MadaVôvô 2010

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Les Titres de MadaVôvô du 26 février 2010 

BigNews: Tennis à Dubaï: forfait de Roger Federer...

L'Edito: « Mino aho ve ianao ? Who is Fredy Jaofera ?...  »     ( ...  )

1. De la Patagonie à Madagascar, la renaissance annoncée du Zoo de Vincennes (france24) ( ...  )

2. Madagascar : la Banque centrale vend des devises (lesafriques) ( ...  )

3.Interpellation sur les elections: Manorohanta réplique à Ratsiraka (express) ( ...  )

4. GIC-M : J. Chissano prochainement à Madagascar (nouvelles) ( ...  )

5. Alakamisy Ambohidratrimo : Nirefotra ny basy sy ny baomba mandatsa-dranomaso (midi) ( ...  )

6. Devises: Un euro à plus de 3000 ariary  (nouvelles) ( ...  )

7. Education pour tous : 38 585 enseignants FRAM, subventionnés par l’UNICEF (tribune) ( ...  )

*. No Comment.... No Comment...  

8. Ra8 invite les parties prenantes à discuter de l'application des accords de Maputo (xinhua) ( ...  )

9. Andry Rajoelina prône l’ouverture (midi)  ( ...  )

10. DUMINASI RASHELENG : «Ra8 ne peut pas être extradé» (express) ( ...  )

11. Sanctions internationales : Beaucoup d’intérêts lésés pour la mouvance TGV (midi) ( ...  )

12. Le vice-amiral Hyppolite Ramaroson ministre des Affaires Étrangères (tribune)  ( ...  )

13. En cas d'application des sanctions : 77 personnes seront frappées (midi) ( ...  )

14. Trafic à Ivato: Onze lingots d'or saisis (nouvelles)  ( ...  )

... Le précédent MadaVôvô  22 fev 10  >>  ( ...  )

*. Mada : forte hausse des prix à la consommation en janvier (afriscoop) ( ...  )

26/02/2010

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary

EURO(cmp) 2.954.31 Ar 
USD 2.189.39 Ar 
GBP 3.380.97 Ar 
CHF 2.025.62 Ar 
JPY 24.32 Ar 
ZAR 281.52 Ar 
HKD 281.99 Ar 

Date Eur/Ar Date Eur/Ar
31/01 2945 31/12 2791
13/09/08 min:2290 26/10/09 max:3032

(Revues de presse plus bas !!! ... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...  ( ...   )


 

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Big News... Tennis à Dubaï: forfait de Roger Federer...             Les infos sportives du monde en permanence  >>

nouvelobs 22/02/2010 

Roger Federer forfait à Dubaï pour cause d'infection pulmonaire -  ( ATP, l'Association des joueurs de tennis professionnels)

Le champion suisse Roger Federer a déclaré forfait pour le tournoi de tennis de Dubaï, qui débute lundi, et sera indisponible deux semaines pour cause d'infection pulmonaire.

Le No1 mondial, qui a contracté son infection il y a quelques jours, ne devrait pas retrouver les courts avant le 11 mars au tournoi d'Indian Wells (Californie), ont précisé dimanche les organisateurs du tournoi ATP de Dubaï. AP
encadré: 
Quadruple vainqueur à Dubaï, Federer n'a plus joué depuis son sacre à l'Open d'Australie le 31 janvier. Il ne devrait pas rejouer avant le Masters 1000 d'Indian Wells en mars.

Roger Federer et Andy Murray à l'issue de la finale de l'Open d'Australie, remportée par le Suisse, le 31 janvier 2010 à Melbourne.  © AFP


*** Ny Fomba malagasy sur  rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >> 


« Mino aho ve ianao ? Who is Fredy Jaofera ?... »

        At first, nothing lets augur that Fredy JAOFERA can become a poet and besides in the Malagasy language. 
      
Indeed, from his childhood and in his youth, he knew many factors of blocking which would have been able to prevent him from making hatch his talent, in particular:

                - A problem of health
                 - The incapacity to master the Malagasy language because he was brought up in France with his small brother by his parents who were students in this country .

                - The premature death of her mother who brought him to live with his paternal grandparents in Madagascar in an environment where they spoke only in Malagasy .
                - The attitude of a lot of people who cannot understand that his brother and he were unable to communicate in Malagasy because the language of their childhood is French 
               - The numerous criticisms which aim at destabilizing him and underestimating him in his capacity to express his talent of writer and poet in Malagasy 
               - The mockeries, and the contempt of several persons who are persuaded that he has no talent, even if he is a descendant of poet 

       Nevertheless, in spite of all these difficulties Fredy JAOFERA never loses courage. He has even doubled effort and perseverance to be able to reach his objective and his desire to become a writer and a poet in the Malagasy language.

      So, he chose to frequent schools which lavished most of these educations in Malagasy. He fed with diligence of the literature and the Malagasy culture outside these periods, which allowed to fill his delay and to complete his level.

