Madavôvô 2005  

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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent

Sommaire Madavôvô: 31 mars 2005

BigNews. Tamin'ny 1947 (Ny Taniko 30/03/2005)

1. Croisière touristique:Un paquebot nommé… «Madagascar » (LaGazette)

2. Panique sur la côte Est - Fausse alerte au Tsunami (Express)

3. Détenus politiques de 2002 et mort du général Boba : Didier Ratsiraka interpellé  (Tribune)

4. Le dernier garde du corps étranger du président malgache expulsé (jeune Afrique)

5. No Comment.... No Comment...

6. La visite de Jacques Chirac confirmée (Express)

7. Commémoration du 29 mars - Le développement doit s’inspirer de l’histoire  (Madagate)

8.Jean-Marc Koumba expulsé sans raison officielle en 24 h ! (Les Nouvelles)

30/03/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary
EURO(cmp) 12.645 FMG 
USD 9.605 FMG 
GBP 18.261 FMG 
CHF 8.139 FMG 
JPY 92 FMG 
ZAR 1.569 FMG 
HKD 1.253 FMG 

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

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"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

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... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Big News... Tamin'ny  1947 (Ny Taniko 30/03/2005)
Faharomotana? Tsy misy aok'izany.
Habibiana? Tsy hay lazaina.
Nanapa-pahefana sy herim-pamoretana ny mpanjanaka.
Ny mpiady-isme moa no nianteherany.
Hatezerana?

"Aiza tokoa moa no tsy ho tezitra? Ireto olon-dia ireto toa mitraotra? Ireo Andrarezan'Imerina no mitarika amin'izany.? Sahisahi-maty! Ho ataoko mahita ny faisany!...
    en savoir + >>

 *** 29 Mars sur  L'Histoire de Mada sur rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


 


 

La Gazette 31/03/05
Croisière touristique:Un paquebot nommé… «Madagascar »
Un armateur et propriétaire d’hôtels sud-africain lancera bientôt un bateau de croisière nommé « Madagascar ». Cet opérateur, Mark Taylor, agit aux côtés d’un pair sud-africain, Trevor Boynton, et de deux investisseurs européens, Freddy van den Bergh et Frans de Ruyter. Ils ont fait l’acquisition d’un paquebot de croisière, appelé Stella Maris II et l’ont reformé de fond en comble, en faisant un appareil confortable doté de 93 cabines pour 225 passagers et 93 membres d’équipage. 
Le navire, dont le port d’attache est Durban (Afrique du sud), fera de mai à octobre une croisière sur l’itinéraire Madagascar-Kenya-Tanzanie-Seychelles-Comores. De novembre à avril, qui correspond à la saison cyclonique, le bateau fera du cabotage dans la zone protégée située dans le canal de Mozambique. Mark Taylor et ses partenaires estiment que la croisière aura du succès, notamment car aucune compagnie maritime ne dessert l’itinéraire cité. Cet entrepreneur sud-africain est le propriétaire d’une société appelée Elan Group qui exploite des hôtels et des résidences de luxe sur les sites touristiques d’Afrique du Sud, notamment dans la province du Kwazulu Natal dont Durban est la capitale. 


