Madavôvô 2004  

L'Année 2004 c'est l'année des Ouvertures..  ;   Le 26 Juin 2003   l'ARF a soufflé ses 3 bougies...

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Raharaha Zaraniaina.... ;  Cacao de Mada... ;  Rassembleurs et Dynamiques... ;  Savoir vivre sur le web...  ;  200 Milliards pour le secteur public... ;  Air mad renforce sa flotte... ;

Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent

Sommaire Madavôvô: 17 Décembre 2004

1. Asa an-terivozona mandra-pahafaty no sazin’ i Portos sy i Coutiti (Express)

2. CRISE DE 2002 - TRAVAUX FORCÉS À VIE POUR PORTOS  (TIM France)

3. Pierres fines : 56 kilos de tourmaline bloqués par la douane pour fausse déclaration (Midi)
4. No Comment.... No Comment...

5. La distribution du riz à 3 500 Fmg se normalise : Consommation (Madamaki)

6. Writing for Madagascar's president (Nosintsika)

7. Zones franches de non-droit  (Nosintsika)

 

COURS DES CHANGES

16/12//04

EURO(cmax) 12 900 FMG 
EURO(cmin) 12 200 FMG 
EURO(cmp) 12 706 FMG 
USD 9 750 FMG 
GBP 18 140,92 FMG 
CHF 8 315,99 FMG 
JPY 91,06 FMG 
ZAR 1 654,00 FMG 
HKD 1 223,15 F 

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

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... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


EXPRESS 17 dec 2004

Raharaha 2002 - Asa an-terivozona mandra-pahafaty no sazin’ i Portos sy i Coutiti
Nohelohin’ny fitsarana hanao asa an-terivozona mandrapahafatiny miampy fandoavana onitra mitentina 23 tapitrisa ariary, omaly, raha nandalo fitsarana heloka bevava tetsy amin’ny lapan’ny Fitsarana tetsy Anosy i Ampy Augustin Portos sy i Coutiti Assolant.

Izy no Coutiti Assolant.

Ny zava-nitranga tany Nosy Be nandritra ny fidiran’ireo rezervista hampandry tany tany no nitsarana azy ireo tamin’izany. Vonoan’olona, fandratrana, fampiasana fitaovam-piadiana, fanakaramana hanapoizina olona, fanapotehana fananan’olona, famoronana fikambanan-jiolahy ary fanohintohinana ny fiandrianam-pirenena, ireo no indray niampangana azy roalahy tamin’izany. 
Na i Coutiti na i Ampy Portos dia samy tsy niatrika ny fitsarana azy omaly. I Ampy Portos moa dia iny tratry ny mpitandro ny filaminana tao Mayotte iny, ny taona 2003, ary nangataka an’i Frantsa mba hampialokaloka azy ka dia any hatramin’izao. Efa notsaraina teo Anosy ihany koa izy noho ny fakany an-keriny ny vedetin’olona nandosirany tao Kaomaoro ary dimy taona an-tranomaizina no saziny tamin’izay.
I Coutiti kosa, raha ny fanazavan’ny mpisolo vava azy, dia nandà an-kitsirano fotsiny izao tsy hiatrika ny fitsarana azy. Zon’ny voampanga izany, raha ny fanazavany, ary tsy azo terena amin’izany izy. Eny amin’ny fonjan’i Tsiafahy moa izy no tazonina sy manefa ny saziny ary salama tsara. Fanintsivin’ny raharaha nitsarana azy ity ary fanindroany nahazoany sazy an-terivozona mandrapahafaty. 
Nisy dimy lahy hafa ihany koa voampanga sy niaraka notsaraina taminy : mpiasan’ny “hôtel de la mer” ao Nosy Be iray sy ny filohan’ny fokontany miaraka amin’ny kartie mobily telolahy tany an-toerana. Sazy roa taona an-tranomaizina no nomen’ny fitsarana an’ilay mpiasan’ny hotely. Izy moa dia voampanga ho niray tetika tamin-dry Coutiti noho izy nahafantatra ny vaovao momba azy ( ny tetika nokotrehiny satria voalaza fa tao amin’io hotely io no 

