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Recueil des News sur Madagascar  qui nous parviennent 12 mai 2004

(patience les extraits se chargent...)

LES JOURNAUX            ...  De nos correspondants à Mada

Clikeo ny 2CV mena

"Hier c'est une  histoire

Demain est un mystère

Aujourd'hui un cadeau..."

Hello again....  TetezamitaKely  Communique sur MadaVôvö

sur le site d'ANIMATION ARR ...RRRRR ! 

http://a.ratsimbarajohn.free.fr/

... le monde entier a les yeux braqués sur Madagascar ...


Sommaire Madavôvô:

1. Chapeau à Landy Volafotsy ! (Madagate)

2. Adoption à MAdagascar: suspension des agréments (Sobika)

3. Politique Zone franche - L’avenir est menacé (La Gazette)

4. Politique : Chèques sans provision (La Gazette)

5. No Comment.... No Comment...

6. DEUX ANS APRES, "LA PAGE DAKAR EST DEFINITIVEMENT TOURNEE!", SELON RAJEMISON (Midi Mada)

6. Mise en place des 22 Régions précédée d'une transition dirigée par un comité régional  (Tiako Mada)

7. Réconciliation nationale :  Pety Rakotoniaina a déjà fait le sien !  (Tribune)

8. Crise de 2002 : le chanteur Rossy se défend d’être un réfugié politique (Wanadoo.mg)


 Rencontrer, Partager, Se Retrouver

Grande    Rencontre    Rainizafimanga  

dans le Périgord      26-27 juin 2004       Klikeo eto

Type : ver

Le virus "Sasser" se propage actuellement sur Internet. Il exploite une vulnérabilité des systèmes d'exploitation Windows(XP, 2000, Millénium) et peut occasionner des redémarrages de votre ordinateur.  Il n'utilise pas la messagerie pour se propager.     suite... " Klikeo eto"

COURS DES CHANGES 

EURO(cmax) 11 380 FMG 
EURO(cmin) 11 330 FMG 
EURO(cmp) 11 355 FMG 
USD 9 589,16 FMG 
GBP 17 084,18 FMG 
CHF 7 344,05 FMG 
JPY 85,01 FMG 
ZAR 1 357 FMG 
HKD 1 228,51 FMG 

Madagate.com  12 mai 2004

Culture : Chapeau à Landy Volafotsy !  Source: Madamaki.com
C'est en présence d’une centaine de spectateurs, que la Troupe Landy Volafotsy s'est produite ce dimanche 09 mai, sur la petite scène du Théâtre international de langue française (TILF), à Paris. 
Un spectacle au cours duquel les superlatifs comme grandiose, fabuleux ou fantastique fusaient partout au milieu d'un tonnerre d'applaudissement continu.
Comédie, chants, des verbes, des pas de danse , tout avait été prévu dans ce spectacle de 1H 45 minutes exécuté par un groupe de treize hommes et femmes aux accents malgaches (comme disait nos confrères du journal Le Monde) et d'une très grande dextérité. Et tout cela avec le sourire et sans un signe apparent de fatigue.
Chapeau à cette troupe qui effectue en ce moment une tournée en France afin de célébrer la bicentenaire de Victor Hugo et surtout de sceller une amitié avec le peuple français .
Bravo ! et bonne continuation!
Jeannot Randroso 


Sobika.com  12 mai 2004

Adoption à MAdagascar: suspension des agréments     SOURCE: CLICANOO
Le comité interministériel traitant les dossiers d’adoption internationale à Madagascar a décidé en fin de semaine dernière la suspension provisoire des agréments délivrés aux centres d’accueil d’enfants et une enquête systématique sur tous les dossiers, ce pour mettre fin aux irrégularités rencontrées dans les procédures d’adoption. Sont représentés dans ce comité les ministères de la Population, de la Justice, de l’Intérieur, des Affaires étrangères et de la Sécurité publique.
Les agréments qui avaient été accordés aux centres Fanarenana, à Andoharanofotsy, et Ketsa, à Vontovorona, impliqués dans un trafic d’enfants - dont le Journal de l’île a fait état dans de précédentes éditions -, ont d’ores et déjà été suspendus. En outre, obligation sera désormais faite à la police de détenir un fichier sur les 22 autres centres agréés et d’effectuer une enquête de moralité concernant leurs responsables. Sont également prévues des descentes inopinées sur les lieux et une surveillance de la police des mœurs.
TRAQUER LES FAUX DOCUMENTS
Parallèlement, pour éviter l’usage de faux documents (livrets de famille, documents médicaux, etc.), les dossiers qui ont été examinés en comité interministériel vont faire l’objet d’une contre-enquête par la police. Le délai pour le traitement de chaque dossier sera ainsi rallongé et porté à trois mois minimum. Par ailleurs, un atelier se tiendra les 28 et 29 juin, qui réunira les différents acteurs concernés pour revoir en détail la législation malgache en matière d’adoption.
“Les affaires d’adoption ont pris de l’ampleur ces derniers temps suite à la découverte par la police d’un réseau de trafic d’enfants et aux rumeurs provoquées par les magouilles et les sommes astronomiques qui sont en jeu. Tous les moyens ont été bons pour les intéressés, jusqu’à faire jouer des interventions en haut lieu”, commente Midi-Madagasikara.


