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... le monde entier
a les yeux braqués sur Madagascar ...
Sommaire
Madavôvô:
1.
Madagascar: Magistrates' Strike Halts Justice (AllAfrica.com)
2.
Des malgaches apatrides ? (Sobika)
3.
A Tsimbazaza, Sylla l'avocat défend Sylla le premier ministre (Les
Nouvelles)
4.
No Comment.... No Comment...
5. AMBODIATAFANA : LA FAMILLE RATSIRAKA DEMANDE SA RESTITUTION !
(Midi Mada)
6. Crise 2002:
Les exilés toujours sur le qui-vive - L’Etat ne s’engage pas sur leur cas
(Midi Mada)
7.
Foyer universitaire malgache d'Arago : Le Directeur de plus en plus critiqué
(Tribune Mada)
8.
US
Selects 16 Countries To Get Millennium Challenge Aid (Dow Jones
International)

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Grande
Rencontre Rainizafimanga
dans le Périgord
26-27 juin 2004
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Klikeo
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COURS DES CHANGES |
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GBP 17 084,18 FMG
CHF 7 344,05 FMG
JPY 85,01 FMG
ZAR 1 357 FMG
HKD 1 228,51 FMG |
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AllAfrica.com
21 mai 2004
Madagascar: Magistrates' Strike Halts Justice
- Johannesburg
Madagascar's minister of justice was locked in negotiations with the country's magistrates on Tuesday over demands for better pay and working conditions.
A stayaway by the magistrates has brought Madagascar's judicial processes to a
standstill.
The ministry's spokesman, Rena Ravonniandro, told IRIN that "it was still unclear" whether any progress had been made since the country's Magistrate Union (MU) appeared bent on receiving better compensation
immediately.
A deal reached last week between the government and the MU agreed to increase the pay of magistrates and other civil servants from the end of July, but on Monday the MU embarked on strike action, calling for immediate implementation of the plan.
"The minister has told the magistrates many times that there aren't enough funds available to increase their salaries immediately. The budget for this financial year has already been approved, and it will be impossible to find extra funds to pay salaries. In July we will be in a better financial position," said
Ravonniandro.
The MU has demanded a 100 percent increase, arguing that current salaries were insufficient to cope with the rise in the cost of living.
In 1999 the salaries of magistrates were raised to improve their performance, but reports of corruption in the judiciary have
persisted.
Relevant Links
East Africa
Legal and Judicial Affairs - Labour - Madagascar
"We already have a serious backlog of cases and this is going to make it worse. According to our law, a person cannot be detained for more than 24 hrs without appearing before judge. Without anybody working, we are forced to set these people free," said Paul Andre, secretary of the defence
ministry.
In a bid to stem corruption, President Marc Ravalomanana raised the salaries of civil servants soon after he took power in 2001, but the MU have pointed out that magistrates were excluded from the
increase.
EDITO
Sobika 21 mai 2004 -
Des malgaches apatrides ?
Il y a quelque chose d'étonnant chez les Karanas: Lorque vous leur demandez de quelle nationalité ils sont, ils vous répondront tous " malgaches". Malgré l'adversité populaire, ils se sentent sincèrement malagasy même si leurs origines sont plus à chercher du coté du Pakistan. Pourtant savez vous que la grande majorité d'entre eux est apatride, c'est à dire sans nationalité ?
L'Etat malgache ne leur accorde pas le droit du sol et ils sont en situation de demandeur d'asile permanent ! Bien sur l'Etat malgache reste trés souple vis à vis de cette communauté car il sait que malgré les a priori de la pensée collective malgache, les Karanas participent activement au développement économique du pays. Ce qu'ils ont fait ( création d'usines, développement des échanges commerciaux avec
l'extèrieur... ) était aussi à notre portée mais pourtant nous sommes moins doués par
l'entrepreneuriat à grande échelle. La récente rencontre par Marc Ravalomanana des 4 différentes groupes Karanas est importante et doit être interprétée par tous comme un pas de notre part à faire dans l'acceptation entière des Karanas dans la société malagasy. On ne peut plus tolérer les OPK (opérations coup de poings visant les ressortissants karanas ) comme il faut aussi dépasser les préjugés sur "le vil exploitant" des pauvres malagasy. Je me rappelle de cette phrase de l'ancien président " Il y a des bons et des mauvais karanas ". De cette phrase, beaucoup n'auront retenu que la dernière partie crystalisant encore plus les frustrations. Il aurait été plus juste de dire qu'il existe de bons et des mauvais citoyens tout simplement, qu'on soit Karanas malgaches ou comoriens... Ainsi, lorqu"un Karana me dit qu'il est malgache, je suis ravi de voir que malgré nos différences ethniques nous partageons la même idée de notre identité.
