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a les yeux braqués sur Madagascar ...
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Big News...
Une
grande première à la RNS : le kabary malagasy (Madagate)
Les kabary, discours traditionnels, tiennent une place particulière dans la vie des malgaches. Il n'y a pas un événement important ( mariage, funérailles, retournement des morts, réunions politiques…) qui ne soit précédé d'un ou de plusieurs kabary, véritables joutes oratoires entre différents intervenants. Les plus importants sont ceux prononcés par les monarques et ceux des demandes en mariage qui peuvent durer des heures.Les kabary sont nés avant l'arrivée de l'écriture à Madagascar, d'où l'importance du lovantsofina (tradition orale) dans sa transmission.
ll est utilisé pour expliquer, pour persuader et pour condenser des idées. Pour permettre leur mémorisation, le mpikabary (orateur) fait appel à des expressions ou citations qui ne se confondent pas avec le langage commun mais restent toutefois assez accessibles....
en
savoir + >>
ou
sur Fomba
malagasy sur rainizafimanga.COM >>
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Tribune
26/03/2005
Détenus politiques de 2002 et mort du général Boba
: Didier Ratsiraka interpellé
La mort du général Boba a provoqué des remous au sein des familles des détenus politiques de la crise 2002. Chose curieuse, le nom de l'amiral Didier Ratsiraka était plusieurs fois évoqué quelques heures après la mort de ce général accusé d'avoir fait sauter des ponts pendant le moment chaud de la crise. En effet, si les uns reprochent à l'amiral d'ignorer depuis son installation à Paris le sort des détenus politiques de la crise 2002, les autres font constater que les officiers impliquées dans l'affaire 2002 se sentent complètement abandonnés seuls en prison alors qu'ils n'avaient exécuté à l'époque que l'ordre du chef suprême des Forces Armées. Certains vont même jusqu'à évoquer le nom du militant nationaliste Monja Jaona qui, à son époque, avait eu la bravoure de dire : "Liberez tous ces détenus politiques et laissez-moi entrer en prison car c'est à cause de moi que ces gens sont là !"
A noter que l'ancien gouverneur de Toamasina Lahady Samuel et celui de Mahajanga Razafindehibe Etienne Hilaire, deux personnalités qui étaient fidèles jusqu'aux dernières minutes à l'amiral Didier Ratsiraka, se trouvent actuellement dans un état de santé très critique.
La
Gazette 24/03/2005
Salon de thé « La Marquise »: Sophie Ratsiraka expulsée !
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Sophie Ranaivo, née Ratsiraka, a refait hier
surface dans l’actualité. Plutôt en mauvaise part, car elle apparaît dans une décision du Tribunal de première instance
d’Antananarivo qui l’expulse de l’immeuble La Marquise, sis au 96 de
l’Avenue du 26 Juin, dans la capitale. La fille de l’amiral est tout simplement chassée du salon de thé La Marquise qu’elle avait géré de longue date à
Andohan’Analakely. Depuis sa fuite précipitée vers la France, en juillet 2002, suite à la crise de cette année-là, c’est la première fois que Sophie Ratsiraka fait parler d’elle. A son corps défendant, il est vrai…
Il semble qu’en raison de l’absence prolongée de Sophie Ratsiraka, le loyer de La Marquise n’a pas été honoré. Plutôt que de reprendre de son propre chef le local abandonné, le propriétaire a voulu donner une forme légale à l’opération. Il a donc esté en justice et a obtenu gain de cause. Dans les prochains jours, on s’attend à voir un huissier se présenter sur les lieux et déménager le mobilier et les effets du salon de thé. Qui reprendra ces meubles ? On est curieux de savoir qui est le mandataire légal de Sophie Ratsiraka au pays…
Diplômée de physique-chimie de l’université de Paris VI, Sophie Ratsiraka, âgée aujourd’hui de 38 ans, n’a jamais été attirée par la
carrière de fonctionnaire. |
Et ceci, contrairement à ses aînées qui, profitant de leur patronyme influent, prirent en charge de hauts emplois de l’Etat. Olga Ratsiraka fut conseiller d’ambassade à Washington tandis qu’Annick fut conseiller technique au ministère de
l’Aménagement du Territoire, mais Sophie s’orienta vers les « affaires ». Elle ouvrit La Marquise, salon de thé qui devint vite le lieu de rendez-vous de la jeunesse dorée ratsirakiste, puis lui ajouta une succursale sous les arcades de l’immeuble Fiaro à
Ampefiloha.
