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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent

Sommaire Madavôvô: 05 avril 2005

BigNews. Le Pape est mort (Euronews 03/04/05)

1. La « route du Pape » enfin baptisée ? (Midi Mada)

2. Jean Paul II est mort  (Clicanoo)

3. Jean Paul II: Le Pape de notre démocratie part (La Gazette)

4. Jacques Rabemananjara s’est éteint samedi dernier en France (Madagate)

5. le cardinal malgache quitte le pays en vue du conclave au Vatican (Wanadoo.mg)

6. No Comment.... No Comment...

7. Pierrot Rajaonarivelo n'aurait pas d'autre choix que de revenir au pays  (Les Nouvelles)

8. La « route du Pape » enfin baptisée ? (Les Nouvelles)

9. Le Trocadéro, à Paris, théâtre d'un face-à-face entre Tim et opposants (Les Nouvelles)

10. Pierrot Rajaonarivelo, rappelé à l’ordre par la France (Madagate)

11. RNS, la rencontre de la diaspora malgache d'Europe, sous le signe du "fihavanana" (wanadoo.mg)

12. La visite du pape Jean Paul II à Madagascar (Madamaki)

13. Jean-Paul II : 1920 - 2005 Son testament pour les Malgaches (Madagate)

14. L'Indien Mamod Taky arrêté à Analakely (wanadoo.mg)

15. Jean-Jacques Rabemananjara - Masoivohon'i Madagasikara eto Parisy (Tim Fr)

16. Communique de Presse: Jean-Jacques Rabemananjara (Madamki.com)

05/04/2005

COURS DES CHANGES

1 euro = 6.559570FF

cours moyens en Ariary
EURO(cmp) 12.553 FMG 
USD 9.708 FMG 
GBP 18.205 FMG 
CHF 8.051 FMG 
JPY 90 FMG 
ZAR 1.564 FMG 
HKD 1.245 FMG  

(Revues de presse... patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

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"Hier c'est une  histoire

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Aujourd'hui un cadeau..."

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... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Big News... Le Pape est mort (EuroNews 03/04/2005)
Il était 21h37, ce samedi soir quand le coeur du souverain pontife a cessé de battre. Quelques minutes plus tard, le décès du pape a été annoncée sur la place Saint-Pierre de Rome par le cardinal Camillo Ruini, le vicaire de Rome. Quelque 70 000 fidèles venus assister pour la seconde nuit consécutive à une veillée de prières étaient alors présents. Le dernier bulletin de santé du Vatican, publié en fin de journée faisait état d'une forte fièvre mais soulignait que Jean-Paul II n'était pas dans le coma, même s'il avait des débuts de pertes de conscience.
Son agonie avait débuté jeudi soir, quand, souffrant d'une infection urinaire, il a été victime d'une septicémie avec un arrêt cardiaque. Depuis, son état n'avait cessé de se dégrader, sa mort devenant la seule issue.
Jean-Paul II avait 84 ans. Il était le 264ème pape de l'histoire, le premier pape polonais, le premier pape slave venu de l'est après 455 ans de souverains pontife italiens. Il avait été élu le 16 octobre 1978...  

                               ... en savoir + (Biographie & Visite du Pape Jean-Paul II à Mada) >>


Jacques Rabemananjara n'est plus. (Madagate)

 Patriote malgache, député MDRM, il appartenait au noyau dur de ce parti aux côtés du Dr Raseta et de Ravoahangy. « Ecrivain malgache de langue française, inséparable de son activisme politique anticolonialiste, tradition et ouverture au modernisme », évoque le petit Larousse à son propos.... en savoir+ sur MadaVôvô

 *** 29 Mars 1947 sur  L'Histoire de Mada sur rainizafimanga.COM - Nature et Environnement >>


Midi Mada  05/04/2005

La « route du Pape » enfin baptisée ?
On n’a pas de Place Saint Pierre comme à Rome quoique celle du 13 mai à Tana puisse, à en croire tout simplement, les évaluations avancées en 2002, c’est-à-dire sans avoir le compas dans l’œil, contenir une assistance 10 fois plus nombreuse que sur l’immense parvis de la célèbre basilique romaine. 
Val A.

Mais on a la « route du Pape » tel que les usagers ont baptisé officieusement le tronçon reliant la gare d’Alarobia au « vahilava » d’Ambohimanarina. Officiellement, il ne porte pas, pas encore, le nom de Karol Wojtyla ou plus communément Jean-Paul II pour qui, cet axe a été justement réhabilité d’une manière rapide et durable. C’était en 1989, à l’occasion de la visite pastorale du souverain pontife qui eut lieu du 28 avril au 1er mai de cet an de grâce. En 16 ans, aucun régime ni aucune municipalité n’a pris l’initiative de mettre une plaque commémorative au nom du premier Pape venu à Madagascar, à l’entrée et à la sortie de cette route menant à …Rome. Du moins, à la Nonciature qui représente le Vatican dans la Grande Ile où l’église catholique constitue le gros des troupes chrétiennes, avec 4 millions de fidèles, si l’on se réfère au dernier recensement effectué en 2001.
Oubli De toute façon, quelle que soit sa confession voire sans être croyant, personne ne s’opposera à ce l’on répare aujourd’hui, cet oubli, au risque d’être taxé de « maty vao Ramalala » à l’égard de l’illustre défunt. Un Pape venu du froid qui avait réchauffé la foi et le cœur des Malgaches, en déclarant urbi et orbi : « Il faut oser. N’ayez pas peur ! ». Le chef de l’église catholique romaine qui avait favorisé la chute du mur de Berlin et la fin du communisme dans le monde, devait sonner le glas de la Deuxième République et du socialisme à Madagascar. Plus que les autres « Olomanga » nationaux ou étrangers dont les noms ou les statues trônent aux quatre coins de la Ville, le passage de Jean-Paul II à Tana, mérite d’être porté à la postérité. C’est l’ultime hommage qu’on puisse faire à celui qui nous a tracé la route. La sienne.