       In definitive, he has got his bet and he has reached:
               - To publish his works in various Malagasy daily papers ( Matin, Midi, Atrika, Tribune, Hehy) and in a magazine « Ny Mpamangy »(The visitons)    

                - To participate in television and radio programs (Feom-baliha Mamatonalina which declaimed poems )
               - To spread 8 collections of poems and 6 with the Association of the Poets and Malagasy Writers in France. It is a question of: 
· Teny roa " 2 words " · Nosy mamiko
" My loved island "  · Diavolana " Moonlight " · Iarivo " My city Antananarivo "   ...Lire la suite Cliquez-ici
                RAKOTOMALALA Eric de Paris

(Traductions de  L'Edito " Mino aho ve ianao...."  Eric Jaofera de Paris (fr & gb )

 Les Traductions :

Et encore et encore "nody ventiny ny rano nantsakaina", Eric a répondu à notre appel  pour publier des Editos maintenant à qui le tour? On vous attend edito men et edito women.               Merci d'avance!        ... Pour Envoyer un article ou Pour nous contacter >>         ... Lister  tous les Editos    


france24.com 26/02/2010

De la Patagonie à Madagascar, la renaissance annoncée du Zoo de Vincennes - AFP
De la Patagonie à Madagascar, le Zoo de Vincennes, situé dans l'est de Paris, renaîtra en six zones vivantes représentant autant de régions du globe, à l'issue d'un gigantesque programme de rénovation dont le coup d'envoi a été donné mercredi. 

L'ouverture des portes est prévue au printemps 2014.
Objectif affiché : passer du "cabinet de curiosité" à une mise en scène pédagogique des écosystèmes pour permettre au visiteur, en pénétrant dans des paysages, de mieux comprendre les interactions entre espèces, animales et végétales.
"Au lieu d'être présentés suivant les classifications de la science - très utiles mais qui sont une construction humaine - les animaux seront présentés comme on les trouve dans la nature : dans la savane africaine ou la jungle guyanaise", explique à l'AFP Bertrand-Pierre Galey, directeur général du Muséum national d'histoire naturelle.
Depuis sa création en 1934, le "parc zoologique de Paris", qui domine le bois de Vincennes, s'était considérablement dégradé et n'avait fait l'objet d'aucun travaux significatifs à l'exception du grand rocher artificiel en béton (65 mètres de haut), restauré en 1997, qui restera un repère central.
Après des années de tergiversations et de négociations chaotiques, la rénovation de ce zoo urbain de 14,5 hectares, fermé depuis fin 2008, a enfin être lancée mercredi avec la signature d'un partenariat public-privé entre le Muséum et le groupe Chrysalis.

Créé par un groupement d'entreprises mené par la Caisse des Dépôts, Chrysalis s'engage à financer, construire et entretenir ce zoo pendant 25 ans et recevra, en contrepartie, une redevance de 12 M EUR par an. Le montant total des travaux est évalué un peu plus de 130 millions d'euros.
Citant en exemple les zoos de Londres, Vienne ou Berlin, le ministre de la Recherche Valérie Pécresse a mis en avant un changement complet de logique. "Il ne s'agit pas de reproduire les zoos des années 30 dont le seul objectif était de divertir tout en montrant la puissance des Etats coloniaux", a-t-elle martelé.
Originalité du nouvel ensemble : la création d'une "zone Europe" qui accueillera loups, lynx, gloutons, mais aussi d'autres groupes moins spectaculaires - grenouilles, tritons, lézards ou serpents - pour illustrer le rôle crucial que joue de la "petite faune discrète" dans le tissu vivant de la planète.
Si les otaries et les manchots reviendront, certains animaux n'auront plus leur place au zoo de Vincennes : les éléphants et les ours, qui ont d'importants besoins d'espace et avaient déjà quitté les lieux il y a quelques années, ne reverront jamais la capitale.
A l'issue d'une longue période consacrée aux autorisations administratives, les travaux doivent débuter en septembre 2011. Les animaux, eux, devraient faire progressivement leur retour à l'automne 2013, pour se familiariser avec les lieux avant l'arrivée du public.
Depuis plusieurs mois, nombre de gros mammifères ont rejoint, avec l'aide de l'armée algérienne, le zoo d'Alger. Une trentaine de babouins de Guinée sont partis, eux, plus au Nord, prenant leurs quartiers dans le zoo d'Edimbourg, en Ecosse.
Seules les girafes - la cohésion de ce troupeau très prolifique a été privilégiée -, et le grand hapalémur - lémurien particulièrement fragile -, échapperont au traumatisme du déménagement et resteront dans Paris intra-muros pendant toute la durée des travaux.


lesafrique.com 26/02/2010
Madagascar : la Banque centrale vend des devises 
La vente de devises réalisée par la Banque centrale sur le marché interbancaire des devises (MID) a permis une certaine stabilité de la monnaie nationale, l’ariary, face à l’euro et au dollar. 
L’euro est passé de 2942 à 2953 ariarys durant le mois dernier, le dollar de 2117 à 2154 ariarys. 
« La dépréciation de la monnaie locale s’explique par la forte demande sur le marché. La Banque centrale est intervenue sur le marché du MID, par la vente de devises, pour compenser les excès de demande par rapport à l’offre », selon un cadre de la Banque centrale qui estime qu’il n’est pas souhaitable de poursuivre cette opération car elle risque d’épuiser les réserves en devises : « Grâce à la vente de devises, la monnaie pourrait se stabiliser dans un court terme. » 
Ces réserves sont actuellement estimées à 760 millions de dollars, soit 40 millions de dollars de moins par rapport à novembre 2009. 