La Gazette 12 mai 2004

Economie: Zone franche - L’avenir est menacé
Le succès de la Zone Franche d’exportation à Madagascar depuis 1990 constitue un cas unique en Afrique avec celui de l’Ile Maurice. Ainsi, la Zone Franche a eu un impact macroéconomique très important en termes d’exportations et d’emplois. Grâce à elle, Madagascar était ainsi devenu le deuxième exportateur africain de produits de l’habillement derrière l’Ile Maurice avant la crise politique de 2002. Les salaires moyens versés dans la Zone Franche sont inférieurs à ceux des autres secteurs formels d’activité. Mais cet écart est dû aux caractéristiques de la main-d’œuvre employée, sachant que les estimations autorisées ne mettent pas en évidence de différences significatives dans le mode de rémunération salariale entre la Zone Franche et le reste de l’économie malgache. Par ailleurs, les conditions sociales dans la Zone Franche sont meilleures. Cependant, des statisticiens économistes concluent que l’avenir de la Zone Franche est menacé par le nouveau cadre commercial multilatéral. 
Pourtant, jusqu’à une époque récente, selon les investisseurs interrogés, leur décision de s’établir à Madagascar a été dans une large mesure motivée par les stimulants fournis par la législation de la Zone Franche .La mise en œuvre réussie de ces lois a permis de réduire les coûts résultant de la bureaucratie gouvernementale et de sa lourdeur. Ces lois ont donc permis de rendre cette zone concurrentielle sur le plan international. Malgré le succès du système de la ZFI, la bureaucratie gouvernementale pèse toujours d’un poids important en imposant des coûts élevés aux affaires. Par exemple, le gestionnaire d’un groupe important de l’industrie du vêtement estime que 20 à 25 % de son temps sont consacré à traiter des problèmes de douane, de taxes, de permis de travail et autres obligations administratives créées par le gouvernement, au lieu de se consacrer à gérer son entreprise. Il a également été obligé d’utiliser de nombreux cadres subalternes dont la seule fonction est de traiter avec le gouvernement. Les entreprises craignent une détérioration du climat des affaires, alors que l’industrie à au contraire besoin de prendre pleinement avantage des opportunités offertes par l’accès préférentiel au marché de façon à devenir plus concurrentielles.
Politique : Chèques sans provision  
Des élus TIM impliqués. A la veille d’une réunion sur la refonte de son règlement intérieur, notamment les clauses touchant le lien avec le pouvoir exécutif, l’Assemblée nationale semble afficher une image floue auprès de l’opinion, à travers les actes de certains membres.
La défaillance est, certes, l’œuvre d’une minorité de députés, mais elle risque de discréditer l’institution. 
Puisque l’affaire a trait à un délit financier et économique, alors que le régime, par le biais des discours des dirigeants, s’engage dans la lutte contre la corruption. Il y a d’abord la question de suivi de l’audit mené au sein du fonds d’aide à la Culture “Ravaka”, rattaché du temps de l’amiral Ratsiraka au ministère de l’Information, de la Culture et de la Communication, dirigé par Betsimifira Fredo. A cette époque, Lahiniriko Jean fut le directeur général de “Ravaka”. L’audit en question évoquait un détournement, ou plutôt l’utilisation non explicite et non justifiée d’une certaine somme. On cite le chiffre à près 300 millions de Fmg, mais il manquait de transparence concernant les responsables du “détournement”. L’actuel président de l’Assemblée nationale est-il dans le collimateur ? 
Ensuite, deux parlementaires élus dans la région de Vatovavy et membres du TIM, paraissent dans une liste des “mauvais payeurs” d’un service du ministère des Finances. L’affaire date de l’année dernière, mais révèle une volonté de certains élus de donner une notion très élastique de l’immunité parlementaire. Il s’agit, en fait, du sénateur Mac Tong Ki Jean-Yves et du député Raka Noël Georges qui ont fait l’objet d’un avis de non-paiement. Le premier a émis un chèque, numéro 8996473 de 46 millions de Fmg pour une grande quincaillerie de la capitale, mais son compte au sein de la BOA “ne permet pas le paiement de la somme”. Tandis que le second a encore utilisé un compte qui est déjà clôturé. Le bénéficiaire de son chèque, numéro 25001658 et d’une valeur de 17 millions de Fmg, une certaine Rakotondramanitra fut scandalisée en se rendant compte, au guichet de la BFV-SG d’Analakely, qu’elle a été filoutée par le député TIM en question. 
Les deux élus ont été avisés ainsi que le Parquet de Mananjary. L’on sait également que les dossiers se trouvaient au ministère de la Justice. Pourquoi donc ce dernier hésite d’enrôler l’affaire ? Même si les bénéficiaires de ces chèques en bois ont été déjà payés, ou un arrangement a eu lieu, “le fait d’émettre des chèques sans provision reste un délit”, comme l’a confirmé hier un haut magistrat d’Anosy. 
Que l’on veuille ou non, la situation rappelle l’affaire Voninahitsy Jean Eugène, incarcéré en 2001, “pour émission de chèque sans provision”. Et on se souvient encore des critiques lancées, l’an dernier, par des militants TIM, dénigrant M. Voninahitsy dans cette affaire de chèque sans provision, quand ce dernier a créé le KMMR-Nouveau. 
Si le régime de Marc Ravalomanana ne réagit pas devant ces faits, il sera taxé de répéter les bourdes commises par l’amiral Ratsiraka, celles de défendre à tout prix les copains et les coquins de son parti. Et la mauvaise gouvernance, comme les actes de corruption, de détournement et le flou dans l’application des lois persistera au détriment des citoyens.
James R.
 