Express Mada   30/03/2005

PANIQUE SUR LA CÔTE EST - FAUSSE ALERTE AU TSUNAMI
Sauve-qui-peut général tout au long de la côte Est dans la nuit du lundi de Pâques. Mal géré, un avis d’alerte au tsunami a jeté, vers minuit, les vacanciers de Toamasina et des stations balnéaires hors de leurs hôtels. Des villages se sont vidés dans la panique. Le calme n’est revenu que vers deux heures du matin.
Toamasina a été plongé dans le chaos, lundi de Pâques dans la nuit. Jugé alarmiste, un avis d’alerte au tsunami a vidé vers minuit hôtels, bourgades et villages du littoral saisi de panique. 
Une grosse bavure. Les routes des vacances sont devenues les routes de l’exode. Lundi de Pâques vers minuit, les hôteliers de Toamasina ont réveillé leurs clients pour les avertir de quitter la ville au plus vite. Depuis Toamasina, la côte Est a été plongée dans le chaos total. Corrigées, mais trop tard, pour leur “alarmisme” et leur inexactitude, des voix officielles ont fait croire à l’imminence d’un tsunami né du violent séisme qui vient de frapper l’Indonésie. 
Embouteillage nocturne.
A Toamasina, Foulpointe, Vatomandry, Mahanoro ou Manambato (Brickaville), les vacanciers ont précipitamment quitté leurs hôtels pour reprendre la route vers Antananarivo. La population locale a suivi le mouvement et quitté villages et chefs-lieux pour gagner des hauteurs. Les RN 2 vers Antananarivo et 11-A vers Vatomandry et Mahanoro ont connu lundi, un formidable embouteillage nocturne. Un chauffeur déclare avoir fait six heures de sur place. 
A Toamasina, il a fallu une heure et demie pour les 2 km qui séparent l’hôtel Le Miramar de la RN 2 vers Tana. “Nous pensions qu’il y avait danger imminent et nous avons averti nos hôtes”, déclare le gérant. Même scénario au Darafify ou au Miou-Miou Club. A Foulpointe, la plus grosse station balnéaire de la province, “tout le monde est parti à la minute” révèle, “Au Gentil pêcheur”. A 100 km au nord, à Manambato, Mme Jacquie Lecacheur, propriétaire du Rasoa Beach, informe qu’elle a été prévenue par des amis de Toamasina et que “c’était présenté comme une annonce officielle”. Elle a procédé immédiatement à l’évacuation de ses clients, une cinquantaine de personnes. Sur la route, elle ramasse les villageois qu’elle peut emmener. Ces derniers avaient eux aussi quitté Manambato, rameutés par le président du fokontany. “Nous écoutons la radio”
Alarmisme.
Tout est parti vers 21 h 30. Le vice-président de la délégation spéciale de la province de Toamasina, Emmanuel Razafindrazaka, et le nouveau chef de région Julien Andriamorasata sont intervenus sur les médias locaux. Involontairement ou non, ils semblent avoir fait croire à l’imminence d’un tsunami, aidés ou inspirés par la radio publique dont les explications ont plus terrifié qu’informé. L’alarmisme n’a été corrigé qu’après les interventions du PDS Tsizaraina Emile et de Roland Ratsiraka, maire de Toamasina. 
Autour du phare.
Toamasina a été sens dessus dessous. Des évanouissements sont rapportés. Beaucoup sont sortis à pied de la ville pour gagner des hauteurs. Ils croisent des villageois de la périphérie qui, eux, font leur entrée. Le CPJS, un bâtiment du ministère de la Jeunesse qui sert habituellement pour les sans-abri en période cyclonique, a été vite rempli. A l’île Sainte-Marie, Patrick Revello, propriétaire de l’hôtel-restaurant Lakana, informe que des Saints-mariens d’Ambodifotatra, le chef-lieu, ont gagné les hauteurs de l’hôpital. Les habitants de l’Île aux Nattes se sont regroupés autour de leur phare. 
Après le séisme qui a frappé l’Indonésie, l’Usaid a informé le ministère de l’Intérieur qui a répercuté vers le CNS, Conseil national de secours, lequel en a informé le PDS sur les risques. “Tout cela n’était pas alarmiste, c’était pour nous recommander la vigilance ”. Dans le demi- heure le PDS a ordonné à la direction provinciale de la police de prévenir toutes les sous-préfectures du littoral, de Mahanoro à Maroantsetra. “Ne pas s’affoler, regarder l’état de la mer et ne pas partir à la pêche”. La gendarmerie de Vatomandry a suivi les instructions, mais la panique n’a pu être enrayée. 
“Tremblement ne veut pas dire tsunaml”, s’indigne le PDS.
Il déclare qu’aucune des déclarations radiodiffusées qui ont semé la panique n’a été décidée en réunion du CRS, Conseil régional de secours, “seul habilité” à prendre des décisions en cas d’urgence. “Ils ont pris des responsabilités, pensant sans doute en avoir le droit”. Patrick Revello commente avec diplomatie les évènements. “L’exagération est une très mauvaise gestion de l’information”. :
Mamy Nohatrarivo 