Express Mada 26/02/2010
INTERPELLATION SUR LES ÉLECTIONS : Manorohanta réplique à Ratsiraka - Iloniaina Alain
Chaudes explications. Cécile Manorohanta, vice-Premier ministre chargée de l’Intérieur, répond à Roland Ratsiraka, vice-président de la Haute autorité de la transition (HAT) et président du Malagasy tonga saina, concernant les préparatifs des élections. 
« Je ne comprends pas l’attitude de Roland Ratsiraka. Il donne l’impression de s’auto-interpeller et de se placer dans le camp de l’opposition », a soutenu Cécile Manorohanta hier, à Anosy. Elle n’a pas été tendre envers le vice-président de la HAT concernant la gestion du dossier électoral.
Valse-hésitation
La vice-Premier ministre a ainsi décoché une flèche contre Roland Ratsiraka. 
« S’il y a quelque chose qu’il ne saisit pas, pourquoi ne vient-il pas demander des renseignements comme le font les autres ? », s’est-elle demandée avant de qualifier l’intervention du vice- président de la HAT de « show ». 
Roland Ratsiraka a effectué une fracassante sortie médiatique mardi. À son bureau à Anosy, il a demandé, par presse interposée, l’avancement des préparatifs des élections pour laisser entendre une certaine hésitation dans la prise de décision. Il se pose des questions sur la mise sur pied de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), l’organisation matérielle des consultations populaires comme pour le cas des papiers à utiliser pour la confection des bulletins uniques ou encore la convocation des électeurs. 
Cécile Manorohanta a profité de l’occasion pour faire le tour de la question électorale. « Les textes relatifs à l’organisation des élections, comme c’est le cas de la CENI, ou encore le code électoral, font actuellement l’objet de consultation tournante », a-t-elle avancé. À l’entendre, il reste à adopter les textes en conseil de ministres. « En tout cas, nous sommes prêts en ce qui concerne l’orga-nisation matérielle des élections », a-t-elle ajouté.
La vice-Premier ministre rappelle en même temps les attributions de son département et de la Commission électorale nationale indépendante. « Le ministère n’a rien à voir avec la gestion des bulletins uniques. C’est plutôt le rôle de la CENI », a-t-elle soutenu.
L’interpellation lancée par Roland Ratsiraka donne l’impression de renforcer la thèse de l’existence d’un dysfonctionnement entre l’Exécutif et la HAT.


Les Nouvelles 25/02/2010
GIC-M : J. Chissano prochainement à Madagascar - Nasolo R.
Selon des indiscrétions, le médiateur en chef de la SADC , l'ancien président mozambicain, Joaquim Chissano, devrait effectuer une visite en terre malgache prochainement. 
Il serait, à l'occasion, accompagné d'autres membres du groupe international de contact sur Madagascar (GIC_M). 
Pour autant, il s'agirait, a-t-on souligné, d'une mission d'évaluation de la situation et des éventuels développements du processus après la 5e réunion du Gic tenue à Addis Abeba le 18 février dernier à l'issue de laquelle il a été noté qu' «en cas de persistance de l'impasse actuelle, des organisations et des pays prendront, dans les semaines à venir, les dispositions qui s'imposent, y compris de nouvelles sanctions, à l'encontre de tous ceux qui font obstacle au processus de retour à l'ordre constitutionnel et ce, sur la base de leurs instruments juridiques pertinents et de leurs pratiques respectives». 
Ce déplacement interviendrait également après la réunion du conseil de paix et de sécurité (CPS) de l'UA qui a encouragé la poursuite des efforts déjà engagés pour surmonter les difficultés sur la base des propositions de solutions de compromis avancées par le président de la commission de l'UA, Jean Ping. 
A défaut d'avancée, cette visite pourrait aussi s'inscrire dans le cadre de l'application des sanctions prévues par le CPS qui, rappelons-le, a demandé à la commission de l'UA et à la SADC d' «établir la liste des individus et entités visés» et de «prendre toutes autres dispositions nécessaires» pour leur mise en oeuvre. 


Midi Mada 24/02/2010
Alakamisy Ambohidratrimo : Nirefotra ny basy sy ny baomba mandatsa-dranomaso -r.s.
Tamin’ny alakamisy alina, raha tsy nety nivoaka ny toeram-piasana ny mpiasa tao amina orinasa afakaba iray teny Alakamisy Ambohidratrimo, dia tonga teny an-toerana ny mpitandro filaminana nantsoin’ny tompon’ny orinasa namoaka azy ireo. Tsy nety niala anefa izy ireo satria misy ny resaka henony ny amin’ny fandefasana « chômage technique » ampahana mpiasa. 

Raha tsy nety niala toy izany izy ireo dia raikitra ny fanapoahana basy sy fandefasana baomba mandatsa-dranomaso. Raikitra ny fifanjevoana ary nisy tamin’ireo mpiasa ireo no nilaza fa voavely vodibasy sy voadaroka. Vokatr’izany dia efatra no naratra. Nisy ihany ireo nosamborina.
Araka ny fitantaran’ireo mpiasa tafaresaka taminay mikasika ny fandefasana “chômage technique” dia toa tsy nisy akory fampandrenesana mialoha natao azy ireo fa avy hatrany dia naorina ny “kanety”, ilay karazana karne fanombohanan’ny 