En 1989, alors que l’étoile de son père était à son zénith, elle s’est unie lors d’un mariage à grand spectacle au Palais
d’Iavoloha à Mamy Ranaivo, cadre du groupe d’assurances Fiaro. La dame opéra ensuite dans l’immobilier et eut dans ce domaine des démêlés retentissants dont la presse fit ses choux gras. Il est certain que les frasques de Sophie Ratsiraka de ce temps-là ont contribué au déclin de la popularité de l’amiral. En tout cas, conseillère occulte et inspiratrice agissante de son père, elle fut pour beaucoup dans l’orientation de la stratégie des ratsirakistes en 2002. On l’a vue d’ailleurs, à
Toamasina, revêtir un uniforme militaire lors de la crise de 2002 pour accroître son ascendant auprès de ses troupes et pour mieux les galvaniser.
On met sur son compte le durcissement du camp ratsirakiste quant au maintien du barrage de Brickaville, et elle fut d’ailleurs plus tard condamnée par la Justice pour ses agissements à visées génocidaires. C’est dire que très peu s’apitoieront sur son sort à la suite de l’expulsion qui la frappe.
En tout cas, dans la capitale, les immeubles et résidences dont elle passe pour la propriétaire connaissent un destin curieux. Ainsi, les locaux de La Marquise à Andohan’Analakely et à
Ampefiloha, après une longue fermeture, lui ont été enlevés. La villa de Mangarivotra-Faravohitra a été reprise par l’Etat et est devenue le siège de la Chaîne Pénale Anti-Corruption. La maison ronde d’Anosy, bâtie derrière le ministère de
l’Aménagement du Territoire, a été démantelée petit à petit et pièce par pièce par les voleurs de matériaux de construction et a finalement été rasée par l’administration. Une décadence qui est à l’image de la notoriété d’une famille naguère toute-puissante…
A.R.
Jeune
Afrique 24/03/2005
Confirmation de la candidature de l'ancien vice-PM Rajaonarivelo aux présidentielles
MADAGASCAR - 21 mars 2005 par XINHUA
Le parti d'opposition Arema (Action pour la renaissance de Madagascar) a confirmé la candidature annoncée de l'ancien vice-Premier ministre malgache, Pierrot Rajaonarivelo, aux présidentielles prévues en 2007, a rapporté lundi la presse locale.
Ce week-end à Toliara, ville située à quelque 1 000 km au sud d'Antananarivo, les assises nationales organisées dans le cadre de la célébration du 29ème anniversaire de l'Arema ont désigné son actuel secrétaire national Pierrot Rajaonarivelo, actuellement en exil à Paris, comme candidat du parti aux prochaines échéances électorales. L'intéressé a déjà annoncé cette candidature.
Cependant, faute d'amnistie, M. Rajaonarivelo ne pourra jamais mettre ses pieds dans son pays natal car il fait face à des accusations portées contre lui par un tribunal d'Antananarivo.
Madagascar abritera un séminaire des femmes parlementaires de l'océan Indien en avril
MADAGASCAR - 24 mars 2005 - par XINHUA
Madagascar abritera le séminaire des femmes parlementaires francophones de l'océan Indien du 6 au 8 avril prochian à l'Assemblée nationale à Antananarivo, auquel 27 participants assisteront, a-t-on appris jeudi de source officielle.
Le thème sera basé sur "l'élimination de la discrimination sous toutes les formes à l'égard des femmes". Trouver ensemble des solutions pour éradiquer cette ségrégation féminine est l'objectif majeur du séminaire. Cette réunion sera une aubaine pour la partie malgache de faire connaître son vécu en matière de discrimination, d'échanger des informations et expériences entre "femmes élues".