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Midi Mada 12 mai 2004

DEUX ANS APRES, "LA PAGE DAKAR EST DEFINITIVEMENT TOURNEE!", SELON RAJEMISON 
Si à l'Assemblée Nationale, le dépôt hier par la SPDUN de son projet de loi sur l'amnistie générale fait la une de l'actualité, à Anosy, les priorités sont plus axées sur le vécu quotidien du Sénat qui s'érige en "conseil" de l'exécutif. Signature d'une convention hier avec le GEPIM pour la construction de son Palais à Ambohimailala. Et bien d'autres points. Nous avons rencontré le Président du Sénat
Rajemison. Interview.
Retovo Latimer 
Midi Madagasikara: Vous rentrez d'une visite à l'extérieur. Etait-ce toujours dans l'optique d'un soutien ami, d’une recherche continuelle de fonds, ou bien au contraire, pour une toute autre raison?
Rajemison Rakotomaharo: Effectivement, j'ai fait l'objet d'une invitation car le Sénat joue un rôle primordial, en tant qu'organe de tutelle, dans l'essor de nos régions. Ma sortie à l'extérieur s'articulait autour de deux déplacements. Dans la région du Rhône (Lyon –Sainte Etienne) qui vient d'avoir un Président socialiste, nous avons dû harmoniser les rapports pour confirmer la relation qui existe entre cette contrée et la région de Tamatave. Cette coopération va s'étendre sur Fianarantsoa et Majunga. Le second volet du déplacement a été la participation du Sénat aux assises sur l'association des sénats des Pays d'Afrique et du monde arabe…
Midi: Le régime Ravalomanana vient de passer ses deux ans. Cependant, malgré les apparences sur les écoles, les routes et autres, bien des difficultés subsistent telle que la cherté du coût de la vie. En tant que Raiamandreny d'une institution qui doit suivre dans une certaine mesure la vie de la population, qu'avez-vous à dire?
R.R: Le Sénat participe à l'élaboration des lois. Dans les matières économiques, notre devoir se limite au conseil à l'exécutif. Il n'en demeure pas moins vrai cependant que nous suivons de près la vie de la population.
Midi: Des énigmes subsistent quant à la conduite des affaires de l'Etat. On épilogue toujours sur les accords secrets de Dakar pour ne citer que la réconciliation nationale. Tiennent-ils toujours la route compte tenu du fait que certaines personnalités, comme l'ancien président Zafy Albert, font l'objet d'une invitation africaine, entre anciens chefs d'état africain pour discuter du problème de la démocratie? Cette page est-elle définitivement tournée?
R.R: Nous sommes très loin de ces accords. Pour moi, cette page est définitivement tournée. Nous avons une autre priorité qui est le redressement.
Midi: Peut-on dire que vous jouez le rôle d'une courroie de transmission entre le Président Ravalomanana et les différents intervenants politiques comme M. Honoré Rakotomanana l'a été du temps de l'ancien Président Ratsiraka, lors des événements 2002?
R.R: J' essaie de conseiller et d’intervenir afin d'atténuer les effets ou du moins éviter les risques au cours de ces moments de crise. Je pense que tous ces problèmes sont réglés...
Midi: Qu'avez-vous à dire à l'occasion de l'ouverture de la session du parlement?
R.R: Nous allons multiplier les actions en vue de la mise en place proprement dite des régions. On veut entrer dans le vrai développement…