toerana fivoriany ) nefa tsy nampandre ny tompon’andraikitra tao an-tanàna. 
Nomen’ny fitsarana fahafahana kosa ireo tompon’andraikitry ny fokontany efa-dahy tao. Izy ireo indray dia 

voalaza fa nokaramain’i Ampy Portos iray alina ariary mba hanapoizina ireo rezervista raha tafiditra ao an-tanàna. 
Nisy telo moa ny mpangataka onitra tamin’ity raharaha ity : dokotera nampijalian-dry Coutiti ny iray ary vadina rezervista novonoiny ny roa. Any amin’izy ireo, araka izany, ny onitra no aloan’izy roalahy.
Nirina Rakotoson:


TIM France  17/12/2004

CRISE DE 2002 - TRAVAUX FORCÉS À VIE POUR PORTOS 
Source L' Express de Madagascar vendredi 17 décembre 2004 , par TIM France 
L'ex-sénateur et hôtelier Ampy Augustin Portos est toujours réfugié au Mozambique. 
AFFAIRE 2002 - La Cour criminelle condamne Coutiti Assolant et Ampy Portos aux travaux forcés à perpétuité 
Ni Ampy Augustin Portos ni Coutiti Assolant ne furent présents à l'audience de leur procès hier, à Anosy. Pour leurs agissements à Nosy Be en 2002, tous les deux ont écopé de la peine maximale. 
La Cour criminelle du tribunal d'Antananarivo a condamné par contumace Coutiti Assolant et Ampy Augustin Portos aux travaux forcés à vie et Ar 23 millions (115 millions Fmg) chacun, hier. Les charges portées contre ces deux personnes, sont très lourdes. Ils sont accusés d'avoir perpétré des meurtres, de coups et blessures, de mandatements à commettre des empoisonnements, des destructions de biens d'autrui, de création d'associations de malfaiteurs et d'atteinte à la sûreté de l'État. Ces actes ont été perpétrés lorsque les forces de la pacification ont occupé Nosy Be. Les accusés ne se sont pas présentés à la barre parce que Ampy Augustin Portos se trouve actuellement en France après s'être enfui du pays. A cette époque, il a détourné une vedette privée pour rejoindre les îles Comores. Suite à cet acte, il a été arrêté à Mayotte et le tribunal d'Anosy l'a condamné à 5 ans fermes. Coutiti Assolant, quant à lui, a, d'après son avocat, refusé carrément de se présenter devant le tribunal. "Il a le droit de le faire", a-t-il indiqué. Incarcéré à la Maison de force de Tsiafahy, Coutiti a déjà écopé d'une peine de travaux forcés à perpétuité. Cinq autres personnes ont été jugées lors de ce procès. Condamnées à deux ans d'emprisonnement ferme, la première était une employée de l'Hôtel de la Mer à Nosy Be. Ce prévenu est accusé d'avoir caché Coutiti. Les quatre autres, des anciens présidents de fokontany dans l'Ile aux Parfums, ont été accusées d'avoir été commanditées par Ampy Augustin Portos pour empoisonner des réservistes. Toutefois, la Cour criminelle les a acquittées sans condition. :