tomponan’adraikitra ny fahatongavan’ny mpiasa. Nanomboka teo no mailo ireo mpiasa ireo ary dia io nanapa-kevitra tsy hiala tao amin’ny orinasa io ary tsy hivoaka raha tsy mahazo fanazavana feno. Nanomboka tamin’ny 6 ora hariva, ny andron’ny alakamisy, nisy andiana mpitandro ny filaminana maromaro tonga tao amin’ny orinasa namoaka ireo mpiasa. Tsy nisy nihetsika ry zareo na dia nisy aza ny fampitandemana. Tamin’izay no raikitra ny fifanjevoana ary nisy mihitsy ny fifanenjehana hatrany ivelan’ny orinasa, araka ny fanazavan’ny mpiasa ihany. Omaly antaondro, tetsy andanin’izany, niezaka ny mpanao gazety nanontany ny tompon’andraikitry ny orinasa saingy voalaza fa tsy mbola afaka mandray mihitsy aloha izy ireo.
Omaly maraina dia tonga teny an-toerana ny kolonely Ravalomanana ary nitondra fanazavana mikasika ny toe-javatra. Nilaza izy fa nisy nitora-bato ireo mpitandro filaminana sy fisintonana ny basin’izy ireo ka izany no nahatonga ny fifanjevoana. Manaraka izany, araka ny filazan’ity tompon’anadraikitra ity ihany, nisy koa ny vaovao nilaza taminy fa nisy ny fanakanana ny lalam-pirenena faha-4 ka izany no nahatonga ireo miaramila teny an-teorana hanala izany sakana izany.
Hatramin’ny fotoana hanoratanay dia mbola tsy milamina mihitsy ny raharaha. Efa misy solontenan’ny avy ao amin’ny fanjakana tonga teny an-toerana nifampidinika tamin’ny andaniny sy ny ankilany. Toa tsy mbola nisy zavatra tapaka mihitsy anefa, araka ny vaovao voaray omaly hariva. Ireo mpiasa moa dia nanamafy hatrany omaly fa mitaky ny zony ara-bola raha tsy maintsy handeha.


Les Nouvelles 24/02/2010
DEVISES : Un euro à plus de 3000 ariary - Loïc Henintsoa
L'euro et le litre de carburant ont dépassé le cap des 3000 ariary. La conjugaison de la hausse des prix du pétrole avec la dépréciation de l'ariary a des conséquences importantes sur la vie économique du pays. 
L'euro, auprès de certaines banques primaires et des bureaux de change de la capitale, a dépassé le cap des 3000 ariary depuis quelques jours. 
En effet, la baisse de régime de l'euro face aux autres devises et principalement le dollar enregistrée il y a quelque temps n'a été qu'éphémère surtout pour la monnaie nationale. 
L'euro affiche actuellement un cours de plus de 2960 ariary sur le marché interbancaire des devises et le dollar continue également son ascension affichant un cours de plus de 2174 ariary. 
L'achat d'un euro à plus de 3000 ariary est une grosse difficulté pour les opérateurs locaux qui importent en majorité leurs matières premières ou leur produits cependant certains d'entre eux affirment que les difficultés de ce genre sont toujours présentes et que les opérateurs locaux se battent avec les mêmes outils et les mêmes handicaps depuis toujours. 
Les premiers impacts de la faiblesse de l'ariary se sont fait ressentir au niveau des prix des carburants qui résultent de la conjugaison de la dépréciation de l'ariary et de la hausse du prix du baril du pétrole sur le marché international qui avoisine actuellement les 80 dollars. 
Le duo infernal de la dépréciation de la monnaie nationale et de la hausse du prix du pétrole n'est pas de bon augure pour l'économie du pays. 
En effet, les prévisions pour cette année concernant le prix du pétrole annoncent un baril à plus de 90 dollars. Le dollar, principale devise utilisée pour l'achat de pétrole, continue également de distancer l'ariary qui tarde encore à reprendre son souffle. 
La dépréciation de l'ariary était prévisible depuis le début du mois compte tenu de la baisse des exportations depuis la fin de l'Agoa et la suspension des aides internationales qui contribuaient au renflouement des réserves de devises. 


Tribune Mada 23/02/2010
Education pour tous : 38 585 enseignants FRAM, subventionnés par l’UNICEF - Recueilli par Rakotoarilala Ninaivo 
À titre exceptionnel et pour être solidaire de la communauté internationale dans la politique de non reconnaissance de l’accès non conventionnel au pouvoir à Madagascar, la gestion d’une partie des fonds est dorénavant confiée à l’UNICEF. C’est ce qu’a décidé la communauté des contributeurs au fonds pour la mise en œuvre du plan éducation pour tous à Madagascar.
Le Plan Education Pour Tous (EPT) de Madagascar a été endossé par les partenaires de Madagascar sur l’éducation en 2008. Ce plan vise à terme une éducation de base de dix (10) ans pour tous les enfants de Madagascar. Plusieurs bailleurs internationaux se sont engagés à financer la réalisation de ce plan en contribuant au Fonds Catalytique de l’Initiative de Mise en Œuvre Accélérée de l’Education Pour Tous (IMOA-EPT), un partenariat international créé en 2002 entre des pays donateurs et des pays en développement pour que ces derniers puissent atteindre les objectifs du millénaire pour le développement en matière d’éducation.
Pour Madagascar, l’allocation de ce fonds, normalement géré par la Banque Mondiale, a été suspendue en 2009 dans l’attente d’une solution à la crise acceptée par l’ensemble de la communauté internationale. Toutefois, les partenaires de l’éducation à Madagascar se sont mobilisés pour qu’une partie des fonds catalytiques (15 millions USD) soit à titre exceptionnel transférée à l’UNICEF afin d’assurer quelques activités urgentes du plan EPT, y compris le paiement des subventions des 38 585 enseignants FRAM pour la période limitée de janvier à avril 2010. Il s’agit des enseignants FRAM qui sont normalement subventionnés par le Ministère de l’Éducation Nationale (MEN), suivant la répartition définie par ce même Ministère.
En confiant à titre exceptionnel la gestion d’une partie de ces fonds à l’UNICEF, les partenaires de l’éducation ont surtout montré leur souci de préserver les élèves du primaire des conséquences négatives de la crise et d’assurer la sécurisation des fonds à travers le financement direct aux bénéficiaires. La mission de l’UNICEF est de défendre les droits des enfants, d’aider à répondre à leurs besoins essentiels et de leur donner davantage d’opportunités de s’épanouir pleinement en toutes circonstances. À cette fin, l’UNICEF s’appuie sur les dispositions et les principes de la Convention relative aux droits de l’enfant, en vigueur à Madagascar depuis 1991. L’UNICEF continue à travailler dans l’ensemble du pays pour le bien-être, la survie, le développement et la protection de tous les enfants à Madagascar.