Madamaki.com 05/04/2005

Kianja malalak'i Jean Paul II
Ataoko angamba fa rariny sy hitsiny raha eto amin'ny firenentsika mba hisy zavatra kely ho entina hatsiarovana an'i Papa Joany Paoly faha-2.
Mba tokony hisy zavatra hatsangana amin'iny faritry ny kianjan' Antsonjobe iny, na dia tsangambato kely fotsiny aza. Ary maninona moa raha antsoina hoe : KIANJA MALALAK'I JEAN PAUL II io tany malalaka ao Antsonjobe io ê! Papan'ny tanora raha teo anie izy iny ê!
Tsoriko marina aminareo fa ela izay niainako izay, tsy mbola nahita Papa toy iny aho, 27 taona aho izao.


CLICANOO 03/04/05
Jean Paul II est mort 
Après une agonie de deux jours, le pape Jean Paul II s’est éteint la nuit dernière à l’âge de 84 ans. "Le Saint-Père est mort ce soir à 21 h 37 (23 h 37 à La Réunion) dans son appartement privé", a annoncé le Vatican.

Après une agonie de deux jours, le pape Jean Paul II s’est éteint la nuit dernière à l’âge de 84 ans. "Le Saint-Père est mort ce soir à 21 h 37 (23 h 37 à La Réunion) dans son appartement privé", a annoncé le Vatican. "Toutes les dispositions prévues dans la constitution apostolique ‘Universi Dominici Gregis’ promulguée par Jean Paul II le 22 février 1996 sont entrées en vigueur". Le décès du pape a été annoncé à l’issue d’une veillée de prière commencée à 21 h 00 à laquelle près de 60 000 personnes ont participé à cette veillée. Un peu plus tôt dans la soirée, les conditions cliniques du Saint-Père avaient été qualifiées de "gravissimes" par le Saint Siège alors que la pape avait été pris d’une forte fièvre en fin de matinée, confirmée par le porte-parole du Vatican Joaquin Navarro Valls dans un communiqué distribué à la presse à 19 h 20 locales (21 h 20 à La Réunion). "Lorsque des membres de son entourage s’adressent à lui, il réagit", avait toutefois ajouté le bref communiqué. Le Vatican avait alors démenti une information donnée quelques instants plus tôt par l’agence italienne Ansa annonçant, sur la foi de "sources médicales", que "le pape Jean Paul II perd progressivement conscience" et que "son état semble irréversible". Le pape Jean Paul II était entré en agonie depuis jeudi soir.