Tribune 26/03/2005

Détenus politiques de 2002 et mort du général Boba : Didier Ratsiraka interpellé 
La mort du général Boba a provoqué des remous au sein des familles des détenus politiques de la crise 2002. Chose curieuse, le nom de l'amiral Didier Ratsiraka était plusieurs fois évoqué quelques heures après la mort de ce général accusé d'avoir fait sauter des ponts pendant le moment chaud de la crise. En effet, si les uns reprochent à l'amiral d'ignorer depuis son installation à Paris le sort des détenus politiques de la crise 2002, les autres font constater que les officiers impliquées dans l'affaire 2002 se sentent complètement abandonnés seuls en prison alors qu'ils n'avaient exécuté à l'époque que l'ordre du chef suprême des Forces Armées. Certains vont même jusqu'à évoquer le nom du militant nationaliste Monja Jaona qui, à son époque, avait eu la bravoure de dire : "Liberez tous ces détenus politiques et laissez-moi entrer en prison car c'est à cause de moi que ces gens sont là !"
A noter que l'ancien gouverneur de Toamasina Lahady Samuel et celui de Mahajanga Razafindehibe Etienne Hilaire, deux personnalités qui étaient fidèles jusqu'aux dernières minutes à l'amiral Didier Ratsiraka, se trouvent actuellement dans un état de santé très critique.


Jeune Afrique 30/03/2005

Le dernier garde du corps étranger du président malgache expulsé
Jean-Marc Koumba, célèbre garde du corps du président malgache Marc Ravalomanana après la démission d'Adrian, un autre garde du corps sud-africain du président Ravalomanana, a été expulsé du territoire malgache, a rapporté mercredi la presse locale. 
Jean-Marc Koumba a embarqué samedi soir, à bord d'un vol d'Air Madagascar à destination de Paris, avant de rallier l'Allemagne, son pays natal où vivent sa mère et sa soeur. 
Ainsi, il n'y a plus de garde du corps étranger à la présidence malgache. 
M. Ravalomanana a connu M. Koumba dans le milieu diplomatique en Allemagne à l'époque où le premier était le maire d'Antananarivo. Le second est arrivé à Madagascar en septembre 2001, peu avant l'ouverture de la campagne présidentielle. 
Concernant les raisons de l'expulsion, Lila Randriambololona, sa compagne malgache, a rappelé que "Jean-Marc n'a pu accompagner le président Marc Ravalomanana parti vendredi passer le week-end pascal aux Seychelles, suite à un accident de moto survenu la veille. Pouvant difficilement marcher et certificat médical à l'appui, il a dit que ce n'était pas la peine qu'il vienne avec le président". Ce qui a été assimilé à un abandon de poste de la part de l'intéressé à qui le président aurait reproché sa passion pour les motos qui se faisait au détriment de son travail. 
Double champion du monde de kickboxing, double champion d'Europe, vice-champion d'Allemagne de boxe anglaise, neuf fois champion du Gabon en taekwondo, avec des grades de ceintures noire 2e dan en karaté, ceinture noire 4e dan en kickboxing, Jean-Marc Koumba est aussi un adepte de la boxe thaïlandaise et côtoie les pratiquants de discipline brésilienne. 
par XINHUA 