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2010 2010

xinhuanet.com 26/02/2010
Ravalomanana invite les parties prenantes à discuter de l'application des accords de Maputo - Xinhua

L'ancien président Marc Ravalomanana a invité les deux co-présidents de transition, Emmanuel Rakotovahiny (supporteur de l'ancien président Albert Zafy) et Fetison Rakoto Andrianirina(adepte de M. Ravalomanana), ainsi que le Premier ministre de consensus Eugène Mangalaza (disciple de l'ancien président Didier Ratsiraka) à se concerter en vue de l'application des accords de Maputo, a rapporté le journal local Midi.
Les dits accords de Maputo sont des consensus signés par le président de la Haute autorité de transition (HAT), Andry Rajoelina, avec les trois anciens présidents malgaches à Maputo en août 2009 pour diriger ensemble la transition.
Pourtant, M. Rajoelina a viré vers début décembre dernier les deux co-présidents de transition et le Premier ministre de consensus installés par les accords de Maputo, en raison de la difficulté de partage des sièges dans le gouvernement de consensus entre les quatre mouvances.
Les trois mouvances dirigées chacune par les anciens présidents demandent actuellement l'application des accords de Maputo, auxquels M. Rajoelina refuse de retourner. Il envisage de tenir des élections législatives en mai prochain pour mettre en place une assemblée constituante.
Dans un autre journal, l'Express, publié mercredi, Jean Lahiniriko, ancien président de l'Assemblée nationale du régime Ravalomanana et actuel vice-présidents de la HAT, a indiqué que la HAT est prête pour un gouvernement d'union nationale tout en mentionnant que la cohabitation entre les quatre mouvances, exigée par la communauté internationale, ne sera pas possible.
En effet, "il n'y aura jamais d'entente entre des mouvances aux approches aussi divergentes. D'où la nécessité d'organiser des élections législatives", a-t-il noté.
Pourtant, le président de la Commission de l'Union Africaine, Jean Ping, qui s'est rendu à Madagascar le 21 janvier dernier, a clairement donné la position de la communauté internationale qu'elle n'oppose pas à l'organisation des élections mais l'intention de la mouvance Rajoelina d'organiser unilatéralement ces élections.
Face à la pression internationale, la mouvance Rajoelina est actuellement en train de reprendre en cachette son contact avec les trois mouvances pour former un gouvernement d'union nationale, mais M. Zafy en personne ne veut participer ni aux élections ni au gouvernement proposé par M. Rajoelina, selon Midi.


Midi Mada 26/02/2010
Andry Rajoelina prône l’ouverture - Davis R
Dans sa déclaration à la Nation hier, le président de la Haute Autorité de la Transition, Andry Rajoelina a notamment annoncé la tenue d’une conférence nationale qui se tiendra les 04 et 05 mars prochain. 

Mises à part les différentes mouvances et forces politiques, les associations et organisations membres de la société civile sont également invitées à assister à cette concertation. « Nous sommes disposés à étudier toutes le propositions afin de rétablir l’ordre », a-t-il soutenu. Finalement, la « grande déclaration » annoncée par les proches d’Ambohitsorohitra était simplement une occasion pour le président de la HAT de répéter ce qu’il a déjà annoncé dans ses récentes interventions. Notamment, la nécessité d’organiser des élections libres, transparentes et démocratiques pour résoudre la crise politique qui prévaut actuellement et l’échec des négociations dirigées par le GIC, malgré les concessions faites par les mouvances en conflit. 
Menaces. « Le moment est venue de se lever et de trouver une solution de crise malgacho-malgache », a insisté le numéro Un d’Ambohitsorohitra. Et de laisser entendre que « nous n’accepterons pas les menaces qu’elles viennent de l’intérieur ou de l’extérieur ». Un message certainement adressé à l’endroit du Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union Africaine qui, à l’issue de sa réunion du 19 février dernier, a lancé une menace de sanctions contre les dirigeants de la HAT. Continuant sur sa lancée, le président de la HAT, Andry Rajoelina a exprimé la politique d’ouverture prônée par sa mouvance actuellement. Et d’annoncer que « pour l’intérêt supérieur de la Nation et pour concrétiser la cohabitation avec les autres mouvances, nous sommes prêt à mettre en place des Institutions ouvertes à toutes les Forces politiques ». 