Les
Nouvelles 21 mai 2004
A Tsimbazaza, Sylla l'avocat défend Sylla le premier ministre
Dans une plaidoirie digne des plus grands avocats, Sylla défend son poste.
Jacques Sylla n'est pas allé par quatre chemins mercredi pour remettre à leur place les députés qui en voulaient à son poste. "Le premier ministre, chef du gouvernement, c'est moi, Sylla", a-t-il martelé en réponse aux allusions provocatrices et aux attaques verbales directes des groupes parlementaires non-Tim. Dans leur intervention, les membres du Groupe parlementaire pour le rassemblement (GPR) et ceux du groupe parlementaire Avi ont, en effet, mis en doute sa qualité de chef de gouvernement. Si le GPR, par la voix du député élu à Mananara Nord, Boniface Zakahely, a annoncé sans détours que le groupe a "l'impression que le premier ministre n'est pas le chef du gouvernement à Madagascar", le groupe du parti de Norbert Lala Ratsirahonana se voulait plus feutré et moins direct.
PM et chef du gouvernement
"La Constitution qui dispose que le premier ministre est le chef du gouvernement est violée car nous avons l'impression qu'à Madagascar, celui qui dirige le gouvernement n'est pas le premier ministre", a déclaré Boniface Zakahely. "Le budget de la vice-primature est supérieur à celle de la primature", a-t-il avancé pour justifier son argument. Ce à quoi Jacques Sylla a répondu "que le montant du budget alloué à un département n'est pas signe de primauté". Le GPR a par ailleurs ajouté que si le premier ministre ne maîtrisait plus la situation, il n'avait qu'à démissionner. La démission, l'Avi ne voulait pas en venir jusqu'à l'exiger de l'actuel gouvernement. Les représentants De ce groupe parlementaire ont "seulement" demandé que le gouvernement en général et le premier ministre en particulier changent leur manière de travailler.
Politique générale
Julien Reboza, député élu à Amboasary Sud, a déclaré que le premier ministre ne devrait pas se décharger de ses obligations sur les ministres. "Vous devrez connaître tous les dossiers de chaque ministère", a-t-il déclaré en parlant des questions que les députés ont adressées au premier ministre mais dont les réponses ont été données par les autres membres du gouvernement. "Ces questions n'étaient pas relatives à la politique générale du gouvernement", a répliqué Jacques Sylla. "Selon le règlement intérieur que vous avez vous-même adopté, le premier ministre ne répond qu'à des questions relatives à la politique générale", a-t-il ajouté en lisant le passage du règlement intérieur qui s'y rapporte.
Et si l'Avi ne voulait surtout pas mêler le président de la République aux difficultés que le pays traverse actuellement, ses représentants n'étaient pas tendres à l'égard du gouvernement "à qui le chef de l'Etat a confié la réalisation de toutes ses promesses" mais "qui, selon toujours l'Avi, a failli à cette mission". "Ce n'est pas pour critiquer mais pour que vous puissiez apporter des corrections à votre façon de travailler, car il est possible de faire mieux", a conclu Julien Reboza. Mais la réplique était tranchante. "Vous êtes les seuls à voir que rien ne va dans le pays car la communauté internationale reconnaît que Madagascar est sur la bonne voie. Vous-même n'avez pas fait mieux quand vous étiez au gouvernement". Et le premier ministre de s'envoler dans une énumération des actions entreprises par "son" équipe qu'il a d'ailleurs brillamment défendue au cours de ce qui s'apparentait à une véritable plaidoirie.
Lova Rabary
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en passant par
TetezamitaKely
...Les
8 Familles et
leurs vœux 2004
(vu sur le site
www.rainizafimanga.com)
"Les
'Grands' parlent d'idée
les 'médiocres'
parlent d'évènements
les 'misérables'
parlent contre les personnes..."
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Midi
Mada 21 mai 2004
AMBODIATAFANA : LA FAMILLE RATSIRAKA DEMANDE SA RESTITUTION !