On relève au total 20 parlementaires malgaches de sexe féminin, dont dix députés et autant de sénatrices. Minoritaires, elles ont décidé de se regrouper et d'adhérer au réseau des femmes parlementaires.
Sobika.Com
25/03/2004
Madagascar:
Commémoration du 29 Mars 1947 : communiqué de TIM france
FIANTSOANA
Ho fankalazàna ny andron'ny 29 Marsa 1947, ahatsiarovantsika ireo mahery fo lavo nandritry ny fikomiana sy ny ady anaty akata tamin'ny mpanjanan-tany, dia hanao hetsika tafa sy dinika ary teny vavolomobelona ny fikambanana Tim France, ny takarivan'ny talata 29 Mars 2005 ho avy izao. Ny toerana hanantanterahina izany dia ao amin'ny
FIAP
30 rue Cabanis
Paris 14ème Métro Glacière
Hampitaina amintsika tsy ho ela ny ora fiatombohany Koa dia manentana antsika rehetra sahady hanokana io vanim-potoana io ary manantena ny fahatongavan'ny maro.
Misaotra Tompoko.
Ny birao mpikarakara ny Tim France
INVITATION
A la mémoire de nos vaillants combattants tombés sous les armes durant les évènements du 29 Mars 1947, l'association Tim France organisera une soirée de commémoration le mardi 29 mars 2005 au :
FIAP
30 rue Cabanis
Paris 14ème Métro Glacière
A cet effet, nous aurons l'occasion de partager les souvenirs et les témoignages de certains intervenants. En attendant de vous communiquer l'heure, nous vous invitons déjà à retenir ce moment et souhaitons une participation massive de votre part.
Avec nos remerciements.
Le bureau du Tim France
auteur : TIM Fr
Reportage
culturel à Ambohimanga
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"Les
'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
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Wanadoo.mg
25/03/2005
Politique : deuxième réunion des partisans de la conférence nationale
Les groupements politiques partisans de la réconciliation et de la conférence nationale se sont réunis pour la seconde fois, mercredi, à Antananarivo pour discuter de la réalisation d'une conférence unique.
Ils étaient une soixantaine à se réunir pour définir les grandes lignes de la conférence nationale. Un communiqué conjoint a été publié au terme des discussions et des échanges de points de vue. Le CRN dirigé par l'ancien président Albert Zafy, le groupe parlementaire SPDUN et le RFN ont convenu de fixer un certain nombre de thèmes à débattre au cours de la conférence nationale.
Pour des raisons de divergence de point de vue, la conférence nationale, on le sait, ne verra pas la participation du parti au pouvoir. Seuls les groupements politiques de l'opposition y participeront. La conférence est censée déboucher sur des résolutions portant sur les thèmes débattus au cours de la rencontre. Il s'agira, en définitive, d'une prise de position des partis politiques de l'opposition sur la situation socio-politique actuelle de la Grande Ile.
©MATERA
TRIBUNE
24/03/2005
CUA
: Les trains de banlieue sont là
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Ce n’est plus un rêve. Voir un train reliant le centre ville à certains quartiers de la capitale comme
Soanierana, Mandroseza, Tanjombato, Alarobia et même Ivato sera bientôt une réalité. Les trains de banlieue sont arrivés.
Deux rames ont été réceptionnées hier à la Gare de Soarano. La cérémonie a vu la présence du maire Patrick
Ramiaramanana, et du chargé d’affaire suisse, Benoît Girardin.
Ces trains de banlieue proviennent de la Suisse. Il s’agit d’un don de " Forchbahn ", une Compagnie de chemin de fer de la Ville de Zurich pour la Commune urbaine d’Antananarivo. 8 autres rames viendront dans les mois à venir. 4 d’entres elles attendent déjà leur embarquement dans le port de Bâle (Suisse).