Tiako Mada 12 mai 2004

Mise en place des 22 Régions précédée d'une transition dirigée par un comité régional 
SOURCE MIDI MADAGASIKARA   , par TIM France 
L'Assemblée nationale examinera à partir de ce jour le projet de Loi 005/2004 relative aux Régions. Comme son nom l'indique, c'est encore au stade de projet, le Parlement ayant ainsi le pouvoir d'étudier les tenants et aboutissants des textes proposés par le gouvernement. L'Etat propose 22 Régions dont 2 à Antsiranana (Diana et Sava), 4 à Antananarivo (Itasy, Analamanga, Ivon'Imerina, et Vakinankaratra), 4 à Mahajanga (Sofia, Boina, Betsiboka, et Melaky), 3 à Toamasina (Alaotra-Mangoro, Atsinanana, et Analanjirofo), 5 à Fianarantsoa (Amoron'Imania, Haute Matistra, Vatovavy-Fitovinany, Atsimo-Atsinanana, et Horombe), et 4 à Toliara (Menabe, Atsimo-Andrefana, Menarandra, et Anosy-Androy). 
Toujours est-il que l'exposé des motifs dudit projet résume l'esprit avec lequel le Président de la République conçoit le développement de Madagascar. « Compte tenu de ce que les Communes, point d'ancrage du développement, demeurent les seules structures décentralisées opérationnelles depuis 1995, il est opportun de mettre en place un échelon de décentralisation intermédiaire entre les Communes et l'Etat central, échelon appelé à jouer un rôle de pôle de croissance et de développement intégré à ce niveau(…). La Région a comme vocation d'assurer le développement économique et social dans son ressort territorial, de coordonner et d'intégrer les actions de développement initiées à la base ». 
Cadres régionaux 
Le même exposé des motifs dispose que « la considération de la vocation économique, des critères d'homogénéité géographique, historique et sociologique ainsi que la capitalisation des acquis en matière d'actions de développement régional, eu égard aux cadres régionaux d'intervention utilisés par le Groupe de Travail pour le Développement Rural (GTDR), amènent à proposer la mise en place des 22 Régions à Madagascar ». Faut-il rappeler que l'article 126 , alinéa 5, de la Constitution prévoit la mise en place des régions qui sont dotées d'un organe délibérant et d'un organe exécutif ? 
Opérateurs économiques A en croire le contenu du projet de loi, une Région est dirigée par un Chef de région, élu, chaque région ayant en son sein un conseil régional, élu également. Mais le gouvernement estime qu'il faudrait une transition avant l'effectivité de cette structure. Il ne veut pas confondre vitesse et précipitation. Ainsi, l'Etat propose dans son projet de loi que jusqu'à la mise en place effective de ces structures, les attributions du Conseil régional, organe délibérant de la Région, soient exercées par le Comité régional présidé par le Chef de Région et composé de représentants des maires, de représentants des opérateurs économiques ainsi que de représentants des sociétés civiles de la Région concernée. Les membres de l'Exécutif régional sont nommés par décret du Président de la République pris en conseil des ministres sur proposition conjointe du ministre chargé de l'Intérieur et du ministre chargé de la Décentralisation. 
Stagnantes Comme l'a donc expliqué le Président de la République, Marc Ravalomanana, les Régions sont des collectivités publiques à vocation essentiellement économique et sociale. « Elles dirigent, dynamisent, coordonnent et harmonisent le développement économique et social de l'ensemble de son ressort territorial, et assurent, à ce titre, la planification, l'aménagement du territoire et la mise en œuvre de toutes les actions de développement ». En un mot, ce projet de loi traduit la volonté de l'Etat de faire avancer les choses stagnantes depuis une dizaine d'années. « A cet effet, les Régions dont la mise en place, l'organisation ainsi que les compétences et ressources ont été prévues par les lois de décentralisation de1993-1995, répondent à une vision d'échelle pour le processus de développement rapide et durable ».