Express Mada 26/02/2010
DUMINASI RASHELENG : «Ravalomanana ne peut pas être extradé» - Mahefa Rakotomalala 
Le chargé d’affaires et premier secrétaire de l’ambassade de l’Afrique du Sud s’exprime dans une interview exclusive sur la situation de l’ancien président Marc Ravalomanana.
Quel est exactement le statut de l’ancien président, Marc Ravalomanana, en exil en Afrique du Sud ?
– La présence de l’ancien président Marc Ravalomanana sur le sol sud-africain est prévue par le protocole de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC). L’Afrique du Sud n’a aucun rôle à jouer en tant que pays individuel. Elle est simplement le pays hôte en tant que membre de la SADC.
Mais pourquoi l’Afrique du Sud mais pas le Lesotho ou le Zimbabwe?
– C’est comme quelqu’un qui est face à plusieurs boutiques. Il est libre de choisir d’entrer dans l’une des boutiques. 
Étant donné donc son statut d’exilé, a-t-il une obligation de réserve comme dans d’autres pays?
– Comme je l’ai dit, l’accueil de l’ancien président correspond aux dispositions prévues par le protocole de la SADC. Il ne s’agit pas d’une décision de l’Afrique du Sud. L’Afrique du Sud, qui est un pays libre, ne peut rien imposer à Marc Ravalomanana qui jouit d’une totale liberté dans toutes ses activités. Il est également libre de faire des affaires, comme l’autorise la loi sud-africaine. 
On dit également qu’il a déjà la nationalité sud-africaine, est-ce vrai?
– Je ne suis pas au courant de cette information. 
Mais votre pays aurait pu refuser, vu que cette personnalité risque d’être encombrante…
– Non, nous ne pouvons pas refuser car en tant que membre de la SADC, nous sommes obligés de nous soumettre à ses règles. Et la présence de Marc Ravalomanana sur le sol sud-africain n’affecte pas du tout le processus de médiation. Notre seul objectif consiste à faire revenir la stabilité à Madagascar. Nos actions qui rejoignent celle de l’Union africaine et du Groupe international de contact (GIC) consistent à aider et accompagner le peuple malgache à retrouver cette stabilité.
L’Afrique du Sud accepterait-elle une demande d’extradition de Marc Ravalomanana par l’État malgache ?
– L’extradition se fait dans le cadre d’un accord entre deux pays. Dans le cas de Marc Ravalomanana, il ne peut pas y avoir d’extradition, étant donné qu’il n’y a même pas de contact officiel entre les deux pays, faute de reconnaissance internationale.
Il n’y a donc aucun intérêt sud-africain et de la SADC sur un éventuel retour au pouvoir de Marc Ravalomanana ?
– Il appartient au peuple malgache de choisir celui qui va présider la nation malgache. Notre rôle, avec le reste de la communauté internationale, consiste à aider ce pays dans la recherche de solution, de façon à ce que le peuple puisse choisir librement dans une élection libre et impartiale. Je répète que l’Afrique du Sud n’agit pas de manière individuelle en accueillant le président Marc Ravalomanana. Elle se soumet au protocole de la SADC.
Mais est-ce que les agissements de la SADC dans le processus de médiation ne semblent pas prouver le contraire ?
– C’est votre perception des choses. Les résolutions signées ont été prises sous la conduite du GIC dans lequel sont representées d’autres organisations comme l’Union africaine, la SADC et l’Union européenne. 
Concernant les sanctions, pensez-vous qu’une suspension de la liaison aérienne entre Madagascar et les pays de la SADC, ou l’envoi d’une armée sont des choses réalistes?
– Ce ne sont que des rumeurs et des allégations ou des discussions en apparté qui n’ont rien d’officiel. Après chaque réunion du GIC, il y a des communiqués officiels qui stipulent clairement la possibilité de sanction. Restons dans le cadre de ces communiqués qui sont des choses concrètes. 
Vous êtes donc prêts à travailler avec le futur président, du moment que la stabilité revienne à Madagascar ?
– Notre objectif consiste à faire revenir la stabilité à Madagascar. Comme je l’ai dit, il appartient au peuple malgache de choisir celui que va diriger son pays. Notre travail consiste à aider Madagascar, de façon à ce que le peuple puisse choisir librement et pour que la stabilité revienne.
Et si c’est un président anti-SADC mais pro-Comesa qui dirigera le pays ?
– À mon avis, la SADC et le Comesa ne devront pas être des organisations concurrentes. Au contraire, ils doivent être complémentaires. D’ailleurs, c’est le souhait de l’Union africaine, et certains pays aujourd’hui sont à la fois membres de la SADC et du Comesa. Les pays membres du Comesa devront donc pouvoir exporter vers la SADC, et ceux de la SADC vers le Comesa. 
Est-ce que l’Afrique du Sud ou la SADC octroient des ressources financières à Marc Ravalomanana ?
– L’Afrique du Sud ne donne rien à Marc Ravalomanana. Et je pense que vous devriez posez la question à la SADC.