L’Etat qui pourrait faire saisir les biens de l’Amiral, n’a pas encore donné de réponse
Il ne reste plus rien si ce n’est des tas de ferraille rongés par la rouille dans le parc de Decagon, l’ancienne société de la famille Ratsiraka, situé sur la RN5, aux environs du PK 15. Soit à 5 km d’Ambodiatafana qui aurait pu connaître le même sort si le site n’avait pas été gardé après le départ de l’Amiral, le 7 juillet 2002. La résidence avait d’ailleurs été déjà « visitée » jusqu’à l’entrée des « zana-dambo » le 10 juillet. 2 ans, enfin presque, après sa prise, le sort du domaine reste incertain.
R.O.
Après la démobilisation des réservistes fin 2003, des éléments mixtes issus de la police, de la gendarmerie et de l’armée ont pris la relève à Ambodiatafana pour assurer la sécurité du domaine composé d’une résidence principale (une villa basse en dur), de deux dépendances et d’une salle de machine. Sans oublier la piscine qui ne doit être remplie que par les pluies fréquentes sur le littoral Est. Sur les hauteurs, se dresse un pavillon qui avait, à en juger par le mobilier ou ce qu’il en reste, servi principalement de bureau à
l’Amiral même si on l’imaginait mal, monter et descendre l’escalier par trop abrupt qui mène à cette résidence et qui surplombe l’ensemble de la propriété. D’une superficie de 55 ha titrée et bornée au nom de Ratsiraka Didier Ignace. Un bien personnel de l’ancien président dont sa famille demande aujourd’hui la restitution, a-t-on appris, auprès des autorités de la province. D’après ces dernières, « le Fanjakana n’a pas encore donné de réponse ». Non sans exclure « une éventuelle saisie des biens du propriétaire
d’Ambodiatafana qui a été condamné à payer de lourds dommages-intérêts à
l’Etat ».
Retour improbable
En tout cas, quelques biens mobiliers et effets personnels auraient été déjà récupérés par la famille de l’Amiral se trouvant au pays, en attendant d’être fixé sur le sort final du domaine dont la garde coûte évidemment de l’argent. C’est pour un problème de budget du reste que les éléments de la police ont dû être retirés
d’Ambodiatafana devenu un moment, un musée, qui attirait bon nombre de visiteurs, avant d’être fermé pour des raisons de sécurité. Et pour cause, les gardes en faction sur le site, ne pouvaient notamment surveiller tout le va-et-vient. Tout autant qu’ils ne peuvent à la fois, assurer l’entretien d’Ambodiatafana qui risque d’être envahi, non seulement par les badamiers, mais aussi par les « vendrana », une plante endémique de la région ainsi que par les « ravinala » ou arbre du voyageur. A l’image du propriétaire qui est parti pour un voyage interminable dont le retour annoncé pour le 20 juin, s’avère de plus en plus improbable, les choses n’ayant pas, paraît-il, évolué dans le sens escompté. Pour quelle raison sinon à quelle fin, la famille Ratsiraka demande-t-elle alors la restitution d’Ambodiatafana avec les charges (gardiennage, électricité, eau, entretien…) que cela suppose.
Crise 2002:
Les exilés toujours sur le qui-vive - L’Etat ne s’engage pas sur leur cas
Il y a eu des questions banales comme des réponses expéditives. La séance questions-réponses entre les membres du gouvernement et les membres de
l’Assemblée nationale, mercredi dernier, a totalisé toute une journée, retransmise en direct à la radio et télévision nationales. Statistiquement, les questions posées ont atteint le nombre de 664. Le moins inquiété, si on peut le dire ainsi, a été le ministre de la Culture et du Tourisme avec seulement 10 questions. La palme est revenue au vice-Premier ministre Zaza Ramandimbiarison avec 117 questions. Même le Premier ministre, premier responsable de l’équipe, n’a eu que 45 questions sur sa liste. Puis, suivent les ministres de la Santé et de la Défense nationale, avec chacun 52 interpellations.
Val A.
En tout, la position du gouvernement a été résumée dans les propos du Premier ministre, Jacques Sylla. Madagascar s’est engagé dans la voie tracée dans le DSRP et s’est efforcé de mériter la confiance des bailleurs et partenaires financiers. Malgré les vicissitudes s’inscrivant au niveau de l’économie globale du pays, Madagascar garde espoir. Le Chef du gouvernement ayant beaucoup misé sur la collaboration franche entre
l’Exécutif et les députés estime que la politique engagée jusqu’ici est sur la bonne voie.