 Une infection urinaire provoquée par sa déshydratation avait déclenché une septicémie et il avait eu un arrêt cardiaque. Sa santé avait ensuite rapidement décliné et, depuis hier matin, il était dans "un état gravissime" avec "des pertes de conscience depuis l’aube", avait annoncé en fin de matinée Joaquin Navarro Valls. Mais il avait affirmé que le pape "n’est pas dans le coma".
Dans la cryptesous l’autel "Le pape a une résistance extraordinaire et il surprend actuellement même les médecins. Je croyais, d’après le bulletin médical de vendredi soir, que c’était pratiquement fini. Mais ce n’est pas le cas et j’explique ceci par l’extrême solidité de l’appareil cardio-vasculaire du pape, qui a toujours fait du sport", avait pourtant confirmé hier son ancien anesthésiste, le professeur Corrado Manni. Signe que l’Eglise se résignait à une issue fatale, des cardinaux étrangers convergeaient vers le Vatican en vue d’un conclave qui sera chargé de désigner le successeur de Jean Paul II sur le trône de Saint-Pierre. Jean Paul II, âgé de 84 ans, "sait qu’il est en train de mourir et il m’a fait un dernier salut", avait déclaré le cardinal allemand Joseph Ratzinger, doyen du Sacré Collège, qui venait de se rendre à son chevet. Des milliers de fidèles étaient à nouveau rassemblés hier soir sur la place Saint Pierre de Rome pour cette veillée de prières. La veille, près de 70 000 personnes avaient déjà passé une partie de la nuit à prier et chanter pour lui. Son agonie a été vécue en direct par plus d’un milliard de catholiques sur les cinq continents, mais aussi par des croyants d’autres confessions, et elle a suscité une émotion pour le vieux pape polonais à l’aune de l’admiration éprouvée pour ce pape dont le long règne avait commencé il y a plus de 26 ans, le 16 octobre 1978. Le sport italien a ainsi décidé de s’arrêter pendant le week-end en signe de respect pour le souverain pontife. La municipalité de Rome s’attendait à un flot de pèlerins et avait pris des dispositions pour accueillir des dizaines de milliers de personnes, qui ont commencé à débarquer hier à l’aéroport international de Rome-Fiumicino. Les services municipaux ont aussi été mobilisés pour installer des centaines de toilettes chimiques dans le secteur du Vatican et fournir des petites bouteilles d’eau minérale aux fidèles. Tous les hôpitaux de Rome ont été placés en état d’alerte. Le cardinal italien Mario Francesco Pompedda, qui avait été autorisé à voir Jean Paul II vendredi vers midi, avait raconté que "le pape reposait sur un grand lit recouvert de couvertures blanches", placé pratiquement au milieu de sa chambre. "Le pape reposait adossé à des oreillers, un peu tourné sur le flanc droit. Son secrétaire et une sœur étaient assis sur des fauteuils face à lui", avait-il ajouté. "Le secrétaire m’a présenté ’Saint-Père, c’est le cardinal Pompedda’ et il a tourné les yeux vers moi. Il avait les yeux un peu fermés, mais il n’était pas endormi et lorsque mon nom a été prononcé, il les a ouverts", avait-il raconté à la presse italienne. "Il ne montrait aucun signe de souffrance, même si sa respiration était difficile". Mais, sans attendre l’ultime moment, la hiérarchie catholique évoquait désormais ouvertement la mort du pape et sa succession. Le cardinal brésilien Claudio Hummes avait évoqué les trois défis qui, selon lui, attendent le successeur de Jean Paul II : répondre aux progrès de la biologie, affronter la montée de la pauvreté et poursuivre le dialogue avec les autres religions. Des services funèbres vont être célébrés pendant neuf jours et Jean Paul II sera inhumé entre le quatrième et le sixième jour suivant son décès. Le conclave chargé d’élire son successeur doit se réunir dans les 15 à 20 jours après la disparition du souverain pontife. 117 cardinaux électeurs, âgés de moins de 80 ans, sont attendus à Rome pour le conclave, auxquels pourrait s’ajouter un 118e cardinal "secret" nommé par Jean Paul II en 2003, mais dont l’identité n’a pas été révélée. Pour que ce cardinal "in pectore" puisse participer au conclave, il faudrait non seulement que le pape ait publié son nom, mais aussi qu’il soit âgé de moins de 80 ans. L’inhumation du pape aura lieu dans la Basilique Saint-Pierre, sauf en cas de dispositions testamentaires contraires. Selon le quotidien La Repubblica, Jean Paul II reposera aux côtés d’autres papes dans la crypte située sous l’autel de Saint-Pierre, dans une chapelle consacrée à Notre-Dame de Czestochowa, la sainte patronne de la Pologne. S’il est canonisé un jour, sa dépouille pourra être exposée dans la basilique.


LaGazette  03/04/2005

Jean Paul II: Le Pape de notre démocratie part
Le monde pleure ! Même la Chine qui reste le bastion du communisme que Jean Paul II a cherché à séduire durant ses 26 ans de pontificat n’est pas restée insensible durant l’agonie du chef de l’Eglise catholique. Et à Madagascar, du moins dans la capitale, la vie s’est quelque peu suspendue, hier, après l’annonce par la radio catholique Don Bosco de l’« état critique » du Saint Père qui sera relayé en fin de matinée par TV Plus à travers la chaîne câblée française LCI. Jean Paul II n’est pas seulement la star médiatique que l’on a ici l’habitude de voir et d’apprécier, sur le petit écran, par sa piété et son image sympathique. C’est aussi celui qui à chaque 25 décembre, dédiait de la Place Saint Pierre son « Arahaba tratry ny noely » au peuple malgache. 

Jean Paul II est enfin et surtout celui qui a catalysé l’essence de la démocratie à Madagascar. 
Simples observateurs ou politiciens estiment, en effet, que sans la visite de Jean Paul II en 1989, les soulèvements de 1991 n’auraient jamais eu lieu. Point fort de sa tournée dans la Grande Ile (28 avril au 1er mai 1989), à Antsonjombe, où plus d’une centaine de milliers de personnes ont assisté à la grand-messe, il avait exhorté le courage et la persévérance au peuple malgache. Son « sahia ary aza matahohotra » aura été un message fort pour l’opposition d’alors qu’était l’Alliance démocratique, composée par les anciens candidats malheureux à la précédente élection présidentielle tenue, quelques semaines plus tôt. D’ailleurs si les leaders de ce mouvement, dont Manandafy Rakotonirina, Richard Andriamanjato et feu Marojama Razanabahiny Marojama n’étaient pas reçus en audience par Jean Paul II en personne, de hauts fonctionnaires du Vatican accompagnateurs du Pape avaient discuté avec eux. En fait, la visite du Saint Père aura été l’« onction suprême » au travail mené par le FFKM depuis quelques années contre le régime de Didier Ratsiraka, Jean Paul II lui-même s’étant engagé contre ce genre de 