Tribune Mada  12 mai 2004

Réconciliation nationale :  Pety Rakotoniaina a déjà fait le sien ! 
Le contexte économico-politique est depuis quelques semaines, dominé par les questions d'inflation et de surenchère quant aux revendications des uns et des autres. Dans cette agitation, et ne perdant point les objectifs qu'il s'est fixés, le pouvoir continue d'observer un certain recul, perçu par beaucoup comme une certaine indifférence. A de rares exceptions près, il n'y a que le président qui a fait quelques apparitions dans les médias pour rassurer la population sans pourtant parler de réconciliation nationale. Un concept qu'il semble ignorer mais qui préoccupe plus d'un politiciens. En tout cas, le Mfm à travers Pety Rakotoniaina l'a déjà réalisé.
Très sollicité ces derniers temps par les médias, Manandafy Rakotonirina explique indirectement les raisons du soutien de son parti au pouvoir, au risque selon les observateurs, de rompre avec la base du Mfm ; ce que réfute le président national de ce parti car le Mfm est un parti libéral dans lequel le militant est libre de ses opinions et de ses analyses. Les déclarations du "Vovonana d'Ilafy" de 2001 demeurent et seule une session de ce genre peut modifier les positions du parti, a-t-il déclaré. En tout cas, les propos tenus dans les médias par le président national du Mfm et conseiller spécial du président de la République autorisent une lecture de la situation par Mfm et par Manandafy Rakotonirina des affaires nationales.
Tout d'abord sur la question de réconciliation nationale qui oppose le Tim et l'Arema aussi bien dans le processus initié par la Solidarité parlementaire pour la démocratie et l'unité nationale (Spdun) qu'au Parlement - un sujet qui oppose également le Comité pour la réconciliation nationale (Crn) au régime, le Mfm relève deux choses. Pour le Crn de Zafy Albert, il est davantage question de personne et de légitimité du régime qu'autre chose. La réconciliation prônée par ce camp ne serait qu'une manière d'accéder de nouveau au pouvoir en remettant en cause les acquis de la reconnaissance du 6 mai 2002. Plus concrètement et pour le Mfm, les propositions du Crn ne sont qu'une stratégie pour écarter Ratsiraka et Ravalomanana et donner le pouvoir à Zafy Albert qui n'a obtenu qu'à peine 5% du suffrage exprimé en décembre 2001. 
Par contre, au sujet de l'antagonisme apparent relatif à la réconciliation nationale ou l'amnistie entre Tim et Arema, Manandafy attire l'attention sur la gestion de la situation par le Pds de la province autonome de Fianarantsoa à l'époque. Pety Rakotoniaina avait en son temps, aussitôt désigné par le chef de l'Etat, puis conquis le pouvoir, initié un mouvement de réconciliation dans sa province. Ainsi a déduit Manandafy, le mouvement "Tambatrasoa" a rassemblé tous les partis en conflit et résolu puis prévenu jusqu'à aujourd'hui les éventuelles questions de déstabilisation par voie ethnique, tribale ou régionale. En d'autres termes, Pety Rakotoniaina a déjà réalisé la réconciliation nationale à sa manière, bien avant la lettre et avant tout le monde.
A propos de réconciliation nationale, le président Ravalomanana laisse entrevoir à travers ses propos tenus ici et là et tout dernièrement encore à Mahajanga sa position. Après avoir mis l'accent, encore une fois sur l'impérieuse nécessité du partenariat entre l'Eglise et l'Etat, le chef de l'Etat a déclaré que pour développer tout le pays, ses populations et ses diverses localités, il n'y a que cette solidarité avec l'église qui soit le seul moyen adéquat et disponible. Considérant tout ce qu'il a dit à propos de réconciliation, notamment dans la composition du gouvernement depuis toujours, beaucoup de politiciens proches du régime concluent que cette "association" de l'église au processus de développement est la traduction dans le concret de cette réconciliation nationale. Il faut reconnaître que pour l'instant, ce sont effectivement les églises qui disposent des structures et des ressources assez ramifiées et couvrant tout le territoire national. Ce qui, soit dit en passant, traduit la sous-administration dont souffre le pays depuis plusieurs années et que l'on cherche aujourd'hui, avec la mise en place des régions, à reprendre en main.
Economie : Hausse des prix à Tanà - Le pain réduit à 100 gr cuit pour 1000 fmg 
Où est passée la farine de production locale, pourtant moins chère ? Le prix de la farine importée vaut actuellement 330 000 fmg pour un sac de 50 kg. Aperçu de cette valse de prix de la farine et ses conséquences sur le prix du pain aux consommateurs...
Chose curieuse, la farine de production locale a presque disparu de la circulation. On parle de ravitaillement au compte-goutte. Chez les grossistes, la farine importée est distribuée à 330.000 FMG pour un sac de 50 Kg. Selon le président de l'association des boulangers professionnels, nous importons de la farine car notre production locale est insuffisante bien que le sac - à 230 000 fmg, soit moins cher par rapport à la farine importée. Il y a par exemple la Soredim qui vend à 315 000 fmg le sac mais il y a aussi de la farine importée de Maurice qui se vend à 282 000 fmg. Au niveau des consommateurs, le kilo de ces farines importées est vendu à 7000 Fmg par les détaillants.
Au mois de janvier 2004, le kilo de la farine import a été négocié autour de 4000 Fmg sur les étals. En ce début du mois de mai, elle a accusé une hausse de près de 80% au bout de ce premier semestre de l'année 2004.
A l'instar des autres produits importés, le ravitaillement de la farine a été également secoué par la dépréciation du Fmg malgache et la hausse du prix des carburants. Selon l'Instat (Institut National de la Statistique), les produits importés ont généralement connu une hausse moyenne de 6,5% contre 3,5 % pour les produits locaux. 
Vers le milieu du mois d'avril dernier, le groupement des professionnels en boulangerie a menacé d'augmenter le prix de la baguette de pain bâtard à 1250 Fmg. Mais finalement, le prix du bâtard a été maintenu à 1000 Fmg après un tête à tête en haut lieu tenu entre le bureau professionnel et les autorités responsables. Une décision largement saluée par les consommateurs.
Depuis, et malgré certaines promesses de secours, les boulangers n'ont rien vu venir. La pénurie de farine plane-t-elle ? De sources dignes de foi, on sait que les boulangeries de la capitale consomment entre 2500 et 3000 tonnes de farine par mois et qu'un sac de 50 kg donne près de 375 baguetes de pain d'environ 140 gr cru (100 gr cuit). C'est vraisemblablement la conjugaison de tous ces problèmes qui explique que le pain bâtard a perdu de sa consistance et de son poids. Plus d'un constatent en effet une diminution du gabarit du pain bâtard. Des mauvaises langues commencent à imputer cette réduction du poids d'une baguette au titre d'une contre-partie du maintien du prix à 1000 Fmg. A en croire à ce constat, c'est la confirmation de l'adage selon laquelle " mofo dipainan'Antananarivo, te-hisondro-bidy vao mihen-danja!". Bref, faut-il croire que la barre de 1000 Fmg constitue-t-il le tarif psychologique pour l'ensemble des Malgaches ? Du transport urbain au prix du pain en passant par les journaux !