Midi Mada 25/02/2010

Sanctions internationales : Beaucoup d’intérêts économiques lésés pour la mouvance Rajoelina
Economie : Une poignée de politiciens considérés comme étant à l’origine du blocage de la recherche de solution consensuelle vont être sanctionnés, mais les effets néfastes pourraient aussi s’étaler sur l’ensemble de la population.
La menace de sanctions brandie par la communauté internationale réussira-t-elle à persuader la mouvance Rajoelina afin qu’elle décide d’ici le 16 mars de revenir à la table de négociations ? En tout cas, ces sanctions qui s’appliqueront léseront considérablement les intérêts des personnalités concernées et qui, selon la résolution du Conseil de paix et de sécurité de l’Union Africaine, font obstacle aux efforts de l’UA et de la SADC, visant à restaurer l’ordre constitutionnel. Autrement dit, tous ceux qui gravitent autour des hautes instances de la transition risquent d’être sanctionnés.
Gravement menacés
Faut-il en effet qu’outre l’interdiction de voyager pour tous les membres des institutions mises en place par les autorités de fait issues du changement anticonstitutionnel et de tous les autres individus membres de la mouvance Rajoelina, les sanctions prévoient également « le gel des fonds, autres avoirs financiers et ressources économiques de tous les individus et entités concourant, d’une manière ou d’une autre, au maintien du statu quo anticonstitutionnel et qui font obstacle aux efforts de la SADC visant à instaurer l’ordre constitutionnel ». En langage plus simple, tout cela signifie que les intérêts de tous les membres des autorités de fait de la transition sont gravement menacés par ces sanctions.
Blocage total
Le gel des fonds, des avoirs financiers et ressources économiques signifie en effet blocage total de tous les fonds détenus ou utilisés par ces personnalités à l’extérieur. Pour ne prendre que le cas le plus fréquent, par exemple, les fonds utilisés par ces personnalités pour la scolarité de leurs enfants à l’extérieur pourraient être bloqués. Et comme on sait que de traditions, les nantis des pouvoirs qui se sont succédés (les nouveaux riches de la transition ne font pas exception) apprécient toujours les études à l’extérieur de leurs enfants, notamment en France, beaucoup d’étudiants risquent de suspendre leur scolarité.
Compromise
Par ailleurs, la gestion des biens détenus par ces membres de la mouvance Rajoelina à l’extérieur pourrait être compromise. En effet, avec le gel des avoirs extérieurs, qui fait partie des sanctions ciblées, ils ne pourront même plus payer les factures d’électricité d’EDF, par exemple, ou s’acquitter des impôts fonciers sur l’immobilier. Sans compter évidemment, le blocage des comptes bancaires de certains dignitaires du régime transitoire. En tout cas, les exemples d’intérêts lésés par les personnalités fortes de la transition, en cas d’application des sanctions ciblées, peuvent être multipliés.
Circuit parallèle
Raison pour laquelle d’ailleurs, l’on fait état de certaines personnalités qui chercheraient à mettre en sécurité leurs avoirs pour parer aux effets néfastes des sanctions. Mais la mission est visiblement difficile puisque les sanctions étant prises à l’unanimité par l’ensemble de la communauté des bailleurs de fonds traditionnels, il sera difficile d’y échapper. A moins évidemment de placer les fonds extérieurs sur le circuit parallèle des banques offshore. Mais là également le risque de perdre de l’argent est également possible puisque les circuits parallèles, sont pour la plupart dominés par la maffia.

R.Edmond 


Tribune Mada 25/02/2010
Le vice-amiral Hyppolite Ramaroson ministre des Affaires Étrangères - par Rakotoarilala Ninaivo 
Il est officiel maintenant que c’est le vice-amiral chef d’escadre, Hyppolite Raharison Ramaroson, qui succède à Ny Hasina Andriamanjato au poste de vice premier ministre chargé des affaires étrangères du gouvernement de la Haute Autorité de la Transition (HAT). La passation de service entre les deux hommes est prévue se tenir dans la matinée de ce jeudi 25 février 2010, à la Salle de Conférence de ce département ministériel à Anosy.

Cette passation intervient à la suite de la nomination annoncée lors du conseil des ministres qui s’est tenu au palais d’Ambohitsorohitra ce mercredi 24 février 2010. Annonce qui officialise des rumeurs déjà véhiculées dans la presse ces deux derniers jours.
Le vice amiral chef Hyppolite Ramaroson fait partie des généraux auxquels l’ancien président déchu Marc Ravalomanana avait transmis le pouvoir lors de sa démission le 17 mars 2009. Ces généraux avaient dans la même journée transmis le pouvoir à Andry Rajoelina, à l’issue de l’épisode mouvementé de l’épiscopat d’Antanimena et du camp du Capsat.
Le nouveau vice premier ministre chargé des affaires étrangères est également un conseil du même président de la HAT Andry Rajoelina. Il l’a accompagné dans ses divers voyages à l’étranger pour témoigner de la démission faite par Marc Ravalomanana et de la transmission de pouvoir à Andry Rajoelina. Maintenant, la reconnaissance internationale reste encore sa mission prioritaire. Une mission difficile avec la menace de sanction faite par l’Union Africaine et la SADC à l’endroit du régime actuel dans la grande Île. Le vice premier ministre devra également s’assurer de la pleine collaboration des ambassadeurs actuels dans cette tâche.

Mais dès sa nomination, le nouveau vice premier ministre connaît déjà des problèmes de communication. En effet, alors qu’aucune décision officielle n’avait été prise par la HAT, le vice-amiral Hyppolite Ramaroson s’était déjà adressé à la presse pour annoncer sa nomination imminente. Ce qui a mis dans l’embarras aussi bien Ambohitsorohitra que Mahazoarivo, qui ont peut-être eu l’impression de s’être fait forcer la main, alors que des rumeurs d’un remaniement ministériel plus ample circulent également.
Embarras
Le grade du vice-Premier Ministre pourrait également mettre dans l’embarras le premier ministre Albert Camille Vital. Celui-ci, colonel, devrait selon la logique militaire être le subordonné d’un vice amiral chef d’escadre et non l’inverse. Ce problème a déjà été vécu par les forces armées lorsque les colonels avaient pris les hauts commandement de l’armée, dont le poste de Chef d’Etat Major de l’Armée Malagasy (CEMGAM), le commandement de la gendarmerie nationale ou encore le poste de ministre des forces armées. La HAT a par la suite donné un avancement à ces personnalités de l’armée, qui sont devenues généraux.