gouvernance (lire en page 7 la biographie du Pape tirée sur le site de l’Eglise catholique de France).
 Du fin fond de la brousse comme en plein cœur des cités urbaines, prêtres (surtout) et pasteurs avaient commencé à sensibiliser les fidèles sur les dérives du régime. Dans les églises comme dans les temples, les sermons contournaient la censure qui ne fut levée qu’en février 1989, à quelques semaines de l’élection présidentielle mais aussi de la venue du Pape qui partout dans le monde, a marqué de son empreint le changement vers la démocratie, vers la liberté. 
Français Mitterrand qui avait aussi visité Madagascar après le fameux discours de La Baule sur la démocratie étant, l’opposition naissante prend confiance et réussit finalement à amasser la foule sur la Place du 13 Mai en 1991. La Convention du 31 octobre de la même année qui avait conduit à la transition, n’aurait été rendue possible sans l’intermédiation du FFKM. Mais dix ans après, le pays connaîtra le même problème politique. Cette fois-ci, le FFKM choisit son camp, celui de Marc Ravalomanana dont le rôle au sein du FJKM (en tant que vice-président) et surtout le récent discours sur la théocratie, sont pourtant très controversés aujourd’hui. 
Bref, Jean Paul II aura été le père de notre démocratie, que l’on accepte ou non. Au-delà de la tristesse humaine, c’est sans doute la raison pour laquelle les fidèles pleurent et prient pour lui. Une messe est prévue cet après-midi à 16 heures 30 à la cathédrale d’Andohalo. C’est sans doute une occasion de voir ce que nous aurons utilisé du patrimoine démocratique légué par Jean Paul II à Madagascar. 


Madagate  04/04/2005

Jacques Rabemananjara s’est éteint samedi dernier en France - 04/04/2005 @ 09h04 - Paris 
Jacques Rabemananjara n’est plus 
Né à Maroantsetra en1913, Jacques Rabemananjara s’est éteint samedi dernier en France. Patriote malgache, député MDRM, il appartenait au noyau dur de ce parti aux côtés du Dr Raseta et de Ravoahangy. « Ecrivain malgache de langue française, inséparable de son activisme politique anticolonialiste, tradition et ouverture au modernisme », évoque le petit Larousse à son propos.
Jacques Rabemananjara s’est présenté à la Présidentielle de 1989 face à Didier Ratsiraka et d’autres candidats. Il s’est déplacé à Madagascar pour mener sa campagne électorale en se basant sur la lutte contre la pauvreté. Un communiqué de la Présidence annonce que des funérailles nationales sont prévues en l’honneur de ce « Raiamandreny chef de lutte et député MDRM ». L’organisation et le déroulement de ces funérailles nationales seront connues incessamment
.

Jacques Rabemananjara est né à Maroantsetra dans la baie d'Antongil sur la côte Est de Madagascar en 1913. Après un bref séjour au petit séminaire sur l'ile Sainte Marie, il rejoint la capitale, Antananarivo, pour finir ses études au grand séminaire. En 1935-36, dix numéros du mensuel Revue des jeunes de Madagascar, dont il assume la direction, sont publiés mais les autorités coloniales considèrent leur contenu dangereux et en interdisent la publication. 
En 1939, alors agé de 26 ans, Rabemananjara est choisi pour faire partie de la délégation malgache devant participer à la commémoration du 150ième anniversaire de la révolution française. Dès son arrivée à Paris, il s'inscrit à l'université de la Sorbonne où il y poursuit ses études en Lettres Classiques et y obtient une licence. Quelques mois après son arrivée en France il publie à Gap son premier recueil de poèmes, Sur les marches du soir. C'est également à cette époque qu'il fait la rencontre de Léopold Sédar Senghor et surtout d'Alioune Diop aux côtés duquel il participera, dans l'immédiat après-guerre, au projet de la revue Présence Africaine. 
En 1946, il rencontre les docteurs Raseta et Ravoahangy et ensemble, depuis Paris, ils fondent le MDRM (mouvement démocratique de la rénovation malgache). Élu deputé de la région de Tamatave en 1946, Rabemananjara ne pourra cependant pas siéger à l'Assemblée Nationale. En effet, aux lendemains de l'insurrection malgache de mars 1947, Jacques Rabemananjara, suspecté d'en être l'un des instigateurs, est arrêté, torturé, jugé et condamné à la prison à perpétuité. 