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EXPRESS Mada  31/03/2005

- La visite de Jacques Chirac confirmée
Diplomatie - “Tonga vahiny, tonga vazaha ” se réjouissait le président Marc Ravalomanana lorsqu’il a reçu Jacques Chirac l’année dernière. Le secrétaire d’Etat français aux Affaires étrangères, Renaud Muselier confirme la visite à Madagascar du président Jacques Chirac en juillet pour assister au sommet de la commission de l’océan Indien (COI) lors de sa rencontre avec Marcel Ranjeva, ministre des Affaires étrangère malgache. Prévue ce mois de mars, la visite a été reportée à cause, entre autres, du calendrier interne français qui organise un référendum sur la Constitution européenne.
Renaud Muselier a alors confirmé que son pays, la France est “le premier investisseur, le premier client, et le meilleur ami de Madagascar.”.De son côté, Marcel Ranjeva confirme aussi le déplacement du président Marc Ravalomanana à l’île de la Réunion dans les jours qui viennent. Il a noté en recevant le secrétaire d’Etat à Anosy, hier après-midi, que “les relations franco-malgaches s’améliorent de jour en jour”. Faisant sûrement allusion à la commémoration des événements du 29 mars 1947.
Plusieurs motifs l’ont amené à Madagascar. Le plus important est le dossier de l’adoption d’enfants malgaches à tel point qu’il “ne fera de déclaration à ce sujet que le jour de (son) départ”. “Je vais m’entretenir avec les autorités, dit-il, et je vous en parlerai dès que possible”.
En tous cas, ce dossier est “difficile” car les parents français, qui ont adopté des enfants malgaches et dont les dossiers sont en cours, “attendent de les accueillir en France”, explique-t-il. Et Renaud Muselier de démontrer l’importance du sujet. “Les relations entre les parents français et leurs enfants malgaches ne se font plus à travers les ministères, ni des associations, ni même des centres d’accueils, mais elles sont bel et bien charnelles”.
Selon le directeur de l’enfance, au ministère de la Population, Alain Randrianantenaina “l’Etat malgache a suspendu les procédures d’adoption depuis fin 2004”. Plus d’une centaine de parents français s’inquiètent alors de leurs enfants. Cette décision malgache fait suite, entre autres, au démantèlement d’un réseau de trafic d’enfants au cours du deuxième semestre 2004. Citons par exemple, les onze enfants découverts dans une maison à Mahazoarivo où huit personnes ont été arrêtées. Le prix d’un enfant à cette époque était environ de 800 euros.
Renaud Muselier a ainsi assuré que toutes les adoptions “se feront dans le strict respect de la convention internationale de la Haye sur l’adoption internationale”. Le directeur général de la population assure que “le gouvernement malgache a élaboré une loi en conformité avec ladite convention”.
Toavina Ravelona:    [ Posté par : lexpressmada.com 


Madagate 30/03/2005

Commémoration du 29 mars - Le développement doit s’inspirer de l’histoire -
Se servir de l'histoire. Le gouvernement a "mis le paquet" pour faire passer son message lors de la commémoration du 58e anniversaire de l'insurrection de 1947 : "La solidarité au service du développement". La présence des dirigeants du pays, à tous les échelons du pouvoir, aux cérémonies de célébration hier, veut être un signal fort de sa part.
Le président Marc Ravalomanana en tête, les tenants du régime ont fait le déplacement pour l'événement. Jacques Sylla, premier ministre, et Lahiniriko Jean, président de l'Assemblée nationale, accompagnés des membres du gouvernement ont assisté aux cérémonies de commémoration afin de leur donner un ton officiel.
Une solennité ouverte par un culte œcuménique "pour la Nation, la paix, le développement et les dirigeants" à l'Eglise Saint Ignace de Loyola à Antanimena, suivie de dépôts de gerbes à la stèle du 29 mars à Ambohijatovo et au Mausolée à Avaratr'Ambohitsaina, sans parler des autres commémorations un peu partout à travers l'Ile.
L'occasion était fournie au gouvernement de trouver un lien entre l'état d'esprit animant les insurgés "nationalistes" et le slogan présidentiel :"Travaillez, travaillez dur, travaillez bien". L'objectif visé étant d'être les "dignes héritiers de la lutte de 1947" afin de "vaincre cette fois-ci le nouvel ennemi : la pauvreté". Président de la République, ministres de la Défense nationale et de la Fonction publique et des lois sociales, civils ou militaires se sont relayés pour transmettre le message gouvernemental.
Servir de repères.
Depuis un certain temps, le gouvernement ne cesse de rappeler "la production" comme seul salut au développement. L'occasion était belle pour transmettre la flamme du "sacrifice et de l'audace de nos ancêtres" auprès de la population et de donner à cette dernière un repère dans ses activités pour qu'"on soit de dignes héritiers".
Cette question d'état d'esprit a été maintes fois répétée tout au long de la journée d'hier. Le président Marc Ravalomanana, en premier, s'appuie sur le "valeurs véhiculées par les ancêtres" pour son appel lors de son discours à Antannimena. "Malgré le contexte difficile, les nationalistes ont montré de l'audace, de la bravoure, de la disciplines et de la solidarité", a rappelé le chef de l'Etat.
La population, surtout les jeunes, a été la cible du discours présidentiel. Il en est de même pour les dirigeants de "se décomplexer" face aux puissances étrangères dans la conduite des affaires nationales.
La première commémoration de l'insurrection du 29 mars 1947 remonte à 1977, à l'époque de la Révolution socialiste, sous la IIe République. L'insurrection de 47 a permis au régime en place de s'approprier un "héritage, un gisement de symboles et de gestes collectifs particulièrement riches de sens et d'émotion". :
Iloniaina A.      [ Posté par : lexpressmada.com