Absence
Sur le plan politique, à part les chiffres fournis par le ministre de la Justice, Lala Ratsiharovala, sur l’état des détenus dits des « Evénements 2002 », aucune information supplémentaire permettant de situer le cas des exilés n’a été révélée. Un élu a demandé de la part du gouvernement une déclaration publique faisant état des situations de ces derniers, mais le ministre en question a indiqué qu’une telle chose n’était pas faisable. Il est, en effet, compréhensible que le cas d’une telle ou telle personnalité relève de l’existence ou non d’un dossier à son endroit, l’absence au pays d’untel ou untel relève du principe de la libre circulation, liberté garantie par la Constitution en vigueur. Ce qui signifie également que le gouvernement n’est nullement tenu, ni obligé, de se prononcer sur cette question qui préoccupe les politiciens.
Indices
Quoi qu’il en soit, le flou sur la situation de certains exilés ne ménage guère ces derniers. Ils devraient ainsi rester sur le qui-vive faute de faire confiance à l’actuel régime. Sur les 345 dossiers relatifs à la crise 2002, il reste 65 à traiter à l’échelle nationale, dont 9 au niveau d’Antananarivo. C’est ce que le ministre de la Justice, Lala Ratsiharovala, a expliqué devant les députés mercredi dernier. Si ces dossiers non encore traités le sont, c’est que les accusés sont absents, ou que leurs dossiers ont été transférés d’une circonscription à une autre, a expliqué le ministre. Des indices donc, mais à caractère général. En tout cas, ayant ou non un lien direct à ce volet, les députés se sont beaucoup intéressés aux questions de sécurité, notamment intérieure. Le gouvernement, de son côté, a privilégié le dialogue entre le ministre et le député, pour la mise en œuvre de certains projets. En tout cas, à en croire la liste des députés ayant posé des questions, les élus non-Tim étaient, naturellement, majoritaires. Au moins, les députés qui ont eu l’humilité de rester dans la salle pour écouter la réponse à leurs questions auront apprécié la bravoure dont ont fait preuve les membres du gouvernement, en cette période si difficile.
Tribune
Mada 21 mai 2004
Foyer universitaire malgache d'Arago
: Le Directeur de plus en plus critiqué
Nommé directeur du Foyer Universitaire Malgache (FUM) d'Arago en 1997 sur proposition du ministre de l'Enseignement supérieur d'alors Ange Andrianarisoa, Charles Razafindrazaka est de plus en plus critiqué tant par ses anciens camarades que par la nouvelle équipe dirigeante. Tout d'abord, après le vent de changement suite au mouvement populaire de l'année 2002, les partisans de l'actuel régime voient d'un mauvais œil ce fidèle lieutenant, un militant fervent du parti Arema et non moins un membre actif du comité de soutien du candidat Didier Ratsiraka lors des dernières élections présidentielles, de briguer ce poste important, notamment pour la diaspora malgache en France. Ainsi, des voix s'élèvent ces derniers temps pour réclamer le limogeage de cet ancien partisan de Didier Ratsiraka à la tête du foyer universitaire. De source auprès de la diaspora malgache, nous apprenons que "Charles Razafindrazaka a aussitôt changé de camp dès que Ratsiraka fut bouté hors du pays". Une attitude qui n'a pas plu à tout le monde.
Expulsion manu militari !
Depuis, le torchon brûle entre le numéro un du FUM d'Arago et son économe qui n'est autre que Rakotozafindrabe Ambroise, un autre fervent militant de l'Arema. Ce dernier ainsi que d'autres employés ont été taxés par leur ancien patron d'être à l'origine et les seuls responsables de la mauvaise gestion de toutes les affaires du foyer. Cette tension persistante au sein du foyer s'est soldée par l'explusion manu militari de l'ancien économe M. Rakotondrazafindrabe et sa famille il y a quelques jours. Actuellement, l'ancien économe de cet établissement public rattaché au ministère de l'Education nationale et de la Recherche Scientifique et sa famille (une petite fille de trois ans et sa femme enceinte de 8 mois) seraient dans la rue. S'agit-il d'un règlement de compte ou une application de la loi ? Du coup, le désaccord a éclaté au grand jour entre le maître des lieux et ses anciens alliés. Ces derniers demandent également la tête de M. Razafindrazaka.
