députés de l'opposition n'hésitaient pas à comparer les actions des deux hommes, allant jusqu'à qualifier le vice-premier ministre de vrai Premier ministre.
Illustration parfaite d'une mésentente que le gouvernement n'arrivait plus à cacher, Zaza Ramandimbiarison s'était payé le luxe d'une conférence de presse en solitaire avant même que le chef du gouvernement se soit exprimé lorsque le point d'achèvement avait été atteint en octobre. Un mois plus tard, il avait été écarté des négociations avec le Club de Paris. Et même si son "ami", Benjamin Andriamparany Radavidson du ministère de l'Economie et des finances, avait déclaré que les négociations à Paris ne seraient plus qu'une formalité, cela n'avait pas empêché le Premier ministre de prendre sa revanche et de tirer sur lui tous les mérites de la réussite des "rudes négociations" qui avaient eu lieu à Paris. Lors de la conférence de presse du 18 novembre, le vice-premier ministre chargé des programmes économiques avait brillé par son absence.
DISCRETION ET RUMEURS
Depuis, Zaza Ramandimbiarison s'est fait plus discret. Discrétion qui s'est amplifiée ces dernières semaines. Il n'occupait le terrain médiatique que dans le feuilleton qui l'opposait aux projets qui se trouvaient sous sa tutelle, tels le PST, l'Agetipa ou le Fer. Et dans les salons, les discussions lui prêtaient des ambitions plus importantes que le fauteuil de Mahazoarivo. Le vice-premier ministre aurait même eu des visées sur
Ambohitsorohitra.
Mais proche de Marc Ravalomanana, il ne sera pas pour autant définitivement mis sur la touche. Du moins pour l'instant. Le chef d'Etat, qui n'a donné d'explication au "limogeage" que la nécessité d'un nouveau souffle, a évoqué "d'autres travaux à réaliser encore avec l'ancien vice-premier ministre" lors du point de presse qu'il a donné avant le conseil de ministres d'hier.
Lova Rabary
Roland Randriamampionona
Ministre des Travaux publics et du transport
Ingénieur civil des Ponts et Chaussées de l'Ecole nationale des Ponts et Chaussées de Paris-France
Diplômé de Mathématiques générales et physique de l'Université de Bordeaux
Maître d'ouvrage délégué de l'Agetipa dans le domaine des infrastructures publiques de 1994 à 2002
Maître d'ouvrage délégué du Fid d'octobre 2000 à février 2001.
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Les
Nouvelles 18/03/2005
La soie, une filière prometteuse à exploiter
Trois jours seront consacrés par l'association « Espace Métiers Solidarité Firaisan-kina » ou EMSF pour valoriser les richesses que renferment la soie à Madagascar à travers une foire intitulée « La soie : valeurs et richesses ». 21 opérateurs venant d'Antananarivo, Arivonimamo et Antsirabe participent à cette foire, notamment des sériciculteurs, des éleveurs de ver à soie, des transformateurs de produits et des techniciens de filature et de tissage.
La cérémonie d'inauguration s'est déroulée, hier à
Anosimasina-Itaosy, en présence des personnalités, des organismes partenaires et élus locaux. ...
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Wanadoo.mg
19/03/2005
Syndicat des Magistrats : les salaires des grévistes restitués
Le Syndicat des Magistrats de Madagascar va poursuivre sa grève illimitée et le service minimum sera toujours assuré. C’est ce qui a été décidé hier lors de son assemblée générale au Palais de Justice d’Anosy.
De même, il y a été convenu que toutes les journées de jeudi, jusqu’à nouvel ordre, seront consacrées à la réflexion et à la conscientisation autour des thèmes touchant aux affaires nationales actuelles. Et ce, dans toutes les juridictions de la Grande Ile. Ces mesures seront ainsi de rigueur en attendant que la HCC ait rendu son verdict sur son recours pour exception d’inconstitutionnalité et que la Cour Suprême ait ordonné l’annulation définitive de la décision portant le n°88 du ministère de la Justice.