MIDI MADA 17/12/2004

Pierres fines : 56 kilos de tourmaline bloqués par la douane pour fausse déclaration
Pourquoi le service des douanes déclare-t-il que notre marchandise, 56 kilos de pierres fines, précisément de la tourmaline, n’est pas conforme alors que le service des mines nous a délivré l’autorisation de sortie de ces pierres. Ce fut la déclaration de cet exportateur de pierres fines et de gemmes qui devait prendre son avion pour l’Asie hier après-midi mais ne pouvait pas le faire parce que son entreprise n’a pas obtenu l’aval de la douane pour exportation. Pour ce promoteur, il est incompréhensible que deux entités responsables, en l’occurrence, le service des mines, pour qui le promoteur était en règle, et le service des douanes, qui affirme que l’exportateur est en infraction, n’arrivent pas à se mettre d’accord sur un même dossier. 
Didier Rambelo
Pour ne pas se contenter d’un seul son de cloche, nous avons contacté le service des douanes à l’aéroport d’Ivato. D’après les explications du Receveur des Douanes, Mme Raveloarisoa, cette décision a été prise par l’inspecteur des douanes après la constatation d’une non conformité de la déclaration de valeur faite par l’exportateur. Ce responsable explique que l’opérateur en question a sous-évalué ses marchandises. « Il s’agit d’une fausse déclaration de valeur », devait-elle déclarer. Mme Raveloarisoa d’ajouter : « Les valeurs déclarées étaient dix fois inférieures à celles indiquées dans les prix de références des pierres fines brutes ». Ces valeurs de référence, note-t-elle encore, ont été établies conjointement par la Direction des Mines et le service des douanes. 
La question qui se pose est de savoir s’il y a eu effectivement une minoration de valeur. En tout cas, le promoteur nie l’existence d’une fausse déclaration. Il affirme que les prix déclarés lors de la présentation du dossier à la douane étaient fixés par les agents du service des mines après l’analyse du laboratoire des mines. Le promoteur a noté que le service des mines avait déjà procédé au scellage du paquet (56 kilos de tourmaline), de même que la police des douanes, qui, lui, a procédé au plombage. Pour l’exportateur, il a suivi les procédures auprès de l’administration minière. Mais la douane, qui se veut être un défenseur du patrimoine du pays, affirme qu’elle est contre toute forme d’acte, menant à un gaspillage des richesses de Madagascar. Nous en reparlerons.


NO COMMENT        NO COMMENT       NO COMMENT      NO COMMENT

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...Les 8 Familles et leurs vœux 2004

  (vu sur le site  www.rainizafimanga.com)

  "Les 'Grands' parlent d'idée

  les 'médiocres' parlent d'évènements

  les 'misérables' parlent contre les personnes..."


Madamaki 17/12/2004

La distribution du riz à 3 500 Fmg se normalise : Consommation
Incroyable mais vrai. Une petite épicerie devant le stade de rugby à Antanimena propose du riz importé à 3.500 Fmg le kilo, mais personne ne s'empresse de l'arracher. C'était hier à midi trente. Pourtant, une semaine auparavant, cette épicerie n'aurait pas échappé à une... mêlée ouverte.
"C'est l'image d'une normalisation progressive de la distribution de riz importé à 3.500 Fmg. La stratégie du gouvernement d'inonder le marché et de multiplier les points de vente dans les fokontany, a fini par réduire le temps de queue et convaincre les ménages de la disponibilité de gros stocks", note avec satisfaction un responsable du canal de distribution mis en chantier par le gouvernement et des sociétés privées agréées par l'Etat à s'associer à cette opération.
Après des semaines de doutes, d'inquiétudes, de colère et de résignation, les ménages à faible revenu peuvent passer les fêtes de fin d'année avec du riz à un prix abordable. Mais à 3.500 Fmg le kilo, le riz n'est toujours pas à la portée de toutes les bourses.:
[ Source : Express]