C'est au cours de ces longues années passées en prison qu'il écrira les poèmes Antsa, Lamba et Antidote qui lui vaudront le titre de "chantre de la négritude." 
Gracié en 1956, il n'est cependant autorisé à rentrer dans son pays qu'au moment de l'indépendance en 1960. Il participe alors à la première république malgache au cours de laquelle il occupera tour à tour divers ministères au sein des gouvernements du Président Philibert Tsiranana. Après la révolution de 1972, il choisit l'exil et ne retournera à Madagascar qu'en 1992. Jacques Rabemananjara vit actuellement à Paris. 
– Magali Compan-Barnard - Sources : http://www.lehman.cuny.edu    [ Posté par : midi-madagasikara.mg |


 Wanadoo.mg  05/04/2005

Décès de Jean Paul II : le cardinal malgache quitte le pays en vue du conclave au Vatican
Aussitôt annoncé, le décès du pape Jean Paul II a suscité le recueillement à Madagascar et, dès dimanche soir, le cardinal malgache a quitté le pays pour se rendre à Rome. 
Le cardinal Armand Razafindratandra participera aux funérailles de Jean Paul II et sera parmi les 117 évêques participants au conclave qui désignera le susscesseur du défunt pape. Une messe a été oragnisée pour le repos de l'âme de Jean Paul II dimanche dans la capitale. Auparavant, le président malgache, ainsi que les membres du gouvernement, ont présenté leurs condoléances, au Nonce apostolique, représentant diplomatique du Vatican à Madagascar. 
Dans la Grande Ile, la foi catholique est celle qui compte le plus d'adeptes parmi les églises chrétiennes du pays. On sait, en outre, que un peu plus de la moitié de la population malgache sont chrétiens. 
©MATERA


TIM France 05/04/2005

Jean-Jacques Rabemananjara - Masoivohon'i Madagasikara eto Parisy 
Amin'ny alakamisy 7 aprily ho avy izao no hatongavan'ny razan'i Tompokolahy Jean-Jacques Rabemananjara ao amin'ny masoivohon'i Madagasikara eto Parisy, 1 Bd Suchet 75016 Paris. Manomboka amin'ny 10 ora maraina ka atramin'ny 1 ora sy sasany tolakandro dia afaka mamangy izay maniry ny hanao izany ary afaka mameno ny bokim-piaraha-miory. 
Amin'ny 1ora sy sasany dia eny amin'ny fiangonana Alésia no hanaovana ny fotoam-pivavahana mialohan'ny fodian'ny razana any Madagasikara. 
Tongava maro. 

La dépouille mortelle de Jean-Jacques Rabemananjara arrivera à la Résidence de l'Ambassadeur de Madagascar au 1, Bd Suchet 75016 Paris le jeudi 7 avril à 10H. Le public pourra lui rendre hommage jusqu'à 13H30 et remplir le livre des condoléances. 
A 13H30 une cérémonie religieuse se tiendra à l'église Alésia avant son départ pour l'aéroport de Roissy Charles de Gaulle d'où il rejoindra Madagascar. 
Venez nombreux.


Madamaki  05/04/2005

COMMUNIQUE DE PRESSE
Madagascar déplore la perte de l'un de ses grands hommes d'Etat -- Commandeur de la Légion d'Honneur française et décoré de l'Ordre National malgache --, écrivain et poète, Jacques Rabemananjara, décédé à Paris ce samedi 2 avril 2005. 
Ancien député français pendant la période coloniale, puis Ministre des Finances et des Affaires Etrangères tour à tour entre autres hautes fonctions gouvernementales, il sera également vice-Président de la République malgache à l'indépendance de Madagascar. Jacques Rabemananjara a également reçu de l'Académie Française le Grand Prix de la Francophonie. 
Surnommé " chantre de la négritude ", cet ami de Léopold Sédar Senghor et contemporain d'Aimé Césaire, sera inhumé à Madagascar au " Tanindrazana ", littéralement "la terre des ancêtres " après des funérailles nationales qui auront lieu le dimanche 10 avril 2005 à Antananarivo, en présence du Président de la République de Madagascar, Marc Ravalomanana. 
La dépouille mortelle de Jacques Rabemananjara sera exposée à la Résidence de Madagascar, 1 boulevard Suchet Paris 16ème arrondissement, le Jeudi 7 avril 2005 de 10 heures à 13 heures 30 pour ceux qui désirent lui rendre un dernier hommage. 
La levée du corps aura lieu à 13 heures 30 et le cortège se rendra à l'Eglise catholique d'Alésia, boulevard d'Alésia, Paris 14ème où une messe sera célébrée à 14 heures 30. 
Un registre de condoléances sera également à la disposition du public le même jour à la Résidence ainsi que le vendredi 8 avril à la Chancellerie (4 avenue Raphaël, 75016 Paris) de 10 heures à 16 heures. 