Notons qu’avant cette assemblée, à 11 heures plus précisément, la chambre administrative a de nouveau ordonné le sursis à exécution de la décision n°90 du ministère de tutelle. Parallèlement, si par sa décision portant le n°100 le ministère de la Justice a ordonné la restitution des soldes suspendus des 47 magistrats concernés, le Secrétaire Général, Richard Razakavonison, a affirmé qu’il était le seul à ne pas l’avoir reçu en entier, suite à une nouvelle décision n°109 du ministère.
Le solde de ses 46 autres confrères ayant été rétabli en entier et sans retenues. Les prochaines rencontres dépendront alors de l’évolution des événements et des résultats des différents recours ainsi que de leur écho auprès du ministère de la Justice.
N.R. ©Midi-Madagasikara
La
Gazette 18/03/2005
Filière soie : Des nouvelles techniques plus rentables
La soie a été une matière utilisée par les Malgaches bien avant la colonisation ; présentes dans plusieurs régions du pays, les techniques de filature et de tissage sont maîtrisées par beaucoup de femmes à travers l’île, mais de manière encore très artisanale. La soie est très utilisée dans la vie courante malgache mais l’élevage des vers à soie, par sa complexité qui nécessite une maîtrise technique a suscité une sorte de tabou au niveau des collectivités rurales, donc son élevage a été délaissé. L’ouverture officielle de la foire sur la soie s’est déroulée hier à Bemasoandro Itaosy, organisée par l’EMSF ou Espace Métiers Solidarité
Firaisankina. Cette foire servira à montrer aux opérateurs économiques et aux artisans l’évolution de ce secteur, les techniques de production et d’élevage moderne, la qualité des produits obtenus ainsi que la possibilité de son exploitation de manière industrielle. Plusieurs associations villageoises venant d’Antsirabe, d’Arivonimamo, de Fandriana, d’Ambositra, d’Ambalavao ainsi que des professionnels dans le secteur sont présents à cette foire. L’amélioration de cette filière a été possible grâce à un appui de l’ONUDI (Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel) qui a envoyé un expert à Madagascar pour apprendre des techniques visant à améliorer le rendement de cette exploitation ainsi que l’utilisation d’une nouvelle machine. Des formations ont été aussi dispensées à 472 artisans et paysans à travers le pays du 8 novembre au 4 mars dernier concernant les techniques d’ennoblissement de la soie, la filature, la moriculture (ou culture du mûrier qui sert de nourriture aux vers à soie), l’élevage de ces vers et le tissage. Ces formations ont été réalisées avec le concours de la PAISE ou Programme
d’Appui à l’Insertion Socio-Economique du ministère de la Population, le CITE (Centre d’Information Technique et Economique), le conseil régional de la Réunion et le PSDR (Programme de Soutien au Développement Rural). Ainsi à part la production obtenue par simple cueillette de la soie sauvage auparavant, les techniques d’élevage des vers à soie améliorées ou domestiques ont été montrées ainsi que son rendement. Cet élevage peut se faire dans plusieurs régions de l’île, dans un simple hangar ou local aménagé avec des étagères simples. Avec 20 femelles pondeuses de ce vers, on peut avoir des cocons de 10kg qui pourront donner 1kg de fil après 1 mois. Son alimentation étant constituée de mûrier, 2 à 3 kg de feuilles de cet arbre suffisent à une femelle pondeuse pendant cette période. Dans le village de Talata Andraikiba à
Antsirabe, les paysans élèvent les vers et l’association Landiasina achète le kilo de cocons à 25.000 Fmg. Par ailleurs, une écharpe de soie vaut entre 125.000 Fmg à 150.000 Fmg. L’utilisation de la nouvelle machine apportée par l’ONUDI permet de faire en une heure le travail effectué auparavant par une femme en 2 jours avec la machine de tissage artisanale. Cette nouvelle technique permet donc de passer au stade industriel et de relancer rapidement cette filière. En plus, c’est une activité qui peut donner du travail à beaucoup de gens (surtout les femmes) et dont le marché est encore très large aussi bien sur le plan national qu’international. L’utilisation d’un fil aux normes internationales est possible grâce à cette machine. Un autre expert de l’ONUDI viendra encore ici le mois prochain.