NOSINTSIKA 17/12/2004

Writing for Madagascar's president
Mahavariana, hoy i Rafa Joss izay
Writing for Madagascar's president      By Luke Freeman           Antananarivo, Madagascar 
One night I was a dusty cowboy surviving on dry meat and rice, sleeping on a bed of straw on the starlit plains of western Madagascar. The next evening I was dressed in a dark suit and flying over the same plains in the presidential jet. 
Luke herded zebu cattle 300 miles to market 
By nightfall I was sleeping in the Sheraton Hotel in Addis Ababa. 
This bizarre double life of extremes began after I won a travel bursary in 2003, which gives first-timers the chance to make a radio programme. 
Taking research leave from my job as an anthropology lecturer in London, I set off microphone in hand to Madagascar to live the life of the young cowboys who drive herds of long-horned, hump-backed zebu on foot across this vast Indian Ocean island. 
Tough men 
I already knew the country well, having spent a year trying to learn French there as an undergraduate, and later living for two years in a remote rice-farming village where I conducted anthropological fieldwork. 
In that first year I taught English to a dynamic young businessman called Marc Ravalomanana; on my second visit I learned the Malagasy language and culture in depth. 
These two things were to coincide dramatically on this, my third visit to the great red island. 
The cowboys of Madagascar are incredibly tough young men, living 12 months a year on the ancient cattle tracks. 
I joined a group and we drove our cattle 300 miles to market over dry plains and through dripping forest, along lonely tracks and national highways. 
We carried with us only basics: a blanket, a cooking pot, dry rice, perhaps some meat, and a plastic sheet to make an impromptu tent. 
Self-made millionaire 
This material simplicity is largely born of poverty. Madagascar is one of the 10 poorest countries in the world. 
I spent two months alternating between driving cattle and lunching with ministers 
Since gaining independence from France in 1960 it has struggled economically. From 1975 to 2002 it was ruled almost continually by one man, Didier Ratsiraka. 
He pursued a policy of nationalist Marxism which left Madagascar isolated when the Soviet Union collapsed. 
After losing the presidential election in 2001, Mr Ratsiraka eventually left office, but only after bringing his country to the brink of civil war. 
He was replaced by an inexperienced politician and self-made millionaire whose dairy business had become the most successful company in the island. 
The new president was Marc Ravalomanana, my former English student. 
New shoes 
On the first day back from my first herding journey, covered in red dust and smelling of straw and cattle, I received a telephone call from the presidency: "Be here in 40 minutes, Dr Freeman, the president wants to see you." 
Teach me to speak like [Kofi Annan] (President Marc Ravalomanana )
I hurriedly borrowed a suit and tie and took a taxi stopping off on the way to the palace to buy some tidy shoes. 
My former pupil was pleased to see me and immediately asked me to write him the keynote speech he was to give in English the following day to a World Wide Fund for Nature conference. 
Not wanting to refuse a president, I hastily got down to work and the next morning rehearsed the speech with him, and coached him in body language and intonation. 
That afternoon he delivered it to a standing ovation. He was delighted. He had often been criticised for his inability to speak in public. 
From then on he wouldn't let me go and I became his chief speech writer, even in Malagasy. 
He took me on tours of the island in his helicopter, while I hurriedly wrote speeches to be delivered to enthusiastic crowds. 
Job offer 
I spent two months alternating between driving cattle and lunching with ministers, as a presidential adviser. 
At the African Union summit in Addis Ababa, as the president and I sat together behind the Malagasy flag he asked me to become his director of communications. 
Luke Freeman may yet take up a post at the presidency 
United Nations Secretary-General Kofi Annan had just finished speaking. 
"Teach me to speak like that," he said. 
Although he may be politically inexperienced, 54-year-old President Ravalomanana is no hothead. 
He had established his dairy business by taking quick decisions and seizing opportunities. 
He had seen in me somebody who could solve his communication difficulties and help him address the English-speaking world, with whom he is keen to forge political and economic alliances. 
On a domestic level he had found someone who knows the Malagasy people from the bottom up, and who, unlike him, lives with cattle drovers and rice farmers. 
He saw my use to him before I did. 
It may just be that the cowboy who wandered in off the plains could be the person to help him. 
Luke Freeman won the Journey of a Lifetime Award, a travel bursary funded by the BBC and Royal Geographical Society. 