Les Nouvelles   30/03/2005

Jean-Marc Koumba expulsé sans raison officielle en 24 h ! 
Le dernier garde du corps étranger du président de la République a été expulsé en 24 heures, au cours du week-end pascal. Jean-Marc Koumba, Germano-Béninois d'une trentaine d'années, le “body guard” historique de Marc Ravalomanana, d’avant, pendant et après la crise 2002, a donc pris l’avion samedi soir à Ivato à destination de Paris, puis de l’Allemagne. Le dernier, parce que le Sud-africain Adrian Burrow, sentant peut-être le vent venir, avait préféré, lui, donner sa démission et quitter le pays il y a une dizaine de jours. 
Cette défection, puis cette expulsion, privent le président de la République de protection rapprochée étrangère, dont la présence remarquée, trop sans doute ?, puisque de tous les déplacements présidentiels et de toutes les photos, était, dit-on, de nature, sur la durée, à irriter les éléments nationaux des services spécialisés de la garde présidentielle affectés à la sécurité du chef de l’Etat.
Joint par téléphone avant son embarquement sur le vol d’Air Madagascar de samedi soir, Jean-Marc Koumba, devenu très populaire dans tout le pays moins peut-être pour avoir été “le” garde du corps du chef de l’Etat aux moments les plus difficiles et les plus risqués que pour avoir eu, aussi, une vie publique dans la pratique des sports de combats, n’avait aucune explication à fournir sur sa subite disgrâce, qui lui a été signifiée vendredi, sans motif, par une lettre d’un responsable de la présidence de la République. Il est d’autant plus amer et déçu qu’il est encore, à ce moment-là, sous le choc d’un coup qu’il n’a pas vu venir.
Devoir de réserve oblige dans ce métier très particulier, mais aussi prudence parce qu’il laisse à Madagascar sa femme, enceinte, Jean-Marc Koumba ne fait aucun lien entre son expulsion et les révélations de “La Lettre de l’océan Indien” dans sa dernière livraison datée du 26 mars, reprise par un quotidien de la place dans son édition de samedi. 
“C’est pure coïncidence”, explique-t-il, tout en ajoutant qu’il “n’a tué personne et volé aucun milliard”. Il affirme par ailleurs qu’il était dans les meilleurs termes avec ses collègues malgaches, et que ce n’est pas de ce côte-là, non plus, qu’il faut chercher une explication. On n’en saura pas plus. Peut-être un jour. Et pas question de verser dans les spéculations qui ne vont pas manquer.
UN “BODY GUARD” AU GRAND CŒUR 
A une vigilance de tous les instants, qui est la qualité nécessaire et attendue de tous les gardes du corps affectés à la sécurité rapprochée et donc corporelle des personnalités, et au physique de l’emploi, Jean-Marc Koumba n’avait pas pour autant refoulé certaines valeurs humaines que l’on s’attend peu à découvrir dans ce corps d’élite au visage fermé et sévère, aux yeux vides d'expression, et tout accaparé par leur mission de sauver, au prix même de leur vie, l’homme d’Etat qui les paie. Bien, et même très bien généralement. 
“La Lettre de l’océan Indien” croit, en effet, savoir que ces énormes disparités de salaires entre gardes du corps “vazaha” et malgaches étaient depuis quelques temps à l’origine d’un malaise dans les services de sécurité de la présidence de la République. Il serait pour le moins surprenant que le président Ravalomanana ait cédé à ce genre de chantage. Ce n'est pas son genre. 
Jean-Marc Koumba est, en effet, d’une sympathie communicative, chaleureuse, comme on avait pu s’en apercevoir dans tous les événements sportifs qu’il avait récemment organisés afin de faire profiter les adeptes du karaté full-contact de son prestigieux palmarès de champion du monde de cette discipline.

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 Yoga -Ayurvéda

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Séminaire  le  2-3 et 7-8 avril 2005

La RNS a soufflé ses 30 bougies cette année 2005

 le site officiel de la RNS  : www.rns-cen.com 

en partenariat avec www.madagate.com

.  

 Reportage sur  www.madagate.com

2ème anniversaire

Vanillandi

 

le 2 avril 2005

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