Recueillis par Arilala Rampanjato.
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Madamaki
19/03/2005
Salon Mondial du Tourisme 2005:embarquement immédiat vers tous les rêves
Safari en pleine jungle, farniente sur une île hôtel, méharée dans le désert, croisière au fil de l'eau, détente dans un Spa ….
A chacun son rêve, à chacun sa destination. Et pour tous, un seul rendez-vous : le Salon Mondial du Tourisme 2005, du 17 au 20 mars, à Paris.
Les visiteurs du Salon sont privilégiés, car lors de cet événement unique en son genre, ils peuvent rencontrer en direct et sur un même lieu, tous les experts du tourisme :
offices nationaux et régionaux du tourisme des pays du monde entier, tour-opérateurs généralistes et spécialistes, réseaux d'agences de voyages, éditeurs de guides, de revue et de cartes touristiques.
Pendant quatre jours, régions et pays du monde dévoilent leurs plus beaux atours pour séduire leurs futurs hôtes. Musiques endiablées, saveurs pimentées, costumes et décors colorés, les offices de tourisme rivalisent d'imagination pour offrir un avant goût d'évasion et faire découvrir les plus belles régions du monde.
Les tour-opérateurs, attentifs aux envies les plus diverses de leurs futurs clients, déploient tout leur savoir-faire de spécialistes pour leur proposer les idées de voyages et de vacances les plus séduisantes. Et c'est au Salon Mondial du Tourisme, qu'ils viennent dévoiler leurs nouvelles collections et les inédits de leur création.
Présence remarquée de Madagascar au salon professionnel du tourisme à Berlin.
La bourse internationale du tourisme de Berlin est l’un des plus grand salon au monde des professionnels et des opérateurs du secteur.
Salon professionnel du tourisme de Berlin
Madagascar n’a pas manqué ce rendez-vous et a participé à la 39ème édition de la « BIT» (Bourse Internationale du Tourisme) qui a lieu du 11 au 15 mars 2005 à Berlin.
Dans des stands joliment décorés, les représentants de Madagascar dirigés par le directeur de l’appui aux investissements touristiques auprès du ministère de la culture et du tourisme malgache Monsieur Rafamantanantsoa Herinirina, de l’Office National Malgache du Tourisme, des agences de voyage et d’Air Madagascar étaient présents afin de rencontrer les plus importants Tours Opérateurs et voyagistes allemands et du monde entier
La
Gazette 18/03/2005
Syndicat des magistrats: « C’est le triomphe de l’Etat de droit »
Le syndicat des magistrats a jubilé en apprenant le dispositif de la décision n°100, prise hier par la ministre de la Justice. Une décision qui, faut-il le rappeler, a été prise en exécution de l’arrêt n°13 du 9 mars ordonnant le sursis à exécution de la suspension de solde des magistrats grévistes. Pour l’autre décision (n°90), ayant encore voulu maintenir cette suspension de solde en dépit de l’ordre arrêté par la Chambre administrative, le SMM estime qu’elle « se trouve implicitement abrogée découlant même de cette exécution ». Bref, pour le SMM, « c’est le triomphe de l’Etat de droit ».