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Les nouvelles 05/04/2005
Pierrot Rajaonarivelo n'aurait pas d'autre choix que de revenir au pays 
Pour éviter l'humiliation d'un retrait du visa de courtoisie accordé par la France après les événements de 2002, Pierrot Rajaonarivelo a le choix entre “arrêter de faire de la politique” ou “revenir au pays”. Vendredi, le secrétaire d'Etat français aux Affaires étrangères, Renaud Muselier, a rappelé le devoir de réserve dont le secrétaire national de l'Arema devrait faire preuve. Mais le secrétaire national de l'Arema a fait son choix. Il ne renoncera pas à son ambition présidentielle. “Je suis avec vous, ma conviction est inébranlable”, souligne-t-il dans son dernier message. 
“Il est possible que Pierrot Rajaonarivelo revienne au pays malgré le contexte”, a confié Samuel, coordinateur national de l'Arema, à L'Express de Madagascar. Il ne croit pas si bien dire. Même s'il risque de se faire arrêter dès son arrivée à l'aéroport, son secrétaire national n'a en fait d'autre choix que de rentrer, à moins de renoncer à ses ambitions. Celles d'unir les forces de l'opposition et de conduire cette union aux prochaines échéances électorales, entre autres. 
Vendredi, le secrétaire d'Etat français aux Affaires étrangères, Renaud Muselier, a souligné que “le territoire français n'est pas une base arrière pour faire des offensives politiques”. Un rappel de ce qu'a déjà annoncé en juillet Jacques Chirac lors de son bref passage à Madagascar. “La France ne peut accepter sur son territoire des personnalités qui militent d'une quelconque façon contre un pays avec lequel elle entretient des relations fraternelles”. 
INDISCRETION POLITIQUE 
A l'époque, les dignitaires du régime Ratsiraka étaient encore plus ou moins discrets sur le plan politique. Ce qui ne semble plus être le cas depuis quelques semaines. Pierrot Rajaonarivelo, en particulier, ne semble plus vouloir respecter le devoir de réserve auquel il est astreint. Communiqués de presse, messages pré-enregistrés et interviews se sont multipliés. Il s'est même doté d'un site Web pour parfaire son image et pour mieux communiquer avec le monde. L'ancien vice-premier ministre ne s'est pas contenté des retombées médiatiques des “infamies, harcèlement et acharnement”, comme il qualifie lui-même ce que le pouvoir fait subir à sa famille et à lui-même. 
La cassation de l'arrêt qui le condamnait et les perquisitions de son domicile et des bureaux de sa femme l'ont propulsé sous les feux de l'actualité et lui ont valu la une des journaux, mais cela ne semble pas lui avoir suffi. Pierrot Rajaonarivelo, qui a d'ailleurs déjà annoncé sa candidature aux prochaines échéances électorales, a fait son choix. Parfaitement au courant de ce devoir de réserve, il n'en continue pas moins, de son exil parisien, de critiquer le régime Ravalomanana et d'adresser des messages politiques aux Malgaches.
CONNAISSANCE DE CAUSE 
Lors d'une interview dans l'émission Tafatafa de TV Plus en janvier, il n'a pas manqué de souligner que “bénéficiant d'un visa de courtoisie, je suis astreint à un devoir de réserve”. Un devoir de réserve qu'il a de nouveau enfreint samedi en réagissant à froid aux perquisitions dont sa femme a été victime. Même s'il a pris le temps de “prendre le recul nécessaire devant tant d'animosité, de mesquinerie et de mauvaise foi”, le message qu'il a adressé à ses “chers compatriotes” est un véritable réquisitoire contre les dirigeants actuels. “La peur et les souffrances font notre quotidien, notre pays est en danger”, dénonce-t-il entre autres en martelant que “malgré les menaces, les intimidations, les harcèlements, je suis avec vous, ma conviction est inébranlable”. 
Si physiquement, Pierrot Rajaonarivelo est encore loin de Madagascar, son retour est imminent. Les autorités françaises n'ont encore pris aucune mesure à son encontre. Mais s'il poursuit ses offensives politiques, il pourrait éventuellement être invité à quitter le territoire français. Pour éviter de subir pareille humiliation, le secrétaire national de l'Arema n'a d'autre choix que de rentrer ou de solliciter l'asile politique dans un autre pays. 
Pour l'instant, la probabilité que la France lui octroie le statut de réfugié politique est mince. Il avait d'ailleurs annoncé au cours de l'interview accordée à Valentino Razafindrakoto de la TV Plus qu'il n'avait pas demandé l'asile politique à sa terre d'accueil. En attendant, l'Arema prépare activement ce retour. “Ce sera aussi extraordinaire que l'accueil qu'on a réservé à Didier Ratsiraka en 1997”, a annoncé le sénateur Benjamin Vaovao, secrétaire national administratif du parti. 
Lova Rabary