NOSINTSIKA 16/12/2004

Zones franches de non-droit - Liberation 11/12/04
Salut à tous,
Les zones franches présentent un intérêt certain (euphémisme) pour de nombreuses familles.
Ci-dessous un article qui les place dans un contexte plus large, à savoir mondial.
@ +
Les moderateurs Nosintsika
Zones franches de non-droit
Un rapport accablant de la CISL sur la condition de 42 millions de travailleurs.
Par Christian LOSSON       samedi 11 décembre 2004 (Liberation - 06:00)
C'est à Madagascar. Norosoa, 32 ans, bosse pour une firme belge. Elle dit : «Je fabrique des pulls à la machine, sans masque pour me protéger.» Elle peut confectionner 5 pulls par jour. Mais comme son employeur la pousse à en faire 9, elle finit le boulot à la maison. Salaire : 22 euros par mois. Dont 10 lâchés pour le seul loyer. C'est au Bangladesh. Nurul, 45 ans, est syndicaliste, coordinateur de centres de santé qui tentent d'aider des travailleurs. Métier à haut risque. «On nous a jetés en prison. J'ai passé onze jours dans une cellule qui pouvait contenir 4 personnes mais où nous étions entassés à 16.» C'est au Mexique. Monica, 26 ans, trime pour une boîte de sous-traitance pour Hewlett-Packard. A l'entretien d'embauche, on lui ordonne de se déshabiller. «Puis on m'a demandé si j'étais enceinte.» Non. On lui ordonne de faire un test de grossesse. Rien. On lui intime : «Si tu as tes règles, montre-nous ta serviette hygiénique.» C'est en Haïti. Louissane, 32 ans, coud des uniformes d'écolier. Elle devait faire 10 000 pièces pour toucher 22 euros par semaine. «C'était impossible. Au mieux, 6 000 ou 7 000 pièces.» Alors, on les «bousculait», on les harcelait. On les faisait trimer. De 6 h 30 à 19 h 30. Pas assez. Cinq lignes de production ont fermé. On lui a même inoculé ce qu'elle croyait être un vaccin antitétanique. Mais elle se demande si elle n'a pas subi une campagne de stérilisation. C'est aussi en Egypte (au nom de la flexibilité du travail ?), des travailleurs doivent signer des lettres de démission dès l'embauche. C'est un peu partout. Dans 116 pays.
Ces histoires, parmi d'autres, figurent dans un rapport («L'envers des marques») que publie la CISL (1). Un rapport de plus sur «une réalité fondamentale de la mondialisation». Un réquisitoire de plus contre les ZFE : les zones franches d'exportation. Ou plutôt zones franches d'exploitation. Des territoires aux régimes fiscaux très lights, aux règles très assouplies, des zones de non-droit. Les syndicats y sont interdits, le droit de grève proscrit, les inspections du travail ridicules et la précarité érigée en principe. Prônées par les théoriciens du néolibéralisme, elles devaient favoriser le développement des pays pauvres. «Il n'y a pas le moindre pays où il ait été démontré qu'elles constituaient une voie tangible vers le développement, assure Zwelimzima Vavi, de la Cosatu, un grand syndicat sud-africain. Les investissements sont de nature volatile.» Et les ZFE, de croissance exponentielle. Une poignée en 1970. Plus de 3 000 en 2002. Au moins 5 174 en 2004. Au départ, elles ne dévoraient que quelques vies. Près de 42 millions aujourd'hui. Dont 30 millions en Chine. Les zones franches, ou la face cachée de la mondialisation.
(1) Rapport disponible sur le site de la CISL : www.icftu.org

Les échos de la Soirée "ARF-GasyKanto" du 06 novembre 2004 par nos sites partenaires 

   Le reportage photo sur www.rainizafimanga.com 

Fety sy Fihaonana

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Réveillon à Poitiers

La soirée sera animée par l'Orchestre Kat'mih et les Dj de Poitiers à Nosy Faly

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