Néanmoins, ce syndicat tient à signaler que, « suite à son recours en annulation, il a déposé, hier, un mémoire additif soulevant une exception d’inconstitutionnalité tirée de la violation des articles 31 et 33 de la Constitution, conformément à l’article 122 alinéas 2, 3, 4 de cette même Constitution ». Les dispositifs de ces articles sont clairs : « l’Etat reconnaît le droit de tout travailleur de défendre ses intérêts par l’action syndicale et, en particulier, par la liberté de fonder un syndicat. L’adhésion à un syndicat est libre » (art.31) et « le droit de grève est reconnu et s’exerce dans les conditions fixées par la loi ». Et l’article 122 (al.2, 3, 4) de la Constitution dispose que : « (…) si devant une juridiction quelconque, une partie soulève une exception d’inconstitutionnalité, cette juridiction surseoit à statuer et lui impartit un délai d’un mois pour saisir la Haute Cour Constitutionnelle qui doit statuer dans un délai d’un mois. De même, si devant une juridiction quelconque, une partie soutient qu’une disposition de texte législatif ou réglementaire porte atteinte à ses droits fondamentaux reconnus par la Constitution, cette juridiction surseoit à statuer dans les mêmes conditions qu’à l’alinéa précédent. Une disposition déclarée inconstitutionnelle cesse de plein droit d’être en vigueur. La décision de la Haute Cour Constitutionnelle est publiée au journal officiel ». En clair, ce différend, opposant le SMM à l’Etat, commence à gravir des échelons judiciaires de haut lieu.
Recueillis par Rolly M.
Madagate
18/03/05
Quatre journalistes devant la barre -
Les procès contre les journalistes continuent au palais de justice Anosy. Hier, quatre de nos confrères ont été appelés à la barre suite à des plaintes déposées par une société privée et un inspecteur d'Etat pour diffamation publique par voie de presse. Tout d'abord, vers 14 heures et demi, trois responsables du journal "Ngah" et le directeur de publication du quotidien "La Gazette", Lola Rasoamaharo sont traduits devant le tribunal de première instance d'Antananarivo, suite à une plainte de la société "Prime View", une entreprise franche basée à Andranomena. Nos confrères ont rapporté dans leurs colonnes le mauvais traitement infligé aux employés de cette zone franche. Certains journalistes ont recueilli des témoignages des victimes dont un membre du syndicat Fisemare. Ce dernier n'a pas été cité comme témoin, mais il fait partie des inculpés. Ce reportage accablant n'a pas plu aux patrons de cette entreprise franche, raison pour laquelle, ils ont porté l'affaire devant la justice. Mais, faute de convocation officielle de certains de nos confrères, l'affaire a été renvoyée pour le 5 avril prochain.
Le deuxième procès contre la presse a été celui qui oppose Rakotomalala B., inspecteur d'Etat de fonction contre le journal "La Gazette de la Grande Ile". Ce quotidien a rapporté l'incarcération à la prison centrale d'Antanimora d'un inspecteur d'Etat en service au ministère de l'Intérieur pour corruption active. En fait, il ne s'agit pas d'un inspecteur d'Etat mais d'un inspecteur du ministère de l'Intérieur. Le chef d'inculpation a été retenu et il a écopé d'une peine de deux ans d'emprisonnement ferme. Se sentant diffamé, M. Rakotomalala a déposé une plainte contre "La Gazette" pour diffamation publique. Bien que la partie civile ne s'est pas présentée lors de l'audience d'hier, les débats se sont déroulés normalement. Comme à l'accoutumée, le ministère public a demandé l'application de la loi conformément au délit de presse. Maîtres André Randranto et Radson ayant assuré la défense de notre confrère de "La Gazette", ont insisté que l'article incriminé n'a pas mentionné le nom de l'inspecteur d'Etat alors qu'ils sont deux en service à la "Patte d'Eléphant" Anosy. D'ailleurs, bien que le journaliste n'ait pas dévoilé le nom de sa source, il a tenu à souligner qu'il a eu cette information auprès d'une source officielle, c'est-à-dire d'un responsable de la prison d'Antanimora. Bref, le journaliste a fait convenablement son boulot. A noter que trois organes de presse, à savoir "Madagascar Tribune", "La Gazette de la Grande Ile" et "Telonohorefy" seront de nouveau convoqués devant la barre cet après-midi suite à une plainte déposée par le Directeur général de la société "Seimad". Les journalistes se pencheront certainement sur ce sujet lors de leur journée de retrouvailles, de réflexion et de solidarité, prévue ce samedi à
Andoharanofotsy.