En plus de ce matériel roulant, 32 roues neuves de remplacement pour locomotives et 32 roues pour remorques, un lot important de rails, 6 000 traverses métalliques avec tous les matériels de fixation vont venir. La valeur totale de tous ces matériels s’élève à 2 millions euros Ar 5.000.000 000.
Le problème auquel fait face la CUA est l’acheminement de tous ces matériels. Selon Frank W. West, technicien suisse, il |
faut prévoir jusqu’à 348. 000 euros pour les frais de transport. Face à ces situations, Patrick Ramiaramanana a lancé un appel à tout ce qui peut contribuer pour financer ces différents coûts.
Des sociétés ont déjà confirmé leur engagement. Parmi elles, on peut citer Holcim, Société générale de surveillance, Soredim, Entreprise Sara Construction.
Un autre problème à résoudre, c’est la "diélisation" de tous ces trains urbains. A signaler que ces trains sont des trains électriques. Il faut les « transformer" en moteur diesel pour être utilisés à Madagascar. Ces travaux nécessitent un fonds. Frank W. West avance 60.000 euros à 80.000 euros par locomotive..
On a appris qu’une vingtaine de sociétés internationales et nationales ont déjà répondu à l’Appel à manifestation d’intérêt. Une liste restreinte de 6 sociétés a été retenue pour le côté technique, et 6 sociétés pour le côté institutionnel/organisationnel.
A part cela, la réhabilitation des voies ferrées devra être effectuée.
En raison de l’importance des travaux à réaliser, le maire n’a pas encore fixé la date à laquelle ces trains de banlieue seront mis effectivement sur les rails. "Nous le verrons ultérieurement" s’est-il contenté de dire.
Les
Nouvelles 24/03/2005
Tana-banlieue aura son “tram-train” pour résoudre les transports suburbains
Ce ne sera pas tout à fait un tramway et pas tout à fait un train. Une version aménagée en propulsion diesel (... pollution ?) d'un vrai “tram” zurichois, grâce à une coopération entre la CUA et les chemins de fer suisses. Avant que le “tram-train” n'aille jusqu'à
Ivato, prévu en 2006, les localités suburbaines dotées de rails et qui ne voyaient jamais passer le train seront desservies dès que le contrôle des voies aura été fait. Il s'agit de Mandroseza, Tanjombato, Ambatofotsy. Qu'on se rassure : rien n'est prévu avenue de l'Indépendance...
Le train urbain est arrivé !
On en a parlé, on pensait que c'était un rêve. Le train urbain annoncé par le maire Patrick Ramiaramanana devient réel. Hier, à la gare de Soarano, c'était une cérémonie de présentation des wagons. Dans quelques jours, le train va quitter la gare pour rejoindre les zones suburbaines, Mandroseza, Tanjombato, Ambatofotsy et Ivato.
La cérémonie d'hier a été consacrée à la réception des deux premières rames. Elles se composent chacune d'une locomotive et d'une remorque pouvant transporter 250 passagers à la fois. Quatre autres rames attendent leur embarquement dans le port de Bâle, et un complément de trois autres rames suivra en 2005 et 2006. Donc, le train partira bientôt. « Un rêve qui se réalise », selon les propres termes de l'ambassadeur suisse, venu aux côtés du maire de la capitale et de plusieurs personnalités pour cet événement à marquer d'une pierre blanche.
Grâce à l'initiative de la Cua et sous les auspices de la Chambre de commerce et de l'industrie Suisse-Madagascar, « le Forchbahn », compagnie de chemin de fer de la ville de Zurich en Suisse a fait don à la Cua de ce projet de train urbain.
D'autres matériels sont également disponibles, entre autres, 32 roues neuves de remplacement pour locomotives et 32 roues neuves pour remorques. A ceux-ci s'ajoutent un lot important de rails, traverses métalliques et matériels de fixation en provenance du réseau de solidarité des chemins de fer suisses afin de réhabiliter les voies sur le réseau Antananarivo.