Les Nouvelles 03/04/05

Le Trocadéro, à Paris, théâtre d'un face-à-face entre Tim et opposants
Le Tim-France appelle à manifester contre la manifestation parisienne de l'opposition
Les contre-manifestations sont une spécialité des militants Tim. Après l'avoir expérimentée à Madagascar lors des manifestations respectivement organisées par le KMMR-Nouveau et l'Ofpacpa de Victor Wing Hong, voilà le parti prêt à exporter la pratique en France. Cet après-midi, “militants compatriotes et amis de Madagascar” sont rameutés sur la place Trocadéro pour contester la manifestation de contestation d'une coalition de l'opposition.
Le Tim-France rameute ses membres. Objectif: manifester contre la manifestation de contestation organisée ce jour à Paris, place Trocadéro, par un collectif d'opposants. “Pour que règnent la paix et la tranquillité dans notre pays”, la section France du parti présidentiel appelle ses membres et sympathisants à brandir en France “banderoles et porte-voix”. 
Sous la houlette de Fanantenandrainy Ratsimbazafy, récemment porté à la tête de la section France du Tim et de plusieurs dignitaires des régimes Zafy et Ratsiraka, la diaspora malgache agitera, pendant quelques heures, “la tranquillité et la paix” de Paris. Comme ce fut le cas en 1991 et en 2002 où la communauté malgache de France, souhaitant montrer qu'elle n'est pas tout à fait absente de la vie politique du pays, n'a pas manqué de manifester bruyamment ses opinions. 
CONTRE-MANIFESTATION
Pour être efficace, le Tim-France compte être sur les lieux une demi-heure avant la coalition de l'opposition. Un comportement qui n'est pas sans rappeler les contre-manifestations organisées par une bande de jeunes à Mahamasina et à Analakely en 2003 et en 2004 pour “mâter” des meeting de l'opposition locale. 
Mais si à l'époque et à Madagascar on parlait plus d'une contre-manifestation de la “population tananarivienne” qui soutenait encore le régime et ses réalisations, aujourd'hui en France, le Tim ne se cache plus. C'est lui qui appelle les “militants compatriotes et amis de Madagascar à soutenir le régime de Marc Ravalomanana et à contester la manifestation de l'opposition”. 
Cette manifestation étant destinée à contester “les pratiques arbitraires du pouvoir Ravalomanana quant à la gestion de la Nation malgache”, la contre-manifestation aura pour but de “soutenir le régime du président Marc Ravalomanana contre les manœuvres de déstabilisation des membres de l'opposition”. 
Dans son appel, la coalition de l'opposition, regroupant Assidu-Madagascar, Dur-Madagascar, le Rassemblement des Malgaches en France (RMF), le Herin'ny Malagasy miray et le Cap-Madagascar, dénonce la violation des droits de l'homme et des principes démocratiques, l'Etat de non-droit, l'incompétence des gouvernants, la montée de la dictature et l'obscurantisme intellectuel. Pour le RMF, “tête de pont du RFN en France”, la diaspora, à l'occasion de cette manifestation “ne fait que prêter sa voix pour exprimer la douleur de la population que les dirigeants refusent d'écouter dans l'Etat de non-droit qu'est devenue Madagascar”. 


Madagate 02/04/2005

Pierrot Rajaonarivelo, rappelé à l’ordre par la France
ASILE. « Le territoire français n’est pas une base arrière pour faire des offensives politiques », souligne Renaud Muselier.
Pierrot Rajaonarivelo, rappelé à l’ordre par la France
Pour le secrétaire d’Etat français aux Affaires Etrangères, Renaud Muselier, la position française est claire. « Le territoire français n’est pas une base arrière pour faire des offensives politiques ». C’est ce qu’il a souligné hier lors d’une conférence de presse qu’il a donnée à la Résidence de France. Il a répondu par là à une question qui lui a été posée sur le cas des ex-dirigeants malgaches qui se trouvent actuellement en asile sur le sol français.

Nirina R.
« Ceux que nous recevons ne doivent pas faire de la politique à partir de chez nous », a-t-il martelé. Cela laisserait sous-entendre le retour imminent au pays de Pierrot Rajaonarivelo, qui prépare actuellement son retour sur la scène politique en tant que candidat aux prochaines élections présidentielles. Et qui envoie des messages aux partisans de l’AREMA. Mais ce rappel à l’ordre ne s’est pas seulement adressé à Pierrot Rajaonarivelo, mais également aux autres personnalités politiques malgaches qui se sont réfugiées en France. Toutefois, les observateurs restent sceptiques, car si la France appliquait au pied de la lettre ce principe, il y a belle lurette que ces « politiciens » malgaches auraient été expulsés.
Par ailleurs, le secrétaire d’Etat français a fait un bilan positif de sa visite en terre malgache. Une visite qu’il qualifie de dense, d’enrichissante et de fructueuse. Il a aussi ajouté que le Président de la République et le Premier ministre ont pris des initiatives courageuses, et de fait, il a confiance dans l’évolution démocratique du pays. Outre l’adoption internationale et les déplacements présidentiels respectifs, le positionnement français sur le port de Toamasina, le cas des entreprises françaises de travaux publics, le système bancaire, l’assainissement ainsi que le projet du groupe Accor ont également été abordés dans ses différentes rencontres avec les autorités malgaches. Renaud Muselier quittera la Grande Ile ce jour.
PARLEMENT. Un séminaire regroupant les femmes parlementaires francophones de l'Océan Indien se tiendra du 6 au 8 avril à Antananarivo.
Femmes parlementaires, contre les discriminations
Marie Zénaïde Lechat Ramampy, Vice-présidente de l’Assemblée nationale, Présidente du Réseau des Femmes parlementaires malgaches et tout naturellement maîtresse d’œuvre de ce séminaire, a bien voulu nous donner de plus amples informations sur ce séminaire qui est le premier rendez-vous international que Madagascar accueille pour cette année 2005. Le fait que le Parlement malgache et en particulier notre Assemblée Nationale « ouvrent le bal » n’est pas le fruit du hasard mais marquent bien la place de notre Législatif sur le plan international.
[ Posté par : midi-madagasikara.mg 