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Des projets d’élevage à grande échelle -
Aquaculture en eau douce: Des projets d’élevage à grande échelle
Un vent de panique souffle sur l’industrie de la pêche maritime et de l’aquaculture industrielle de crevettes suite au passage de l’Office alimentaire et vétérinaire (OAV) de l’Union européenne. L’enjeu est certainement de taille car un éventuel embargo européen des produits de Madagascar serait une catastrophe pour le pays. En effet, l’aquaculture de crevettes a généré en 2003 des recettes de 59 millions de dollars selon les données du ministère de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, ce qui représentait 21% du PIB. L’aquaculture en eau douce n’affiche pas encore les mêmes performances mais ses acteurs vont faire un grand bond en avant. D’ici 2006, des projets d’élevage de grande envergure de poissons d’eau douce fourniront leur première production dans les Régions de Bongolava et de Betsiboka.
Les contacts avec ces Régions et les investisseurs sont concluants selon Léon Rakotomamonjy, président de l’Association professionnelle des aquaculteurs continentaux de Madagascar (APAM). Tout récemment, une descente sur terrain a permis d’identifier les sites et concrétiser l’implantation des projets. Afin de faciliter la tâche aux investisseurs, les Régions assureront la garantie foncière. L’APAM se réjouit aussi de la volonté politique du ministère de développer l’aquaculture continentale. « Le développement du secteur n’est plus limité aux associations et autres organismes de recherche. Le ministère y prend maintenant part en créant le Comité de développement du tilapia à Madagascar. L’APAM est membre de ce comité ».
La maîtrise de production ne pose plus problème. Mais c’est seulement cette année que des opérateurs privés commencent à installer des grands bassins d’élevage. Il y a des investisseurs nationaux mais aussi des étrangers. Le retard s’explique par la crise de 2002 et par les difficultés économiques de 2004. La production de poissons d’eau douce sera pour le marché local où le potentiel est encore immense. Les données du ministère montrent que les 2.500 tonnes de produits aquacoles d’eau douce répondent seulement à 2,8% de la consommation nationale. D’ailleurs, l’exportation exige encore d’autres conditions difficiles et probablement onéreuses. Or, 50% du coût d’exploitation sont déjà engloutis par l’alimentation. Et il n’y a pas que le coût, l’alimentation trouvée sur place n’est pas toujours disponible. L’importation est une alternative non envisageable, elle coûte plus cher.
Selon Léon Rakotomamo-njy, la réussite de l’aquaculture continentale dépend de ce volet alimentaire où le coût devra baisser sensiblement. Il faut un système de production au coût compétitif et débouchant donc sur des produits de qualité. Sinon, l’aquaculture sera fortement concurrencée par la pêche. Dans la stratégie pour le développement durable de l’aquaculture, le ministère estime que dans le volet aliments, le gouvernement devrait stimuler les initiatives locales de fabrication à travers la réduction ou l’exonération des taxes sur les machines importées et sur les ingrédients de base, assurer la qualité des aliments par des inspections et des certifications alimentaires, etc. Les opérateurs du secteur attendent maintenant la concrétisation de cette stratégie.
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Sobika
17/03/2005
Madagascar: limogeage de six chefs de région auteur : XINHUA
Six chefs de régions sur les 22 sont limogés et remplacés mardi soir, selon un communiqué reçu mercredi. A la suite des évaluations du résultat du test de six mois prévu par le président de la République, Marc Ravalomanana, le conseil des ministres a donc décidé de remplacer ces six chefs de région jugés les moins bien notés. On ignore pour le moment sur quels critères, les notes ont été établies mais il s'agirait pour les chefs de région d'être jugés sur leur capacité de se poser en tête de file, leadership, de gérer les activités de la région et d'avoir un sens pointu de l'initiative.
La réélection du chef d'Etat dépendra en grande partie de leur réussite et de leur efficacité. Ils seront chargés de superviser les chefs de district chargés d'organiser les élections et toutes les actions de développement de proximité se trouvent entre leurs mains.
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