2 millions d'euros
La valeur des rames et des matériels s'élève à 2 millions d'euros. Pour couvrir le coût de transport total de Zurich à Toamasina de 348.000 euros, un appel a été lancé en direction du secteur privé pour des contributions sous forme de partenariat financier/sponsoring. Beaucoup ont déjà confirmé leur engagement, entre autres, Holcim, SGS, Soredim, Entreprise Sara. Les noms de toutes les sociétés participantes seront gravés sur une plaque commémorative qui sera rivetée dans chaque wagon, et chaque société aura le droit d'apposer son logo ou une annonce publicitaire sur les flans des wagons.
La première ligne mise en route sera Soarano-Soanierana, et ultérieurement Soanierana-Mandroseza, Soanierana-Tanjombato-Ambatofotsy, et Soarano-Alarobia. L'ambition finale est de poursuivre ensuite d'Alarobia sur Ivato afin de relier l'aéroport international au centre-ville par train urbain.
Une étude de faisabilité financée par la Banque mondiale est en cours. Une vingtaine de sociétés internationales et nationales ont répondu à l'appel de manifestation d'intérêt et une liste restreinte de 6 sociétés a été retenue pour le côté technique, dont la diésélisation des locomotives, 6 autres pour le côté institutionnel et organisationnel. Les résultats de ces études seront disponibles en septembre ou en octobre 2005.
La Cua possède la volonté politique d'aboutir à ce projet grâce aux dons de matériel suisse. La réhabilitation des voies de la capitale pourra démarrer prochainement afin que le train urbain puisse être opérationnel dans les plus brefs délais.
Pour toute information utile, voici l'adresse email : fwest@aricia.fr
F.R
EXPRESS
25/03/2005
Détenus de 2002 - Décès du général Boba
Le général Boba. Condamné pour complicité de destructions de ponts lors de la crise-postélectorale de 2002, ce gendarme de carrière a écopé 10 ans de prison ferme en 2003. Cet événement renforce le CRN dans sa démarche exigeant la réconciliation nationale.
Père de six enfants, le général Boba a été emporté par la maladie qui l’a minée depuis longtemps : le diabète. L’on sait qu’il a également été atteint de la goutte, de tension et du rhumatisme "maladies qui se sont accentuées depuis sa détention", a confié un de ses enfants.
Parmi les détenus de l’affaire 2002, le général Boba est le troisième officier à trouver la mort après le colonel Randrianarisoa et le commandant Botomora. Emprisonné en octobre 2002, il a été hospitalisé depuis mai 2003. Après la disparition du général Boba, il reste encore 46 détenus issus des événements de 2002. Les autres prisonniers ont déjà recouvert la liberté après une série de grâces de la part du président Marc
Ravalomanana.
Réconciliation nationale.
Coïncidence ou non, la mort de ce général de brigade de la Gendarmerie ravive les mémoires et remet sur le tapis cette crise née d’une contestation de résultats d’élections. Elle a été amplifiée par la condamnation à dix ans de travaux forcés mardi de Rakotomalala Henri dit Riribe, leader de l’association "Zatovo", un groupement pro-Didier Ratsiraka à l’époque de la crise de 2002.
Ajouté à cela la confirmation de la conférence nationale à laquelle le CRN prend part. L’équipe de l’ancien président Zafy Albert a "exigé" la concertation autour du thème ayant des ramifications avec les événements de 2002. Raison d’être du mouvement, la réconciliation nationale "demandée" par la crise de 2002 vient d’être remise au goût du jour par l’acceptation des initiateurs du projet de conférence unique comme thème à débattre lors de ce rendez-vous.
Le général Boba fait parti des éléments qui a eu le malheur de se trouver dans le camp de l’amiral Didier Ratsiraka. La contestation du camp du candidat Ravalomanana des résultats des élections présidentielles du 16 décembre 2001 a conduit à une crise sans précédent. Des barrages à l’entrée des provinces ont été mis en place en réplique des manifestations sur la Place du 13 mai.
Les pro-Ravalomanana ont ensuite mis en place un élément de pacification les "Zanadambo" pour évacuer les barrages. Après le départ de l’ancien chef de l’Etat le 5 juillet 2002 pour la France, ses partisans ont fait l’objet d’arrestation, de jugement et d’emprisonnement.