Par ailleurs, le directeur du FUM a entrepris des mesures draconiennes envers les étudiants qui n'arrivent pas à payer leur loyer. Alors qu'en réalité les étudiants, en signe de contestation ne paient pas leur loyer après une bataille juridique les opposant avec ce directeur.
A signaler que le FUM est réputé pour être un endroit insalubre et à plusieurs reprises épinglé par l'inspection sanitaire française. "Cet immeuble doit faire l'objet de travaux urgents, afin de le réhabiliter et de le rendre conforme aux normes de sécurité et de santé pour ses occupants". Une enveloppe budgétaire a été débloquée pour le financement des travaux, mais force est de constater que rien n'a changé. Raison pour laquelle les étudiants ont observé un mouvement de contestation en refusant de payer leur loyer. Mais l'affaire a tourné mal, le directeur a saisi la justice locale. Ces étudiants ont, par conséquent réclamé le départ du directeur du Foyer universitaire malgache d'Arago. L'étau se resserre autour de ce dernier. Que dira le ministre de tutelle. Un autre pain sur la planche pour le ministre Hajanirina Razafinjatovo après celui du SECES.
Source:
Dow Jones
International News Date: May 07, 2004
US
Selects 16 Countries To Get Millennium Challenge Aid
(This
article was originally published Thursday)
WASHINGTON
(Dow Jones)--The
U.S. on Thursday selected 16 developing countries from Africa,
Asia and Latin America to become the first to get support from a
new foreign aid program, known as Millennium Challenge Accounts.
"Our
mission - encouraging and rewarding good policies that produce
sustainable economic growth - holds profound implications for
freedom and security across the globe," Paul Applegarth, head
of the Millennium Challenge Corporation, said
in
a statement issued by the U.S. State Department.
The
countries approved for the program include Armenia, Benin,
Bolivia, Cape Verde, Georgia, Ghana, Honduras, Lesotho, Madagascar,
Mali, Mongolia, Mozambique, Nicaragua, Senegal, Sri Lanka and
Vanuatu.
They
were chosen for their performance under a list of 16 criteria
intended to measure which countries are "ruling justly,
investing in their people and establishing economic freedom."
These
criteria range from control of corruption, to the average number
of days to start a business, to the amount of public spending on health
and education.
These areas are judged in some cases by indexes developed from
private surveys
and
by panels of experts in others. The countries must be eligible to
borrow from the World Bank's
loan program for poor countries and have an annual per-capita
income of $1,415 or less.
Congress
appropriated $1 billion for the Millenium Challenge program for
2004 when it passed legislation establishing it last year.
President George W. Bush has requested $2.5 billion for fiscal
year 2005, and has said he would like $5
billion
for the following year.
U.S.
officials said the new approach is an attempt to make foreign aid
more effective and increase accountability for both the donor -
the U.S. - and the recipient governments. Much of U.S. foreign aid
is given to military and strategic allies, not necessarily
governments that put economic aid to best use. This program aims
to reserve development funding for governments of poor countries
considered most capable of using it effectively, in part by making
the selection process as transparent as possible.
"It's
absolutely unprecedented," said Sarah Lucas, a scholar at the
Center for Global Development in Washington, D.C. "The
objectivity comes in the application of the criteria."
Should
the board in the future select countries with an element of
geopolitical interest, "the advocacy community will call them
on it," she added.
Former
U.S. Treasury offical Steven Radelet, also at the Center for
Global Development, compiled a list of countries most likely to
qualify in the first group based on the performance criteria ahead
of the announcement. All of those selected were among the
countries he identified as meeting the standards with the
exception of Mozambique, Lesotho and Georgia, which was accepted
although it fell short on the corruption hurdle.
According
to Radelet, Bhutan, Vietnam, Guyana and Mauritania also met the
objective criteria. These countries weren't selected to
participate in the program.
The
Millennium Challenge Corporation is governed by a board, which is
responsible for choosing the participants. It is chaired by U.S.
Secretary of State Colin Powell, and includes U.S. Treasury
Secretary John Snow,
USAID Administrator Andrew Natsios, and U.S. Trade Representative
Robert Zoellick.
The
Board on Thursday also approved a "Threshold Country"
program, which is "directed toward a limited number of
candidate countries that have not met the requirements for
eligibility but demonstrate a significant commitment to
meeting
the requirements."
-By
Elizabeth Price, Dow Jones
Newswires; 202-862-9295;
Elizabeth.Price@dowjones.com
[ 07-05-04 1132GMT ]
|