Wanadoo.mg   12 mai 2004

Crise de 2002 : le chanteur Rossy se défend d’être un réfugié politique
En France depuis la période de crise de 2002, le célèbre chanteur malgache, Rossy, se défend d’être qualifié de réfugié politique quand il a répondu aux questions d’un journaliste de la Chaîne privée d’Antananarivo, RTA, au cours d’un entretien exclusif. 
Depuis des décennies, Rossy passait en effet pour être un chanteur engagé et proche de l’ancien président Didier Ratsiraka. Il estime toutefois avoir quitté Madagascar en 2002, non pas dans le cadre de la crise politique, mais pour poursuivre une « formation de régisseur » en France et, dans le même temps, pour « travailler » en tant que chanteur. 
Rossy estime qu’il lui est difficile, dans le contexte actuel, de travailler librement dans son pays natal. « En France, je peux travailler sans problème » affirme-t-il, tout en soulignant qu’à Madagascar, l’on refuse de lui adresser la parole. 
Le chanteur malgache, selon ses propos, dispose d’une carte de résident. Rossy exclut donc, à court terme, un projet de retour dans la Grande Ile, contrairement à la parole d’une de ses plus récentes chansons évoquant la nostalgie du pays et diffusée depuis quelques mois sur les ondes des radios privées de Madagascar. 
©MATERA 

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