Ayant travaillé au Toby Ratsimandrava, le général Boba a été détaché en janvier 2002 par le gouvernement de Didier Ratsiraka à Mahajanga. Il a été responsable de la circonscription régionale de la gendarmerie et de l’Emmo-Far, en compagnie du général Polycarpe.
Après l’arrivée des "réservistes" dans la Cité des Fleurs en février, le général Boba a pris la fuite. Il a été arrêté à Brickaville le 12 juillet 2002 puis incarcéré le 19 de ce mois, puis condamné en octobre de la même année. :
Iloniaina A.
Madamaki.com
25/03/2005
Le tourisme à Madagascar, de Nosybe à Nosy Boraha, est la passion de votre madamaki
Succès de la destination Madagascar au Salon mondial du tourisme à Paris

Madame
Edmondine Ramaroson FHORM, Nônô madamaki.com et Madame Irène
Andreas Directeur exécutif de l'Office National du Tourisme |
Le 30éme Salon mondial du tourisme a ouvert ses portes jeudi 11 mars à Paris porte de Versailles pour quatre jours.
Madagascar a participé avec un grand stand national portant le numéro : 6A114 et plusieurs représentants de l'offre touristique destinée au marché français.
Sont notamment présents à ce Salon, un des plus grands rendez-vous mondiaux des professionnels du secteur, le directeur exécutif de
l’Office National du Tourisme de Madagascar, Madame Irène Andreas
Randrianjafisolo, ainsi que le directeur des normes et de la promotion auprès du ministère de la culture et du tourisme malgache Monsieur Rakotoseheno Marcel.
Cette manifestation, véritable salon du voyage à l'étranger, regroupe l'essentiel des destinations proches ou lointaines, au travers des offices nationaux ou régionaux du tourisme, des tours opérateurs généralistes ou spécialistes, des croisiéristes, réseaux d'agences de voyages, éditeurs de guides et de cartes touristiques.
Les différents opérateurs s'accordent sur le succès de l'Egypte, du Maroc, de l'île Maurice , un retour de la Turquie, la Croatie est très demandée pour l'été.
En destinations lointaines, les opérateurs citent un engouement pour les Caraïbes et Madagascar, et d'une partie de l'Asie, notamment le Vietnam. |
Cette tendance haussière est confirmée par les agences de voyages qui indiquent que les départs cette année se font de plus en plus vers des destinations comme l’île Maurice, République Dominicaine et Madagascar.
Le stand malagasy, regroupant l’Office National du Tourisme, l’Office Régional du Tourisme de Mahajanga, Maderi-tour (Mahajanga), Aventour, Jacaranda de Madagascar, Comptoir de Madagascar, Amy Travel (Toamasina) était le seul animé en temps réel par un artiste médaillé d’or au Chamionnat du monde d’harmonica Jean Emilien, a mis en valeur la grande diversité géographique, climatique et culturelle qu’offre Madagascar au visiteur.
Madagate.com
25/03/2005 La RNS fête ses 30 ans avec les associations Kabary, Chants, Danses, Poésies…
Conçues par des associations, des jeunes membres, des artistes. Le samedi 26 Mars 2005 à 22 heures au Palais des Sports
Une occasion de vibrer ensemble avec les amis, les familles, les sportifs en profitant du spectacle offert par les associations venues de toute la France :
Raggasy, Taratra, Sakay, Samy Club, Lalao mahafinaritra, EFA, Idem Lemuria, Corps enseignant…
Venez admirer nos jeunes talents et (re)découvrir nos artistes, retrouver nos valeurs.
Une grande première à la RNS : le kabary malagasy, avec la participation de Augustin
Andriamananoro.
Rendez-vous au Palais des sports (près de 3000 places) pour se retrouver après les premiers matchs, dans une ambiance détendue et chaleureuse. Avec des artistes de renom tels que Dodol, Sunrise, Espera, Andrian, Milon et d'autres vedettes surprises.
Soirée gratuite animée par Antso, Fano et Kekely.
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