Wanadoo.mg   03/04/2005

RNS, la rencontre de la diaspora malgache d'Europe, sous le signe du "fihavanana"
La grande Rencontre nationale sportive s'est déroulée comme prévu tout au long du week-end pascal en France. Les organisateurs s'attendaient à une affluence record cette année du trentième anniversaire de la RNS et effectivement, plus de 6500 personnes sont venues à Vichy contre 5000 l'année dernière. 
Dès le samedi matin, lors de la cérémonie d'ouverture, les responsables du centre Omnisport de Vichy ont estimé le public à près de 2000 personnes, chiffre impressionnant si l'on se base sur les chiffres des années précédentes. 
L'émotion était au rendez-vous dès l'ouverture avec les enfants habillés en tenue traditionnelle, arborant les pancartes des associations participantes, entourant les trois personnes (un homme, une femme, une enfant) qui ont entonné l'hymne malagasy et l'hymne français. Cette année, la jeunesse était au centre de la RNS, gage de notre relève, héritière de nos valeurs. 
Madagascar était bien présent dans le cÏur de tout le monde, et grande fut l'émotion en voyant la démonstration de Diamanga, effectuée par les membres venus spécialement de Madagascar lors de la cérémonie d'ouverture. 
D'autres compatriotes sont également venus de Madagascar, par exemple pour le Cross, une nouvelle discipline cette année, mais aussi le Tennis de table avec les deux jeunes pongistes qui se sont qualifiés pour les jeux de la francophonie de décembre 2005 au Niger. 
Pour marquer ce trentième anniversaire, les associations étaient invitées à se produire devant près de 3000 spectateurs le samedi soir. Danses, chants, poésie et kabary étaient au rendez-vous, dans une ambiance festive, conviviale et fraternelle. 
La consigne générale des organisateurs était le Respect, respect de l'autre mais aussi respect du timing, ce qui en règle générale était respecté par chacun des chefs d'équipe. 
Mais le clou du spectacle a été le dernier match de basket dans un Palais des Sports archi-comble - 3300 personnes - avec une ambiance électrique, digne des plus grandes rencontres sportives, où aussi bien dans les tribunes que sur le terrain, le spectacle était grandiose. Ce match tant attendu n'a pas failli à sa réputation de "finale". L'équipe de Caraman Toulouse, tenante du titre l'année dernière, menée à plus de 13 points au début par l'équipe de Armadas Paris a fait une remontée spectaculaire. A trente secondes de la fin, le score était de 31 à 31. Dans une ambiance survoltée, à 10 secondes, le panier de la victoire a été marqué par l'équipe Toulousaine. 
Bref, dans l'ensemble, aucun incident majeur n'a été signalé malgré le chiffre record de 6500 participants. Comme pour tout, des points d'améliorations sont à souligner comme par exemple le temps d'attente à la restauration. Cette année, 
la ville de Vichy a voulu gérer la restauration, avec l'aide d'un chef malgache. Peut-être victime de son succès, le service de restauration n'a pas pu suivre le flux des demandes, générant ainsi une heure d'attente pour les repas, décevant quelques-uns qui n'ont pu manger des plats malgaches qu'ils ont commandés, faute de quantité suffisante. 
La RNS constitue désormais une porte vers l'intégration de la communauté malgache ici en France et en Europe, tout en sauvegardant les spécificités bien malgaches du concept du Fihavanana, traduit par le slogan propre à la RNS : "Firahalahiana vao fifaninanana" se traduisant par "la fraternité avant la compétition". 
Antso Tragin, Patricia Randrianarisoa et Fano Rakotoarisoa
©Les nouvelles 


Wanadoo.mg  05/04/2005

L'Indien Mamod Taky arrêté à Analakely
L'Indien Mamod Taky qui a défrayé la chronique ces derniersmois, a été arrêté hier en plein centre-ville, à Analakely. 
Il a menacé l'un des collaborateurs de son avocate et a essayé de l'étrangler. Ce geste aurait été motivé par son désir de voir son avocate mais celle-ci était absente de son étude. 
Il faut rappeler que Mamod Taky est présumé avoir participé à la tuerie des membres de sa belle-famille, il y a quelques années de cela. Il a été également épinglé pour des supposées fraudes douanières. Et ces derniers temps, cet homme d'affaires a porté plainte à plusieurs reprises contre le journal La Gazette de la Grande Ile pour diffamation. 
Alors que tout le monde et même le milieu policier le croyait en exil aux Comores ou dans une des îles voisines, Mamod Taky est bel et bien à Antananarivo. Son geste d'hier l'a trahi car les collaborateurs de son avocate ont appelé la police après sa menace. Il a été arrêté pour être interrogé et la police a révélé qu'il devrait encore répondre d'autres affaires le concernant. Affaire à suivre... 

©MATERA 

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Séminaire  le  2-3 et 7-8 avril 2005

La RNS a soufflé ses 30 bougies cette année 2005

 le site officiel de la RNS  : www.rns-cen.com 

en partenariat avec www.madagate.com

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 Reportage sur  www.madagate.com

2ème anniversaire

Vanilland

 

le 2 avril 2005

+ de détails cliquez ici  >>

reportage  sur www.vanilland.com

   

 

 

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