Midi Mada 24/02/2010
En cas d'application des sanctions : 77 personnes seront frappées - RAJAOFERA Eugène
Interdiction de voyager et gel des fonds, autres avoirs financiers et ressources économiques. Si la HAT persiste à ne pas revenir aux Accords de Maputo et à l'Acte Additionnel d'Addis-Abeba, ces sanctions ciblées et individuelles seront à partir du 17 mars, appliquées à l'encontre « de tous les membres des institutions mises en place par les autorités de fait issues du changement anticonstitutionnel et de tous autres individus membres de la mouvance Rajoelina dont l'action fait obstruction aux efforts de l'Union africaine et de la SADC, visant à restaurer l'ordre constitutionnel à Madagascar ».

77 individus s'exposent directement aux risques de sanctions brandis par le GIC. Le président Andry Rajoelina se trouve en tête car il est le chef. Après lui viennent les 42 membres de la HAT, les 31 membres du gouvernement et trois de ses proches collaborateurs à Ambohitsorohitra. Ces derniers sont même accusés par des partisans de la HAT de donner de mauvais conseils à leur boss. A cette liste de 77 individus s'ajoutent d'autres noms, ceux des chefs de partis membres de la mouvance Rajoelina, qui ne sont ni membres de la HAT, ni membres du gouvernement, mais qui s'opposent activement à la mise en œuvre des Accords de Maputo et de l'Acte Additionnel d'Addis-Abeba.
Acteurs principaux. La liste pourrait s'allonger si l'on remonte en mars 2009, date repère du changement anticonstitutionnel à Madagascar. Car l'événement du 17 mars à l'Episcopat d'Antanimena a eu ses acteurs principaux: les officiers supérieurs et les officiers généraux qui gravitent actuellement autour de Andry Rajoelina, qui maintiennent, si l'on puisse dire, le régime actuel. Puisque des membres de la HAT ne veulent pas être les seuls à subir les sanctions du GIC, certains d'entre ceux tentent de pointer du doigt d'autres « responsables ». Selon eux, les 9 membres de l'actuelle Haute Cour Constitutionnelle (HCC) ne devraient pas être à l'abri des sanctions « car ce sont eux qui étaient à l'origine de toutes les illégalités qui ont plongé le pays là où il s'enlise actuellement. » En effet, au 

lieu d'appliquer la Constitution en permettant au président du Sénat d'assurer provisoirement la présidence de la République après l'empêchement du président Marc Ravalomanana, la HCC a validé une « simple lettre », en prenant acte de l'existence d'une transition dirigée par  Andry Rajoelina en tant que président et Monja Roindefo en tant que Premier ministre. En tout cas, c'est à la Commission de l'Union africaine, en étroite collaboration avec la SADC, d'établir la liste des individus visés par les sanctions du GIC.


Les Nouvelles 23/02/2010
TRAFIC A IVATO : Onze lingots d'or saisis - Mparany 
Les éléments de la Police aux frontières (PAF) ont interpellé hier un Malgache, en possession de onze barres d'or, pesant près de 4 kg . Ce passager d'un vol à destination de Saint-Denis – Bangkok – Guangzhou, comptait sortir clandestinement cette quantité d'or du pays mais le coup est tombé à l'eau au moment où il a franchi le portique de sécurité. 
Avec la saisie de près de quatre kilos de lingots d'or, les éléments de la police aux frontières (PAF), de l'aéroport international d'Ivato, viennent d'opérer une belle prise. Hier au milieu de l'après-midi, ils ont appréhendé un passager hors du commun, pris en possession de onze lingots. 
Quelques semaines après la révélation de la découverte d'un lingot d'or dans un Boeing 767 de la compagnie Air Madagascar, une nouvelle affaire de ce trafic vient d'être étalée au grand jour. 
J-C. F devait prendre le vol d'Air Madagascar (MD 018) à destination de Saint-Denis-Bangkok-Guangzhou de 13h 50. Après avoir rempli les formalités, il allait rejoindre la sous-douane. C'était à ce moment que son plan est tombé à l'eau. Lors de son passage sur au portique de sécurité, le dispositif de détection de métaux s'est déclenché. Les policiers l'ont demandé de revenir et de vider ses poches mais, une fois de plus, le dispositif s'est mis à sonner. 
Ils ont alors opéré une fouille corporelle. Les agents de la PAF ont d'autant plus été intrigués par le comportement bizarre du jeune homme. Ils n'ont pas tardé à découvrir les petits lingots dissimulés dans les pochettes de son gilet. Onze lingots d'or, pesant 3,825 kg , en ont été trouvés. Bien évidemment, il ne disposait pas d'une quelconque autorisation. Les gabelous ont par la suite repris les métaux précieux. 
A bien étudier le plan, force est de demander si J-C. F n'aurait jamais pensé que le portique de sécurité pourrait le confondre ou y aurait-il eu une combine quelque part ? Quoi qu'il en soit, cette saisie remet, une fois de plus, l'existence de trafic entre Madagascar et des pays de l'Asie, entre autres, la Chine et la Thaïlande. Le 19 janvier dernier, un lingot d'or pesant exactement 4, 645 kg , a été découvert dans l'accoudoir du siège d'un avion de la compagnie nationale, en provenance de Guangzhou via Bangkok. L'enquête concernant cette découverte se poursuit mais jusqu'ici, aucun suspect n'a été interpellé. 

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